Le mariage de ma petite soeur Julie (7)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le mariage de ma petite soeur Julie (7)
Chapitre 7
Nous avons encore bu une autre bouteille, ils m’ont à nouveau baisé et Yohan leur a dit personne ne jute dans son cul car seul lui le pouvait. Ça me plaisait de me dire que je n’étais qu’à lui de cette façon puis vers 4h du matin, nous avons tous regagné nos chambres. Yohan me pris dans ses bras et vint se coucher contre moi. Je me sentais bien enlacé tout son corps contre moi. Je crois que c’est bien la première fois que je me sentais comme ça avec un mec. Le mec de ma sœur. Sa main me caressait doucement et nous nous endormîmes de cette manière.
Vers les alentours de 10h, j’entendais les gars dans la cuisine en train de discuter. Je commençais à me réveiller quand Yohan me resserra dans ses bras. Je me retournais pour le regarder tendrement et il me regardait en me souriant.
Y : Bonjour toi. Tu as bien dormi ? (me dit-il en approchant ses lèvres des miennes pour m’embrasser).
Moi : Pas assez mais j’étais super bien dans tes bras cette nuit. Tu ne m’as pas lâché d’une minute. Tu entends, les autres sont déjà debout, il faudrait peut-être qu’on se lève, tu ne crois pas ?
Y : On a encore le temps, non ? Tu ne dois rendre les clés que vers 15h, il me semble et les mecs sont grands. Ils peuvent se servir un café tous seuls, non ?
Moi : Oui, c’est vrai.
Y : J’ai envie d’être encore un peu vers toi. Après, tu sais que ça va être compliqué au retour et avec le mariage samedi prochain.
Moi : Oui je sais.
Y : Je ne sais pas ce qui se passe mais c’est la première fois que je ressens ça pour un mec. Enfin, je crois que c’est la première fois que je ressens ça pour quelqu’un à vrai dire.
Moi : Et ma sœur ?
Y : Je l’aime oui mais c’est encore différent. Je peux t’avouer quelque chose ? Mais promets-moi de ne rien dire à personne, ok ?
Moi : Oui, dis-moi.
Y : Elle est enceinte de 3 mois.
Moi : Oh mais c’est génial ça. Tu n’as pas l’air content ?
Y : Si si je le suis énormément mais maintenant que je te connais, j’ai l’impression de faire une grave erreur.
Moi : Ne dis pas ça, je suis sûr que tu seras un papa formidable.
Pour seule réponse, il me resserra encore plus fort dans ses bras tout à m’embrassant.
Y : Il faut que je te dise encore quelque chose.
Moi : Oui, je t’écoute.
Y : J’ai envie de toi là tout de suite.
Moi : C’est bien ce que je ressentais entre tes jambes (dis-je en rigolant).
Il se mit à rire aussi et commença à me caresser les fesses. Il se mit ensuite sur le dos et m’attrapa par la taille pour que je vienne m’asseoir sur lui.
Y : T’es beau tu sais ?
Je lui souris puis, vint l’embrasser dans le coup, sur le torse, lui mordit les tétons ce qui le fit grogner, puis vers son nombril. Je pris sa belle tige entre les mains et commença un doux va et vient dessus. J’approche ma bouche de son gland puis le pris en bouche. Il laissa sa tête retomber sur l’oreiller pendant que je lui gobais sa queue avec gourmandise.
Au bout de cinq minutes de cette pipe intense, il attrapa ma taille, se releva puis me mis à mon tour sur le dos.
Y : Je veux te voir pendant que je te fais l’amour. Et hier, j’étais sincère quand je te disais que tu n’étais rien qu’à moi. Je ne veux plus te partager.
Il me releva mes jambes, plaça sa queue à l’entrée de mon cul avant d’y avoir mis un peu de salive et commença à la rentrer doucement puis arrivé à la moitié poussa un coup sec ce qui me fit gémir. Il commença ses va et vient doucement tout en se rapprochant de ma bouche pour m’embrasser avec passion. J’étais vraiment à lui, je le voyais dans son regard.
