Le rendez-vous est pris.

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le rendez-vous est pris.
Comme depuis quelques mois, tous les jours je rends une visite à mon père hospitalisé. Quelle est ma surprise en entrant dans la chambre de voir le lit de mon père vide. Tout de suite, je suis pris de panique, imaginant le pire. Mais très vite, son voisin de lit, comprenant ma détresse, me rassure.
-T’inquiète, il est en salle d’examen…
-Merci, tu ne peux pas savoir comment tu me rassures là !
Je prends place sur le siège visiteur et tente de récupérer de mes émotions. Cela fait bien rire Antoine, le voisin.
-Tiens, maintenant que je te tiens, j’ai quelque chose à te dire.
-J’espère que ce n’est pas une mauvaise nouvelle, au moins.
-Enfin, rien à voir avec la santé de ton père.
-Bien, je t’écoute alors.
-Tu connais ma femme ?
-Babette !
-Elle-même, oui. Tu sais comme c’est dur pour elle de subir mon état.
-Oui, comme le fait ma mère.
-Oui, mais ta mère vous a. Ce qui n’est pas le cas pour Babette. Elle est seule au monde sans moi. Et l’avenir n’est pas joli, comme tu peux l’imaginer !
-Et pourquoi tu me dis cela ? Tu sais quelque chose qu’on ne sait pas ?
-Tout bonnement parce que j’ai besoin que tu me rendes un service. Mais avant tout, as-tu une copine ?
-Pas en ce moment.
-Pourquoi cela ne t’intéresse pas ?
-Je trouve les filles de mon âge, fades.
Cela le fait rire.
-Je vois ! Me lâche-t-il. Et les plus mûres, tu as quelque chose contre elles ?
Bien sûr, je me retiens de lui parler de mes relations avec les femmes de mon quartier. Dont ma perversité avec elles se développe à l’aise, comme une fleur au soleil. Alors je fais le bêbête.
-Je ne saisis pas là, où tu veux en venir!
-Tu es bête ou quoi. Je parle des mamans.
-Je ne sais pas !
-Bien sûr que tu ne sais pas, puisque tu n’as jamais eu de relation avec elles.
-Je ne vois vraiment pas Antoine où tu veux en venir.
-Attend, sois patient, j’y arrive. En ce qui concerne les femmes mûres, sache par ma propre expérience, que ce sont les meilleurs coups.
Il ne croit pas si bien dire !
-Et que même, ajoute-t-il, si j’avais ton âge, c’est du côté d’elles que je m’aventurerais. Par leurs expériences, elles t’apprendront que de bonnes choses. Et tu ne sais peut-être pas, mais Babette est de ce tonneau-là.
Peu à peu je comprends où il veut en venir. Et bien sûr Babette, sa femme me procurait jusqu’alors, une sensation qui n’est pas que de l’amour.
Mais, un besoin violent de satisfaire ma curiosité sexuelle m’envahit. Une envie de m’assurer de la grâce des mystères charmants qu’elle dissimule sous ses jupes ou sous ses robes. Chastement trop longue pour mon avis personnel. Que j’essaie tant bien que mal, d’entrevoir en employant des ruses que je pense les meilleures.
-Tu ne vois toujours pas où je veux en venir, Alain ?
-Je suis désolé, Antoine, mais toujours pas.
-Bon, pour aller droit au but, je t’offre ma femme sur un plateau…
-Mais ça ne va pas Antoine, qu’est-ce que tu dis là. La maladie te fait perdre la tête ?
-Loin de là mon gars ? Je n’ai pas besoin de te faire un dessin. Tu vois bien dans l’état où je me trouve. Et sache que Babette est tout à fait en harmonie avec moi sur ton sujet.
-Tu veux dire que ta femme…
C’est alors que la porte de la chambre s’ouvre et que mon père m’apparaît couché sur une civière.
-Nous finirons cette conversation plus tard, si tu veux bien ?
