Ma nuit de noces avec ma belle-mère. (Suite 2)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma nuit de noces avec ma belle-mère. (Suite 2)
Ma première expérience avec Sophie, ma belle-mère m’avait marqué à jamais, néanmoins, étant en déplacement toute la semaine, je n’ai malheureusement jamais eu l’occasion de la renouveler, au damne de Sophie qui voulait poursuivre notre relation. Les week-end passés chez ma fiancée lui étaient réservée bien entendu.
Six mois s’étaient donc écoulés sans que Sophie n’ait eu la chance de revivre une relation sexuelle avec moi. Le jour du mariage de sa fille arriva, après les cérémonies administratives et religieuses, nous étions une trentaine de convives au restaurant pour clôturer les festivités. Lili ma femme, passait d’une table à l’autre et s’installait régulièrement pour bavarder avec les invités. Sophie se promenait dans la salle me tenant par la main comme son gamin afin de présenter son nouveau gendre à toute sa famille. Au moment du dessert, j’eut envie d’aller aux toilettes, le slow que je venais de réaliser avec ma belle-mère m’avait excité au plus haut point, tant par ses attouchements et le contact de son bassin contre mon ventre que par les mots qu’elle me glissait dans mon oreille, en finissant par dire :—N’oublie jamais que je suis ta salope Grégoire.
J’étais dans les urinoirs, j’avais passé mon sexe dur comme du bois à travers la fermeture éclair et je commençais à me masturber en pensant à tout ce que m’avais dit Sophie, cette femme était réellement une belle salope que je ne pourrais pas baiser le soir de mon mariage et j’en étais malade. Je coulissais ma main sur ma hampe lorsque la porte s’ouvrit :—Tu ne vas tout de même pas le faire seul Grégoire, laisse t’aider. Me dit Sophie en me souriant.
Elle s’approcha de moi, après avoir fermé la porte à clé, elle se plaça derrière-moi, passa sa main droite sur ma verge au garde à vous et voulait finir ce que j’avais commencé. Ma queue se libérait, par de grandes saccades de sperme qui se déversait dans la faïence blanche de l’urinoir.
Sophie se lécha les doigts, encore enduit de mon foutre visqueux puis me dit :—Te voilà soulagé pour un moment mon chéri, je vais me doigter en pensant à toi. Dépêche-toi, tout le monde t’attend.
Elle s’enferma dans une cabine et je rejoignis la salle, heureux d’avoir trouvé la main experte de ma belle-mère pour m’assouvir. Je ne pensais pas que je devrais la satisfaire avant ma nuit de noces. Je ne la connaissais pas encore assez. Ce que nous avions fait une nouvelle fois dans les toilettes, n’était que les préliminaires. J’avais repris des forces en mangeant trois parts de pièce montée, nous étions tous sur la piste de danse et je passais d’une cavalière à une autre, toutes les femmes voulaient danser avec le marié, pendant que les hommes prenaient goût à tenir Lili dans leurs bras. Sophie attendit un nouveau slow et revint m’inviter, elle me tendit la main et je l’ai suivi sur la piste de danse, la lumière baissait d’intensité, la pièce était plongée dans l’obscurité, la musique lente et langoureuse résonnait pour au moins neuf minutes. Nous n’avons pas dansé, Sophie m’avait attiré dans la salle servant de vestiaire, elle s’agenouilla devant moi et après avoir baissé mon pantalon, s’attela à ma faire une des fellations dont elle avait le secret, ma belle-mère m’excitait, je n’y pouvais rien. Dès qu’elle s’aperçut que ma queue était en totale érection, elle se baissa, posa ses mains à plat sur le sol, remonta jupe d’une main puis écarta son string en m’invitant de la prendre sur le champ. Nous n’avions pas beaucoup de temps, il fallait faire vite avant que la lumière se rallume dans la salle. Je me suis donc agenouillé derrière elle, pour la prendre en levrette, à cet instant elle me dit :—Pas par là mon chéri, encule-moi fort.
Tout se mélangea dans ma tête, je n’avais jamais fait ça auparavant. Mais ses mots me firent gonfler encore un peu plus ma verge au bord de l’explosion. Elle me dirigea de sa main le gland entre sa raie et je m’y suis enfoui à l’intérieur, elle était bouillante et toute trempée, sa mouille dégoulinait jusque sur ses bas :—Oui ! Je vais venir, continue, enfonce-toi plus, viens ! Plus fort.
