Lola !

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Lola !
Je rêvais, qu'une main caressait le torse, descendant jusqu'à mon sexe, et que cette même main me l'a palpé, me l'a malaxé. Mon excitation a fait, que je me suis réveillé.
Mais la caresse est toujours là. La main me masturbe. Il fait très sombre dans la pièce, à un tel point que je n’ai pas vu qui me masturber.
Une chose est certaine, ce n’est pas ma femme. Elle ne me l’aurait pas fait de ce côté. Puis je sens une joue se poser sur mon ventre. Je reste immobile, continuant à simuler le sommeil.
Qui peut bien me branler ? J’entends juste un souffle discret, retenu même. Aucun parfum qui aurait pu me donner un indice. Je sens par contre une langue pointue effleurer le bout de mon gland, pendant que la main tient fermement ma verge. Je ne peux pas me retenir de haleter. Plus question pour moi de renoncer à simuler le sommeil. Je commence à exercer à mon bassin les allers et retours de la bouche qui me suce. Ma verge frissonne sous la montée de l'orgasme. Je jouis. Mon sperme giclant dans la bouche. Une, deux, trois nouvelles giclées viennent rejoindre la première.
La bienfaitrice aspire ma jouissance jusqu'à la dernière goutte. Pas le temps de reprendre mes esprits que je vois une ombre se redresser, et passer la porte d’entrée.
Je viens de prendre mon cadeau de Noël avant l’heure ! Mais qui est le père Noël ?
Après une douche réparatrice, je me rends dans la cuisine où déjà sont installées pas mal de membres de ma belle famille, attablés en train de prendre leur petit déjeuner. Je sonde parmi les probables femmes dans la pièce dont j’ai des relations plus qu’intimes, laquelle serait capable de passer à l’acte Il y a bien sûr ma belle-mère, dont j’ai une connexion sexuelle depuis le début de ma relation avec sa fille. Venue en ce jour, de bonne heure pour préparer le festin. Mais je l'exclus. Je n'ai pas senti son label. Marilyne, elle aussi je l’exclus, pas le courage de faire un tel coup au pied et au nez de ma femme. Alors la sœur de cette dernière, vu sa soif sexuelle, pas possible, elle s’aurait sans aucun doute assise sur ma queue. Alors qui ?
À moins que ce soit Annette, une collègue de ma belle-mère, qui est venue accompagnée de sa fille passer les fêtes avec nous, et qui se trouve en ce moment seule !
Dont je suis en admiration devant sa paire de jambes d'un galbe parfait, alors qu’elle prend en toute innocence son café. Gainées, ce matin-là, de nylon noir, brillant qui attire mon attention. Les berçant, comme elle le fait actuellement devant mes yeux, à droite et à gauche. Avec ma chance, elle doit porter des bas ?
J’aime les femmes qui portent des bas. Une petite prière intérieure, pour que m’apparaisse une petite dentelle. Ah, un rien m’excite, parfois. Mais c’est tellement beau. Merci mesdames à vous… Mais voilà, mon visage n’est pas à la bonne hauteur. Je suis là en train de rêvasser, installé sur la table de sapin quand la fille d’Annette vient prendre place à mes côtés. À peine vingt ans, blonde au visage fin. Silhouette élancée et menue, pour ne pas dire un peu maigre. Elle a une allure plaisante, agréable au regard.
Je ne mets pas longtemps à comprendre pourquoi elle s’est installée là, la coquine. Exposant dans un premier temps un candide cahier de chant. Elle tourne les pages jusqu’à arriver sur celle où une photo y est exposée. Ses regards furtifs me font comprendre qu’elle attend de moi, que je j’y porte mon intention. J’y vois nettement, une femme nue en grand plan, étalant ses charmes, que je reconnus étant Annette.
- Pas mal. Tu ne trouves pas ? Me lance-t-elle, faisant pivoter son visage vers moi, tout en me tendant le cahier.
Incapable de me retenir, poussé par une curiosité malsaine, je me saisis du livret et tourne les pages.
- Je ne gêne surtout pas !
- C’est bien ce que je fais… fais-je en prenant toutes les précautions pour ne pas être vue.
- Oui je vois ça…
Je tourne page après page. Sans être un mannequin, je reconnais qu’Annette a du charme. Une après l’autre, j’ai devant les rétines diverses perspectives sur son anatomie. Je suis pris par une sorte de vertige délicieux. La situation dérape, mais je maîtrise. Les clichés osés s’enchaînent. Mon excitation est à son comble ! Je sens que je vais avoir du mal à me maîtriser.