-Qu’est-ce que vous complotez tous les deux, fait mon père.
-Une discussion entre hommes, répond Antoine.
Pas plus tard que le lendemain, le hasard a fait que mon père était de nouveau absent.
-Viens par là, me fait Antoine. Pour finir la conversation d'hier, j’aimerais que tu t’occupes de ma femme, Babette. Sexuellement parlant.
-C’est un peu spécial ce que tu me dis là !
-Mais non, ma femme a été si exceptionnelle jusqu’alors avec moi, que je lui dois bien ça. Et du plaisir, mon gars, sache que ma Babette en a un grand besoin. J’ai fait jusqu’alors de mon mieux pour la satisfaire, mais je suis en bout de force. La maladie me tue à petit feu. Alors j’aimerais la savoir heureuse.
-Mais pourquoi moi !
-Pourquoi toi. Bonne question ! Tout bonnement parce que tu plais à ma femme. Et quand je lui es proposé un partenaire, elle a tout de suite pensée à toi.
-Je ne sais pas ! C’est un peu dur ce que tu me proposes là ?
-Tu ne sais pas quoi ? Elle ne te plaît pas ?
-Ce n'est pas ça.
-C’est quoi alors ?
-Je te connais trop bien, et je te respects trop bien pour te faire cela.
-Et alors c’est moi qui te l’offre. Tu peux me croire, elle s’est y faire la Babette. Crois-moi, tu ne vas pas être déçu. Aller accepte !
-Je ne sais pas, Antoine.
-Essaye au moins une fois. C’est une chaude Babette. D’ailleurs, de toi à moi, elle ne porte jamais de culotte.
-Arrête, Antoine….
-D’ailleurs, elle n'en a pas besoin. Rit-il. La nature lui en a faufilé une à vie, si tu vois ce que je dis.
Parfaitement clair pour moi. Mais voilà, comme souvent mon instinct me dicte de continuer à faire l’idiot.
-Je ne vois pas non…
-Va la voir et tu comprendras.
Il n’en ajoute pas plus. Sauf au moment où j’ai quitté la chambre.
-Alain, je compte sur toi pour réfléchir.
-Vous parlez de quoi ? Réplique, mon père.
-Rien…rien, une petite intrigue entre-nous. Et tiens Alain, prends ce journal. Me fait-il en me le tendant.
Je le prends machinalement et sors de la pièce. Dans le couloir, à l’abri du regard indiscret, j’ouvre le journal, curieux de savoir ce qu’il contenait. Un cliché s’y trouve. Une une photo où Babette pose nue. Couchée qu’elle est, sur le dos, les mains derrière la tête, les seins dressés, le ventre creusé, le pubis couvert d’une fabuleuse toison noir. Elle a l’air très cochon, carrément impudique, même. Une émotion que je connais bien, m’alourdi la queue. Au point de ne plus me poser des questions et de chevaucher ma mobylette pour aller rejoindre Babette à son domicile.
Je bande toujours aussi dur, quand je dépose ma mobylette contre le mur. Dans un premier temps, avec Babette, nous nous sommes fait la bise. Babette est maquillée avec discrétion. Elle est loin d’être surprise de ma présence. Si je me suis décidé de venir jusqu’à chez elle, c’est bien parce que les femmes de son âge sont loin de me laisser indifférentes. Mais surtout qu’elles sont plus faciles à séduire que les filles de mon âge.
Comme attendu, Bavette rentre très vite dans le vif du sujet.
-C’est Antoine qui t’envoie ?
-C’est lui-même, oui…
-Et alors ? Me lâche-t-elle.
-Et alors quoi ?
-Je ne sais pas moi. Pourquoi es-tu venu ?
