Le mariage de ma petite soeur Julie (4) - histoire érotique

Chapitre 4

Juste avant de partir, je retourne dans la chambre pour lui poser un mot près de lui en lui disant qu’il peut poser les clés dans la boîte aux lettres en repartant. C’est à ce moment-là qu’il ouvre les yeux.

G : Mmmm salut.
Moi : Salut. Tu pourras mettre les clés dans la boîte aux lettres en partant s’il te plaît ?

Il secoue la tête pour dire oui et me fait un grand sourire.

Moi : Si tu veux fait comme chez toi. Prends-toi un café, il y en a dans la cafetière.

Il me regarde, attrape mon bras et m’attire vers lui et m’embrasse langoureusement.
Je me retire enfin, le regarde droit dans les yeux et me retourne pour aller bosser.
La journée se passe plutôt bien. Je n’ai pas regardé mon téléphone une seule fois car je n’ai pas eu une minute pour moi.
Je me change et regarde enfin mon portable et là je vois 5 appels en absences de ma sœur avec un message vocal. Je l’écoute et elle me demande de passer à son appartement au centre-ville de Besançon. Elle m’avait laissé ses clés. Elle me demande de passé pour récupérer des papiers que je dois signer pour le mariage.
Pas très envie d’y passer, je suis KO mais bon, courage ! Arrivé sur place, j’ouvre la porte et j’entend du bruit dans l’appart. Etrange, je pensais qu’il n’y avait personne.
J’essaie de savoir d’où cela provient et j’entend l’eau couler en direction de la salle de bain. Je m’approche et la porte est ouverte et là whouaaaa un spectacle magnifique s’offre à moi. Ma queue se réveille directement.
Mon futur beau frère sous la douche en train de se branler doucement en se caressant le torse avec l’autre main et se titillant son téton gauche. Je me cache un peu pour qu’il ne me voit pas.
Mais qu’est ce qu’il est beau, je n’en reviens pas et sa bite : c’est un monstre. 23x6 (à ce que je peux constater depuis ma cachette). Il a un gland bien rose et des couilles bien lisses et bien pendantes. Tout ce que j’aime. Je n’ai qu’une envie, c’est de me mettre à quatre pattes et de venir gober ce monstre.
Je ne résiste pas et commence à me caresser doucement tout en étant hypnotisé par ce spectacle. Je l’entends soupirer et il commence à être plus énergique sur sa queue. Ses va et vient sont vraiment de plus en plus rapides. Je n’en peux plus de voir ça, je sors ma queue et je me branle aussi. Je le vois lever la tête et se mettre à gémir encore plus fort. C’est à ce moment là que je vois des litres de foutre envoyer sur la paroi de douche et je me mets à juter moi aussi sans le vouloir directement sur le sol près de la salle de bain. J’ai dû me reculer un peu et j’ai fait tomber mes clés sur le sol.
Ni une ni deux, j’ai tout remballé et ramasser mes clés le plus rapidement possible et direction la sortie. En partant j’entends la voix de Yohan :
Y : Sarah, c’est toi ? T’es déjà rentré ?

Je prends peur et me casse directement en refermant la porte discrètement. J’ai super chaud mais ouf, il ne m’a pas vu mais putain de bordel, je n’ai pas eu le temps d’enlever mon foutre par terre. Je suis dans une merde monstre.
Je rentre chez moi en repensant à ce beau Dieu Grec que je viens de voir mais putain, ma sœur à une chance d’avoir ce mec rien que pour elle.
Arrivé à la maison, tout est calme et personne à l’horizon. Je vais pouvoir être enfin tranquille. Je pars direct me doucher et je vois un mot dans ma chambre.

