Lectures érotiques (4). Guillaume Perrotte : « Vengeance conjugale » (Editions Blanche 2007)
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lectures érotiques (4). Guillaume Perrotte : « Vengeance conjugale » (Editions Blanche 2007)
AVERTISSEMENT
En voulant commencer une autre fiche de lecture sur un roman de Guillaume Perrotte, je me suis aperçue que cette fiche de lecture n°4, initialement rédigée en septembre 2017, n’avait jamais été publiée !
Je suis passée directement de la fiche n° 3 (« Lectures érotiques (3). Au bonheur des femmes infidèles : récits / Sam Carroll ».), publiée le 30 septembre 2017, à la fiche n°5 (« Lectures érotiques (5). Lounja Charif : « La Maghrébine » (Editions Blanche 2010), publiée le 2 novembre 2017.
A part le fait qu’il s’agissait pour moi et mon couple d’une période très perturbée (j’avais regagné le domicile conjugal après la « crise de N. », en étant enceinte de mon dernier enfant), j’ignore les raisons de ce gros « loupé », que j’ai décidé de rattraper, sans modifier la numérotation initiale de cette série sur mes « Lectures érotiques ».
J’ai publié le 22 mai 2019 sur HdS une autre fiche de lecture consacrée à un roman de Guillaume Perrotte, « Lectures érotiques (18). Guillaume Perrotte : « Sex Addict » (Editions Blanche, 2008) ». Je dois avoir un problème avec cet auteur, puisque, dans cette fiche, j’ai fait référence, au sujet de la biographie de l’auteur, à de précédentes fiches de lecture consacrées à des romans d’Éric Mouzat ! Il est vrai que les thématiques de Mouzat et de Perrotte sont proches, mais tout de même !
Je vous en promets une autre, sur le roman « Proposition perverse » (Editions Blanche 2005).
Je prie mes fidèles lecteurs et lectrices de bien vouloir excuser ces erreurs. Je publie donc, avec deux ans de retard, cette fiche, que j’ai évidemment soigneusement relue et complétée.
RESUME
La vengeance passionnelle est le fil conducteur de ce roman de 187 pages.
Instituteur, Marc ne se remet pas du départ de sa femme pour un autre homme. Impuissant, émotionnellement mort, il vogue depuis des mois entre haine et dépression, sans avoir la force d'analyser son naufrage conjugal.
Jusqu’au jour où il fait la connaissance de la mère d'un de ses élèves, Valérie. Marc a alors l'idée d'un plan machiavélique. Il va faire de cette femme sa maîtresse, pour comprendre enfin comment Valentine, son ex, a pu le berner aussi facilement depuis des mois, du premier baiser extraconjugal à la violente séparation.
Spirale infernale dans laquelle Marc va plonger pour casser la vie de Valérie, cette femme innocente et fragile qui ressemble physiquement tant à la sienne et qu'il finira par prénommer Val, comme son ex. Cette Valérie, qu'il a décidé de détruire pour épargner la mère de son fils. Au risque de tomber dans son propre piège immoral.
L’AUTEUR
Ex-cinéaste publicitaire aujourd'hui romancier, Guillaume Perrotte a une quarantaine d'années et vit à Paris. Passionné de littérature et de sexualité, il a déjà consacré une œuvre remarquée sur l'hypersexualité.
Il a publié plusieurs romans érotiques aux éditions Blanche (Proposition perverse, Sex addict, Femmes de pub...), dont certains ont été réédités en format de poche, et de courts textes aux éditions Dominique Leroy.
MES NOTES DE LECTURE
Valentine, l’épouse adultère, a quitté Marc. Mais avant elle lui a décrit en détails ses frasques : « Elle m’a tout raconté, dans les moindres détails, m’a décrit les sensations corporelles qu’elle a connues entre les jambes de ce type avec une précision toute pathologique ».
