LE REMPLACEMENT. (1/X)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LE REMPLACEMENT. (1/X) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE REMPLACEMENT. (1/X)
Cette histoire a été écrite à quatre mains dans son chapitre 5 … avec la vraie Nadia que j’ai le plaisir d’avoir comme amie.
J’ai souhaité qu’elle écrive la partie féminine entre elle et mon héroïne qu’elle rencontre je me suis contenté d’ajouter quelques scènes.


Avoir une sœur jumelle à laquelle toute sa vie, on a été dépendante pour ne pas dire soumise m’a entraîné dans une histoire incroyable, pratiquement impossible à croire. Le seul moment dans ma vie où j’ai pris seule ma décision, c’est lorsque Vivian m’a demandé de l’épouser et que j’ai dit oui.

Ma sœur Nadine me ressemble à un tel point que, lorsque je regarde deux photos prises le même jour, je suis moi-même incapable de différencier Aurélie de Nadine.
Je surveille mon mari pour éviter des embrouilles surtout que depuis deux ans que nous sommes mariés, je suis entièrement amoureuse de cet homme qui me comble du moins, je le crois.
Il faut dire que j’ai été à bonne école avec Nadine qui dès sa majorité, s’est fait enlever son pucelage alors que j’assistais à la scène.
Afin d’éviter à nos parents de poser des questions, je tenais toujours la chandelle.
Je savais sans jamais l’avoir pratiqué ce que voulait dire se faire prendre dans la position du missionnaire, en levrette, petite cuillère, même sodomisée.
Oui, je dis bien sodomisée, car rapidement à la demande de nombre de ses copains la sodomie faisait partie de ses spécialités.
Ce que j’ignorais, c’est que ces garçons qu’elle recevait dans l’appartement de notre tante, sœur de maman partit deux ans au State la payait et qu’elle faisait déjà la pute.

C’est dans le même temps où Vivian à mon tour lors de ma nuit de noces me dépucelait que Nadine a quitté nos parents et l’appartement de tantine pour vivre dans son propre appartement alors qu’officiellement elle avait trouvé un travail par Internet à domicile.
Mon mari a eu la preuve que j’étais pucelle au moment où nous nous sommes levés et où les draps avaient les petites taches de sang si prisé par les matrones dans des temps anciens pour constater que le mariage avait été consommé et que l’élue avait bien son pucelage.
Nous avions vingt ans et si nous regardons notre parcours, j’ai toujours voulu trouver l’amour alors qu’elle voulait son indépendance.

Elle a une chatte et comme dans le cadre de son travail, elle doit s’absenter fréquemment elle me demande de venir prendre soin de grisette chez elle.
J’ai suggéré cette solution Vivian étant allergique aux poils de chat car elle voulait que je l’amène à la maison.
Quand j’arrive chez elle, je pose mon sac et mes clefs de voiture sur la table du salon.
Je suis venu hier et ce matin, d’un coup je prends conscience du danger que représente un portable qui est en charge sur une prise de courant et poser dessus.
Laisser un appareil de ce genre sur une table branchée pendant plusieurs jours est risqué et c’est au moment où je le prends en main pour le débrancher qu’il sonne.
Naturellement, je décroche persuadé que Nadine m’appelle pour me signaler son oubli.

• Allo Natacha, j’ai vu votre annonce sur le site d’escorte et je souhaiterais m’attacher vos services demain soir.
• Oui.

Pourquoi ai-je dit oui ?
Je pense que la surprise de comprendre que Nadine se fait appeler Natacha et est attachée à un site d’escorte dont je sais même si je suis une oie blanche que ces femmes vont rencontrer des hommes pour apparaître à leur bras dans des restaurants me surprend ce qui bloque tout mon jugement.

• Je vous attends demain à 20 heures au bar de l’hôtel Le Dauphin place de la mairie du XVIe arrondissement.

