Manon, la petite salope de Jules. Épisode 11/18
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Manon, la petite salope de Jules. Épisode 11/18
Manon eut du mal à s’endormir cette nuit-là, si elle n’avait pas souffert lors de la sodomie vécue pour la première fois avec Jules, elle avait un peu mal au cul. Ce n’était pas les claques reçues sur les fesses mais bien son anus qui la titillait, toutefois la douleur était supportable. Elle repensait à ce que lui avait ordonné Jules, la veille avant son départ, elle n’avait pas pensé du tout à cela, même si elle ne le refusait pas. En effet, il ne voulait plus qu’elle porte un seul sous-vêtement quel qu’il soit, chez elle, chez lui, ni même à l’extérieur.
D’autre part, heureuse de se retrouver seule après le départ de sa mère, elle avait prévu de vivre avec lui, tout au moins pendant le confinement, mais pas du tout. Elle ne pouvait monter chez lui que pour faire son ménage, son repassage et tous ses repas et à des heures imposées. Elle serait désormais sa « bonniche » comme il avait dit. Elle devait également tenir l’appartement de sa mère à la perfection. Tout devait être rangé, le linge lavé et repassé et aucune poussière n’était tolérée. Il passerait toutes les semaines inspecter.
En ce qui concernait le sexe, il ne la baiserait que lorsqu’il en aurait décidé et elle ne devait plus se masturber sans son autorisation. Elle devait tous les matins, venir le réveiller en lui faisant une fellation et avaler son sperme sans en mettre une seule goutte à côté. Puis lui apporter le petit déjeuner au lit, avant de faire la chambre à fond, aspirateur compris, pendant que lui, faisait sa musculation et ses abdominaux au salon, avant d’aller courir dans le parc pendant une heure.
Elle devait donc aller à la boulangerie 6h45 afin d’être à la maison à 7 heures pile. Pendant son footing, elle devait faire la vaisselle, ranger son matériel de sport, nettoyer le salon avant qu’il ne rentre pour donner ses cours sur internet. Elle ne pouvait revenir qu’à 11h30 préparer le repas, le servir, refaire la vaisselle et nettoyer la salle de bain avant de redescendre chez elle à 14 heures. Entre temps, elle pouvait sortir à l’extérieur de l’immeuble, qu’avec son consentement, mais à chaque sortie même pour faire les courses, elle devait lui dire où elle allait. Elle ne pouvait donc plus aller voir sa copine, habitant à cent mètres de chez elle.
Pendant les quatre premiers jours, Manon avait respecté à la lettre toutes les consignes de Jules. Même si elle avait pris quelques petites fessées pour ses retards ou un ou deux oublis lorsqu’elle fit les courses, la dernière qu’elle prit fut bien plus violente lorsqu’il s’était aperçu qu’elle était sortie au supermarché avec une petite culotte et qu’elle n’était pas rentrée tout de suite. Jules l’avait malmenée jusqu’à ce qu’elle lui avoue qu’elle était passé chez Lydia sa meilleure amie.
Ce soir-là, ses cuisses et ses fesses la brulait, Jules avait frappé fortement. Bizarrement malgré la douleur, lorsqu’il avait passé sa main douce sur la rougeur de sa peau, elle mouilla, sa petite chatte était trempée, à croire qu’elle aimait cela. Depuis quelques jours, elle donnait l’impression qu’elle faisait exprès d’être en retard afin de prendre une fessée. Jules s’en était aperçu et voulant passer la vitesse supérieure il lui montra le martinet, mais n’ayant jamais fait cela, il s’était dit qu’il remettrait ça à plus tard :
— Bientôt, ce sera ta punition. Tu voulais devenir ma chose, ma soumise, le veux-tu encore ?
— Oui Jules ! Je suis déjà ta petite salope…Je ne te l’ai pas encore prouvé ?
— Je reconnais que tu m’impressionne vraiment, mais es-tu capable d’aller encore plus loin ?
— Que veux-tu dire ? Ce que je veux c’est ton plaisir uniquement. Ce que tu désires, je le désire aussi.
— Le moment voulu. Pour le moment continue comme ça, tu es presque parfaite. Par contre, dorénavant, dit-moi « vous » et « Monsieur Pennys.
Manon n’était pas contrariante, elle obéissait et ce jeu lui plaisait beaucoup, cela l’excitait même. Ce fut comme les claques sur les fesses, Jules ne frappait pas de toutes ses forces et adorait la caresse qui s’en suivait. Continuant à respecter les consignes, elle répondit simplement :— Merci Monsieur Pennys ! Puis-je à mon tour, vous demander une faveur ?
— Dis toujours, je réfléchirai avant de donner mon aval ou mon refus.
