Mardi 23 Décembre 1981 Le matin et l'après-midi
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mardi 23 Décembre 1981 Le matin et l'après-midi
Réveil pénible, d’autant que je n’avais pas à me lever si tôt c’est mon remplaçant qui devait faire l’embauche. Mais j’étais réveillé, douche et préparation du petit déjeuner. Et les uns et les autres se levèrent et on retrouva vers 7,00 h autour de la table.
Je lançais un : « Comment on s’organise, … moi je pars sur le chantier après le peti dej et serais de retour vers 12,00h » et chacun de son planning, AL avait une réunion de prof à partir de 9,00 h et espérais être de retour pour midi, Paul avait une réunion avec le patron à 9,00 h et retour vers 12,00 h et Matilde restait à la maison à travailler ses cours. Je lui proposais de s’installer dans mon bureau, ainsi elle ne serait pas dérangée par les allées et venues du boy. C’était parfait.
Entre tous les mouvements de chacun, je réussis à coincer Matilde pour lui dire : « Je serais de retour vers 9,30 h, … prépares-toi, … je te veux toute chaude, …je te rejoindrais dans le bureau, … » elle opina, et tout le monde parti à ses occupations. A l’heure dite j’arrivais à la maison et me rendais dans mon bureau. Matilde était là travaillant ses cours. Alors qu’elle se levait, j’étais derrière elle et l’encerclais de mes bras pour poser mes mains sur ses seins et ainsi constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, puis la retournant, je posais mes lèvres sur les siennes et l’attirais contre moi. Le baiser fut long et nos langues se rencontrèrent et se caressèrent.
Avant de la pousser contre le bureau je voulais la taquiner un peu et lui demandais : « Tu t’es préparé pour moi, … »
Matilde : « Oh Oui, … comme tu me l’as demandé, … »
Moi : « Et qu’as-tu fait, … »
Matilde : « Je me suis préparée pour toi, … ne poses pas de questions, … prends moi, … je suis toute chaude, … comme tu voulais, … »
Moi : « Donnes moi tes doigts à gouter, … je vais savoir ce que tu as faits, … »
Matilde : « Tu es un monstre, … j’ai envie de toi, … » et elle me tendit sa main, dont le majeur et l’index sentaient la douce odeur de sa chatte.
Moi : « Tu sens vraiment bon, … »
et j’entrepris d’ouvrir son corsage, pour pouvoir m’occuper de ses seins, qu’elle avait bien ronds et bien pleins et surtout, très sensibles. IL s’agissait de les caresser un peu et les tétons se mettaient à pointer, il s’agissait alors de les prendre les téter, puis les mordiller, cela l’excitait et c’est ce que je fis. Mais pour cela elle me tenait par le cou, et s’était penchée en arrière pour mettre à disposition ses jolis avantages et pour s’équilibrer son bassin était collé contre le mien, ce qui lui permit de constater que ce petit jeu avait des répercutions sur mon anatomie. Enfin la poussant contre la table, elle s’assit sur la table et se laissa basculer sur le dos et dans un joli ensemble remonta sa jupe et écarta les cuisses, en disant : « C’est ce que tu voulais, … je me suis préparé pour toi, … j’ai envie de toi, … » Cette chatte pratiquement nue avec ses grosses lèvres bien visibles, c’était tentant d’y gouter. Je ne pouvais refuser un tel fruit offert et je m’inclinais vers ce joli minou et commençais à l’entreprendre des lèvres, de la langue et enfin des doigts, tout cela doucement pour la préparer au moment où je la prendrais. Ce ne fut pas long car elle était chaude et alors que je m’occupais de sa chatte : « Arrêtes, … c’est toi que je veux, … prends moi, … fais-moi l’amour, …j’attends que ça, … je te veux, … » Me redressant, sur la table elle était à la hauteur de ma bite et m’approchant, elle s’en saisit et me guida vers et dans sa chatte dont la pénétration fut facilitée tant elle était non pas humide mais trempée. A peine je commençais, ce fut : « Oui, … je t’avais promis, … prends moi, … fais-moi l’amour, … j’en ai tellement envie, … oui, … ça me fera des souvenirs, … » Cramponné à ses hanches je la baissais avec ardeur et elle réagissait bruyamment : « Oui, … continues, … ne t’arrêtes pas, … prends moi plus fort, … je sens que , … OOOOHHHH, … OUIIIIII, … OUIIIII, … » alors que la pression était telle, je ne pus me retenir et bien enfoncé dans son fourreau je me vidais alors qu’elle fut saisi d’un spasme brutal, suivi de plusieurs petits qui se voyaient par de petites contractions de tout son corps. Enfin reprenant ses esprits elle se laissa glisser de la table et s’accrochant à moi : « J’aime quand tu me fais l’amour, … il faudra recommencer avant qu’on parte, … t’es d’accord, … » Que répondre sinon lui dire que Oui et je n’attendais que ça.
