Mardi 22 Décembre 1981 - Le matin
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mardi 22 Décembre 1981 - Le matin
Paul et Matilde, depuis leur arrivée logent chez nous, c’est plus sympa. Le matin, en partant, j’ai oublié des documents, en revenant dans mon bureau, j’entends des soupirs. Je m’arrête et écoute avec plus d’attention, oui, ça soupir. Discrètement je passe dans la salle de bains, et entrouvre doucement le fenestron qui excitait depuis la construction de la maison et que j’avais plus ou moins bien fermé après les photos faites, avec son accord, de AL faisant ses galipettes avec B. Et effectivement AL et Matilde se faisaient des gentillesses. Matilde les seins à l’air, les tenant à pleine main, était en train de les offrir à AL qui les goutait, les suçait avec ardeur et gourmandise. Pendant que sa bouche était occupée, sa main droite remonta la jupe de Matilde, qui la retint, et s’insinua entre les cuisses de celle-ci, qui les écarta largement pour permettre un accès facile à sa chatte, ce qui sembla surprendre AL qui lui dit : « Tu n’en portes plus, … » et Matilde de répondre : « Non, … depuis que tu m’as dit que c’était mieux, … »
AL : « Qu’en dit Paul, … il aime, … »
Matilde : « Dans l’ensemble, oui, quand on est tous les deux, il dit que c’est plus pratique, … par contre si, il y a du monde, il veut que j’en porte, … »
AL « Et tu lui obéis, …
Matilde : « Parfois, … ça dépend, aujourd’hui, il pense que j’en ai un, mais j’espérais que tu viendrais me voir, c’est pour ça que je n’en ai pas, … j’ai bien fait, … non, … »
AL : « Oui, … laisses moi m’en occuper, … » et elle poussa Matilde sur le lit, qui se laissa aller, la jupe relevée, les cuisses largement ouvertes, ainsi mettant à nue sa grotte d’amour, que la bouche de AL s’empressa d’investir. Bouche qui fut suivit rapidement de ses doigts qui entreprirent de la masturber avec énergie, ce qu’elle semblait apprécier avec : « Oui, … j’aime, … continues, … tu vas me faire jouir, … ça fait si longtemps, que tu ne t’es pas occupée de moi, … oh, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … OUIIIIIII, … » et elle se cabra, avant de refermer ses jambes sur AL. Après s’être dégagée, AL remonta jusqu’à la tête et il s’en suivi un long baiser entre les deux nanas. C’est alors que Matilde lui : « A moi, … je veux de gouter, … je veux te donner du plaisir, … comme tu viens de le faire, … » et dégageant les seins de AL, elle entreprit de les caresser, les lécher, les téter, … puis, doucement elle descendit sur le ventre pour enfin lui dire : « Enlèves ta jupe, … ce sera plus facile, … » En fait, AL remonta sa jupe découvrant son entrejambe dont Matilde s’empressa d’investir par la bouche et par les doigts, … Je savais ce qui allait se passer, je quittais discrètement la salle de bains, puis la maison, je n’avais rien vu pour l’instant.
A midi tout le monde se retrouva autour du déjeuner. Vers 13,00h, Paul et moi quittions la maison et je disais à AL et Matilde, nous ne serons pas de retour avant 17,30 h. Je pense que le message fut entendu
 Le soir
Le soir nous avons diné tous ensemble, bonne ambiance, on passe un bon moment. Vers 21,00h chacun se dirige vers sa chambre avec les « Bonnes nuits » classiques.
Avec AL on se couche tranquillement er elle s’endort rapidement. Pour ma part, je ne m’endors pas et vers 22,00 h j’entends des bruits, … après quelques minutes d’hésitation, je décide de me lever, pour voir ce qui se passe, par réflexe je passe un short, et sors de la chambre, la porte de communication de la partie privée est ouverte et j’aperçois de la lumière dans la cuisine, j’y vais. C’est Matilde, qui est en train de boire un verre d’eau. Mon arrivée la surprend un peu, d’autant qu’elle est simplement vêtue de sa chemise de nuit, et de s’excuser : « J’avais soif, je me suis permis, … »
Moi : « Tu as bien fait, … tu as une jolie chemise de nuit, … » en fait un décolleté carré et le tout tombant jusqu’à mis cuisse, … chemise de nuit, très jeune fille, dissimulant tout, mais permettant d’imaginer le haut bien rempli.
