Liaison fatales

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Liaison fatales
Au cours d’un dîner, voilà qu’Ursula se trouve mal à table. Sans doute à cause de ses deux coupes de champagne avalées ! Avec l’aide de son mari, nous l’avons conduite à notre chambre. Ma femme nous devance, comme pour ouvrir la voie.
Une fois avoir installé, nous avons quitté la pièce. Le mari et ma femme se sont allés à la salle à manger, rejoignant l’autre couple, eux toujours à table. Pour ma part, je profite de l’instant pour me rendre aux toilettes. Un besoin naturel.
À ma sortie, alors que je boutonne ma braguette, je m’aperçois que la lumière de ma chambre est restée allumée. Alors que je m’apprête à couper l’électricité, mon regard se pose sur les jambes de la dormeuse. Sans doute, l’alcool aidant, inconscient du risque que je prends, me voilà en train de lui soutirer le collant. Tout cela en m’encourageant, à me dire que personne, même pas elle, s’inquiéterait de son absence
Cerise sur le gâteau, je profite que son 38 soit nu, pour le baiser. C’est seulement le lendemain, que je prends conscience du risque que j’ai pris la veille.
Une semaine s’est écoulée depuis le dîner, et le hasard, ou pas, fait que je rencontre Ursula en sortant de mon boulot. Elle m’explique qu’elle vient de déposer sa voiture au garage.
-Ce n'est pas grave, au moins ?
-Une révision ! Me répond-t-elle.
Je l’invite alors à prendre un verre dans le bistro du quartier. Tout de suite me vient à l’esprit le tête-à-tête avec collant.
-Non merci, me lâche-t-elle, je dois prendre le bus.
-Le bus ?
-Je viens te dire que je n’ai plus de véhicule, et Patrick est en périple pour la semaine.
-Tu veux peut-être que je te dépose ?
-Je ne voudrais pas de déranger.
-Mais ce serait avec plaisir ! Je te dois bien ça !
Me rappelant de nouveaux mon épisode avec son nylon.
-Pardon ! S’exclame-t-elle, je ne te suis pas là.
-Oh laisse tomber ! Alors ce verre on se le prend ?
-Pourquoi pas, maintenant que j’ai un chauffeur.
Deux kirs plus tard, je suis derrière le volant pour la mener chez elle. Devant le hall de son immeuble, la voilà qu’elle insiste fortement, pour que je monte avec elle, prendre un verre pour me remercier de mon dérangement.
Alors je me laisse entrainer. L’idée de récupérer une culotte portée, n’est pas étrangère à ma docilité. Sitôt le pas de porte d’entrée franchis, la voilà qu’elle se sépare de son manteau, puis défait ses cheveux attachés. Qui encadrent son visage anguleux, soigneusement fardé, d’une cascade de boucles platine.
Puis, elle se penche en avant pour faire descendre les fermetures éclair de ses bottes. Sa robe courte en cuir se tend sur ses hanches, exposant la périphérie de sa plastique, aussi nettement que si elle était nue.
Ses hanches larges et bien marquées contrastent avec la minceur des cuisses qu’elle expose un peu plus que nécessaire pour s’ôter les bottes. Assez longtemps pour que j’aperçois une mince bande de peau nue au-dessus des bas noirs.
-Tu sais pourquoi tu es là ?
-Non… mais je pense que je ne vais pas tarder de le savoir.
Elle me désigne le canapé où est posé un collant. Je décèle tout de suite qu’elle a été portée. Je l’imagine sans mal s’être branlé la veille devant la télé.
-Avant toute chose, je te propose un Porto ?
-Un petit…
Je profite d’être seul dans la pièce pour aller m’assurer si j’avais raison sur la nature du collant. Et bien sûr je ne m’étais pas trompé. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà j’entends le retour d’Ursula.
Sourire aux lèvres, elle dépose un plateau sur la table basse. D’où sont posés, deux verres, une bouteille de Porto, des toasts et une terrine de pâté.
