LE MARIN. Et les pics assiettes. (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. Et les pics assiettes. (3/4)
Après avoir soûlé l’homme qui jouait les pics assiette avec sa femme, Robert mon cousin pompier et moi Marin en permission sommes en train de le punir par l’intermédiaire de sa femme Espoir à qui nous avons fait l’amour pendant qu’il est retourné travailler en Espagne où il conduit un chantier de construction.
Actuellement, nous descendons dans le métro alors qu’elle a simplement sur son dos un imperméable avec des talons hauts.
D’une manière sous-jacente, je ressens qu’elle est aussi soumise à son homme qu’elle l’est avec nous après qu’elle nous est expliquée, comment elle l’a connu et comment il l’a entraîné à devenir des pics assiettes.
Elvis hormis le fait qu’il prend son pied à gruger ses interlocuteurs adore l’exhiber près d’autres hommes plus puissants que lui.
À la longue, elle-même y a pris goût, car chaque fois qu’il lui dit savoir la date d’une soirée, elle aime à aller dans les réserves de vêtements des studios de Boulogne-Billancourt où elle a une amie qui discrètement lui prête ce qu’elle veut pour le week-end comme vêtements.
Nous prenons le métro station porte de Saint-Cloud, Robert connaît le parcours qu’il souhaite nous faire prendre.
Dès que nous entrons dans la rame, la foule à cette heure est clairsemée et nous plaçons Espoir, debout à une barre où il y a déjà deux hommes. Nous rejoignons la barre d’après et nous observons le trouble qui semble gagner la petite de ce savoir offerte à nos regards et surtout au regard des autres.
À Michel ange Auteuil station croisant une autre ligne, peu de monde quitte la rame et un grand nombre de passagers montent.
L’un des deux hommes déjà là se déplace légèrement près des fesses de notre amie comme si la foule l’en obligeait.
À quatre mètres de là, nous sommes mal placés pour voir ce qui se passe surtout au bas des corps, mais la rougeur qui monte à ses joues nous confirme que l’homme doit agir vers son intimité.
Nous voyons notre copine porter la main à son revers d’imper et lorsque le métro s’arrête, nous entendons un cri. L’homme descend précipitamment portant sa main vers son intimité.
Je vois Espoir rattacher un bouton de son imper qui semble, c’être malencontreusement ouvert.
En même temps, elle replace ce qu’elle a pris dans le revers de son imper.
Bizarrement un certain vide, c’est fait autour d’elle. Avant que mon cousin ne s’aperçoive de mon mouvement, je la rejoins me place comme l’homme derrière elle et la colle contre la barre.
Nous nous arrêtons à une station et le wagon se remplit. Je passe ma main par-devant et j’ouvre le bouton qu’elle vient de remettre.
Je trouve sa chatte qui aime me recevoir et je peux constater que toutes ces péripéties l’ont fait énormément mouiller.
Je relèverai bien son imper pour lui caresser les fesses, mais nous arrivons à la station Miromesnil où nous devons descendre pour un changement.
Dans le couloir qui même à l’autre quai, elle nous montre la petite aiguille qu’elle porte toujours sur elle dans le métro comme sa mère lui a appris à le faire des années plus tôt lorsqu’elle est entrée à la faculté de Nanterre après son bac.
Station Pigalle, nous descendons semblant être arrivés au terme de notre parcours en métro.
Sur le trottoir de gauche du Boulevard de Rochechouart Robert s’arrête et demande à notre soumise de remonter le boulevard, jusqu’à ce qu’elle nous rejoigne.
Il l’oblige à attendre cinq minutes montre en main avant de se mettre en marche.
Nous parcourons environ vingt mètres rapidement et grâce à une camionnette qui nous cache, nous la voyons attendre semblant un tantinet anxieuse.
Robert me demande de redescendre la contre-allée pour la rejoindre sans qu’elle me voie et de la suivre par l’arrière.
Pendant l’attente, elle est devant une boutique de sous-vêtements coquins.
Elle regarde sa montre et sans me voir malgré ma tenue placée derrière un arbre faisant celui qui lasse une chaussure, je la vois remonter le trottoir.
À cinq mètres, je la suis, mais à aucun moment elle ne tourne la tête.
