LE TATOUAGE DE CANDICE. (1/1) - histoire érotique

C’est fait, j’ai enfin décidé de réaliser mon rêve.
Je suis en bas d’un hôtel et je m’approche d’un homme qui me plait et que j’ai choisi avec soin pour mon premier adultère.

• Bonjour monsieur, on est étranger, mais j’ai une très grande envie de vous sucer, vous avez une chambre ici où nous pourrions monter ?
• Madame, je suis marié et les putes me sont étrangères.
• Vous vous trompez, je m’appelle Candice, je suis mariée à Christian et j’ai décidé de le tromper, j’ai longtemps hésité et c’est vous que j’ai choisi pour la première fois, je veux simplement vous sucer.
• Venez.

Il me fait monter dans sa chambre, dès que la porte est fermée, il sort sa queue deux fois plus grosse que celle de mon homme et qui va bien me remplir la bouche.
Je le pompe heureuse d’avoir réussi ce dont je rêve depuis des mois à en avoir la chatte et mon pantalon de pyjama trempé le matin.
Il m’envoie de grands jets de sperme qui me remplisse la bouche.
Dans mon rêve, j’avale tout alors je le fais trouvant bizarre mais agréable le goût de cet homme.

De retour dans la rue ce matin, j’ai pris une RTT, mais mes pas me conduisent vers mes bureaux.
J’entre et je vais voir ma directrice jolie blonde avec laquelle j’ai souvent flirté sans jamais franchir le pas.

• Candice que fais-tu là, tu m’avais demandé une RTT.
• Je viens concrétiser ce que tu attends depuis longtemps.

Je m’approche d’elle, je relève ma jupe lui dévoilant ma chatte que j’ai rasé de près avant de partir réaliser tous mes rêves et fantasmes.

• Viens me sucer la chatte, tu en meurs d’envie.

Elle s’agenouille et je dois mettre mes mains et les fesses sur le bureau pour éviter de perdre l’équilibre sur la charge de sa langue sur mon clitoris.

• Salope, tu peux me brouter le minou, tu es la première femme à le faire.
Apprends-moi à devenir une belle gouine comme toi !

Elle soulève sa jupe et elle aussi à la chatte rasée sans aucune pilosité.
• À toi, lèche-moi le clito !
• Qu’est-ce que tu fais, je viens de recevoir un jet de cyprine sur mon visage ?
• Je suis une femme fontaine, lèche-moi bien, je vais te remplir la bouche.

Je bois goulûment tout ce que son vagin rejette m’inondant même le visage.

• Donne-moi un Kleenex que je me nettoie.
• Ça va sécher continue, je vais jouir et je veux te faire voir comment une femme peut en faire démarrer une autre.

Elle me fait coucher sur sa moquette vient me rejoindre et nos bouches enfin se touchent.
J’adore cette sensation nouvelle, car un baiser de femme est bien différent d’un baiser d’homme. Bien plus langoureux bien plus profond que ce gros morceau de barbaque que les hommes nous mettent le plus loin possible sans se demander si nous aimons cette agression.
Elle me fait pivoter et nos deux chattes se rejoignent dans un frottement me permettant de partir dans une jouissance très forte.
J’ai atteint mon but, je peux cocher la case gouine sur la liste de mes turpitudes.

• À demain, j’ai encore des choses à faire.

Je vais dans mon bureau où se trouvent mes deux collègues qui eux aussi ont envie de moi surtout que depuis ces derniers jours, je les ai allumés en leur montrant ma chatte chaque fois que l’occasion m’en a été donnée.

• Je croyais que tu serais en RTT.
• Oui, mais si vous voulez me baiser, c’est le moment, je viens de pomper un homme dans sa chambre d’hôtel et de me gouiner avec Maryse.
C’est votre tour, je veux devenir une plus grande salope que Maryse que je vous ai vu baiser dans son bureau la semaine dernière.
Qui commence et que me proposez-vous ?
• À poil et en levrette, je rêve de te sodomiser depuis que j’ai pris mon poste dans notre bureau.
Tu as un cul à faire damner un saint, je vais te mettre bien profond.
• Je me contenterais de ta chatte si je dois attendre mon tour dans ton cul.
• Vous allez me prendre en double perforation.
• On dit pénétration, Candice si tu veux être aussi salope que Maryse apprend les bons thermes.
• Adrien couches-toi sur mon bureau afin que je vienne m’empaler.

Il balance mes dossiers au sol et se couche me permettant après avoir enlevé son pantalon de me prendre par ma chatte qui coule presque autant que celle de Maryse tout à l’heure dans son bureau.

• Tu es bien monté, je sens ta queue qui caresse mon utérus, Mathieu vient m’enculer, la présence de vos deux queues qui me défoncent est un de mes fantasmes que vous réalisez.