 L’après-midi
Déjeuner tranquille disons en famille. Paul repartait à la direction, AL restait à la maison, et moi j’envisageais d’aller voir comment s’en sortait mon remplaçant. En fait, il avait été convenu avec Matilde qu’elle prendrait u taxi pour aller au supermarché et que je la récupérerais pour une balade à deux dans un coin tranquille.
Ainsi au moment de partir, Matilde annonça qu’elle prendrait un taxi pour aller au supermarché. Al se tournant vers elle dit : « Jean pourrait t’amener en allant au chantier, … »
Moi : « Bon, … OK, … je t’attends, … pas de problème, après je vais au chantier pour une paire d’heures et serais de retour vers 17,00 H, … »
Matilde : « 2 minutes, … je prends mon sac, … et on part, … » et en route pour un petit tour sexuel. Matilde a mis une jolie petite robe d’été. Dont le corsage est ajusté avec un décolleté carré, fait de telle sorte que le haut enserre bien sa poitrine. Cela tenu par deux bretelles assez larges. La jupe est relativement large, sans histoire. L’ensemble est fermé par de larges boutons de haut en bas. Je pense en la voyant, que c’est bien choisi et pratique pour ce que nous allons faire. Dès que nous partons, de façon à la mettre dans l’ambiance, je pose ma main sur sa cuisse et je la caresse. C’est un peu compliqué avec le changement de vitesses, mais j’y arrive et entre deux je lui demande de remonter se jupe, ce qu’elle fait, et, elle la remonte d’une telle façon que je peux glisser jusqu’à sa chatte. Après plusieurs caresses, elle incline un peu le dossier et s’enfonce dedans en ouvrant les cuisses : « C’est ce que tu veux, … tu aimes que je sois comme ça, … dis-moi, … »
Moi : « Bien sûr, … j’aime te caresser, … j’aime ta peau douce et chaude, … »
Matilde : « Ou va-t-on, … »
Moi : « A la hutte, … on sera tranquille, … et je pourrais te faire l’amour, …tu en as envie, … »
Matilde : « Tu sais bien que oui, … et tu sais que je fais ce que tu veux, … »
Moi : « Tu sais ce que tu vas faire, … »
Matilde : « Non, … dis-moi, … »
Moi : « Quand on sera à la hutte, … tu vas te déshabiller, … j’aimerais te regarder te déshabiller, … tu vas te déshabiller pour que je te regarde, … »
Matilde : « Quoi, tu veux que je fasse un strip-tease, … mais, si tu voulais ça, … il fallait me le dire, … j’aurai mis de la lingerie sexy, … »
Moi : « Non, pas un strip-tease, … non te déshabiller doucement, sensuellement, … cela t’excitera, … et moi aussi, … »
Matilde : « Mais je ne sais pas faire, … je n’ai pas l’habitude, … tu es fou, … en fait, les quelques hommes que j’ai connus, … c’était eux qui me déshabillaient, … non, je ne pourrais pas, … »
Moi : « Mais si, … tu verras, … je suis certain que tu feras ça très bien, … tu feras ça pour m’exciter, … »
Matilde : « Mais comment veux-tu, … je ne saurais pas, … »
Moi : « Mais si, … tu verras, … en pensant que te voir, … m’excitera, … me fera bander dur, … pour qu’après je te fasse l’amour, … non, … que je te baise, fort, … très fort, … »
Matilde : « Tu es fou, … »
Moi : « Mais non, … je ne suis pas fou, … tu en as envie, … mais tu n’oses te l’avouer, … plus je te connais, plus je sens que tu aimes le sexe, … et les plaisirs qu’ils te donnent, … »
Matilde : « Non, … c’est pas possible, … tu me tournes les sens, … d’un côté, … je me dis que je dois me sauver, … de l’autre, … tu me tentes, … j’en ai envie, … je ne sais plus, … »
Nous étions arrivés à la hutte. Garer la voiture, dans la hutte, je prenais Matilde dans mes bras et aussitôt : « Embrasses-moi, … caresses moi, … dis-moi que t’as envie de moi, … »
