Ma chambre d’étudiant 2 - histoire érotique

Je me suis assoupi, sans même m’en rendre compte. Mon corps, vidé deux fois, détendu jusqu’à la moelle, s’était abandonné dans un sommeil profond.

Quand j’ai rouvert les yeux, la lumière avait changé. Le jour déclinait derrière les stores. Elle était encore là. Allongée sur le côté, nue, la peau constellée de petits reflets d’ombre et de lumière. Elle ne dormait pas tout à fait. Ses yeux étaient ouverts, mais loin.

Je me suis rapproché d’elle. J’ai posé ma main sur le creux de ses reins. Elle n’a pas bougé, mais j’ai senti un frémissement. J’ai embrassé sa nuque, lentement. J’ai laissé ma bouche descendre le long de son dos, baiser après baiser, jusqu’au sillon de ses fesses. Elle s’est étirée un peu, s’est retournée et s’est offerte à nouveau.
Ma main est passée sous elle entre ses jambes. Elle était déjà tiède, un peu moite. Pas encore excitée, mais disponible. Je me suis glissé contre elle, l’ai embrassée sur l’épaule, puis j’ai murmuré quelques mots tendres rappelant notre ébat précédent. Je l’ai retournée doucement. Elle s’est laissée faire. Ses seins, à nouveau dressés, semblaient saluer mon retour. Elle m’a regardé cette fois, longuement.

Je suis venu entre ses jambes, l’ai pénétrée lentement. Elle était toujours souple, chaude, marquée de nous, et chaque mouvement réveillait les traces laissées plus tôt. Elle m’a entouré de ses bras et m’a gardé contre elle. Nos corps glissaient l’un dans l’autre sans effort. Tout était fluide, sans mots. Juste des souffles, des pressions, des silences denses.

Elle a joui une deuxième fois. Un orgasme plus lourd, plus détendu. J’ai joui juste après en elle. Nous sommes endormis ensuite enlacés tendrement.

Le jour était levé depuis un moment quand je me suis éveillé. La chambre baignait dans une lumière d’hiver, filtrée par les rideaux tirés. Tout était calme. Je respirais encore son odeur. Ma peau collante portait les traces de la nuit. À mes côtés, elle dormait encore, nue, roulée sur le côté, les draps rejetés vers le bas du lit.

Je l’ai regardée un long moment. La courbe de ses hanches, le creux de ses reins, la ligne douce de sa nuque. Elle respirait profondément. Son dos se soulevait lentement à chaque inspiration. J’ai passé la main sur sa hanche, simplement pour la sentir. Elle a bougé à peine. Puis s’est retournée, paresseusement. Elle avait les yeux mi-clos.

Je me suis allongé sur elle et l’ai embrassée entre les omoplates. Puis je suis descendu. Mes mains ont parcouru ses hanches, ses fesses, son sillon. Elle ne parlait pas. Elle s’offrait, à nouveau, sans parole, mais avec une évidence désarmante.

Je me suis mis à genoux derrière elle. Elle se redressa un peu et plaça un coussin sous son ventre. Ses fesses s’arrondissaient vers moi. J’ai caressé l’intérieur de ses cuisses. Elle était déjà humide, tiède, réceptive. J’ai pris ma verge dans ma main, l’ai glissée entre ses lèvres, l’ai frottée contre elles, d’abord sans entrer, pour sentir la chaleur revenir.

Puis je l’ai pénétrée, lentement. Elle a expiré. Une longue expiration. La levrette était ici un jeu animal. Je la tenais par les hanches, je la sentais se cambrer sous moi, son dos former un arc. Elle bougeait peu, et j’amplifiais chacun de mes ajustements. Ses mains agrippaient le drap, son bassin me répondait à chaque poussée.
Je suis resté ainsi longtemps à l’intérieur d’elle à la secouer. À la caresser, la prendre, l’habiter. Ma main s’est glissée entre ses jambes pour effleurer son clitoris. Elle a gémi, presque imperceptiblement. Je l’ai sentie se rapprocher de la jouissance, mais sans se précipiter.

Puis j’ai ralenti et me suis retiré. Ma main est remontée sur la courbe de ses fesses, puis doucement, entre elles. J’ai effleuré son anus du doigt. Elle n’a pas reculé. Elle est restée offerte, totalement. J’ai craché dans ma main, l’ai humidifiée. Lentement, j’ai fait glisser un doigt, puis deux, avec précaution. Elle s’est tendue, mais n’a rien dit. J’ai senti sa respiration s’alourdir, ses hanches s’ouvrir à nouveau. Quand elle a bougé son bassin vers moi, j’ai compris.

Je me suis positionné lentement. Mon gland pulsait avec force J’ai guidé ma verge durcie contre son anneau sans forcer. Elle s’est ouverte doucement. J’ai progressé, millimètre par millimètre. Elle a soufflé fort, mais ne s’est pas contractée. Et moi, je suis resté là, en elle, dans cette chaleur plus étroite, plus profonde, cette sensation unique de tenir l’autre dans un endroit presque sacré.
Je bougeais à peine. Je voulais qu’elle sente tout sans douleur. Et elle, sous moi, respirait lourdement. Pas de mots. Pas de cris. Une tension immense, puis une vague lente de plaisir. J’ai tenu encore. Je l’ai prise profondément jusqu’à sentir que je ne pouvais plus retenir mon élan.

Je suis venu en elle, une dernière fois. Le corps tendu, ancré, brûlant. Elle s’est arquée légèrement et s’est relâchée.

Après, je suis resté contre elle, posé, rasséréné. Nos corps encore joints et ma semence qui coulait en dehors de son rectum sur sa vulve. Elle s’est finalement tournée, m’a embrassé sur la tempe. Un sourire complice se dessinait discrètement sur ses lèvres