-Alors pourquoi je suis là ?
-Assis-toi…
De son côté, elle s’accroupit en face de moi pour servir. Elle continue à parler, comme si elle n’est pas consciente de la vision qu’elle m’offrait. Ses jambes gainées de nylon jusqu’à la chair pâle du haut des cuisses et surtout, son sexe à peine voilé par le nylon de sa culotte si étroit qu’il laisse dépasser de chaque côté une bande de poils, aussi frisés que sa chevelure.
-Tiens ton verre, me fait-elle, en me le tendant.
Je ne peux répondre que par un grognement, la bouche pâteuse d’un coup.
Puis elle prend place en face de moi. Là, elle me demande si je veux un toast de pâté.
-Oui, je veux bien.
Mais alors que je m’apprête à m’en tartiner un, la voilà qu’elle prend les devants.
-Je peux le faire, tu sais !
-Je sais bien, mais je préfère le faire, tu es mon invité, non ?
Alors qu’elle s’affaire à tartiner un morceau de brioche, je peux à loisir, une fois encore, détailler son entrecuisse. La touffe de poils scindée par la bande de la culotte que je peux voir disparaître entre ses lèvres. J’ai juste le temps de relever mon regard pour lui rendre son sourire.
Tout en me tendant le toast, la voilà, qu’elle lâche :
-Tu es un sacré numéro, toi Alain.
-Pourquoi cela ?
-Je parle du soir où tu m’as soutiré mon collant.
-Je ne savais pas ce que je faisais.
-Oui c’est ça ! Répond-t-elle en croquant son toast.
-Et toi, pourquoi m’avoir laissé faire ?
-Va savoir ! Fait-elle en se saisissant de son verre. De boire une gorgée avant d’ajouter. Peut-être curieuse de savoir jusqu’à où tu allais aller ?
-Et alors ?
-Je ne te cache pas que j’ai été un peu déçu. Je m’attendais à mieux de ta part !
-C’est que nous n’étions pas seul.
-Ah oui ! Mais ce soir nous sommes seuls. Me fait-elle, en ramenant ses genoux sous son menton.
Elle braque ses yeux clairs sur les miens, et me fixe avec intensité.
-Dis-moi Alain, tu serais capable de me voler ma culotte?
-Sans aucun problème !
Elle avance imperceptiblement son fessier au bord du divan. Je me glisse sur le parquet, en direction des cuisses d’Ursula.
-Pas qu’un peu que j’aimerais de la voler! Je me suis même laissé entrainer chez toi pour commettre le larcin. Fais-je en ponctuant ma déclaration en glissant mon nez aux abords de sa culotte. J’ajoute :
-Je suis même sûr que je ne vais pas être déçu !
Feignant la modestie, elle détourne le regard en secouant la tête et en profite pour avancer le bassin à la rencontre de mon nez, alors que j’hume sa vulve à travers le nylon. Avec une nouvelle mimique leste, elle dégage d’un petit sursaut, sa culotte, la repousse dans l’aine pour libérer son sexe. Elle s’incline ensuite vers l’accoudoir et remonte sa jupe en cuir sur ce qu’elle cachait encore.
Le sang bat à mes tempes sous l’effet de l’excitation, je dévore des yeux le sexe d’Ursula. Surtout les poils, qui recouvrent son pubis, d’où s’échappent deux lèvres chiffonnées fripées. Je repousse du bout des doigts les babines mauves et glisse mes narines dans la fente. Elle est moite, luisante.
Ursula me regarde à travers ses cils trop fardés, jouissant du pouvoir que me donne son sexe sur moi. Elle relève les genoux, écartant un peu plus les cuisses et saisit ma tête. Elle imprime à son bassin un mouvement tournant. Je me mets à la lécher. Elle accepte ma caresse buccale, avec un soupir. Je prends mon temps pour la lécher. Fouillant son vagin, repoussant les muqueuses souples pendant qu’elle me fixe avec une expression provocante. Comme si elle me mettait au défi de la faire jouir.
