Maison close
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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« 200, 400, je donne 600 » Ils s’arrachaient le droit de monter avec Chrystèle. Il faut dire qu’elle avait mis le paquet : un corset vert bouteille mettait en valeur son 95C, des talons de 10 centimètres son mètre 75, et n’oublions pas son fabuleux cul. Et un boa en plume autour du coup pour la touche années 30. Les autres « prostituées » du soir étaient loin d’être à la hauteur. « 800 je donne 800 » Les billets de Monopoly servaient ici de monnaie d’échanges pour acheter les faveurs des dix femmes présentes. En face autant d’hommes et autant de maris. La soirée promettait d’être chaude dans cette grande maison dédiée au libertinage dans laquelle un couple avait organisé cette soirée des prostituées.
L’idée avait tout de suite plu à Chrystèle et ils avaient profité de ce long week-end pour aller jusqu’en Bretagne retrouver les autres couples. Entre 30 et 50 ans il y avait donc très exactement dix couples et dix hommes qui eux ne dépassaient pas les 30 ans. C’était eux qui avaient le droit d’enchérir. Libre à ces dames de refuser. Ce que de toute évidence Chrystèle n’avait pas l’intention de faire. Tout de suite après la dernière enchère son amant du soir était venue la flatter et emmenait maintenant son trophée à l’étage, caressant doucement ses fesses.
A ce stade es hommes de ces dames avaient le droit de les suivre mais pas de participer. Léopold, lui-même habillé style gangsters année 30 comme tous hommes, décida donc de les suivre et d’admirer le spectacle. D’autres couples étaient déjà montés et plusieurs femmes se faisaient prendre en levrette dans le fond de la longue pièce qui tenait lieu de salle de baise selon les mots du propriétaire des lieux.
L’homme qui avait fait monter Chrystèle se prénommait Lilian. Un Breton pur jus d’un bon mètre 90 qui avait tout de suite plu à Chrystèle et qu’elle avait engagée à enchérir. Face à face ils s’embrassaient à mieux mieux. Lilian avait déjà entrepris de lui descendre le haut de son fourreau pour prendre ses seins à pleine mains. Il en faisait durcir les tétons d’une main tout en la pénétrant de l’autre. A ce stade Chrystèle mouillait comme une folle et se précipita vite pour extraire sa virilité du pantalon et, à genoux, le sucer. Sa bite était d’une belle taille et elle frémissait déjà à l’idée de se faire prendre.
Ce qui ne tarda pas. Il la fit se coucher sur le matelas juste à côté d’une toute petite brune qui jouissait sous les assauts d’un homme d’origine arabe qui se distraya vite de sa conquête pour flatter les seins de Chrystèle. Mais elle était surtout concentrée sur la pénétration de Lilian. Après lui avoir fermement ramené les jambes en arrière il la prenait avec enthousiasme. « Tu aimes ça, petite pute ?
- Oui bourre moi bien j’aime ça. » Pendant ce temps un autre homme s’était approché de Chrystèle et lui malaxait le sein gauche. Léopold ne pouvait qu’assister jusqu’à ce que l’homme d’origine arabe, un nommé Mehdi, lui demande de venir : « Tu veux la baiser ? », dit-il en indiquant la femme qu’il pénétrait jusque là. « Viens, je dois m’arrêter. Toi, mets toi en levrette. » Très obéissante celle qui s’appelait Camille et était absolument ravissante, la trentaine, un peu plate aux goûts de Léopold, obtempéra sans poser de question. Une fois un préservatif enfilé, Léopold se décida donc à la pénétrer. Juste à côté d’eux Lilian avait également positionné Chrystèle à quatre pattes et les deux couples agissaient maintenant de concert.
Très en verve, Chrystèle donnait de furieux coups de rein pour mieux encore profiter de la saillie. Un régime qui eut vite fait de faire jouir Nathan. Léopold en fit vite également de même.
Retour au rez-de-chaussée. Les hommes sans leur chemise, pour ces dames sans culotte ni soutien-gorge, le sexe et les seins apparents, beaucoup en corset, la plupart des couples et des hommes seuls étaient également redescendus.