-Tu bandes ? Me fait Lola, la fille d’Annette.
-Qu’est-ce que cela peut te faire.
Là je sens une main sur ma braguette, et tout de suite après je l’entends murmurer :
-Putain, tu bandes.
-C’est naturel chez moi.
-Elle te plaît, maman ?
-Lola !
Là, elle prend une feuille volante dans son cahier et inscrit quelques mots, avant de me la tendre pour la lire.
« J’ai adoré le goût de ton sperme »
-Alors… Fais-je.
-Oui c’est moi.
-T’es folle ou quoi…
-Oui, je confirme…
-Et maintenant, pourquoi les photos ?
-Une façon comme une autre pour te tester…
-Me tester pourquoi ?
-Tu ne devines pas ?
-C’est ta mère qui t’a poussé à faire ça ?
-Elle n’est même pas au courant, si tu veux savoir. D’ailleurs si elle apprenait pour les photos elle ne me parlerait plus jusqu’à la fin de sa vie !
-Tu les as…
-Emprunté, me coupe-t-elle. J’étais sûr que cela allait t’intéresser. C’était le cas, non ?
-Bof !
-Oui c’est ça. Sache que tu m’es redevable.
-Juste pour des photos ?
-Non… pour la pipe !
-Je n’ai rien demandé moi !
-Oui peut-être mais tu t’es laissé faire !
Et sur ce dernier mot, elle quitte sa place.
Plus tard, lors d’une croisée dans le couloir, Lola m’interpelle :
-N’oublie pas, REDEVABLE !
Et la coquine n’est pas du genre à laisser tomber. Durant toute la durée de la fête, à chaque fois qu’elle le pouvait, elle me murmurait REDEVABLE. Je n’étais pas mécontent quand la chipie a quitté le lieu avec sa mère. Malgré que j’ai senti que ses bises étaient plus qu’appuyé avant son départ.
Mais voilà que quelques jours plus tard, elle est de retour. Ce permettant même de s’introduire chez moi sans y être invité.
-Mais ça ne va pas Lola !
-Quoi, nous sommes amants ?
-Tu as vu ça où ?
-Depuis que tu t’es laissé sucer…
-Je ne savais même pas que c’était toi…
-Oui, je vais te croire…Me répond-t-elle en retirant son manteau.
Qu’elle pose sur une chaise. En dessous, elle est habillée d’une mini jupe très courte, avec une chemise blanche qui fait déborder ses seins, avec des talons et du nylon noir.
- Alors ? Fait-elle. Je suis assez sexy pour toi ? Faisant un tour sur elle-même, qui fait que sa jupe se soulève assez pour que je distingue ses bas.
-Il serait bien que tu partes !
-Après m’avoir rendu le plaisir que je t’ai donné.
Me voilà prévenu ! Avec des gestes d’infirmière, elle met ma verge à l’air. Je trouve ça, néanmoins très excitant. Elle me caresse le ventre. Elle câline mon pubis, ma verge, mes couilles. Mollement, elle joue avec mon gland, mon prépuce.
J’aurais cru que j'allais jouir d'un coup tellement cela m'excitait. Elle se penche au plus près de ma verge et embrasse le bout de mon gland doucement, puis de façon plus affirmée. Pour ensuite, continuer ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules.
À ce moment-là, je n’en peux plus tellement c’est bon. Elle remonte sur mon gland et commence à le mettre en bouche. Au fur et à mesure de ses mouvements de tête, elle va de plus en plus loin jusqu’à avoir mon gland entièrement dans sa bouche. Elle continue sa masturbation avec sa bouche en allant de plus en plus vite. Je n’es pas tenu longtemps et j’ai joui dans sa bouche.
Elle prend place sur le divan. Elle retrousse l’ourlet de sa jupette assez haut sur ses jambes. Elle porte bien des bas noirs. Ils soulignent la blancheur des cuisses. Par contre, elle ne porte pas de culotte. Fasciné, je contemple l’épaisse touffe de poils bruns et bouclés de son bas-ventre. Les bords de la fente forment un double bourrelet de couleur bistre. Elle bouge sur le divan.
