Madame aime bien se soulager devant moi !
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Madame aime bien se soulager devant moi !
Cet après-midi, en me rendant chez ma patronne qui m’a fait convoquer par l’intermédiaire de la cuisinière. Je me demande ce qu’elle me veut encore. L’idée me vient qu’elle a sans aucun doute envie de baiser. Honteux je sens ma bite se gonfler dans mon slip.
En entrant dans sa chambre, je devine tout de suite ce qu’elle désire de ma part.
-Bonjour Alain !
Je lui rends son salut. Malgré ses écarts, elle impose le respect avec son apparence strict pour les autres alors que moi, je sais ce que cache cette attitude. Il suffit de voir les yeux sournois et fureteurs de la patronne pour comprendre qu’elle est aussi vicieuse que n’importe qu’elle femme au statue sociale inférieure.
Elle m’explique qu’elle a besoin que je l’emmène au marché. Je ne suis pas dupe. Elle peut si elle le désir y aller seule, ce qu’elle fait si bien qu’on elle le veut. Il doit y avoir autre chose derrière cette demande. L’idée de m’isoler avec elle n’est pas pour me déplaire. Surtout que je ne suis pas contre une baise. Et d’ailleurs, je n’ais aucune raison de refuser.
La patronne me suggère de chauffer le 4X4, ce qui n’est pas anodin. Et comme je l’ais pressenti au bout de quelques kilomètres elle me demande de trouver un endroit isolé. Puis elle ajoute :
-J’ai oublié de faire pipi avant de partir. Si tu veux d’arrêter quelque part.
-Tout de suite Madame !
-Non, non, je te dirais où !
Quelques kilomètres plus loin, elle m’indique la route à prendre. Une fois sur le lieu choisi, j’arrête le contact et attends la suite.
-Si toi aussi tu veux faire pipi, c’est le moment d’en profiter, fit-elle avant d’ouvrir la portière.
Je sens plus que jamais ma verge gonflée. Elle a eu une drôle de voix sucrée en lâchant ses quelques mots de sa bouche. Elle ne changera jamais ! Et tant mieux !
Elle m’entraîne loin dans le sentier, jusqu’à un espace boisé pas visible de la route pourtant toute proche. Au milieu des arbres, une souche forme une table. Des fourrés épais l’entourent. C’est vraiment l’endroit tranquille pour s’isoler. Je la soupçonne d’être déjà venue ici. Mais avec qui ? Pas le temps d’approfondir la question que déjà la Madame s’accroupit. Elle décide de pisser devant moi. ce n’est pas pour me déplaire, tout au contraire. Je bande de plus en plus dur.
Elle me fit signe de m’approcher d’elle. Elle s’attaque tout de suite à mon pantalon, puis au slip. La vue de mon sexe au garde à vous, la fait rire.
-Tu es excité à ce que je vois. C’est moi qui te produis cet effet ? Comme je ne vois personne d’autre que nous je devine que c’est vraiment moi et là mon coco, tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse, de produire ce résultat sur un beau garçon comme toi. Après un soupir bruyant, elle ajoute :
-Il va falloir que je me dévoue.
Elle se redresse un peu, assez pour faire passer sa culotte de soie sous ses fesses puis le long de ses jambes. Je sens une vague chaude se former dans mon ventre. Puis la patronne s’accroupie de nouveau au même endroit. La robe retroussées jusqu’à la taille et les genoux largement écartés, elle ne cache rien de son entrejambe. Ses poils pubiens tapissent son sexe jusqu’aux creux des aines, et débordent même sur le haut des cuisses. Depuis notre dernière relation elle a hormis de passer chez l’esthéticienne.
Malgré leur abondance, ils ne masquent pas la fente. La patronne doit forcer car les bords s’écartent encore plus. Excité, je fixe le déploiement de cette chair obscène pour certaines personnes et merveilleuse à mes yeux. Je suis surpris par le jet jaunâtre qui fuse de sa chatte, alors qu’elle émet une plainte prolongée. Son sexe se crispe et une giclée de mouille jaillit de son vagin. Je comprends que la cochonne prend son pied en se soulageant devant mes yeux.
Quelques gémissements rauques et des tortillements de sa part, certifient mon raisonnement. Cela n’empêche pas la patronne de se soulager à grands flots tout en prenant du plaisir. Une fois soulagée, elle se relève. Puis elle me fait signe d’approcher au plus près d’elle. Là elle me tend sa culotte de soie.
