Maison close (suite) : la vente aux enchères
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Maison close (suite) : la vente aux enchères
Après la nuit de folie que Chrystèle et Léopold avaient passée dans la maison libertine, avec tous ces couples et ces hommes déchainés, la matinée fut tellement normale que s’en était surréaliste. Mehdi, leur amant de la nuit, s’était éclipsé de bon matin pour aller travailler à l’hôpital où il était médecin anesthésiste. Ils n’étaient donc que tous les deux quand ils rejoignirent leurs hôtes et les couples encore présent pour le petit déjeuner. Délicieux ! Mais totalement normal. Tout le monde était habillé comme pour un week-end chez belle maman et les conversations étaient loin des débauches de la nuit. On aurait vraiment pu se croire dans une maison d’hôtes classique.
Mais le week-end était encore long…Il commença par un passage sur les plages à Dinard, à une heure de route de là, un déjeuner, quelques huitres, il faisait un petit 14° en cette mi-janvier mais le temps était beau. Le soir ils avaient de nouveau rendez-vous dans la même maison libertine pour une soirée qui s’annonçait très différente de la première. Leurs hôtes leur avaient annoncé que le samedi soir était dédié aux jeux BDSM avec quelques spécialistes locaux. D’un air convenu ils leur avaient expliqué qu’ils se « situaient de toute évidence tous les deux dans la catégorie "soumis" ». A l’appui de leurs dires ils avaient le témoignage de Mehdi, leur amant très dominateur de la nuit, qui devait revenir le soir pour « les soumettre ».
« On y retourne ? » Chrystèle et Léopold étaient dans leurs petits souliers en dégustant leur plateau de fruit de mer au restaurant du casino. Non que les pratiques BDSM les rebutent mais leurs hôtes semblaient particulièrement experts et leur nuit avec Mehdi avait été assez éprouvante. « Je me suis senti totalement soumis dans ces bras », confesse Léopold. « Moi aussi. Il est tellement beau. Tellement sur de lui, reprend Chrystèle.
- Avec un sacré engin.
- Je ne te le fais pas dire. Tu aimes de plus en plus te faire prendre on dirait.
- J’avoue.
- Tu te sens homo ?
- Non pas vraiment. Je pense toujours essentiellement aux femmes. A leurs seins. A leur cul. Rassure toi. Mais j’aime aussi me sentir comme elles avec un homme. Dominé. Soumis.
- Ca me fait un peu peur.
- Moi aussi. »Mais il faut croire que l’attrait du sexe était plus fort que leurs peurs. Quelques heures plus tard ils étaient de retour dans la maison du libertinage. Accueillis avec gentillesse mais dans une toute autre ambiance que celle du vendredi soir. Déjà leur hôtesse n’était plus sexy comme hier mais habillée en vraie dominatrice. Toute en cuir noir, un fouet au côté, un large godemiché à la ceinture, immense avec ses talons qui lui faisaient dépasser le mètre 90. Impressionnante avec sa poitrine remarquable moulée dans un haut à fermeture éclair qui fit immédiatement bander Léopold.
Mais il faut croire que ce n’était pas le but de la soirée. Virgil, le compagnon de la sculpturale Lilla, l’emmena tout de suite dans une petite pièce où il lui indiqua comme faire un lavement, une pratique que Léopold maîtrisait encore mal mais qui était « obligatoire pour tout soumis ». Virgil était l’opposé de Lilla. Un petit homme assez sec mais également très dominant. Lui aussi habillé en cuir noir. Lui aussi un fouet au côté.
Quand il revint, Léopold était nu, un collier autour du coup, tenu en laisse par Virgil, et le sexe enfermé dans une cage de chasteté qui rendait toute érection fort douloureuse. En s’asseyant avec d’autres hommes soumis nus comme lui il vit que Chrystèle était également nue, assise aux pieds de Lilla, entourée d’autres femmes également nues, toutes portant collier et laisse.
Les deux groupes de soumis – une vingtaine en tout, autant de chaque sexe - étaient de chaque côté de la grande pièce, assis sur le carrelage, pendant qu’une vingtaine de maîtres et maîtresses – essentiellement des maîtres quand même - discutaient autour d’un buffet posé entre eux. La majorité des soumis étaient assez jeunes. Les dominants un peu plus âgés. Mehdi n’était pas encore parmi eux.
