Les copines de mon frère.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Les copines de mon frère. Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les copines de mon frère.
Comme un bon frère qui était, et ne sachant rien de ma sexualité, voilà qu’il me propose de me dépuceler.
- Merci frangin de penser à ma sexualité !
- Mais de rien. J’ai des tonnes de copines qui seraient heureuses de me rendre ce service.
Un cul supplémentaire, je ne dis pas non. Même si pour cela, je dois me faire passer pour un puceau. Ce que je fis sans aucun problème. Et croyez-moi, je sais y faire.
Évidemment, pour cela, il devait me sortir. Et cela tomber bien, puisque sa femme devait s’absenter la semaine suivante pour suivre un stage. Pas plus tard que le lundi, suite au départ de sa femme, le voilà qui me propose de me sortir le soir même. M’entraînant dans un bar où il est accoutumé.
Comme le hasard fait bien les choses, je vois deux femmes patientées autour d’une table. Et c’est autour de cette dernière qu’il m’invite à m’installer.
Une commande à boire ce fait suivit d’une discussion entre les deux femmes et mon frère. Moi, en parfait rôle de pur, j’écoute. Ceux qui ma foi me va si bien. Je dirai même que dans ce rôle, j’excède. Je ne suis pas à mon premier essaie. C’est même devenu chez moi une habitude.
Pour passer le temps, je pose mes yeux sur le genou moulé par ce qui doit sans doute être un collant, de couleur sombre. Avant de faire glisser mon regard sur le galbe de la cuisse, qui se perd sous l’épaisse maille d’une robe pull bordeaux. Toutes ses images commencent à me monter à la tête.
Pas le temps de m’attarder plus longtemps que déjà, il faut partir. Direction l’appartement de mon frère. Où très, il me laisse avec Maria, invitant Alberta de le suivre dans la chambre. Pas sans m’avoir lancé une œillade encourageante.
J’allume le lustre du salon salle à manger et introduit le lieu, Maria derrière moi. Je l’entends alors me dire :
- Ça va ?
- Oui, oui.
- Je ne t’impressionne pas, j’espère ?
- Oui, fais-je.
- Tu travailles ?
- En usine.
- Et ça te plaît ?
- Ça va.
- Tu dois avoir du succès auprès des filles toi.
- Oui un peu.
- Modeste avec ça ! Je ne te crois pas sur ce coup-là ! Tu dois les faire mouiller dans leur culotte. J’ai bien vu que tu n’arrêtais pas de mater mes pieds tout à l’heure au bar.
- Oui, ça se peut…
En une fraction de seconde, mon esprit passe de la résignation à la stupéfaction.
- Ça va ? Ajoute-t-elle.
- Euh, ou… oui...
- Ne sois pas gêné, c’est de ton âge de regarder les jambes des femmes. J’espère que tu aimes ce que tu vois.
-…
Là, je joue le timide qui ne sait plus où se mettre et je me tortille sur mon siège.
- Ne sois pas gêné, voyons. Je suis trop flattée que tu aimes me regarder. C’est que tu es plutôt joli garçon.
- Je l’excuse.
- Ils te plaisent ? Me demande-t-elle en faisant sortir son pied-droit de sa sandale, après avoir posé son cul sur le divan.
- Euh, oui bien sûr…
- Cela te dit de les voir de plus près ? M’interroge-t-elle, d’une voix que je dirais brisée par le désir.
- Si cela ne vous gêne pas, je ne dis pas non !
Je m’en veux de lui avoir répondu cela. La situation m’échappe comme souvent dans ses moments-là. Quand l’excitation l’emporte sur ma raison.
- Tu ne sais peut-être pas, mais je suis sensible des pieds.
- Ah… Oui…
- J’adore qu’on les embrasse. Tu serais capable, toi, t’embrasser mes pieds.
- Je ne l’ai jamais fait, mais pourquoi pas…
- Il y a un début à tout, n’est-ce pas ?
- Oui Madame…
- Madame ? Waouh… On ne me la jamais fait celle-là ! Je t’autorise à m’appeler Maria.
- Bien… Va pour Maria…
- Cela me fera plus plaisir que Madame. Alors, pour passer à autre chose, cela te dit de câliner mes pieds ?

Mon cerveau met plusieurs secondes à traiter l’information. Lui toucher le pied !
- Je ne dis pas non…
- Alors, montre-moi à quel point tu les apprécies. Me lance-t-elle tout en se séparant de son collant.