-Tiens prends la, je sais que tu raffoles de cela. Surtout des miennes, je me trompe ou non ?
-Madame a raison, j’en raffole !
Alors que je m’apprête à la placer sous mes narines, elle laisse tomber :
-Pas maintenant !
Alors que je la fourre dans la poche de mon pantalon. Une fois redressé, elle prend ma queue dans sa main, puis elle entame un lent et agréable va-et-vient.
-J’espère que tu aimes ça !
-Madame est très habile avec ses mains. Je réponds, le souffle court.
-Cela me touche !
Elle a une façon de couvrir et découvrir le gland qui me fait naître des frissons électrique dans tout mon corps. Très vite je sens les premiers picotements de plaisir montés de mes reins. Prémisse d’une proche jouissance. Je ne me retiens même pas, accompagnant mon éjaculation d’un cri aigu, engluant les doigts de ma branleuse d’une épaisse giclée de sperme. Qu’elle s’empresse d’essuyer avec sa langue.
Emprunté, et, comme toujours gêné après que mon excitation soit passée, je sens ma queue se recroqueviller à vue d’œil. Comme à son habitude, la patronne change vite d’attitude, redevenant elle-même, revêche !
Sans m’attendre elle s’éloigne à grands pas à travers les broussailles.
-Dépêche-toi un peu veux-tu Alain, fait-elle en me voyant traîner derrière elle. Il n’y aura plus rien à acheter au marché…
Je suis sagement devant la télé quand un appel m’ordonne de venir jusqu’au manoir, que Madame veut me voir.
Je dois pour cela monter jusqu’à sa chambre. Me font les filles dans la cuisine.
-Oh merci Alain d’être venu si vite. Alors ma culotte ? Fit-elle alors que je ferme la porte de la chambre.
-A clé ! Me fit-elle.
Le message est passée !!!!!
-Une merveille Madame !
-Je pense bien, je l’ai porté deux jours ! Suis-moi ! Fit-elle alors qu’elle s’approche de la salle d’eau.
Sourire aux lèvres, elle se penche et prend place sur le siège de la cuvette, écarte largement les jambes, puis les lèvres avec ses doigts afin de bien me faire voir. De nouveau, elle commence à uriner.
-Je sais que tu n’es pas avare de ce genre d’exhibition ! Approche tu verras mieux !
Je m’exécute.
- Alors ? Me fit-elle.
- Du pur plaisir. Vraiment beau ! C’est tout simplement magnifique, vraiment beau. J’aimerais si Madame veux bien, lui lécher la chatte !
-C’est si bien dit bien pourquoi pas !
Tendant mon nez, je apte son odeur, douce et âcre à la fois. Je pose le bout de ma langue sur la dernière goutte qui perle d’une de ses lèvres. Je suis aux anges ! Très vite, sous mes caresses buccales, sa chatte devient toute juteuse et délicieuse à lécher. Ses poils mouillés se plaquent contre ses grandes lèvres, ce qui me permet de passer ma langue sur toute la surface de cette vulve délicieusement aromatisée de plaisir et de désir.
Elle gémit, me suppliant de ne pas arrêter. Je continue sur cette voie. Ajoutant au passage une pression du bout du nez sur son bouton sorti de son abri. Il n’en faut pas plus pour qu’elle se mette à trembler et à gémir avec plus de force. Prenant ma tête entre ses mains pour mieux plaquer ma bouche sur sa vulve, je sens alors ses cuisses se contracter de chaque côté de ma tête et son bassin venir à la rencontre de ma langue.
En gémissant de plus en plus fort, elle se met à onduler de la croupe de plus en plus vite, soudant ainsi mes lèvres à son sexe. Pensant bien faire en enfournant ma langue au fond de son vagin, je ne m’attends aucunement à une telle vague de plaisir de sa part. D’une dernière pression de son bassin sur ma bouche, elle laisse échapper un cri rauque, se déhanchant de tous côtés.
- Je viens, mon salaud… OH OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII mon sa….!
Elle est rattrapée par un orgasme que je nommerais d’explosif. Semblable à une ogive de gros calibre.
- Mon Dieu ! Me fit-elle plus tard, alors allongée sur son lit. Cela ne m’arrive généralement que lorsque j’ai vraiment envie de quelqu’un et que le travail de ce quelqu’un est merveilleusement bien fait. Se dédouana-t-elle.
De retour dans la cuisine, j’ai droit à un sourire de Claire en train faire la plonge, qui semblait plus satisfaite qu’outrée du temps passé avec la patronne dans sa chambre.