Une fois de plus je loue l’envie que j’ai eu de devenir l’épouse la plus pute des putes car un nouvel orgasme me dévaste.
Mesdames réalisés tous vos fantasmes et faites, vous éclatez le con et le cul.
C’est le moment que le stagiaire jeune puceau à ce qu’il m’en a dit à la machine à café hier.

• Entre, monte sur le bureau, il reste de la place dans ma bouche et dès que ces belles verges que j’ai en moi auront déchargé tu viendras que je te dépucelle.
• Merci madame.

S’il savait que tout le plaisir va être pour moi, je tiens la distance depuis ce matin même si j’ai quelques douleurs liées aux positions que mes amants et maîtresse m’imposent.

• Philippe dès que la bouche de notre salope de collègue t’aura fait tendre la queue vient me rejoindre, on va lui mettre deux bites dans le cul et Adrien continuera à s’occuper de sa chatte, on va la faire partir vers des sommets notre belle truie.
• Oui, vous avez devant vous une vraie truie et je suis sûr que je peux encore mieux faire.

Les trois queues déchargent en moi en même temps et la truie que je suis devenu peut même être comparée à une chienne.
Ahou cri la chienne lorsqu’elle jouit de nouveau, l’intérieur de mon corps est parfaitement ramoné puis arrosé.
J’ai tellement hurlé mon plaisir où tous les hommes qui sont dans les bureaux voisins arrivent et en voyant qui est la chienne sortent leur verge et étant libéré je saute au sol et je m’agenouille pour sucer toutes ces verges.
Il m’est impossible de compter le nombre de vit tendu vers moi.
Je sais que je les suce et les amène jusqu’au point où ils vont décharger.
Lorsque tous son prêt, il décharge un par un sur ma figure et je suis obligé de prendre le sperme avec mes doigts pour le faire entrer dans ma bouche.
Le mélange de toutes ces éjaculations de tous ces hommes sur mon corps aurait fait un très beau gang bang si l’un des deux avait pensé faire un film avec son portable.
J’ai épuisé tout ce que je pouvais faire dans mes bureaux et le soleil m’incite à entrer dans un parc pour récupérer quelque peu après toutes ses saillis.
Je suis assise sur un banc lorsqu’un vieux monsieur vient s’asseoir face à moi.
J’écarte les cuisses et je vois le pépé se caresser la verge au travers de son pantalon.
À côté de lui, il y a des latrines pour hommes, je me lève, je l’entraîne à l’intérieur, j’ouvre son pantalon qui a une légère odeur d’urine et lui aussi me remplit la bouche.
Le goût de son sperme est âcre, mais je suis contente, c’est certainement la dernière fois de sa vie qu’une bombe sexuelle comme moi lui dégorge la bite.
Je reprends mon chemin cherchant le moyen de boire un verre pour me rincer la glotte.
Le bar où je pénètre est un bar où de nombreux hommes sont là avec leur marcel leur pantalon en cuir avec viser sur leur tête une casquette elle aussi en cuir.
Ce qui me fascine avec cette douzaine de mâles tous sur le même modèle, ce sont leurs tatouages.
À ma maman revient le plus souvent. D’autres ont sur la poitrine à x ou y pour la vie.
Bonjour le jour où vous divorcez allé faire comprendre à votre nouvelle conquête que cette fille a été un moment de votre vie et que chaque fois que vous la baisez alors qu’elle est empalée sur votre tige le prénom qu’elle a devant les yeux est celui de celle que vous déchiriez dans tous les sens par tous ses trous les semaines précédentes.
Je suis abordé par un duo d’entre eux qui commence à avoir les mains baladeuses.
Ils ont une tête de plus que moi et je sens la puissance qu’il dégage.
Nous sommes rapidement rejoints par un troisième du même calibre.
C’est à ce moment-là que je remarque que je suis une femme seule au milieu de tous ces hommes.
Sans m’en rendre compte le peu d’affaire que je portais en entrant quitte mon corps et c’est à quatre pattes que l’un d’eux me prends par le cul.
La sodo qu’il m’inflige n’a d’égale que celle qu’il subit par son copain qui s’est placé derrière lui.
Le troisième en fait de même et rapidement lorsque je me retourne, j’ai l’impression que je suis la micheline qui conduit tous ses wagons à bon port.
Tout éclate presque en même temps et ce qui est étrange, c’est lorsque je vois le dernier wagon donné un fort coup de bite, je le ressens à l’avant.
Je finis par rentrer à la maison où Christian dort déjà. Je m’allonge à ses côtés.



Le réveil sonne il est sept heures, j’ouvre les yeux, Christian ouvre un œil me regarde et me dit « je t’aime ».
Je suis reposé comme chaque fois que je dors à poing fermé une grande et belle nuit à côté de mon mari que j’aime de tout mon cœur.
Au moment de me lever une douleur sur mon sein gauche celui du cœur me fait porter ma main.
J’écarte ma veste de pyjama, je découvre tatoué « Christian pour la vie »…