« Merci, c’était superbe », assurait Lilian à Chrystèle en lui tendant une coupe de champagne. « Moi aussi », répondit-elle même si cela n’avait pas été le feu d’artifice attendu. En réalité elle avait flashé sur Mehdi et espérait bien qu’il allait tenter de la séduire pendant la suite de la soirée. Léopold discourait lui avec le mari de la femme qu’il venait de baiser. Très sympas ils racontaient leurs expériences libertines : « En Bretagne il n’y a pas beaucoup de clubs. C’est vraiment super qu’ils aient ouvert cette maison libertine ».
Les hôtes, Gabriel et Ludmilla, ne participaient pas aux réjouissances mais assuraient le buffet. La plupart des couples allaient dormir sur place. Les plus chanceux, comme Chrystèle et Léopold, dans leur propre chambre. Les autres dans la grande pièce qui se transformait en dortoir. Mais personne n’était là pour dormir. Et surtout pas Mehdi, qui vint discuter avec Chrystèle au grand dam de Lilian qui espérait sans doute remettre ça. « Vous êtes superbe.
- Merci. » Elle lui jetait des regards qui disaient « baise moi ». D’autant plus séduite qu’il lui rappelait un ami de Léopold avec lequel elle l’avait trompé il y a quelques années. « Tu as envie qu’on se retrouve seulement tous les deux », lui dit-il à l’oreille. Elle regarde son torse puissant et glabre, ses yeux de feux, imagine la taille de son sexe. Le sent quand il se rapproche d’elle et lui dit : « J’ai envie de toi. Viens ». Sous le regard impuissant de Lilian et amusé de Léopold il l’attire. Elle le suit. Les hommes admirent sa chute de rein. Les femmes sont jalouses de son sexe si joli.
Plusieurs couples sont déjà en action. Là haut les femmes sont aux prises au moins avec deux hommes et la place manque. Mehdi propose donc à Chrystèle de la prendre debout sur un meuble où elle peut s’asseoir à la hauteur de son sexe. Il sort alors un engin impressionnant pas sa circonférence et, après avoir demandé un préservatif XXL à l’assistance la pénètre. La suite Chrystèle la racontera ainsi à Léopold plus tard : « J’en ai eu le souffle coupé. Il m’a pénétré d’un coup et je me suis sentie écartelée. Et il a commencé à me pilonner. J’ai joui comme une folle quand il m’a fait descendre du meuble, retournée et, tu sais comme je préfère me faire prendre par derrière, brutalement emplie de nouveau tout en prenant mes seins à pleine main ».
Léopold n’assistait pas au spectacle, trop content d’avoir obtenu les faveurs d’une immense rousse à la peau blanche qui le suçait avec talent dans une chambre au second étage de la maison qui était celle où elle et son mari devaient dormir plus tard. Un mari qui la pénétrait, el levrette, en même temps qu’elle le suçait avant de lui proposer d’échanger les rôles. Elle avait vraiment un cul superbe quand il la prit à son tour. Une belle plante d’un mètre 80 qui avait gardé ses chaussures noires sur un corset également noir. Léopold aurait juste aimé qu’elle ai plus de seins mais s’en contentait très bien en lui pétrissant les fesses puis en lui remontant les pieds pour la tenir par les pieds. A l’autre extrémité de la belle son mari, très excité par la scène, en jouit dans sa bouche en lui tenant la tête et en l’insultant : « Tu aimes ça grosse bute te prendre des bites d’inconnus. Tu vas voir ce que je vais te mettre à la maison. Salope, pute, chienne… »Elle avalait sa semence en silence et Léopold jouit à son tour quand Chrystèle les rejoignit et lui tapa sur la fesse avant de lui enfoncer un doigt dans le cul : « C’est bien mon petit mari, tu la baises bien. » Derrière le beau Mehdi, toujours nu, faisait admirer sa plastique : « Ca te dérange s’il dort avec nous. Il pensait rentrer mais il se sent un peu fatigué pour faire 100 kilomètres. Le lit est grand… » Deux heures plus calmes plus tard, passées en discussions où ils avaient sympathisé avec Mehdi, les trois se partageaient le grand lit. A baldaquins ! Epuisée Chrystèle avait imposé aux deux hommes de dormir cote à cote, Léopold contre elle. Ce dernier était donc coincé entre elle et Mehdi qui, tous deux lui tournaient le dos. Tous trois étaient totalement nus. Leur chambre donnait sur le dortoir dans lequel tout était maintenant calmes, les couples épuisés par le sexe dormant alors que tous les autres hommes seuls étaient partis.