Moi : « Pourquoi tu sembles me fuir, … »
Matilde : « Pourquoi dis-tu ça, … »
Moi : « J’ai cette impression depuis votre arrivée, … je n’arrive pas à te voir, … »
Matilde : « On n’a pas eu l’occasion, … mais je suis heureuse que nous soyons là, … »
Moi : « Alors viens m’embrasser, … j’ai très envie de gouter à tes lèvres, … »
Matilde : « On risque de venir, … »
Moi : « Ne t’inquiètes pas, …si quelqu’un vient on l’entendra, … il butera dans la chaise sur le passage, … viens, te souviens-tu de ce que tu m’as dit quand j’ai quitté le chantier la dernière fois, … »
Matilde : « Oui, … très bien, … Quand tu veux, … »
Moi : « Tu maintiens ce que t’as dit alors, … »
Matilde : « Oui, … Quand tu veux, … même plus qu’avant, … »
Moi : « C’est vrai, … viens, … je veux gouter à tes lèvres, … te tenir dans mes bras, … avant plus… » Elle se rapprocha de moi, les lèvres légèrement entrouvertes, la respiration semblait plus rapide, enfin, imagination. Alors que je la saisissais dans mes bras elle se colla à moi et je pus sentir ses seins contre ma poitrine. S’ensuivit un long et goulu baiser et son corps s’installa contre le mien. Je la caressais dans le dos et m’efforçait de remonter sa chemise, ce qui fut réussi après plusieurs essais. J’avais enfin un contact direct avec sa peau, qui était douce et chaude. Mes lèvres quittèrent ses lèvres pour entreprendre un périple dans son cou et ses épaules, ce qu’elle semblait apprécier, car elle fut parcourue de légers frisons. Il me fallait pousser plus avant mon avantage qui pouvait n’être que momentané et pour comble, j’étais en concurrence avec AL, ma chère et tendre moitié. Qui si elle avait accepté l’arrivée et le partage avec Véro, risquait fort de m’arracher es yeux si elle s’apercevait que Matilde se trouvait également dans la course. Relevant bien haut sa chemise et, après avoir malaxé avec ardeur sa jolie et solide paire de fesses, je glissais une main entre nous, elle comprit où j’avais l’intention d’aller et j’obtins le passage facilement. Alors que j’atteignais son minou, elle écarta les cuisses pour me permettre de l’atteindre sans problème. Alors que je la caressais elle avança son bassin, prenant ce mouvement comme une invite pour aller plus loin je la pénétrais de deux doigts, très facilement tellement elle était mouillée. Cela fut bien accueilli par : « OH, … oui, … prends moi, … oui, … prends moi fort, … je m’ouvres pour toi, … » et de la masturber avec douceur mais profondément, ce qu’elle semblait aimer. Accrochée à mon cou elle s’était plantée sur mes doigts et subissait mes assauts avec plaisir : « Oui, … continues, … j’aime ce que tu fais, … ne t’arrêtes pas, … je sens que, … OOOOHHH, … continues, … je vais jouir, …OUIIIIIIII, … » et elle se cramponna à mon cou, le bassin se plantant sur mes doigts. Enfin, retrouvant ses esprits, elle se colla à moi, elle me murmura : « Ça faisait longtemps que j’espérais que tu me prennes comme ça, … j’ai aimé, … je ne devrais pas le dire, … une femme ne devrait pas dire ça à un homme, … mais tu m’as fait bien jouir, …à moi, … de m’occuper de toi, … » et elle se laissa glisser à terre, en passant dégrafant mon short qui tomba à terre. Inutile de dire que je bandais ferme, alors elle se mit à parler disons à commenter ses actions, je pense que ça devait l’exciter : « J’aime ton sexe, … » et le parcourant de bout des doigts : « Il est dur, … je vais le lécher tout le long, … oui, … comme ça, … » ce qu’elle entreprit de faire à grands coups de langue : « J’espère que tu aimes, … j’aime te lécher comme ça, … » puis le parcourant de bout des doigts, : « Je vais m’occuper du bout, … j’aime l’avoir en bouche, … je vais le lécher, … comme une glace, … c’est meilleur qu’une glace, … quand je te suces comme ça, tu vibres, … c’est agréable à sentir, … » et alors qu’elle me prenait en bouche : « Tu vas prendre ma bouche, … je vais te faire jouir, … tu vas remplir ma bouche de toi, … attends tu vas voir, … tu me diras que tu aimes, … » et elle se mit à me pomper goulument et il ne me fallut que peu de temps pour être prêt à exploser dans sa bouche et je la prévins, mais avec comme résultat qu’elle augmenta la cadence et que je me vidais dans sa bouche accueillante. Elle se redressa et vint se coller à moi : « As-tu aimé, … la prochaine fois tu te videras sur mes seins… il paraît que c’est bon pour la peau, … il faut que je rentre, … »
