Le mariage de ma petite soeur Julie (9) - histoire érotique

Chapitre 9

Je suis donc monté dans ma voiture et il me regarda partir en me faisant un geste de la main. Une fois garé dans mon allée, je me suis mis à chercher mes clés et lorsque je suis arrivé devant ma porte, celle-ci n’était pas fermée à clé. J’ai de l’oublié de la fermer en partant.
Je rentre donc dans la maison et me déshabille pour me mettre au lit. J’ai juste entendu un pétard et je me suis retourné. En me retournant, j’ai senti une douleur dans le ventre et je me suis écroulé.

Une semaine plus tard…

J’ai la bouche toute pâteuse et je me réveille avec des douleurs partout. Lorsque j’ouvre les yeux, je vois ma sœur, mes parents et Yohan qui se trouve dans le fond de la pièce. Il me regarde et son sourire me soulage un peu.
Ma mère sort de la pièce en courant et revient quelques secondes plus tard accompagnée d’une femme en blouse blanche. Celle-ci demande à ma famille de sortir quelques instants.

Médecin : Bonjour monsieur Barbier ? Comment vous sentez-vous ?
Moi : J’ai mal partout, mais qu’est-ce que je fais là ?
Médecin : Vous avez été emmener au CHU en toute urgence car quelqu’un vous a tiré dessus.

Le médecin m’explique plus en détail tout ce qu’ils ont dû faire pour me remettre sur pied et m’explique aussi que la convalescence va prendre un peu de temps et qu’il me faudra une personne à mes côtés. Elle repart ensuite de la chambre en laissant rentrer tout le monde.
Ma mère et ma sœur pleure car elles pensaient que c’était la fin, mon père faisait des allers retours dans la chambre mais seul Yohan se mit près de moi et me fit un grand sourire en chuchotant tout doucement : « Je t’aime et je savais que tu allais bien ». Je lui rendis son sourire et lui dit doucement que moi aussi je l’aimais.
Au bout d’une heure mes parents sont repartis ainsi que ma sœur et Yohan. J’étais encore très fatigué et je me suis rendormi.

Quelques semaines plus tard, les médecins m’autorisaient à rentrer seulement si quelqu’un pouvait être avec moi durant quelques jours.
Mes parents me demandèrent de venir chez eux mais je refusais totalement car je savais que la cohabitation allait être très difficile. Ma sœur ne pouvait pas m’accueillir car ils n’ont pas de place dans leur petit appartement. Yohan se proposa de venir quelques jours car comme il est prof de français dans un lycée du coin, il est en vacances vu que nous sommes en plein mois de juillet.
Ma sœur était ravie et lui demandait si ça ne le dérangeait pas ce qu’il répondit par la négative. Au fond de moi, j’étais aux anges avec le cœur qui palpitait rien qu’à l’idée que nous ne soyons que tous les deux. Le médecin avertit, Yohan viendrait me chercher le lendemain matin.
Cette nuit là fut très compliquée. Je me suis mis à rêver que j’étais seul à la maison sur le sol et que quelqu’un me parlait. Je n’arrivais pas à distinguer son visage mais cette odeur de bois me rappelait quelque chose. Je me suis réveillé en sursaut tout en sueur. J’ai regardé l’heure et il était 5h du matin. Encore 4h a attendre avant que mon bel apollon vienne me chercher et je peux vous dire que le temps était long.
9h pile, Yohan était déjà là. Il rentra dans la chambre, ferma la porte et vint me prendre tendrement et doucement dans ses bras et m’embrassa.

Moi : Bonjour toi.
Y : Bonjour mon petit Cœur. Alors, content de passer quelques jours avec moi ?
Moi : Oh que oui et j’ai hâte de partir d’ici.
Y : Tu m’étonnes. Tu vas voir, je vais prendre soin de toi. Tu n’auras rien à faire. Je suis même déjà aller nettoyer chez toi avant ton retour.

Il prit mes affaires, puis nous sommes partit signer tous les formulaires de départ et nous avons pris la route. Durant tout le trajet, personne n’a parlé. Il avait juste posé sa main sur ma cuisse.
Nous sommes enfin arrivés et il vint m’ouvrir la porte et m’aida à sortir de la voiture en me soutenant.

Y : Je t’ai préparé un bon transat dans le jardin pour te reposer. Je t’aide à t’y installer et je nous apporte de quoi boire. Ok ?
Moi : Bien chef.

