LE MARIN. La parisienne en vacances. (4) - histoire érotique

Je fais un cadeau à Véronique que j’ai rencontrée pendant ses vacances un jeune mousse qui vient d’arriver sur mon bateau et à qui j’offre son pucelage.

C’est dans la baignoire que ma grande salope se place en levrette et pendant qu’elle me fait une fellation, il plonge dans sa chatte jusqu’à ce qu’il vide sa jeune bite.
Il se douche et retourne dans la chambre s’habiller.
Je douche Véronique attardant mes doigts dans son vagin empli du sperme du petit.
Je vois qu’elle se tortille sous la puissance de l’eau, j’insiste sur ses muqueuses sensibles, jusqu’à ce qu’elle ait une petite jouissance qui lui fait plier les genoux.
Toute mouillée je la porte pour la faire sortir de la baignoire. Elle m’ouvre ses lèvres et nos langues s’entremêlent de plaisir.
Sécher, nous rejoignons la chambre et j’ouvre son armoire pour chercher de quoi la vêtir pour la journée.
Que des vêtements immettables pour profiter du beau temps au bord de la mer. Tout est bon chic bon genre.

• Enfile rapidement quelque chose, on va aller refaire ta garde-robe.

Agnès est heureuse de nous voir et un bon café nous remet en forme après la journée d’hier, la nuit et le début de matinée.
Discrètement Agnès femme très curieuse s’approche de moi et profite de ce que Véronique discute avec Didier.

• Les choses semblent bien se passer avec ta Parisienne, elle baise bien.
• Oui, elle a du métier, j’ai même réussi à ce qu’elle dépucelle le mousse.
Hier au port de pêche, elle m’a sucé dans sa voiture, mais après elle ses pris une biture au chouchen et au muscadet, j’ai été obligé de lui donner une douche froide avant de lui mettre mon sexe dans la chatte lorsqu’elle a récupéré.
• Qui est la plus cochonne elle où moi ?
• Vous êtes deux belles salopes, mais d’un genre différent toi comme moi lorsque nous finissons la nuit ensemble, nous baisons en copain si nous en avons envie.
Elle comment dire, je la baisse sans aucun sentiment comme avoir toi mais toi tu es ma copine à qui je rends service, elle il faut que je fasse attention que ses sentiments pour moi ne l’attachent à moi.
Je compte sur Didier pour cela.

Dans la rue non loin de là, une boutique de vêtements féminins assez jeunes nous tend les bras.
C’est moi qui fais les choix car habitués à une certaine mode, elle a tendance à s’y diriger.
Je lui choisis un pantalon trois quarts fuchsia avec un chemisier blanc et un boléro de même couleur que le pantalon.
Au moment où Véronique, va pour essayer dans la cabine, je trouve un short rose avec débardeur.
Je la dirige vers la cabine suivie de la patronne et Didier un peu pataud.
Il n’y a personne dans le magasin à cette heure d’ouverture.
Véronique veut refermer le rideau. Je l’en empêche.
Pas du tout déboussolée de se mettre nue devant une femme et ses deux amants, elle pose sur la chaise ses vêtements trop sélects pour une jolie femme en vacances.
Elle enfile le pantalon et mets le chemisier.

• Arrête, regarde, il me faut quelque chose dans mon style.
• Pourtant, c’est la bonne taille.
Déshabilles-toi !

Elle s’exécute enlève les vêtements que je lui ai fait mettre.

• Enlève ton slip et ton soutien-gorge.

Un peu surprise, elle se met entièrement nue devant nous.

• Remets tes affaires maintenant.

Elle s’exécute et se regarde dans la glace.
Je prends, le chemisier, je détache les boutons du bas et je noue les deux pans sous ses seins plantureux, mais qui ont une tenue extraordinaire.

• Tu as de beaux seins, comment fais-tu ?
• C’est grâce au sport que je pratique dans une salle deux fois par semaine chez moi.

La faisant tourner sur elle-même je lui demande de mettre le boléro.

• Madame, qu’en pensez-vous, elle vous plait.

La patronne de la boutique doit avoir le même âge que notre amie.

• Pour l’été, regardez-vous, vous êtes toute en beauté, j’ai le même ensemble couleur beige.

Elle se désape pour essayer le short. Elle refuse cette tenue trop provocante.

• Mon cœur, tu as aimé mon cadeau qui est près de nous, fais-moi plaisir.

Une vraie petite bombe, je me garde de dire à Véronique qu’avec ce short, elle est plus proche de la pute que d’une femme du monde.

• Attendez.

La dame par dans le magasin et revient avec une casquette en cuir style gavroche.
Elle la met sur sa tête, avec des chaînes, elle en ferait une belle bikeuse.
Les chaussures sont, elles aussi mal adaptées avec ses nouvelles tenues.