Moi : « Oui, … mais je veux te voir te déshabiller, … penses que tu veux me séduire, … car tu veux que je te prenne, … que je te fasse, bien l‘amour, … que j’ai très envie de toi, … que tu veux me faire bander, dur, … »
Matilde : « Je veux bien essayer, ... mais je ne sais pas, … et ne te moques pas de moi, … promets-moi, … »
Moi : « Penses à ce que tu aimerais après, … »
Matilde : « Je suis folle, … je me fais l’impression de me tenir comme une salope, … mais j’ai envie d’essayer, … » elle ferma les yeux et s’appuyant légèrement sur la table, elle croisa les bras sous sa poitrine, semblant réfléchir, puis, après avoir passé le bout de sa langue sur ses lèvres, avec ses deux mains déboutonna le premier bouton du corsage de sa robe, puis un second, faisant en sorte qu’à chaque fois son décolleté s’agrandit. Après le troisième, légèrement sous ses seins, le décolleté permettait de voir le début de l’arrondi de ses seins. Là, elle s’arrêta, tirant sur sa jupe, puis arrangeant son décolleté en l’agrandissant et c’était autour du quatrième qui se trouvait légèrement au-dessus de la taille. Ses mains remontèrent et élargir le décolleté, celui-ci permettait d’apercevoir les aréoles. Puis ses mains descendirent le long de son corps comme une caresse, pour arriver à la ceinture, qu’elle défit, la laissant tomber par terre, alors qu’elle défaisait le bouton de la ceinture de la robe, qui glissa, légèrement sur les hanches. Doucement, suivant le bord du décolleté, la main droite remonta jusqu’à la bretelle de la robe et glissant sa main sous la bretelle, la fit glisser le long de son bras gauche, dévoilant ainsi son sein gauche, qu’aussitôt elle cacha en posant sa main dessus, pendant que le bras gauche se libérait de la bretelle. Les lèvres légèrement ouvertes, le rythme de sa respiration augmenta légèrement, alors qu’elle découvrait son sein et que sa main gauche entreprenait la même manœuvre, pour faire glisser la bretelle droite et dégager ainsi son sein droit. A peine les seins visibles, alors qu’elle me regardait fixement, ses mains se posèrent dessus et doucement les caressèrent, ce qui entraina le raidissement de ses tétons, qu’elle prit les faisant rouler doucement entre ses doigts. Ce petit jeu dura, juste le temps qu’ils pointent fièrement, alors, ses deux mains descendirent au niveau de la jupe, qui s’était arrêtée de glisser au niveau de ses hanches, le bouton retenant le glissement, fut ouvert et la jupe, enfin l’ensemble glissa, ce qui fut accéléré par deux roulements de hanches. La robe faisait un cercle à ses pieds, elle enjamba le tas et posant se mains sur ses hanches dans une position très suggestive dit : « Viens, … dépêches toi, … prends moi, … t’as gagné, J’en ai envie, … dis-moi que tu me veux, … que tu veux me baiser, … mais je veux voir comment tu es, … » et s’approchant de moi, elle descendit rapidement short et caleçon et put constater que je bandais dur. : « Je vais te gouter, … et vérifier que tu as envie de moi, … » et aussitôt elle me lécha la tige, avant de prendre le gland entre ses lèvres pour le sucer, et se redressant : « Viens prends moi, … » et elle se retourna s’appuyant sur la table, son joli cul bien visible, les jambes largement écartées, comme je m’approchais, sa main attrapa ma bite et la guida vers et dans son fourreau chaud, ouvert et très mouillé. Cramponné à ses hanches je la travaillais avec ardeur, ma bite coulissait sans problème dans sa chatte et cela était apprécié : « Oui, … j’aime te sentir, … fais-moi l’amour comme ça, … » alors que je lui claquais la fesse droite, elle réagit en se cabrant : « Oh, … brute, … oui, … encore, … j’aime, … » et je continuais mes va et vient dans son fourreau qui me paraissait de plus en plus mouillé et ayant son joli cul sous les yeux j’eus envie de le prendre : « J’ai envie de prendre ton joli cul, … »
