Ma première masturbation
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma première masturbation
Bien avant mes aventures sexuelles avec ma belle-mère, je vais vous narrer mes premières fois. Ma première masturbation, mon dépucelage qui sortent tous deux de l’ordinaire et ma première vierge.
Ma première masturbation Lorsque j’étais plus petit, pendant les congés scolaires, mes parents afin d’être tranquilles, m’envoyait depuis des années chez ma tatie Annie habitant à une cinquantaine de kilomètres de notre domicile. Annie n’était pas ma tante mais nous l’appelions Tatie, c’était une excellente amie à mes parents depuis toujours, elle avait été élevée depuis son plus jeune âge avec ma mère. C’était une jeune célibataire de 20 ans mon aînée, je dormais dans son lit, mais au fur et à mesure que je grandissais, Annie, faisant venir des garçons dans son lit, m’aménagea une chambre rien qu’à moi. Ma tatie était très jolie, très gentille avec moi et très affectueuse, je me plaisais beaucoup chez elle.
Lorsque je dormais encore dans son lit, elle m’avait appris à découvrir le corps d’une femme, elle me faisait lui faire des guiliguilis, comme elle disait mais je compris bien plus tard, qu’elle en profitait pour se caresser et se masturber, profitant ainsi de mes mains et de ma bouche pour lui apporter un peu de bonheur solitaire.
Plus tard, j’étais en VIème, par une chaude nuit d’août orageuse, ayant du mal à me rendormir, je m’étais levé pour boire un jus d’orange à la cuisine. Il était 1h00 du matin. Je fus surpris d’entendre du bruit dans une chambre spéciale qui était à l’autre bout du couloir. Intrigué, au lieu de retourner dans la mienne, je m’aventurai sans faire de bruit vers cette pièce où j’avais entendu ces gémissements. Dans cette chambre mystérieuse, j’avais depuis toujours, l’interdiction d’y pénétrer. Les bruits avaient cessé depuis quelques minutes. Je m’arrêtai moi aussi, puis avant de repartir dormir, curieux du bruit qui me hantais depuis déjà longtemps. Je m’étais agenouillé et regardait le spectacle par le trou de la serrure. Tatie était nue, couché sur une table basse, jambes écartées, elle avait comme des pinces sur les tétons de sa poitrine. Régis son copain, nu également lui montrait son degré d’excitation, en lui présentant sa verge tendue à l’horizontale. Il tenait une bougie dans la main gauche et faisait couler de la cire sur sa peau.
Tout le devant de son corps en était recouvert, des seins jusqu’à son pubis. De sa main droite, il avait un martinet, le même que mon père se servait pour me punir, lorsque je faisais des bêtises. Il donnait des coups sur le ventre de Tatie qui comptait en même temps. 7, 8, 9, il stoppa à 10. Elle se releva, s’accroupit devant lui, je ne pouvais plus les apercevoir mais Régis respirait très fort. Tatie se retourna, elle avait le ventre contre la glace de la table basse, les bras écartés et ses fesses bien en évidence. Il redonna une série de dix coups sur les deux globes de sa croupe qui devenaient de plus en plus rouge. Il entendit Annie :
- Viens maintenant, prends-moi.
Son amant insultait Tatie avec des mots grossiers que je n’avais pas le droit de répéter. Je ne voyais plus l’homme, j’avais juste devant mes yeux les fesses nues de Tatie avec les deux mains de Régis posées sur ses hanches, en lui pinçant fortement la peau. Ceci avait duré quelques minutes, je ne voyais plus rien, je fermais les yeux et entendait les deux amants crié et continué de dire des insanités. Ils en avaient fini, ils pouvaient désormais aller se coucher. Je n’en avais pas perdu une seule miette, j’étais encore assis dans le couloir lorsque tatie m’aperçut.
— Ce n’est rien mon trésor, Guillaume et moi nous jouons, retourne au lit. Je viens t’embrasser, avant d’aller me coucher.
Annie avait dit cela d’un calme que je n’eus même pas le temps de rougir de honte, malgré la bosse que j’avais sur le devant de mon pyjama. Je savais qu’elle avait vu car elle fixa mon intimité pendant plusieurs secondes. J’étais retourné dans ma chambre sans la refermer, attendant le bisou que Tatie m’avait promis. Je ne savais pas quoi faire, lorsque je m’étais glissé sous les draps, j’avais ma main à l’intérieur de mon pyjama, mon kiki était dur et droit. Lorsqu’Annie, habillée seulement de sa nuisette était venue m’embrasser pour me souhaiter bonne nuit, je retirai ma main, mais elle vit ce que j’étais en train de faire, c’était la première fois et ne savait pas comment m’y prendre. Elle se pencha sur moi et me fit un baiser sur les lèvres, elle ne me le faisait plus depuis un moment et cela me manquait. D’un aplomb extraordinaire, elle me demanda de but en blanc, sans tabou :
— C’est ton Kiki qui t’inquiète ?