Au petit matin Lépold sentit le sexe de Mehdi bandé contre ses fesses. Les trois s’étaient en effet mis en position « petite cuillère ». Léopold en érection derrière Chrystèle et Mehdi derrière lui. Il n’osait pas bouger mais sentait l’autre homme respirer comme s’il était réveillé. Ce que confirma un baiser dans le coup puis une main qui lui prenait son sexe à pleine main. Léopold décida donc de passer également à l’action en caressant Mehdi. Il sentait ses jambes poilues contre lui. Soudain Mehdi le retourna pour l’embrasser. Lui monta dessus. Son sexa bandait férocement et il avança jusqu’à lui mettre dans la bouche. Réveillée Chrystèle s’approcha des deux hommes. La voyant Mehdi leur demanda, intima, de le sucer ensemble. Ce qu’ils firent.
« Prépare ton homme, je vais le prendre. » De plus en plus dominant Mehdi tendit un gel à Chrystèle qui s’empressa de mettre Léopold à quatre pattes et de le pénétrer. « J’ai bien aimé quand tu lui as mis un doigt dans le cul hier. Là ca va être un autre calibre. Ca va te plaire. Ca t’a plu toi ?
- Oh ça oui », répondit Chrystèle tout en l’embrassant à pleine bouche puis en lui mettant un préservatif. Devant eux Léopold attend que le beau male qui les a conquis prenne son dû. La pénétration commence enfin. Comme avant avec Chrystèle, Mehdi assure sa prise sur les fesses si féminines, la peau si douce et glabre de Léopold. Il s’enfonce peu à peu. Comme Chrystèle il a le souffle couplé par la taille du mas qui l’honore. Un, deux, dix, vingt centimètres le font partir. Il gémit. D’autant plus que Chrystèle et Mehdi le masturbent. « Fais taire ta salope, il va réveiller tout le monde », demande Mehdi à Chrystèle qui enfonce son bas dans la bouche de son compagnon pendant que Mehdi le secoue dans tous les sens puis décide de jouir dans sa bouche : « Tu vas bien tout avaler. Comme ta salope de femme. Vous faites un beau couple de salopes ». Et il jouit longuement dans la bouche de Léopold qui, pour la première fois, avale la semence d’un homme.
A suivre…
L’idée avait tout de suite plu à Chrystèle et ils avaient profité de ce long week-end pour aller jusqu’en Bretagne retrouver les autres couples. Entre 30 et 50 ans il y avait donc très exactement dix couples et dix hommes qui eux ne dépassaient pas les 30 ans. C’était eux qui avaient le droit d’enchérir. Libre à ces dames de refuser. Ce que de toute évidence Chrystèle n’avait pas l’intention de faire. Tout de suite après la dernière enchère son amant du soir était venue la flatter et emmenait maintenant son trophée à l’étage, caressant doucement ses fesses.
A ce stade es hommes de ces dames avaient le droit de les suivre mais pas de participer. Léopold, lui-même habillé style gangsters année 30 comme tous hommes, décida donc de les suivre et d’admirer le spectacle. D’autres couples étaient déjà montés et plusieurs femmes se faisaient prendre en levrette dans le fond de la longue pièce qui tenait lieu de salle de baise selon les mots du propriétaire des lieux.
L’homme qui avait fait monter Chrystèle se prénommait Lilian. Un Breton pur jus d’un bon mètre 90 qui avait tout de suite plu à Chrystèle et qu’elle avait engagée à enchérir. Face à face ils s’embrassaient à mieux mieux. Lilian avait déjà entrepris de lui descendre le haut de son fourreau pour prendre ses seins à pleine mains. Il en faisait durcir les tétons d’une main tout en la pénétrant de l’autre. A ce stade Chrystèle mouillait comme une folle et se précipita vite pour extraire sa virilité du pantalon et, à genoux, le sucer. Sa bite était d’une belle taille et elle frémissait déjà à l’idée de se faire prendre.
