Le séjour chez Anne devient intéressant…
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le séjour chez Anne devient intéressant…
Je suis tranquillement en train de dormir, quand tout à coup un flot de lumière me tombe dessus.
Eclairée par l’illumination qui arrive du couloir, une silhouette que je devine être celle d’Anne se découpe dans l’embrasure de la porte. Comme la lumière la frappe dans le dos, sa robe devient transparente. Je peux voir ses cuisses à travers l’étoffe lumineuse et même la touffe de poils crépus dans la fourche, au bas du ventre.
Penchée à l’intérieur j’aperçois sa main tâtonnait. Elle trouve l’interrupteur et allume. Aussitôt sa robe devient opaque et se n’est pas Anne qui se tient au seuil de la porte mais une parfaite inconnue.
-Mais qui êtes-vous ?
-T’occupe mon beau… quelqu’un qui te veut du bien !
La robe qu’elle porte est assez courte, s’arrêtant en haut des cuisses comme l’aurait fait un short vous devinez le genre !
Ses jambes sont gainées de nylon rouge. Très surpris mais pas moins fasciné, je la regarde entrer dans la chambre. Elle s’arrête en fronçant les sourcils. Pendant un moment, elle me fixe.
-Tu te demandes bien qu’est-ce que je fous là ?
-Je fais oui de la tête. Elle a un rire bref.
-C’est Anne !
-Elle est où ?
-T’occupe…
Je la regarde sans comprendre. Elle fait le tour du lit et s’assoit sur la chaise tournante, me faisant face. Sa robe remonte tout en haut des cuisses dont la blancheur charnue. Mes yeux cherchent alors sous l’ourlet de sa robe. Dans l’angle des cuisses je distingue une tache obscure.
-C’est à ton goût ?
-Pardon !
-Sous ma robe…
Elle parle d’une voix décontracté et cotonneuse, ouvrant et refermant les cuisses d’un mouvement régulier. Sa robe courte étant retroussée jusqu’au bas-ventre, elle m’exhibe la tache velue de son pubis.
-Alors ça te plaît ?
-Oui…
Là elle ouvre les cuisses et elle les laisse ainsi, le pubis largement exposé.
-Tu aimerais y poser tes doigts ?
Je fais oui de la tête. Aussitôt ses cuisses se sont rapprochées, mais avant même qu’elles se joignent, elle les a de nouveau ouvertes pour les laissé béante. Je sens ma queue se durcir inlassablement. La main de la chère inconnue se pose sur la chair de sa cuisse. Cette même main accompagné de sa sœur jumelles a tirent l’ourlet de la robe le plus haut qu’elles pouvaient, en même temps qu’elle soulève son cul. Elle dénude ainsi ses fesses.
Tout en me fixant elle saisit une mèche de sa toison, sur le côté de la vulve, la tiraille amoureusement. Elle entortille la mèche avec laquelle elle jouait autour de ses doigts.
Traitreusement, je me déplace sur le lit pour avoir un angle plongeant sur son intimité.
-Ah, ça m’excite, putain que ça m’excite, fait-elle d’une voix sifflante. Oh, j’ai honte, c’est affreux, non ?
-Pas du tout…
Elle se gratte le pubis, les doigts en râteau. J’entends ses ongles crisser sur les poils bouclés.
-Tu sais si tu veux quelque chose de moi c’est le moment ou jamais… me fait-elle en me montrant de l’index a chatte velue.
Incapable de réponde à son invite je garde mes yeux fixés sur ce qu’elle m’expose.
Je déserte mon lit et me place devant elle.
-Pas touche ! Me fait-elle d’une voix sourde.
Je reste comme ça, les mains derrière le dos, regardant ses doigts jouer avec ses poils. Je me penche et aperçois nettement les chairs humides, les replis, les pétales roses des petites lèvres. L’odeur du sexe, sa touffeur moite arrive à mes narines.
Elle place ses jambes sur les accoudoirs. Le spectacle qu’elle m’offre alors et des plus déroutants. Du bout des doigts, elle tâtonne en haut de la déchirure des muqueuses, à la commissure des grandes lèvres. Entre ses doigts, elle cueille son bouton qu’elle se met à masser tendrement.
