Le train de 19H32 (suite)

Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le train de 19H32 (suite)
Salut, c’est Emma, de nouveau.
Toute la semaine, j'ai repensé à ce qui s'était passé dans le train – les mains de Thomas et Robert sur moi, leurs regards chargés de promesses, cette excitation brute qui m'avait fait jouir deux fois sans même une pénétration complète. J'ai préparé la chambre avec soin : des draps frais en coton doux, une lumière tamisée par des bougies parfumées à la vanille, et une bouteille de vin rouge corsé pour briser la glace et faire monter la température.
Sous ma robe légère en soie noire, qui moulait mes courbes sans effort, je ne portais rien – juste ma peau impatiente, déjà chaude au toucher, et cette humidité persistante entre mes cuisses dès que je pensais à eux. Mon cœur battait fort, un mélange d'anticipation et de légère appréhension, car ce soir, nous allions franchir une nouvelle étape, loin du frisson public du train, dans l'intimité totale de mon espace personnel.
Thomas est arrivé le premier, ponctuel comme toujours, avec cette énergie juvénile qui me faisait fondre. À peine la porte ouverte, son baiser vorace m'a plaquée contre le mur du couloir, ses lèvres écrasant les miennes avec une urgence qui m'a coupé le souffle. Sa langue a forcé le passage, dansant avec la mienne dans un tourbillon humide et passionné, tandis que son corps se pressait contre le mien, me faisant sentir la dureté grandissante de son érection contre mon ventre.
"Tu es prête pour ça ?" a-t-il murmuré contre ma bouche, sa voix rauque et essoufflée, sa main droite glissant déjà sous l'ourlet de ma robe pour caresser mes fesses nues, pétrissant la chair ferme avec une possessivité qui m'excitait.
Ses doigts ont tracé des cercles lents sur ma peau, descendant plus bas pour effleurer l'arrière de mes cuisses, puis remontant pour frôler la courbe de mes fesses, me faisant cambrer instinctivement.
J'ai hoché la tête, incapable de parler, sentant mon clitoris pulser sous ses doigts experts qui, sans même le toucher directement, envoyaient des décharges électriques à travers mon corps, rendant mes lèvres intimes gonflées et humides. Son index a glissé entre mes fesses, effleurant légèrement mon anus, une promesse de ce qui pourrait venir, avant de redescendre pour caresser l'entrée de mon vagin, collectant ma moiteur sur sa peau. J'ai gémi doucement dans sa bouche, mes mains agrippant ses épaules pour me stabiliser, alors que l'air du couloir semblait chargé d'électricité.
Puis la sonnette a retenti, un son aigu qui a brisé le moment, me laissant pantelante contre le mur. C'était Robert.
J'ai ouvert la porte, encore rougissante, et il se tenait là, élégant dans son manteau sombre en laine fine, un bouquet de roses rouges à la main – un geste galant, presque romantique, qui contrastait avec la faim primitive que je lisais dans ses yeux gris, intenses et perçants. Il m'a tendu les fleurs avec un sourire en coin, ses lèvres s'étirant lentement, et j'ai senti son regard me balayer de la tête aux pieds, s'attardant sur la façon dont ma robe épousait mes seins et mes hanches.
"Pour toi," a-t-il dit d'une voix grave et assurée, avant de m'embrasser sur la joue, son souffle chaud effleurant mon oreille.
Thomas, derrière moi, a hoché la tête en signe de bienvenue, mais je pouvais sentir la tension compétitive entre eux, cette rivalité muette qui ne faisait qu'attiser mon désir.
Nous nous sommes installés dans le salon, sur le canapé en cuir souple, le vin coulant librement dans des verres en cristal que j'avais sortis pour l'occasion. J'ai rempli les leurs d'un rouge profond, aux arômes de fruits noirs et d'épices, et nous avons trinqué, nos regards se croisant par-dessus les bords des verres.
L'air était chargé d'une tension palpable, comme dans le train, mais sans le risque des regards indiscrets – ici, nous étions seuls, libres d'explorer sans retenue. Pour briser le silence lourd, j'ai pris une gorgée de vin, sentant sa chaleur se répandre dans ma gorge, et j'ai dit : "Racontez-moi ce que vous avez ressenti la dernière fois," ma voix plus assurée que je ne l'étais intérieurement, même si mon cœur cognait fort.
Robert a souri, ses doigts effleurant mon genou nu, traçant des cercles légers sur ma peau qui m'ont fait frissonner, remontant imperceptiblement le long de ma cuisse. "C'était comme revivre une jeunesse oubliée, te voir t'abandonner entre nous, tes gémissements étouffés par le bruit du train..."
Thomas a ajouté, sa main se posant sur mon autre genou : "Et toi, Emma, tu étais si mouillée, si ouverte, ton corps réagissant à chaque toucher comme si tu en redemandais."
Leurs mots crus m'ont fait frissonner de la tête aux pieds, une vague de chaleur envahissant mon bas-ventre, et j'ai écarté les jambes légèrement, invitant leurs regards à se poser sur l'ombre entre mes cuisses, où ma robe remontait juste assez pour révéler la peau nue au-dessus de mes genoux. Je sentais mon excitation monter, mon clitoris gonflé pressant contre le tissu, et l'humidité coulant déjà le long de mes lèvres intimes.
Bientôt, les mots ont cédé la place aux actes, l'atmosphère devenant trop lourde pour les paroles. Thomas m'a embrassée profondément, sa langue envahissant ma bouche avec une passion renouvelée, ses mains remontant pour agripper mes hanches et me presser contre lui.
Pendant ce temps, Robert s'est agenouillé devant moi sur le tapis moelleux, ses mains fortes relevant lentement ma robe, plissant le tissu soyeux pour exposer mon sexe nu, rasé et déjà luisant de désir. Ses yeux se sont attardés sur mes lèvres intimes gonflées, roses et humides, avant qu'il ne se penche en avant.
Sa langue a tracé un chemin lent le long de mes lèvres intimes, partant de l'entrée de mon vagin pour remonter jusqu'à mon clitoris, goûtant ma moiteur avec une expertise qui m'a fait gémir bruyamment, mes hanches se soulevant instinctivement vers sa bouche. Il a lapé doucement, sa langue plate pressant contre mes plis, collectant mon jus abondant, puis il a sucé légèrement mes lèvres extérieures, les aspirant entre les siennes pour les mordiller avec douceur.
"Tu es délicieuse," a-t-il murmuré, son souffle chaud contre mon clitoris hypersensible, envoyant des vibrations qui m'ont fait trembler.
Thomas, de son côté, a libéré mes seins en faisant glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules, exposant mes mamelons durcis et dressés, qu'il a pincés entre ses doigts, les roulant et les tirant légèrement pour amplifier les sensations, tout en observant Robert me dévorer avec une fascination évidente.
J'ai senti un doigt de Robert s'enfoncer en moi, glissant facilement dans ma chaleur trempée, explorant mes parois internes avec une précision experte, puis un deuxième doigt l'a rejoint, courbant pour masser ce point sensible à l'intérieur, ce point G qui envoyait des ondes de plaisir irradiant dans tout mon corps, pendant que sa langue tourbillonnait autour de mon clitoris, alternant entre cercles rapides et succions lentes.
L'orgasme est monté vite, violent, une boule de feu se formant dans mon ventre et explosant en spasmes incontrôlables, me faisant trembler entre eux comme une feuille, mes cuisses serrant la tête de Robert tandis que je criais, un flot de cyprine inondant sa bouche et ses doigts.
Mais je voulais plus, bien plus ; mon corps en réclamait encore, avide de réciprocité.
"À mon tour," ai-je haleté, la voix encore rauque de mon orgasme, les guidant vers la chambre d'une main tremblante.
Là, dans la lueur des bougies qui dansaient sur les murs, je les ai fait s'allonger nus côte à côte sur les draps frais, admirant leurs érections fièrement dressées – celle de Thomas, longue et veineuse, avec un gland rose et luisant, pulsant légèrement ; celle de Robert, épaisse et courbée vers le haut, entourée d'une toison grisonnante, paraissant massive et prometteuse.
J'ai pris Thomas dans ma bouche d'abord, enveloppant son gland de mes lèvres humides, suçant doucement en faisant tourner ma langue autour de la couronne sensible, descendant lentement pour avaler plus de sa longueur, sentant les veines saillantes contre ma langue tandis que je pompais de haut en bas.
En même temps, ma main droite caressait Robert, enserrant sa base épaisse et remontant avec une torsion du poignet, massant son gland avec mon pouce pour étaler le liquide pré-séminal qui perlait.
Puis j'ai alterné, passant à Robert, prenant son membre plus large dans ma bouche, étirant mes lèvres pour l'accueillir, suçant avec force pour savourer son goût plus terreux, légèrement amer, contrastant avec le salé et musqué de Thomas.
J'ai alterné ainsi plusieurs fois, utilisant ma salive pour lubrifier, mes mains et ma bouche travaillant en tandem, sentant leurs gémissements se mêler en un chœur rauque, et je sentais leurs mains dans mes cheveux, me guidant sans forcer, tirant doucement pour diriger le rythme sans jamais imposer.
Enfin, incapable d'attendre plus, j'ai chevauché Thomas, m'empalant sur lui lentement, sentant chaque centimètre de sa longueur veineuse m'étirer, glissant dans ma chaleur trempée avec une friction délicieuse qui me faisait gémir à chaque descente, mes parois vaginales se contractant autour de lui pour l'aspirer plus profondément.