Sur une inspiration subite. Je la prends dans mes bras, l’attire à moi, et l’embrasse sur la bouche avec passion, en y mettant la langue. Dans le même temps, je presse avec insistance ses seins d’une main et lui soulève sa robe de l’autre. Comme le mari me l’avait dit, elle ne porte pas de culotte. Je lui triture les fesses. Parvient à glisser un doigt au milieu de ses poils très fournis, là aussi Antoine n’avait pas menti. Je me mets à frotter le bouton.
Je lui écarte les cuisses, introduis le majeur et l’index dans son vagin déjà trempé. Je commence à la masturber en la soutenant pour qu’elle ne tombe pas.
-Et bien ! Lâche-t-elle, une fois que j’ai retiré ma langue de sa bouche. Si je m’attendais à cela de ta part.
-Déçu, Babette, lui fais-je en la menant jusqu’au divan.
Où j’entreprends de la déshabiller. Ce qui ne prend que quelques instants, puisqu’elle ne porte pas de sous-vêtement. Elle s’enfonce dans le canapé en écartant en grand les cuisses qu’elle rejette en arrière, la tête renversée.
-Tu aimes la crème de marron ? Laisse-t-elle tomber en se saisissant du pot sur la table basse à côté d’un plat de crêpes. Tout en me fixant, elle attrape la queue de la cuillère, l’enfonce dans le pot, la ressors pleine de crème et la porte à sa bouche. Une couche épaisse recouvre sa bouche.
-Embrasse-moi de nouveau !
Je plonge sur elle. Mes lèvres sur les siennes. Nous dévorons l’un l’autre cette crème onctueuse jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Sur ce, elle se laisse tomber en arrière sur le divan. Dans cette position passagère, j’aperçois son petit trou en dessous de sa fente.
-Mon salaud, je n’aurais rien misé sur toi ! Antoine avait donc raison, tu caches bien ton jeu, chenapan ! Tu veux encore de la crème ?
-Je ne dis pas non…
Elle plonge de nouveau la cuillère dans le pot et une fois pleine, la dirige la cuillère vers sa chatte. La tapisse d’une épaisse couche de crème. Elle laisse tomber d’un ton impérieux :
-Cela te dit ?
-Cela me dit, oui !
-Alors, honore-moi !
Je m’agenouille. J’avance la tête au niveau de sa fourche. Une de ses mains me saisit par les cheveux et me guide vers sa chatte. Je me mets à la lécher. La bouche grande ouverte, la langue qui lape. Elle appuie sur ma tête. Écrase mon visage contre son sexe collant. Je donne de larges et méthodiques coups de langue. Peu à peu la crème n’y est plus. Toute la chatte de Babette, ainsi que le haut de ses cuisses scintillent de salive et de mouille.
Une fois encore, elle reprend une cuillère pleine de marron et tapisse une fois encore ses lèvres intimes. Quand elle a fini, elle me regarde d’un air insatisfait.
-Tu en reprendrais bien encore un peu, gourmand ?
Je replonge ma langue entre ses lèvres et l’insinue dans l’entrée du vagin. Elle grogne et appuie de plus belle sa main sur ma tête. Je tire la langue au maximum dans la cavité. Ma langue effectue des mouvements de haut en bas. Avec tout ça, sa mouille se répand le long de sa raie et vient humidifier son trou du cul. Elle me tire les cheveux et, haletante, exige :
-Ta queue, je ne tiens plus, je veux ta queue !
J’ai devant moi une femme privée de sexe et qui veut être prise sans plus tarder. Je me redresse pour cela et me cale sur sa croupe.
-Oui… oui, il faut à tout prix que tu me défonces !
Je connais parfaitement cette catégorie de femme. Dont le désir irrépressible qui s’empare d’elle, les conduise à faire n’importe quoi avec n’importe qui.
Alors je lui fourre ma queue. Elle inspire profondément. Son minou pince ma queue à chaque coup de reins. Je la ramone avec frénésie. Les coups que je lui porte, additionnés à sa propre excitation, font vibrer son ventre. Je ne sais pas comment j’ai fait ce jour-là, pour ne pas éjaculer sur le coup. Je me retire pour me calmer un peu, mais c’est loin d’être ce qu’elle désirait.