« Mes amis merci d’être là pour notre vente aux esclaves annuelle », commença Lilla. « J’ai là vingt beaux spécimens, dont certains viennent pour la première fois. Vous connaissez les règles du jeu. Vous avez chacun amené vos soumis ce qui vous donne un certain pouvoir d’achat en fonction de leur jeunesse, beauté, soumission. Vous pouvez avec cela enchérir sur chaque lot. Ensuite vous pouvez en faire ce que vous voulez dans les limites que vous avez fixées. Je tiens particulièrement à remercier maître Mehdi, qui ne va pas tarder à nous rejoindre, pour nous avoir amenés Chrystèle et Léopold qui, vous le verrez, sont particulièrement beaux. » Temps d’attente : « Virgil commençons… »Très professionnel Virgil était sur une petite estrade, un marteau de commissaire priseur à la main. Il fit monter la première soumise : « Je vous présente Alexia ». Alexia était une jeune Asiatique très fluette. Sans forme ou presque. Les enchères ne montèrent pas très haut et un homme – pas loin de la cinquantaine, évidemment en cuir noir – l’emmena en disant « Je préfère avoir plusieurs esclaves sans aller trop loin dans les enchères que de me ruiner pour un seul » Il en avait les moyens car il avait emmené sa femme. Une splendide blonde qui allait faire montre très loin les enchères.
Immédiatement derrière lui Virgil annonça que c’était le « mari d’Alexia », lui aussi asiatique, très mignon, qui fut lui aussi « acheté » par le même maitre : « Je n’aime pas séparer les couples. J’adore les voir se donner le fouet l’un l’autre. »La soirée continua. Selon les règles de la maison, Léopold et Chrystèle ne pouvaient pas être vendus tant que leur « maître » n’était pas là. Enfin vers 23 heures, une heure après les débuts de la vente, Mehdi apparut en compagnie d’un jeune éphèbe qui semblait être son esclave : « Je vous présente Melvin. Il n’est pas pour la vente. Je l’initie peu à peu ». Il regarda Chrystèle puis Léopold, très sur de lui. « Nous allons donc pouvoir mettre tes deux esclaves en vente », indiqua Virgil en allant d’abord chercher Chrystèle.
Toujours très docile elle se laissa emmener sur seine. « Voici la belle pouliche que Mehdi a convaincu de venir. Cette nuit elle était déjà là pour une soirée libertin et je peux vous garantir qu’elle sait prendre des bites par tous les orifices. » Tout en faisant la réclame de Chrystèle il lui palpait son 95C : « Cette belle pouliche mesure 1 m 75 – il lui touche le sexe, la fait se retourner – a un cul superbe, de longues jambes, une bouche de pipeuse – il lui ouvre la bouche – et surtout de seins des seins. Penche toi petite garce qu’on les voit pendre. » Il la penche en avant, prend se seins à pleines mains. « Combien pour cette petite salope ? »Les mains se lèvent. Les maîtres essentiellement voient ce qu’ils peuvent investir. Un grand maître au regard assez inquiétant lance les enchères. Un homme très velu les reprend. Lui même a amené une belle brune qui a eu beaucoup de succès. Mehdi savoure le spectacle. Léopold n’en peut plus de ne pas pouvoir bander. Chrystèle mouille tellement que cela ruisselle entre ces cuisses. L’homme très poilu au physique de lutteur l’emporte. Et demande à acheter également Léopold. Le prix pour le couple semble convenir. Léopold n’aura pas à aller sur scène. Carlos emmène le couple qu’il tient en laisse au sous sol. Là où sont les instruments de domination.
Pas très rassurés Chrystèle et Léopold suivent donc Carlos au sous-sol. Là sont entreposés le matériel classique des dominateurs : croix de Saint-André, fouets, paddles, menotte, banc de soumission, etc. Un très beau matériel sur plus de 100 m2 qu’expérimentent déjà des soumis et leurs maîtres et maîtresses. Partout on entend cris et coups. Un jeune homme hurle sous les coups d’une maîtresse assez petite mais très brutale qui le fouette à coup de badine. Ses fesses, son dos sont déjà striés de rouge.