Je me suis balancée d'avant en arrière, frottant mon clitoris contre son pubis, mes seins rebondissant au rythme de mes mouvements.
Robert s'est positionné derrière moi, à genoux sur le lit, ses doigts explorant mon anus avec une douceur surprenante, commençant par des cercles légers autour de l'ouverture plissée, puis pressant doucement pour tester la résistance, lubrifiant avec ma propre humidité qu'il collectait de mon vagin, mélangeant à un peu de salive pour faciliter l'entrée.
"Prête ?" a-t-il demandé, sa voix grave et attentive.
J'ai hoché la tête, haletante, mon corps encore frémissant des vagues de plaisir qui venaient de me traverser, ma peau couverte d'une fine pellicule de sueur qui rendait chaque caresse plus glissante, plus électrisante.
Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine, et je sentais déjà l'anticipation me nouer le ventre, cette faim insatiable qui me poussait à en vouloir toujours plus, à explorer ces territoires interdits que je n'aurais jamais osé imaginer avant cette nuit.
Robert, positionné derrière moi avec une assurance qui me faisait fondre, a murmuré à nouveau : "Prête, ma belle ?" Sa voix grave vibrait contre mon oreille, envoyant des frissons le long de ma colonne vertébrale, tandis que ses doigts, encore humides de ma propre cyprine, continuaient de lubrifier mon anus avec une douceur experte, traçant des cercles lents autour de l'ouverture plissée, pressant légèrement pour tester ma résistance, me faisant gémir d'impatience.
J'étais empalée sur Thomas, sa longueur veineuse m'étirant délicieusement le vagin, chaque mouvement de mes hanches frottant mon clitoris contre son pubis, mais maintenant, avec Robert prêt à me rejoindre, l'idée de cette double possession me rendait folle de désir.
"Oui, vas-y, encules-moi" ai-je haleté, ma voix rauque et essoufflée, mes mains agrippant les épaules de Thomas pour me stabiliser, sentant ses muscles tendus sous mes paumes.
Il s'est enfoncé doucement, d'abord le gland épais de son membre forçant le passage, écartant les muscles serrés de mon anus avec une pression insistante qui m'a arraché un cri étouffé, une sensation de plénitude intense se propageant instantanément dans tout mon bas-ventre, comme si mon corps entier se remplissait d'une chaleur liquide et envahissante.
Au début, c'était presque douloureux, une brûlure vive et piquante qui irradiait depuis l'ouverture, comme si ma chair résistait à cette intrusion massive, mes muscles anaux se contractant instinctivement pour repousser l'envahisseur, envoyant des décharges électriques de douleur mêlée à un plaisir naissant qui me faisait haleter plus fort, mes ongles s'enfonçant dans la peau de Thomas.
"Respire, détends-toi," a murmuré Robert, sa voix apaisante contrastant avec la fermeté de ses hanches qui poussaient lentement, centimètre par centimètre, son gland épais glissant plus profondément, étirant les parois internes de mon anus avec une friction brûlante qui se muait rapidement en un plaisir exquis, une vague de chaleur intense qui se diffusait dans mes entrailles, transformant la douleur initiale en une extase lancinante, comme si chaque nerf de mon corps s'éveillait à cette nouvelle sensation.
Je sentais distinctement la courbe de son membre, épais et veineux, qui progressait inexorablement, remplissant ce passage étroit d'une façon que je n'avais jamais connue, une pression qui pesait contre la fine membrane séparant mon anus de mon vagin, où Thomas était déjà logé, créant une plénitude double, oppressante et délicieuse à la fois.
Mes cuisses tremblaient, mon anus se dilatait progressivement autour de lui, et à mesure qu'il s'enfonçait plus loin, la brûlure s'estompait pour laisser place à un plaisir pur, viscéral, qui irradiait jusqu'à mon clitoris, me faisant cambrer le dos et pousser des gémissements incontrôlables.
Mes parois internes palpitaient autour de cette invasion, lubrifiées par ma propre humidité et la salive qu'il avait ajoutée, rendant chaque millimètre de progression plus fluide, plus enivrant, jusqu'à ce qu'il me remplisse complètement, ses testicules pressés contre mes fesses, son membre enfoui au plus profond de moi, me laissant pantelante, le souffle court, avec cette sensation d'être comblée au-delà de toute mesure, comme si mon corps n'était plus qu'un réceptacle de plaisir pur.
Le plaisir était intense, presque insoutenable, la double pénétration créant une pression incroyable sur mes parois internes, comme si Thomas et Robert se touchaient à travers moi, leurs membres se frôlant indirectement à travers cette fine barrière de chair, amplifiant chaque sensation jusqu'à l'extrême, mon vagin serré autour de la longueur veineuse de Thomas et mon anus étiré par l'épaisseur courbée de Robert, envoyant des ondes de choc qui remontaient jusqu'à ma colonne vertébrale et redescendaient en vagues brûlantes vers mon clitoris.
Leurs mouvements se synchronisaient avec une précision instinctive, Thomas poussant vers le haut depuis en dessous, ses hanches se soulevant pour s'enfoncer plus profondément dans mon vagin, frottant contre mon point G avec une friction délicieuse qui me faisait voir des étoiles, tandis que Robert se retirait légèrement, juste assez pour que je sente le vide momentané dans mon anus, une sensation de perte qui accentuait le plaisir quand il revenait en force.
Puis inversement, Robert s'enfonçant pleinement pendant que Thomas se retirait partiellement, créant un rythme alterné qui me faisait hurler de jouissance, des cris rauques et primitifs s'échappant de ma gorge malgré moi, mes seins rebondissant au gré de leurs poussées, mes mamelons durcis frottant contre le torse de Thomas.
Chaque synchronisation envoyait des spasmes rythmés à travers mon corps, mes muscles internes se contractant autour d'eux en vagues successives, serrant leurs membres comme pour les retenir, amplifiant les sensations pour nous trois, avec cette pression croissante qui montait en moi comme une marée inexorable.
Des vagues d'orgasme successives montaient en moi, commençant par une chaleur diffuse dans mon bas-ventre qui explosait en contractions violentes, mon anus pulsant autour de Robert avec une force qui le faisait grogner de plaisir, mon vagin se resserrant sur Thomas en spasmes synchronisés, libérant des flots de cyprine qui coulaient le long de mes cuisses, rendant tout plus glissant, plus intense.
Je sentais chaque détail : la veine saillante de Thomas frottant contre mes parois vaginales, l'épaisseur de Robert étirant mon anus à son maximum, provoquant des picotements de plaisir douloureux qui se transformaient en extase pure, mes cris se muant en halètements essoufflés, mon corps secoué de tremblements incontrôlables.
Jusqu'à ce que l'orgasme final nous emporte tous trois, leurs semences chaudes se déversant en jets puissants à l'intérieur de moi, se mélangeant à moi, me laissant pantelante et comblée, effondrée sur Thomas tandis que Robert se retirait doucement, nos respirations entremêlées dans un chaos de sueur et de satisfaction absolue.
Robert :
Après ce premier round, Emma s'est lovée contre nous, pantelante, mais ses yeux brillaient d'une faim nouvelle. "Et si on jouait un peu plus ?" a-t-elle murmuré, un sourire espiègle aux lèvres. Thomas a ri, et moi, j'ai senti une idée germer. À mon âge, j'ai appris que le plaisir se savoure avec de la créativité.
"Improvisons quelque chose," ai-je proposé, jetant un œil autour de la chambre. Des foulards traînaient sur une chaise, une ceinture sur le sol – parfaits pour un bondage improvisé. Emma a frissonné d'excitation. "Attachez-moi," a-t-elle dit, la voix rauque.
J'ai pris les rênes, guidant Thomas. On l'a fait s'allonger sur le lit, bras tendus vers la tête de lit. J'ai noué un foulard en soie autour de ses poignets, le fixant solidement aux barreaux métalliques. Pas trop serré, juste assez pour qu'elle sente la contrainte, pour que chaque mouvement tire sur ses liens.
"Teste," lui ai-je ordonné. Elle a tiré, et le tissu a tenu, la forçant à cambrer le dos, exposant ses seins gonflés. Thomas a attrapé une autre écharpe, l'enroulant autour de ses chevilles, les écartant largement et les attachant aux pieds du lit. Ses jambes formaient un V ouvert, son sexe rose et luisant offert à nos regards.
"Parfaite," ai-je murmuré, traçant du doigt la courbe de sa cuisse.
Elle était là, immobilisée, vulnérable, et pourtant si puissante dans son abandon. Son souffle s'accélérait, ses mamelons durcissaient sous l'air frais. J'ai commencé doucement, effleurant sa peau du bout des doigts – du creux de son cou jusqu'à ses seins, pinçant légèrement un téton, le roulant entre pouce et index jusqu'à ce qu'elle gémisse.
Thomas, de l'autre côté, imitait mes gestes sur l'autre sein, suçant avidement, mordillant juste assez pour la faire sursauter contre ses liens. "Vous me rendez folle," haletait-elle, tirant sur les foulards, ce qui ne faisait qu'ouvrir plus ses cuisses.