— Oui ! tatie, il est tout dur et je n’arrive pas à le faire redescendre.
— Attends, montre-moi
Annie n’avait pas attendu ma réponse, elle baissa délicatement le drap et vit mon émergence sous mon pyjama. Elle tira l’élastique et vit ma verge raide et tendue vers le ciel :
— Tu as bien changé depuis six mois mon petit chéri, il a grandi. Comme toi, tu deviens un homme. D’ailleurs tu as la majorité sexuelle aujourd’hui. C’est la nature mon petit, lorsque tu te trouveras dans cet état, la seule façon de pouvoir dormir, est de te masturber.
— C’est quoi Tatie ?
— Tu ne l’as jamais fait ? Attends, je vais te montrer.
J’étais encore plus dur d’excitation, lorsqu’elle s’allongea à mes côtés, elle prit ma tête et la posa sur ses seins afin que je puisse voir et accéder à mon sexe qui me semblait énorme.
Elle me prit la main et la posa sur mon pénis en me refermant les doigts autour de la hampe. Elle m’aida à monter et descendre en de lents mouvements tout au long de ma verge. Je levai les yeux pour la regarder droit dans les yeux, je m’arc-bouta une première fois, j’avais l’impression d’avoir mal dans le bas ventre :
— Tatie j’ai comme envie... ça me fait drôle.
— Attends, laisse-moi faire.
Elle sortit du lit et se mit à genoux sur la descente de lit, elle prit ma main et la posa sur sa poitrine, en me demandant de lui faire des guiliguilis comme par le passé. Puis elle baissa la tête en disant :
— Tu es déjà bien monté pour ton âge, bientôt tu seras comme un âne, toutes les filles te voudront dans leur lit.
J’avais presque honte, mais elle était si naturelle, lorsqu’elle me parlait que je lui faisais entièrement confiance. Elle n’avait pas pu se retenir de poser sa bouche sur mon gland qu’elle venait de décalotter pour l’aspirer, puis elle se baissa encore sa tête pour l’engloutir. Avec ses mouvements de langues et ses vas et vient délicats, je m’arc-bouta une seconde fois :
— J’ai mal Tatie que faut-il faire ?
— Laisse venir mon chéri, ça va sortir, ne te retient pas.
Comme elle avait senti que j’allais finir par lui mettre tout dans la bouche, elle se retira et me coulissa fortement la queue avec sa main, de longs jets de liquide épais, blanchâtre sortaient de mon sexe par saccades pour atterrir sur mon ventre et sur sa main. Je regardais avec fierté le résultat :
— Tu vois ça s’appelle du sperme mon chéri. Dit-elle simplement.
Elle s’essuya, me tendit du papier essuie tout, se leva et m’embrassa longuement sur la bouche :
— Si tu le veux mon chéri, je reviendrai demain soir, nous continuerons ton éducation sexuelle, tu en as largement l’âge à présent.
Sans gêne, Tatie Annie avait assisté et fortement aidé à la première masturbation de son petit protégé. Cela faisait un moment qu’elle ne me voyait plus sous la douche ou dans le bain, elle fut surprise de la taille de mon sexe. Elle prévoyait quelques leçons bien particulières pour moi, mais elle voulait attendre encore. Tous les soirs de la semaine de vacances, Tatie se couchait nue à côté de moi, j’ai pu ainsi la caresser, lui sucer les tétons, passer ma main pour découvrir son minou et jouer avec, puis cela finissait par une branlette et une éjaculation de ma part sur son ventre ou sur sa poitrine.
J’avais tellement apprécié que désormais j’attendais les prochaines vacances afin que Tatie vienne me voir avant de s’endormir. J’avais continué seul, mais je n’arrivais pas à obtenir le résultat que j’avais connu la première fois, mon plaisir ne me satisfaisait pas suffisamment. Après deux mois, j’étais retourné chez Annie mais je m’étais aperçu que ma Tatie ne faisait rien d’autre que de m’embrasser les soirs avant de m’endormir, j’avais décidé d’agir. Ce soir-là, quand Annie pénétra dans ma chambre, je lui demandai :- Tatie Annie, vous ne jouez plus avec Régis ?
- Si mon chéri, mais nous ne voulons plus que tu nous vois, ce n’est pas encore pour toi.
- Tu m’avais dit pourtant que tu continuerais mon éducation sexuelle.
- Tu n’y arrives pas tout seul ?
- Si mais c’était bien mieux avec toi.
- Mon chéri, Je ne peux pas faire ces choses-là avec toi.