« Vous allez être bien sages mes agneaux », intime Carlos en sortant une bite déjà très grosse alors qu’il ne bande pas du tout. « Allez, montrez-moi comment vous sucez. » Comme une affamée Chrystèle plonge sur le sexe et Léopold la rejoint. Ensemble ils s’appliquent à donner consistance à ce qui se révèle un sexe de toute beauté, long, large, veineux, le sexe dont rêvent tous les soumis. Ils le lèchent, le sucent, ne le caressent pas, ils ont obligation de garder les mains dans le dos. Peu après Lilla leur mettra d’ailleurs des menottes après avoir demandé à Carlos : « Sont-ils bien obéissants ?
- Oui, très. Je ne regrette pas mon choix.
- Vous devriez les fouetter pour vous assurer de leur soumission.
- Bien sûr. Pouvez m’indiquer l’instrument le mieux indiqué ? »Quelques minutes plus tard, Léopold et Chrystèle comprennent mieux le sens du mot soumission. Tous deux sont attachés sur deux croix de Saint-André situées l’une à côté de l’autre. Après avoir commencé au martinet – deux même en simultané – Lilla et Carlos sont passés à la badine. Si le martinet était un peu dur à supporte la badine fait hurler Léopold. Beaucoup plus stoïque, Chrystèle ne dit presque rien. « Regardez cette esclave courageuse. Pas comme sa fiotte de mari », remarque Lilla en la pénétrant et en lui apportant un orgasme instantané. De son côté Carlos introduit un large godemiché dans les fesses de Léopold.
Détachés ils sont emmenés tous les deux sur les matelas posés dans un coin de la pièce. Les deux asiatiques sont déjà avec l’autre maître. Ils ont été copieusement fouettés et sont cote à cote en levrette à attendre la saillie. « Léopold, baise les », indique Lilla après avoir enlevé la cage de chasteté dont son sexe sort comme un diable de sa boite. « Vu ta taille, tu ne vas pas leur faire bien mal. Ou du bien », rit-elle. « Baise les ou je te fouette jusqu’au sang. » Pas très fier de lui Léopold met un préservatif. « Lui d’abord », dit Carlos. Léopold s’apprête là à baiser son premier homme. Jusqu’ici le baisé cela a toujours été lui. Il a une certaine appréhension mais Carlos le pousse en avant et il s’introduit dans les fesses glabres, très féminines du soumis. Derrière lui Carlos lui flatte les testicules. A côté de lui Lilla a mis un gode ceinture à Chystèle pour qu’elle baise la petite Asiatique.
Quelques minutes après les deux couples sont enfermés dans une pièce plongée dans le noir. Très excitée la petite Asiatique se place tout de suite dans les bras de Chrystèle et lui aspire les seins pendant que son mari va sucer Léopold, qui n’a pas joui un lacet lui enserrant les testicules pour l’en empêcher. La récréation sera de courte durée. Carlos et Mehdi entrent, accompagnés de deux autres hommes. Tous habillés en cuir, leurs sexes à l’air. Ils n’ont même pas besoin de parler pour que le couple d’Asiatiques aille les sucer. Chrystèle se précipite sur Mehdi. Il reste Carlos pour Léopold.
A genoux devant les quatre males, les mains dans le dos, ils s’appliquent à leur donner de la vigueur. Décidément Carlos est incroyablement pourvu constate Léopold, un peu inquiet de se dire qu’il va sans doute devoir y passer. « A quatre pattes les salopes ? » Les quatre soumis obtempèrent. Les voilà tous les quatre prêts à se faire enfin prendre. Chrystèle sent Mehdi contre elle. Son sexe qui s’introduit. Ses mains qui prennent ses cheveux à pleines mains. Carlos en fait autant avec Léopold mais celui-ci déguste au début de l’intromission. Les quatre soumis ne tardent pas à être secoués de partout pendant que les maîtres font quelques plaisanteries sur leurs aptitudes respectives. Puis échangent les rôles. Après Carlos c’est facile pour Léopold de prendre un autre sexe qui lui fait beaucoup plus de bien en fait. Quant à Chrystèle, si elle regrette Mehdi, le sexe de Carlos lui fait un bien fou.
La séance va durer longtemps. Chrystèle va s’empaler assise sur un troisième homme également très velu qui lui prend les seins à pleine mains. Les triture dans tous les sens et lui fait assez mal avant de l’emmener pour lui mettre des pinces que Lilla lui enlèvera plus tard en lui causant une douleur cuisante. Léopold sera lui mis à disposition des maîtres pour les sucer à la demande tout en prenant un plug monstrueux dans un anus déjà passablement martyrisé par les multiples pénétrations. La séance durera toute la nuit pour finir l’élection des meilleurs soumis/soumises. Le petit Asiatique l’emporte dans la catégorie soumis. Chrystèle chez les soumises.