Une grosse larme claire coule à l’intérieur du calice rose bordé de mauve. Elle pose son pied gainé nylon rouge au creux de mon épaule et me pousse. Assez pour me faire tomber à la renverse. Elle se relève. Sa rob fait comme un abat-jour. D’où je suis, j’aperçois ses fesses nues et la tache sombre du bas-ventre. Elle m’enjambe. Elle est à présent au-dessus de moi. Une jambe de chaque côté de moi.
La voilà qui s’accroupie au-dessus de mon visage. les fesses à hauteur de ma bouche. son fessier descend au-devant de moi. elle va s’asseoir sur ma figure. Mon réflexe est de poser mes mains sur ses fesses. Sa peau est moite. Son trou du cul s’arrête en l’air. A seulement quelques centimètres de mon nez. Il s’écarquille, s’arrondie, s’élargie et laisse émerger un peu de la chair rosâtre et luisante de la corolle interne.
Entourée de poils follets, son anus forme un O. la muqueuse s’ouvre et se referme comme pour sortir un étron. Mais rien n’y sort !
-Cela te dit de me sucer ?
-Oui Madame…
-Bien… et là je vois son cul s’envoler.
En un tournemain, elle replace sa robe. Puis elle quitte le lieu. Ses talons martèlent le parquet du couloir.
Je reste sans voix, le cul sur le parquet. Une jubilation inexplicable me fait frémir. Je me mets à rire, bêtement. Je bondis sur mes jambes et fonce à mon tour dans le couloir.
-Madame…Madame… partez pas !
-Qu’est-ce que tu veux ?
-J’en veux encore !
-Bien sûr mon beau. Retournant alors dans ta chambre. Tes désirs sont des ordres…
Au fond de moi-même, une petite lampe rougeâtre m’invite à passé à l’acte. Je tombe pour ça à genoux, langue sortie. Elle passe sa main derrière ma nuque et plaque mon visage sur sa chatte. L’odeur de vinaigre bouillant me fit sursauter. J’inhale longuement les effluves et mon sexe gonfle de plus belle. Une essence aphrodisiaque. Mon cerveau chahuté par les élans de mon désir pousse ma langue à s’irrité à ses poils. Elle les écarte à deux mains, pour me livrer le plus intime de sa fente. Je bois ses gouttes de mouille. Sa main se crispe dans mes cheveux. Mon nez enfoui dans ses poils, je respire à grands coups par la bouche, avalant ses effluves les plus intimes. Puis j’enfourne ma langue dans son vagin. Elle lance un cri rauque qui se perd dans la pièce. Ses genoux tremblent à la faire tomber le temps de son orgasme. Elle soupire et pleurniche en répétant :
-Oui, oh oui vas-y, nous sommes fous. Ah, je jouis… oui je jouis !
L’orgasme la laisse pantelante.
-Je suis très bien ici… avec toi, souffle-t-elle. Anne ne m’a pas menti sur ce coup là !
- Je peux savoir ce qu’elle t‘as dit ?
- Plein de bonne chose…
-Oui, je veux bien, mais lesquelles ?
-Sans importance… tu m’as bien fait jouir mon salaud… à mon tour…
Ses yeux luisent d’un éclat qui la rend excitante. Elle effleure mon entrejambe. Mon renflement lui arrache un petit rire de contentement. Très lentement, elle baisse le zip de ma braguette, s’incruste dans son slip. Je sens ses doigts sur ma bite gonflée. Avec dextérité elle me prend à pleine main. Elle la décalotte complètement et commence à me branler avec tendresse.
Après s’être séparer de tout ce qui pouvait la gêner, la voilà qu’elle soupèse doucement les couilles. Les massant un peu, puis reprend son rythme soutenu, sa petite main agitant vigoureusement mon pénis radieux qui se dresse au-dessus de ma toison bien brune et bouclée. Elle m’astique le poireau comme une pro…
Elle a le coup de poignet agile et je me régale du contraste de sa main tiède avec ses bagues froides et dures. Je bande si dur que j’en es mal. Elle joue avec ma queue, ravie du joujou que je lui offre.
À genoux devant moi, elle se penche sur ma virilité. Je sens la chaude humidité de sa bouche enserrer mon sexe dur. Sa langue est active au point de m’offrir une multitude de frissons qui me parcourent tout le corps. Ses va-et-vient, entrecoupés de petits coups de langues tout le long de ma verge bandée, me guide jusqu’à un plaisir infinie.