VALERIE LA VICTIME
C’est dans le cadre de son métier d’instituteur que Marc rencontre Valérie, mère d’un de ses élèves. La jolie mère de famille réveille « la bête » en Marc. Il va tout faire pour la séduire. Il lui donne donc rendez-vous après la classe pour parler des problèmes scolaires de son fils, liés aux « problèmes conjugaux de la jeune femme ». Dès ce premier rendez-vous, Valérie se laisse aller à embrasser fougueusement l’instituteur de son gamin. « J’aspire sa langue et elle mes lèvres. J’empoigne ses fesses pendant qu’elle plaque son bas-ventre contre ma queue en feu. »
Valérie va accepter de se rendre chez Marc et s’offrir à lui. Marc va reproduire ce que Valentine, son ex, a fait avec son amant Jean, au même endroit. Marc la rend folle en passant un DVD de Rocco Siffredi pendant qu’il besogne l’épouse adultère. C’est elle qui réclame à son amant de la baiser et de l’enculer.
C’est Valérie qu’il besogne, mais, à travers elle, c’est aussi son épouse Valentine. Et, naturellement, il se fait un plaisir de raconter ses exploits à Valentine quand elle ramène leur fils à la maison le dimanche soir, allant jusqu’à montrer le préservatif utilisé avec Valérie.
LA DESCENTE « AUX ENFERS » DE VALERIE
Marc poursuit l’éducation de sa maîtresse en reproduisant tout ce qui s’est passé avec son Ex. Il commence par acheter godemichés, des boules anales, un petit fouet à lanières. Marc va amener Valérie dans le même sex-shop, dans la même cabine où Valentine s’est offerte à son amant.
Valérie est complétement sous la coupe de son amant : « Une fille jouit en gros plan (sur l’écran) et moi je n’en peux plus. Ahhhhh, jouit-elle en mêlant ses gémissements à ceux de la fille, cependant que je la pilonne avec ma main entière. »
Dans un « salon de massage », Valérie va accepter de s’exhiber et même de sucer d’autres hommes. Le soir même Marc fait un compte-rendu à Valentine qui est devenue complice de fait de la perversité de son ex-mari.
Marc va rencontrer Paul, le mari de Valérie et les deux hommes vont sympathiser, comme Marc avait sympathisé avec Jean.
Le mari est à peine parti que Valérie demande à son mâle de la « baiser comme une chienne »
Valérie va accepter une « double vaginale » avec deux godes dans la chatte, puis un troisième dans l’anus, avant de subir « King Kong » le terrible gode noir de 25 cm choisi par son amant. Et Marc poussera le vice jusqu’à éjaculer dans le gel douche du mari cocu. Et naturellement, le soir, Valentine, de plus en plus complice de son Ex, a droit à un compte-rendu complet, qui l’excite particulièrement.
PARTOUZE
L’étape suivante sera une partouze, où Marc va offrir sa soumise à trois étalons, Thierry et ses amis, les mêmes qui, quelques mois auparavant, s’étaient occupés de son épouse.
Invité à diner avant cette séance, en présence d’autres amis du couple, Marc ne prend pas de gants : « Une fois seuls dans la cuisine, nous nous sautons dessus. Ses lèvres écrasent les miennes, mes mains pétrissent ses seins comme de la pâte à pain et elle plonge ses doigts à l’intérieur de ma braguette (…) »
Il se fait sucer à fond par Valérie. Il exige alors qu’elle aille déposer un baiser sur les lèvres du mari cocu.
La partouze avec les quatre étalons est torride : « Ils n’en finissent pas de remplir les réserves de leurs capotes. (…) Elle n’est plus qu’une machine à jouir entre leurs bras et leurs jambes. Chaque nouveau coup de reins lui provoque un nouvel orgasme (…)
Le mari bafoué découvre les traces, à savoir les douze préservatifs des mâles qui ont partouzé Valérie. Dans sa colère, il met son poing sur la figure de Marc.
LE RETOUR DE VALENTINE ET LA DESCENTE AUX ENFERS DE MARC
Valérie va se retrouver la proie du couple de Marc et de Valentine. Valérie va jusqu’à fister Valentine, avant que Marc ne la chasse comme une chienne, convaincu d’avoir reconquis son ex-épouse.
Valentine revient s’installer à la maison, mais Marc ne peut faire face aux besoins de cette hypersexuelle.