Et il raccroche avant que j’aie le temps de reprendre mes esprits et que je lui signale qu’il se trompe de personne en me donnant ce rendez-vous.
Par malchance, Vivian est parti, pour une semaine, ayant un séminaire à Bordeaux pour son travail à la centrale nucléaire du Blayais.
Toute la nuit je retourne dans ma tête l’erreur que j’ai fait de répondre par le positif à cette invitation.
À deux heures du matin, le sommeil me fuit et je vais sur notre ordinateur pour chercher des sites d’escortes.
Mon moteur de recherche me donne des dizaines de sites, j’affine ma recherche sur la région parisienne et j’en trouve un ou une certaine Natacha avec le visage flouté et un corps pouvant ressembler au nôtre.
Bonne pioche le numéro 06 .. est celui du portable que j’ai noté et amener avec moi.
Et puis en tapant escorte je tombe sur des coupures de presse me faisant froid dans le dos.
Ils disent que les réseaux d’escortes sont des réseaux de prostitution modernes qui évitent aux femmes de racoler dans les rues et tomber sur le coup de la loi.
Avec ces sites qui montrent la plastique de ces filles le client peut choisir et les recevoir dans des endroits divers, les trois quarts finissent dans le lit de ses hommes contre rémunération.
Ma sœur est devenue une pute professionnelle ce qui explique son train de vie grâce à sa couverture d’un travail dans une boîte sur Internet et surtout ses déplacements fréquents car plusieurs fois elle m’a dit partir à l’étranger.

Dans quoi me suis-je fourré, demain je vais retourner chez Nadine, reprendre le téléphone que j’ai laissé sur la table et rappelé ce type pour lui dire que je suis obligé d’annuler le rendez-vous.

Dès que je me suis occupé de la chatte, je prends fébrilement le téléphone et je fais un rappel sur son appel.
Ça sonne jusqu’au moment où le disque me demande de laisser un message mais au moment où je vais parler la ligne coupe.
J’essaye plusieurs fois et chaque fois l’opérateur doit avoir un problème car à aucun moment j’ai le client de Nadine et arrive à enregistrer un message d’annulation.

Toute la journée je cherche, comment m’en sortir et le mieux que je trouve, c’est de me rendre au rendez-vous afin de lui expliquer ma méprise de vive voix.
Je m’habille comme à mon habitude en évitant les tenues trop provocantes.
Je repasse chez ma sœur pour voir si enfin j’arrive à le joindre.
En même temps, je contrôle le portable qui confirme que des hommes appellent en laissant leur numéro, je m’aperçois qu’il y en a cinq.
Un dernier essai et la seule solution qu’il me reste c’est de monter dans le taxi que j’ai appelé pour me rendre auprès de cet homme.
Je descends tétanisée, j’entre dans l’hôtel pour aller vers le bar.
Un seul homme est tourné vers l’entrée et quand il me voit descend de son siège pour venir vers moi.

• Vous êtes Natacha, je suppose, votre corps ressemble à celui que j’ai vu sur le site, même habillé, on le reconnaît, vous êtes magnifique.

En même temps qu’il me dit cela, il prend ma main et pose ses lèvres sur mon poignet qu’il a retourné.
L’effleurement provoque en moi un instant de plaisir intense, je crois que mon intimité transpire.
J’en oublie de lui dire ma méprise et quand il me propose de m’installer à une table pour prendre un apéritif, c’est dans un grand brouillard qu’une fois de plus j’accepte et que je le suis jusqu’à cette maudite table sans avoir eu le courage de lui dire la vérité.
L’apéritif bu, de sa poche il sort une enveloppe que je saisis comme un métronome et que je glisse dans mon sac.

• Vous me faite confiance, merci.

Je suis dans l’obligation d’avoir confiance, j’ignore combien ma sœur prend pour un repas et encore plus pour une passe voire la nuit alors pourquoi contrôler, je verrais plus tard.
L’opération fric classée, l’apéritif bu, il me prend la main et me félicite sur ma beauté, il va même jusqu’à me faire un compliment sur ma tenue qui lui montre la femme de classe que je suis alors que je suis tendu comme jamais.
Pire même, la situation commence à me plaire, j’ai incrusté au fond de ma tête, le mouvement qu’il m’a été donné de faire en plaçant l’enveloppe dans mon sac.
Ce geste me donnant une somme d’argent, j’aimerais le faire plus souvent moi qui suis devenu par la force des choses une femme oisive et entièrement attaché à un homme qui est le seul à subvenir à mes besoins.
Sans me lâcher la main il m’entraîne vers le restaurant.

Une dizaine de tables sont occupées, intérieurement je suis convaincu que tous pensent qu’une pute est installée auprès de ce bel homme.
Le repas doit être bon, mais j’ai l’estomac tellement noué que je me contente de picorer.

• Vous avez un estomac d’oiseau, vous avez à peine mangé.
• Non, je me suis mise au régime, je me trouve un peu trop grosse.

J’ai dit n’importe quoi surtout que ma ligne ne souffre d’aucun problème avec Nadine, nous pesons exactement cinquante-deux kilos pour un mètre cinquante-neuf.