« Ca t’a plu.
- Oui mais j’ai mal partout et des marques de coup qui ne sont pas prêtes de disparaître. »
Mais le week-end était encore long…Il commença par un passage sur les plages à Dinard, à une heure de route de là, un déjeuner, quelques huitres, il faisait un petit 14° en cette mi-janvier mais le temps était beau. Le soir ils avaient de nouveau rendez-vous dans la même maison libertine pour une soirée qui s’annonçait très différente de la première. Leurs hôtes leur avaient annoncé que le samedi soir était dédié aux jeux BDSM avec quelques spécialistes locaux. D’un air convenu ils leur avaient expliqué qu’ils se « situaient de toute évidence tous les deux dans la catégorie "soumis" ». A l’appui de leurs dires ils avaient le témoignage de Mehdi, leur amant très dominateur de la nuit, qui devait revenir le soir pour « les soumettre ».
« On y retourne ? » Chrystèle et Léopold étaient dans leurs petits souliers en dégustant leur plateau de fruit de mer au restaurant du casino. Non que les pratiques BDSM les rebutent mais leurs hôtes semblaient particulièrement experts et leur nuit avec Mehdi avait été assez éprouvante. « Je me suis senti totalement soumis dans ces bras », confesse Léopold. « Moi aussi. Il est tellement beau. Tellement sur de lui, reprend Chrystèle.
- Avec un sacré engin.
- Je ne te le fais pas dire. Tu aimes de plus en plus te faire prendre on dirait.
- J’avoue.
- Tu te sens homo ?
- Non pas vraiment. Je pense toujours essentiellement aux femmes. A leurs seins. A leur cul. Rassure toi. Mais j’aime aussi me sentir comme elles avec un homme. Dominé. Soumis.
- Ca me fait un peu peur.
- Moi aussi. »Mais il faut croire que l’attrait du sexe était plus fort que leurs peurs. Quelques heures plus tard ils étaient de retour dans la maison du libertinage. Accueillis avec gentillesse mais dans une toute autre ambiance que celle du vendredi soir. Déjà leur hôtesse n’était plus sexy comme hier mais habillée en vraie dominatrice. Toute en cuir noir, un fouet au côté, un large godemiché à la ceinture, immense avec ses talons qui lui faisaient dépasser le mètre 90. Impressionnante avec sa poitrine remarquable moulée dans un haut à fermeture éclair qui fit immédiatement bander Léopold.
Mais il faut croire que ce n’était pas le but de la soirée. Virgil, le compagnon de la sculpturale Lilla, l’emmena tout de suite dans une petite pièce où il lui indiqua comme faire un lavement, une pratique que Léopold maîtrisait encore mal mais qui était « obligatoire pour tout soumis ». Virgil était l’opposé de Lilla. Un petit homme assez sec mais également très dominant. Lui aussi habillé en cuir noir. Lui aussi un fouet au côté.
Quand il revint, Léopold était nu, un collier autour du coup, tenu en laisse par Virgil, et le sexe enfermé dans une cage de chasteté qui rendait toute érection fort douloureuse. En s’asseyant avec d’autres hommes soumis nus comme lui il vit que Chrystèle était également nue, assise aux pieds de Lilla, entourée d’autres femmes également nues, toutes portant collier et laisse.
Les deux groupes de soumis – une vingtaine en tout, autant de chaque sexe - étaient de chaque côté de la grande pièce, assis sur le carrelage, pendant qu’une vingtaine de maîtres et maîtresses – essentiellement des maîtres quand même - discutaient autour d’un buffet posé entre eux. La majorité des soumis étaient assez jeunes. Les dominants un peu plus âgés. Mehdi n’était pas encore parmi eux.