Ce qui ne me laisse pas de marbre. Sans hésitation, je m’allonge à ses pieds. Elle place un pied sur mes genoux, m’offrant une vue imprenable sur ses pieds parfaitement soignés. J’embrasse d'abord le dessus de son pied-droit, puis le gauche, mes lèvres déposant des baisers humides et bruyants sur chaque orteil, chaque coup de langue illustrant sa dévotion et sa soumission croissantes à ses désirs. Ses soupirs se mélangent aux bruits de mes baisers. Elle profite que je m’occupe de son peton pour faire remonter innocemment sa robe sur ses cuisses. La chose n’échappe pas à mon regard affûté. J’entraperçois immédiatement le liseré de dentelle noire à la frontière de la maille de laine. Ce qui fait monter ma tension d’un cran en même temps que je sens mon sexe gonflé dans mon slip.
- Ça te plaît, on dirait, n'est-ce pas ? Elle a un sourire malicieux et une étincelle de désir dans les yeux.
J’ai mon cœur qui bat à tout rompre.
- Oui... Oui beau… Beaucoup, je bafouille.
J’ai l’esprit embrumé par le parfum et le goût de ses pieds. Puis je me lance à lécher ses chevilles. Remonte le long de ses jambes. Ma langue trace un chemin humide sur sa peau. Je prolonge la caresse buccale, que je continue d'explorer avec mes lèvres, avec ma bouche, avec ma langue, ses jambes. Maria, entreprends de diriger mes mouvements avec plus de minutie. Elle guide ma tête d'une main ferme, accentuant la pression de ses doigts dans mes cheveux chaque fois qu'elle désire une attention plus poussée sur une zone particulière de ses jambes.
- Tu sais ce qu’une femme aime le plus ?
- Franchement, je ne sais quoi répondre.
J’ai bien mon idée. Mais ça, je le garde pour moi. Merci aux écritures du rapport Hite !
- Et bien une femme aime qu’on la caresse ?
- Je ne le savais pas.
- Attends, je vais te montrer.
Elle fait glisser ses doigts sur la face antérieure de sa cuisse.
- Comme ça, tendrement ! Tu vois ?
Maria retire sa main pour se saisir de la mienne pour la poser sur sa cuisse. Elle écarte franchement ses dernières pour m’inviter à poursuivre la leçon. Dans le mouvement, la robe remonte davantage en offrant à mon regard le triangle d’étoffe qui cache le devant de son intimité. La vue de l’estuaire blanc bombé provoque chez moi une brusque montée de bouffée de chaleur.
- Tu aimes ce que tu vois ?
- Oh que oui Maria… C’est si beau.
- Cela te dit de défaire mon bas ?
- Bien sûr Maria…
- Je compte sur toi pour être délicat à souhait !
Ma main remonte tels un souffle de volupté, chaque phalange avançant, glissant, caressant, centimètre après centimètre, dessinant des arabesques et des volutes sur la chair. J’ai ma queue qui va exploser dans mon slip.
Je me concentre sur l’humidité que je sois sous la pulpe de mes doigts. La salope mouille bien. Un parfum musqué s’échappe et vient titiller mes narines. Les effluves du sexe de Maria m’enivrent totalement, décuplent ma propre excitation.
D’un geste, Maria glisse une de ses mains dans sa culotte blanche. Le ressort luisant de sa mouille.
- Tout ça est de ta faute !
- Je n’ai rien fait ?
- Plus que tu crois, mon chou… Cela te dit ? Me fait-elle en me tendant sa main.
- J’en ai toujours rêvé !
- Comment ça ?
- Je me suis toujours dit que le jour, j’aurais la chance de me retrouver devant une femme de la sorte, j’y goûterais sans aucune hésitation.
- Eh bien, voilà, c’est ton jour. Alors ne te gêne surtout pas pour moi !
Je sens sous mes doigts le tissu se creuser à mesure qu’ils pénètrent la fente déjà largement ouverte sous l’épaisse toison pubienne, ce qui arrache un gémissement à Maria.
- Mais tu es doué, tu as un don pour ce genre de caresse. C’est bon, continu, continu !
Incapable de me retenir, d’un geste, j’écarte le sous-vêtement pour accéder pleinement au sexe de la femme. Mes doigts se perdent d’abord dans l’épaisse toison qui bien que dense, est étonnamment douce. Puis mes doigts font connaissance avec son antre. À l’effleurement de mon index sur son clitoris dressé, provoque immédiatement chez sa personne, un premier orgasme foudroyant.
- Oui… Oui… Je jouis, oui, c’est bon !
Encouragé, je balaye de la pulpe de mon doigt pour dégager le petit capuchon et dessiner des petits cercles qui provoquent immédiatement un nouvel orgasme. En même temps que je sens un jet chaud couler et inonder sa main.