Ce qui ne tarda pas. Il la fit se coucher sur le matelas juste à côté d’une toute petite brune qui jouissait sous les assauts d’un homme d’origine arabe qui se distraya vite de sa conquête pour flatter les seins de Chrystèle. Mais elle était surtout concentrée sur la pénétration de Lilian. Après lui avoir fermement ramené les jambes en arrière il la prenait avec enthousiasme. « Tu aimes ça, petite pute ?
- Oui bourre moi bien j’aime ça. » Pendant ce temps un autre homme s’était approché de Chrystèle et lui malaxait le sein gauche. Léopold ne pouvait qu’assister jusqu’à ce que l’homme d’origine arabe, un nommé Mehdi, lui demande de venir : « Tu veux la baiser ? », dit-il en indiquant la femme qu’il pénétrait jusque là. « Viens, je dois m’arrêter. Toi, mets toi en levrette. » Très obéissante celle qui s’appelait Camille et était absolument ravissante, la trentaine, un peu plate aux goûts de Léopold, obtempéra sans poser de question. Une fois un préservatif enfilé, Léopold se décida donc à la pénétrer. Juste à côté d’eux Lilian avait également positionné Chrystèle à quatre pattes et les deux couples agissaient maintenant de concert.
Très en verve, Chrystèle donnait de furieux coups de rein pour mieux encore profiter de la saillie. Un régime qui eut vite fait de faire jouir Nathan. Léopold en fit vite également de même.
Retour au rez-de-chaussée. Les hommes sans leur chemise, pour ces dames sans culotte ni soutien-gorge, le sexe et les seins apparents, beaucoup en corset, la plupart des couples et des hommes seuls étaient également redescendus.
« Merci, c’était superbe », assurait Lilian à Chrystèle en lui tendant une coupe de champagne. « Moi aussi », répondit-elle même si cela n’avait pas été le feu d’artifice attendu. En réalité elle avait flashé sur Mehdi et espérait bien qu’il allait tenter de la séduire pendant la suite de la soirée. Léopold discourait lui avec le mari de la femme qu’il venait de baiser. Très sympas ils racontaient leurs expériences libertines : « En Bretagne il n’y a pas beaucoup de clubs. C’est vraiment super qu’ils aient ouvert cette maison libertine ».
Les hôtes, Gabriel et Ludmilla, ne participaient pas aux réjouissances mais assuraient le buffet. La plupart des couples allaient dormir sur place. Les plus chanceux, comme Chrystèle et Léopold, dans leur propre chambre. Les autres dans la grande pièce qui se transformait en dortoir. Mais personne n’était là pour dormir. Et surtout pas Mehdi, qui vint discuter avec Chrystèle au grand dam de Lilian qui espérait sans doute remettre ça. « Vous êtes superbe.
- Merci. » Elle lui jetait des regards qui disaient « baise moi ». D’autant plus séduite qu’il lui rappelait un ami de Léopold avec lequel elle l’avait trompé il y a quelques années. « Tu as envie qu’on se retrouve seulement tous les deux », lui dit-il à l’oreille. Elle regarde son torse puissant et glabre, ses yeux de feux, imagine la taille de son sexe. Le sent quand il se rapproche d’elle et lui dit : « J’ai envie de toi. Viens ». Sous le regard impuissant de Lilian et amusé de Léopold il l’attire. Elle le suit. Les hommes admirent sa chute de rein. Les femmes sont jalouses de son sexe si joli.
Plusieurs couples sont déjà en action. Là haut les femmes sont aux prises au moins avec deux hommes et la place manque. Mehdi propose donc à Chrystèle de la prendre debout sur un meuble où elle peut s’asseoir à la hauteur de son sexe. Il sort alors un engin impressionnant pas sa circonférence et, après avoir demandé un préservatif XXL à l’assistance la pénètre. La suite Chrystèle la racontera ainsi à Léopold plus tard : « J’en ai eu le souffle coupé. Il m’a pénétré d’un coup et je me suis sentie écartelée. Et il a commencé à me pilonner. J’ai joui comme une folle quand il m’a fait descendre du meuble, retournée et, tu sais comme je préfère me faire prendre par derrière, brutalement emplie de nouveau tout en prenant mes seins à pleine main ».