D’un pas rapide, elle avance comme lui a demandé Robert.
Un moment un grand homme de couleur l’aborde. Il est sympa le cousin, je me vois obligé de me colleter le monsieur s’il devient entreprenant avec notre copine.
Heureusement, il décroche et nous poursuivrons notre chemin sans voir le képi du pompier.
Nous venons de passer le Moulin Rouge et nous attaquons les boîtes à strips.
Dès la première l’aboyeur propose à Espoir de venir s’exhiber, car il lui dit qu’elle est canon. Vu la boîte j’aurai dit bandante.
Voyant qu’elle reste la tête droite dans le sens de sa marche je me suis rapproché et je peux entendre ce qu’il a dit.
Elle passe faisant celle qui a un autre but que la proposition du portier.
Arrivé à sa hauteur, il me propose au marin de venir voir son spectacle le meilleur de Pigalle avec les plus belles filles du monde, je dois décrocher de dix mètres de peur qu’elle s’aperçoive que je suis derrière si elle entend parler de Marin.
Je repère le képi de Robert en même temps que je voie Espoir discuter avec mon cousin et un homme qui semble être le rabatteur de la boîte devant laquelle elle est arrivée.
J’arrive à leur hauteur et Robert me présente le patron de la boîte devant laquelle on est.
Ils se connaissent, car c’est le secteur dans lequel mon cousin fait les inspections réglementaires avant ouverture ou rénovation, ce qui a été le cas, il y a un mois ici.
Robert en faisant attendre les petites cinq minutes a eu le temps de parler au patron de ce qu’il attend de lui et il nous fait entrer par la porte sur le côté des artistes.
J’ignore ce qu’ils ont fomenté, mon cousin refusant de me dire où est parti Espoir qui a suivi le patron.
L’homme ressort et nous invite à le suivre, derrière le rideau dans la salle plongée dans la pénombre.
Ils nous installent à une table et après qu’il eut fait un geste à la serveuse, une bouteille de champagne arrive sur notre table.
En pleine lumière, une effeuilleuse monte sur la petite scène et agrippe la barre.
Le peu de vêtements qu’elle porte s’envolent un à un et terminent les seins dénudés et la chatte simplement recouverte avec un carré de feutre noir qui cache le minimum sauf ses grandes lèvres qui semblent bien développer.
C’est le moment où la musique s’arrête que la lumière s’éteint et qu’une voix nous demande d’applaudir.
C’était Tania jolie fille originaire de Budapest où elle a travaillé dans les plus grands cabarets recommencés à l’applaudir.
Un temps d’arrêt toujours dans le noir.
La même voie nous annonce.
Venu des États-Unis pour votre plus grand plaisir la merveilleuse, la pulpeuse Alexandra.
La lumière s’allume et je suis presque déçu de voir sur la scène une rousse filiforme qui doit mesurer une tête de plus que moi. Je suis déçu, car j’avais cru qu’Espoir allait venir sur scène.
Nous trinquons ensemble pendant le numéro de miss Amérique qui est peut-être née au fin fond de la Creuse, mais elle est tellement pro qu’elle sait nous faire bander.
Le marin et le pompier semblent être son centre d’intérêt jusqu’au moment où elle descend de la scène vient s’asseoir sur ma tige, car je bande comme un taureau.
Ce doit être une ancienne dans la boîte pour venir au contact avec le public chose que les filles évitent de faire, car les mœurs sont très strictes avec les boîtes à strip et les maisons de passes.
Au moment de remonter sur scène, elle fait le geste interdit, elle me prend mon bachi, le pose sur sa tête avant de s’en servir chaque fois qu’elle enlève une partie de son vêtement pour cacher soit un sein soit l’autre, devant ses yeux pour nous regarder d’un air coquin en le déplaçant à droite puis à gauche et pour finir par le plaquer devant sa chatte ayant enlevé son string qu’elle balance vers moi.
Je pense qu’elle va en rester là lorsqu’elle place rapidement sa main et arrache son carré noir qu’elle jette derrière elle.
Les clients sont debout à l’applaudir lorsque la lumière va s’éteindre d’où je suis placé, elle fait bouger mon bachi et j’ai le temps de voir une belle touffe aussi rousse que sa chevelure.
