Le siphon

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Le siphon Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le siphon
-Alain fait un collègue, le téléphone pour toi.

-C’est qui ?

-Je ne sais pas, c’est une femme.

Je me saisis de l’appareil et dis :

-Oui !

-Salut Alain c’est Margaux.

-Salut Margaux, comment vas-tu ?

-Très bien et toi ?

-Parfaitement et ton chéri ?

-C’est de sa part que je te téléphone.

-Qu’à t-il fait encore ?

-Il n’est pas capable de déboucher l’évier.

-Il n’a que le siphon a démonté.

-Et bien même ça il ne sait pas faire.

-Et il est là quand ton chéri ?

-Il ne bouge pas, pourquoi ?

-Dis-lui que je passe une fois ma journée de boulot terminée.

-A tout à l’heure alors, lâche-t-elle avant de raccrocher.

Sacré Philippe, fais-je pour moi-même.

Margaux vient m’ouvrir, enjouée. Elle est sur son trente et un. Après la bise d’usage elle m’entraine jusqu’au salon que je connais comme ma poche pour avoir à plusieurs reprises pris l’apéro.

-Où se planque-t-il ton chéri.

-heu ! Il a dû s’absenter.

-Il va revenir au-moins ?
-Oui bien sûr !

-Bon en attendant son retour je vais m’occuper du siphon si tu le permets.

-Bien sûr. Je ne te montre pas le chemin.

-Vilaine ! Fais-je en m’y rendant.

Il me faut pas plus de cinq minutes pour que l’évier retrouve son activité. Heureuse Margaux m’invite à prendre un verre dans le salon.

-On n’attend pas ton chéri ?

-Il nous rejoindra dès son arrivée ! Lâche-t-elle en mettant de la musique.

Elle prend place face à moi en croisant les jambes très haut. On parle de tout et de rien. A un moment je demande des nouvelles de son mari d’un ton anxieux :

-Il arrive quand ?

Margaux m’adresse un sourire avant de laisser tomber :

-Il ne va pas tarder ! Alors qu’elle se lève en écartant largement les cuisses. Des poils frisés débordent de sa culotte blanche.

-En attendant sa venue nous pourrions peut-être danser.

-Je ne sais danser que les slows !

-Ça tombe bien, le CD est composé que de slows. Sourit-elle en me tendant les mains.

Je m’empresse de la rejoindre sur fausse piste. Ses yeux brillent, elle se laisse enlacer. Elle me serre dans ses bras. Ecrasant sa poitrine contre mon torse. Faisant pesée sa chatte contre ma verge. J’ai l’impression de la baiser debout. A quoi joue Margaux ?

Je vais pas tarder à le savoir, puisque tout de suite la voilà en train d’ouvrir ma braguette, y plonge la main. Les yeux mi-clos, aux anges, elle hoche la tête, grogne de satisfaction en enserrant ma verge, soupesant les couilles. Pris par surprise je suis dans l’incapacité de faire quoi que ce soit. Je ne la connaissais pas aussi directe. Si gloutonne !

Margaux vient de sortir ma verge de son nid.

-Et ton mari… si il arrive…
-On l’entendra venir ! Lâche-t-elle en se laissant glisser sur les genoux pour la voir de plus près, la palper, la renifler, la parcourir de baisers. Elle la prend en bouche. Elle roucoule de bonheur en pétrissant mes couilles, tétant le gland, branlant la base de la verge.

-Pourquoi fais-tu cela Margaux ?

Elle lève les yeux vers moi, dit d’un ton tranchant.

-J’en avais envie !

J’acquiesce, l’ai dépassé. Décidément, je vais de surprise en surprise ! Margaux se relève en se troussant jusqu’à la taille, se plaque contre moi en écartant l’élastique de sa culotte blanche. L’entrée de sa chatte est libre. Elle s’empare de ma verge, guide sans perdre de temps le gland dans sa fente.

-Tu n’es pas contre que je te viole debout dans mon salon ?

-Je ne te connaissais pas aussi chaude !

-On connaît très mal ses amis !

Prenant mes couilles à pleine main, Margaux se dresse sur ses talons, soulève une jambe, s’empale jusqu’à la racine en émettant un gémissement. Pour la soutenir, je suis contrait de croiser mes mains aux creux de ses reins. Elle se laisse aller en arrière. Elle remue le cul, me pompant la queue. Elle rue en grognant. Les frottements mouillés de ma verge dans la chatte d’égorgeant se répandent dans la pièce. Entre deux spasmes, elle lance d’une voix éraillée :

-Que c’est bon ! Putain ! Je savais que tu étais un bon !

Et submergée sans doute par l’orgasme, voilà que ma chère Margaux vide sa vessie sur ma verge. Il m’en faut pas plus pour qu’à mon tour je jouisse.

Je ceinture Margaux à l’étouffer, je donne de violents coups de reins, qu’elle accompagne de tout le corps en poussant des cris aigus. Tous deux nous nous laissons tomber sur le divan encore emmanché.

-Dis-moi, ton mari…

-T’inquiète, me coupe-t-elle. Il n’est pas près de rentrer. Il est en java !

Je caresse ses cheveux ébouriffés.

-Je préfère cela !

-Tu sais, de toi à moi, il ne serait pas contre d’assister. Fait-elle en déposant un baiser sur mes lèvres.

Je me retire de sa bouche et la contemple. Je la trouve très désirable.

-Oh ! Je m’excuse pour la pisse !

-T’inquiète ! Avant de plonger délibérément ma langue dans sa bouche.

Avec mes lèvres je saisis le bout de sa langue, le suce comme s’il s’agissait d’un gland. Je déboutonne son chemisier. Elle ne porte rien dessous, comme si elle avait deviné ce que j’allais faire. Ma bouche qui ses lèvres pour descendre le long de son sein gauche. Je lèche son mamelon. Je suçote son téton, le titille, l’aspire délicatement. Mes lèvres s’enroulent autour de son téton. Mes dents en mordillent la racine. Elle gémit. Elle sursaute tandis que ma main vient de s’égarer sur son sexe. L’humidité de sa chatte imbibe mes doigts.

Elle mouille abondamment. Mon index vient de repérer son bouton. Son bassin tout entier est pris d’une convulsion. Lubrifié par son antre, mon doigt glisse autour de son bouton, le titille, le fait tanguer de droite et de gauche. Sa bouche expulse des râles de jouissance. Elle jouit ! J’ajuste mon titillement au rythme de ses convulsions.

Pris de je ne sais quelle audace, je m’étends sur elle tête-bêche, lui offrant ma queue pendant que ma bouche s’engouffre dans sa chatte. J’agrippe mes mains autour de ses cuisses et j’enfonce ma langue au plus profond de son antre. Je fouraille avec entrain, plonge dans ses entrailles revient sur les bords, lèche ses lèvres acidulées dans toute leur longueur, mordille la peau sensible. J’adore son goût, son odeur !

Je sursaute, elle vient de mordiller ma queue. Je me sens fondre, c’est divin !

Elle exulte. Elle jouit de nouveau. Mon esprit s’enflamme. Dans les minutes suivantes, nous parvenons ensemble au paroxysme de notre jouissance. Je ralentis le mouvement de ma langue. Margaux fait de même. Je quitte alors ma position pour m’allonger à ses côtés. Un sourire béat figé sur ses lèvres.

-Il va falloir que je parte maintenant !

-Oui ! fait-elle.

Mais alors que je m’éloigne, elle m’interpelle.

-Oui ! Je réponds en me retournant.

-Il ne m’a jamais sucé comme tu l’as fait.

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