Son sexe s’entrouvre. Elle m’observe, d’un air amusé. Mes yeux brillants de désir, je pose une main sur les poils du pubis. Ma flamme embrase la poudrière. Le simple contact de ma main me réveille un violent désir d’étreinte. Les yeux mi-clos, Lola est agitée d’un long tressaillement.
Je suis frappé par la différence d’aspect entre son anus et son sexe. Si son trou du cul est à peine entrouvert, son con, lui, bâille en perdant une mouille épaisse. De part et d’autre de l’orifice ovale, ses petites lèvres se gonflent comme des quartiers de fruit. Et des spasmes nerveux, à intervalles réguliers, agrandissent encore l’ouverture. C’en est trop, je ne peux résister à la tentation devenant trop grande ! Je commence à goûter la longue fente où coule une source de mouille.
Au-dessous, entre des poils palpite l’anus. L’odeur intime de femme en rut envahit mes narines. Nullement gênée par l’odeur, Lola pose ses talons en appui sur le bord du divan. Elle prend un plaisir abject à me faire sentir son cul. J’ai les yeux de fous. Je lèche chacune des pointes des nymphes. Elle respire bruyamment, tend le ventre au-devant de ma bouche. Ouvrant les mâchoires au maximum, je lui happe la vulve comme si je voulais l’avaler. Elle pousse un petit cri. Changeant de tactique, je lui lèche franchement le clitoris et les nymphes.
Ma langue rose va et vient avec agilité, lapant la mouille épaisse. Avec un cri aigu, elle appuie sur ma tête. Elle donne de violents coups de reins en jouissant comme une folle. Avec voracité, j’ai collé ma bouche à l’ouverture du con, et je pompe la mouille à goût d’huître citronnée qui en suinte. En même temps, j’aspire sur ma langue les languettes gonflées de ses petites
Elle attend de reprendre peu à peu son souffle pour me sortir :
-Cela te dit que je t’emmène voir quelque chose ?
Elle a un petit rire plein de sous-entendus.
-C’est que tu vois, il se fait tard n’importe qui pourrait venir !
-Je te promets que ça vaut le coup. Tu ne seras pas déçu, crois-moi ! Ajoute-t-elle, prenant son air équivoque.
Elle prend ma main pour m’entraîner vers l’extérieur. Je résiste, sans comprendre ses intentions. Il nous faut que quelques kilomètres pour atteindre là où elle veuille m’entraîner. Elle ouvre la porte d’une maison, Lola met le doigt devant sa bouche pour m’intimer le silence et me tire jusqu’à la porte d’une chambre qu’elle s’efforce d’ouvrir sans bruit, une lueur d’excitation dans le regard. Elle désigne le placard de la pointe du menton. Elle se penche pour murmurer à mon oreille.
-Pas de bruit, surtout !
Je pénètre en sa compagnie, le local. Une fois à l’intérieur, elle me désigne la grille d’aération. Je jette un œil, et surprise, je vois ma femme les jambes écartées posées sur les épaules d’un homme accroupi, occupé à la lécher. Ils sont nus tous les deux. Le sexe de l’homme a une taille impressionnante. À cette vue, mon pénis s’érige.
A côté de moi, le souffle de Lola s’accélère. De l’autre côté de la cloison, l’homme se jette sur ma femme. Dirige sa verge d’une main. Il cherche à la pénétrer, jugeant que les préliminaires sont terminés. Ma femme le rappelle à l’ordre et se débarrasse de lui en roulant sur le côté.
Captivé par la scène qui se joue devant mes yeux, Lola en profite pour baisser d’un coup mon jean sur le haut de mes cuisses, révélant ma queue. Elle me branle. De mon côté, l’excitation m’embrouille, je fouille sous sa jupette. Je colle une main de chaque côté. Un majeur fouillant la fente humide de son con, tandis que je fourre deux doigts préalablement mouillés de salive dans la raie.
De l’autre côté de la grille, ma femme enjambe son copain. Amenant sa verge à sa croupe. Se servant du gland pour se frotter la fente. Il donne de petits coups de rein impatients en grognant. Elle continue à l’agacer ainsi quelques instants, ondulant de la croupe.