J'ai descendu ma main, caressant son ventre plat, contournant son mont de Vénus rasé pour taquiner l'intérieur de ses cuisses. Elle se tortillait, essayant de se rapprocher, mais les liens l'en empêchaient.
"Supplie," ai-je dit, ma voix grave et autoritaire.
"S'il vous plaît, touchez-moi," a-t-elle gémi. Thomas a souri, et ensemble, on a exploré son sexe. Mes doigts ont écarté ses lèvres intimes, révélant son clitoris gonflé, rougeoyant. J'ai soufflé dessus, un air chaud qui l'a fait trembler, puis j'ai plongé ma langue, lapant lentement de bas en haut, savourant son goût musqué, plus prononcé maintenant qu'elle était attachée et impuissante.
Thomas s'est joint à moi, sa langue alternant avec la mienne sur son clitoris. On se frôlait, nos bouches se touchant presque dans cette danse intime. J'ai inséré deux doigts en elle, sentant ses parois humides se contracter, tandis que Thomas massait son bouton sensible avec son pouce. Elle hurlait presque, son corps arc-bouté contre les liens, les foulards tendus à craquer.
"Plus profond," suppliait-elle.
J'ai ajouté un troisième doigt, courbant pour atteindre son point G, pompant rythmiquement pendant que ma langue tourbillonnait sur ses lèvres extérieures, suçant une à une comme des pétales juteux.
L'orgasme l'a frappée d’un coup, ses cuisses tremblant contre les écharpes, un jet de cyprine jaillissant sur nos visages. Elle criait, tirant si fort que j'ai craint que les liens ne cèdent. Mais ils ont tenu, prolongeant son extase.
On l'a laissée reprendre son souffle, mais pas longtemps. "À ton tour de nous sentir," ai-je dit à Thomas. Il s'est positionné entre ses jambes écartées, frottant son gland long contre son entrée trempée. J'ai guidé sa queue, la pressant lentement en elle, sentant ses parois l'aspirer. Elle gémissait, impuissante à bouger, ne pouvant que recevoir.
Pendant que Thomas la pilonnait avec une vigueur qui faisait trembler le lit entier, ses coups de reins profonds et rythmés résonnant dans la chambre comme un battement primal, je me suis redressé pour grimper sur le matelas, m'agenouillant avec précaution près de sa tête, mes genoux s'enfonçant dans les draps froissés encore imprégnés de nos sueurs mêlées.
À mon âge, chaque mouvement comptait, et je savourais cette position, dominant son visage rougi par l'effort et le plaisir, ses cheveux épars formant une auréole sombre sur l'oreiller. Ses yeux, brillants de cette faim insatiable qui m'avait captivé depuis le train, croisaient les miens avec une supplication muette, mais c'était moi qui décidais maintenant.
"Ouvre la bouche," ai-je ordonné d'une voix grave et assurée, celle que j'utilisais autrefois pour commander dans les salles de réunion, mais ici chargée d'une autorité érotique qui faisait pulser mon membre épais, déjà durci par la vue de son corps attaché et offert.
Elle a obéi instantanément, ses lèvres pleines s'entrouvrant comme une invitation irrésistible, révélant la chaleur humide de sa bouche, sa langue rose et agile attendant avec impatience.
J'ai glissé mon membre épais entre ses lèvres, sentant leur douceur veloutée s'étirer autour, tandis que sa langue chaude enveloppait mon gland avec une caresse experte, tourbillonnant autour de la peau sensible et veineuse, collectant les gouttes de liquide pré-séminal qui perlaient déjà au sommet.
Attachée comme elle l'était, avec les foulards maintenant fermement ses poignets aux barreaux de la tête de lit et ses chevilles écartées aux pieds, elle ne pouvait pas contrôler le rythme – c'était moi qui décidais tout, poussant doucement mais inexorablement dans sa gorge, sentant la résistance initiale de ses muscles céder à une succion avide, ses lèvres s'étirant encore plus pour m'accueillir, formant un anneau parfait autour de ma base épaisse.
Chaque avancée me procurait une sensation exquise, la chaleur enveloppante de sa gorge se contractant légèrement autour de moi, comme si elle essayait de me retenir, tandis que je me retirais partiellement pour mieux replonger, établissant un rythme lent et maîtrisé qui contrastait avec la fougue de Thomas.
Lui accélérait maintenant, ses coups de reins claquant bruyamment contre ses cuisses ouvertes, le son humide de leurs chairs se rencontrant se mêlant aux grincements du lit, ses mains agrippant ses hanches pour la maintenir en place malgré les liens, la pilonnant avec une énergie juvénile qui faisait rebondir ses seins et trembler tout son corps.
Tandis que je baisais sa bouche en synchronie parfaite avec lui, nos mouvements s'accordant comme une danse instinctive – moi poussant quand il se retirait, et vice versa –, ses gémissements vibraient autour de ma queue, des ondes de plaisir intenses remontant le long de mon membre, irradiant dans mon ventre et mes cuisses, chaque vibration comme une caresse électrique qui m'approchait dangereusement du bord, me forçant à retenir mon propre orgasme pour prolonger ce moment de domination partagée.
On a échangé les places avec une fluidité presque chorégraphiée, nos corps encore vibrants de l'excitation précédente. Thomas s'est repositionné près de sa tête, guidant son membre dur et veineux vers sa bouche avide, tandis que je me suis placé entre ses jambes écartées, admirant la vue de son sexe gonflé et luisant, exposé par les liens qui maintenaient ses chevilles attachées aux pieds du lit.
Elle était toujours sur le dos, immobilisée par les foulards en soie qui entravaient ses poignets à la tête de lit, son corps arqué en une invitation irrésistible ; j'ai ajusté ma position, soulevant légèrement ses hanches malgré les contraintes pour aligner mon érection épaisse avec l'entrée de son vagin, sentant la chaleur irradier de ses lèvres intimes déjà humides et ouvertes.
J'ai collecté sa propre humidité abondante avec mes doigts, étalant ce nectar naturel le long de ma longueur pour faciliter la glissade, puis j'ai pressé mon gland gonflé contre ses lèvres extérieures plissées, les écartant doucement pour tester sa réceptivité.
"Détends-toi," ai-je murmuré d'une voix grave et rassurante, entrant centimètre par centimètre avec une lenteur délibérée, sentant la résistance initiale de ses parois vaginales céder progressivement à une chaleur enveloppante, étroite et exquise qui m'aspirait comme un étau velouté.
pour chaque centimètre gagné, mes veines saillantes frottaient contre ses muqueuses sensibles, provoquant des spasmes involontaires qui contractaient son canal autour de moi, amplifiant les sensations pour nous deux ; la friction était divine, un mélange de douceur humide et de pression ferme qui me faisait grogner de plaisir.
Elle hurla de plaisir mêlé à une pointe de douleur initiale due à l'étirement, ses liens la maintenant ouverte et impuissante, forçant ses cuisses à rester écartées pour que je puisse m'enfoncer plus profondément sans entrave, son corps tremblant sous l'assaut des vagues de sensations qui irradiaient de son bas-ventre.
Thomas étouffait ses cris en enfonçant sa queue dans sa bouche, pompant avec un rythme soutenu qui faisait gonfler ses joues, tandis que je la remplissais par-devant, mes coups de reins lents et profonds frottant contre ses parois internes sensibles, stimulant ce point G rugueux à chaque va-et-vient, nos mouvements synchronisés créant une symphonie de chairs claquant et de gémissements étouffés qui emplissaient la chambre.
Le plaisir montait, intense. J'ai accéléré, sentant ses spasmes autour de moi, et on a joui à nouveau – moi en elle, Thomas dans sa bouche, qu'elle avalait avidement malgré les liens. On l'a détachée ensuite, massant ses poignets rougis, l'embrassant tendrement. Mais Emma, insatiable, a murmuré : "Encore ?" Et on a ri, sachant que la nuit serait longue.
Thomas :
Après notre session intense dans son appartement, nos corps encore tremblants de plaisir, on s'est regardés avec cette lueur dans les yeux, celle qui dit qu'on n'en a pas encore fini, mais qu'on a besoin d'une pause pour reprendre des forces.
"Et si on descendait manger un bout en bas, au bistrot ?" ai-je proposé, la voix encore rauque. Emma a souri, un éclat malicieux dans le regard, et Robert a hoché la tête, toujours avec cette assurance tranquille qui me fascinait. On avait besoin de carburant pour la suite, ça, c'était clair.
On s'est rhabillés rapidement, Robert et moi, enfilant nos chemises froissées et nos pantalons, encore imprégnés de l'odeur musquée de nos ébats. Emma, elle, a opté pour une simplicité provocante : une robe d'été légère, un tissu fluide à fleurs qui flottait autour de ses cuisses, et rien d'autre dessous.
J'ai vu ses seins pointer sous le tissu fin quand elle s'est penchée pour attraper ses sandales, et mon sexe a tressailli à nouveau, déjà prêt pour un autre round. Elle n'a même pas pris la peine de se recoiffer, ses cheveux en bataille lui donnant un air sauvage, encore marqué par nos caresses. On est descendus tous les trois, l'air frais de la nuit nous frappant au visage, mais la chaleur entre nous brûlait toujours.
Le bistrot en bas de chez elle, un petit endroit bruyant et chaleureux, était bondé à cette heure. Des rires, des verres qui s'entrechoquent, l'odeur de frites et de vin bon marché emplissant l'air.