« Mes amis merci d’être là pour notre vente aux esclaves annuelle », commença Lilla. « J’ai là vingt beaux spécimens, dont certains viennent pour la première fois. Vous connaissez les règles du jeu. Vous avez chacun amené vos soumis ce qui vous donne un certain pouvoir d’achat en fonction de leur jeunesse, beauté, soumission. Vous pouvez avec cela enchérir sur chaque lot. Ensuite vous pouvez en faire ce que vous voulez dans les limites que vous avez fixées. Je tiens particulièrement à remercier maître Mehdi, qui ne va pas tarder à nous rejoindre, pour nous avoir amenés Chrystèle et Léopold qui, vous le verrez, sont particulièrement beaux. » Temps d’attente : « Virgil commençons… »Très professionnel Virgil était sur une petite estrade, un marteau de commissaire priseur à la main. Il fit monter la première soumise : « Je vous présente Alexia ». Alexia était une jeune Asiatique très fluette. Sans forme ou presque. Les enchères ne montèrent pas très haut et un homme – pas loin de la cinquantaine, évidemment en cuir noir – l’emmena en disant « Je préfère avoir plusieurs esclaves sans aller trop loin dans les enchères que de me ruiner pour un seul » Il en avait les moyens car il avait emmené sa femme. Une splendide blonde qui allait faire montre très loin les enchères.
Immédiatement derrière lui Virgil annonça que c’était le « mari d’Alexia », lui aussi asiatique, très mignon, qui fut lui aussi « acheté » par le même maitre : « Je n’aime pas séparer les couples. J’adore les voir se donner le fouet l’un l’autre. »La soirée continua. Selon les règles de la maison, Léopold et Chrystèle ne pouvaient pas être vendus tant que leur « maître » n’était pas là. Enfin vers 23 heures, une heure après les débuts de la vente, Mehdi apparut en compagnie d’un jeune éphèbe qui semblait être son esclave : « Je vous présente Melvin. Il n’est pas pour la vente. Je l’initie peu à peu ». Il regarda Chrystèle puis Léopold, très sur de lui. « Nous allons donc pouvoir mettre tes deux esclaves en vente », indiqua Virgil en allant d’abord chercher Chrystèle.
Toujours très docile elle se laissa emmener sur seine. « Voici la belle pouliche que Mehdi a convaincu de venir. Cette nuit elle était déjà là pour une soirée libertin et je peux vous garantir qu’elle sait prendre des bites par tous les orifices. » Tout en faisant la réclame de Chrystèle il lui palpait son 95C : « Cette belle pouliche mesure 1 m 75 – il lui touche le sexe, la fait se retourner – a un cul superbe, de longues jambes, une bouche de pipeuse – il lui ouvre la bouche – et surtout de seins des seins. Penche toi petite garce qu’on les voit pendre. » Il la penche en avant, prend se seins à pleines mains. « Combien pour cette petite salope ? »Les mains se lèvent. Les maîtres essentiellement voient ce qu’ils peuvent investir. Un grand maître au regard assez inquiétant lance les enchères. Un homme très velu les reprend. Lui même a amené une belle brune qui a eu beaucoup de succès. Mehdi savoure le spectacle. Léopold n’en peut plus de ne pas pouvoir bander. Chrystèle mouille tellement que cela ruisselle entre ces cuisses. L’homme très poilu au physique de lutteur l’emporte. Et demande à acheter également Léopold. Le prix pour le couple semble convenir. Léopold n’aura pas à aller sur scène. Carlos emmène le couple qu’il tient en laisse au sous sol. Là où sont les instruments de domination.
Pas très rassurés Chrystèle et Léopold suivent donc Carlos au sous-sol. Là sont entreposés le matériel classique des dominateurs : croix de Saint-André, fouets, paddles, menotte, banc de soumission, etc. Un très beau matériel sur plus de 100 m2 qu’expérimentent déjà des soumis et leurs maîtres et maîtresses. Partout on entend cris et coups. Un jeune homme hurle sous les coups d’une maîtresse assez petite mais très brutale qui le fouette à coup de badine. Ses fesses, son dos sont déjà striés de rouge.
« Vous allez être bien sages mes agneaux », intime Carlos en sortant une bite déjà très grosse alors qu’il ne bande pas du tout. « Allez, montrez-moi comment vous sucez. » Comme une affamée Chrystèle plonge sur le sexe et Léopold la rejoint. Ensemble ils s’appliquent à donner consistance à ce qui se révèle un sexe de toute beauté, long, large, veineux, le sexe dont rêvent tous les soumis. Ils le lèchent, le sucent, ne le caressent pas, ils ont obligation de garder les mains dans le dos. Peu après Lilla leur mettra d’ailleurs des menottes après avoir demandé à Carlos : « Sont-ils bien obéissants ?