Après quelques minutes, il retira sa bite, se mit assis en me disant de venir s’asseoir à mon tour sur sa queue dressée. Il m’enserra de ses bras en me faisant monter et descendre sur lui et tout ça en me regardant droit dans les yeux. Je crois que c’est la première fois que je fais l’amour comme ça avec passion, tendresse.
Nous fîmes donc l’amour pendant plus de vingt minutes avant qu’il ne se déverse en moi. Nous étions tous les deux en sueurs mais quel plaisir il m’a donné.
J’allais pour me retirer quand il me dit :
Y : Restes dessus. Je veux me sentir encore en toi. Je suis bien là. J’ai l’impression que tu m’appartiens et le fait que mon jus soit en toi me faire dire que tu es à moi.
C’est à ce moment là qu’Antoine entra sans frapper dans notre chambre.
A : Les gars, vous êtes levé ? Ah oui, eh ben vous êtes en rut dis donc.
Y : Putain, dégages et fermes cette porte. On arrive.
A : Ok, ok, t’énerves pas.
Nous nous sommes enfin levés, pris notre petit déjeuner et vers les alentours de 15h, nous partîmes. Les cinq mecs avaient loué un gîte dans le village de mes parents car le mariage se faisait là-bas et de mon côté, Yohan prit le volant et nous sommes repartit.
Arrivé devant chez lui, nous avons encore discuté.
Y : Tu sais (dit-il en me prenant la main), je ne peux pas t’embrasser ici mais j’en crève d’envie. Elle pourrait nous voir.
Moi : Oui, je sais.
Y : J’ai passé une soirée inoubliable et ce matin, je crois avoir été le plus heureux des hommes.
Je ne savais pas quoi répondre, j’étais touché par tout ce qu’il venait de me dire. Nous sortîmes de la voiture, je fis le tour de celle-ci pour prendre sa place au volant tandis qu’il prenait ses affaires dans le coffre. Il vint ensuite jusqu’à la fenêtre côté passager. Il me fit un sourire, me fit un bisou furtif et s’en alla.
Je suis reparti tout déboussoler et sans que je ne sache pourquoi, une larme se mit à couler sur ma joue. J’étais heureux de tout ce qui venait de se passer mais super triste que tout soit terminé aussi vite.
Arrivé, chez moi, je vis un camion de déménagement partir au coin de la rue. Je pris mon courrier et alla ranger toute mes affaires. Que de la pub puis une enveloppe sans adresse mais juste avec mon nom était arrivée. Je l’ouvris et lu la lettre : une photo de moi en tenue d’hôpital était dedans avec écris au marqueur rouge dessus : « je te déteste ». Mais qui peut prendre une photo de moi au boulot. A part mes collègues, je ne vois pas. C’est peut-être une blague qu’une de mes collègues me fait pour mon anniversaire dans un mois. Bref, je ne fais plus cas à cette photo et la jette à la poubelle.
La semaine se passe et chaque jour je reçois un message de Yohan pour me dire que je lui manque. Cela me touche énormément. J’avais pris quelques jours de congés donc je ne travaille pas depuis mercredi.
Mercredi soir je reçois la visite de ma sœur qui me demande s’il m’est possible d’héberger Yohan vendredi soir car elle ne veut pas qu’il la voit dans ses préparations pour sa robe et sa coiffure. Je fais celui qui est un peu blasé et lui dit que c’est compliqué.
Julie : S’il te plaît, je ne vais pas l’envoyer chez les parents quand même ? Tu sais bien à quel point ils peuvent-être pénible ?
Moi : Bon ok, c’est bien parce que c’est toi !
J : Merci, merci beaucoup. Au pire, je lui dis de venir plus tôt dans la journée. Je vais être super stressée et tu sais bien qu’Elodie (une de ses meilleures amies et témoins) va venir à l’appart pour m’aider et je n’ai pas envie de me prendre la tête avec lui pour un oui ou pour un non à cause du stress.