Comme pour Tania miss Amérique a droit à des applaudissements très nourris.
Lumière éteinte la voix reprend.
Venue spécialement pour nous d’une banlieue huppée de Paris spécialement pour vous voici Débora.
D’un pas hésitant Espoir entre sur scène.
Ils l’ont fringué comme une vraie pute avec un maquillage outrancier.
Est-ce pour la rassurer, mais ils lui ont laissé son imper.
Elle se trémousse de droite et de gauche parfaitement ridicule au point que des clients la sifflent. Elle est à deux doigts des larmes lorsque j’applaudis suivi par Robert qui entraîne la salle et galvanise notre jolie poupée qui s’enhardit.
Pour une première fois, le patron a évité qu’elle se serve de la barre en plaçant une chaise sur la scène.
Elle découvre une épaule puis l’autre, jusqu’à faire tomber son imper, nous faisant découvrir son corps presque parfait.
Je dis presque parfait pour éviter d’être targué de chauvinisme.
Elle s’assoit et sur un coup plus fort de la batterie, elle écarte largement ses jambes.
Les mêmes tables qui sifflaient commencent à applaudir. Espoir est plus dans le rythme de la musique en se trémoussant assise frottant ses fesses que je sais mutines et bien fermes sur le velours.
Tous se passent bien et en écartant ses cuisses, elle dévoile son petit triangle noir. Ceux où celles qui lui ont placé l’ont réduite à la limite de la réglementation légèrement plus grand qu’un timbre-poste.
Assise sur cette chaise les jambes écartées, j’ai bien envie de sauter sur scène pour lui planter mon vit qui tend mon pantalon à en faire sauter les quatre boutons.
Celui qui gère le projecteur manque de réflexes afin de couper la lumière lorsqu’en faisant un faux mouvement le triangle noir tombe au sol dévoilant l’intégralité de la vulve d’Espoir.
Dans sa position ses jolies lèvres intimes sont ouvertes et le rose de son intimité est visible de toutes les tables.
Les clients semblent croire qu’elle l’a fait exprès, ils sont debout et applaudissent à tout rompe.
Le patron de la boîte vient vers nous s’assoit à notre table et fait signe à la serveuse de changer notre champagne.
C’est la cuvée du patron qui remplace la pisse d’âne servi en temps normal aux clients.
Il nous parle de la difficulté qu’il a à trouver des artistes de la valeur de Débora. Il nous propose de signer un contrat d’une semaine jusqu’au samedi soir qui est la fin pour moi de ma permission.
Robert accepte précisant que demain c’est moi qui amènerais sa nouvelle employée.
À aucun moment ce saligaud propose de demander à celle qui depuis ce matin nous donne un plaisir immense si elle est d’accord étant certaine d’avance que son plaisir à être soumise lui fera automatiquement dire oui.
Deux fois encore jusqu’à minuit, elle repasse sur scène.
Elle prend de plus en plus d’assurance et chaque fois à la limite de la légalité le carré noir tombe toujours fortuitement.
La dernière fois c’est à la barre qu’elle s’essaye et du premier coup enflamme la salle, car ce sont lorsqu’elle a les jambes en l’air qu’elle écarte à 180 degrés qu’il tombe.
Elle est la dernière à passer et le patron nous invite à venir dans les coulisses.
Je comprends pourquoi Espoir a su rapidement se servir de cette barre, car il y en a une, près de leurs loges pour qu’elles s’échauffent.
Espoir nous saute au cou toujours dénudé et est enchanté de la soirée que nous lui avons fait passer.
Lorsque nous lui annonçons qu’elle a signé un contrat jusqu’au samedi soir compris.
Elle a un mouvement d’arrêt, mais finit par sauter comme un cabri pour finir dans les bras de Viviane, la grande rousse miss America qui semble être devenue son amie et est originaire de la Motte Beuvron.
Elle se douche et remet son imper. J’avais oublié que c’est le seul vêtement que nous lui ayons permis de porter.
Viviane me rend mon bachi ignorant par ce geste qui me donne le droit quand l’occasion se présentera de lui toucher son petit pompon roux.