On a trouvé une table au fond, sur une banquette usée face à la salle, coincée entre des groupes d'amis et des couples en tête-à-tête. On a commandé des plats simples – une assiette de charcuterie, des frites, une carafe de rouge – et on a mangé vite, presque mécaniquement, nos regards se croisant sans cesse, chargés d'une tension qui ne demandait qu'à exploser.
Emma était assise en face de nous au départ, sa robe remontant légèrement sur ses cuisses nues chaque fois qu'elle croisait les jambes, et je voyais Robert, comme moi, lutter pour ne pas fixer ce triangle d'ombre entre ses jambes.
Mais elle, elle ne jouait pas à se retenir. Après quelques gorgées de vin, ses joues déjà rosies par l'alcool et l'excitation, elle s'est levée avec un sourire en coin et est venue s'installer entre nous sur la banquette, face à la salle entière.
Son corps pressé contre le mien d’un côté et celui de Robert de l’autre, je sentais la chaleur de sa peau à travers le tissu fin de sa robe. Elle s’est penchée légèrement en avant, ses seins effleurant la table, et a murmuré d’une voix autoritaire, celle qui me rendait fou :
"Caressez-moi comme dans le train." Mon cœur s’est emballé, et un coup d’œil à Robert m’a confirmé qu’il était tout aussi électrisé. On était dans un lieu public, entourés de dizaines de personnes, et pourtant, cette idée de danger, de frôler l’interdit, faisait pulser mon sexe dans mon pantalon.
J’ai posé ma main sur sa cuisse gauche, sentant la douceur de sa peau nue sous mes doigts, tandis que Robert faisait de même sur sa cuisse droite. Nos mains ont remonté lentement sous sa robe, synchronisées comme si on avait répété ce geste mille fois.
Le tissu glissait sur nos poignets, dévoilant presque ses hanches, mais on s’arrêtait juste à temps, cachant nos mouvements sous la table. Mes doigts ont trouvé la chaleur humide entre ses jambes, pas de culotte, juste son sexe déjà trempé, ses lèvres intimes gonflées et prêtes.
J’ai écarté doucement ses plis, effleurant son clitoris durci avec mon pouce, pendant que mes autres doigts glissaient le long de son entrée, collectant sa moiteur. De l’autre côté, Robert faisait des cercles lents autour de son clitoris avec une précision qui la faisait frissonner, ses hanches se soulevant légèrement contre nos mains.
Elle a mordu sa lèvre inférieure pour étouffer un gémissement, ses yeux à demi clos, mais fixés sur la salle, comme si elle savourait l’idée que quelqu’un puisse deviner ce qui se passait.
Le bruit du bistrot semblait s’atténuer autour de nous, ou peut-être était-ce juste mon pouls qui battait trop fort dans mes tempes. J’ai jeté un regard circulaire : certains clients nous lançaient des coups d’œil curieux, murmurant entre eux, et j’ai vu le patron, un homme trapu avec une moustache grisonnante, froncer les sourcils depuis le comptoir.
Mais au lieu de nous interpeller, il s’est dirigé vers l’entrée et, avec un regard entendu, a abaissé le rideau de fer à moitié, et baissé les lumières, plongeant la salle dans une semi-pénombre.
Le claquement métallique a attiré l’attention, et plusieurs clients se sont levés, abandonnant leurs assiettes pour se rapprocher, formant un demi-cercle autour de notre table. Ils ne disaient rien, mais leurs yeux brillaient d’une excitation malsaine, un mélange de choc et de fascination.
Emma a souri, un sourire de défi, et a écarté encore plus les jambes sous la table, nous donnant un accès total.
"Sortez-les," a-t-elle ordonné soudain, sa voix basse mais ferme, en nous regardant tour à tour.
Mon souffle s’est coupé. Elle voulait qu’on sorte nos sexes, ici, devant tout le monde. Mon hésitation a duré une seconde, mais la pulsation dans mon pantalon a pris le dessus. J’ai défait ma ceinture discrètement sous la table, libérant ma queue déjà dure, longue et veineuse, le gland luisant de pré-sperme.
Robert a suivi, sortant son membre épais et courbé, sa toison grisonnante contrastant avec ma peau lisse. Emma a glissé ses mains sous la table, une pour chacun de nous, ses doigts s’enroulant autour de ma base avec une fermeté qui m’a fait grogner.
Elle a commencé à me branler lentement, ses mouvements précis, serrant plus fort à la base et relâchant en remontant, pendant que son autre main travaillait Robert avec la même expertise, alternant des torsions légères qui le faisaient haleter.
Pendant ce temps, nos doigts ne s’arrêtaient pas sur elle. J’ai enfoncé deux doigts dans son vagin trempé, sentant ses parois se contracter autour de moi, tandis que mon pouce continuait de masser son clitoris en cercles rapides.
Robert, lui, explorait plus bas, son index lubrifié par sa cyprine traçant des cercles autour de son anus avant de s’y enfoncer doucement, la faisant sursauter et gémir plus fort. Ses hanches ondulaient entre nous, cherchant plus de contact, plus de pression, et ses mains accéléraient sur nos queues, nous menant tous les trois vers un précipice inévitable.
Les spectateurs, maintenant une foule compacte, murmuraient, certains se touchant discrètement, d’autres filmant avec leurs téléphones, leurs visages rougis par l’excitation. J’ai senti la chaleur monter dans mon bas-ventre, cette boule de feu prête à exploser, et à la façon dont Emma tremblait, je savais qu’elle était proche aussi.
Robert a grogné, ses hanches poussant contre sa main, et on a joui presque en même temps – moi, déversant des jets chauds sur ses doigts sous la table, Robert suivant de peu, et Emma se raidissant entre nous, son sexe pulsant autour de mes doigts, un flot d’humidité inondant ma main alors qu’elle étouffait un cri contre mon épaule.
Mais Emma, insatiable, n’en avait pas fini. À peine remise de son orgasme, elle s’est levée, titubante, et d’un geste théâtral, a passé sa robe par-dessus sa tête, la laissant tomber au sol.
Nue, magnifique, son corps luisant de sueur, ses seins ronds et ses cuisses humides exposés à tous, elle s’est dirigée vers une table vide au centre de la salle, sous les regards médusés. Elle s’est allongée sur le dos, écartant les jambes, offrant son sexe rose et gonflé à la foule.
"Je prends qui veut de moi," a-t-elle murmuré, sa voix un mélange de défi et de supplication. Les clients, d’abord hésitants, se sont approchés, comme hypnotisés. Une femme d’une trentaine d’années, brune et pulpeuse, s’est avancée la première, grimpant sur la table pour s’agenouiller au-dessus du visage d’Emma, relevant sa jupe pour révéler un sexe déjà humide.
Emma a saisi ses hanches, attirant son bassin vers sa bouche, et j’ai vu sa langue plonger entre ses lèvres intimes, lapant avec avidité, ses mains pétrissant les fesses de la femme qui gémissait bruyamment.
Un homme, la quarantaine, baraqué, s’est positionné entre les jambes d’Emma, sortant une queue massive qu’il a frottée contre son entrée avant de s’enfoncer d’un coup, la faisant crier de plaisir contre le sexe de la femme qu’elle léchait.
À chaque coup de reins, ses seins rebondissaient, et deux autres hommes se sont approchés de part et d’autre, leurs membres déjà sortis. Emma a tendu les mains, les saisissant fermement, les branlant avec un rythme effréné, alternant entre des caresses rapides et des pressions plus lentes pour prolonger leur plaisir. La foule s’est resserrée, certains se touchant ouvertement, d’autres se joignant à l’action.
L’homme qui martelait son vagin a joui le premier, se retirant au dernier moment pour déverser son sperme sur le ventre d’Emma, les jets chauds glissant sur sa peau lisse, tandis qu’un autre prenait sa place pour la pénétrer, ses mouvements brutaux la faisant haleter. La femme qu’elle léchait a joui à son tour, ses cuisses tremblant autour de son visage, aussitôt remplacée par une autre fille, avide de sentir cette langue experte.
Les hommes se succédaient, certains éjaculant sur ses seins au bout de leur masturbation, laissant des traînées blanches sur ses mamelons durcis, d’autres s’enfonçant en elle pour jouir à l’intérieur ou sur son ventre, jusqu’à ce que sa peau soit couverte d’un mélange luisant de sueurs et de sperme.
Robert et moi, encore à demi durs, nous sommes joints à la mêlée, nos mains explorant son corps poisseux, nos doigts glissant sur sa peau pendant que d’autres la prenaient.
Emma, au centre de cette orgie, paraissait insatiable, ses gémissements montant en crescendo à chaque nouvelle pénétration, chaque nouveau jet chaud sur sa chair.
Elle a joui encore et encore, son corps secoué de spasmes, jusqu’à ce qu' enfin, elle lève une main tremblante, haletante, le regard flou. "Pouce," a-t-elle murmuré, sa voix brisée par l’épuisement, enfin rassasiée, son corps alangui saur la table, entouré par la foule qui reprenait lentement ses esprits, entre rires nerveux et regards complices.
Le patron a relevé le rideau de fer, l’air satisfait, comme s’il venait d’héberger le spectacle de l’année. On s’est rhabillés, Emma enfilant sa robe souillée avec un sourire épuisé, et on est remontés chez elle, les corps lourds mais les esprits encore vibrants de ce qu’on venait de vivre.