Manon tenait beaucoup à sa ligne et cela faisait plus d’une semaine qu’elle n’était pas allée au parc faire, elle aussi son footing, elle aimerait pouvoir le faire au moins deux fois par semaine comme par le passé. Jules n’avait pas répondu et attendait qu’elle prouve sa soumission. Pour le moment, il était très étonné, cette petite coquine de Manon lui montait à la tête, elle était tout le contraire de Tamara pour son plus grand bonheur.
Sa princesse des îles lui ayant laissé encore un espoir, il tentait de renouer avec elle. Néanmoins, il se sentait pris au piège, Manon était bel et bien une bombe sexuelle et se montrait d’une docilité sans pareil. Rien à voir avec toutes les filles qu’il avait pu connaitre. Il se demandait, comment allait-il pouvoir se passer d’elle, lorsque Tamara reviendrait au moment du déconfinement. Pour le moment tout allait pour le mieux et il ne voulait plus trop y penser.
Comme Manon fut exemplaire pendant toute la semaine, Jules venait d’accepter sa demande. Ce dimanche matin, après qu’elle l’ait réveillé avec sa fellation magistrale, il lui demanda de s’allonger un instant à ses côtés, Manon était aux anges et lorsqu’il lui annonça la bonne nouvelle, elle s’était penchée sur lui et l’embrassa tendrement : « je t’aime Jules » Lui avait-elle dit sincèrement. Jules appréciait de plus en plus sa docile petite salope. Il s’aperçut que c’était beaucoup plus que de l’affection et se demandait s’il ne l’aimait pas mais c’était un peu trop tôt pour lui de se l’avouer. Avant de se lever pour lui apporter le café au lit, Jules lui dit d’attendre un peu qu’il avait quelque chose à lui dire. Lorsqu’il lui avait expliqué ce qu’il avait l’intention de faire, pendant ce footing, Manon était toute excitée et était partante, ce nouveau jeu lui plaisait beaucoup.
Un peu plus tard, pendant que Jules faisait des pompes, en slip et torse nu sur le tapis du salon, elle avait laissé l’aspirateur fonctionné et se plaça dans l’encadrement de la porte entrouverte de la chambre, afin de pouvoir l’espionner tout en se caressant. Elle savait qu’elle prendrait une fessée s’il la voyait mais c’était le but recherché. En effet, tout de suite, celui-ci s’en étant aperçu, se releva, s’assit sur le fauteuil et l’appela :— Non Manon ! Tu viens de déroger à la règle, tu mérites une punition. Tu iras courir le cul tout rouge.
Manon savait ce qui l’attendait et ne craignait plus les fessées. Elle pencha tout son corps sur ses genoux, posa ses bras au sol et attendit, le cul relevé :— Allez-y Monsieur Pennys, je suis une sale petite fille qui mérite d’être punie.
Jules souriait, il n’en revenait pas, cette Manon ne se plaignait jamais et acceptait tout, à croire que ce jeu lui plaisait. C’était un pur bonheur d’être avec elle. Ne voulant pas rire, il reprit son sérieux et lui mit trois claques sur chaque fesse. Manon n’avait poussé que quelques petits « Ah ! » au contact de sa paume tendue, puis lorsqu’il lui caressa du plat de la main ses rougeurs, elle commençait à ne plus ressentir la douleur, c’était presque du plaisir, à en croire ce qu’elle dit :— Merci Monsieur Pennys, je l’ai bien mérité.
— Bon ! Va te préparer, nous allons courir au parc.
Jules avait remarqué que depuis le confinement, de nombreux hommes, beaucoup à la retraite venaient passer au parc un moment à cette heure-là, histoire de se dégourdir les jambes. Manon était redescendue se vêtir comme Jules lui avait demandée. Elle portait une petite jupe qu’elle mettait lorsqu’elle faisait du tennis, sans rien dessous et un débardeur trop large, laissant voir ses seins par la large échancrure de ce petit haut blanc. Lorsqu’elle courait ainsi vêtue, les badauds venant prendre l’air, las de rester à la maison pendant ce confinement, la regardaient tous avec envie, faire son footing, dévoilant ses jolies fesses nues et sa belle poitrine qui ballottait, à chaque foulée. Manon venait de découvrir qu’elle prenait plaisir à s’exhiber, elle était très excitée de se montrer ainsi à tous ces types qui la mataient sans aucune gêne mais c’était le but.
Jules était aux anges, courant plus vite qu’elle, il l’avait doublée plusieurs fois et à chaque dépassement, il regardait tous ses voyeurs restants assis sur leur banc, en train de commenter avec leurs voisins, à chaque passage de Manon. Il aurait aimé entendre ce qu’ils disaient, mais il s’en doutait bien. Après une quarantaine de minutes de footing, Jules s’arrêta et se mit assis sur un banc, non loin des quelques personnes qui étaient restés là, attendant le passage de la jeune exhibitionniste.