Ce qui provoque la colère de Valentine face à un mari qui n’assume pas : « te rends-tu compte du nombre de maris qui seraient prêts à vendre leur âme au diable pour avoir une épouse aussi libérée et vicieuse que la tienne ? »
Valentine ira jusqu’à la tentative de viol, en pleine nuit : « Cette obsédée s’est carrément assise sur ma figure, sur laquelle elle frotte vigoureusement ses grandes lèvres. (…) Je l’attrape par les cheveux, les lui tire brutalement en arrière. (…) Son odeur d’épouse en chaleur me porte au cœur. »
Valentine tente ensuite d’inciter en vain son mari de ramener une prostituée à la maison. Puis elle se décide à le ligoter au lit pour le soumettre à ses désirs. Après l’avoir sodomisé, Valentine va pendant un moment interminable violé son mari, se servant de sa queue comme d’un gode.
Valentine finira par quitter à nouveau Marc, pour retomber sous la coupe de son amant Jean, et cherche à humilier le mari en lui faisant parvenir une cassette où Jean partouze avec Valentine mais aussi avec Valérie.
PRIS A SON PROPRE PIEGE
Marc aura fini par tout perdre. Il tentera en vain de reconquérir Valérie, mais celle-ci n’oublie pas tout ce qu’il lui a fait subir.
CE ROMAN ET MOI
Ce roman suscite, comme les autres textes de Guillaume Perrotte, un certain malaise. La vengeance est en soit un mauvais sentiment. La réaliser en se servant d’une tierce personne est particulièrement choquant.
Le roman traite d’une forme particulière de candaulisme, celle qui s’accompagne de la souffrance de l’autre. Valérie en est la victime et elle finira par faire payer son tortionnaire. Valentine, de son côté, est plus une nymphomane qu’une hypersexuelle.
Je reconnais avoir eu des comportements qui ont fait souffrir ceux qui m’ont aimé, et d’abord mes maris Philippe et Hassan. Mais une fois passé le moment du plaisir fulgurant qui annihile la volonté, j’en ai ressenti de la honte et de la gêne.
Ce sont ces sentiments qu’on ressent en lisant ce roman, au-delà du talent de l’écriture et de l’inévitable excitation que crée sa lecture.
Je sais en tout cas que ce n’est pas ainsi que nous voulons vivre notre candaulisme et mon hypersexualité.
En voulant commencer une autre fiche de lecture sur un roman de Guillaume Perrotte, je me suis aperçue que cette fiche de lecture n°4, initialement rédigée en septembre 2017, n’avait jamais été publiée !
Je suis passée directement de la fiche n° 3 (« Lectures érotiques (3). Au bonheur des femmes infidèles : récits / Sam Carroll ».), publiée le 30 septembre 2017, à la fiche n°5 (« Lectures érotiques (5). Lounja Charif : « La Maghrébine » (Editions Blanche 2010), publiée le 2 novembre 2017.
A part le fait qu’il s’agissait pour moi et mon couple d’une période très perturbée (j’avais regagné le domicile conjugal après la « crise de N. », en étant enceinte de mon dernier enfant), j’ignore les raisons de ce gros « loupé », que j’ai décidé de rattraper, sans modifier la numérotation initiale de cette série sur mes « Lectures érotiques ».
J’ai publié le 22 mai 2019 sur HdS une autre fiche de lecture consacrée à un roman de Guillaume Perrotte, « Lectures érotiques (18). Guillaume Perrotte : « Sex Addict » (Editions Blanche, 2008) ». Je dois avoir un problème avec cet auteur, puisque, dans cette fiche, j’ai fait référence, au sujet de la biographie de l’auteur, à de précédentes fiches de lecture consacrées à des romans d’Éric Mouzat ! Il est vrai que les thématiques de Mouzat et de Perrotte sont proches, mais tout de même !
Je vous en promets une autre, sur le roman « Proposition perverse » (Editions Blanche 2005).
Je prie mes fidèles lecteurs et lectrices de bien vouloir excuser ces erreurs. Je publie donc, avec deux ans de retard, cette fiche, que j’ai évidemment soigneusement relue et complétée.
RESUME
La vengeance passionnelle est le fil conducteur de ce roman de 187 pages.