« Encore désolé pour cette nuit. Je regrette ce que j’ai fait. Merci de ta compréhension mais je suis vraiment déboussolé par tout ce qui vient de se passer. Je pense encore à toi et je ne sais pas pourquoi ?
Je te laisse mon numéro si tu le souhaite : 07…….
Grégoire »

Son mot me touche quand même. Bref, en attendant, je vais à la douche.
Vers les alentours de 22h, je reçois un message de ma sœur qui me demande pourquoi je ne suis pas passé récupérer les papiers ?
Je lui réponds que je suis désolé, que je n’ai pas eu le temps mais que je les prendrais samedi en venant chercher Yohan pour aller faire les boutiques et lui trouver un costume pour le mariage.

Le reste de la semaine se passe plutôt bien. Pas de nouvelles de Grégoire ce qui m’arrange bien je dois dire. Nous sommes samedi matin et je pars chercher Yohan.
Je frappe donc à la porte et celui-ci vient m’ouvrir avec une serviette autour de la taille et tout mouillé.

Y : Rentres, j’étais sous la douche. Sarah vient de partir.
Moi : T’inquiètes, je vais t’attendre en bas. Je vais te laisser t’habiller tranquillement.
Y : Tu peux rester, ça ne t’a pas dérangé l’autre jour de me mater ? dit-il en repartant vers sa chambre.

Je deviens rouge pivoine mais ne me laisse pas abattre.

Moi : De quoi tu parles ?
Y : Je t’ai vu par la fenêtre repartir l’autre jour quand ta sœur t’avait demandé de passer. Et ne t’inquiètes pas, je ne lui ai rien dit d’autant plus que j’ai dut ramasser ton sperme au sol ! Tu as aimé le spectacle ? me dit-il d’un ton plus que glaçant.
Moi : Ben euhhh, je suis désolé, vraiment, je ne sais pas ce qui s’est passé.
Y : Bref, Tu m’en devras une mais la prochaine, fois je te fou mon poing dans la gueule, tu es prévenu.
Moi : Ça ne se reproduira plus !

Il finit de s’habiller et nous partons en ville sans un mot. L’air est pesant dans la voiture et je ne sais pas quoi dire ni quoi faire.

Y : Tu ne vas pas faire la gueule toute la journée quand même ?
Moi : Non, non. Je ne sais vraiment plus où me foutre tellement j’ai honte.
Y : Laisses tomber, je t’ai dit, tu m’en devras une c’est tout.
Moi : Ok mais je peux te poser une question ?
Y : Vas-y accouche ?
Moi : Pourquoi tu ne m’apprécies pas ?
Y : Comment ça ?
Moi : Ben oui, depuis l’autre jour chez mes parents, tu es super froid avec moi et oui je sais ce qui s’est passé chez vous n’a surement pas aidé les choses.
Y : Je ne suis pas froid. J’ai toujours été comme ça avec les gens que je ne connais pas. C’est vrai que le fait que tu me mattes en te branlant n’est pas la meilleure chose pour me mettre à l’aise avec toi mais bon, ça va le faire avec le temps.
Moi : Ok, je comprends. Au fait, ma sœur ne m’a rien dit mais tu fais quoi dans la vie, parce qu’on ne s’est pas beaucoup parlé et comme je vais être ton témoin, j’aimerai bien savoir. Que tu m’en dises plus sur toi surtout que je dois organiser ton enterrement de vie de garçon. D’ailleurs, il faudra que tu me donnes le numéro de tes amis qui viendront.
Y : On aura toute la journée pour en parler mais ok je te donnerai tout ça.

La journée se passe assez bien je dois dire. La tension est redescendue. Le costume est trouvé. Je ramène donc mon futur beau frère chez lui et rentre à la maison.

Le fait d’avoir été avec ce beau mâle toute la journée m’a mis en appétit et j’ai envie de baiser. Qu’est-ce que je fais ? J’envoie un message à Grégoire pour savoir comment il va ? Je reçois un coup de fil de sa part dans la minute qui suit en me disant que sa femme rentrait dans deux jours et que si je voulais, je pouvais passer chez eux pour boire un verre et se commander une pizza.
Je file sous la douche (en me faisant un petit lavement, on ne sait jamais) et direction chez lui.
Je sonne et il vient m’ouvrir en short et débardeur.