La conversation avec cet homme est au niveau de ce qu’il représente, brillant, il me parle de l’exposition de la gare d’Orsay et du dernier Amélie qui va sortir à la rentrée littéraire.
Amélie, est-ce un film ou autres, il s’arrête à ce prénom et je me garde bien de lui en demander plus évitant de paraître une gourde hors de l’actualité.
Cette conversation feutrée et intellectuelle me change de Vivian qui me parle tous les jours de football et surtout du Paris Saint-Germain.
Le serveur apporte la note qu’il signe comme client de l’hôtel.

Discrètement il met la main à sa poche et sort une deuxième enveloppe plus rebondie que la première qu’il pousse jusqu’à ma main posée sur la table.
Je suis étonné de cette nouvelle enveloppe, elle m’ouvre la possibilité de lui dire que je suis Aurélie et pas Nadine encore moins Natacha, que je suis mariée et je fais partie de la vieille école concernant la fidélité envers celui que j’ai épousé.
Mes yeux en regardant l’enveloppe tombent sur mon annulaire de ma main gauche, inutile de lui dire que je suis mariée, j’ai oublié d’enlever mon alliance.
C’est ce qui me fait craquer, cet homme m’aurait fait remarquer ou demander, pourquoi étant mariée je me prostituais, je me serais levé et je serais partie.
Nul doute que depuis le début du repas, il l’a vu et qu’il a été plein de tact.
Comme la première enveloppe, je la glisse près de sa petite sœur.
Là encore il aurait pu se montrer gougea se lever et devant tous ces gens m’emmener vers les étages pour rentabiliser son investissement.

• S’il vous plait, pouvez-vous m’apporter un cognac ?

Le serveur lui apporte le verre et comme pour le repas ou il a bu de l’eau, il le laisse sans y toucher.
Pendant un quart d’heure, il me parle du musée du Louvre qu’il visite tous les ans, puis sans montrer d’empressement, il se lève, viens tirer ma chaise et me prend la main pour m’aider à me relever comme tout homme marié et galant le ferait, par amour pour sa femme.
Il donne le change aux autres et nous partons vers les ascenseurs alors que je lui ai pris le bras.
Ce qu’il faut que j’avoue, c’est que si j’avançais seule, je m’écroulerais en plein milieu du restaurant, mes jambes refusant de me porter.
L’impression la plus horrible, c’est quand il est devant la porte de sa chambre qu’il met une plombe à trouver la carte magnétique et l’ouvrir, à ce moment j’ai conscience qu’il est trop tard pour reculer et qu’il va falloir que j’écarte les cuisses pour qu’un autre homme que mon mari me mette son sexe dans le vagin.
Le plus grave c’est que cette peur est liée à mon inexpérience plutôt que le fait de tromper Vivian.

• Entre, la salle de bain est là.

Pour la première fois, il me tutoie et cela me rassérène, nous devenons deux êtres ayant les mêmes envies proches l’un de l’autre.

À l’intérieur je ne sais, quelle contenance prendre, que ferait ma sœur, se déshabillerait-elle ou après avoir fait un pissou comme moi maintenant, ira-t-elle nue au-devant de la bite qui m’attend pour me pourfendre.
Je choisis une position médiane, je fais, mon pissou, j’enlève ma mini, ma veste trois quarts et mon chemisier et après un peu d’eau sur mon visage, j’entre dans la chambre.

• Je crois que j’ai la chance de ma vie, tu es la plus jolie femme que j’ai rencontrée depuis des lustres.

Disant cela, il prend ma place dans la salle d’eau.
Je m’avance près du lit qui va concrétiser ma déchéance et je m’assieds sur le pied.
Dans une glace placée sur le côté, j’ai l’impression de voir une pucelle attendant son premier amant.
Que je le veuille ou non, c’est pourtant le cas, je suis pucelle de rapports infidèles envers mon mari.
Il sort et contrairement à ce que je pensais, il s’assoit sur une chaise près du lit et me tend une main pour que je le rejoigne.
Il me fait asseoir sur ses genoux et commence à me caresser le sein à portée de sa main.
Il cherche à m’embrasser et un reste de pudeur matrimoniale me fait tourner la tête.

• Excuse-moi, je manque de tact, tu m’excites tellement que j’en oublie les bons usages.

Quels couillons, c’est un mauvais réflexe qui m’a fait tourner la tête surtout que sous mes fesses son excitation est de plus en plus difficile à cacher.
Il dégrafe mon soutien-gorge faisant apparaître mes globes 85 C finissant par deux mamelons en forme de poire qui ont fait craquer mon homme.
Il faut que j’arrête d’y penser tout le temps, j’ai choisi le fric pour le tromper alors il faut que je pense à mon client et lui donner le plaisir qu’il attend de moi…

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