Jules l’appela et lui dit de se mettre assise sur lui, ils avaient répété dans la cuisine ce qu’elle devait faire, ils étaient tous les deux attentifs, en observant, ils ne virent aucun gamin à l’horizon. Sachant que tout devait être subjectif, elle remonta sa jupette délicatement et se frotta le cul sur son sexe afin de le faire bander, il n’avait pas fallu longtemps pour que sa queue soit en érection, la situation étant bien trop excitante, pour lui comme pour elle, c’était la première fois qu’ils allaient baiser en public. Manon n’hésitait pas à monter et descendre sur sa verge, tout en gémissant. Lorsqu’elle cria sa joie, Jules éjacula en râlant de plaisir mais également pour celui des voyeurs qui avaient pu deviner ce qui s’était passé sous la jupette.
Pour ce jour de repos, Jules avait tenu à ce que Manon, ne fasse rien d’autre que l’amour, il voulait la récompenser de tous les efforts qu’elle faisait. Comme le premier jour, ils avaient renouvelé toutes les positions et tous les lieux insolites de l’appartement pour baiser sans retenu et surtout sauvagement. Manon était devenue en une semaine la reine du sexe, elle était tout simplement douée. Dotée d’une souplesse, d’une agilité et d’une grande habilité, elle était capable de se faire prendre n’importe où et surtout dans des conditions incroyables. Pour la sodomie, cela ne pouvait se faire qu’en fin de soirée et en levrette, c’était le choix de Jules et seulement s’il en avait envie. Bien entendu, Manon devait redescendre chez elle pour la nuit. Avant qu’elle ne le quitte, il lui avait demandé si ce qu’elle endurait lui plaisait vraiment et il fut assez surpris de sa réponse :
— Pour être franche, j’avais pensé vivre avec toi comme un vrai couple mais ton choix fut tout autre. J’adore être à tes côtés, baiser avec toi. J’apprécie beaucoup les petits jeux que nous faisons ensemble. Te faire le ménage, tes repas à heures imposées ne me dérange plus trop, même si j’avais aspiré à autre chose. Ce sont les nuits que je passe seule qui me dérangent le plus. Néanmoins à présent, j’accepte cet état de fait et n’en demande pas plus car je t’aime tant Jules.
Tout ceci n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd, il en prit note et si un jour il devait la remercier, il l’inviterait à passer une nuit avec lui. Son amour pour Manon semblait augmenter de jour en jour, Jules prenait beaucoup de plaisir avec elle depuis une dizaine de jours, il n’en avait pas oublié Tamara pour autant. Tous les jours ils correspondaient par mails et quelques fois par téléphone, lorsqu’ils le pouvaient, vu le décalage horaire. Pourtant, Tamara sentait que depuis deux, trois jours, il ne lui disait plus de la même façon ses : « je t’aime » ou « reviens moi vite », il semblait beaucoup plus distant. De son côté, elle s’était rapprochée de Grégoire, son ami d’enfance avec lequel elle se sentait bien, sans en être amoureuse.
Le jeudi soir, Jules n’ayant pas répondu à son dernier mail, Tamara fut inquiète, elle était très triste et en parla à Grégoire qui essayait de la rassurer mais par quelques sous-entendus bien placés, il disait à son amie que les hommes ou les femmes avaient des besoins physiques. Que malgré leur amour, s’ils leurs arrivaient d’être séparés trop longtemps, il était possible que sexuellement, ils pouvaient se satisfaire dans les bras d’un autre ou d’une autre, sans qu’il y ait forcément de l’amour. Ce n’était que du désir sexuel. Grégoire la voyant triste, la prit dans ses bras pour une tendre étreinte, il la caressait, la câlinait sans l'embrasser tout en parlant :— Tu crois qu’il me trompe ? C’est ce que tu veux m’expliquer ?
— Regarde nous Tamara, que faisons-nous ensemble ?
Prise dans un élan de rage mais surtout par manque d’affection, elle se blottit contre lui tendrement. S’apercevant de son erreur, Tamara s’excusa et Grégoire lui fit une bise sur la joue, espérant toujours qu’elle pourrait bientôt se donner à lui. Il en était encore amoureux et il avait plus d’un mois pour y parvenir. Elle avait attendu 18 heures en Martinique, 23 heures en France pour joindre son chéri par téléphone.
Chez Jules, Manon était sur le tapis du salon dans la position que l’on nomme en gymnastique « le pont ». Les jambes écartées, les pieds et les mains posés bien à plat sur le sol, le corps tendu en arc de cercle, la tête à l’envers, offrant sa petite chatte à Jules qui, placé devant elle, s’en donnait à cœur joie. Il la ramonait sauvagement avec de puissants coups de rein, la maintenant fermement par les hanches, lorsque le téléphone, posé sur la table basse sonna. Jules le saisit d’une main et s’apercevant que l’appel provenait de Tamara, décrocha, tout en continuant ses va et vient :— Allo ! Ma princesse ! Comme… je suis content de t’entendre.