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Toute la semaine, j'ai repensé à ce qui s'était passé dans le train – les mains de Thomas et Robert sur moi, leurs regards chargés de promesses, cette excitation brute qui m'avait fait jouir deux fois sans même une pénétration complète. J'ai préparé la chambre avec soin : des draps frais en coton doux, une lumière tamisée par des bougies parfumées à la vanille, et une bouteille de vin rouge corsé pour briser la glace et faire monter la température.
Sous ma robe légère en soie noire, qui moulait mes courbes sans effort, je ne portais rien – juste ma peau impatiente, déjà chaude au toucher, et cette humidité persistante entre mes cuisses dès que je pensais à eux. Mon cœur battait fort, un mélange d'anticipation et de légère appréhension, car ce soir, nous allions franchir une nouvelle étape, loin du frisson public du train, dans l'intimité totale de mon espace personnel.
Thomas est arrivé le premier, ponctuel comme toujours, avec cette énergie juvénile qui me faisait fondre. À peine la porte ouverte, son baiser vorace m'a plaquée contre le mur du couloir, ses lèvres écrasant les miennes avec une urgence qui m'a coupé le souffle. Sa langue a forcé le passage, dansant avec la mienne dans un tourbillon humide et passionné, tandis que son corps se pressait contre le mien, me faisant sentir la dureté grandissante de son érection contre mon ventre.
"Tu es prête pour ça ?" a-t-il murmuré contre ma bouche, sa voix rauque et essoufflée, sa main droite glissant déjà sous l'ourlet de ma robe pour caresser mes fesses nues, pétrissant la chair ferme avec une possessivité qui m'excitait.
Ses doigts ont tracé des cercles lents sur ma peau, descendant plus bas pour effleurer l'arrière de mes cuisses, puis remontant pour frôler la courbe de mes fesses, me faisant cambrer instinctivement.
J'ai hoché la tête, incapable de parler, sentant mon clitoris pulser sous ses doigts experts qui, sans même le toucher directement, envoyaient des décharges électriques à travers mon corps, rendant mes lèvres intimes gonflées et humides. Son index a glissé entre mes fesses, effleurant légèrement mon anus, une promesse de ce qui pourrait venir, avant de redescendre pour caresser l'entrée de mon vagin, collectant ma moiteur sur sa peau. J'ai gémi doucement dans sa bouche, mes mains agrippant ses épaules pour me stabiliser, alors que l'air du couloir semblait chargé d'électricité.
Puis la sonnette a retenti, un son aigu qui a brisé le moment, me laissant pantelante contre le mur. C'était Robert.
J'ai ouvert la porte, encore rougissante, et il se tenait là, élégant dans son manteau sombre en laine fine, un bouquet de roses rouges à la main – un geste galant, presque romantique, qui contrastait avec la faim primitive que je lisais dans ses yeux gris, intenses et perçants. Il m'a tendu les fleurs avec un sourire en coin, ses lèvres s'étirant lentement, et j'ai senti son regard me balayer de la tête aux pieds, s'attardant sur la façon dont ma robe épousait mes seins et mes hanches.
"Pour toi," a-t-il dit d'une voix grave et assurée, avant de m'embrasser sur la joue, son souffle chaud effleurant mon oreille.
Thomas, derrière moi, a hoché la tête en signe de bienvenue, mais je pouvais sentir la tension compétitive entre eux, cette rivalité muette qui ne faisait qu'attiser mon désir.
Nous nous sommes installés dans le salon, sur le canapé en cuir souple, le vin coulant librement dans des verres en cristal que j'avais sortis pour l'occasion. J'ai rempli les leurs d'un rouge profond, aux arômes de fruits noirs et d'épices, et nous avons trinqué, nos regards se croisant par-dessus les bords des verres.
L'air était chargé d'une tension palpable, comme dans le train, mais sans le risque des regards indiscrets – ici, nous étions seuls, libres d'explorer sans retenue. Pour briser le silence lourd, j'ai pris une gorgée de vin, sentant sa chaleur se répandre dans ma gorge, et j'ai dit : "Racontez-moi ce que vous avez ressenti la dernière fois," ma voix plus assurée que je ne l'étais intérieurement, même si mon cœur cognait fort.
Robert a souri, ses doigts effleurant mon genou nu, traçant des cercles légers sur ma peau qui m'ont fait frissonner, remontant imperceptiblement le long de ma cuisse. "C'était comme revivre une jeunesse oubliée, te voir t'abandonner entre nous, tes gémissements étouffés par le bruit du train..."
Thomas a ajouté, sa main se posant sur mon autre genou : "Et toi, Emma, tu étais si mouillée, si ouverte, ton corps réagissant à chaque toucher comme si tu en redemandais."
Leurs mots crus m'ont fait frissonner de la tête aux pieds, une vague de chaleur envahissant mon bas-ventre, et j'ai écarté les jambes légèrement, invitant leurs regards à se poser sur l'ombre entre mes cuisses, où ma robe remontait juste assez pour révéler la peau nue au-dessus de mes genoux. Je sentais mon excitation monter, mon clitoris gonflé pressant contre le tissu, et l'humidité coulant déjà le long de mes lèvres intimes.
Bientôt, les mots ont cédé la place aux actes, l'atmosphère devenant trop lourde pour les paroles. Thomas m'a embrassée profondément, sa langue envahissant ma bouche avec une passion renouvelée, ses mains remontant pour agripper mes hanches et me presser contre lui.
Pendant ce temps, Robert s'est agenouillé devant moi sur le tapis moelleux, ses mains fortes relevant lentement ma robe, plissant le tissu soyeux pour exposer mon sexe nu, rasé et déjà luisant de désir. Ses yeux se sont attardés sur mes lèvres intimes gonflées, roses et humides, avant qu'il ne se penche en avant.
Sa langue a tracé un chemin lent le long de mes lèvres intimes, partant de l'entrée de mon vagin pour remonter jusqu'à mon clitoris, goûtant ma moiteur avec une expertise qui m'a fait gémir bruyamment, mes hanches se soulevant instinctivement vers sa bouche. Il a lapé doucement, sa langue plate pressant contre mes plis, collectant mon jus abondant, puis il a sucé légèrement mes lèvres extérieures, les aspirant entre les siennes pour les mordiller avec douceur.
"Tu es délicieuse," a-t-il murmuré, son souffle chaud contre mon clitoris hypersensible, envoyant des vibrations qui m'ont fait trembler.
Thomas, de son côté, a libéré mes seins en faisant glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules, exposant mes mamelons durcis et dressés, qu'il a pincés entre ses doigts, les roulant et les tirant légèrement pour amplifier les sensations, tout en observant Robert me dévorer avec une fascination évidente.
J'ai senti un doigt de Robert s'enfoncer en moi, glissant facilement dans ma chaleur trempée, explorant mes parois internes avec une précision experte, puis un deuxième doigt l'a rejoint, courbant pour masser ce point sensible à l'intérieur, ce point G qui envoyait des ondes de plaisir irradiant dans tout mon corps, pendant que sa langue tourbillonnait autour de mon clitoris, alternant entre cercles rapides et succions lentes.
L'orgasme est monté vite, violent, une boule de feu se formant dans mon ventre et explosant en spasmes incontrôlables, me faisant trembler entre eux comme une feuille, mes cuisses serrant la tête de Robert tandis que je criais, un flot de cyprine inondant sa bouche et ses doigts.
Mais je voulais plus, bien plus ; mon corps en réclamait encore, avide de réciprocité.
"À mon tour," ai-je haleté, la voix encore rauque de mon orgasme, les guidant vers la chambre d'une main tremblante.
Là, dans la lueur des bougies qui dansaient sur les murs, je les ai fait s'allonger nus côte à côte sur les draps frais, admirant leurs érections fièrement dressées – celle de Thomas, longue et veineuse, avec un gland rose et luisant, pulsant légèrement ; celle de Robert, épaisse et courbée vers le haut, entourée d'une toison grisonnante, paraissant massive et prometteuse.
J'ai pris Thomas dans ma bouche d'abord, enveloppant son gland de mes lèvres humides, suçant doucement en faisant tourner ma langue autour de la couronne sensible, descendant lentement pour avaler plus de sa longueur, sentant les veines saillantes contre ma langue tandis que je pompais de haut en bas.
En même temps, ma main droite caressait Robert, enserrant sa base épaisse et remontant avec une torsion du poignet, massant son gland avec mon pouce pour étaler le liquide pré-séminal qui perlait.
Puis j'ai alterné, passant à Robert, prenant son membre plus large dans ma bouche, étirant mes lèvres pour l'accueillir, suçant avec force pour savourer son goût plus terreux, légèrement amer, contrastant avec le salé et musqué de Thomas.
J'ai alterné ainsi plusieurs fois, utilisant ma salive pour lubrifier, mes mains et ma bouche travaillant en tandem, sentant leurs gémissements se mêler en un chœur rauque, et je sentais leurs mains dans mes cheveux, me guidant sans forcer, tirant doucement pour diriger le rythme sans jamais imposer.
Enfin, incapable d'attendre plus, j'ai chevauché Thomas, m'empalant sur lui lentement, sentant chaque centimètre de sa longueur veineuse m'étirer, glissant dans ma chaleur trempée avec une friction délicieuse qui me faisait gémir à chaque descente, mes parois vaginales se contractant autour de lui pour l'aspirer plus profondément.
