MA PETITE VOISINE. (4/4) - histoire érotique

De retour à Montpellier après mon déplacement à Annecy croyant allé avec une prostituée l’exact sosie d’Ange ma petite voisine pour découvrir en vérité que c’est elle qui se prostitue dans différentes villes de France en louant via un regroupement de professionnelles du sexe un appartement.
Ayant tout essayé pour me faire bander Ange-Laetitia comme je l’appelle depuis m’invite à venir dîner pour me remercier d’avoir sauvé Loulou son chihuahua à poil long qui a failli être broyé par l’ascenseur. C’est grâce à ma dextérité qui m’a permis d’ouvrir le mousqueton de sa laisse.
Loulou présentement est près de moi à japper comme le roquet qu’il est.

• Chéri, tu es insupportable, je t’ai dit que le monsieur qui allait venir mérite toute notre estime il t’a sauvé la vie, tu es vilain vas te cacher dans ton panier.

Ange paraît une petite poupée blonde que l’on pourrait croire faible outre le milieu qu’elle a choisie elle sait se faire écouter et le cabot part la queue basse vers une pièce ou le panier semble placé.

• Christian, je te remercie d’avoir répondu à mon invitation.
Il va sans dire que je t’ai fait venir pour te remercier du geste que tu as eu envers mon petit animal qui à ce jour est la seule belle chose qui me soit arrivée de bien quand je l’ai vu dans la boutique derrière sa vitre de verre et quand il m’a regardé j’ai tout de suite su que l’amour avait frappé entre nous.

Elle me parle du coup de foudre pour son chien comme un coup de foudre entre deux êtres humains ce qui est peut-être ce qui m’est arrivé quand je l’ai vu à l’enterrement de sa grand-mère au moment où nos regards se sont croisés.
Nos fréquentes absences et pour cause pour elle et notre timidité réciproque l’un envers l’autre ont pu estomper l’impression que notre premier regard avait produite.
Que dire du fait qu’apprendre qu’elle se prostitue cela a entraîné mon hésitation à venir à son invitation.

• Si tu avais attendu à Annecy tu aurais pu voir arriver mon client suivant, je refuse de t’en dire plus, tu prendrais peur de ce que j’ai subi avec lui une première fois la veille de ta venue.
Je l’ai laissé monter mais entre-temps après ton départ j’ai réalisé que tu étais le seul homme depuis le début de ma vie de femme à avoir refusé de me baiser et je pense qu’intérieurement ce refus est dû à un sentiment profond né entre nous.
Je lui ai dit de repartir mais il a profité de sa force pour m’envoyer un marron dans la figure, je me suis maquillé pour effacer ce qui reste de mon œil au beurre noir que je cache depuis quinze jours.
Tu peux le croire ou pas j’étais fière d’avoir réussi pour la première fois de ma vie à dire non à un homme qui voulait mes charmes comme cela a été le cas pendant cinq ans.

Voulant éviter de tomber dans Cosette et ses deux seaux allant au puits je l’interromps.

• Fait moi croire que tu es tombé dans le métier pendant cinq ans par simple humanité ?
• Bien sûr que non, surtout sur la fin où je pensais sérieusement arrêter reculant tout le temps ma décision, mais mon passé est mon passé, je sais qu’il me sera difficile de retrouver une vie normale et surtout un homme qui m’aime.
Comme je te l’ai dit en refusant de me baiser j’ai secrètement pensé que tu pourrais être celui-là, c’est pourquoi j’ai refusé ce client même si j’ai ramassé et que j’ai annulé les 10 réservations d’appartements dans les 10 villes sur les10 mois prochains où je devais me rendre.
Depuis ce jour aucun homme ne m’a touché et ne me touchera sauf toi si un jour tu es capable de dépasser dans ta pensée que tu as devant toi une pute mais pour que tu comprennes, laisse-moi t’expliquer qu’elle a été ma vie deux jours après mes dix-huit ans.
Ce que je vais t’avouer sans aucune fioriture est l’exacte réalité de ce qui s’est passé.
Es-tu prêt à l’entendre sinon je veux bien que tu te lèves et que tu quittes la pièce définitivement ?
Pour me donner du courage, ressert nous une coupe et mangent les petits fours que je nous ai préparés.

Je suis resté assis et j’ai religieusement écouté.