Moi : Je t’ai dit ok.
J : T’es le meilleur !
Moi : Oui je sais…
Elle reste encore une heure à la maison et enfin je me retrouve seul. Je suis le plus heureux en sachant que Yohan va venir et je reçois un message de sa part.
Y : Impatient d’être à vendredi. Je serais là de bonne heure le matin.
Je ne réponds pas et me met à ranger la maison pour bien l’accueillir.
Le jeudi passe rapidement, mais je suis impatient et ne dors pas beaucoup de la nuit. Mais vraiment, qu’est-ce qui m’arrive ? Je n’ai vraiment jamais ressenti ça dans ma vie et pour personne.
Vendredi matin, 8h, j’entends une voiture se garer dans mon aller et mon cœur bat à mille à l’heure. Je le vois sortir de sa voiture, prendre son sac et son costume à l’arrière de sa voiture et se diriger vers l’entrée. Je viens lui ouvrir, il pose ses affaires au sol, sa housse avec son costume sur une chaise à l’entrée et je me jette dans ses bras. Il m’embrasse comme si nous nous étions séparés depuis des mois.
Y : Que c’est bon d’être vers toi.
Moi : Oh que oui.
Y : Je veux profiter d’être avec toi toute la journée et toute la nuit. Je sais que je t’ai dit que ça allait être compliqué après le mariage entre nous mais je crois que je n’en ai pas envie. J’aime ta sœur oui mais je crois que, enfin je veux dire que je ne veux pas terminer notre relation tous les deux. Je suis malheureux à l’intérieur de moi quand je ne te vois pas.
Ma seule réponse fut le baiser que je lui donne à ce moment-là. Ce fut un baiser long, doux et j’avais envie de lui. Je n’ai pas résisté et j’ai commencé à le déshabiller dans l’entrée ce qu’il fit avec moi aussi. Tout en nous embrassant, il me prend la main et m’entraîne dans la chambre.
Nous nous sommes regardés longuement sans un mot tout en nous caressant. C’était juste magique. Pour la première fois, c’est lui qui prit ma queue et me prodigua une pipe. Un peu maladroite au départ mais qu’importe, je le regardais faire et j’étais aux anges. J’avais moi aussi envie de sa queue alors je lui ai dit de se mettre au-dessus de moi pour un bon 69. Il me suçait en en même temps me baisait la bouche en faisant des allers-retours à l’intérieur. De temps en temps, il la laissait bien à fond quelques secondes. Le pied quoi. Il était tellement beau, sexy que je lui dis :
Moi : Je vais jouir, attention à toi.
Il me suçait toujours et je me mis à juter dans sa bouche. Je le regardais et je le vis tout avaler. Je repris sa queue en bouche et il ne tarda pas lui non plus à exploser tout au fond de ma gorge. Son jus était juste divin.
Il se retira, vint vers moi et m’embrassa.
Moi : Tu n’étais pas obligé tu sais ?
Y : J’en crevais d’envie.
Nous nous sommes enlacés et il vint se blottir contre mon torse. Il me caressait le ventre et me je ne pouvais pas voir son visage. Je l’entendis marmonner quelque chose tout doucement mais sans comprendre ce qu’il disait.
Moi : Je n’ai pas entendu, tu me disais quoi ?
Y : Non, rien, t’inquiètes pas ?
Moi : Répètes s’il te plaît. Tu sais que tu peux tout me dire.
Y : Non non,rien.
Moi : Allez, dis-moi ?
Il tourna la tête et me fit un regard triste.
Moi : Qu’est-ce qui se passe ?
Y : Je ne sais pas comment te dire ça ?
Moi : Dis le tout simplement, n’ai pas peur.
Y : Je sais que ça ne fait pas longtemps que je te connais mais je me sens bien à tes côtes.
Moi : Oui tu me l’as déjà dit.
Y : Ce que je veux te dire c’est que je crois que je t’aime.
Moi : Tu sais, je n’ai jamais ressenti ça moi non plus et pour personne. Moi aussi je t’aime.