-On va changer de position ! Je lui fais.
-Tu veux que je me mette comment, mon chou ?
-Comme tu veux…
Elle se retourne et se place à quatre pattes, mettant son cul en l’air.
-Encore un peu de marron pour le jeune homme ?
-Je ne dis pas non…
-Badigeonne-moi le cul, mon beau…
Je me saisis du bol et, avec l’aide de la cuillère, enduis de la crème tout le long de sa raie. Je plonge ma tête entre ses fesses. En partant de sa chatte, je fais remonter ma langue le long de sa raie. En me régalant de la crème. Ma langue fait connaissance avec son trou du cul. Je finis d’engloutir la crème.
-Encore de la crème… Me fait-elle.
J’en remets une couche de crème. Je devine que mes coups de langue sur son anus l’ont excité. Son anus bâille d’envie. Je me mets à embrasser son cul. Je le lape avec dévotion. J’enfonce mon index tendu lentement mais résolument dans son trou. Millimètre après millimètre, je le fais disparaître dans ses chairs.
Elle miaule de ravissement. J’enfonce un second doigt. Je me mets à les faire remuer en tous sens. Elle ronronne de plus belle. J’embrasse de nouveau son trou, ses fesses, sa chatte. Essaye d’insérer le bout de ma langue. Ses chairs tièdes l’accueillent.
Il est temps de lui mettre autre chose que des doigts. Je me redresse et pose mon gland au milieu de sa raie. J’appuie mon gland sur l’anus. Il me faut quelques pressions pour que sa rondelle s’ouvre et fasse entrer mon gland. Tout en poussant, je sens à l’intérieur, les parois de son cul se déformer au passage de ma queue. Un long râle s’échappe de sa bouche.
Ma queue gonflée à bloc a disparu dans son trou. Je me mets à la chevaucher lentement. Les chairs anales refluent et s’enfoncent à chaque aller et retour. J’accélère la cadence. Elle pousse des cris rauques à chaque poussée. Je la soupçonne d’être une nymphomane.
- Viens… viens plus fort…
La voix pressante décuple ma tension, dont le sang bat les tempes jusqu’à m’étourdir. Crispé sur elle, je vais et viens, plus loin, plus fort, heurtant à chaque coup ses fesses dures et je me sens répondre à la violence, d’abord d’un mouvement presque imperceptible, puis de plus en plus affirmé.
Chaque fois que je m’enfonce en elle, les reins que je viole semblent se prêter davantage à l’étreinte. Son halètement devient gémissement, râles, cris cassés au ras de la gorge. Le plaisir ouvre son corps et je pénètre sa croupe sans guère plus d’effort que je l’ai fait avec une chatte.
Je sentis venir mon orgasme et continuais de la sodomiser, accélérant encore mon rythme. Ma jouissance est très proche. Je me cambre. Pousse un cri, et mon sperme jaillit de mon méat pour tapisser son rectum. Je reste un instant abandonné. Ma queue dans son cul. Elle débande à peine. Je suis tenté de continuer, mais voilà qu’elle me lâche :
- Oh ! Tu ne peux pas savoir à quel point j’avais envie de cette relation, mon chou ! Comme tu ne peux pas savoir comment ce n’est pas toujours drôle de manquer de partenaire. Avec Antoine on faisait ça constamment. Mais depuis que la maladie la ronger, ce n’est plus possible. A plusieurs reprises, il m’a conseillé d’aller voir ailleurs. Ce que j’ai catégoriquement refusé. Mais voilà tu es arrivé dans ma vie. Et j’ai vue en toi un peu d’Antoine, alors j’ai flashé. Tu connais la suite. Tu restes avec moi cette nuit ?
-Je ne sais pas.