Matilde : « Non, … continues, … après, … baises moi, … baises moi fort, … fais-moi jouir, …tu auras tout ce que tu veux après, … OOOHHHH, … ne t’arrêtes pas, … encore, … oui, … OOOHHH, ….OUIIIIIII, … » et parcouru par un long frisson, cramponnée à la table elle se mit à jouir brutalement, mais moi avec les exercices de la nuit et de la matinée, j’en étais arrivé au moment où je bandais toujours dur, j’avais le plaisir dans le rein, mais rien ne voulait sortir, dans ces cas, je devenais une machine à baiser, ne pouvant m’arrêter qu’au moment où je me viderais dans sa chatte, et Matilde subissait mes assauts brutaux : « Oh, … arrêtes, … je ne peux plus, … oui, … arrêtes, … tu vas m’épuiser, … OH, … non, … ne t’arrêtes pas, … brute, … j’aimes, … Oui, … encore, … ne t’arrêtes pas, … oh, baises moi fort,… oui, très fort, … éclates moi la chatte, … oui, … brutalises moi, … je veux des souvenirs, … OOOOH, … OUIIIIIIIII, … » quand tout à coup tout se débloqua et cramponné à ses hanches, bien enfoncé dans sa chatte, je me lâchais et me vidais dans son fourreau. Heureusement elle eut plusieurs spasmes de jouissance, pour enfin se laisser aller sur la table, le souffle court, alors que dame nature faisant son travail, je sortais de son minou, la queue triste.
Enfin se redressant Matilde : « Brute, … que j’ai aimé, … oh, oui, … tu m’as fait jouir, comme jamais, … dis, … tu recommenceras, … »
Moi : « Il nous faut rentrer, … je te dépose au magasin, … tu rentes en taxi, … »
Matilde : « Oui, … comme tu veux, … dis, on recommencera, … » elle ouvrit son sac et en sortit un soutien-gorge t une petite culotte, en disant : « Il ne faudrait pas AL ait des soupçons, … »
Moi : « Il faut filer
Je lançais un : « Comment on s’organise, … moi je pars sur le chantier après le peti dej et serais de retour vers 12,00h » et chacun de son planning, AL avait une réunion de prof à partir de 9,00 h et espérais être de retour pour midi, Paul avait une réunion avec le patron à 9,00 h et retour vers 12,00 h et Matilde restait à la maison à travailler ses cours. Je lui proposais de s’installer dans mon bureau, ainsi elle ne serait pas dérangée par les allées et venues du boy. C’était parfait.
Entre tous les mouvements de chacun, je réussis à coincer Matilde pour lui dire : « Je serais de retour vers 9,30 h, … prépares-toi, … je te veux toute chaude, …je te rejoindrais dans le bureau, … » elle opina, et tout le monde parti à ses occupations. A l’heure dite j’arrivais à la maison et me rendais dans mon bureau. Matilde était là travaillant ses cours. Alors qu’elle se levait, j’étais derrière elle et l’encerclais de mes bras pour poser mes mains sur ses seins et ainsi constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, puis la retournant, je posais mes lèvres sur les siennes et l’attirais contre moi. Le baiser fut long et nos langues se rencontrèrent et se caressèrent.
Avant de la pousser contre le bureau je voulais la taquiner un peu et lui demandais : « Tu t’es préparé pour moi, … »
Matilde : « Oh Oui, … comme tu me l’as demandé, … »
Moi : « Et qu’as-tu fait, … »
Matilde : « Je me suis préparée pour toi, … ne poses pas de questions, … prends moi, … je suis toute chaude, … comme tu voulais, … »
Moi : « Donnes moi tes doigts à gouter, … je vais savoir ce que tu as faits, … »
Matilde : « Tu es un monstre, … j’ai envie de toi, … » et elle me tendit sa main, dont le majeur et l’index sentaient la douce odeur de sa chatte.