L’anus écarquillé saillie au milieu des poils mouillés, s’entrouvrant sur des muqueuses rosées. C’est là que ma femme dirige le sexe du mec qui tressaute d’excitation. Sans quitter la scène des yeux, j’accompagne la branlette de Lola de coups de reins plus francs. Je sens un frisson sur ma queue quand ma femme s’empale pour de bon sur le sexe de son mec. Sur le point de jouir, je me dégage de la main de Lola pour la prendre aux hanches, pour la faire pivoter et l’obliger à me présenter son derrière. Je fourre mon visage dans le mince espace entre ses cuisses, poussant de la langue pour atteindre sa chatte. Le nez immiscé entre ses fesses pour la renifler, me régaler de l’odeur âcre de son trou du cul qui se mêle à celle de sa mouille.
Elle ne tarde pas à creuser les reins pour mieux tendre son cul. Elle donne des coups de reins, sans doute au même rythme que ceux de ma femme, sur la queue de son copain, tant elle paraît fascinée par ce qu’elle suit à travers la grille. Réunissant index et majeur en pointe, je les passe dans sa fente pour les enduire du mélange de bave et de mouille grasse avant de les diriger sans prévenir vers le petit trou.
Je pousse sans me laisser fléchir et mes phalanges forcent l’anneau, s’enfonçant sur quelques centimètres dans le boyau étroit. Je recommence à violenter le cul de Lola, enfonçant mes doigts plus profondément dans son rectum, leur imprimant un mouvement tournant. J’aime la voir onduler, le visage crispé, agitant les hanches, changeant de position sans réaliser qu’elle ne fait qu’augmenter mon excitation. À côté j’entends le mec éructer en jouissant dans le cul de ma femme.
Le besoin de foutre m’opprime de rester encore un moment en compagnie de Lola, dans la plaque, malgré les envies de partir.
Rendu dilaté grâce à mon doigtée, je n’es aucun mal à pousser ma verge dans le conduit anal. La rosette distendue forme un bourrelet congestionné autour de mon cylindre de chair qui le défonce. Je baise son cul à longs coups de piston attentif à ne jamais se retirer d’elle. Au rythme de cette bielle qui va et vient en elle mécaniquement. Sa tête s’agite de droite et de gauche.
Bien enserrée dans le conduit étroit, ma queue se meurt avec lenteur. Son cul se contracte. Une chaleur intense envahi ma queue. Lorsque l’accouplement approche de sa conclusion, la queue martèle son anus plus violemment. J’éjacule et dégorge mon sperme tiède en saccades, sans cesser de la pilonner.
Mais la caresse est toujours là. La main me masturbe. Il fait très sombre dans la pièce, à un tel point que je n’ai pas vu qui me masturber.
Une chose est certaine, ce n’est pas ma femme. Elle ne me l’aurait pas fait de ce côté. Puis je sens une joue se poser sur mon ventre. Je reste immobile, continuant à simuler le sommeil.
Qui peut bien me branler ? J’entends juste un souffle discret, retenu même. Aucun parfum qui aurait pu me donner un indice. Je sens par contre une langue pointue effleurer le bout de mon gland, pendant que la main tient fermement ma verge. Je ne peux pas me retenir de haleter. Plus question pour moi de renoncer à simuler le sommeil. Je commence à exercer à mon bassin les allers et retours de la bouche qui me suce. Ma verge frissonne sous la montée de l'orgasme. Je jouis. Mon sperme giclant dans la bouche. Une, deux, trois nouvelles giclées viennent rejoindre la première.
La bienfaitrice aspire ma jouissance jusqu'à la dernière goutte. Pas le temps de reprendre mes esprits que je vois une ombre se redresser, et passer la porte d’entrée.
Je viens de prendre mon cadeau de Noël avant l’heure ! Mais qui est le père Noël ?
Après une douche réparatrice, je me rends dans la cuisine où déjà sont installées pas mal de membres de ma belle famille, attablés en train de prendre leur petit déjeuner. Je sonde parmi les probables femmes dans la pièce dont j’ai des relations plus qu’intimes, laquelle serait capable de passer à l’acte Il y a bien sûr ma belle-mère, dont j’ai une connexion sexuelle depuis le début de ma relation avec sa fille. Venue en ce jour, de bonne heure pour préparer le festin. Mais je l'exclus. Je n'ai pas senti son label. Marilyne, elle aussi je l’exclus, pas le courage de faire un tel coup au pied et au nez de ma femme. Alors la sœur de cette dernière, vu sa soif sexuelle, pas possible, elle s’aurait sans aucun doute assise sur ma queue. Alors qui ?