— Tu me manques mon chéri. Que fais-tu en ce moment ? Pourquoi n’as-tu pas répondu à mon mail ?
Positionnée dans une posture inconfortable, Manon fit signe à Jules de la relever. D’un bras, il la saisit comme une plume et la releva en laissant son sexe fiché en elle, tout en continuant de parler à Tamara. Elle s’accrocha à lui en le prenant par le cou et en lui enserrant les jambes autour de la taille. Manon tenait le portable à l’oreille de Jules, pendant qu’ils continuaient à baiser. Elle montait et descendait le long de sa verge lui imposant un rythme si soutenu qu’il en gémissait autant qu’elle :— Que fais-tu mon chéri en ce moment, c’est quoi ces bruits ?
— Je suis dans mon lit, je me masturbe en pensant que je te fais l’amour. Lui dit-il. Tout en lui expliquant en détail, comment il était en train de prendre Manon.
Tamara à l’autre bout du fil, devenait toute chose, en entendant tous ses râles et gémissements, elle devenait très excitée et posait de nombreuses questions en se prenant au jeu. Jules était sur le point de jouir, Manon avait accélérer encore le mouvement et se mordait les lèvres afin de ne pas crier. N’ayant pu se retirer à temps, Jules lâcha tout ce qu’il avait et éjacula à l’intérieur du vagin de Manon, en poussant un grand râle :— Oh c’est bon ! Man…chérie. Se reprenant immédiatement.
Il allait faire une énorme erreur en prononçant le prénom de Manon qui n’avait pu se retenir de rire en posant la main sur le micro du téléphone. « Je ne t’entends plus Jules que ce passe-t-il ? » Criait la jeune Martiniquaise. Il déposa sa « petite salope » sur le sol, lui fit une bise discrètement et reprit la conversation avec Tamara :— Oh ma princesse, tu viens de me faire jouir comme jamais. Je suis crevé, on s’appelle demain, je n’ai plus de batterie.
Toujours assise sur le canapé à côté de Grégoire, Tamara posa son portable, elle était triste d’être à des milliers de kilomètres de Jules. Grégoire en profita pour la reprendre dans ses bras puis se laissant emporter, Tamara accepta son baiser. Cette fois, elle y mettait du cœur et de l’énergie avec sa langue, ce qu’elle venait de vivre en direct par téléphone l’avait rendu chaude comme de la braise, pour le plus grand bonheur de Grégoire, avant de le repousser gentiment en disant : « Non ! Je ne peux pas ! » puis continua à lui poser des questions :— Tu crois qu’un flirt et quelques caresses, sont considérés comme tromper celui qu’on aime, Grégoire ?
— Perso, Non ! Comme je te l’ai dit tout à l’heure, l’être humain a besoin de temps à autres, de petits câlins.
Pendant ce temps-là dans l’appartement de Jules, ils avaient ri tous les deux pendant plus d’un quart d’heure, la situation dans laquelle ils s’étaient trouvés étaient tellement cocasse qu’ils en riaient encore. Ils étaient restés allongés, nus sur le tapis du salon, blottis l’un contre l’autre. Jules revint sur son éjaculation interne et s’en excusa auprès de Manon qui répondit d’un ton ironique, poursuivant sa complicité dans sa soumission :— Ne vous inquiétez pas Monsieur Pennys, je prends la pilule.
Ils avaient une nouvelle fois bien ri et s’embrassèrent un long moment. Manon n’avait jamais été aussi heureuse que depuis qu’elle fréquentait son prof adoré, même si quelques fois il était un peu trop sévère. Néanmoins elle prenait cela comme un jeu entre eux, en se donnant à lui comme sa chose. Elle savait que cela faisait plaisir à son homme et sa plus grande joie à elle, était de le rendre le plus heureux possible.
Il était bientôt l’heure qu’elle retrouve son lit à l’étage inférieur, Jules lui demanda avant qu’elle le ne quitte :— Ça te dirait de faire l’amour à deux hommes en même temps ?
— Si tu fais partie d’un des deux hommes, pourquoi pas. Enfin !!! Je ne sais pas…Monsieur Pennys.
— Tu n’as jamais fantasmé de te faire prendre en double pénétration ?
Jules ne se trompait pas, c’était bien le cas, Manon fantasmait bien sur le sujet, malgré cela, même si elle était prête à beaucoup de chose pour satisfaire Jules, elle ne répondit pas dans l’affirmative, elle resta vague en disant qu’elle n’était pas contre mais avait encore certains doutes. Jules savait que sa « petite salope » qu’il appréciait de plus en plus en avait déjà fait beaucoup et ne voulant pas aller trop vite et trop loin avec elle, lui déposa un petit baiser sur la bouche en disant :— Ce n’est pas grave ma puce, nous avons le temps pour y réfléchir. Au fait n’oublie pas que ta mère vient avec Richard diner demain soir…— Oui Monsieur Pennys ! Merci ! Vous m’avez fait passer une excellente journée. À demain 7 heures.