- Enfin de retour ! Fit la cuisinière.
Et toutes deux éclatèrent d’un rire joyeux et si communicatif que je ne pus résister à m’y joindre.
En entrant dans sa chambre, je devine tout de suite ce qu’elle désire de ma part.
-Bonjour Alain !
Je lui rends son salut. Malgré ses écarts, elle impose le respect avec son apparence strict pour les autres alors que moi, je sais ce que cache cette attitude. Il suffit de voir les yeux sournois et fureteurs de la patronne pour comprendre qu’elle est aussi vicieuse que n’importe qu’elle femme au statue sociale inférieure.
Elle m’explique qu’elle a besoin que je l’emmène au marché. Je ne suis pas dupe. Elle peut si elle le désir y aller seule, ce qu’elle fait si bien qu’on elle le veut. Il doit y avoir autre chose derrière cette demande. L’idée de m’isoler avec elle n’est pas pour me déplaire. Surtout que je ne suis pas contre une baise. Et d’ailleurs, je n’ais aucune raison de refuser.
La patronne me suggère de chauffer le 4X4, ce qui n’est pas anodin. Et comme je l’ais pressenti au bout de quelques kilomètres elle me demande de trouver un endroit isolé. Puis elle ajoute :
-J’ai oublié de faire pipi avant de partir. Si tu veux d’arrêter quelque part.
-Tout de suite Madame !
-Non, non, je te dirais où !
Quelques kilomètres plus loin, elle m’indique la route à prendre. Une fois sur le lieu choisi, j’arrête le contact et attends la suite.
-Si toi aussi tu veux faire pipi, c’est le moment d’en profiter, fit-elle avant d’ouvrir la portière.
Je sens plus que jamais ma verge gonflée. Elle a eu une drôle de voix sucrée en lâchant ses quelques mots de sa bouche. Elle ne changera jamais ! Et tant mieux !
Elle m’entraîne loin dans le sentier, jusqu’à un espace boisé pas visible de la route pourtant toute proche. Au milieu des arbres, une souche forme une table. Des fourrés épais l’entourent. C’est vraiment l’endroit tranquille pour s’isoler. Je la soupçonne d’être déjà venue ici. Mais avec qui ? Pas le temps d’approfondir la question que déjà la Madame s’accroupit. Elle décide de pisser devant moi. ce n’est pas pour me déplaire, tout au contraire. Je bande de plus en plus dur.
Elle me fit signe de m’approcher d’elle. Elle s’attaque tout de suite à mon pantalon, puis au slip. La vue de mon sexe au garde à vous, la fait rire.
-Tu es excité à ce que je vois. C’est moi qui te produis cet effet ? Comme je ne vois personne d’autre que nous je devine que c’est vraiment moi et là mon coco, tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse, de produire ce résultat sur un beau garçon comme toi. Après un soupir bruyant, elle ajoute :
-Il va falloir que je me dévoue.
Elle se redresse un peu, assez pour faire passer sa culotte de soie sous ses fesses puis le long de ses jambes. Je sens une vague chaude se former dans mon ventre. Puis la patronne s’accroupie de nouveau au même endroit. La robe retroussées jusqu’à la taille et les genoux largement écartés, elle ne cache rien de son entrejambe. Ses poils pubiens tapissent son sexe jusqu’aux creux des aines, et débordent même sur le haut des cuisses. Depuis notre dernière relation elle a hormis de passer chez l’esthéticienne.
Malgré leur abondance, ils ne masquent pas la fente. La patronne doit forcer car les bords s’écartent encore plus. Excité, je fixe le déploiement de cette chair obscène pour certaines personnes et merveilleuse à mes yeux. Je suis surpris par le jet jaunâtre qui fuse de sa chatte, alors qu’elle émet une plainte prolongée. Son sexe se crispe et une giclée de mouille jaillit de son vagin. Je comprends que la cochonne prend son pied en se soulageant devant mes yeux.
Quelques gémissements rauques et des tortillements de sa part, certifient mon raisonnement. Cela n’empêche pas la patronne de se soulager à grands flots tout en prenant du plaisir. Une fois soulagée, elle se relève. Puis elle me fait signe d’approcher au plus près d’elle. Là elle me tend sa culotte de soie.
-Tiens prends la, je sais que tu raffoles de cela. Surtout des miennes, je me trompe ou non ?
-Madame a raison, j’en raffole !
Alors que je m’apprête à la placer sous mes narines, elle laisse tomber :
-Pas maintenant !