-Comment ça tu ne sais. Mais mon chou tu m’appartiens, à présent. Et tu vas voir mon chou, nous allons faire plein de chose ensemble.
Le rendez-vous est pris !
-T’inquiète, il est en salle d’examen…
-Merci, tu ne peux pas savoir comment tu me rassures là !
Je prends place sur le siège visiteur et tente de récupérer de mes émotions. Cela fait bien rire Antoine, le voisin.
-Tiens, maintenant que je te tiens, j’ai quelque chose à te dire.
-J’espère que ce n’est pas une mauvaise nouvelle, au moins.
-Enfin, rien à voir avec la santé de ton père.
-Bien, je t’écoute alors.
-Tu connais ma femme ?
-Babette !
-Elle-même, oui. Tu sais comme c’est dur pour elle de subir mon état.
-Oui, comme le fait ma mère.
-Oui, mais ta mère vous a. Ce qui n’est pas le cas pour Babette. Elle est seule au monde sans moi. Et l’avenir n’est pas joli, comme tu peux l’imaginer !
-Et pourquoi tu me dis cela ? Tu sais quelque chose qu’on ne sait pas ?
-Tout bonnement parce que j’ai besoin que tu me rendes un service. Mais avant tout, as-tu une copine ?
-Pas en ce moment.
-Pourquoi cela ne t’intéresse pas ?
-Je trouve les filles de mon âge, fades.
Cela le fait rire.
-Je vois ! Me lâche-t-il. Et les plus mûres, tu as quelque chose contre elles ?
Bien sûr, je me retiens de lui parler de mes relations avec les femmes de mon quartier. Dont ma perversité avec elles se développe à l’aise, comme une fleur au soleil. Alors je fais le bêbête.
-Je ne saisis pas là, où tu veux en venir!
-Tu es bête ou quoi. Je parle des mamans.
-Je ne sais pas !
-Bien sûr que tu ne sais pas, puisque tu n’as jamais eu de relation avec elles.
-Je ne vois vraiment pas Antoine où tu veux en venir.
-Attend, sois patient, j’y arrive. En ce qui concerne les femmes mûres, sache par ma propre expérience, que ce sont les meilleurs coups.
Il ne croit pas si bien dire !
-Et que même, ajoute-t-il, si j’avais ton âge, c’est du côté d’elles que je m’aventurerais. Par leurs expériences, elles t’apprendront que de bonnes choses. Et tu ne sais peut-être pas, mais Babette est de ce tonneau-là.
Peu à peu je comprends où il veut en venir. Et bien sûr Babette, sa femme me procurait jusqu’alors, une sensation qui n’est pas que de l’amour.
Mais, un besoin violent de satisfaire ma curiosité sexuelle m’envahit. Une envie de m’assurer de la grâce des mystères charmants qu’elle dissimule sous ses jupes ou sous ses robes. Chastement trop longue pour mon avis personnel. Que j’essaie tant bien que mal, d’entrevoir en employant des ruses que je pense les meilleures.
-Tu ne vois toujours pas où je veux en venir, Alain ?
-Je suis désolé, Antoine, mais toujours pas.
-Bon, pour aller droit au but, je t’offre ma femme sur un plateau…
-Mais ça ne va pas Antoine, qu’est-ce que tu dis là. La maladie te fait perdre la tête ?
-Loin de là mon gars ? Je n’ai pas besoin de te faire un dessin. Tu vois bien dans l’état où je me trouve. Et sache que Babette est tout à fait en harmonie avec moi sur ton sujet.
-Tu veux dire que ta femme…
C’est alors que la porte de la chambre s’ouvre et que mon père m’apparaît couché sur une civière.
-Nous finirons cette conversation plus tard, si tu veux bien ?
-Qu’est-ce que vous complotez tous les deux, fait mon père.
-Une discussion entre hommes, répond Antoine.