Moi : « Non, … attends, … tout le monde dort, … » et la poussant gentiment vers la table de cuisine et relevant sa chemise je l’aidais à s’y asseoir : « Arrêtes Jean, … je suis fatiguée, … » je la poussais un peu plus et : « Oh, … non, … tu ne vas pas, … »
Moi : « Couches toi, … je vais te lécher et sucer la chatte, … » sans même discuter elle écarta les cuisses prêtes à recevoir mes hommages, et la surprise, sa fourrure avait presque disparu, en fait il restait un petit triangle de poils partant du haut du sillon de ses grosses lèvres. Elles étaient ainsi complètement dégagées : « Tu t’es complètement épilée, … »
Matilde : « Oui, … presque complètement, … tu n’aimes pas, … je trouve que c’est mieux, … »
Moi : « Oui, … ça dégage bien ton minou, … c’est encore plus tentant, … je vais le gouter, … » et je me mettais à l’ouvrage. Après avoir gouté à ses grosses lèvres, qui étaient encore pleines de son plaisir, je la pénétrais de deux doigts et la masturbais gentiment, elle était ouverte et chaude, j’en profitais pour tâter la souplesse de son petit trou et m’y enfoncer légèrement. A peine j’avais commencé à le tâter qu’elle se cabra en disant : « Oh, … oui, … non, … je ne me suis pas préparée, … demain il sera à toi, … oh continues, … OOOOHHH, … OUIIIII, … » et elle fut saisi d’un gentil spasme et par plusieurs contractions de tout le corps avant de se laisser aller sur la table le souffle court. Ce n’était pas le moment de la laisser ainsi, … je l’aidais à se relever, ce qu’elle fit et elle vint se coller à moi : « Tu es content de toi, … tu m’as fait jouir deux fois, … je t’adore, … » et je lui dis de partir, et que l’on se reverrait demain matin. Je me recouchais gentiment à coté de AL. C’est le réveil qui me tira de mon sommeil à 5,30h
AL : « Qu’en dit Paul, … il aime, … »
Matilde : « Dans l’ensemble, oui, quand on est tous les deux, il dit que c’est plus pratique, … par contre si, il y a du monde, il veut que j’en porte, … »
AL « Et tu lui obéis, …
Matilde : « Parfois, … ça dépend, aujourd’hui, il pense que j’en ai un, mais j’espérais que tu viendrais me voir, c’est pour ça que je n’en ai pas, … j’ai bien fait, … non, … »
AL : « Oui, … laisses moi m’en occuper, … » et elle poussa Matilde sur le lit, qui se laissa aller, la jupe relevée, les cuisses largement ouvertes, ainsi mettant à nue sa grotte d’amour, que la bouche de AL s’empressa d’investir. Bouche qui fut suivit rapidement de ses doigts qui entreprirent de la masturber avec énergie, ce qu’elle semblait apprécier avec : « Oui, … j’aime, … continues, … tu vas me faire jouir, … ça fait si longtemps, que tu ne t’es pas occupée de moi, … oh, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … OUIIIIIII, … » et elle se cabra, avant de refermer ses jambes sur AL. Après s’être dégagée, AL remonta jusqu’à la tête et il s’en suivi un long baiser entre les deux nanas. C’est alors que Matilde lui : « A moi, … je veux de gouter, … je veux te donner du plaisir, … comme tu viens de le faire, … » et dégageant les seins de AL, elle entreprit de les caresser, les lécher, les téter, … puis, doucement elle descendit sur le ventre pour enfin lui dire : « Enlèves ta jupe, … ce sera plus facile, … » En fait, AL remonta sa jupe découvrant son entrejambe dont Matilde s’empressa d’investir par la bouche et par les doigts, … Je savais ce qui allait se passer, je quittais discrètement la salle de bains, puis la maison, je n’avais rien vu pour l’instant.