Y : Le problème, c’est que je ne peux pas faire ça à ta sœur. Je sais que je l’aime aussi mais ce n’est pas le même amour. Je ne peux pas ne pas me marier demain et ça me rends triste cette situation.
Moi : Je sais.
Je l’ai à nouveau embrassé et cette fois-ci il me fit à nouveau l’amour avec passion. Nous sommes restés toute la matinée au lit et une partie de l’après-midi dans les bras l’un de l’autre.
Y : Bon, ce soir, j’ai envie de t’emmener au resto, qu’est-ce que tu en penses ?
Moi : Si tu veux oui.
Y : Tu ne connaîtrais pas à petit resto sympa et discret ?
Moi : Si, je pense que j’en connais un.
Nous nous sommes donc préparés et nous avons passé une super soirée sans penser au mariage demain.
La nuit fut encore torride mais il fallait dormir quand même un peu. Demain à 11h, ce serait le grand jour pour lui et une réelle souffrance pour moi de le voir dire oui à quelqu’un d’autre même si cette personne n’est autre que ma sœur.
Nous nous sommes réveillés vers 7h et il m’a encore fait l’amour comme si c’était la dernière fois. Je l’ai aidé à s’habiller et mon Dieu, qu’il était beau. Nous avons ensuite pris la direction de la mairie avec une boule au ventre.
La cérémonie commença à 11h et le moment fatidique arriva. J’étais juste à ses côtés. Je le voyais sourire. La question fatidique arriva :
Le Maire : Monsieur Charlot Yohan, voulez-vous prendre pour épouse mademoiselle Barbier Julie ici présente ?
Y : Oui, je le veux.
Le Maire : Je vous déclare donc mari et femme.
Je ne pus m’empêcher de pleurer et Julie me vit.
J : Ça va ?
Moi : Oui, je suis heureux pour vous c’est tout.
La main de Yohan se posa sur ma cuisse, il me regarda avec tendresse et un petit clin d’œil. J’ai su à ce même instant que pour lui, c’était moi qu’il aimait.
Fin du chapitre 7.
Nous avons encore bu une autre bouteille, ils m’ont à nouveau baisé et Yohan leur a dit personne ne jute dans son cul car seul lui le pouvait. Ça me plaisait de me dire que je n’étais qu’à lui de cette façon puis vers 4h du matin, nous avons tous regagné nos chambres. Yohan me pris dans ses bras et vint se coucher contre moi. Je me sentais bien enlacé tout son corps contre moi. Je crois que c’est bien la première fois que je me sentais comme ça avec un mec. Le mec de ma sœur. Sa main me caressait doucement et nous nous endormîmes de cette manière.
Vers les alentours de 10h, j’entendais les gars dans la cuisine en train de discuter. Je commençais à me réveiller quand Yohan me resserra dans ses bras. Je me retournais pour le regarder tendrement et il me regardait en me souriant.
Y : Bonjour toi. Tu as bien dormi ? (me dit-il en approchant ses lèvres des miennes pour m’embrasser).
Moi : Pas assez mais j’étais super bien dans tes bras cette nuit. Tu ne m’as pas lâché d’une minute. Tu entends, les autres sont déjà debout, il faudrait peut-être qu’on se lève, tu ne crois pas ?
Y : On a encore le temps, non ? Tu ne dois rendre les clés que vers 15h, il me semble et les mecs sont grands. Ils peuvent se servir un café tous seuls, non ?
Moi : Oui, c’est vrai.
Y : J’ai envie d’être encore un peu vers toi. Après, tu sais que ça va être compliqué au retour et avec le mariage samedi prochain.
Moi : Oui je sais.
Y : Je ne sais pas ce qui se passe mais c’est la première fois que je ressens ça pour un mec. Enfin, je crois que c’est la première fois que je ressens ça pour quelqu’un à vrai dire.
Moi : Et ma sœur ?
Y : Je l’aime oui mais c’est encore différent. Je peux t’avouer quelque chose ? Mais promets-moi de ne rien dire à personne, ok ?