Tout en la léchant, j’enfile deux doigts dans sa tirelire, et en même temps plaque ma paume sur le clitoris grenu qui dépasse. Elle résiste quelques minutes, les cuisses agitées de frissons, ses yeux dans les miens, alors que je m’affaire à lui donner du plaisir. Elle finit par céder et une main plaquée sur la bouche, le bassin secoué de spasmes prend longuement son plaisir. Je continue à la lécher. Je soulève son T-shirt et libère ses seins en soulevant le soutien-gorge. Ils sont gros, lourds.
Ils ballotent sur son buste alors qu’elle se tortille en soupirant. Je pétris la chair élastique et pince la large aréole grenue, arrachant un gémissement.
-Oh, Alain ! Oh Alain !
Elle se tourne, creusant les reins pour me lancer un regard coquin. Interloqué, je la vois s’agenouiller sur le sofa, puis incliner le buste jusqu’à ce que son visage repose sur le dossier. Dans cette position, son cul s’entrouvre sur le sillon rosé d’où s’échappent quelques fins tortillons blonds. Elle se cambre en tendant le cou pour croiser mon regard.
Le sien a quelque chose d’enflammé. Je contemple la croupe épanouie qui s’ouvre sur une raie profonde. J’écarte les fesses à deux mains pour apercevoir l’anus, minuscule bourgeon rosé à demi dissimulé sous un bouquet de poils dorés.
Je la lèche, repoussant les frisottis avant d’agacer l’orifice plissé du bout de la langue, elle pousse un petit cri aigu.
-Oh ! C’est tellement… bon !
Je lape l’anus avec moins de délicatesse maintenant. Enduisant toute la raie de salive. Je glisse parfois jusqu’au sexe. J’aspire l’extrémité des lèvres fines dans ma bouche. Les mordillant avant de revenir au petit trou que je force de ma langue, obligeant à petits coups le sphincter à se détendre.
Elle a le souffle rauque et accompagne mon léchage de mouvements saccadés de la croupe.
Il est pour moi de penser à mon plaisir. Guidant mon sexe de la main, je le dirige vers la cible que j’ai soigneusement préparée. Posant mon gland sur les replis rosés et humides. J’entame un court va-et-vient, tamponnant l’orifice plissé à petits coups pour qu’il s’ouvre. Les premières fronces s’écartent et elle lâche un OH ! Tu ne vas qu’on même pas !
J’accélère, poussant mon avantage. Et cette fois le sphincter s’entrouvre, absorbant le bout de mon gland. D’un coup de reins, je fais céder les dernières résistances de la bague élastique et m’immisce dans le rectum. Je sens déjà les premiers spasmes du plaisir me chatouiller.
Incapable de me retenir, j’éjacule en elle. Arrosant son cul de jets drus qui la font sursauter. Elle se retourne, une fois encore pour me fixer. Une expression malicieuse sur son visage. J’ai guidé finalement mon gland tendu vers sa chatte. C'était une vraie fournaise ! Trempée et brûlante !
À peine enfoncé dans ses chairs lubrifiées, elle donne un grand coup de reins qui vint rebondir sur mon ventre. Elle avale ma verge d'un coup, en poussant un petit cri. Elle se met alors à onduler délicieusement du bassin et du cul, latéralement et verticalement, pour s'enfoncer sur ma queue sous tous les angles. En la ressortant bien à chaque fois presque entière avant de se la renfourner avec plaisir.
Ursula a des spasmes. Ursula gueule. Sa chatte palpite. Elle jouit et pisse en même temps.
J’éjacule une fois encore.
Le lendemain après le boulot, je me rends chez elle. Et la baise selon un scénario convenu. Attachée, les yeux bandés. Je suis son soumis, ainsi qu’elle le désire. Je la prends presque toujours par le cul. Ursula a maintenant ce qu’elle a toujours cherché. Un amant qui la comble. Et elle s’est longtemps attacher à moi.