— Non Manon ce soir tu dors avec moi.
— Tu es un véritable amour mon chéri. Non ! Monsieur Pennys mon cul est votre disposition.
Manon et Jules prirent encore beaucoup de plaisir ce soir-là avant de s’endormir profondément jusqu’au petit matin.
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
D’autre part, heureuse de se retrouver seule après le départ de sa mère, elle avait prévu de vivre avec lui, tout au moins pendant le confinement, mais pas du tout. Elle ne pouvait monter chez lui que pour faire son ménage, son repassage et tous ses repas et à des heures imposées. Elle serait désormais sa « bonniche » comme il avait dit. Elle devait également tenir l’appartement de sa mère à la perfection. Tout devait être rangé, le linge lavé et repassé et aucune poussière n’était tolérée. Il passerait toutes les semaines inspecter.
En ce qui concernait le sexe, il ne la baiserait que lorsqu’il en aurait décidé et elle ne devait plus se masturber sans son autorisation. Elle devait tous les matins, venir le réveiller en lui faisant une fellation et avaler son sperme sans en mettre une seule goutte à côté. Puis lui apporter le petit déjeuner au lit, avant de faire la chambre à fond, aspirateur compris, pendant que lui, faisait sa musculation et ses abdominaux au salon, avant d’aller courir dans le parc pendant une heure.
Elle devait donc aller à la boulangerie 6h45 afin d’être à la maison à 7 heures pile. Pendant son footing, elle devait faire la vaisselle, ranger son matériel de sport, nettoyer le salon avant qu’il ne rentre pour donner ses cours sur internet. Elle ne pouvait revenir qu’à 11h30 préparer le repas, le servir, refaire la vaisselle et nettoyer la salle de bain avant de redescendre chez elle à 14 heures. Entre temps, elle pouvait sortir à l’extérieur de l’immeuble, qu’avec son consentement, mais à chaque sortie même pour faire les courses, elle devait lui dire où elle allait. Elle ne pouvait donc plus aller voir sa copine, habitant à cent mètres de chez elle.
Pendant les quatre premiers jours, Manon avait respecté à la lettre toutes les consignes de Jules. Même si elle avait pris quelques petites fessées pour ses retards ou un ou deux oublis lorsqu’elle fit les courses, la dernière qu’elle prit fut bien plus violente lorsqu’il s’était aperçu qu’elle était sortie au supermarché avec une petite culotte et qu’elle n’était pas rentrée tout de suite. Jules l’avait malmenée jusqu’à ce qu’elle lui avoue qu’elle était passé chez Lydia sa meilleure amie.
Ce soir-là, ses cuisses et ses fesses la brulait, Jules avait frappé fortement. Bizarrement malgré la douleur, lorsqu’il avait passé sa main douce sur la rougeur de sa peau, elle mouilla, sa petite chatte était trempée, à croire qu’elle aimait cela. Depuis quelques jours, elle donnait l’impression qu’elle faisait exprès d’être en retard afin de prendre une fessée. Jules s’en était aperçu et voulant passer la vitesse supérieure il lui montra le martinet, mais n’ayant jamais fait cela, il s’était dit qu’il remettrait ça à plus tard :
— Bientôt, ce sera ta punition. Tu voulais devenir ma chose, ma soumise, le veux-tu encore ?
— Oui Jules ! Je suis déjà ta petite salope…Je ne te l’ai pas encore prouvé ?
— Je reconnais que tu m’impressionne vraiment, mais es-tu capable d’aller encore plus loin ?
— Que veux-tu dire ? Ce que je veux c’est ton plaisir uniquement. Ce que tu désires, je le désire aussi.
— Le moment voulu. Pour le moment continue comme ça, tu es presque parfaite. Par contre, dorénavant, dit-moi « vous » et « Monsieur Pennys.
Manon n’était pas contrariante, elle obéissait et ce jeu lui plaisait beaucoup, cela l’excitait même. Ce fut comme les claques sur les fesses, Jules ne frappait pas de toutes ses forces et adorait la caresse qui s’en suivait. Continuant à respecter les consignes, elle répondit simplement :— Merci Monsieur Pennys ! Puis-je à mon tour, vous demander une faveur ?
— Dis toujours, je réfléchirai avant de donner mon aval ou mon refus.
Manon tenait beaucoup à sa ligne et cela faisait plus d’une semaine qu’elle n’était pas allée au parc faire, elle aussi son footing, elle aimerait pouvoir le faire au moins deux fois par semaine comme par le passé. Jules n’avait pas répondu et attendait qu’elle prouve sa soumission. Pour le moment, il était très étonné, cette petite coquine de Manon lui montait à la tête, elle était tout le contraire de Tamara pour son plus grand bonheur.