Pas plus tard que le lendemain, le hasard a fait que mon père était de nouveau absent.
-Viens par là, me fait Antoine. Pour finir la conversation d'hier, j’aimerais que tu t’occupes de ma femme, Babette. Sexuellement parlant.
-C’est un peu spécial ce que tu me dis là !
-Mais non, ma femme a été si exceptionnelle jusqu’alors avec moi, que je lui dois bien ça. Et du plaisir, mon gars, sache que ma Babette en a un grand besoin. J’ai fait jusqu’alors de mon mieux pour la satisfaire, mais je suis en bout de force. La maladie me tue à petit feu. Alors j’aimerais la savoir heureuse.
-Mais pourquoi moi !
-Pourquoi toi. Bonne question ! Tout bonnement parce que tu plais à ma femme. Et quand je lui es proposé un partenaire, elle a tout de suite pensée à toi.
-Je ne sais pas ! C’est un peu dur ce que tu me proposes là ?
-Tu ne sais pas quoi ? Elle ne te plaît pas ?
-Ce n'est pas ça.
-C’est quoi alors ?
-Je te connais trop bien, et je te respects trop bien pour te faire cela.
-Et alors c’est moi qui te l’offre. Tu peux me croire, elle s’est y faire la Babette. Crois-moi, tu ne vas pas être déçu. Aller accepte !
-Je ne sais pas, Antoine.
-Essaye au moins une fois. C’est une chaude Babette. D’ailleurs, de toi à moi, elle ne porte jamais de culotte.
-Arrête, Antoine….
-D’ailleurs, elle n'en a pas besoin. Rit-il. La nature lui en a faufilé une à vie, si tu vois ce que je dis.
Parfaitement clair pour moi. Mais voilà, comme souvent mon instinct me dicte de continuer à faire l’idiot.
-Je ne vois pas non…
-Va la voir et tu comprendras.
Il n’en ajoute pas plus. Sauf au moment où j’ai quitté la chambre.
-Alain, je compte sur toi pour réfléchir.
-Vous parlez de quoi ? Réplique, mon père.
-Rien…rien, une petite intrigue entre-nous. Et tiens Alain, prends ce journal. Me fait-il en me le tendant.
Je le prends machinalement et sors de la pièce. Dans le couloir, à l’abri du regard indiscret, j’ouvre le journal, curieux de savoir ce qu’il contenait. Un cliché s’y trouve. Une une photo où Babette pose nue. Couchée qu’elle est, sur le dos, les mains derrière la tête, les seins dressés, le ventre creusé, le pubis couvert d’une fabuleuse toison noir. Elle a l’air très cochon, carrément impudique, même. Une émotion que je connais bien, m’alourdi la queue. Au point de ne plus me poser des questions et de chevaucher ma mobylette pour aller rejoindre Babette à son domicile.
Je bande toujours aussi dur, quand je dépose ma mobylette contre le mur. Dans un premier temps, avec Babette, nous nous sommes fait la bise. Babette est maquillée avec discrétion. Elle est loin d’être surprise de ma présence. Si je me suis décidé de venir jusqu’à chez elle, c’est bien parce que les femmes de son âge sont loin de me laisser indifférentes. Mais surtout qu’elles sont plus faciles à séduire que les filles de mon âge.
Comme attendu, Bavette rentre très vite dans le vif du sujet.
-C’est Antoine qui t’envoie ?
-C’est lui-même, oui…
-Et alors ? Me lâche-t-elle.
-Et alors quoi ?
-Je ne sais pas moi. Pourquoi es-tu venu ?
Sur une inspiration subite. Je la prends dans mes bras, l’attire à moi, et l’embrasse sur la bouche avec passion, en y mettant la langue. Dans le même temps, je presse avec insistance ses seins d’une main et lui soulève sa robe de l’autre. Comme le mari me l’avait dit, elle ne porte pas de culotte. Je lui triture les fesses. Parvient à glisser un doigt au milieu de ses poils très fournis, là aussi Antoine n’avait pas menti. Je me mets à frotter le bouton.