Moi : « Tu sens vraiment bon, … »
et j’entrepris d’ouvrir son corsage, pour pouvoir m’occuper de ses seins, qu’elle avait bien ronds et bien pleins et surtout, très sensibles. IL s’agissait de les caresser un peu et les tétons se mettaient à pointer, il s’agissait alors de les prendre les téter, puis les mordiller, cela l’excitait et c’est ce que je fis. Mais pour cela elle me tenait par le cou, et s’était penchée en arrière pour mettre à disposition ses jolis avantages et pour s’équilibrer son bassin était collé contre le mien, ce qui lui permit de constater que ce petit jeu avait des répercutions sur mon anatomie. Enfin la poussant contre la table, elle s’assit sur la table et se laissa basculer sur le dos et dans un joli ensemble remonta sa jupe et écarta les cuisses, en disant : « C’est ce que tu voulais, … je me suis préparé pour toi, … j’ai envie de toi, … » Cette chatte pratiquement nue avec ses grosses lèvres bien visibles, c’était tentant d’y gouter. Je ne pouvais refuser un tel fruit offert et je m’inclinais vers ce joli minou et commençais à l’entreprendre des lèvres, de la langue et enfin des doigts, tout cela doucement pour la préparer au moment où je la prendrais. Ce ne fut pas long car elle était chaude et alors que je m’occupais de sa chatte : « Arrêtes, … c’est toi que je veux, … prends moi, … fais-moi l’amour, …j’attends que ça, … je te veux, … » Me redressant, sur la table elle était à la hauteur de ma bite et m’approchant, elle s’en saisit et me guida vers et dans sa chatte dont la pénétration fut facilitée tant elle était non pas humide mais trempée. A peine je commençais, ce fut : « Oui, … je t’avais promis, … prends moi, … fais-moi l’amour, … j’en ai tellement envie, … oui, … ça me fera des souvenirs, … » Cramponné à ses hanches je la baissais avec ardeur et elle réagissait bruyamment : « Oui, … continues, … ne t’arrêtes pas, … prends moi plus fort, … je sens que , … OOOOHHHH, … OUIIIIII, … OUIIIII, … » alors que la pression était telle, je ne pus me retenir et bien enfoncé dans son fourreau je me vidais alors qu’elle fut saisi d’un spasme brutal, suivi de plusieurs petits qui se voyaient par de petites contractions de tout son corps. Enfin reprenant ses esprits elle se laissa glisser de la table et s’accrochant à moi : « J’aime quand tu me fais l’amour, … il faudra recommencer avant qu’on parte, … t’es d’accord, … » Que répondre sinon lui dire que Oui et je n’attendais que ça.
 L’après-midi
Déjeuner tranquille disons en famille. Paul repartait à la direction, AL restait à la maison, et moi j’envisageais d’aller voir comment s’en sortait mon remplaçant. En fait, il avait été convenu avec Matilde qu’elle prendrait u taxi pour aller au supermarché et que je la récupérerais pour une balade à deux dans un coin tranquille.
Ainsi au moment de partir, Matilde annonça qu’elle prendrait un taxi pour aller au supermarché. Al se tournant vers elle dit : « Jean pourrait t’amener en allant au chantier, … »
Moi : « Bon, … OK, … je t’attends, … pas de problème, après je vais au chantier pour une paire d’heures et serais de retour vers 17,00 H, … »
Matilde : « 2 minutes, … je prends mon sac, … et on part, … » et en route pour un petit tour sexuel. Matilde a mis une jolie petite robe d’été. Dont le corsage est ajusté avec un décolleté carré, fait de telle sorte que le haut enserre bien sa poitrine. Cela tenu par deux bretelles assez larges. La jupe est relativement large, sans histoire. L’ensemble est fermé par de larges boutons de haut en bas. Je pense en la voyant, que c’est bien choisi et pratique pour ce que nous allons faire. Dès que nous partons, de façon à la mettre dans l’ambiance, je pose ma main sur sa cuisse et je la caresse. C’est un peu compliqué avec le changement de vitesses, mais j’y arrive et entre deux je lui demande de remonter se jupe, ce qu’elle fait, et, elle la remonte d’une telle façon que je peux glisser jusqu’à sa chatte. Après plusieurs caresses, elle incline un peu le dossier et s’enfonce dedans en ouvrant les cuisses : « C’est ce que tu veux, … tu aimes que je sois comme ça, … dis-moi, … »