Je me suis balancée d'avant en arrière, frottant mon clitoris contre son pubis, mes seins rebondissant au rythme de mes mouvements.
Robert s'est positionné derrière moi, à genoux sur le lit, ses doigts explorant mon anus avec une douceur surprenante, commençant par des cercles légers autour de l'ouverture plissée, puis pressant doucement pour tester la résistance, lubrifiant avec ma propre humidité qu'il collectait de mon vagin, mélangeant à un peu de salive pour faciliter l'entrée.
"Prête ?" a-t-il demandé, sa voix grave et attentive.
J'ai hoché la tête, haletante, mon corps encore frémissant des vagues de plaisir qui venaient de me traverser, ma peau couverte d'une fine pellicule de sueur qui rendait chaque caresse plus glissante, plus électrisante.
Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine, et je sentais déjà l'anticipation me nouer le ventre, cette faim insatiable qui me poussait à en vouloir toujours plus, à explorer ces territoires interdits que je n'aurais jamais osé imaginer avant cette nuit.
Robert, positionné derrière moi avec une assurance qui me faisait fondre, a murmuré à nouveau : "Prête, ma belle ?" Sa voix grave vibrait contre mon oreille, envoyant des frissons le long de ma colonne vertébrale, tandis que ses doigts, encore humides de ma propre cyprine, continuaient de lubrifier mon anus avec une douceur experte, traçant des cercles lents autour de l'ouverture plissée, pressant légèrement pour tester ma résistance, me faisant gémir d'impatience.
J'étais empalée sur Thomas, sa longueur veineuse m'étirant délicieusement le vagin, chaque mouvement de mes hanches frottant mon clitoris contre son pubis, mais maintenant, avec Robert prêt à me rejoindre, l'idée de cette double possession me rendait folle de désir.
"Oui, vas-y, encules-moi" ai-je haleté, ma voix rauque et essoufflée, mes mains agrippant les épaules de Thomas pour me stabiliser, sentant ses muscles tendus sous mes paumes.
Il s'est enfoncé doucement, d'abord le gland épais de son membre forçant le passage, écartant les muscles serrés de mon anus avec une pression insistante qui m'a arraché un cri étouffé, une sensation de plénitude intense se propageant instantanément dans tout mon bas-ventre, comme si mon corps entier se remplissait d'une chaleur liquide et envahissante.
Au début, c'était presque douloureux, une brûlure vive et piquante qui irradiait depuis l'ouverture, comme si ma chair résistait à cette intrusion massive, mes muscles anaux se contractant instinctivement pour repousser l'envahisseur, envoyant des décharges électriques de douleur mêlée à un plaisir naissant qui me faisait haleter plus fort, mes ongles s'enfonçant dans la peau de Thomas.
"Respire, détends-toi," a murmuré Robert, sa voix apaisante contrastant avec la fermeté de ses hanches qui poussaient lentement, centimètre par centimètre, son gland épais glissant plus profondément, étirant les parois internes de mon anus avec une friction brûlante qui se muait rapidement en un plaisir exquis, une vague de chaleur intense qui se diffusait dans mes entrailles, transformant la douleur initiale en une extase lancinante, comme si chaque nerf de mon corps s'éveillait à cette nouvelle sensation.
Je sentais distinctement la courbe de son membre, épais et veineux, qui progressait inexorablement, remplissant ce passage étroit d'une façon que je n'avais jamais connue, une pression qui pesait contre la fine membrane séparant mon anus de mon vagin, où Thomas était déjà logé, créant une plénitude double, oppressante et délicieuse à la fois.
Mes cuisses tremblaient, mon anus se dilatait progressivement autour de lui, et à mesure qu'il s'enfonçait plus loin, la brûlure s'estompait pour laisser place à un plaisir pur, viscéral, qui irradiait jusqu'à mon clitoris, me faisant cambrer le dos et pousser des gémissements incontrôlables.
Mes parois internes palpitaient autour de cette invasion, lubrifiées par ma propre humidité et la salive qu'il avait ajoutée, rendant chaque millimètre de progression plus fluide, plus enivrant, jusqu'à ce qu'il me remplisse complètement, ses testicules pressés contre mes fesses, son membre enfoui au plus profond de moi, me laissant pantelante, le souffle court, avec cette sensation d'être comblée au-delà de toute mesure, comme si mon corps n'était plus qu'un réceptacle de plaisir pur.
Le plaisir était intense, presque insoutenable, la double pénétration créant une pression incroyable sur mes parois internes, comme si Thomas et Robert se touchaient à travers moi, leurs membres se frôlant indirectement à travers cette fine barrière de chair, amplifiant chaque sensation jusqu'à l'extrême, mon vagin serré autour de la longueur veineuse de Thomas et mon anus étiré par l'épaisseur courbée de Robert, envoyant des ondes de choc qui remontaient jusqu'à ma colonne vertébrale et redescendaient en vagues brûlantes vers mon clitoris.
Leurs mouvements se synchronisaient avec une précision instinctive, Thomas poussant vers le haut depuis en dessous, ses hanches se soulevant pour s'enfoncer plus profondément dans mon vagin, frottant contre mon point G avec une friction délicieuse qui me faisait voir des étoiles, tandis que Robert se retirait légèrement, juste assez pour que je sente le vide momentané dans mon anus, une sensation de perte qui accentuait le plaisir quand il revenait en force.
Puis inversement, Robert s'enfonçant pleinement pendant que Thomas se retirait partiellement, créant un rythme alterné qui me faisait hurler de jouissance, des cris rauques et primitifs s'échappant de ma gorge malgré moi, mes seins rebondissant au gré de leurs poussées, mes mamelons durcis frottant contre le torse de Thomas.
Chaque synchronisation envoyait des spasmes rythmés à travers mon corps, mes muscles internes se contractant autour d'eux en vagues successives, serrant leurs membres comme pour les retenir, amplifiant les sensations pour nous trois, avec cette pression croissante qui montait en moi comme une marée inexorable.
Des vagues d'orgasme successives montaient en moi, commençant par une chaleur diffuse dans mon bas-ventre qui explosait en contractions violentes, mon anus pulsant autour de Robert avec une force qui le faisait grogner de plaisir, mon vagin se resserrant sur Thomas en spasmes synchronisés, libérant des flots de cyprine qui coulaient le long de mes cuisses, rendant tout plus glissant, plus intense.
Je sentais chaque détail : la veine saillante de Thomas frottant contre mes parois vaginales, l'épaisseur de Robert étirant mon anus à son maximum, provoquant des picotements de plaisir douloureux qui se transformaient en extase pure, mes cris se muant en halètements essoufflés, mon corps secoué de tremblements incontrôlables.
Jusqu'à ce que l'orgasme final nous emporte tous trois, leurs semences chaudes se déversant en jets puissants à l'intérieur de moi, se mélangeant à moi, me laissant pantelante et comblée, effondrée sur Thomas tandis que Robert se retirait doucement, nos respirations entremêlées dans un chaos de sueur et de satisfaction absolue.
Robert :
Après ce premier round, Emma s'est lovée contre nous, pantelante, mais ses yeux brillaient d'une faim nouvelle. "Et si on jouait un peu plus ?" a-t-elle murmuré, un sourire espiègle aux lèvres. Thomas a ri, et moi, j'ai senti une idée germer. À mon âge, j'ai appris que le plaisir se savoure avec de la créativité.
"Improvisons quelque chose," ai-je proposé, jetant un œil autour de la chambre. Des foulards traînaient sur une chaise, une ceinture sur le sol – parfaits pour un bondage improvisé. Emma a frissonné d'excitation. "Attachez-moi," a-t-elle dit, la voix rauque.
J'ai pris les rênes, guidant Thomas. On l'a fait s'allonger sur le lit, bras tendus vers la tête de lit. J'ai noué un foulard en soie autour de ses poignets, le fixant solidement aux barreaux métalliques. Pas trop serré, juste assez pour qu'elle sente la contrainte, pour que chaque mouvement tire sur ses liens.
"Teste," lui ai-je ordonné. Elle a tiré, et le tissu a tenu, la forçant à cambrer le dos, exposant ses seins gonflés. Thomas a attrapé une autre écharpe, l'enroulant autour de ses chevilles, les écartant largement et les attachant aux pieds du lit. Ses jambes formaient un V ouvert, son sexe rose et luisant offert à nos regards.
"Parfaite," ai-je murmuré, traçant du doigt la courbe de sa cuisse.
Elle était là, immobilisée, vulnérable, et pourtant si puissante dans son abandon. Son souffle s'accélérait, ses mamelons durcissaient sous l'air frais. J'ai commencé doucement, effleurant sa peau du bout des doigts – du creux de son cou jusqu'à ses seins, pinçant légèrement un téton, le roulant entre pouce et index jusqu'à ce qu'elle gémisse.
Thomas, de l'autre côté, imitait mes gestes sur l'autre sein, suçant avidement, mordillant juste assez pour la faire sursauter contre ses liens. "Vous me rendez folle," haletait-elle, tirant sur les foulards, ce qui ne faisait qu'ouvrir plus ses cuisses.
J'ai descendu ma main, caressant son ventre plat, contournant son mont de Vénus rasé pour taquiner l'intérieur de ses cuisses. Elle se tortillait, essayant de se rapprocher, mais les liens l'en empêchaient.