Maria reste la tête en arrière de longs instants, immobile, épuisée.
- Eh bien pour une soit première fois, tu te débrouilles comme un as mon chou ! Tout le monde n’arrive pas à me faire éjaculer, tu sais ?
Elle baisse son regard et s’aperçoit dans l’état où je me trouve.
- Tu mérites que je m’occupe de toi !
Avec des gestes d’infirmières, elle dénoue la ceinture, ouvre le pantalon qu’elle fait glisser sur mes cuisses avec mon slip pour dégager ma verge.
- J’ai cru deviner que je suis ta première ? Il faut alors que je m’applique pour que tu en gardes un bon souvenir alors.
Elle se penche au-dessus de ma queue. Elle pose délicatement ses lèvres sur le bout de son gland. Qu’elle fait glisser entre ses lèvres puis sur sa langue brûlante en même temps que ses mains accompagnent le mouvement sur le long de la verge. Un vrai expert cette Maria ! Vous comprenez bien que je ne me suis pas retenu. Après quelques va-et-vient, j’ai largué la sauce. Maria l’avale jusqu’à la dernière goûte. Et libère aussitôt ma queue déjà à moitié ramollie en l’accompagnant jusqu’au bout de ses lèvres. Voyant une dernière goutte ruisseler sur le méat du prépuce refermé, elle va le recueillir du bout du doigt, passant sa langue sur ses lèvres.
- Cela te dit de me goûter. Alors qu’elle est en train de se toucher.
Interloqué, je regarde cette femme qui s’offerte à moi, qui se touche délicatement en attendant que je me décide. Finalement, je tombe à genoux entre ses cuisses et approche ma main de cette chatte si généreusement proposée.
- Oui, vas-y, mon chou. J’aime tellement ça quand me touche.
D’un doigt, j’effleure ses lèvres intimes tout en me rapprochant de sa fourche dont je hume la fragrance excitée. La salope mouille bien. Je pense que se taper un jeune mec en est pour quelque chose. Encore une couguar !
- Je peux poser ma bouche ? Fais-je.
- Mais bien sûr mon chou, je suis pour ça. Pour que tu découvres le corps d’une femme !
J’y appose mes lèvres et de ma langue gourmande et commence à lécher cette chatte humide dont le goût, je l’avoue, me plaît immédiatement.
Pendant ce temps, elle sort ses seins de son soutien-gorge et se les caresse, palpant ses globes avec délectation, ses doigts aux longs ongles nacrés agaçant et pinçant ses mamelons durcis.
- Oh oui, c’est bon gémit-elle. Tu ne peux pas savoir comme j’aime ça me faire bouffer la chatte comme ça. Oui… Vas-y mange-moi.
Ses encouragements m’excitent alors que je lape avec conscience la généreuse cyprine de cette moule excitée.
D’une main, je masse ma queue tout en léchant. Ma langue s’active sur son bouton qui roule, sur, sous mes lèvres.
- Oui… Que c’est bon. Oh, tu fais ça… Bien mets moi tes doigts aussi vas-y…
Je m’empresse d’obéir et tout en lui aspire son clitoris, je lui mets un puis deux doigts dans son fourreau, alors qu’un troisième excitait son anus…
- Petit cochon ! Lâche-telle.
C’est alors qu’un bruit de porte qui s’ouvre attire mon attention. C’est Alberta. Une brune aux cheveux longs et au corps souple que mon frère avait conduit dans sa chambre plus tôt. Il émane d’elle une sensualité qui m’a tout de suite fait vibrer, à la première vue au bar. Un sourire à la fois allumeur et adorable m’excitait au plus haut point.
- Il est bon à rien ce con ! Je ne peux rien en tirer sur lui. Et il s’est endormi me laissant sur ma faim. Oh, Maria… Fait, Alberta, en me découvrant entre les jambes de sa copine. Mais que, qu’il te fait ? Parviens à articuler, le moment de première stupeur passé.
- Oh, c’est toi, Alberta, ben, tu vois, ce gamin a le don de faire du bien à une femme… Répond-elle, lâchant d’une main ses seins et l’appuyant sur ma tête.
Je lorgne néanmoins en coin la nouvelle venue, charmante avec sa jupe courte et son chemisier ouvert sur un petit caraco. Je lève les yeux. La coquine regarde visiblement intéresser.
- Tu devrais essayer ma choute, ce coquin me lèche divinement, tu sais… Invite Maria, mais patiente encore un peu qu’il me fasse jouir… Je sens que ça vient.
Je poursuis ce léchage me masturbant d’une main, ce que remarque rapidement Alberta.