Moi : Oui, dis-moi.
Y : Elle est enceinte de 3 mois.
Moi : Oh mais c’est génial ça. Tu n’as pas l’air content ?
Y : Si si je le suis énormément mais maintenant que je te connais, j’ai l’impression de faire une grave erreur.
Moi : Ne dis pas ça, je suis sûr que tu seras un papa formidable.
Pour seule réponse, il me resserra encore plus fort dans ses bras tout à m’embrassant.
Y : Il faut que je te dise encore quelque chose.
Moi : Oui, je t’écoute.
Y : J’ai envie de toi là tout de suite.
Moi : C’est bien ce que je ressentais entre tes jambes (dis-je en rigolant).
Il se mit à rire aussi et commença à me caresser les fesses. Il se mit ensuite sur le dos et m’attrapa par la taille pour que je vienne m’asseoir sur lui.
Y : T’es beau tu sais ?
Je lui souris puis, vint l’embrasser dans le coup, sur le torse, lui mordit les tétons ce qui le fit grogner, puis vers son nombril. Je pris sa belle tige entre les mains et commença un doux va et vient dessus. J’approche ma bouche de son gland puis le pris en bouche. Il laissa sa tête retomber sur l’oreiller pendant que je lui gobais sa queue avec gourmandise.
Au bout de cinq minutes de cette pipe intense, il attrapa ma taille, se releva puis me mis à mon tour sur le dos.
Y : Je veux te voir pendant que je te fais l’amour. Et hier, j’étais sincère quand je te disais que tu n’étais rien qu’à moi. Je ne veux plus te partager.
Il me releva mes jambes, plaça sa queue à l’entrée de mon cul avant d’y avoir mis un peu de salive et commença à la rentrer doucement puis arrivé à la moitié poussa un coup sec ce qui me fit gémir. Il commença ses va et vient doucement tout en se rapprochant de ma bouche pour m’embrasser avec passion. J’étais vraiment à lui, je le voyais dans son regard.
Après quelques minutes, il retira sa bite, se mit assis en me disant de venir s’asseoir à mon tour sur sa queue dressée. Il m’enserra de ses bras en me faisant monter et descendre sur lui et tout ça en me regardant droit dans les yeux. Je crois que c’est la première fois que je fais l’amour comme ça avec passion, tendresse.
Nous fîmes donc l’amour pendant plus de vingt minutes avant qu’il ne se déverse en moi. Nous étions tous les deux en sueurs mais quel plaisir il m’a donné.
J’allais pour me retirer quand il me dit :
Y : Restes dessus. Je veux me sentir encore en toi. Je suis bien là. J’ai l’impression que tu m’appartiens et le fait que mon jus soit en toi me faire dire que tu es à moi.
C’est à ce moment là qu’Antoine entra sans frapper dans notre chambre.
A : Les gars, vous êtes levé ? Ah oui, eh ben vous êtes en rut dis donc.
Y : Putain, dégages et fermes cette porte. On arrive.
A : Ok, ok, t’énerves pas.
Nous nous sommes enfin levés, pris notre petit déjeuner et vers les alentours de 15h, nous partîmes. Les cinq mecs avaient loué un gîte dans le village de mes parents car le mariage se faisait là-bas et de mon côté, Yohan prit le volant et nous sommes repartit.
Arrivé devant chez lui, nous avons encore discuté.
Y : Tu sais (dit-il en me prenant la main), je ne peux pas t’embrasser ici mais j’en crève d’envie. Elle pourrait nous voir.
Moi : Oui, je sais.
Y : J’ai passé une soirée inoubliable et ce matin, je crois avoir été le plus heureux des hommes.
Je ne savais pas quoi répondre, j’étais touché par tout ce qu’il venait de me dire. Nous sortîmes de la voiture, je fis le tour de celle-ci pour prendre sa place au volant tandis qu’il prenait ses affaires dans le coffre. Il vint ensuite jusqu’à la fenêtre côté passager. Il me fit un sourire, me fit un bisou furtif et s’en alla.