Sa princesse des îles lui ayant laissé encore un espoir, il tentait de renouer avec elle. Néanmoins, il se sentait pris au piège, Manon était bel et bien une bombe sexuelle et se montrait d’une docilité sans pareil. Rien à voir avec toutes les filles qu’il avait pu connaitre. Il se demandait, comment allait-il pouvoir se passer d’elle, lorsque Tamara reviendrait au moment du déconfinement. Pour le moment tout allait pour le mieux et il ne voulait plus trop y penser.
Comme Manon fut exemplaire pendant toute la semaine, Jules venait d’accepter sa demande. Ce dimanche matin, après qu’elle l’ait réveillé avec sa fellation magistrale, il lui demanda de s’allonger un instant à ses côtés, Manon était aux anges et lorsqu’il lui annonça la bonne nouvelle, elle s’était penchée sur lui et l’embrassa tendrement : « je t’aime Jules » Lui avait-elle dit sincèrement. Jules appréciait de plus en plus sa docile petite salope. Il s’aperçut que c’était beaucoup plus que de l’affection et se demandait s’il ne l’aimait pas mais c’était un peu trop tôt pour lui de se l’avouer. Avant de se lever pour lui apporter le café au lit, Jules lui dit d’attendre un peu qu’il avait quelque chose à lui dire. Lorsqu’il lui avait expliqué ce qu’il avait l’intention de faire, pendant ce footing, Manon était toute excitée et était partante, ce nouveau jeu lui plaisait beaucoup.
Un peu plus tard, pendant que Jules faisait des pompes, en slip et torse nu sur le tapis du salon, elle avait laissé l’aspirateur fonctionné et se plaça dans l’encadrement de la porte entrouverte de la chambre, afin de pouvoir l’espionner tout en se caressant. Elle savait qu’elle prendrait une fessée s’il la voyait mais c’était le but recherché. En effet, tout de suite, celui-ci s’en étant aperçu, se releva, s’assit sur le fauteuil et l’appela :— Non Manon ! Tu viens de déroger à la règle, tu mérites une punition. Tu iras courir le cul tout rouge.
Manon savait ce qui l’attendait et ne craignait plus les fessées. Elle pencha tout son corps sur ses genoux, posa ses bras au sol et attendit, le cul relevé :— Allez-y Monsieur Pennys, je suis une sale petite fille qui mérite d’être punie.
Jules souriait, il n’en revenait pas, cette Manon ne se plaignait jamais et acceptait tout, à croire que ce jeu lui plaisait. C’était un pur bonheur d’être avec elle. Ne voulant pas rire, il reprit son sérieux et lui mit trois claques sur chaque fesse. Manon n’avait poussé que quelques petits « Ah ! » au contact de sa paume tendue, puis lorsqu’il lui caressa du plat de la main ses rougeurs, elle commençait à ne plus ressentir la douleur, c’était presque du plaisir, à en croire ce qu’elle dit :— Merci Monsieur Pennys, je l’ai bien mérité.
— Bon ! Va te préparer, nous allons courir au parc.
Jules avait remarqué que depuis le confinement, de nombreux hommes, beaucoup à la retraite venaient passer au parc un moment à cette heure-là, histoire de se dégourdir les jambes. Manon était redescendue se vêtir comme Jules lui avait demandée. Elle portait une petite jupe qu’elle mettait lorsqu’elle faisait du tennis, sans rien dessous et un débardeur trop large, laissant voir ses seins par la large échancrure de ce petit haut blanc. Lorsqu’elle courait ainsi vêtue, les badauds venant prendre l’air, las de rester à la maison pendant ce confinement, la regardaient tous avec envie, faire son footing, dévoilant ses jolies fesses nues et sa belle poitrine qui ballottait, à chaque foulée. Manon venait de découvrir qu’elle prenait plaisir à s’exhiber, elle était très excitée de se montrer ainsi à tous ces types qui la mataient sans aucune gêne mais c’était le but.
Jules était aux anges, courant plus vite qu’elle, il l’avait doublée plusieurs fois et à chaque dépassement, il regardait tous ses voyeurs restants assis sur leur banc, en train de commenter avec leurs voisins, à chaque passage de Manon. Il aurait aimé entendre ce qu’ils disaient, mais il s’en doutait bien. Après une quarantaine de minutes de footing, Jules s’arrêta et se mit assis sur un banc, non loin des quelques personnes qui étaient restés là, attendant le passage de la jeune exhibitionniste.
Jules l’appela et lui dit de se mettre assise sur lui, ils avaient répété dans la cuisine ce qu’elle devait faire, ils étaient tous les deux attentifs, en observant, ils ne virent aucun gamin à l’horizon. Sachant que tout devait être subjectif, elle remonta sa jupette délicatement et se frotta le cul sur son sexe afin de le faire bander, il n’avait pas fallu longtemps pour que sa queue soit en érection, la situation étant bien trop excitante, pour lui comme pour elle, c’était la première fois qu’ils allaient baiser en public. Manon n’hésitait pas à monter et descendre sur sa verge, tout en gémissant. Lorsqu’elle cria sa joie, Jules éjacula en râlant de plaisir mais également pour celui des voyeurs qui avaient pu deviner ce qui s’était passé sous la jupette.