Annie en avait parlé avec Régis son amant et Maître et ils prirent la décision de me donner quelques photos pornographiques de leurs ébats sexuels très spéciaux afin que je puisse prendre du mieux possible mon plaisir manuellement.
Ma première masturbation Lorsque j’étais plus petit, pendant les congés scolaires, mes parents afin d’être tranquilles, m’envoyait depuis des années chez ma tatie Annie habitant à une cinquantaine de kilomètres de notre domicile. Annie n’était pas ma tante mais nous l’appelions Tatie, c’était une excellente amie à mes parents depuis toujours, elle avait été élevée depuis son plus jeune âge avec ma mère. C’était une jeune célibataire de 20 ans mon aînée, je dormais dans son lit, mais au fur et à mesure que je grandissais, Annie, faisant venir des garçons dans son lit, m’aménagea une chambre rien qu’à moi. Ma tatie était très jolie, très gentille avec moi et très affectueuse, je me plaisais beaucoup chez elle.
Lorsque je dormais encore dans son lit, elle m’avait appris à découvrir le corps d’une femme, elle me faisait lui faire des guiliguilis, comme elle disait mais je compris bien plus tard, qu’elle en profitait pour se caresser et se masturber, profitant ainsi de mes mains et de ma bouche pour lui apporter un peu de bonheur solitaire.
Plus tard, j’étais en VIème, par une chaude nuit d’août orageuse, ayant du mal à me rendormir, je m’étais levé pour boire un jus d’orange à la cuisine. Il était 1h00 du matin. Je fus surpris d’entendre du bruit dans une chambre spéciale qui était à l’autre bout du couloir. Intrigué, au lieu de retourner dans la mienne, je m’aventurai sans faire de bruit vers cette pièce où j’avais entendu ces gémissements. Dans cette chambre mystérieuse, j’avais depuis toujours, l’interdiction d’y pénétrer. Les bruits avaient cessé depuis quelques minutes. Je m’arrêtai moi aussi, puis avant de repartir dormir, curieux du bruit qui me hantais depuis déjà longtemps. Je m’étais agenouillé et regardait le spectacle par le trou de la serrure. Tatie était nue, couché sur une table basse, jambes écartées, elle avait comme des pinces sur les tétons de sa poitrine. Régis son copain, nu également lui montrait son degré d’excitation, en lui présentant sa verge tendue à l’horizontale. Il tenait une bougie dans la main gauche et faisait couler de la cire sur sa peau.
Tout le devant de son corps en était recouvert, des seins jusqu’à son pubis. De sa main droite, il avait un martinet, le même que mon père se servait pour me punir, lorsque je faisais des bêtises. Il donnait des coups sur le ventre de Tatie qui comptait en même temps. 7, 8, 9, il stoppa à 10. Elle se releva, s’accroupit devant lui, je ne pouvais plus les apercevoir mais Régis respirait très fort. Tatie se retourna, elle avait le ventre contre la glace de la table basse, les bras écartés et ses fesses bien en évidence. Il redonna une série de dix coups sur les deux globes de sa croupe qui devenaient de plus en plus rouge. Il entendit Annie :
- Viens maintenant, prends-moi.
Son amant insultait Tatie avec des mots grossiers que je n’avais pas le droit de répéter. Je ne voyais plus l’homme, j’avais juste devant mes yeux les fesses nues de Tatie avec les deux mains de Régis posées sur ses hanches, en lui pinçant fortement la peau. Ceci avait duré quelques minutes, je ne voyais plus rien, je fermais les yeux et entendait les deux amants crié et continué de dire des insanités. Ils en avaient fini, ils pouvaient désormais aller se coucher. Je n’en avais pas perdu une seule miette, j’étais encore assis dans le couloir lorsque tatie m’aperçut.
— Ce n’est rien mon trésor, Guillaume et moi nous jouons, retourne au lit. Je viens t’embrasser, avant d’aller me coucher.
Annie avait dit cela d’un calme que je n’eus même pas le temps de rougir de honte, malgré la bosse que j’avais sur le devant de mon pyjama. Je savais qu’elle avait vu car elle fixa mon intimité pendant plusieurs secondes. J’étais retourné dans ma chambre sans la refermer, attendant le bisou que Tatie m’avait promis. Je ne savais pas quoi faire, lorsque je m’étais glissé sous les draps, j’avais ma main à l’intérieur de mon pyjama, mon kiki était dur et droit. Lorsqu’Annie, habillée seulement de sa nuisette était venue m’embrasser pour me souhaiter bonne nuit, je retirai ma main, mais elle vit ce que j’étais en train de faire, c’était la première fois et ne savait pas comment m’y prendre. Elle se pencha sur moi et me fit un baiser sur les lèvres, elle ne me le faisait plus depuis un moment et cela me manquait. D’un aplomb extraordinaire, elle me demanda de but en blanc, sans tabou :
— C’est ton Kiki qui t’inquiète ?