- Oui, très. Je ne regrette pas mon choix.
- Vous devriez les fouetter pour vous assurer de leur soumission.
- Bien sûr. Pouvez m’indiquer l’instrument le mieux indiqué ? »Quelques minutes plus tard, Léopold et Chrystèle comprennent mieux le sens du mot soumission. Tous deux sont attachés sur deux croix de Saint-André situées l’une à côté de l’autre. Après avoir commencé au martinet – deux même en simultané – Lilla et Carlos sont passés à la badine. Si le martinet était un peu dur à supporte la badine fait hurler Léopold. Beaucoup plus stoïque, Chrystèle ne dit presque rien. « Regardez cette esclave courageuse. Pas comme sa fiotte de mari », remarque Lilla en la pénétrant et en lui apportant un orgasme instantané. De son côté Carlos introduit un large godemiché dans les fesses de Léopold.
Détachés ils sont emmenés tous les deux sur les matelas posés dans un coin de la pièce. Les deux asiatiques sont déjà avec l’autre maître. Ils ont été copieusement fouettés et sont cote à cote en levrette à attendre la saillie. « Léopold, baise les », indique Lilla après avoir enlevé la cage de chasteté dont son sexe sort comme un diable de sa boite. « Vu ta taille, tu ne vas pas leur faire bien mal. Ou du bien », rit-elle. « Baise les ou je te fouette jusqu’au sang. » Pas très fier de lui Léopold met un préservatif. « Lui d’abord », dit Carlos. Léopold s’apprête là à baiser son premier homme. Jusqu’ici le baisé cela a toujours été lui. Il a une certaine appréhension mais Carlos le pousse en avant et il s’introduit dans les fesses glabres, très féminines du soumis. Derrière lui Carlos lui flatte les testicules. A côté de lui Lilla a mis un gode ceinture à Chystèle pour qu’elle baise la petite Asiatique.
Quelques minutes après les deux couples sont enfermés dans une pièce plongée dans le noir. Très excitée la petite Asiatique se place tout de suite dans les bras de Chrystèle et lui aspire les seins pendant que son mari va sucer Léopold, qui n’a pas joui un lacet lui enserrant les testicules pour l’en empêcher. La récréation sera de courte durée. Carlos et Mehdi entrent, accompagnés de deux autres hommes. Tous habillés en cuir, leurs sexes à l’air. Ils n’ont même pas besoin de parler pour que le couple d’Asiatiques aille les sucer. Chrystèle se précipite sur Mehdi. Il reste Carlos pour Léopold.
A genoux devant les quatre males, les mains dans le dos, ils s’appliquent à leur donner de la vigueur. Décidément Carlos est incroyablement pourvu constate Léopold, un peu inquiet de se dire qu’il va sans doute devoir y passer. « A quatre pattes les salopes ? » Les quatre soumis obtempèrent. Les voilà tous les quatre prêts à se faire enfin prendre. Chrystèle sent Mehdi contre elle. Son sexe qui s’introduit. Ses mains qui prennent ses cheveux à pleines mains. Carlos en fait autant avec Léopold mais celui-ci déguste au début de l’intromission. Les quatre soumis ne tardent pas à être secoués de partout pendant que les maîtres font quelques plaisanteries sur leurs aptitudes respectives. Puis échangent les rôles. Après Carlos c’est facile pour Léopold de prendre un autre sexe qui lui fait beaucoup plus de bien en fait. Quant à Chrystèle, si elle regrette Mehdi, le sexe de Carlos lui fait un bien fou.
La séance va durer longtemps. Chrystèle va s’empaler assise sur un troisième homme également très velu qui lui prend les seins à pleine mains. Les triture dans tous les sens et lui fait assez mal avant de l’emmener pour lui mettre des pinces que Lilla lui enlèvera plus tard en lui causant une douleur cuisante. Léopold sera lui mis à disposition des maîtres pour les sucer à la demande tout en prenant un plug monstrueux dans un anus déjà passablement martyrisé par les multiples pénétrations. La séance durera toute la nuit pour finir l’élection des meilleurs soumis/soumises. Le petit Asiatique l’emporte dans la catégorie soumis. Chrystèle chez les soumises.
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