Le patron apporte les enveloppes et remet à Robert celle d’Espoir. Il semble qu’un contrat ait été passé entre eux lorsqu’il lui a parlé sur le trottoir...
Actuellement, nous descendons dans le métro alors qu’elle a simplement sur son dos un imperméable avec des talons hauts.
D’une manière sous-jacente, je ressens qu’elle est aussi soumise à son homme qu’elle l’est avec nous après qu’elle nous est expliquée, comment elle l’a connu et comment il l’a entraîné à devenir des pics assiettes.
Elvis hormis le fait qu’il prend son pied à gruger ses interlocuteurs adore l’exhiber près d’autres hommes plus puissants que lui.
À la longue, elle-même y a pris goût, car chaque fois qu’il lui dit savoir la date d’une soirée, elle aime à aller dans les réserves de vêtements des studios de Boulogne-Billancourt où elle a une amie qui discrètement lui prête ce qu’elle veut pour le week-end comme vêtements.
Nous prenons le métro station porte de Saint-Cloud, Robert connaît le parcours qu’il souhaite nous faire prendre.
Dès que nous entrons dans la rame, la foule à cette heure est clairsemée et nous plaçons Espoir, debout à une barre où il y a déjà deux hommes. Nous rejoignons la barre d’après et nous observons le trouble qui semble gagner la petite de ce savoir offerte à nos regards et surtout au regard des autres.
À Michel ange Auteuil station croisant une autre ligne, peu de monde quitte la rame et un grand nombre de passagers montent.
L’un des deux hommes déjà là se déplace légèrement près des fesses de notre amie comme si la foule l’en obligeait.
À quatre mètres de là, nous sommes mal placés pour voir ce qui se passe surtout au bas des corps, mais la rougeur qui monte à ses joues nous confirme que l’homme doit agir vers son intimité.
Nous voyons notre copine porter la main à son revers d’imper et lorsque le métro s’arrête, nous entendons un cri. L’homme descend précipitamment portant sa main vers son intimité.
Je vois Espoir rattacher un bouton de son imper qui semble, c’être malencontreusement ouvert.
En même temps, elle replace ce qu’elle a pris dans le revers de son imper.
Bizarrement un certain vide, c’est fait autour d’elle. Avant que mon cousin ne s’aperçoive de mon mouvement, je la rejoins me place comme l’homme derrière elle et la colle contre la barre.
Nous nous arrêtons à une station et le wagon se remplit. Je passe ma main par-devant et j’ouvre le bouton qu’elle vient de remettre.
Je trouve sa chatte qui aime me recevoir et je peux constater que toutes ces péripéties l’ont fait énormément mouiller.
Je relèverai bien son imper pour lui caresser les fesses, mais nous arrivons à la station Miromesnil où nous devons descendre pour un changement.
Dans le couloir qui même à l’autre quai, elle nous montre la petite aiguille qu’elle porte toujours sur elle dans le métro comme sa mère lui a appris à le faire des années plus tôt lorsqu’elle est entrée à la faculté de Nanterre après son bac.
Station Pigalle, nous descendons semblant être arrivés au terme de notre parcours en métro.
Sur le trottoir de gauche du Boulevard de Rochechouart Robert s’arrête et demande à notre soumise de remonter le boulevard, jusqu’à ce qu’elle nous rejoigne.
Il l’oblige à attendre cinq minutes montre en main avant de se mettre en marche.
Nous parcourons environ vingt mètres rapidement et grâce à une camionnette qui nous cache, nous la voyons attendre semblant un tantinet anxieuse.
Robert me demande de redescendre la contre-allée pour la rejoindre sans qu’elle me voie et de la suivre par l’arrière.
Pendant l’attente, elle est devant une boutique de sous-vêtements coquins.
Elle regarde sa montre et sans me voir malgré ma tenue placée derrière un arbre faisant celui qui lasse une chaussure, je la vois remonter le trottoir.
À cinq mètres, je la suis, mais à aucun moment elle ne tourne la tête.
D’un pas rapide, elle avance comme lui a demandé Robert.
Un moment un grand homme de couleur l’aborde. Il est sympa le cousin, je me vois obligé de me colleter le monsieur s’il devient entreprenant avec notre copine.