Ensemble nous avons passés de bon moment.
Une fois avoir installé, nous avons quitté la pièce. Le mari et ma femme se sont allés à la salle à manger, rejoignant l’autre couple, eux toujours à table. Pour ma part, je profite de l’instant pour me rendre aux toilettes. Un besoin naturel.
À ma sortie, alors que je boutonne ma braguette, je m’aperçois que la lumière de ma chambre est restée allumée. Alors que je m’apprête à couper l’électricité, mon regard se pose sur les jambes de la dormeuse. Sans doute, l’alcool aidant, inconscient du risque que je prends, me voilà en train de lui soutirer le collant. Tout cela en m’encourageant, à me dire que personne, même pas elle, s’inquiéterait de son absence
Cerise sur le gâteau, je profite que son 38 soit nu, pour le baiser. C’est seulement le lendemain, que je prends conscience du risque que j’ai pris la veille.
Une semaine s’est écoulée depuis le dîner, et le hasard, ou pas, fait que je rencontre Ursula en sortant de mon boulot. Elle m’explique qu’elle vient de déposer sa voiture au garage.
-Ce n'est pas grave, au moins ?
-Une révision ! Me répond-t-elle.
Je l’invite alors à prendre un verre dans le bistro du quartier. Tout de suite me vient à l’esprit le tête-à-tête avec collant.
-Non merci, me lâche-t-elle, je dois prendre le bus.
-Le bus ?
-Je viens te dire que je n’ai plus de véhicule, et Patrick est en périple pour la semaine.
-Tu veux peut-être que je te dépose ?
-Je ne voudrais pas de déranger.
-Mais ce serait avec plaisir ! Je te dois bien ça !
Me rappelant de nouveaux mon épisode avec son nylon.
-Pardon ! S’exclame-t-elle, je ne te suis pas là.
-Oh laisse tomber ! Alors ce verre on se le prend ?
-Pourquoi pas, maintenant que j’ai un chauffeur.
Deux kirs plus tard, je suis derrière le volant pour la mener chez elle. Devant le hall de son immeuble, la voilà qu’elle insiste fortement, pour que je monte avec elle, prendre un verre pour me remercier de mon dérangement.
Alors je me laisse entrainer. L’idée de récupérer une culotte portée, n’est pas étrangère à ma docilité. Sitôt le pas de porte d’entrée franchis, la voilà qu’elle se sépare de son manteau, puis défait ses cheveux attachés. Qui encadrent son visage anguleux, soigneusement fardé, d’une cascade de boucles platine.
Puis, elle se penche en avant pour faire descendre les fermetures éclair de ses bottes. Sa robe courte en cuir se tend sur ses hanches, exposant la périphérie de sa plastique, aussi nettement que si elle était nue.
Ses hanches larges et bien marquées contrastent avec la minceur des cuisses qu’elle expose un peu plus que nécessaire pour s’ôter les bottes. Assez longtemps pour que j’aperçois une mince bande de peau nue au-dessus des bas noirs.
-Tu sais pourquoi tu es là ?
-Non… mais je pense que je ne vais pas tarder de le savoir.
Elle me désigne le canapé où est posé un collant. Je décèle tout de suite qu’elle a été portée. Je l’imagine sans mal s’être branlé la veille devant la télé.
-Avant toute chose, je te propose un Porto ?
-Un petit…
Je profite d’être seul dans la pièce pour aller m’assurer si j’avais raison sur la nature du collant. Et bien sûr je ne m’étais pas trompé. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà j’entends le retour d’Ursula.
Sourire aux lèvres, elle dépose un plateau sur la table basse. D’où sont posés, deux verres, une bouteille de Porto, des toasts et une terrine de pâté.
-Alors pourquoi je suis là ?