A midi tout le monde se retrouva autour du déjeuner. Vers 13,00h, Paul et moi quittions la maison et je disais à AL et Matilde, nous ne serons pas de retour avant 17,30 h. Je pense que le message fut entendu
 Le soir
Le soir nous avons diné tous ensemble, bonne ambiance, on passe un bon moment. Vers 21,00h chacun se dirige vers sa chambre avec les « Bonnes nuits » classiques.
Avec AL on se couche tranquillement er elle s’endort rapidement. Pour ma part, je ne m’endors pas et vers 22,00 h j’entends des bruits, … après quelques minutes d’hésitation, je décide de me lever, pour voir ce qui se passe, par réflexe je passe un short, et sors de la chambre, la porte de communication de la partie privée est ouverte et j’aperçois de la lumière dans la cuisine, j’y vais. C’est Matilde, qui est en train de boire un verre d’eau. Mon arrivée la surprend un peu, d’autant qu’elle est simplement vêtue de sa chemise de nuit, et de s’excuser : « J’avais soif, je me suis permis, … »
Moi : « Tu as bien fait, … tu as une jolie chemise de nuit, … » en fait un décolleté carré et le tout tombant jusqu’à mis cuisse, … chemise de nuit, très jeune fille, dissimulant tout, mais permettant d’imaginer le haut bien rempli.
Moi : « Pourquoi tu sembles me fuir, … »
Matilde : « Pourquoi dis-tu ça, … »
Moi : « J’ai cette impression depuis votre arrivée, … je n’arrive pas à te voir, … »
Matilde : « On n’a pas eu l’occasion, … mais je suis heureuse que nous soyons là, … »
Moi : « Alors viens m’embrasser, … j’ai très envie de gouter à tes lèvres, … »
Matilde : « On risque de venir, … »
Moi : « Ne t’inquiètes pas, …si quelqu’un vient on l’entendra, … il butera dans la chaise sur le passage, … viens, te souviens-tu de ce que tu m’as dit quand j’ai quitté le chantier la dernière fois, … »
Matilde : « Oui, … très bien, … Quand tu veux, … »
Moi : « Tu maintiens ce que t’as dit alors, … »
Matilde : « Oui, … Quand tu veux, … même plus qu’avant, … »
Moi : « C’est vrai, … viens, … je veux gouter à tes lèvres, … te tenir dans mes bras, … avant plus… » Elle se rapprocha de moi, les lèvres légèrement entrouvertes, la respiration semblait plus rapide, enfin, imagination. Alors que je la saisissais dans mes bras elle se colla à moi et je pus sentir ses seins contre ma poitrine. S’ensuivit un long et goulu baiser et son corps s’installa contre le mien. Je la caressais dans le dos et m’efforçait de remonter sa chemise, ce qui fut réussi après plusieurs essais. J’avais enfin un contact direct avec sa peau, qui était douce et chaude. Mes lèvres quittèrent ses lèvres pour entreprendre un périple dans son cou et ses épaules, ce qu’elle semblait apprécier, car elle fut parcourue de légers frisons. Il me fallait pousser plus avant mon avantage qui pouvait n’être que momentané et pour comble, j’étais en concurrence avec AL, ma chère et tendre moitié. Qui si elle avait accepté l’arrivée et le partage avec Véro, risquait fort de m’arracher es yeux si elle s’apercevait que Matilde se trouvait également dans la course. Relevant bien haut sa chemise et, après avoir malaxé avec ardeur sa jolie et solide paire de fesses, je glissais une main entre nous, elle comprit où j’avais l’intention d’aller et j’obtins le passage facilement. Alors que j’atteignais son minou, elle écarta les cuisses pour me permettre de l’atteindre sans problème. Alors que je la caressais elle avança son bassin, prenant ce mouvement comme une invite pour aller plus loin je la pénétrais de deux doigts, très facilement tellement elle était mouillée. Cela fut bien accueilli par : « OH, … oui, … prends moi, … oui, … prends moi fort, … je m’ouvres pour toi, … » et de la masturber avec douceur mais profondément, ce qu’elle semblait aimer. Accrochée