Après de violents coups de reins que je lui prodiguais, je lui envoyai toute la sauce que je pouvais sortir de mes bourses pleines. La masturbation qu’elle m’avait imposée quelques heures plus tôt n’avaient eut aucun effet sur mes capacités à lui redonner du plaisir. Sophie jouit fortement lorsqu’elle avait ressenti dans ses entrailles, ce liquide chaud que je lui avais expédié :—Tu es vraiment Génial Grégoire, j’espère pouvoir être encore ta salope.
Lorsque nous sommes revenus sur la piste, la lumière revenait et je vis Lili me rechercher des yeux, rassuré de me voir avec sa mère, elle me sourit et vint vers nous en disant :—Il est l’heure pour nous de rentrer mon chéri, tu dois assumer ton devoir conjugal. Les invités viendront nous dénicher chez ma mère.
Malgré les efforts consentis de Lili, celle-ci eut des difficultés à me faire remonter mon engin, elle ne faisait pas de fellation, elle n’aimait pas me disait-elle. Ses doigts autour de ma hampe molle, venaient et allaient de bas en haut pour essayer de me redonner un peu de vigueur. Il avait fallu que je ferme les yeux en pensant à Sophie pour que je retrouve enfin un peu d’énergie. Lili persuadée d’être parvenue à m’exciter, s’allongea, écarta ses jambes et m’attira à elle sans rien dire. Après quelques allers-retours un peu brutaux, elle me criait :—pas si fort, bon dieu, tu me fais mal.
Avec difficulté, je parviens à éjaculer un peu sur ses poils pubiens, Lili s’essuya avec les papiers essuie-tout qu’elle avait préparés, en disant :—Tu n’as pas cracher autant que d’habitude.
—Je suis crevé ce soir. Lui répondis-je.
Elle me fit la bise, se tourna et s’endormit comme une souche.
Une heure plus tard, le bruit nous réveilla, il y avait dans la maison de Sophie une dizaine d’invités qui étaient venus nous surprendre dans notre lit conjugal d’un soir. Nous nous sommes levés et avons bu avec eux. Je n’avais pris que la boisson dans le verre que Sophie me servit, il n’y avait pas d’alcool, c’était un Perrier mais dans sa main ouverte, je m’aperçus qu’elle me donnait une petite pilule bleue. Il ne m’avait pas fallu longtemps pour comprendre que ma belle-mère voulait que je la satisfasse de nouveau afin qu’elle puisse, elle aussi, avoir sa nuit de noces.
Il était quatre heures du matin, lorsque les invités étaient tous repartis. Lili était déjà plongée dans ses rêves, Sophie était dans sa chambre et m’attendait avec impatience. Je me suis levé pour aller uriner et en revenant, je me suis trompé de chambre volontairement. Je venais de pénétrer dans la chambre de ma belle-mère. J’avais une trique qui se voyait à travers du mince tissu de mon slip :—Je vois que tu vas bientôt être prêt mon petit poussin. Viens !
Sophie avait tenu à m’écartelé sur le lit, j’étais menotté de mes quatre membres, nu comme un vers sur son lit, ma verge à la verticale tel le mat principal d’un navire pointant vers le ciel. Pas une seule partie de mon corps n’avait échappé à ses caresses et à sa langue, elle désirait me faire que du bien cette nuit-là. De ma bouche, à mes pieds en passant par mes tétons, mon nombril, mes aisselles, mes yeux et encore ma bouche, je rugissais de plaisir, ma queue ni était pas passé, ce liquide transparent qu’elle adorait voir sortir de mon gland, s’écoulait doucement sur ma hampe, elle le léchait goulument. Je n’en pouvais plus, Sophie s’en aperçut et voulait, elle aussi prendre du plaisir, elle s’était positionné un genou de chaque côté de mes cuisses et s’enfonça lentement sur ma grosse queue qui ne demandait qu’à être aspirée. Les contractions de son vagin qui enserrait fortement mon pénis et ses montées et descentes de plus en plus rapides firent qu’elle éjacula son plaisir en m’inondant le bas ventre, elle n’avait pas crié de peur de réveiller sa fille mais elle continuait, elle voulait que je jouisse à mon tour. Je crois que je n’avais jamais été aussi dur, aussi longtemps. Sophie s’était retirée et vint poser sa bouche sur mon gland violacé, après l’avoir pris dans sa main, elle reçut en plein visage une série de giclées blanchâtres, elle souriait, heureuse d’avoir pu partager son lit à ma vraie nuit de noces. Sophie que j’adore de plus en plus était bien la salope qu’il me fallait. Depuis ce jour, je suis devenu accroc de sexe avec ma belle-mère.
