LE REMPLACEMENT. (12/x)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE REMPLACEMENT. (12/x) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LE REMPLACEMENT. (12/x)
Nadia a bien travaillé après que je lui ai demandé d’écrire la nuit entre nos deux héroïnes à elle le dernier chapitre.
De sa nuit avec Natacha au château de Joyce bien sûr.
Avec dans les dernières lignes ma reprise pour la cohérence de la suite.

Nuit de folie ou nuit de plaisir entre deux femmes qui cherchent à se donner du plaisir de toutes les façons imaginables.
Cette nuit si elle est la dernière pour Natacha que je suis devenue en décrochant le téléphone de ma jumelle et en devenant escorte girl est une nuit divine.

Nous sommes toujours sur notre lit de plaisir et je continue même quand je sens que son corps arrête de vibrer.
Je remonte le long de sa peau en me frottant le plus possible, jusqu’à ce que ma bouche se pose sur la sienne.
Nous échangeons un doux baiser, puis je me redresse et sors du lit.

• Non, pourquoi me quittes-tu ?
• Surtout pas, je veux te voir, je veux voir ton corps superbe.
• Idiote, tu es plus belle que moi.

Elle me dit ces mots en s’étirant comme une chatte, ce genre de chatte féline que j’ai connue dans ma jeunesse et qui les nuits de pleine lune vous tiennent éveillé à faire les belles devant leurs matous pour choisir celui le plus amène de leur remplir le ventre pour avoir des chatons.

• Arrête tes bêtises !
Je suis plus jeune, c’est vrai, mais ce que j’aimerais c’est voir ton corps vibrer, je l’ai senti se tendre sous ma main ou ma bouche au cours de la nuit, mais j’aimerais bien te voir jouir.
• Comment ça ?
• J’aimerais que tu te masturbes devant moi.
• Me masturber devant toi ?
Quelle idée !
• Oui, cela te gêne-t-il ?
• Écoute chérie, je suis déjà complétement retourné par ce que nous venons de faire, je suis bouleversée, et tu veux que je me masturbe, que je m’exhibe devant toi.
• Oui.
• Tu exagères tout de même.
• Veux-tu que je commence ?

Après quelques secondes de silence où elle se remet sur le dos la tête appuyée sur l’oreillé ses cuisses m’ayant donné tant de plaisir, ouvertes dégageant son abricot.

• Après tout pourquoi pas ?

Je remonte sur le lit et je me positionne au pied juste en face d’elle, sa main bouge un peu sur son petit bouton, petit à petit, ses doigts s’écartent, l’un d’entre eux descend le long de ses grandes lèvres et va se planter dans son vagin.
Vite rejoint par d’autres doigts qui font des va-et-vient de plus en plus rapides entre ses lèvres.
La main remonte luisante de cyprine et un doigt vient reprendre son bouton d’amour. Il fait de petits ronds pendant un petit moment, puis redescend se lubrifier avec ses compagnons et recommence son manège.
Ses jambes ouvertes en grand, je peux voir cette main entrer en partie et ressortir de son vagin, son sexe s’ouvrir de plus en plus, laissant la main s’enfoncer un peu plus à chaque sollicitation.
La main remonte ruisselante de cyprine, son doigt repart sur son clitoris et tourbillonne, son ventre commence à onduler, son doigt accélère son mouvement, sa respiration s’accélère, sa tête bouge, son corps commence à se raidir.
Elle ouvre les yeux, me regarde.

• C’est pour toi, Natacha chérie.

Son doigt tourne à une vitesse folle autour de son clitoris, son corps se crispe, elle resserre ses jambes emprisonnant sa main comme si elle voulait l’empêcher de lui donner ce plaisir que je souhait voir, arque bouté, son corps est tendu vers ce plaisir que je vois monter en elle.
Son regard embué est tourné vers moi, je vois qu’elle prend un immense plaisir à faire ce qu’elle fait, elle me donne son plaisir, elle va jouir pour moi, tout à coup, elle tressaute.

• Oui, je jouis, je jouis, pour toi chérie, pour toi, je jouis.

Son corps vibre, sa cyprine m’éclabousse, sa tête va de gauche à droite, elle finit par retomber sur le lit, me regarde en souriant.

• Quel pied, que c’est bon de s’offrir.

Je me penche pour déposer un baiser sur ses lèvres, je la sens se détendre, elle est heureuse.
Heureuse d’avoir cédé à mon envie et d’en avoir pris un immense plaisir.
Ma main avance vers son bas-ventre pour atterrir sur son sexe encore ruisselant de ses éjaculations vaginales.
J’écarte sa main toujours introduite en elle, mon index et mon majeur la pénètrent.

• Oui chérie, ta main.