Lorsqu’il revint près de moi avec deux boissons fraîches, il m’avoua qu’il avait eu peur de me perdre définitivement et qu’il n’aurait pas put s’en remettre. Je lui dis de s’approcher pour que je l’embrasse.
Nous avons passé toute la journée à discuter, à s’embrasser. Mais j’avais envie de lui mais c’était un peu compliqué de trop bouger.
Vers 21H, nous sommes allés nous mettre dans le lit pour regarder un film. Il s’est entièrement déshabillé puis est venu faire de même pour moi. Nous nous sommes allongés dans le lit et j’ai posé ma tête contre le haut de son torse. Il faisait chaud ce soir là et nous n’avions que le drap pour nous couvrir. Tout en regardant le film, il avait sa main autour de ma taille et avec la mienne, je lui caressais le torse légèrement poilu mais bien entretenu. Je passais de temps en temps sur ses tétons puis sur le bas de son ventre. Je voulais voir s’il était réceptif à mon envie alors je continuais à le caresser et arrivé au niveau de ses tétons, je commençais à les pincer tout doucement. Je ne voyais pas son visage mais je l’entendais soupirer doucement. Je voyais une bosse à se former sous le drap au niveau de sa queue. J’ai tourné un peu ma tête pour pouvoir atteindre son téton avec ma langue puis avec ma main, j’ai soulevé le drap. Sa queue était totalement dure. Je la pris en main et commença à la branler tout doucement.

Y : Hummmm, oui c’est bon, tu fais ça bien.
Moi : J’ai envie de toi.
Y : Moi aussi mais je ne veux pas te faire mal.
Moi : On essaie et si ça ne va pas, je te le dis ok ?
Y : Ok mon petit Cœur.

Je me suis donc allongé un peu plus pour pouvoir atteindre sa queue avec ma bouche ce qui lui provoqua un gémissant un peu plus fort. Ma langue allait de haut en bas puis je gobais ses couilles bien lisses. Je pris enfin à pleine bouche sa bite qui devint encore plus dure dans ma bouche. Mais quel délice… Je m’appliquais à lui faire le plus de bien possible. Avec sa main autour de moi, il commençait à descendre vers mon petit trou en le titillant. Il l’enduisit de salive et commença à me mettre un doigt qu’il faisait aller et venir à sa guise. Un deuxième puis un troisième.

Y : J’ai envie de ton cul mais j’ai peur de te faire mal.
Moi : Je vais me mettre sur le côté et on verra si ça va.

Une fois sur le côté, il m’embrassa dans le cou, me caressait le torse, la queue, et commença à placer son gland contre ma rosette déjà bien dilatée grâce à ses doigts et la transpiration. Il n’eut pas de mal à la mettre toute en entière d’un coup mais sans être brutal. Il faisait des allers retours doucement et je sentais ses couilles contre mon cul. Je gémissais en lui disant d’y aller un peu plus vite. J’étais en transe. Il me faisait l’amour comme si c’était la première fois.

Y : Je vais bientôt jouir.
Moi : Donnes-moi tout en bouche.

Je me remis en position assise puis il vint se mettre debout devant moi. J’ouvris la bouche et lui pris sa queue bien en fond de gorge. Il poussa un cri bestial et j’avalais tout son foutre au fur et à mesure que son jus sortait de sa verge. Je pense avoir compter au moins huit bons gros jets bien crémeux et deux plus petits. Je le suçais pour n’en perdre aucune goutte. Tout en le suçant, je me branlais puis éjacula sur mon ventre. Mon Dieu que son sperme est un délice. Je le regardais droit dans les yeux car il était toujours debout avec sa queue et ses couilles pendantes devant moi. Il me dit un grand sourire, pris sa queue et me biffla sur chaque joue.

Y : Je te baptise mon fils.

Nous sommes partis dans un fou rire et il est venu s’allonger sur mes cuisses. Je lui ai caresser les cheveux et le visage. Je le trouve terriblement beau et sexy. Il attrapa son caleçon et essuya tout mon jus sur mon ventre.

Moi : Je t’aime.

Il me rendit son sourire et me dit qu’il m’aimait aussi plus que tout.
Nous nous sommes endormis, ma tête sur sa poitrine et lui m’enserrant de ses bras musclés. Qu’est-ce que j’étais bien et en sécurité avec lui.
Durant la nuit encore ce cauchemar : Un homme se trouvait debout devant moi et toujours cette odeur de bois. Puis j’ai vu ses yeux. Des yeux d’un bleu perçant mais très glaçant. Je sentis tout à coup des secousses et ouvris les yeux.