• Il y a cinq ans j’étais une jeune fille oisive qui faisait la fierté de ses parents et surtout de sa grand-mère.
Un soir où j’étais allé dormir chez elle donc ici j’ai reçu un coup de téléphone de la police me demandant de venir chez moi.
Une femme policière m’a fait entrer dans notre salon, m’a fait asseoir pour m’annoncer que dans leur chambre mes parents s’étaient tiré une balle dans la tête mon père en premier par ma mère et qui après a retourné l’arme contre elle.
Il a fallu que j’aille à la morgue où ils les avaient transportés pour reconnaître les corps, je me suis évanoui souhaitant à personne à devoir voir ce qu’ils m’ont montré.
C’est ainsi que j’ai appris par la police qu’ils avaient tout perdu dans des cercles de jeux clandestins et avaient contracté une dette de plus de 500 000 €.
Voyant dans l’impasse où ils étaient ils ont décidé de mettre fin à leurs jours me laissant une lettre me demandant de leur pardonner et de refuser l’héritage afin d’éviter de régler leurs dettes.
J’ai décidé de travailler pour laver leur honneur en remboursant un à un les papiers que j’ai trouvés avec les noms des personnes avec qui ils avaient joué au poker et ayant gagné dans les premiers temps quand la chance à tourné ils les ont laissés s’enfoncer.
J’ai même appris par l’un d’eux que ma mère avait plusieurs fois été jusqu’à coucher avec des joueurs pour effacer leurs turpitudes.
Tout y est passé comme si le gars prenait jouissance à m’expliquer la fois où elle a été livrée à 10 hommes dans la soirée tout cela sous les yeux de mon père qui était obligé de regarder s’il voulait que l’ardoise soit mise à 0.
Mais rapidement je me suis trouvé moi-même dans leur situation les agios s’accumulant car souvent ils avaient signé des clauses dans lesquelles une pénalité alourdissait le passif tous les mois.
Et c’est là que j’ai rencontré une amie qui me voyant dans un état moral plus bas que zéro m’a donné le numéro de téléphone qui me permettrait d’avoir un appartement pour recevoir des hommes après le passage d’annonce avec photos sur un site Internet et surtout un numéro de téléphone.
• Et tu as plongé.
• Oui, hélas par obligation car autour de moi une meute d’homme rodait pour me faire subir ce que ma mère avait subi aussi un jour je suis parti pour Bordeaux ou j’ai pour la première fois été sauté par un homme laid et qui sentait la crasse.
• Tu étais vierge et tu as accepté de te prostituer.
• Je te l’ai dit j’étais à deux doigts de faire ce que mes parents avaient fait, j’avais loué un studio notre maison ayant été saisie et deux fois je suis monté sur le toit pour sauter, c’est le lendemain de la deuxième fois que j’ai accepté de téléphoner.
Une fille venait d’annuler la réservation d’une chambre comme je l’ai fait depuis quinze jours et c’est toute tremblante que je me suis préparé comme ma copine m’avait dit de le faire.
Permet moi de taire tout ce que j’ai ou dû faire pendant cinq ans surtout que j’avais prise en charge ma grand-mère financièrement.
Elle avait bien cet appartement mais j’ai refusé de le vendre pour la placer dans un mouroir et les aides ménagères que je payais m’obligeaient à continuer la route que j’avais acceptée de suivre bien que toutes les dettes de jeu aie été remboursé.
Et puis ma grand-mère est morte et je me suis trouvé seule avec un simple voisin dont j’avais croisé le regard le jour de son enterrement et qui dans les jours qui ont suivi m’a aussi laissé dans mon coin.

Disant ces mots elle tombe en larmes, je me lève et elle viens se blottir sur ma poitrine sa tête dans le creux de mon épaule ses larmes mouillaient mon tee-shirt car dans sa lettre elle avait oublié de me dire qu’elle préparait un dîné aux chandelles et j’étais venu avec mon jeans et même des baskets.
Comment fais-je pour me retrouver assis à la place où ses jolies fesses étaient quelques minutes auparavant, elle assises sur mes genoux ?
Quand nos bouches se trouvent le baiser que nous échangeons est si profond qu’en quelques secondes mon cerveau se vide de toutes les turpitudes de celle qui m’apparaît comme le jour de l’enterrement de sa grand-mère une petite poupée.