Je la regarde, elle me sourit, fait onduler ses fesses et donne des coups vers l’avant, je resserre mes doigts en pointe et pousse tout doucement.
Mes doigts pénètrent lentement dans notre nid d’amours que je sens plus souple.
Il se dilate exagérément, à tel point que mes doigts s’enfoncent sans le moindre problème.

• Oui chérie, vas-y, j’aime.

Sans prendre le temps de réfléchir je pivote de cent quatre-vingts degrés et me place sur sa bouche.

• Je souhaite que tu me fasse pareille !

Je suis trempée rien qu’à l’idée et je sens ses doigts prendre possession de ma grotte, plutôt ma caverne tellement je sens mon ventre avoir une profondeur abyssale.
Je pousse, elle pousse, un peu plus, ma main, sa main, finit par pénétrer nos intimités jusqu’à nos poignets.
Je la pistonne, elle me pistonne, d’un mouvement lent et très ample.
Nous laissons monter en nous une gigantesque vague de plaisir.
Nous sommes là pour nous, pour nous faire jouir, pour qu’on perde la tête, pour ignorer où on est.
Je me penche pour m’emparer de son clitoris bien gonflé du bout de mes lèvres, elle m’imite, nos langues s’activent sur l’un et l’autre de nos clitoris.
On amplifie nos va-et-vient pour qu’à chaque mouvement, nos mains sortent de nos sexes pour y replonger plus profondément c’est du moins le sentiment que j’en ai.
Nous sommes sur une autre planète.
J’ai une sensation de possession quand je sens ma main se heurter à l’entrée de sa chatte et l’ouvrir violemment pour m’enfoncer jusqu’à toucher son col de l’utérus. Nos mains nous pistonnent, nos langues titillent nos abricots.
Nos mains, poing fermé, partent en rotation et nos dents cisaillent nos clitos. L’imminence d’un tsunami est proche.
La délivrance arrive dans des geysers de cyprine respective.
Nos orgasmes se confondent dans un unique cri de plaisir.


On perd la notion de l’endroit ou nous sommes à mille lieues de l’origine de notre venue, finie les courtisanes ou les putes nous sommes deux amantes refusant de se séparer.
On vit ce moment intensément, on se donne sans retenue étant à l’écoute du corps de l’autre pour en tirer la quintessence de nos plaisirs.
Doucement je pivote pour m’allonger à son côté et l’on revient avec du mal dans le monde réel, on ouvre les yeux, on se regarde avec un très beau sourire et nos bouches se retrouvent avec force dans un baiser supplémentaire parmi les nombreux baisers que nous nous sommes donnés depuis notre rencontre.

• En attendant, j’ai fait ce que tu m’as demandé, moi j’attends toujours que tu me fasses voir comment tu te masturbes.
• Ok, laisse-moi ta place.

Elle se place au pied du lit dans l’axe de mon corps, je me cale la tête sur l’oreillé, la regarde droit dans les yeux, écarte les jambes et pose ma main sur mon sexe.
Je caresse un peu mon clitoris, juste pour être assez humide, ce qui arrive très vite étant donné ce que nous venons de faire.
Je plonge ma main dans mon vagin, je me lubrifie bien les doigts et remonte vers mon clitoris.
Avec mon majeur, je le malaxe, le titille et je le fais rouler dessus avec un mouvement circulaire.
De temps en temps, je plonge ma main au fin fond de ma chatte, comme Nadia vient de me le faire profondément.
Au bout d’un moment, mon corps réagit, je me laisse aller, je regarde toujours Nadia droit dans les yeux, elle soutient mon regard.

• Regarde chérie, c’est pour toi.

Elle me regarde intensément, je sens une vague monter en moi, grossir, m’envahir entièrement, mon ventre se crispe, mes muscles se tendent, mon corps se soulève, mon cœur s’emballe, je suis devenu sexe se précipitant dans l’extase pour finir par me faire exploser dans une sublime gerbe orgasmique que je prolonge le plus possible.
Nos habituelles gerbes d cyprines semblant intarissables vues ce qui est déjà sorti de moi et qui trempe les draps soyeux giclent partout.
Je suis à peine retombée sur le lit que je sens une main écartant la mienne s’enfonçant sans hésiter au fond de mes entrailles.
Une bouche se pose sur mon bouton d’amour, l’aspire, le lèche, suce, mordille tout ce qu’il faut pour me faire exploser une énième fois.
La main s’enfonce de plus en plus, un doigt vient caresser mon col, la main s’ouvre quand elle se retire, sort une seconde et vient se replanter en moi violemment, poing fermé pour s’enfoncer plus loin si c’est possible.
Comment résister plus longtemps ?
De nouveau cette vague me submerge, fait rouler mon corps, me soulève dans les nuages et enfin me faire entrer au septième ciel.
J’ai quitté notre chambre, je me laisse aller à ce plaisir intense, profond, entier.
Quand je reviens à moi, Nadia est assise à côté de moi et me regarde tendrement.