Y : Ça va ? Tu es tout en sueur et tu gémissais comme si tu avais peur de quelque chose.
Moi : J’ai encore fait un cauchemar sur la nuit où je me suis fait agresser. Je vois un homme mais je n’arrive pas à le reconnaître.
Y : Merde. Je peux faire quelque chose ?
Moi : Non, non rien mais ça me fou la trouille.
Y : Je suis là tu sais ?
Moi : Je sais oui. Il est quelle heure au fait ?
Y : Il est 7h30. Tu veux te lever ?
Moi : Oui.

Il m’aida à me lever, enfiler un caleçon ainsi que lui puis nous nous sommes dirigés vers la cuisine. Il me prépara un petit déjeuner et nous sommes ensuite allés nous doucher.
Il me savonnait le dos et prit ma queue en main. Il commençait par me branler tout doucement. L’eau de la douche fit partir tout le savon et il se mit à genoux devant moi.

Y : J’ai envie de te sucer. Je ne l’ai encore jamais fait mais avec toi je suis prêt à tout.

Je n’ai eu le temps de ne rien dire qu’il avait déjà ma queue en bouche. Il était un peu maladroit mais j’ai adoré ça. Il me regardait en me suçant. Il n’a pas fallu bien longtemps pour que la sauce monte. Deux jets de mon jus est parti sur son menton et ses cheveux et il prit ensuite ma bite en bouche pour recevoir tout le reste. Il s’est relevé, m’a regardé et je l’ai embrassé à pleine bouche.
Nous avons fini de prendre notre douche ensemble et nous sommes retourné prendre un café. C’est à ce moment là que la sonnette d’entrée retentit.

Y : Tu attendais quelqu’un ?
Moi : Non, personne.

Yohan se leva et alla ouvrir la porte. Il revint accompagné de deux gendarmes. Le plus âgé, dans la quarantaine, plutôt bien charpenté, brun, yeux marrons, dans les 1m90 et le plus jeune dans les 25 ans, plutôt fin mais bien taillé, blond aux yeux verts, 1m75 environ. Il se présentèrent : le plus âgé était le commandant Lenoir et le plus jeune était le sergent Mercier.

Moi : Bonjour, que puis-je pour vous ?
C. L : Bonjour, je suis désolé de vous déranger à cette heure-ci de la matinée mais nous venons au sujet de votre agression pour que vous puissiez nous dire tout ce que vous vous souvenez de cette nuit-là.

Je leur racontais donc tout ce que je savais et ce dont je me souvenais sans parler de mes rêves. Ils sont restés une bonne heure à m’écouter et prendre des notes.
Quand nous eûmes terminés, Yohan leur proposa un café qu’ils acceptèrent. Le commandant m’expliqua qu’il n’avait trouvé aucune preuve, aucune emprunte ou aucun indice dans la maison. Il ne fallait pas que je reste seul pour le moment et que de toute façon, une patrouille passerait régulièrement. Le jeune sergent ne disait rien et nous dévisageait Yohan et moi. Yohan me tenait la main lors de tous ces échanges et je crois que ce jeune sergent était surpris. Il était plutôt mignon je dois dire.
Lorsqu’ils eurent terminé, ils nous saluèrent et Yohan les raccompagna jusqu’à la porte.

Y : Ça va mon cœur ? Tu es tout pâle ?
Moi : Oui, c’est juste que j’aimerai oublier tout ça.
Y : Je sais.

Il me prit dans ses bras et c’est là que j’ai vu un téléphone sur le fauteuil où se trouvait le petit sergent. J’en fit part à Yohan qui appela le commissariat pour les prévenir. Une personne lui dit qu’il allait transmettre le message.

La journée passa très vite. Yohan nous prépara un petit repas tandis que je profitais du soleil. Nous sommes allés marcher un peu vers la Citadelle et sommes rentrés à la maison car j’étais fatigué.
Vers les alentours de 19h, quelqu’un frappa à la porte. C’était le jeune sergent en tenue de civil cette fois-ci.