Eclairée par l’illumination qui arrive du couloir, une silhouette que je devine être celle d’Anne se découpe dans l’embrasure de la porte. Comme la lumière la frappe dans le dos, sa robe devient transparente. Je peux voir ses cuisses à travers l’étoffe lumineuse et même la touffe de poils crépus dans la fourche, au bas du ventre.
Penchée à l’intérieur j’aperçois sa main tâtonnait. Elle trouve l’interrupteur et allume. Aussitôt sa robe devient opaque et se n’est pas Anne qui se tient au seuil de la porte mais une parfaite inconnue.
-Mais qui êtes-vous ?
-T’occupe mon beau… quelqu’un qui te veut du bien !
La robe qu’elle porte est assez courte, s’arrêtant en haut des cuisses comme l’aurait fait un short vous devinez le genre !
Ses jambes sont gainées de nylon rouge. Très surpris mais pas moins fasciné, je la regarde entrer dans la chambre. Elle s’arrête en fronçant les sourcils. Pendant un moment, elle me fixe.
-Tu te demandes bien qu’est-ce que je fous là ?
-Je fais oui de la tête. Elle a un rire bref.
-C’est Anne !
-Elle est où ?
-T’occupe…
Je la regarde sans comprendre. Elle fait le tour du lit et s’assoit sur la chaise tournante, me faisant face. Sa robe remonte tout en haut des cuisses dont la blancheur charnue. Mes yeux cherchent alors sous l’ourlet de sa robe. Dans l’angle des cuisses je distingue une tache obscure.
-C’est à ton goût ?
-Pardon !
-Sous ma robe…
Elle parle d’une voix décontracté et cotonneuse, ouvrant et refermant les cuisses d’un mouvement régulier. Sa robe courte étant retroussée jusqu’au bas-ventre, elle m’exhibe la tache velue de son pubis.
-Alors ça te plaît ?
-Oui…
Là elle ouvre les cuisses et elle les laisse ainsi, le pubis largement exposé.
-Tu aimerais y poser tes doigts ?
Je fais oui de la tête. Aussitôt ses cuisses se sont rapprochées, mais avant même qu’elles se joignent, elle les a de nouveau ouvertes pour les laissé béante. Je sens ma queue se durcir inlassablement. La main de la chère inconnue se pose sur la chair de sa cuisse. Cette même main accompagné de sa sœur jumelles a tirent l’ourlet de la robe le plus haut qu’elles pouvaient, en même temps qu’elle soulève son cul. Elle dénude ainsi ses fesses.
Tout en me fixant elle saisit une mèche de sa toison, sur le côté de la vulve, la tiraille amoureusement. Elle entortille la mèche avec laquelle elle jouait autour de ses doigts.
Traitreusement, je me déplace sur le lit pour avoir un angle plongeant sur son intimité.
-Ah, ça m’excite, putain que ça m’excite, fait-elle d’une voix sifflante. Oh, j’ai honte, c’est affreux, non ?
-Pas du tout…
Elle se gratte le pubis, les doigts en râteau. J’entends ses ongles crisser sur les poils bouclés.
-Tu sais si tu veux quelque chose de moi c’est le moment ou jamais… me fait-elle en me montrant de l’index a chatte velue.
Incapable de réponde à son invite je garde mes yeux fixés sur ce qu’elle m’expose.
Je déserte mon lit et me place devant elle.
-Pas touche ! Me fait-elle d’une voix sourde.
Je reste comme ça, les mains derrière le dos, regardant ses doigts jouer avec ses poils. Je me penche et aperçois nettement les chairs humides, les replis, les pétales roses des petites lèvres. L’odeur du sexe, sa touffeur moite arrive à mes narines.
Elle place ses jambes sur les accoudoirs. Le spectacle qu’elle m’offre alors et des plus déroutants. Du bout des doigts, elle tâtonne en haut de la déchirure des muqueuses, à la commissure des grandes lèvres. Entre ses doigts, elle cueille son bouton qu’elle se met à masser tendrement.
Une grosse larme claire coule à l’intérieur du calice rose bordé de mauve. Elle pose son pied gainé nylon rouge au creux de mon épaule et me pousse. Assez pour me faire tomber à la renverse. Elle se relève. Sa rob fait comme un abat-jour. D’où je suis, j’aperçois ses fesses nues et la tache sombre du bas-ventre. Elle m’enjambe. Elle est à présent au-dessus de moi. Une jambe de chaque côté de moi.