• Tu es très belle quand tu jouis.
• Toi aussi chérie, une femme est toujours belle quand elle jouit, c’est le bonheur qui nous embellit.
• As-tu vu ta tête ?
• Si elle est comme la tienne, je suis laide.
• Je confirme !
• Et en plus on sent la femelle en chaleur, une douche, non un bain nous ferait le plus grand bien.
• Je te suis !

La baignoire est une nouvelle fois le prétexte à des jeux de mains et à une multitude de baisers.

• Chérie, puis-je te poser une question ?
• Tu peux être sûr que ma réponse sera à la hauteur de notre amour, je veux qu’aucun nuage vienne obscurcir ce ciel que nous voyons pointer par la fenêtre.
• Avant que nous recommencions nos jeux, tu as dit que ta sœur avait peut-être ce genre de jouet en parlant de mes godes.
Parle-moi d’elle, elle semble plus délurée que toi, tu as pourtant choisi d’être.
• Une pute !
Pardons une courtisane pour toi.
• Oui parle-moi d’elle et ce qu’elle fait.

Une nouvelle fois j’ai répondu trop vite en disant à Nadia que je vais lui dire toute la vérité mais elle-même a été franche quand elle m’a expliqué son propre parcours.

• Natacha est ma sœur jumelle.
• Natacha je croyais que c’était toi !
• Évite de m’embrouiller, tu vas comprendre c’est très simple et très compliqué à la fois.

Je commence mon histoire et le regard de Nadia est de plus en plus étonné sur l’aventure que je vis en faisant un remplacement pour ma pute de frangine.
Je lui dis tout jusqu’à notre rencontre.

• Qu’elle aventure, tu devrais écrire un livre les lecteurs vont se passionner mais avant je comprends que tu souhaites récupérer ta vie de femme mariée et fidèle bien que je sens que tu es devenue accro à tes galipettes avec tes clients et que tu risques de regretter de revenir à une vie monacale.
Sans compter que si tu retrouves ton mari nous perdons l’occasion de recommencer des nuits torrides comme celle-ci et cela me manquerait.
J’ai une idée, reprend ta place et organise une soirée entre filles à Paris dans l’appartement de ta sœur avec elle bien sûr et nous ferons plus ample connaissance.
• C’est une idée, Vivian part souvent pour plusieurs jours voir semaine et nous le savons plusieurs semaines à l’avance je suis certaine que Natacha sera heureuse de nous recevoir pour cette soirée.
Sortons de l’eau j’ai un peu froid.
• Attends, une dernière chose, vos prénoms, qui est qui et peux-tu me dire vos vrais prénoms.
• Moi mes parents m’ont appelé Aurélie et ma sœur Nadine d’où Natacha avec nos clients.
• Et toi.
• Nadia, mon prénom est le même, j’avais le sentiment d’être nue si j’en avais changé.

Est-elle vraiment sincère, mais nous avons juré de nous nous dire alors pourquoi me mentirait-elle ?
De retour dans la chambre, j’appelle la réception pour nous faire apporter un grand petit-déjeuné.
Nadia a de la route à faire pour rentrer à Aix-en-Provence et moi j’ai un avion à retrouver à Toulouse, elle part à gauche du château et de mon côté je pars à droite.
Nous finissions de nous maquiller quand on frappe à la porte, Nadia va ouvrir s’étant recouverte d’un peignoir et la même serveuse qu’hier nous apporte un plateau bien appétissant.
Le lit est dans un état minable mais en bonne professionnelle elle fait celle qui regarde ailleurs, surtout que je reste nue une main appuyée sur le guéridon surmonté par une glace ou je mets mon rouge à lèvres.
Si la serveuse ignore le lit dans la glace je vois son regard mattant intensément ma chute de rein que je tends en arrière pour mieux me voir.
Nous prenons notre collation sur le balcon face à la piscine ce qui est magnifique avant le moment de quitter la chambre ou j’aurais toujours plaisir à revenir surtout si Nadia a un rendez-vous elle aussi, consciente du travail que nous laissons au personnel, nous laissons chacune un billet de 50 € sur le petit guéridon.
C’est sous le porche de l’hôtel que nous nous embrassons une dernière fois, non sans avoir échangé nos 06 .. mais le perso pour moi et de nous faire la promesse de nous revoir rapidement à Paris.
Pour moi il y aura un avant et un après Nadia, je sais que plus jamais je ne jouirais de la même façon.
Quand j’ai la pensée de revenir ici voir un client si Nadia est là aussi, j’en arrive même à me poser la question de continuer à me prostituer et de laisser Nadine continuer de se faire baiser par Vivian…

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