S. M : Re-bonjour, je suis vraiment confus de vous déranger mais je crois avoir laissé mon téléphone chez vous ce matin ?
Moi : Oui, je l’ai mis de côté justement.
S. M : Merci beaucoup. Je parie que m’a copine va piquer une crise parce que je n’ai pas envoyé un seul message de la journée.
Moi : (avec un petit sourire en coin) Oh, elle devrait bien comprendre non ?
S. M : Disons que c’est compliqué. Elle est très jalouse.
Moi : Je peux comprendre.
Y : Vous n’êtes plus en service ? Vous voulez boire un verre avec nous ?
S. M : Je ne sais pas si je peux et je ne voudrais pas vous déranger.
Moi : Mais vous ne nous dérangé pas, bien au contraire.
S. M : Alors ok.

Yohan partit prendre des verres et une bouteille de vin blanc pour nous et une bière pour le jeune sergent qui nous demanda de lui dire tu et de l’appeler par son prénom : Charly. Nous avons discuté de tout et de rien et les verres s’enchaînaient ainsi que les bières. Au bout de cinq bières, je ne pouvais pas laisser notre invité repartir comme ça. Je lui ai donc proposé la chambre d’ami. Il ne fut pas très difficile de le convaincre. Par contre, lorsqu’il a appelé sa copine, ce fut une autre affaire.

C : Et ça fait longtemps que vous êtes ensemble ?

Je ne savais pas quoi répondre donc nous n’avons rien dit juste que cela était assez récent. Il n’arrêtait pas de nous dévisager et de nous poser des questions sur notre relation. Très vite, nous avons commencé à parler de sexe. Il devenait de plus en plus curieux. Vers minuit, Yohan lui montra sa chambre qui se trouvait en face de la mienne et nous partîmes nous couchés.
Nous nous sommes embrassés et j’ai commencé par caresser le sexe bien dur de mon amant. Mais au bout de dix minutes, Yohan me demanda d’arrêter et remis le drap sur nos corps nu. Charly était là, à l’entrée de notre chambre et nous regardait avec un air songeur.

Y : Merde, qu’est-ce que tu fous là ?
C : Désolé j’ai entendu du bruit et ma curiosité à pris le dessus.

Puis il est reparti dans sa chambre. Je fis un clin d’œil à Yohan et celui-ci me comprit sans ne rien dire. Il se leva et alla dans la chambre d’en face nu et en érection.
Ils revinrent tous les deux et Charly ne pouvait s’empêcher de regarder la bite de mon homme.

Y : Tu veux toucher ?
C : Je… non, je suis juste curieux. Je voulais juste vous voir.
Y : Ok comme tu voudras.

Yohan revint à mes côtés en restant debout la queue devant mon visage et je repris ma pipe. Il me baisait la bouche et je jonglais du regard en lui et notre invité qui avait la bouche grande ouverte et s’était rapproché. Je commençais à voir le chapiteau sous le boxer de Charly. Tout en suçant Yohan, j’attrapais le boxer de Charly et lui baissa jusqu’au genoux. Il mit ses deux mains devant sa bite mais il ne pouvait pas cacher sa queue (18x6) toute épilée avec de grosses couilles comme je les aime. J’attrapais donc sa queue puis vint la mettre dans ma bouche. Yohan se recula et nous regarda puis pris son téléphone et nous filma. J’entrepris de le sucer comme il se doit en lui malaxant les couilles et en lui prodiguant de bonnes gorges profondes. Pendant ce temps, Yohan était parti embrasser notre jeune gendarme qui au bout d’une dizaine de minutes éjacula dans ma bouche. Il ne put crier son plaisir car Yohan lui roulait un patin monstrueux. Lorsqu’il eut fini de jouir, il se recula, remonta son boxer et reparti en courant dans sa chambre.

Y : Il était rapide, le petit, non ?
Moi : Pas grave, ça doit-être sa première fois.
Y : Et moi, tu ne me finis pas, je suis jaloux (me dit-il en me narguant avec son gland près de mes lèvres).

J’ouvris la bouche et il me la baisa. Il ne fut pas long à venir vu qu’il avait été bien excité de la scène qu’il avait filmé juste avant. Je bu tout son jus sans en oublier. Il vint ensuite vers moi et me branla jusqu’à ce que je jouisse dans ses mains qu’il lécha. Nous sous sommes enfin endormis et cette fois-ci sans rêves.
Le lendemain matin, j’ouvris les yeux et Yohan dormait profondément. Je le regardais dormir quand je sentis une présence dans mon dos. Lorsque je me suis retourné, je me suis retrouvé avec….

Fin du chapitre 9.