Léopold n’assistait pas au spectacle, trop content d’avoir obtenu les faveurs d’une immense rousse à la peau blanche qui le suçait avec talent dans une chambre au second étage de la maison qui était celle où elle et son mari devaient dormir plus tard. Un mari qui la pénétrait, el levrette, en même temps qu’elle le suçait avant de lui proposer d’échanger les rôles. Elle avait vraiment un cul superbe quand il la prit à son tour. Une belle plante d’un mètre 80 qui avait gardé ses chaussures noires sur un corset également noir. Léopold aurait juste aimé qu’elle ai plus de seins mais s’en contentait très bien en lui pétrissant les fesses puis en lui remontant les pieds pour la tenir par les pieds. A l’autre extrémité de la belle son mari, très excité par la scène, en jouit dans sa bouche en lui tenant la tête et en l’insultant : « Tu aimes ça grosse bute te prendre des bites d’inconnus. Tu vas voir ce que je vais te mettre à la maison. Salope, pute, chienne… »Elle avalait sa semence en silence et Léopold jouit à son tour quand Chrystèle les rejoignit et lui tapa sur la fesse avant de lui enfoncer un doigt dans le cul : « C’est bien mon petit mari, tu la baises bien. » Derrière le beau Mehdi, toujours nu, faisait admirer sa plastique : « Ca te dérange s’il dort avec nous. Il pensait rentrer mais il se sent un peu fatigué pour faire 100 kilomètres. Le lit est grand… » Deux heures plus calmes plus tard, passées en discussions où ils avaient sympathisé avec Mehdi, les trois se partageaient le grand lit. A baldaquins ! Epuisée Chrystèle avait imposé aux deux hommes de dormir cote à cote, Léopold contre elle. Ce dernier était donc coincé entre elle et Mehdi qui, tous deux lui tournaient le dos. Tous trois étaient totalement nus. Leur chambre donnait sur le dortoir dans lequel tout était maintenant calmes, les couples épuisés par le sexe dormant alors que tous les autres hommes seuls étaient partis.
Au petit matin Lépold sentit le sexe de Mehdi bandé contre ses fesses. Les trois s’étaient en effet mis en position « petite cuillère ». Léopold en érection derrière Chrystèle et Mehdi derrière lui. Il n’osait pas bouger mais sentait l’autre homme respirer comme s’il était réveillé. Ce que confirma un baiser dans le coup puis une main qui lui prenait son sexe à pleine main. Léopold décida donc de passer également à l’action en caressant Mehdi. Il sentait ses jambes poilues contre lui. Soudain Mehdi le retourna pour l’embrasser. Lui monta dessus. Son sexa bandait férocement et il avança jusqu’à lui mettre dans la bouche. Réveillée Chrystèle s’approcha des deux hommes. La voyant Mehdi leur demanda, intima, de le sucer ensemble. Ce qu’ils firent.
« Prépare ton homme, je vais le prendre. » De plus en plus dominant Mehdi tendit un gel à Chrystèle qui s’empressa de mettre Léopold à quatre pattes et de le pénétrer. « J’ai bien aimé quand tu lui as mis un doigt dans le cul hier. Là ca va être un autre calibre. Ca va te plaire. Ca t’a plu toi ?
- Oh ça oui », répondit Chrystèle tout en l’embrassant à pleine bouche puis en lui mettant un préservatif. Devant eux Léopold attend que le beau male qui les a conquis prenne son dû. La pénétration commence enfin. Comme avant avec Chrystèle, Mehdi assure sa prise sur les fesses si féminines, la peau si douce et glabre de Léopold. Il s’enfonce peu à peu. Comme Chrystèle il a le souffle couplé par la taille du mas qui l’honore. Un, deux, dix, vingt centimètres le font partir. Il gémit. D’autant plus que Chrystèle et Mehdi le masturbent. « Fais taire ta salope, il va réveiller tout le monde », demande Mehdi à Chrystèle qui enfonce son bas dans la bouche de son compagnon pendant que Mehdi le secoue dans tous les sens puis décide de jouir dans sa bouche : « Tu vas bien tout avaler. Comme ta salope de femme. Vous faites un beau couple de salopes ». Et il jouit longuement dans la bouche de Léopold qui, pour la première fois, avale la semence d’un homme.
A suivre…
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