Six mois s’étaient donc écoulés sans que Sophie n’ait eu la chance de revivre une relation sexuelle avec moi. Le jour du mariage de sa fille arriva, après les cérémonies administratives et religieuses, nous étions une trentaine de convives au restaurant pour clôturer les festivités. Lili ma femme, passait d’une table à l’autre et s’installait régulièrement pour bavarder avec les invités. Sophie se promenait dans la salle me tenant par la main comme son gamin afin de présenter son nouveau gendre à toute sa famille. Au moment du dessert, j’eut envie d’aller aux toilettes, le slow que je venais de réaliser avec ma belle-mère m’avait excité au plus haut point, tant par ses attouchements et le contact de son bassin contre mon ventre que par les mots qu’elle me glissait dans mon oreille, en finissant par dire :—N’oublie jamais que je suis ta salope Grégoire.
J’étais dans les urinoirs, j’avais passé mon sexe dur comme du bois à travers la fermeture éclair et je commençais à me masturber en pensant à tout ce que m’avais dit Sophie, cette femme était réellement une belle salope que je ne pourrais pas baiser le soir de mon mariage et j’en étais malade. Je coulissais ma main sur ma hampe lorsque la porte s’ouvrit :—Tu ne vas tout de même pas le faire seul Grégoire, laisse t’aider. Me dit Sophie en me souriant.
Elle s’approcha de moi, après avoir fermé la porte à clé, elle se plaça derrière-moi, passa sa main droite sur ma verge au garde à vous et voulait finir ce que j’avais commencé. Ma queue se libérait, par de grandes saccades de sperme qui se déversait dans la faïence blanche de l’urinoir.
Sophie se lécha les doigts, encore enduit de mon foutre visqueux puis me dit :—Te voilà soulagé pour un moment mon chéri, je vais me doigter en pensant à toi. Dépêche-toi, tout le monde t’attend.
Elle s’enferma dans une cabine et je rejoignis la salle, heureux d’avoir trouvé la main experte de ma belle-mère pour m’assouvir. Je ne pensais pas que je devrais la satisfaire avant ma nuit de noces. Je ne la connaissais pas encore assez. Ce que nous avions fait une nouvelle fois dans les toilettes, n’était que les préliminaires. J’avais repris des forces en mangeant trois parts de pièce montée, nous étions tous sur la piste de danse et je passais d’une cavalière à une autre, toutes les femmes voulaient danser avec le marié, pendant que les hommes prenaient goût à tenir Lili dans leurs bras. Sophie attendit un nouveau slow et revint m’inviter, elle me tendit la main et je l’ai suivi sur la piste de danse, la lumière baissait d’intensité, la pièce était plongée dans l’obscurité, la musique lente et langoureuse résonnait pour au moins neuf minutes. Nous n’avons pas dansé, Sophie m’avait attiré dans la salle servant de vestiaire, elle s’agenouilla devant moi et après avoir baissé mon pantalon, s’attela à ma faire une des fellations dont elle avait le secret, ma belle-mère m’excitait, je n’y pouvais rien. Dès qu’elle s’aperçut que ma queue était en totale érection, elle se baissa, posa ses mains à plat sur le sol, remonta jupe d’une main puis écarta son string en m’invitant de la prendre sur le champ. Nous n’avions pas beaucoup de temps, il fallait faire vite avant que la lumière se rallume dans la salle. Je me suis donc agenouillé derrière elle, pour la prendre en levrette, à cet instant elle me dit :—Pas par là mon chéri, encule-moi fort.
Tout se mélangea dans ma tête, je n’avais jamais fait ça auparavant. Mais ses mots me firent gonfler encore un peu plus ma verge au bord de l’explosion. Elle me dirigea de sa main le gland entre sa raie et je m’y suis enfoui à l’intérieur, elle était bouillante et toute trempée, sa mouille dégoulinait jusque sur ses bas :—Oui ! Je vais venir, continue, enfonce-toi plus, viens ! Plus fort.
Après de violents coups de reins que je lui prodiguais, je lui envoyai toute la sauce que je pouvais sortir de mes bourses pleines. La masturbation qu’elle m’avait imposée quelques heures plus tôt n’avaient eut aucun effet sur mes capacités à lui redonner du plaisir. Sophie jouit fortement lorsqu’elle avait ressenti dans ses entrailles, ce liquide chaud que je lui avais expédié :—Tu es vraiment Génial Grégoire, j’espère pouvoir être encore ta salope.