Je suis reparti tout déboussoler et sans que je ne sache pourquoi, une larme se mit à couler sur ma joue. J’étais heureux de tout ce qui venait de se passer mais super triste que tout soit terminé aussi vite.
Arrivé, chez moi, je vis un camion de déménagement partir au coin de la rue. Je pris mon courrier et alla ranger toute mes affaires. Que de la pub puis une enveloppe sans adresse mais juste avec mon nom était arrivée. Je l’ouvris et lu la lettre : une photo de moi en tenue d’hôpital était dedans avec écris au marqueur rouge dessus : « je te déteste ». Mais qui peut prendre une photo de moi au boulot. A part mes collègues, je ne vois pas. C’est peut-être une blague qu’une de mes collègues me fait pour mon anniversaire dans un mois. Bref, je ne fais plus cas à cette photo et la jette à la poubelle.
La semaine se passe et chaque jour je reçois un message de Yohan pour me dire que je lui manque. Cela me touche énormément. J’avais pris quelques jours de congés donc je ne travaille pas depuis mercredi.
Mercredi soir je reçois la visite de ma sœur qui me demande s’il m’est possible d’héberger Yohan vendredi soir car elle ne veut pas qu’il la voit dans ses préparations pour sa robe et sa coiffure. Je fais celui qui est un peu blasé et lui dit que c’est compliqué.
Julie : S’il te plaît, je ne vais pas l’envoyer chez les parents quand même ? Tu sais bien à quel point ils peuvent-être pénible ?
Moi : Bon ok, c’est bien parce que c’est toi !
J : Merci, merci beaucoup. Au pire, je lui dis de venir plus tôt dans la journée. Je vais être super stressée et tu sais bien qu’Elodie (une de ses meilleures amies et témoins) va venir à l’appart pour m’aider et je n’ai pas envie de me prendre la tête avec lui pour un oui ou pour un non à cause du stress.
Moi : Je t’ai dit ok.
J : T’es le meilleur !
Moi : Oui je sais…
Elle reste encore une heure à la maison et enfin je me retrouve seul. Je suis le plus heureux en sachant que Yohan va venir et je reçois un message de sa part.
Y : Impatient d’être à vendredi. Je serais là de bonne heure le matin.
Je ne réponds pas et me met à ranger la maison pour bien l’accueillir.
Le jeudi passe rapidement, mais je suis impatient et ne dors pas beaucoup de la nuit. Mais vraiment, qu’est-ce qui m’arrive ? Je n’ai vraiment jamais ressenti ça dans ma vie et pour personne.
Vendredi matin, 8h, j’entends une voiture se garer dans mon aller et mon cœur bat à mille à l’heure. Je le vois sortir de sa voiture, prendre son sac et son costume à l’arrière de sa voiture et se diriger vers l’entrée. Je viens lui ouvrir, il pose ses affaires au sol, sa housse avec son costume sur une chaise à l’entrée et je me jette dans ses bras. Il m’embrasse comme si nous nous étions séparés depuis des mois.
Y : Que c’est bon d’être vers toi.
Moi : Oh que oui.
Y : Je veux profiter d’être avec toi toute la journée et toute la nuit. Je sais que je t’ai dit que ça allait être compliqué après le mariage entre nous mais je crois que je n’en ai pas envie. J’aime ta sœur oui mais je crois que, enfin je veux dire que je ne veux pas terminer notre relation tous les deux. Je suis malheureux à l’intérieur de moi quand je ne te vois pas.
Ma seule réponse fut le baiser que je lui donne à ce moment-là. Ce fut un baiser long, doux et j’avais envie de lui. Je n’ai pas résisté et j’ai commencé à le déshabiller dans l’entrée ce qu’il fit avec moi aussi. Tout en nous embrassant, il me prend la main et m’entraîne dans la chambre.