Moi : « Bien sûr, … j’aime te caresser, … j’aime ta peau douce et chaude, … »
Matilde : « Ou va-t-on, … »
Moi : « A la hutte, … on sera tranquille, … et je pourrais te faire l’amour, …tu en as envie, … »
Matilde : « Tu sais bien que oui, … et tu sais que je fais ce que tu veux, … »
Moi : « Tu sais ce que tu vas faire, … »
Matilde : « Non, … dis-moi, … »
Moi : « Quand on sera à la hutte, … tu vas te déshabiller, … j’aimerais te regarder te déshabiller, … tu vas te déshabiller pour que je te regarde, … »
Matilde : « Quoi, tu veux que je fasse un strip-tease, … mais, si tu voulais ça, … il fallait me le dire, … j’aurai mis de la lingerie sexy, … »
Moi : « Non, pas un strip-tease, … non te déshabiller doucement, sensuellement, … cela t’excitera, … et moi aussi, … »
Matilde : « Mais je ne sais pas faire, … je n’ai pas l’habitude, … tu es fou, … en fait, les quelques hommes que j’ai connus, … c’était eux qui me déshabillaient, … non, je ne pourrais pas, … »
Moi : « Mais si, … tu verras, … je suis certain que tu feras ça très bien, … tu feras ça pour m’exciter, … »
Matilde : « Mais comment veux-tu, … je ne saurais pas, … »
Moi : « Mais si, … tu verras, … en pensant que te voir, … m’excitera, … me fera bander dur, … pour qu’après je te fasse l’amour, … non, … que je te baise, fort, … très fort, … »
Matilde : « Tu es fou, … »
Moi : « Mais non, … je ne suis pas fou, … tu en as envie, … mais tu n’oses te l’avouer, … plus je te connais, plus je sens que tu aimes le sexe, … et les plaisirs qu’ils te donnent, … »
Matilde : « Non, … c’est pas possible, … tu me tournes les sens, … d’un côté, … je me dis que je dois me sauver, … de l’autre, … tu me tentes, … j’en ai envie, … je ne sais plus, … »
Nous étions arrivés à la hutte. Garer la voiture, dans la hutte, je prenais Matilde dans mes bras et aussitôt : « Embrasses-moi, … caresses moi, … dis-moi que t’as envie de moi, … »
Moi : « Oui, … mais je veux te voir te déshabiller, … penses que tu veux me séduire, … car tu veux que je te prenne, … que je te fasse, bien l‘amour, … que j’ai très envie de toi, … que tu veux me faire bander, dur, … »
Matilde : « Je veux bien essayer, ... mais je ne sais pas, … et ne te moques pas de moi, … promets-moi, … »
Moi : « Penses à ce que tu aimerais après, … »
Matilde : « Je suis folle, … je me fais l’impression de me tenir comme une salope, … mais j’ai envie d’essayer, … » elle ferma les yeux et s’appuyant légèrement sur la table, elle croisa les bras sous sa poitrine, semblant réfléchir, puis, après avoir passé le bout de sa langue sur ses lèvres, avec ses deux mains déboutonna le premier bouton du corsage de sa robe, puis un second, faisant en sorte qu’à chaque fois son décolleté s’agrandit. Après le troisième, légèrement sous ses seins, le décolleté permettait de voir le début de l’arrondi de ses seins. Là, elle s’arrêta, tirant sur sa jupe, puis arrangeant son décolleté en l’agrandissant et c’était autour du quatrième qui se trouvait légèrement au-dessus de la taille. Ses mains remontèrent et élargir le décolleté, celui-ci permettait d’apercevoir les aréoles. Puis ses mains descendirent le long de son corps comme une caresse, pour arriver à la ceinture, qu’elle défit, la laissant tomber par terre, alors qu’elle défaisait le bouton de la ceinture de la robe, qui glissa, légèrement sur les hanches. Doucement, suivant le bord du décolleté, la main droite remonta jusqu’à la bretelle de la robe et glissant sa main sous la bretelle, la fit glisser le long de son bras gauche, dévoilant ainsi son sein gauche, qu’aussitôt elle cacha en posant sa main dessus, pendant que le bras gauche