Pour ce jour de repos, Jules avait tenu à ce que Manon, ne fasse rien d’autre que l’amour, il voulait la récompenser de tous les efforts qu’elle faisait. Comme le premier jour, ils avaient renouvelé toutes les positions et tous les lieux insolites de l’appartement pour baiser sans retenu et surtout sauvagement. Manon était devenue en une semaine la reine du sexe, elle était tout simplement douée. Dotée d’une souplesse, d’une agilité et d’une grande habilité, elle était capable de se faire prendre n’importe où et surtout dans des conditions incroyables. Pour la sodomie, cela ne pouvait se faire qu’en fin de soirée et en levrette, c’était le choix de Jules et seulement s’il en avait envie. Bien entendu, Manon devait redescendre chez elle pour la nuit. Avant qu’elle ne le quitte, il lui avait demandé si ce qu’elle endurait lui plaisait vraiment et il fut assez surpris de sa réponse :
— Pour être franche, j’avais pensé vivre avec toi comme un vrai couple mais ton choix fut tout autre. J’adore être à tes côtés, baiser avec toi. J’apprécie beaucoup les petits jeux que nous faisons ensemble. Te faire le ménage, tes repas à heures imposées ne me dérange plus trop, même si j’avais aspiré à autre chose. Ce sont les nuits que je passe seule qui me dérangent le plus. Néanmoins à présent, j’accepte cet état de fait et n’en demande pas plus car je t’aime tant Jules.
Tout ceci n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd, il en prit note et si un jour il devait la remercier, il l’inviterait à passer une nuit avec lui. Son amour pour Manon semblait augmenter de jour en jour, Jules prenait beaucoup de plaisir avec elle depuis une dizaine de jours, il n’en avait pas oublié Tamara pour autant. Tous les jours ils correspondaient par mails et quelques fois par téléphone, lorsqu’ils le pouvaient, vu le décalage horaire. Pourtant, Tamara sentait que depuis deux, trois jours, il ne lui disait plus de la même façon ses : « je t’aime » ou « reviens moi vite », il semblait beaucoup plus distant. De son côté, elle s’était rapprochée de Grégoire, son ami d’enfance avec lequel elle se sentait bien, sans en être amoureuse.
Le jeudi soir, Jules n’ayant pas répondu à son dernier mail, Tamara fut inquiète, elle était très triste et en parla à Grégoire qui essayait de la rassurer mais par quelques sous-entendus bien placés, il disait à son amie que les hommes ou les femmes avaient des besoins physiques. Que malgré leur amour, s’ils leurs arrivaient d’être séparés trop longtemps, il était possible que sexuellement, ils pouvaient se satisfaire dans les bras d’un autre ou d’une autre, sans qu’il y ait forcément de l’amour. Ce n’était que du désir sexuel. Grégoire la voyant triste, la prit dans ses bras pour une tendre étreinte, il la caressait, la câlinait sans l'embrasser tout en parlant :— Tu crois qu’il me trompe ? C’est ce que tu veux m’expliquer ?
— Regarde nous Tamara, que faisons-nous ensemble ?
Prise dans un élan de rage mais surtout par manque d’affection, elle se blottit contre lui tendrement. S’apercevant de son erreur, Tamara s’excusa et Grégoire lui fit une bise sur la joue, espérant toujours qu’elle pourrait bientôt se donner à lui. Il en était encore amoureux et il avait plus d’un mois pour y parvenir. Elle avait attendu 18 heures en Martinique, 23 heures en France pour joindre son chéri par téléphone.
Chez Jules, Manon était sur le tapis du salon dans la position que l’on nomme en gymnastique « le pont ». Les jambes écartées, les pieds et les mains posés bien à plat sur le sol, le corps tendu en arc de cercle, la tête à l’envers, offrant sa petite chatte à Jules qui, placé devant elle, s’en donnait à cœur joie. Il la ramonait sauvagement avec de puissants coups de rein, la maintenant fermement par les hanches, lorsque le téléphone, posé sur la table basse sonna. Jules le saisit d’une main et s’apercevant que l’appel provenait de Tamara, décrocha, tout en continuant ses va et vient :— Allo ! Ma princesse ! Comme… je suis content de t’entendre.
— Tu me manques mon chéri. Que fais-tu en ce moment ? Pourquoi n’as-tu pas répondu à mon mail ?