Qui prend place sur le lit à côté, alors que Maria gémit de plus belle ? Commentant entre deux plaintes mon savoir-faire à sa copine. Qui ne perd pas de temps. Relevant sa jupette. Pianotant de sa main, son sexe. Elle ne porte pas de culotte, je devine qu’elle s’en est séparée dans la chambre de mon frère !
J’espère fortement qu’elle l’oubliera !
Je sens Maria se tendre. Je devine le plaisir monté en elle. Je me mets à sucer gloutonnement son clito tout en agitant deux doigts dans son fourreau. Un feulement puis un cri de jouissance s’échappent de sa bouche. Ses cuisses serrent ma tête, aussi fort qu’un étau.
- Oh oui, oui, je jouis… c’est bon…
À côté Alberta, continue à se toucher, doucement. Maria me fait un clin d’œil.
- Oh, ma choute qu’est que c’était bon. Je suis sûr Alberta que tu ne serais pas contre l’essayer ?
- Si c’est un virtuose, je ne dis pas non !
Sans plus attendre, je change de chatte. Je respire son odeur de chatte humide forte et poivrée. Elle est tout aussi plaisant que Maria. Elle mouille abondamment et m’envoie des flots de cyprines que je bois.
Maria profite de l’extase de sa copine pour sortir ses seins. Va jusqu’à les caresser avant de les sucer. Je suis aux anges. J’ai affaire là à une sacré paire de cochonne. Merci mon frère !
De mon côté, je la doigte. La chatte et le cul simultanément.
- Tu fais ça bien, et j’adore ça ! Humm oui continue bouffe moi dévore moi, j’en ai trop envie !
Je continue à la lécher oubliant même la présence de Maria, qui lance un :
- Il lèche divinement ma choute ?
- C’est si peu de le dire ! Répond Alberta, dans un souffle.
C’est alors que je sens une bouche chaude enfournée ma queue. Celles de Maria, dont ce sont les cheveux caressent mes cuisses, mes couilles et mon sexe. J’ouvre de mes doigts, la chatte d’Elvira. Avec mon index, je titille toujours son anus qui vient maintenant à ma rencontre. Toutes les caresses conjuguées, l’amène à un orgasme violent qui la fait se pincer très fort les seins et crier sa jouissance :
- Oh putain… Le salaud, je pars… Oui, je pars !
Avec pourtant une mâchoire douloureuse, je ne suis pas mécontent de moi. J’ai mené deux femmes au plaisir. Mais alors que je me remets des deux cunnilingus, je suis témoin d’un tableau que je citerais de jouissif. Voilà que les deux coquines s’embrassent en frottant leurs belles poitrines tout en se caressant. Puis Maria m’ordonne pantelante :
- Je veux ta queue, j’ai trop envie.
Bien que l’invite soit très tentante, je me dois de jouer le novice en la matière. Et j’attends que Maria persiste dans sa sollicitation pour poser ma queue à l’entrée de sa fente.
- Vas-y mon garçon, fonce dedans !
Je l’enfile d’un coup de reins, sous les yeux d’Alberta, sourire aux lèvres. Sa main s’en va caresser alternativement mes couilles et l’anus de sa copine. Puis toujours elle, écarte mes fesses et se met à lécher mon anus avidement. Va jusqu’à violer mon anus de son index. Augmentant mes sensations. Je gicle dans l’instant.
Plus coquine que jamais, Alberta se positionne à quatre pattes sur le lit et lance un :
- À mon tour ! Tu te sens capable de remettre ça ?
Je lui souris et retire mon sexe de sa fente de Maria. Et m’enfonce l’instant suivant dans un sexe de velours. Elle remue ses fesses. Maria rampe sur le lit et se place sous la bouche de sa copine. Qui se met tout de suite à lécher la fente de sa partenaire, qui crie et halète. L’odeur de leurs chattes parfume la pièce. Et je sens malgré un premier orgasme, que je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps. J’éjacule en criant dans l’antre d’Alberta. De longues rasades alors qu’en même temps, Maria jouit sous la langue de sa copine.
Je m’affale sur le lit. Maria se love contre moi.
- Et mon salaud, tu nous avais caché cela ?
- Cacher quoi ?
- Ne te fous pas de nous, nous savons reconnaître un novice, crois-moi…
- Et bien, je compte sur votre indiscrétion pour garder cela pour vous.
- Comment ça fait Maria.
- Je ne veux surtout pas que mon frère le sache.
- Mais lui, il n’a pas arrête de te vendre comme un puceau !
- Alors faite comme si rien n’avait fonctionné.
- Mais pourquoi ça ?
- Parce que je vous le dis !

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