-Assis-toi…
De son côté, elle s’accroupit en face de moi pour servir. Elle continue à parler, comme si elle n’est pas consciente de la vision qu’elle m’offrait. Ses jambes gainées de nylon jusqu’à la chair pâle du haut des cuisses et surtout, son sexe à peine voilé par le nylon de sa culotte si étroit qu’il laisse dépasser de chaque côté une bande de poils, aussi frisés que sa chevelure.
-Tiens ton verre, me fait-elle, en me le tendant.
Je ne peux répondre que par un grognement, la bouche pâteuse d’un coup.
Puis elle prend place en face de moi. Là, elle me demande si je veux un toast de pâté.
-Oui, je veux bien.
Mais alors que je m’apprête à m’en tartiner un, la voilà qu’elle prend les devants.
-Je peux le faire, tu sais !
-Je sais bien, mais je préfère le faire, tu es mon invité, non ?
Alors qu’elle s’affaire à tartiner un morceau de brioche, je peux à loisir, une fois encore, détailler son entrecuisse. La touffe de poils scindée par la bande de la culotte que je peux voir disparaître entre ses lèvres. J’ai juste le temps de relever mon regard pour lui rendre son sourire.
Tout en me tendant le toast, la voilà, qu’elle lâche :
-Tu es un sacré numéro, toi Alain.
-Pourquoi cela ?
-Je parle du soir où tu m’as soutiré mon collant.
-Je ne savais pas ce que je faisais.
-Oui c’est ça ! Répond-t-elle en croquant son toast.
-Et toi, pourquoi m’avoir laissé faire ?
-Va savoir ! Fait-elle en se saisissant de son verre. De boire une gorgée avant d’ajouter. Peut-être curieuse de savoir jusqu’à où tu allais aller ?
-Et alors ?
-Je ne te cache pas que j’ai été un peu déçu. Je m’attendais à mieux de ta part !
-C’est que nous n’étions pas seul.
-Ah oui ! Mais ce soir nous sommes seuls. Me fait-elle, en ramenant ses genoux sous son menton.
Elle braque ses yeux clairs sur les miens, et me fixe avec intensité.
-Dis-moi Alain, tu serais capable de me voler ma culotte?
-Sans aucun problème !
Elle avance imperceptiblement son fessier au bord du divan. Je me glisse sur le parquet, en direction des cuisses d’Ursula.
-Pas qu’un peu que j’aimerais de la voler! Je me suis même laissé entrainer chez toi pour commettre le larcin. Fais-je en ponctuant ma déclaration en glissant mon nez aux abords de sa culotte. J’ajoute :
-Je suis même sûr que je ne vais pas être déçu !
Feignant la modestie, elle détourne le regard en secouant la tête et en profite pour avancer le bassin à la rencontre de mon nez, alors que j’hume sa vulve à travers le nylon. Avec une nouvelle mimique leste, elle dégage d’un petit sursaut, sa culotte, la repousse dans l’aine pour libérer son sexe. Elle s’incline ensuite vers l’accoudoir et remonte sa jupe en cuir sur ce qu’elle cachait encore.
Le sang bat à mes tempes sous l’effet de l’excitation, je dévore des yeux le sexe d’Ursula. Surtout les poils, qui recouvrent son pubis, d’où s’échappent deux lèvres chiffonnées fripées. Je repousse du bout des doigts les babines mauves et glisse mes narines dans la fente. Elle est moite, luisante.
Ursula me regarde à travers ses cils trop fardés, jouissant du pouvoir que me donne son sexe sur moi. Elle relève les genoux, écartant un peu plus les cuisses et saisit ma tête. Elle imprime à son bassin un mouvement tournant. Je me mets à la lécher. Elle accepte ma caresse buccale, avec un soupir. Je prends mon temps pour la lécher. Fouillant son vagin, repoussant les muqueuses souples pendant qu’elle me fixe avec une expression provocante. Comme si elle me mettait au défi de la faire jouir.