Heureusement, il décroche et nous poursuivrons notre chemin sans voir le képi du pompier.
Nous venons de passer le Moulin Rouge et nous attaquons les boîtes à strips.
Dès la première l’aboyeur propose à Espoir de venir s’exhiber, car il lui dit qu’elle est canon. Vu la boîte j’aurai dit bandante.
Voyant qu’elle reste la tête droite dans le sens de sa marche je me suis rapproché et je peux entendre ce qu’il a dit.
Elle passe faisant celle qui a un autre but que la proposition du portier.
Arrivé à sa hauteur, il me propose au marin de venir voir son spectacle le meilleur de Pigalle avec les plus belles filles du monde, je dois décrocher de dix mètres de peur qu’elle s’aperçoive que je suis derrière si elle entend parler de Marin.
Je repère le képi de Robert en même temps que je voie Espoir discuter avec mon cousin et un homme qui semble être le rabatteur de la boîte devant laquelle elle est arrivée.
J’arrive à leur hauteur et Robert me présente le patron de la boîte devant laquelle on est.
Ils se connaissent, car c’est le secteur dans lequel mon cousin fait les inspections réglementaires avant ouverture ou rénovation, ce qui a été le cas, il y a un mois ici.
Robert en faisant attendre les petites cinq minutes a eu le temps de parler au patron de ce qu’il attend de lui et il nous fait entrer par la porte sur le côté des artistes.
J’ignore ce qu’ils ont fomenté, mon cousin refusant de me dire où est parti Espoir qui a suivi le patron.
L’homme ressort et nous invite à le suivre, derrière le rideau dans la salle plongée dans la pénombre.
Ils nous installent à une table et après qu’il eut fait un geste à la serveuse, une bouteille de champagne arrive sur notre table.
En pleine lumière, une effeuilleuse monte sur la petite scène et agrippe la barre.
Le peu de vêtements qu’elle porte s’envolent un à un et terminent les seins dénudés et la chatte simplement recouverte avec un carré de feutre noir qui cache le minimum sauf ses grandes lèvres qui semblent bien développer.
C’est le moment où la musique s’arrête que la lumière s’éteint et qu’une voix nous demande d’applaudir.
C’était Tania jolie fille originaire de Budapest où elle a travaillé dans les plus grands cabarets recommencés à l’applaudir.
Un temps d’arrêt toujours dans le noir.
La même voie nous annonce.
Venu des États-Unis pour votre plus grand plaisir la merveilleuse, la pulpeuse Alexandra.
La lumière s’allume et je suis presque déçu de voir sur la scène une rousse filiforme qui doit mesurer une tête de plus que moi. Je suis déçu, car j’avais cru qu’Espoir allait venir sur scène.
Nous trinquons ensemble pendant le numéro de miss Amérique qui est peut-être née au fin fond de la Creuse, mais elle est tellement pro qu’elle sait nous faire bander.
Le marin et le pompier semblent être son centre d’intérêt jusqu’au moment où elle descend de la scène vient s’asseoir sur ma tige, car je bande comme un taureau.
Ce doit être une ancienne dans la boîte pour venir au contact avec le public chose que les filles évitent de faire, car les mœurs sont très strictes avec les boîtes à strip et les maisons de passes.
Au moment de remonter sur scène, elle fait le geste interdit, elle me prend mon bachi, le pose sur sa tête avant de s’en servir chaque fois qu’elle enlève une partie de son vêtement pour cacher soit un sein soit l’autre, devant ses yeux pour nous regarder d’un air coquin en le déplaçant à droite puis à gauche et pour finir par le plaquer devant sa chatte ayant enlevé son string qu’elle balance vers moi.
Je pense qu’elle va en rester là lorsqu’elle place rapidement sa main et arrache son carré noir qu’elle jette derrière elle.
Les clients sont debout à l’applaudir lorsque la lumière va s’éteindre d’où je suis placé, elle fait bouger mon bachi et j’ai le temps de voir une belle touffe aussi rousse que sa chevelure.
Comme pour Tania miss Amérique a droit à des applaudissements très nourris.
Lumière éteinte la voix reprend.