À moins que ce soit Annette, une collègue de ma belle-mère, qui est venue accompagnée de sa fille passer les fêtes avec nous, et qui se trouve en ce moment seule !
Dont je suis en admiration devant sa paire de jambes d'un galbe parfait, alors qu’elle prend en toute innocence son café. Gainées, ce matin-là, de nylon noir, brillant qui attire mon attention. Les berçant, comme elle le fait actuellement devant mes yeux, à droite et à gauche. Avec ma chance, elle doit porter des bas ?
J’aime les femmes qui portent des bas. Une petite prière intérieure, pour que m’apparaisse une petite dentelle. Ah, un rien m’excite, parfois. Mais c’est tellement beau. Merci mesdames à vous… Mais voilà, mon visage n’est pas à la bonne hauteur. Je suis là en train de rêvasser, installé sur la table de sapin quand la fille d’Annette vient prendre place à mes côtés. À peine vingt ans, blonde au visage fin. Silhouette élancée et menue, pour ne pas dire un peu maigre. Elle a une allure plaisante, agréable au regard.
Je ne mets pas longtemps à comprendre pourquoi elle s’est installée là, la coquine. Exposant dans un premier temps un candide cahier de chant. Elle tourne les pages jusqu’à arriver sur celle où une photo y est exposée. Ses regards furtifs me font comprendre qu’elle attend de moi, que je j’y porte mon intention. J’y vois nettement, une femme nue en grand plan, étalant ses charmes, que je reconnus étant Annette.
- Pas mal. Tu ne trouves pas ? Me lance-t-elle, faisant pivoter son visage vers moi, tout en me tendant le cahier.
Incapable de me retenir, poussé par une curiosité malsaine, je me saisis du livret et tourne les pages.
- Je ne gêne surtout pas !
- C’est bien ce que je fais… fais-je en prenant toutes les précautions pour ne pas être vue.
- Oui je vois ça…
Je tourne page après page. Sans être un mannequin, je reconnais qu’Annette a du charme. Une après l’autre, j’ai devant les rétines diverses perspectives sur son anatomie. Je suis pris par une sorte de vertige délicieux. La situation dérape, mais je maîtrise. Les clichés osés s’enchaînent. Mon excitation est à son comble ! Je sens que je vais avoir du mal à me maîtriser.
-Tu bandes ? Me fait Lola, la fille d’Annette.
-Qu’est-ce que cela peut te faire.
Là je sens une main sur ma braguette, et tout de suite après je l’entends murmurer :
-Putain, tu bandes.
-C’est naturel chez moi.
-Elle te plaît, maman ?
-Lola !
Là, elle prend une feuille volante dans son cahier et inscrit quelques mots, avant de me la tendre pour la lire.
« J’ai adoré le goût de ton sperme »
-Alors… Fais-je.
-Oui c’est moi.
-T’es folle ou quoi…
-Oui, je confirme…
-Et maintenant, pourquoi les photos ?
-Une façon comme une autre pour te tester…
-Me tester pourquoi ?
-Tu ne devines pas ?
-C’est ta mère qui t’a poussé à faire ça ?
-Elle n’est même pas au courant, si tu veux savoir. D’ailleurs si elle apprenait pour les photos elle ne me parlerait plus jusqu’à la fin de sa vie !
-Tu les as…
-Emprunté, me coupe-t-elle. J’étais sûr que cela allait t’intéresser. C’était le cas, non ?
-Bof !
-Oui c’est ça. Sache que tu m’es redevable.
-Juste pour des photos ?
-Non… pour la pipe !
-Je n’ai rien demandé moi !
-Oui peut-être mais tu t’es laissé faire !
Et sur ce dernier mot, elle quitte sa place.
Plus tard, lors d’une croisée dans le couloir, Lola m’interpelle :
-N’oublie pas, REDEVABLE !
Et la coquine n’est pas du genre à laisser tomber. Durant toute la durée de la fête, à chaque fois qu’elle le pouvait, elle me murmurait REDEVABLE. Je n’étais pas mécontent quand la chipie a quitté le lieu avec sa mère. Malgré que j’ai senti que ses bises étaient plus qu’appuyé avant son départ.
Mais voilà que quelques jours plus tard, elle est de retour. Ce permettant même de s’introduire chez moi sans y être invité.
-Mais ça ne va pas Lola !
-Quoi, nous sommes amants ?
-Tu as vu ça où ?