"Supplie," ai-je dit, ma voix grave et autoritaire.
"S'il vous plaît, touchez-moi," a-t-elle gémi. Thomas a souri, et ensemble, on a exploré son sexe. Mes doigts ont écarté ses lèvres intimes, révélant son clitoris gonflé, rougeoyant. J'ai soufflé dessus, un air chaud qui l'a fait trembler, puis j'ai plongé ma langue, lapant lentement de bas en haut, savourant son goût musqué, plus prononcé maintenant qu'elle était attachée et impuissante.
Thomas s'est joint à moi, sa langue alternant avec la mienne sur son clitoris. On se frôlait, nos bouches se touchant presque dans cette danse intime. J'ai inséré deux doigts en elle, sentant ses parois humides se contracter, tandis que Thomas massait son bouton sensible avec son pouce. Elle hurlait presque, son corps arc-bouté contre les liens, les foulards tendus à craquer.
"Plus profond," suppliait-elle.
J'ai ajouté un troisième doigt, courbant pour atteindre son point G, pompant rythmiquement pendant que ma langue tourbillonnait sur ses lèvres extérieures, suçant une à une comme des pétales juteux.
L'orgasme l'a frappée d’un coup, ses cuisses tremblant contre les écharpes, un jet de cyprine jaillissant sur nos visages. Elle criait, tirant si fort que j'ai craint que les liens ne cèdent. Mais ils ont tenu, prolongeant son extase.
On l'a laissée reprendre son souffle, mais pas longtemps. "À ton tour de nous sentir," ai-je dit à Thomas. Il s'est positionné entre ses jambes écartées, frottant son gland long contre son entrée trempée. J'ai guidé sa queue, la pressant lentement en elle, sentant ses parois l'aspirer. Elle gémissait, impuissante à bouger, ne pouvant que recevoir.
Pendant que Thomas la pilonnait avec une vigueur qui faisait trembler le lit entier, ses coups de reins profonds et rythmés résonnant dans la chambre comme un battement primal, je me suis redressé pour grimper sur le matelas, m'agenouillant avec précaution près de sa tête, mes genoux s'enfonçant dans les draps froissés encore imprégnés de nos sueurs mêlées.
À mon âge, chaque mouvement comptait, et je savourais cette position, dominant son visage rougi par l'effort et le plaisir, ses cheveux épars formant une auréole sombre sur l'oreiller. Ses yeux, brillants de cette faim insatiable qui m'avait captivé depuis le train, croisaient les miens avec une supplication muette, mais c'était moi qui décidais maintenant.
"Ouvre la bouche," ai-je ordonné d'une voix grave et assurée, celle que j'utilisais autrefois pour commander dans les salles de réunion, mais ici chargée d'une autorité érotique qui faisait pulser mon membre épais, déjà durci par la vue de son corps attaché et offert.
Elle a obéi instantanément, ses lèvres pleines s'entrouvrant comme une invitation irrésistible, révélant la chaleur humide de sa bouche, sa langue rose et agile attendant avec impatience.
J'ai glissé mon membre épais entre ses lèvres, sentant leur douceur veloutée s'étirer autour, tandis que sa langue chaude enveloppait mon gland avec une caresse experte, tourbillonnant autour de la peau sensible et veineuse, collectant les gouttes de liquide pré-séminal qui perlaient déjà au sommet.
Attachée comme elle l'était, avec les foulards maintenant fermement ses poignets aux barreaux de la tête de lit et ses chevilles écartées aux pieds, elle ne pouvait pas contrôler le rythme – c'était moi qui décidais tout, poussant doucement mais inexorablement dans sa gorge, sentant la résistance initiale de ses muscles céder à une succion avide, ses lèvres s'étirant encore plus pour m'accueillir, formant un anneau parfait autour de ma base épaisse.
Chaque avancée me procurait une sensation exquise, la chaleur enveloppante de sa gorge se contractant légèrement autour de moi, comme si elle essayait de me retenir, tandis que je me retirais partiellement pour mieux replonger, établissant un rythme lent et maîtrisé qui contrastait avec la fougue de Thomas.
Lui accélérait maintenant, ses coups de reins claquant bruyamment contre ses cuisses ouvertes, le son humide de leurs chairs se rencontrant se mêlant aux grincements du lit, ses mains agrippant ses hanches pour la maintenir en place malgré les liens, la pilonnant avec une énergie juvénile qui faisait rebondir ses seins et trembler tout son corps.
Tandis que je baisais sa bouche en synchronie parfaite avec lui, nos mouvements s'accordant comme une danse instinctive – moi poussant quand il se retirait, et vice versa –, ses gémissements vibraient autour de ma queue, des ondes de plaisir intenses remontant le long de mon membre, irradiant dans mon ventre et mes cuisses, chaque vibration comme une caresse électrique qui m'approchait dangereusement du bord, me forçant à retenir mon propre orgasme pour prolonger ce moment de domination partagée.
On a échangé les places avec une fluidité presque chorégraphiée, nos corps encore vibrants de l'excitation précédente. Thomas s'est repositionné près de sa tête, guidant son membre dur et veineux vers sa bouche avide, tandis que je me suis placé entre ses jambes écartées, admirant la vue de son sexe gonflé et luisant, exposé par les liens qui maintenaient ses chevilles attachées aux pieds du lit.
Elle était toujours sur le dos, immobilisée par les foulards en soie qui entravaient ses poignets à la tête de lit, son corps arqué en une invitation irrésistible ; j'ai ajusté ma position, soulevant légèrement ses hanches malgré les contraintes pour aligner mon érection épaisse avec l'entrée de son vagin, sentant la chaleur irradier de ses lèvres intimes déjà humides et ouvertes.
J'ai collecté sa propre humidité abondante avec mes doigts, étalant ce nectar naturel le long de ma longueur pour faciliter la glissade, puis j'ai pressé mon gland gonflé contre ses lèvres extérieures plissées, les écartant doucement pour tester sa réceptivité.
"Détends-toi," ai-je murmuré d'une voix grave et rassurante, entrant centimètre par centimètre avec une lenteur délibérée, sentant la résistance initiale de ses parois vaginales céder progressivement à une chaleur enveloppante, étroite et exquise qui m'aspirait comme un étau velouté.
pour chaque centimètre gagné, mes veines saillantes frottaient contre ses muqueuses sensibles, provoquant des spasmes involontaires qui contractaient son canal autour de moi, amplifiant les sensations pour nous deux ; la friction était divine, un mélange de douceur humide et de pression ferme qui me faisait grogner de plaisir.
Elle hurla de plaisir mêlé à une pointe de douleur initiale due à l'étirement, ses liens la maintenant ouverte et impuissante, forçant ses cuisses à rester écartées pour que je puisse m'enfoncer plus profondément sans entrave, son corps tremblant sous l'assaut des vagues de sensations qui irradiaient de son bas-ventre.
Thomas étouffait ses cris en enfonçant sa queue dans sa bouche, pompant avec un rythme soutenu qui faisait gonfler ses joues, tandis que je la remplissais par-devant, mes coups de reins lents et profonds frottant contre ses parois internes sensibles, stimulant ce point G rugueux à chaque va-et-vient, nos mouvements synchronisés créant une symphonie de chairs claquant et de gémissements étouffés qui emplissaient la chambre.
Le plaisir montait, intense. J'ai accéléré, sentant ses spasmes autour de moi, et on a joui à nouveau – moi en elle, Thomas dans sa bouche, qu'elle avalait avidement malgré les liens. On l'a détachée ensuite, massant ses poignets rougis, l'embrassant tendrement. Mais Emma, insatiable, a murmuré : "Encore ?" Et on a ri, sachant que la nuit serait longue.
Thomas :
Après notre session intense dans son appartement, nos corps encore tremblants de plaisir, on s'est regardés avec cette lueur dans les yeux, celle qui dit qu'on n'en a pas encore fini, mais qu'on a besoin d'une pause pour reprendre des forces.
"Et si on descendait manger un bout en bas, au bistrot ?" ai-je proposé, la voix encore rauque. Emma a souri, un éclat malicieux dans le regard, et Robert a hoché la tête, toujours avec cette assurance tranquille qui me fascinait. On avait besoin de carburant pour la suite, ça, c'était clair.
On s'est rhabillés rapidement, Robert et moi, enfilant nos chemises froissées et nos pantalons, encore imprégnés de l'odeur musquée de nos ébats. Emma, elle, a opté pour une simplicité provocante : une robe d'été légère, un tissu fluide à fleurs qui flottait autour de ses cuisses, et rien d'autre dessous.
J'ai vu ses seins pointer sous le tissu fin quand elle s'est penchée pour attraper ses sandales, et mon sexe a tressailli à nouveau, déjà prêt pour un autre round. Elle n'a même pas pris la peine de se recoiffer, ses cheveux en bataille lui donnant un air sauvage, encore marqué par nos caresses. On est descendus tous les trois, l'air frais de la nuit nous frappant au visage, mais la chaleur entre nous brûlait toujours.
Le bistrot en bas de chez elle, un petit endroit bruyant et chaleureux, était bondé à cette heure. Des rires, des verres qui s'entrechoquent, l'odeur de frites et de vin bon marché emplissant l'air.