• Allez deux boutiques plus loin, vous dites à Françoise que vous venez de la part de Véronique, la responsable est une amie, elle vous fera une remise.
• Véronique, c’est la première fois que je trouve une jolie femme qui a le même prénom que le mien.
• J’adore mon prénom donc le vôtre, il vous va très bien.
Je vais me changer.
• Non, allez-y comme cela et revenez changer de tenue pour la deuxième paire.

J’aurais voulu avoir de quoi faire une photo de Véronique sortant dans sa tenue provocante et allant jusqu’à l’autre magasin perché sur ses talons haut qui accentue la vision que nous avons de son petit cul bien agréable.
J’explique à la vendeuse, ce que je veux et ce sont des chaussures types espadrilles avec des talons de deux centimètres provocants mais sans plus.

• Pouvons-nous retournons chez votre amie Véronique pour changer madame de tenue et prendre une autre paire ?
Nous relookons notre amie.
• Avec sa classe naturelle, vous croyez qu’elle a besoin d’être relookée.

Nous retournons à la boutique de vêtements et nous admirons une fois de plus Véro dans sa nudité.

• Avant qu’elle se rhabille, avez-vous des maillots de bain ?
• Pourquoi j’en ai un dans ma chambre ?
• Je l’ai vue tout à l’heure, mais ta beauté ne peut porter un maillot une pièce, je veux un maillot deux pièces, elle sera plus bandante. Pas vrai Didier.
• Nous serions seuls, je crois que je te placerai mon sexe où je te l’ai mis tout à l’heure.
• Pourquoi hésites-tu, je suis sûr qu’à force d’être nue devant nous elle mouille.

Joignant geste parole, je lui introduis deux doigts dans le vagin sans qu’elle émette la moindre réticence.

Véronique boutique très troublée pour fuir part vers son rayon sous-vêtement.
Je m’approche de Didier et je lui susurre.

• Va fermer la porte et place l’étiquette « FERMER ».

Il reste pétrifié.

• Je suis ton supérieur et moussaillon apprend à obéir à un ordre.

Il y va et je m’approche de ma Véronique brune.

• Rejoins ton homonyme blond et emmène là sur le canapé près des cabines.
• Tu es maboule Christian, j’aime les hommes et pas les filles.
• Ta copine, j’ai l’impression qu’elle les aime et que tu es à son goût, tu vas t’éclater, fais-moi confiance.

Elle se déplace entre deux rayons prend Véronique blonde par la main et sans hésiter lui prend la bouche.
Si elle continue, c’est toute la matinée que la boutique va être fermée.
Grâce à mon pompon, j’ai roulé des palots, mais d’aussi longs et passionnés jamais.
Je finis par les voir se déplacer vers le canapé sans se séparer.
Les vêtements de Véronique volent et ce sont nues qu’elles s’affalent dessus.
J’ai raison, la blonde est experte en amour féminin, car ma brune se retrouve allongée, leurs bouches enfin se séparent et celle de la blonde descend tout le long du corps de celle qui est en train de devenir sa maîtresse.
Les seins semblent l’attirer puis rapidement elle passe un temps fou sur le clito.
Ma Véro aime au chant émis par sa bouche rapidement son corps se tend la tête étant en point d’appui.
Gardant l’avantage la pro des amours lesbiens entre trois doigts dans le vagin de ma copine comme je viens de le faire.
Contrairement à moi avec une lenteur fait pour amener la partenaire au plaisir alors que pour moi mon but est le coït.
La pénétration de notre sexe au fond du vagin de la femme comme tout bon mammifère reste fait pour la procréation afin de perpétuer l’espèce alors que pour les femmes, elles savent apprécier ce qui fait la différence entre l’homme et l’animal qui sont nos organes génitaux qui sont faits pour le plaisir pour le plaisir.
Je suis content comment tourne le séjour de ma belle parisienne qui me disait, il y a dix minutes que les lesbiennes très peu pour elle alors qu’il a fallu une petite stimulation verbale de ma part pour venir brouter la chatte de celle qui tient cette boutique et qui depuis bien longtemps a su franchir le pas.

Didier est fasciné par la vision des deux femmes qui semble avoir perdu la notion du temps.
Cette journée sera gravée à tout jamais dans sa tête car entre son pucelage et deux femmes qui se font l’amour que vais-je lui faire découvrir surtout que je suis fasciné moi-même, car si mon pucelage s’est envolé depuis un certain temps deux femmes s’aimant, est une nouveauté pour moi.
Leurs plaisirs pris, Véronique vendeuse retrouve son rôle bien qu’entièrement nu et nous présente la face radieuse de celle dont le corps frémi encore.
Elle va dans le rayon chercher un maillot, lorsqu’elle le fait enfiler à notre jolie pouliche lui, va comme un gant.
Pour mettre le slip, Véronique brune lève la jambe et sa minette rose appelle nos sexes.
Heureusement que nos pantalons sont à pont, ce qu’il laisse de la place à nos verges qui aussi bien celle de Didier que la mienne sont à la limite de l’explosion…