-Depuis que tu t’es laissé sucer…
-Je ne savais même pas que c’était toi…
-Oui, je vais te croire…Me répond-t-elle en retirant son manteau.
Qu’elle pose sur une chaise. En dessous, elle est habillée d’une mini jupe très courte, avec une chemise blanche qui fait déborder ses seins, avec des talons et du nylon noir.
- Alors ? Fait-elle. Je suis assez sexy pour toi ? Faisant un tour sur elle-même, qui fait que sa jupe se soulève assez pour que je distingue ses bas.
-Il serait bien que tu partes !
-Après m’avoir rendu le plaisir que je t’ai donné.
Me voilà prévenu ! Avec des gestes d’infirmière, elle met ma verge à l’air. Je trouve ça, néanmoins très excitant. Elle me caresse le ventre. Elle câline mon pubis, ma verge, mes couilles. Mollement, elle joue avec mon gland, mon prépuce.
J’aurais cru que j'allais jouir d'un coup tellement cela m'excitait. Elle se penche au plus près de ma verge et embrasse le bout de mon gland doucement, puis de façon plus affirmée. Pour ensuite, continuer ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules.
À ce moment-là, je n’en peux plus tellement c’est bon. Elle remonte sur mon gland et commence à le mettre en bouche. Au fur et à mesure de ses mouvements de tête, elle va de plus en plus loin jusqu’à avoir mon gland entièrement dans sa bouche. Elle continue sa masturbation avec sa bouche en allant de plus en plus vite. Je n’es pas tenu longtemps et j’ai joui dans sa bouche.
Elle prend place sur le divan. Elle retrousse l’ourlet de sa jupette assez haut sur ses jambes. Elle porte bien des bas noirs. Ils soulignent la blancheur des cuisses. Par contre, elle ne porte pas de culotte. Fasciné, je contemple l’épaisse touffe de poils bruns et bouclés de son bas-ventre. Les bords de la fente forment un double bourrelet de couleur bistre. Elle bouge sur le divan.
Son sexe s’entrouvre. Elle m’observe, d’un air amusé. Mes yeux brillants de désir, je pose une main sur les poils du pubis. Ma flamme embrase la poudrière. Le simple contact de ma main me réveille un violent désir d’étreinte. Les yeux mi-clos, Lola est agitée d’un long tressaillement.
Je suis frappé par la différence d’aspect entre son anus et son sexe. Si son trou du cul est à peine entrouvert, son con, lui, bâille en perdant une mouille épaisse. De part et d’autre de l’orifice ovale, ses petites lèvres se gonflent comme des quartiers de fruit. Et des spasmes nerveux, à intervalles réguliers, agrandissent encore l’ouverture. C’en est trop, je ne peux résister à la tentation devenant trop grande ! Je commence à goûter la longue fente où coule une source de mouille.
Au-dessous, entre des poils palpite l’anus. L’odeur intime de femme en rut envahit mes narines. Nullement gênée par l’odeur, Lola pose ses talons en appui sur le bord du divan. Elle prend un plaisir abject à me faire sentir son cul. J’ai les yeux de fous. Je lèche chacune des pointes des nymphes. Elle respire bruyamment, tend le ventre au-devant de ma bouche. Ouvrant les mâchoires au maximum, je lui happe la vulve comme si je voulais l’avaler. Elle pousse un petit cri. Changeant de tactique, je lui lèche franchement le clitoris et les nymphes.
Ma langue rose va et vient avec agilité, lapant la mouille épaisse. Avec un cri aigu, elle appuie sur ma tête. Elle donne de violents coups de reins en jouissant comme une folle. Avec voracité, j’ai collé ma bouche à l’ouverture du con, et je pompe la mouille à goût d’huître citronnée qui en suinte. En même temps, j’aspire sur ma langue les languettes gonflées de ses petites
Elle attend de reprendre peu à peu son souffle pour me sortir :
-Cela te dit que je t’emmène voir quelque chose ?
Elle a un petit rire plein de sous-entendus.
-C’est que tu vois, il se fait tard n’importe qui pourrait venir !
-Je te promets que ça vaut le coup. Tu ne seras pas déçu, crois-moi ! Ajoute-t-elle, prenant son air équivoque.