Alors que je la fourre dans la poche de mon pantalon. Une fois redressé, elle prend ma queue dans sa main, puis elle entame un lent et agréable va-et-vient.
-J’espère que tu aimes ça !
-Madame est très habile avec ses mains. Je réponds, le souffle court.
-Cela me touche !
Elle a une façon de couvrir et découvrir le gland qui me fait naître des frissons électrique dans tout mon corps. Très vite je sens les premiers picotements de plaisir montés de mes reins. Prémisse d’une proche jouissance. Je ne me retiens même pas, accompagnant mon éjaculation d’un cri aigu, engluant les doigts de ma branleuse d’une épaisse giclée de sperme. Qu’elle s’empresse d’essuyer avec sa langue.
Emprunté, et, comme toujours gêné après que mon excitation soit passée, je sens ma queue se recroqueviller à vue d’œil. Comme à son habitude, la patronne change vite d’attitude, redevenant elle-même, revêche !
Sans m’attendre elle s’éloigne à grands pas à travers les broussailles.
-Dépêche-toi un peu veux-tu Alain, fait-elle en me voyant traîner derrière elle. Il n’y aura plus rien à acheter au marché…
Je suis sagement devant la télé quand un appel m’ordonne de venir jusqu’au manoir, que Madame veut me voir.
Je dois pour cela monter jusqu’à sa chambre. Me font les filles dans la cuisine.
-Oh merci Alain d’être venu si vite. Alors ma culotte ? Fit-elle alors que je ferme la porte de la chambre.
-A clé ! Me fit-elle.
Le message est passée !!!!!
-Une merveille Madame !
-Je pense bien, je l’ai porté deux jours ! Suis-moi ! Fit-elle alors qu’elle s’approche de la salle d’eau.
Sourire aux lèvres, elle se penche et prend place sur le siège de la cuvette, écarte largement les jambes, puis les lèvres avec ses doigts afin de bien me faire voir. De nouveau, elle commence à uriner.
-Je sais que tu n’es pas avare de ce genre d’exhibition ! Approche tu verras mieux !
Je m’exécute.
- Alors ? Me fit-elle.
- Du pur plaisir. Vraiment beau ! C’est tout simplement magnifique, vraiment beau. J’aimerais si Madame veux bien, lui lécher la chatte !
-C’est si bien dit bien pourquoi pas !
Tendant mon nez, je apte son odeur, douce et âcre à la fois. Je pose le bout de ma langue sur la dernière goutte qui perle d’une de ses lèvres. Je suis aux anges ! Très vite, sous mes caresses buccales, sa chatte devient toute juteuse et délicieuse à lécher. Ses poils mouillés se plaquent contre ses grandes lèvres, ce qui me permet de passer ma langue sur toute la surface de cette vulve délicieusement aromatisée de plaisir et de désir.
Elle gémit, me suppliant de ne pas arrêter. Je continue sur cette voie. Ajoutant au passage une pression du bout du nez sur son bouton sorti de son abri. Il n’en faut pas plus pour qu’elle se mette à trembler et à gémir avec plus de force. Prenant ma tête entre ses mains pour mieux plaquer ma bouche sur sa vulve, je sens alors ses cuisses se contracter de chaque côté de ma tête et son bassin venir à la rencontre de ma langue.
En gémissant de plus en plus fort, elle se met à onduler de la croupe de plus en plus vite, soudant ainsi mes lèvres à son sexe. Pensant bien faire en enfournant ma langue au fond de son vagin, je ne m’attends aucunement à une telle vague de plaisir de sa part. D’une dernière pression de son bassin sur ma bouche, elle laisse échapper un cri rauque, se déhanchant de tous côtés.
- Je viens, mon salaud… OH OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII mon sa….!
Elle est rattrapée par un orgasme que je nommerais d’explosif. Semblable à une ogive de gros calibre.
- Mon Dieu ! Me fit-elle plus tard, alors allongée sur son lit. Cela ne m’arrive généralement que lorsque j’ai vraiment envie de quelqu’un et que le travail de ce quelqu’un est merveilleusement bien fait. Se dédouana-t-elle.
De retour dans la cuisine, j’ai droit à un sourire de Claire en train faire la plonge, qui semblait plus satisfaite qu’outrée du temps passé avec la patronne dans sa chambre.
- Enfin de retour ! Fit la cuisinière.
Et toutes deux éclatèrent d’un rire joyeux et si communicatif que je ne pus résister à m’y joindre.
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