Je lui écarte les cuisses, introduis le majeur et l’index dans son vagin déjà trempé. Je commence à la masturber en la soutenant pour qu’elle ne tombe pas.
-Et bien ! Lâche-t-elle, une fois que j’ai retiré ma langue de sa bouche. Si je m’attendais à cela de ta part.
-Déçu, Babette, lui fais-je en la menant jusqu’au divan.
Où j’entreprends de la déshabiller. Ce qui ne prend que quelques instants, puisqu’elle ne porte pas de sous-vêtement. Elle s’enfonce dans le canapé en écartant en grand les cuisses qu’elle rejette en arrière, la tête renversée.
-Tu aimes la crème de marron ? Laisse-t-elle tomber en se saisissant du pot sur la table basse à côté d’un plat de crêpes. Tout en me fixant, elle attrape la queue de la cuillère, l’enfonce dans le pot, la ressors pleine de crème et la porte à sa bouche. Une couche épaisse recouvre sa bouche.
-Embrasse-moi de nouveau !
Je plonge sur elle. Mes lèvres sur les siennes. Nous dévorons l’un l’autre cette crème onctueuse jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Sur ce, elle se laisse tomber en arrière sur le divan. Dans cette position passagère, j’aperçois son petit trou en dessous de sa fente.
-Mon salaud, je n’aurais rien misé sur toi ! Antoine avait donc raison, tu caches bien ton jeu, chenapan ! Tu veux encore de la crème ?
-Je ne dis pas non…
Elle plonge de nouveau la cuillère dans le pot et une fois pleine, la dirige la cuillère vers sa chatte. La tapisse d’une épaisse couche de crème. Elle laisse tomber d’un ton impérieux :
-Cela te dit ?
-Cela me dit, oui !
-Alors, honore-moi !
Je m’agenouille. J’avance la tête au niveau de sa fourche. Une de ses mains me saisit par les cheveux et me guide vers sa chatte. Je me mets à la lécher. La bouche grande ouverte, la langue qui lape. Elle appuie sur ma tête. Écrase mon visage contre son sexe collant. Je donne de larges et méthodiques coups de langue. Peu à peu la crème n’y est plus. Toute la chatte de Babette, ainsi que le haut de ses cuisses scintillent de salive et de mouille.
Une fois encore, elle reprend une cuillère pleine de marron et tapisse une fois encore ses lèvres intimes. Quand elle a fini, elle me regarde d’un air insatisfait.
-Tu en reprendrais bien encore un peu, gourmand ?
Je replonge ma langue entre ses lèvres et l’insinue dans l’entrée du vagin. Elle grogne et appuie de plus belle sa main sur ma tête. Je tire la langue au maximum dans la cavité. Ma langue effectue des mouvements de haut en bas. Avec tout ça, sa mouille se répand le long de sa raie et vient humidifier son trou du cul. Elle me tire les cheveux et, haletante, exige :
-Ta queue, je ne tiens plus, je veux ta queue !
J’ai devant moi une femme privée de sexe et qui veut être prise sans plus tarder. Je me redresse pour cela et me cale sur sa croupe.
-Oui… oui, il faut à tout prix que tu me défonces !
Je connais parfaitement cette catégorie de femme. Dont le désir irrépressible qui s’empare d’elle, les conduise à faire n’importe quoi avec n’importe qui.
Alors je lui fourre ma queue. Elle inspire profondément. Son minou pince ma queue à chaque coup de reins. Je la ramone avec frénésie. Les coups que je lui porte, additionnés à sa propre excitation, font vibrer son ventre. Je ne sais pas comment j’ai fait ce jour-là, pour ne pas éjaculer sur le coup. Je me retire pour me calmer un peu, mais c’est loin d’être ce qu’elle désirait.