se libérait de la bretelle. Les lèvres légèrement ouvertes, le rythme de sa respiration augmenta légèrement, alors qu’elle découvrait son sein et que sa main gauche entreprenait la même manœuvre, pour faire glisser la bretelle droite et dégager ainsi son sein droit. A peine les seins visibles, alors qu’elle me regardait fixement, ses mains se posèrent dessus et doucement les caressèrent, ce qui entraina le raidissement de ses tétons, qu’elle prit les faisant rouler doucement entre ses doigts. Ce petit jeu dura, juste le temps qu’ils pointent fièrement, alors, ses deux mains descendirent au niveau de la jupe, qui s’était arrêtée de glisser au niveau de ses hanches, le bouton retenant le glissement, fut ouvert et la jupe, enfin l’ensemble glissa, ce qui fut accéléré par deux roulements de hanches. La robe faisait un cercle à ses pieds, elle enjamba le tas et posant se mains sur ses hanches dans une position très suggestive dit : « Viens, … dépêches toi, … prends moi, … t’as gagné, J’en ai envie, … dis-moi que tu me veux, … que tu veux me baiser, … mais je veux voir comment tu es, … » et s’approchant de moi, elle descendit rapidement short et caleçon et put constater que je bandais dur. : « Je vais te gouter, … et vérifier que tu as envie de moi, … » et aussitôt elle me lécha la tige, avant de prendre le gland entre ses lèvres pour le sucer, et se redressant : « Viens prends moi, … » et elle se retourna s’appuyant sur la table, son joli cul bien visible, les jambes largement écartées, comme je m’approchais, sa main attrapa ma bite et la guida vers et dans son fourreau chaud, ouvert et très mouillé. Cramponné à ses hanches je la travaillais avec ardeur, ma bite coulissait sans problème dans sa chatte et cela était apprécié : « Oui, … j’aime te sentir, … fais-moi l’amour comme ça, … » alors que je lui claquais la fesse droite, elle réagit en se cabrant : « Oh, … brute, … oui, … encore, … j’aime, … » et je continuais mes va et vient dans son fourreau qui me paraissait de plus en plus mouillé et ayant son joli cul sous les yeux j’eus envie de le prendre : « J’ai envie de prendre ton joli cul, … »
Matilde : « Non, … continues, … après, … baises moi, … baises moi fort, … fais-moi jouir, …tu auras tout ce que tu veux après, … OOOHHHH, … ne t’arrêtes pas, … encore, … oui, … OOOHHH, ….OUIIIIIII, … » et parcouru par un long frisson, cramponnée à la table elle se mit à jouir brutalement, mais moi avec les exercices de la nuit et de la matinée, j’en étais arrivé au moment où je bandais toujours dur, j’avais le plaisir dans le rein, mais rien ne voulait sortir, dans ces cas, je devenais une machine à baiser, ne pouvant m’arrêter qu’au moment où je me viderais dans sa chatte, et Matilde subissait mes assauts brutaux : « Oh, … arrêtes, … je ne peux plus, … oui, … arrêtes, … tu vas m’épuiser, … OH, … non, … ne t’arrêtes pas, … brute, … j’aimes, … Oui, … encore, … ne t’arrêtes pas, … oh, baises moi fort,… oui, très fort, … éclates moi la chatte, … oui, … brutalises moi, … je veux des souvenirs, … OOOOH, … OUIIIIIIIII, … » quand tout à coup tout se débloqua et cramponné à ses hanches, bien enfoncé dans sa chatte, je me lâchais et me vidais dans son fourreau. Heureusement elle eut plusieurs spasmes de jouissance, pour enfin se laisser aller sur la table, le souffle court, alors que dame nature faisant son travail, je sortais de son minou, la queue triste.
Enfin se redressant Matilde : « Brute, … que j’ai aimé, … oh, oui, … tu m’as fait jouir, comme jamais, … dis, … tu recommenceras, … »
Moi : « Il nous faut rentrer, … je te dépose au magasin, … tu rentes en taxi, … »
Matilde : « Oui, … comme tu veux, … dis, on recommencera, … » elle ouvrit son sac et en sortit un soutien-gorge t une petite culotte, en disant : « Il ne faudrait pas AL ait des soupçons, … »
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