Elle prend ma main pour m’entraîner vers l’extérieur. Je résiste, sans comprendre ses intentions. Il nous faut que quelques kilomètres pour atteindre là où elle veuille m’entraîner. Elle ouvre la porte d’une maison, Lola met le doigt devant sa bouche pour m’intimer le silence et me tire jusqu’à la porte d’une chambre qu’elle s’efforce d’ouvrir sans bruit, une lueur d’excitation dans le regard. Elle désigne le placard de la pointe du menton. Elle se penche pour murmurer à mon oreille.
-Pas de bruit, surtout !
Je pénètre en sa compagnie, le local. Une fois à l’intérieur, elle me désigne la grille d’aération. Je jette un œil, et surprise, je vois ma femme les jambes écartées posées sur les épaules d’un homme accroupi, occupé à la lécher. Ils sont nus tous les deux. Le sexe de l’homme a une taille impressionnante. À cette vue, mon pénis s’érige.
A côté de moi, le souffle de Lola s’accélère. De l’autre côté de la cloison, l’homme se jette sur ma femme. Dirige sa verge d’une main. Il cherche à la pénétrer, jugeant que les préliminaires sont terminés. Ma femme le rappelle à l’ordre et se débarrasse de lui en roulant sur le côté.
Captivé par la scène qui se joue devant mes yeux, Lola en profite pour baisser d’un coup mon jean sur le haut de mes cuisses, révélant ma queue. Elle me branle. De mon côté, l’excitation m’embrouille, je fouille sous sa jupette. Je colle une main de chaque côté. Un majeur fouillant la fente humide de son con, tandis que je fourre deux doigts préalablement mouillés de salive dans la raie.
De l’autre côté de la grille, ma femme enjambe son copain. Amenant sa verge à sa croupe. Se servant du gland pour se frotter la fente. Il donne de petits coups de rein impatients en grognant. Elle continue à l’agacer ainsi quelques instants, ondulant de la croupe.
L’anus écarquillé saillie au milieu des poils mouillés, s’entrouvrant sur des muqueuses rosées. C’est là que ma femme dirige le sexe du mec qui tressaute d’excitation. Sans quitter la scène des yeux, j’accompagne la branlette de Lola de coups de reins plus francs. Je sens un frisson sur ma queue quand ma femme s’empale pour de bon sur le sexe de son mec. Sur le point de jouir, je me dégage de la main de Lola pour la prendre aux hanches, pour la faire pivoter et l’obliger à me présenter son derrière. Je fourre mon visage dans le mince espace entre ses cuisses, poussant de la langue pour atteindre sa chatte. Le nez immiscé entre ses fesses pour la renifler, me régaler de l’odeur âcre de son trou du cul qui se mêle à celle de sa mouille.
Elle ne tarde pas à creuser les reins pour mieux tendre son cul. Elle donne des coups de reins, sans doute au même rythme que ceux de ma femme, sur la queue de son copain, tant elle paraît fascinée par ce qu’elle suit à travers la grille. Réunissant index et majeur en pointe, je les passe dans sa fente pour les enduire du mélange de bave et de mouille grasse avant de les diriger sans prévenir vers le petit trou.
Je pousse sans me laisser fléchir et mes phalanges forcent l’anneau, s’enfonçant sur quelques centimètres dans le boyau étroit. Je recommence à violenter le cul de Lola, enfonçant mes doigts plus profondément dans son rectum, leur imprimant un mouvement tournant. J’aime la voir onduler, le visage crispé, agitant les hanches, changeant de position sans réaliser qu’elle ne fait qu’augmenter mon excitation. À côté j’entends le mec éructer en jouissant dans le cul de ma femme.
Le besoin de foutre m’opprime de rester encore un moment en compagnie de Lola, dans la plaque, malgré les envies de partir.
Rendu dilaté grâce à mon doigtée, je n’es aucun mal à pousser ma verge dans le conduit anal. La rosette distendue forme un bourrelet congestionné autour de mon cylindre de chair qui le défonce. Je baise son cul à longs coups de piston attentif à ne jamais se retirer d’elle. Au rythme de cette bielle qui va et vient en elle mécaniquement. Sa tête s’agite de droite et de gauche.
Bien enserrée dans le conduit étroit, ma queue se meurt avec lenteur. Son cul se contracte. Une chaleur intense envahi ma queue. Lorsque l’accouplement approche de sa conclusion, la queue martèle son anus plus violemment. J’éjacule et dégorge mon sperme tiède en saccades, sans cesser de la pilonner.
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