Instituteur, Marc ne se remet pas du départ de sa femme pour un autre homme. Impuissant, émotionnellement mort, il vogue depuis des mois entre haine et dépression, sans avoir la force d'analyser son naufrage conjugal.
Jusqu’au jour où il fait la connaissance de la mère d'un de ses élèves, Valérie. Marc a alors l'idée d'un plan machiavélique. Il va faire de cette femme sa maîtresse, pour comprendre enfin comment Valentine, son ex, a pu le berner aussi facilement depuis des mois, du premier baiser extraconjugal à la violente séparation.
Spirale infernale dans laquelle Marc va plonger pour casser la vie de Valérie, cette femme innocente et fragile qui ressemble physiquement tant à la sienne et qu'il finira par prénommer Val, comme son ex. Cette Valérie, qu'il a décidé de détruire pour épargner la mère de son fils. Au risque de tomber dans son propre piège immoral.
L’AUTEUR
Ex-cinéaste publicitaire aujourd'hui romancier, Guillaume Perrotte a une quarantaine d'années et vit à Paris. Passionné de littérature et de sexualité, il a déjà consacré une œuvre remarquée sur l'hypersexualité.
Il a publié plusieurs romans érotiques aux éditions Blanche (Proposition perverse, Sex addict, Femmes de pub...), dont certains ont été réédités en format de poche, et de courts textes aux éditions Dominique Leroy.
MES NOTES DE LECTURE
Valentine, l’épouse adultère, a quitté Marc. Mais avant elle lui a décrit en détails ses frasques : « Elle m’a tout raconté, dans les moindres détails, m’a décrit les sensations corporelles qu’elle a connues entre les jambes de ce type avec une précision toute pathologique ».
VALERIE LA VICTIME
C’est dans le cadre de son métier d’instituteur que Marc rencontre Valérie, mère d’un de ses élèves. La jolie mère de famille réveille « la bête » en Marc. Il va tout faire pour la séduire. Il lui donne donc rendez-vous après la classe pour parler des problèmes scolaires de son fils, liés aux « problèmes conjugaux de la jeune femme ». Dès ce premier rendez-vous, Valérie se laisse aller à embrasser fougueusement l’instituteur de son gamin. « J’aspire sa langue et elle mes lèvres. J’empoigne ses fesses pendant qu’elle plaque son bas-ventre contre ma queue en feu. »
Valérie va accepter de se rendre chez Marc et s’offrir à lui. Marc va reproduire ce que Valentine, son ex, a fait avec son amant Jean, au même endroit. Marc la rend folle en passant un DVD de Rocco Siffredi pendant qu’il besogne l’épouse adultère. C’est elle qui réclame à son amant de la baiser et de l’enculer.
C’est Valérie qu’il besogne, mais, à travers elle, c’est aussi son épouse Valentine. Et, naturellement, il se fait un plaisir de raconter ses exploits à Valentine quand elle ramène leur fils à la maison le dimanche soir, allant jusqu’à montrer le préservatif utilisé avec Valérie.
LA DESCENTE « AUX ENFERS » DE VALERIE
Marc poursuit l’éducation de sa maîtresse en reproduisant tout ce qui s’est passé avec son Ex. Il commence par acheter godemichés, des boules anales, un petit fouet à lanières. Marc va amener Valérie dans le même sex-shop, dans la même cabine où Valentine s’est offerte à son amant.
Valérie est complétement sous la coupe de son amant : « Une fille jouit en gros plan (sur l’écran) et moi je n’en peux plus. Ahhhhh, jouit-elle en mêlant ses gémissements à ceux de la fille, cependant que je la pilonne avec ma main entière. »
Dans un « salon de massage », Valérie va accepter de s’exhiber et même de sucer d’autres hommes. Le soir même Marc fait un compte-rendu à Valentine qui est devenue complice de fait de la perversité de son ex-mari.
Marc va rencontrer Paul, le mari de Valérie et les deux hommes vont sympathiser, comme Marc avait sympathisé avec Jean.
Le mari est à peine parti que Valérie demande à son mâle de la « baiser comme une chienne »
Valérie va accepter une « double vaginale » avec deux godes dans la chatte, puis un troisième dans l’anus, avant de subir « King Kong » le terrible gode noir de 25 cm choisi par son amant. Et Marc poussera le vice jusqu’à éjaculer dans le gel douche du mari cocu. Et naturellement, le soir, Valentine, de plus en plus complice de son Ex, a droit à un compte-rendu complet, qui l’excite particulièrement.