• Christian, crois-moi tu es le premier homme que j’embrasse sur la bouche de toute ma vie.
Que c’est bon un baiser comme celui que tu viens de me donner.

C’est ainsi que je recommence en la serrant fortement dans mes bras, cette confidence est la dernière qu’elle me fait sur son passé.
Ce qui est sûr c’est que la trique que mon jean retient doit se sentir car elle lui soulève les fesses lui montrant que je suis loin d’être un P.D.
Nos bouches toujours unis elle me prend la main et la guide sous sa robe qui craque carrément sur toute la longueur quand elle écarte ses cuisses.
Je trouve son clitoris que je caresse doucement et quand je glisse deux doigts dans sa fente je sens le frisson qui parcoure son corps pour finir sur nos lèvres.
Sa chatte est ruisselante d’envie ce qui me rassure sur l’effet que je lui fais et quand je me lev la soulevant comme une plume dans mes bras pour l’emmener dans sa chambre, quand je la couche sur son lit ayant simplement relevé sa jupe notre envie est trop pressante elle a ces mots étonnants qui scellent définitivement notre amour.

• Christian fait attention je suis vierge, soit doux en entrant en moi.

En disant ses mots je suis certain qu’elle ramène sa vie au jour ou par pure humanité pour ses parents et sa grand-mère elle a accepté de faire dériver sa vie dans un monde glauque ou ma verge en entrant en elle l’en faire sortir définitivement.
Position classique du missionnaire quand étant couché sur son ventre mon sexe la pénètre doucement bien qu’elle soit lubrifiée naturellement avec tout ce qui s’échappe de sa chatte.
Elle met peu de temps à crier sa jouissance et quelques secondes après c’est un grand orgasme qui traverse tout son être.

• Au mon chéri que je t’aime j’ai bien fait de t’attendre pour que ce soit toi à qui j’appartienne, tu vas voir comme nous allons être heureux ensemble.

C’est le cas car quand je lâche mon sperme j’ignorais que petit Pierre viendrait dans notre couple neuf mois plus tard me remplissant de joie et de bonheur.
Je sais aujourd’hui malgré ce que j’ai pensé sur les putes, je suis devant monsieur le maire et ensuite le curé notre fils dans mes bras pour lui dire oui.
Je garde enfoui dans un coin de ma tête ce que j’ai dit qu’une pute reste une pute et que surtout on évite de les épouser.
Mais après la première soirée sur son lit que je le veuille ou non, nous avons fait l’amour sans tabou dans des situations et des lieux que seule l’expérience de ces années noires le destin lui a fait connaître et ont permis à notre couple de pratiquer chaque fois que nous le pouvons.
Ange car elle a retrouvé son prénom était peut-être une fille de joie mais une fille pour ma joie.
Ce qui est certain c’est que pendant ses années de servitude au sexe elle a vu tellement de bite passer partout en elle qu’elle en a emmagasiné dans son cerveau assez pour être contente de s’occuper d’une seule la mienne.

Avec l’argent respectif que nous avons gagné moi à travers la France en vendant du câble elle à travers la France en vendant ses charmes nous venons d’acquérir une belle boutique de fleurs bien placée dans Montpellier.
C’est le jour où nous avons reçu les clefs du magasin et du logement très spacieux situé au-dessus qu’elle m’a annoncé la venue parmi nous de Valériane qui est née il y a deux mois en juin.
La seule fois où nous avons été confrontés à son passé c’est quand nous nous promenions le long de la plage près de notre ville.
Alors qu’elle était assise à donner le sein à notre petite poupée le sosie de sa maman j’étais aller chercher des glaces et quand je suis revenu à quelques mètres d’elle j’ai vu qu’un homme bedonnant d’au moins 60 ans lui parlait mais je l’ai vu passer son chemin rapidement.

• Que t’a dit ce monsieur, que ton sein était joli.
• Non, il m’a dit avoir connu une jeune fille Laetitia à Châteauroux il y a quelques années et voulait savoir si c’était moi.
• Que lui as-tu répondu ?
• Que je m’appelais Ange et que j’ignorais où était Châteauroux que je devais avoir un sosie s’appelant Laetitia.

Nous avons beaucoup rigolé et nous avons continué notre vie nous aimant de plus en plus chaque jour.