On a trouvé une table au fond, sur une banquette usée face à la salle, coincée entre des groupes d'amis et des couples en tête-à-tête. On a commandé des plats simples – une assiette de charcuterie, des frites, une carafe de rouge – et on a mangé vite, presque mécaniquement, nos regards se croisant sans cesse, chargés d'une tension qui ne demandait qu'à exploser.
Emma était assise en face de nous au départ, sa robe remontant légèrement sur ses cuisses nues chaque fois qu'elle croisait les jambes, et je voyais Robert, comme moi, lutter pour ne pas fixer ce triangle d'ombre entre ses jambes.
Mais elle, elle ne jouait pas à se retenir. Après quelques gorgées de vin, ses joues déjà rosies par l'alcool et l'excitation, elle s'est levée avec un sourire en coin et est venue s'installer entre nous sur la banquette, face à la salle entière.
Son corps pressé contre le mien d’un côté et celui de Robert de l’autre, je sentais la chaleur de sa peau à travers le tissu fin de sa robe. Elle s’est penchée légèrement en avant, ses seins effleurant la table, et a murmuré d’une voix autoritaire, celle qui me rendait fou :
"Caressez-moi comme dans le train." Mon cœur s’est emballé, et un coup d’œil à Robert m’a confirmé qu’il était tout aussi électrisé. On était dans un lieu public, entourés de dizaines de personnes, et pourtant, cette idée de danger, de frôler l’interdit, faisait pulser mon sexe dans mon pantalon.
J’ai posé ma main sur sa cuisse gauche, sentant la douceur de sa peau nue sous mes doigts, tandis que Robert faisait de même sur sa cuisse droite. Nos mains ont remonté lentement sous sa robe, synchronisées comme si on avait répété ce geste mille fois.
Le tissu glissait sur nos poignets, dévoilant presque ses hanches, mais on s’arrêtait juste à temps, cachant nos mouvements sous la table. Mes doigts ont trouvé la chaleur humide entre ses jambes, pas de culotte, juste son sexe déjà trempé, ses lèvres intimes gonflées et prêtes.
J’ai écarté doucement ses plis, effleurant son clitoris durci avec mon pouce, pendant que mes autres doigts glissaient le long de son entrée, collectant sa moiteur. De l’autre côté, Robert faisait des cercles lents autour de son clitoris avec une précision qui la faisait frissonner, ses hanches se soulevant légèrement contre nos mains.
Elle a mordu sa lèvre inférieure pour étouffer un gémissement, ses yeux à demi clos, mais fixés sur la salle, comme si elle savourait l’idée que quelqu’un puisse deviner ce qui se passait.
Le bruit du bistrot semblait s’atténuer autour de nous, ou peut-être était-ce juste mon pouls qui battait trop fort dans mes tempes. J’ai jeté un regard circulaire : certains clients nous lançaient des coups d’œil curieux, murmurant entre eux, et j’ai vu le patron, un homme trapu avec une moustache grisonnante, froncer les sourcils depuis le comptoir.
Mais au lieu de nous interpeller, il s’est dirigé vers l’entrée et, avec un regard entendu, a abaissé le rideau de fer à moitié, et baissé les lumières, plongeant la salle dans une semi-pénombre.
Le claquement métallique a attiré l’attention, et plusieurs clients se sont levés, abandonnant leurs assiettes pour se rapprocher, formant un demi-cercle autour de notre table. Ils ne disaient rien, mais leurs yeux brillaient d’une excitation malsaine, un mélange de choc et de fascination.
Emma a souri, un sourire de défi, et a écarté encore plus les jambes sous la table, nous donnant un accès total.
"Sortez-les," a-t-elle ordonné soudain, sa voix basse mais ferme, en nous regardant tour à tour.
Mon souffle s’est coupé. Elle voulait qu’on sorte nos sexes, ici, devant tout le monde. Mon hésitation a duré une seconde, mais la pulsation dans mon pantalon a pris le dessus. J’ai défait ma ceinture discrètement sous la table, libérant ma queue déjà dure, longue et veineuse, le gland luisant de pré-sperme.
Robert a suivi, sortant son membre épais et courbé, sa toison grisonnante contrastant avec ma peau lisse. Emma a glissé ses mains sous la table, une pour chacun de nous, ses doigts s’enroulant autour de ma base avec une fermeté qui m’a fait grogner.
Elle a commencé à me branler lentement, ses mouvements précis, serrant plus fort à la base et relâchant en remontant, pendant que son autre main travaillait Robert avec la même expertise, alternant des torsions légères qui le faisaient haleter.
Pendant ce temps, nos doigts ne s’arrêtaient pas sur elle. J’ai enfoncé deux doigts dans son vagin trempé, sentant ses parois se contracter autour de moi, tandis que mon pouce continuait de masser son clitoris en cercles rapides.
Robert, lui, explorait plus bas, son index lubrifié par sa cyprine traçant des cercles autour de son anus avant de s’y enfoncer doucement, la faisant sursauter et gémir plus fort. Ses hanches ondulaient entre nous, cherchant plus de contact, plus de pression, et ses mains accéléraient sur nos queues, nous menant tous les trois vers un précipice inévitable.
Les spectateurs, maintenant une foule compacte, murmuraient, certains se touchant discrètement, d’autres filmant avec leurs téléphones, leurs visages rougis par l’excitation. J’ai senti la chaleur monter dans mon bas-ventre, cette boule de feu prête à exploser, et à la façon dont Emma tremblait, je savais qu’elle était proche aussi.
Robert a grogné, ses hanches poussant contre sa main, et on a joui presque en même temps – moi, déversant des jets chauds sur ses doigts sous la table, Robert suivant de peu, et Emma se raidissant entre nous, son sexe pulsant autour de mes doigts, un flot d’humidité inondant ma main alors qu’elle étouffait un cri contre mon épaule.
Mais Emma, insatiable, n’en avait pas fini. À peine remise de son orgasme, elle s’est levée, titubante, et d’un geste théâtral, a passé sa robe par-dessus sa tête, la laissant tomber au sol.
Nue, magnifique, son corps luisant de sueur, ses seins ronds et ses cuisses humides exposés à tous, elle s’est dirigée vers une table vide au centre de la salle, sous les regards médusés. Elle s’est allongée sur le dos, écartant les jambes, offrant son sexe rose et gonflé à la foule.
"Je prends qui veut de moi," a-t-elle murmuré, sa voix un mélange de défi et de supplication. Les clients, d’abord hésitants, se sont approchés, comme hypnotisés. Une femme d’une trentaine d’années, brune et pulpeuse, s’est avancée la première, grimpant sur la table pour s’agenouiller au-dessus du visage d’Emma, relevant sa jupe pour révéler un sexe déjà humide.
Emma a saisi ses hanches, attirant son bassin vers sa bouche, et j’ai vu sa langue plonger entre ses lèvres intimes, lapant avec avidité, ses mains pétrissant les fesses de la femme qui gémissait bruyamment.
Un homme, la quarantaine, baraqué, s’est positionné entre les jambes d’Emma, sortant une queue massive qu’il a frottée contre son entrée avant de s’enfoncer d’un coup, la faisant crier de plaisir contre le sexe de la femme qu’elle léchait.
À chaque coup de reins, ses seins rebondissaient, et deux autres hommes se sont approchés de part et d’autre, leurs membres déjà sortis. Emma a tendu les mains, les saisissant fermement, les branlant avec un rythme effréné, alternant entre des caresses rapides et des pressions plus lentes pour prolonger leur plaisir. La foule s’est resserrée, certains se touchant ouvertement, d’autres se joignant à l’action.
L’homme qui martelait son vagin a joui le premier, se retirant au dernier moment pour déverser son sperme sur le ventre d’Emma, les jets chauds glissant sur sa peau lisse, tandis qu’un autre prenait sa place pour la pénétrer, ses mouvements brutaux la faisant haleter. La femme qu’elle léchait a joui à son tour, ses cuisses tremblant autour de son visage, aussitôt remplacée par une autre fille, avide de sentir cette langue experte.
Les hommes se succédaient, certains éjaculant sur ses seins au bout de leur masturbation, laissant des traînées blanches sur ses mamelons durcis, d’autres s’enfonçant en elle pour jouir à l’intérieur ou sur son ventre, jusqu’à ce que sa peau soit couverte d’un mélange luisant de sueurs et de sperme.
Robert et moi, encore à demi durs, nous sommes joints à la mêlée, nos mains explorant son corps poisseux, nos doigts glissant sur sa peau pendant que d’autres la prenaient.
Emma, au centre de cette orgie, paraissait insatiable, ses gémissements montant en crescendo à chaque nouvelle pénétration, chaque nouveau jet chaud sur sa chair.
Elle a joui encore et encore, son corps secoué de spasmes, jusqu’à ce qu' enfin, elle lève une main tremblante, haletante, le regard flou. "Pouce," a-t-elle murmuré, sa voix brisée par l’épuisement, enfin rassasiée, son corps alangui saur la table, entouré par la foule qui reprenait lentement ses esprits, entre rires nerveux et regards complices.
Le patron a relevé le rideau de fer, l’air satisfait, comme s’il venait d’héberger le spectacle de l’année. On s’est rhabillés, Emma enfilant sa robe souillée avec un sourire épuisé, et on est remontés chez elle, les corps lourds mais les esprits encore vibrants de ce qu’on venait de vivre.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà une suite plus que bouillante et très excitante . Merci pour ce beau récit bien écrit