Positionnée dans une posture inconfortable, Manon fit signe à Jules de la relever. D’un bras, il la saisit comme une plume et la releva en laissant son sexe fiché en elle, tout en continuant de parler à Tamara. Elle s’accrocha à lui en le prenant par le cou et en lui enserrant les jambes autour de la taille. Manon tenait le portable à l’oreille de Jules, pendant qu’ils continuaient à baiser. Elle montait et descendait le long de sa verge lui imposant un rythme si soutenu qu’il en gémissait autant qu’elle :— Que fais-tu mon chéri en ce moment, c’est quoi ces bruits ?
— Je suis dans mon lit, je me masturbe en pensant que je te fais l’amour. Lui dit-il. Tout en lui expliquant en détail, comment il était en train de prendre Manon.
Tamara à l’autre bout du fil, devenait toute chose, en entendant tous ses râles et gémissements, elle devenait très excitée et posait de nombreuses questions en se prenant au jeu. Jules était sur le point de jouir, Manon avait accélérer encore le mouvement et se mordait les lèvres afin de ne pas crier. N’ayant pu se retirer à temps, Jules lâcha tout ce qu’il avait et éjacula à l’intérieur du vagin de Manon, en poussant un grand râle :— Oh c’est bon ! Man…chérie. Se reprenant immédiatement.
Il allait faire une énorme erreur en prononçant le prénom de Manon qui n’avait pu se retenir de rire en posant la main sur le micro du téléphone. « Je ne t’entends plus Jules que ce passe-t-il ? » Criait la jeune Martiniquaise. Il déposa sa « petite salope » sur le sol, lui fit une bise discrètement et reprit la conversation avec Tamara :— Oh ma princesse, tu viens de me faire jouir comme jamais. Je suis crevé, on s’appelle demain, je n’ai plus de batterie.
Toujours assise sur le canapé à côté de Grégoire, Tamara posa son portable, elle était triste d’être à des milliers de kilomètres de Jules. Grégoire en profita pour la reprendre dans ses bras puis se laissant emporter, Tamara accepta son baiser. Cette fois, elle y mettait du cœur et de l’énergie avec sa langue, ce qu’elle venait de vivre en direct par téléphone l’avait rendu chaude comme de la braise, pour le plus grand bonheur de Grégoire, avant de le repousser gentiment en disant : « Non ! Je ne peux pas ! » puis continua à lui poser des questions :— Tu crois qu’un flirt et quelques caresses, sont considérés comme tromper celui qu’on aime, Grégoire ?
— Perso, Non ! Comme je te l’ai dit tout à l’heure, l’être humain a besoin de temps à autres, de petits câlins.
Pendant ce temps-là dans l’appartement de Jules, ils avaient ri tous les deux pendant plus d’un quart d’heure, la situation dans laquelle ils s’étaient trouvés étaient tellement cocasse qu’ils en riaient encore. Ils étaient restés allongés, nus sur le tapis du salon, blottis l’un contre l’autre. Jules revint sur son éjaculation interne et s’en excusa auprès de Manon qui répondit d’un ton ironique, poursuivant sa complicité dans sa soumission :— Ne vous inquiétez pas Monsieur Pennys, je prends la pilule.
Ils avaient une nouvelle fois bien ri et s’embrassèrent un long moment. Manon n’avait jamais été aussi heureuse que depuis qu’elle fréquentait son prof adoré, même si quelques fois il était un peu trop sévère. Néanmoins elle prenait cela comme un jeu entre eux, en se donnant à lui comme sa chose. Elle savait que cela faisait plaisir à son homme et sa plus grande joie à elle, était de le rendre le plus heureux possible.
Il était bientôt l’heure qu’elle retrouve son lit à l’étage inférieur, Jules lui demanda avant qu’elle le ne quitte :— Ça te dirait de faire l’amour à deux hommes en même temps ?
— Si tu fais partie d’un des deux hommes, pourquoi pas. Enfin !!! Je ne sais pas…Monsieur Pennys.
— Tu n’as jamais fantasmé de te faire prendre en double pénétration ?
Jules ne se trompait pas, c’était bien le cas, Manon fantasmait bien sur le sujet, malgré cela, même si elle était prête à beaucoup de chose pour satisfaire Jules, elle ne répondit pas dans l’affirmative, elle resta vague en disant qu’elle n’était pas contre mais avait encore certains doutes. Jules savait que sa « petite salope » qu’il appréciait de plus en plus en avait déjà fait beaucoup et ne voulant pas aller trop vite et trop loin avec elle, lui déposa un petit baiser sur la bouche en disant :— Ce n’est pas grave ma puce, nous avons le temps pour y réfléchir. Au fait n’oublie pas que ta mère vient avec Richard diner demain soir…— Oui Monsieur Pennys ! Merci ! Vous m’avez fait passer une excellente journée. À demain 7 heures.
— Non Manon ce soir tu dors avec moi.
— Tu es un véritable amour mon chéri. Non ! Monsieur Pennys mon cul est votre disposition.
Manon et Jules prirent encore beaucoup de plaisir ce soir-là avant de s’endormir profondément jusqu’au petit matin.
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
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