La voilà qui s’accroupie au-dessus de mon visage. les fesses à hauteur de ma bouche. son fessier descend au-devant de moi. elle va s’asseoir sur ma figure. Mon réflexe est de poser mes mains sur ses fesses. Sa peau est moite. Son trou du cul s’arrête en l’air. A seulement quelques centimètres de mon nez. Il s’écarquille, s’arrondie, s’élargie et laisse émerger un peu de la chair rosâtre et luisante de la corolle interne.
Entourée de poils follets, son anus forme un O. la muqueuse s’ouvre et se referme comme pour sortir un étron. Mais rien n’y sort !
-Cela te dit de me sucer ?
-Oui Madame…
-Bien… et là je vois son cul s’envoler.
En un tournemain, elle replace sa robe. Puis elle quitte le lieu. Ses talons martèlent le parquet du couloir.
Je reste sans voix, le cul sur le parquet. Une jubilation inexplicable me fait frémir. Je me mets à rire, bêtement. Je bondis sur mes jambes et fonce à mon tour dans le couloir.
-Madame…Madame… partez pas !
-Qu’est-ce que tu veux ?
-J’en veux encore !
-Bien sûr mon beau. Retournant alors dans ta chambre. Tes désirs sont des ordres…
Au fond de moi-même, une petite lampe rougeâtre m’invite à passé à l’acte. Je tombe pour ça à genoux, langue sortie. Elle passe sa main derrière ma nuque et plaque mon visage sur sa chatte. L’odeur de vinaigre bouillant me fit sursauter. J’inhale longuement les effluves et mon sexe gonfle de plus belle. Une essence aphrodisiaque. Mon cerveau chahuté par les élans de mon désir pousse ma langue à s’irrité à ses poils. Elle les écarte à deux mains, pour me livrer le plus intime de sa fente. Je bois ses gouttes de mouille. Sa main se crispe dans mes cheveux. Mon nez enfoui dans ses poils, je respire à grands coups par la bouche, avalant ses effluves les plus intimes. Puis j’enfourne ma langue dans son vagin. Elle lance un cri rauque qui se perd dans la pièce. Ses genoux tremblent à la faire tomber le temps de son orgasme. Elle soupire et pleurniche en répétant :
-Oui, oh oui vas-y, nous sommes fous. Ah, je jouis… oui je jouis !
L’orgasme la laisse pantelante.
-Je suis très bien ici… avec toi, souffle-t-elle. Anne ne m’a pas menti sur ce coup là !
- Je peux savoir ce qu’elle t‘as dit ?
- Plein de bonne chose…
-Oui, je veux bien, mais lesquelles ?
-Sans importance… tu m’as bien fait jouir mon salaud… à mon tour…
Ses yeux luisent d’un éclat qui la rend excitante. Elle effleure mon entrejambe. Mon renflement lui arrache un petit rire de contentement. Très lentement, elle baisse le zip de ma braguette, s’incruste dans son slip. Je sens ses doigts sur ma bite gonflée. Avec dextérité elle me prend à pleine main. Elle la décalotte complètement et commence à me branler avec tendresse.
Après s’être séparer de tout ce qui pouvait la gêner, la voilà qu’elle soupèse doucement les couilles. Les massant un peu, puis reprend son rythme soutenu, sa petite main agitant vigoureusement mon pénis radieux qui se dresse au-dessus de ma toison bien brune et bouclée. Elle m’astique le poireau comme une pro…
Elle a le coup de poignet agile et je me régale du contraste de sa main tiède avec ses bagues froides et dures. Je bande si dur que j’en es mal. Elle joue avec ma queue, ravie du joujou que je lui offre.
À genoux devant moi, elle se penche sur ma virilité. Je sens la chaude humidité de sa bouche enserrer mon sexe dur. Sa langue est active au point de m’offrir une multitude de frissons qui me parcourent tout le corps. Ses va-et-vient, entrecoupés de petits coups de langues tout le long de ma verge bandée, me guide jusqu’à un plaisir infinie.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J ai adoré l histoire il fallait se plonger dans l histoire pour comprendre mais j ai beaucoup aimé s est dommage pour la fin s est bâclé s est bien avec des histoire qui va jusqu'au bout. Merci et faite en d autre