G : Salut, ça va ? Rentre.
Moi : Oui merci et au fait merci pour ton petit mot l’autre jour.
G : Si tu veux bien, je n’ai pas très envie d’en parler pour le moment.
Moi : Pas de soucis.

Nous nous installons dehors en buvant un verre de blanc et en attendant la pizza. Nous discutons donc de tout et de rien mais je sens qu’il me regarde avec insistance.

G : Tu sais, depuis l’autre jour, je te l’ai dit mais je ne comprends pas ce qu’il se passe, je pense à toi de plus en plus. Je ne suis pas gay et je suis vraiment déboussolé.
Moi : Ok, tu veux peut-être que je m’en aille ?
G : Non, reste s’il te plaît.
Moi : Ok.
G : Ton corps m’attire et j’ai envie de toi. Regarde !

Je regarde du côté de sa queue et oui il a un chapiteau sous short.
Je ne sais pas pourquoi mais ça a le don de m’exciter. Je me lève, lui attrape la bite et l’embrasse comme un fou.
Il se laisse faire et me porte jusqu’au salon.
Je lui retire tous ses vêtements et le couvre de baisers jusqu’à arriver vers sa bite qui ne demande que l’on s’occupe d’elle. Je le suce bien à fond. Quel régal !
Je suis sa chose pour la nuit.
Pendant plus de vingt minutes, je m’occupe de sa bite en alternant avec de bonnes gorges profondes et il me baise la bouche comme un malade.
Je me relève pour l’embrasser et il me retire tout mes vêtements, me retourne et me met à quatre pattes sur le canapé.

G : Tends bien ton cul.

Je ne me fais pas prier et il se jette dessus en me mettant une bonne claque dessus. Je suis en extase. Je le sens y fourrer sa langue et me bouffer le cul pendant bien dix minutes. J’adore ça. Sa langue est vraiment experte en la matière.

G : Je vais te baiser ma petite salope.
Moi : Mmmmm oui vas-y !

Pas le temps de dire autre chose qu’il pose et enfonce sa queue bien au fond de mon cul. Je me cambre bien pour qu’il me baise encore plus fort et me contorsionne pour lui attraper ses couilles tout en me baisant. Il gueule comme un fou.
Je suis en transe. Cela fait plus de vingt minutes qu’il me baise et je me sens comme une chienne en rut.

G : tu veux mon jus où ? Dans ton cul, ou dans ta bouche ?
Moi : Comme tu veux.
G : Retournes toi petite salope. Tu vas avaler tout ce que je vais te donner et tu vas me regarder droit dans les yeux ok ?


Pas le temps de répondre qu’il me rebaise la bouche et me maintient la tête. Son gland est bien à fond et j’avale des quantités de son jus bien chaud.
Il ressort et je continue à le sucer et à lécher les dernières gouttes de son jus.

G : Oh mais quel pied ! T’es vraiment mais alors, t’es vraiment un putain de bon coup. Je suis à croc de toi. Tu veux bien rester avec moi cette nuit ?
Moi : Oui si tu veux.

Nous allons nous coucher, il me regarde, m’embrasse et me serre conte lui.

G : tu es vraiment beau tu sais ?

Et il s’endort en m’n prenant dans ses bras.

Le lendemain matin, je me réveille et je le retrouve nu dans la cuisine en train de faire du café.

G : Salut toi, tu as bien dormi ?
Moi : Oui comme un vrai bébé.
G : Je suis content alors.

Il s’approche de moi, m’enlace et m’embrasse. Je sens son érection arriver et cela m’amuse. Il me caresse les fesses tout en m’embrassant.
Mais c’est là que j’entends derrière moi :

Inconnu : Putain, mais c’est quoi ce bordel ?

Fin du chapitre 4