Venue spécialement pour nous d’une banlieue huppée de Paris spécialement pour vous voici Débora.
D’un pas hésitant Espoir entre sur scène.
Ils l’ont fringué comme une vraie pute avec un maquillage outrancier.
Est-ce pour la rassurer, mais ils lui ont laissé son imper.
Elle se trémousse de droite et de gauche parfaitement ridicule au point que des clients la sifflent. Elle est à deux doigts des larmes lorsque j’applaudis suivi par Robert qui entraîne la salle et galvanise notre jolie poupée qui s’enhardit.
Pour une première fois, le patron a évité qu’elle se serve de la barre en plaçant une chaise sur la scène.
Elle découvre une épaule puis l’autre, jusqu’à faire tomber son imper, nous faisant découvrir son corps presque parfait.
Je dis presque parfait pour éviter d’être targué de chauvinisme.
Elle s’assoit et sur un coup plus fort de la batterie, elle écarte largement ses jambes.
Les mêmes tables qui sifflaient commencent à applaudir. Espoir est plus dans le rythme de la musique en se trémoussant assise frottant ses fesses que je sais mutines et bien fermes sur le velours.
Tous se passent bien et en écartant ses cuisses, elle dévoile son petit triangle noir. Ceux où celles qui lui ont placé l’ont réduite à la limite de la réglementation légèrement plus grand qu’un timbre-poste.
Assise sur cette chaise les jambes écartées, j’ai bien envie de sauter sur scène pour lui planter mon vit qui tend mon pantalon à en faire sauter les quatre boutons.
Celui qui gère le projecteur manque de réflexes afin de couper la lumière lorsqu’en faisant un faux mouvement le triangle noir tombe au sol dévoilant l’intégralité de la vulve d’Espoir.
Dans sa position ses jolies lèvres intimes sont ouvertes et le rose de son intimité est visible de toutes les tables.
Les clients semblent croire qu’elle l’a fait exprès, ils sont debout et applaudissent à tout rompe.
Le patron de la boîte vient vers nous s’assoit à notre table et fait signe à la serveuse de changer notre champagne.
C’est la cuvée du patron qui remplace la pisse d’âne servi en temps normal aux clients.
Il nous parle de la difficulté qu’il a à trouver des artistes de la valeur de Débora. Il nous propose de signer un contrat d’une semaine jusqu’au samedi soir qui est la fin pour moi de ma permission.
Robert accepte précisant que demain c’est moi qui amènerais sa nouvelle employée.
À aucun moment ce saligaud propose de demander à celle qui depuis ce matin nous donne un plaisir immense si elle est d’accord étant certaine d’avance que son plaisir à être soumise lui fera automatiquement dire oui.
Deux fois encore jusqu’à minuit, elle repasse sur scène.
Elle prend de plus en plus d’assurance et chaque fois à la limite de la légalité le carré noir tombe toujours fortuitement.
La dernière fois c’est à la barre qu’elle s’essaye et du premier coup enflamme la salle, car ce sont lorsqu’elle a les jambes en l’air qu’elle écarte à 180 degrés qu’il tombe.
Elle est la dernière à passer et le patron nous invite à venir dans les coulisses.
Je comprends pourquoi Espoir a su rapidement se servir de cette barre, car il y en a une, près de leurs loges pour qu’elles s’échauffent.
Espoir nous saute au cou toujours dénudé et est enchanté de la soirée que nous lui avons fait passer.
Lorsque nous lui annonçons qu’elle a signé un contrat jusqu’au samedi soir compris.
Elle a un mouvement d’arrêt, mais finit par sauter comme un cabri pour finir dans les bras de Viviane, la grande rousse miss America qui semble être devenue son amie et est originaire de la Motte Beuvron.
Elle se douche et remet son imper. J’avais oublié que c’est le seul vêtement que nous lui ayons permis de porter.
Viviane me rend mon bachi ignorant par ce geste qui me donne le droit quand l’occasion se présentera de lui toucher son petit pompon roux.
Le patron apporte les enveloppes et remet à Robert celle d’Espoir. Il semble qu’un contrat ait été passé entre eux lorsqu’il lui a parlé sur le trottoir...
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