à mon cou elle s’était plantée sur mes doigts et subissait mes assauts avec plaisir : « Oui, … continues, … j’aime ce que tu fais, … ne t’arrêtes pas, … je sens que, … OOOOHHH, … continues, … je vais jouir, …OUIIIIIIII, … » et elle se cramponna à mon cou, le bassin se plantant sur mes doigts. Enfin, retrouvant ses esprits, elle se colla à moi, elle me murmura : « Ça faisait longtemps que j’espérais que tu me prennes comme ça, … j’ai aimé, … je ne devrais pas le dire, … une femme ne devrait pas dire ça à un homme, … mais tu m’as fait bien jouir, …à moi, … de m’occuper de toi, … » et elle se laissa glisser à terre, en passant dégrafant mon short qui tomba à terre. Inutile de dire que je bandais ferme, alors elle se mit à parler disons à commenter ses actions, je pense que ça devait l’exciter : « J’aime ton sexe, … » et le parcourant de bout des doigts : « Il est dur, … je vais le lécher tout le long, … oui, … comme ça, … » ce qu’elle entreprit de faire à grands coups de langue : « J’espère que tu aimes, … j’aime te lécher comme ça, … » puis le parcourant de bout des doigts, : « Je vais m’occuper du bout, … j’aime l’avoir en bouche, … je vais le lécher, … comme une glace, … c’est meilleur qu’une glace, … quand je te suces comme ça, tu vibres, … c’est agréable à sentir, … » et alors qu’elle me prenait en bouche : « Tu vas prendre ma bouche, … je vais te faire jouir, … tu vas remplir ma bouche de toi, … attends tu vas voir, … tu me diras que tu aimes, … » et elle se mit à me pomper goulument et il ne me fallut que peu de temps pour être prêt à exploser dans sa bouche et je la prévins, mais avec comme résultat qu’elle augmenta la cadence et que je me vidais dans sa bouche accueillante. Elle se redressa et vint se coller à moi : « As-tu aimé, … la prochaine fois tu te videras sur mes seins… il paraît que c’est bon pour la peau, … il faut que je rentre, … »
Moi : « Non, … attends, … tout le monde dort, … » et la poussant gentiment vers la table de cuisine et relevant sa chemise je l’aidais à s’y asseoir : « Arrêtes Jean, … je suis fatiguée, … » je la poussais un peu plus et : « Oh, … non, … tu ne vas pas, … »
Moi : « Couches toi, … je vais te lécher et sucer la chatte, … » sans même discuter elle écarta les cuisses prêtes à recevoir mes hommages, et la surprise, sa fourrure avait presque disparu, en fait il restait un petit triangle de poils partant du haut du sillon de ses grosses lèvres. Elles étaient ainsi complètement dégagées : « Tu t’es complètement épilée, … »
Matilde : « Oui, … presque complètement, … tu n’aimes pas, … je trouve que c’est mieux, … »
Moi : « Oui, … ça dégage bien ton minou, … c’est encore plus tentant, … je vais le gouter, … » et je me mettais à l’ouvrage. Après avoir gouté à ses grosses lèvres, qui étaient encore pleines de son plaisir, je la pénétrais de deux doigts et la masturbais gentiment, elle était ouverte et chaude, j’en profitais pour tâter la souplesse de son petit trou et m’y enfoncer légèrement. A peine j’avais commencé à le tâter qu’elle se cabra en disant : « Oh, … oui, … non, … je ne me suis pas préparée, … demain il sera à toi, … oh continues, … OOOOHHH, … OUIIIII, … » et elle fut saisi d’un gentil spasme et par plusieurs contractions de tout le corps avant de se laisser aller sur la table le souffle court. Ce n’était pas le moment de la laisser ainsi, … je l’aidais à se relever, ce qu’elle fit et elle vint se coller à moi : « Tu es content de toi, … tu m’as fait jouir deux fois, … je t’adore, … » et je lui dis de partir, et que l’on se reverrait demain matin. Je me recouchais gentiment à coté de AL. C’est le réveil qui me tira de mon sommeil à 5,30h
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