PARTOUZE
L’étape suivante sera une partouze, où Marc va offrir sa soumise à trois étalons, Thierry et ses amis, les mêmes qui, quelques mois auparavant, s’étaient occupés de son épouse.
Invité à diner avant cette séance, en présence d’autres amis du couple, Marc ne prend pas de gants : « Une fois seuls dans la cuisine, nous nous sautons dessus. Ses lèvres écrasent les miennes, mes mains pétrissent ses seins comme de la pâte à pain et elle plonge ses doigts à l’intérieur de ma braguette (…) »
Il se fait sucer à fond par Valérie. Il exige alors qu’elle aille déposer un baiser sur les lèvres du mari cocu.
La partouze avec les quatre étalons est torride : « Ils n’en finissent pas de remplir les réserves de leurs capotes. (…) Elle n’est plus qu’une machine à jouir entre leurs bras et leurs jambes. Chaque nouveau coup de reins lui provoque un nouvel orgasme (…)
Le mari bafoué découvre les traces, à savoir les douze préservatifs des mâles qui ont partouzé Valérie. Dans sa colère, il met son poing sur la figure de Marc.
LE RETOUR DE VALENTINE ET LA DESCENTE AUX ENFERS DE MARC
Valérie va se retrouver la proie du couple de Marc et de Valentine. Valérie va jusqu’à fister Valentine, avant que Marc ne la chasse comme une chienne, convaincu d’avoir reconquis son ex-épouse.
Valentine revient s’installer à la maison, mais Marc ne peut faire face aux besoins de cette hypersexuelle.
Ce qui provoque la colère de Valentine face à un mari qui n’assume pas : « te rends-tu compte du nombre de maris qui seraient prêts à vendre leur âme au diable pour avoir une épouse aussi libérée et vicieuse que la tienne ? »
Valentine ira jusqu’à la tentative de viol, en pleine nuit : « Cette obsédée s’est carrément assise sur ma figure, sur laquelle elle frotte vigoureusement ses grandes lèvres. (…) Je l’attrape par les cheveux, les lui tire brutalement en arrière. (…) Son odeur d’épouse en chaleur me porte au cœur. »
Valentine tente ensuite d’inciter en vain son mari de ramener une prostituée à la maison. Puis elle se décide à le ligoter au lit pour le soumettre à ses désirs. Après l’avoir sodomisé, Valentine va pendant un moment interminable violé son mari, se servant de sa queue comme d’un gode.
Valentine finira par quitter à nouveau Marc, pour retomber sous la coupe de son amant Jean, et cherche à humilier le mari en lui faisant parvenir une cassette où Jean partouze avec Valentine mais aussi avec Valérie.
PRIS A SON PROPRE PIEGE
Marc aura fini par tout perdre. Il tentera en vain de reconquérir Valérie, mais celle-ci n’oublie pas tout ce qu’il lui a fait subir.
CE ROMAN ET MOI
Ce roman suscite, comme les autres textes de Guillaume Perrotte, un certain malaise. La vengeance est en soit un mauvais sentiment. La réaliser en se servant d’une tierce personne est particulièrement choquant.
Le roman traite d’une forme particulière de candaulisme, celle qui s’accompagne de la souffrance de l’autre. Valérie en est la victime et elle finira par faire payer son tortionnaire. Valentine, de son côté, est plus une nymphomane qu’une hypersexuelle.
Je reconnais avoir eu des comportements qui ont fait souffrir ceux qui m’ont aimé, et d’abord mes maris Philippe et Hassan. Mais une fois passé le moment du plaisir fulgurant qui annihile la volonté, j’en ai ressenti de la honte et de la gêne.
Ce sont ces sentiments qu’on ressent en lisant ce roman, au-delà du talent de l’écriture et de l’inévitable excitation que crée sa lecture.
Je sais en tout cas que ce n’est pas ainsi que nous voulons vivre notre candaulisme et mon hypersexualité.
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