— Oui ! tatie, il est tout dur et je n’arrive pas à le faire redescendre.
— Attends, montre-moi
Annie n’avait pas attendu ma réponse, elle baissa délicatement le drap et vit mon émergence sous mon pyjama. Elle tira l’élastique et vit ma verge raide et tendue vers le ciel :
— Tu as bien changé depuis six mois mon petit chéri, il a grandi. Comme toi, tu deviens un homme. D’ailleurs tu as la majorité sexuelle aujourd’hui. C’est la nature mon petit, lorsque tu te trouveras dans cet état, la seule façon de pouvoir dormir, est de te masturber.
— C’est quoi Tatie ?
— Tu ne l’as jamais fait ? Attends, je vais te montrer.
J’étais encore plus dur d’excitation, lorsqu’elle s’allongea à mes côtés, elle prit ma tête et la posa sur ses seins afin que je puisse voir et accéder à mon sexe qui me semblait énorme.
Elle me prit la main et la posa sur mon pénis en me refermant les doigts autour de la hampe. Elle m’aida à monter et descendre en de lents mouvements tout au long de ma verge. Je levai les yeux pour la regarder droit dans les yeux, je m’arc-bouta une première fois, j’avais l’impression d’avoir mal dans le bas ventre :
— Tatie j’ai comme envie... ça me fait drôle.
— Attends, laisse-moi faire.
Elle sortit du lit et se mit à genoux sur la descente de lit, elle prit ma main et la posa sur sa poitrine, en me demandant de lui faire des guiliguilis comme par le passé. Puis elle baissa la tête en disant :
— Tu es déjà bien monté pour ton âge, bientôt tu seras comme un âne, toutes les filles te voudront dans leur lit.
J’avais presque honte, mais elle était si naturelle, lorsqu’elle me parlait que je lui faisais entièrement confiance. Elle n’avait pas pu se retenir de poser sa bouche sur mon gland qu’elle venait de décalotter pour l’aspirer, puis elle se baissa encore sa tête pour l’engloutir. Avec ses mouvements de langues et ses vas et vient délicats, je m’arc-bouta une seconde fois :
— J’ai mal Tatie que faut-il faire ?
— Laisse venir mon chéri, ça va sortir, ne te retient pas.
Comme elle avait senti que j’allais finir par lui mettre tout dans la bouche, elle se retira et me coulissa fortement la queue avec sa main, de longs jets de liquide épais, blanchâtre sortaient de mon sexe par saccades pour atterrir sur mon ventre et sur sa main. Je regardais avec fierté le résultat :
— Tu vois ça s’appelle du sperme mon chéri. Dit-elle simplement.
Elle s’essuya, me tendit du papier essuie tout, se leva et m’embrassa longuement sur la bouche :
— Si tu le veux mon chéri, je reviendrai demain soir, nous continuerons ton éducation sexuelle, tu en as largement l’âge à présent.
Sans gêne, Tatie Annie avait assisté et fortement aidé à la première masturbation de son petit protégé. Cela faisait un moment qu’elle ne me voyait plus sous la douche ou dans le bain, elle fut surprise de la taille de mon sexe. Elle prévoyait quelques leçons bien particulières pour moi, mais elle voulait attendre encore. Tous les soirs de la semaine de vacances, Tatie se couchait nue à côté de moi, j’ai pu ainsi la caresser, lui sucer les tétons, passer ma main pour découvrir son minou et jouer avec, puis cela finissait par une branlette et une éjaculation de ma part sur son ventre ou sur sa poitrine.
J’avais tellement apprécié que désormais j’attendais les prochaines vacances afin que Tatie vienne me voir avant de s’endormir. J’avais continué seul, mais je n’arrivais pas à obtenir le résultat que j’avais connu la première fois, mon plaisir ne me satisfaisait pas suffisamment. Après deux mois, j’étais retourné chez Annie mais je m’étais aperçu que ma Tatie ne faisait rien d’autre que de m’embrasser les soirs avant de m’endormir, j’avais décidé d’agir. Ce soir-là, quand Annie pénétra dans ma chambre, je lui demandai :- Tatie Annie, vous ne jouez plus avec Régis ?
- Si mon chéri, mais nous ne voulons plus que tu nous vois, ce n’est pas encore pour toi.
- Tu m’avais dit pourtant que tu continuerais mon éducation sexuelle.
- Tu n’y arrives pas tout seul ?
- Si mais c’était bien mieux avec toi.
- Mon chéri, Je ne peux pas faire ces choses-là avec toi.
Annie en avait parlé avec Régis son amant et Maître et ils prirent la décision de me donner quelques photos pornographiques de leurs ébats sexuels très spéciaux afin que je puisse prendre du mieux possible mon plaisir manuellement.
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