-On va changer de position ! Je lui fais.
-Tu veux que je me mette comment, mon chou ?
-Comme tu veux…
Elle se retourne et se place à quatre pattes, mettant son cul en l’air.
-Encore un peu de marron pour le jeune homme ?
-Je ne dis pas non…
-Badigeonne-moi le cul, mon beau…
Je me saisis du bol et, avec l’aide de la cuillère, enduis de la crème tout le long de sa raie. Je plonge ma tête entre ses fesses. En partant de sa chatte, je fais remonter ma langue le long de sa raie. En me régalant de la crème. Ma langue fait connaissance avec son trou du cul. Je finis d’engloutir la crème.
-Encore de la crème… Me fait-elle.
J’en remets une couche de crème. Je devine que mes coups de langue sur son anus l’ont excité. Son anus bâille d’envie. Je me mets à embrasser son cul. Je le lape avec dévotion. J’enfonce mon index tendu lentement mais résolument dans son trou. Millimètre après millimètre, je le fais disparaître dans ses chairs.
Elle miaule de ravissement. J’enfonce un second doigt. Je me mets à les faire remuer en tous sens. Elle ronronne de plus belle. J’embrasse de nouveau son trou, ses fesses, sa chatte. Essaye d’insérer le bout de ma langue. Ses chairs tièdes l’accueillent.
Il est temps de lui mettre autre chose que des doigts. Je me redresse et pose mon gland au milieu de sa raie. J’appuie mon gland sur l’anus. Il me faut quelques pressions pour que sa rondelle s’ouvre et fasse entrer mon gland. Tout en poussant, je sens à l’intérieur, les parois de son cul se déformer au passage de ma queue. Un long râle s’échappe de sa bouche.
Ma queue gonflée à bloc a disparu dans son trou. Je me mets à la chevaucher lentement. Les chairs anales refluent et s’enfoncent à chaque aller et retour. J’accélère la cadence. Elle pousse des cris rauques à chaque poussée. Je la soupçonne d’être une nymphomane.
- Viens… viens plus fort…
La voix pressante décuple ma tension, dont le sang bat les tempes jusqu’à m’étourdir. Crispé sur elle, je vais et viens, plus loin, plus fort, heurtant à chaque coup ses fesses dures et je me sens répondre à la violence, d’abord d’un mouvement presque imperceptible, puis de plus en plus affirmé.
Chaque fois que je m’enfonce en elle, les reins que je viole semblent se prêter davantage à l’étreinte. Son halètement devient gémissement, râles, cris cassés au ras de la gorge. Le plaisir ouvre son corps et je pénètre sa croupe sans guère plus d’effort que je l’ai fait avec une chatte.
Je sentis venir mon orgasme et continuais de la sodomiser, accélérant encore mon rythme. Ma jouissance est très proche. Je me cambre. Pousse un cri, et mon sperme jaillit de mon méat pour tapisser son rectum. Je reste un instant abandonné. Ma queue dans son cul. Elle débande à peine. Je suis tenté de continuer, mais voilà qu’elle me lâche :
- Oh ! Tu ne peux pas savoir à quel point j’avais envie de cette relation, mon chou ! Comme tu ne peux pas savoir comment ce n’est pas toujours drôle de manquer de partenaire. Avec Antoine on faisait ça constamment. Mais depuis que la maladie la ronger, ce n’est plus possible. A plusieurs reprises, il m’a conseillé d’aller voir ailleurs. Ce que j’ai catégoriquement refusé. Mais voilà tu es arrivé dans ma vie. Et j’ai vue en toi un peu d’Antoine, alors j’ai flashé. Tu connais la suite. Tu restes avec moi cette nuit ?
-Je ne sais pas.
-Comment ça tu ne sais. Mais mon chou tu m’appartiens, à présent. Et tu vas voir mon chou, nous allons faire plein de chose ensemble.
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histoire très sympa