Tout en la léchant, j’enfile deux doigts dans sa tirelire, et en même temps plaque ma paume sur le clitoris grenu qui dépasse. Elle résiste quelques minutes, les cuisses agitées de frissons, ses yeux dans les miens, alors que je m’affaire à lui donner du plaisir. Elle finit par céder et une main plaquée sur la bouche, le bassin secoué de spasmes prend longuement son plaisir. Je continue à la lécher. Je soulève son T-shirt et libère ses seins en soulevant le soutien-gorge. Ils sont gros, lourds.
Ils ballotent sur son buste alors qu’elle se tortille en soupirant. Je pétris la chair élastique et pince la large aréole grenue, arrachant un gémissement.
-Oh, Alain ! Oh Alain !
Elle se tourne, creusant les reins pour me lancer un regard coquin. Interloqué, je la vois s’agenouiller sur le sofa, puis incliner le buste jusqu’à ce que son visage repose sur le dossier. Dans cette position, son cul s’entrouvre sur le sillon rosé d’où s’échappent quelques fins tortillons blonds. Elle se cambre en tendant le cou pour croiser mon regard.
Le sien a quelque chose d’enflammé. Je contemple la croupe épanouie qui s’ouvre sur une raie profonde. J’écarte les fesses à deux mains pour apercevoir l’anus, minuscule bourgeon rosé à demi dissimulé sous un bouquet de poils dorés.
Je la lèche, repoussant les frisottis avant d’agacer l’orifice plissé du bout de la langue, elle pousse un petit cri aigu.
-Oh ! C’est tellement… bon !
Je lape l’anus avec moins de délicatesse maintenant. Enduisant toute la raie de salive. Je glisse parfois jusqu’au sexe. J’aspire l’extrémité des lèvres fines dans ma bouche. Les mordillant avant de revenir au petit trou que je force de ma langue, obligeant à petits coups le sphincter à se détendre.
Elle a le souffle rauque et accompagne mon léchage de mouvements saccadés de la croupe.
Il est pour moi de penser à mon plaisir. Guidant mon sexe de la main, je le dirige vers la cible que j’ai soigneusement préparée. Posant mon gland sur les replis rosés et humides. J’entame un court va-et-vient, tamponnant l’orifice plissé à petits coups pour qu’il s’ouvre. Les premières fronces s’écartent et elle lâche un OH ! Tu ne vas qu’on même pas !
J’accélère, poussant mon avantage. Et cette fois le sphincter s’entrouvre, absorbant le bout de mon gland. D’un coup de reins, je fais céder les dernières résistances de la bague élastique et m’immisce dans le rectum. Je sens déjà les premiers spasmes du plaisir me chatouiller.
Incapable de me retenir, j’éjacule en elle. Arrosant son cul de jets drus qui la font sursauter. Elle se retourne, une fois encore pour me fixer. Une expression malicieuse sur son visage. J’ai guidé finalement mon gland tendu vers sa chatte. C'était une vraie fournaise ! Trempée et brûlante !
À peine enfoncé dans ses chairs lubrifiées, elle donne un grand coup de reins qui vint rebondir sur mon ventre. Elle avale ma verge d'un coup, en poussant un petit cri. Elle se met alors à onduler délicieusement du bassin et du cul, latéralement et verticalement, pour s'enfoncer sur ma queue sous tous les angles. En la ressortant bien à chaque fois presque entière avant de se la renfourner avec plaisir.
Ursula a des spasmes. Ursula gueule. Sa chatte palpite. Elle jouit et pisse en même temps.
J’éjacule une fois encore.
Le lendemain après le boulot, je me rends chez elle. Et la baise selon un scénario convenu. Attachée, les yeux bandés. Je suis son soumis, ainsi qu’elle le désire. Je la prends presque toujours par le cul. Ursula a maintenant ce qu’elle a toujours cherché. Un amant qui la comble. Et elle s’est longtemps attacher à moi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très beau