Lorsque nous sommes revenus sur la piste, la lumière revenait et je vis Lili me rechercher des yeux, rassuré de me voir avec sa mère, elle me sourit et vint vers nous en disant :—Il est l’heure pour nous de rentrer mon chéri, tu dois assumer ton devoir conjugal. Les invités viendront nous dénicher chez ma mère.
Malgré les efforts consentis de Lili, celle-ci eut des difficultés à me faire remonter mon engin, elle ne faisait pas de fellation, elle n’aimait pas me disait-elle. Ses doigts autour de ma hampe molle, venaient et allaient de bas en haut pour essayer de me redonner un peu de vigueur. Il avait fallu que je ferme les yeux en pensant à Sophie pour que je retrouve enfin un peu d’énergie. Lili persuadée d’être parvenue à m’exciter, s’allongea, écarta ses jambes et m’attira à elle sans rien dire. Après quelques allers-retours un peu brutaux, elle me criait :—pas si fort, bon dieu, tu me fais mal.
Avec difficulté, je parviens à éjaculer un peu sur ses poils pubiens, Lili s’essuya avec les papiers essuie-tout qu’elle avait préparés, en disant :—Tu n’as pas cracher autant que d’habitude.
—Je suis crevé ce soir. Lui répondis-je.
Elle me fit la bise, se tourna et s’endormit comme une souche.
Une heure plus tard, le bruit nous réveilla, il y avait dans la maison de Sophie une dizaine d’invités qui étaient venus nous surprendre dans notre lit conjugal d’un soir. Nous nous sommes levés et avons bu avec eux. Je n’avais pris que la boisson dans le verre que Sophie me servit, il n’y avait pas d’alcool, c’était un Perrier mais dans sa main ouverte, je m’aperçus qu’elle me donnait une petite pilule bleue. Il ne m’avait pas fallu longtemps pour comprendre que ma belle-mère voulait que je la satisfasse de nouveau afin qu’elle puisse, elle aussi, avoir sa nuit de noces.
Il était quatre heures du matin, lorsque les invités étaient tous repartis. Lili était déjà plongée dans ses rêves, Sophie était dans sa chambre et m’attendait avec impatience. Je me suis levé pour aller uriner et en revenant, je me suis trompé de chambre volontairement. Je venais de pénétrer dans la chambre de ma belle-mère. J’avais une trique qui se voyait à travers du mince tissu de mon slip :—Je vois que tu vas bientôt être prêt mon petit poussin. Viens !
Sophie avait tenu à m’écartelé sur le lit, j’étais menotté de mes quatre membres, nu comme un vers sur son lit, ma verge à la verticale tel le mat principal d’un navire pointant vers le ciel. Pas une seule partie de mon corps n’avait échappé à ses caresses et à sa langue, elle désirait me faire que du bien cette nuit-là. De ma bouche, à mes pieds en passant par mes tétons, mon nombril, mes aisselles, mes yeux et encore ma bouche, je rugissais de plaisir, ma queue ni était pas passé, ce liquide transparent qu’elle adorait voir sortir de mon gland, s’écoulait doucement sur ma hampe, elle le léchait goulument. Je n’en pouvais plus, Sophie s’en aperçut et voulait, elle aussi prendre du plaisir, elle s’était positionné un genou de chaque côté de mes cuisses et s’enfonça lentement sur ma grosse queue qui ne demandait qu’à être aspirée. Les contractions de son vagin qui enserrait fortement mon pénis et ses montées et descentes de plus en plus rapides firent qu’elle éjacula son plaisir en m’inondant le bas ventre, elle n’avait pas crié de peur de réveiller sa fille mais elle continuait, elle voulait que je jouisse à mon tour. Je crois que je n’avais jamais été aussi dur, aussi longtemps. Sophie s’était retirée et vint poser sa bouche sur mon gland violacé, après l’avoir pris dans sa main, elle reçut en plein visage une série de giclées blanchâtres, elle souriait, heureuse d’avoir pu partager son lit à ma vraie nuit de noces. Sophie que j’adore de plus en plus était bien la salope qu’il me fallait. Depuis ce jour, je suis devenu accroc de sexe avec ma belle-mère.
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C’est décidément
Une BELLE belle mère 😊
Une BELLE belle mère 😊