Nous nous sommes regardés longuement sans un mot tout en nous caressant. C’était juste magique. Pour la première fois, c’est lui qui prit ma queue et me prodigua une pipe. Un peu maladroite au départ mais qu’importe, je le regardais faire et j’étais aux anges. J’avais moi aussi envie de sa queue alors je lui ai dit de se mettre au-dessus de moi pour un bon 69. Il me suçait en en même temps me baisait la bouche en faisant des allers-retours à l’intérieur. De temps en temps, il la laissait bien à fond quelques secondes. Le pied quoi. Il était tellement beau, sexy que je lui dis :
Moi : Je vais jouir, attention à toi.
Il me suçait toujours et je me mis à juter dans sa bouche. Je le regardais et je le vis tout avaler. Je repris sa queue en bouche et il ne tarda pas lui non plus à exploser tout au fond de ma gorge. Son jus était juste divin.
Il se retira, vint vers moi et m’embrassa.
Moi : Tu n’étais pas obligé tu sais ?
Y : J’en crevais d’envie.
Nous nous sommes enlacés et il vint se blottir contre mon torse. Il me caressait le ventre et me je ne pouvais pas voir son visage. Je l’entendis marmonner quelque chose tout doucement mais sans comprendre ce qu’il disait.
Moi : Je n’ai pas entendu, tu me disais quoi ?
Y : Non, rien, t’inquiètes pas ?
Moi : Répètes s’il te plaît. Tu sais que tu peux tout me dire.
Y : Non non,rien.
Moi : Allez, dis-moi ?
Il tourna la tête et me fit un regard triste.
Moi : Qu’est-ce qui se passe ?
Y : Je ne sais pas comment te dire ça ?
Moi : Dis le tout simplement, n’ai pas peur.
Y : Je sais que ça ne fait pas longtemps que je te connais mais je me sens bien à tes côtes.
Moi : Oui tu me l’as déjà dit.
Y : Ce que je veux te dire c’est que je crois que je t’aime.
Moi : Tu sais, je n’ai jamais ressenti ça moi non plus et pour personne. Moi aussi je t’aime.
Y : Le problème, c’est que je ne peux pas faire ça à ta sœur. Je sais que je l’aime aussi mais ce n’est pas le même amour. Je ne peux pas ne pas me marier demain et ça me rends triste cette situation.
Moi : Je sais.
Je l’ai à nouveau embrassé et cette fois-ci il me fit à nouveau l’amour avec passion. Nous sommes restés toute la matinée au lit et une partie de l’après-midi dans les bras l’un de l’autre.
Y : Bon, ce soir, j’ai envie de t’emmener au resto, qu’est-ce que tu en penses ?
Moi : Si tu veux oui.
Y : Tu ne connaîtrais pas à petit resto sympa et discret ?
Moi : Si, je pense que j’en connais un.
Nous nous sommes donc préparés et nous avons passé une super soirée sans penser au mariage demain.
La nuit fut encore torride mais il fallait dormir quand même un peu. Demain à 11h, ce serait le grand jour pour lui et une réelle souffrance pour moi de le voir dire oui à quelqu’un d’autre même si cette personne n’est autre que ma sœur.
Nous nous sommes réveillés vers 7h et il m’a encore fait l’amour comme si c’était la dernière fois. Je l’ai aidé à s’habiller et mon Dieu, qu’il était beau. Nous avons ensuite pris la direction de la mairie avec une boule au ventre.
La cérémonie commença à 11h et le moment fatidique arriva. J’étais juste à ses côtés. Je le voyais sourire. La question fatidique arriva :
Le Maire : Monsieur Charlot Yohan, voulez-vous prendre pour épouse mademoiselle Barbier Julie ici présente ?
Y : Oui, je le veux.
Le Maire : Je vous déclare donc mari et femme.
Je ne pus m’empêcher de pleurer et Julie me vit.
J : Ça va ?
Moi : Oui, je suis heureux pour vous c’est tout.
La main de Yohan se posa sur ma cuisse, il me regarda avec tendresse et un petit clin d’œil. J’ai su à ce même instant que pour lui, c’était moi qu’il aimait.
Fin du chapitre 7.
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