Merci ma femme!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Merci ma femme!
La chère Martine vient de se siffler deux bières coup sur coup. Avant de se mettre à trépigner.
-Ouh là… là, j’ai envie de faire pipi ! Ça presse, écoute.
-Les toilettes sont là ! J’indique à Martine en lui désignant la porte.
Martine est une collègue de ma femme. Que cette dernière n’a pas trouvé mieux pour me l’envoyer, comme messagère. Et ça faisait bien une heure que je l’écoutais à débiter ses conneries.
Martine est, comme à son habitude, vêtue d’une nouvelle tenue très chic. Elle porte un chemisier blanc très élégant par-dessus un body moulant sa poitrine et couvert de motifs à fleurs en dentelles. De petites formes rondes et fermes se profilent à l’embrassure de son décolleté. Elle porte une mini jupe noire jusqu’à mi-cuisse, gainée de nylon noirs très opaques et merveilleusement satinés, légèrement brillants. Elle marche, les jambes curieusement serrées d’une démarche saccadée.
-Oh là là ! Je ne tiens vraiment plus !
Je l’entends dire, distinctement, puisqu’elle a omis de fermer la porte. Me refaisant pas, alerté par une excitation malsaine, qui m’envoie du côté de la salle de bains, gaver mon voyeurisme. J’arrive au bon moment, elle est en train de relever sa jupe.
-Salaud, ne regarde pas ! Me fait-elle, alors que je m’appuis sur le chambranle de la porte.
Ma présence ne l’empêche néanmoins pas d’ouvrir la vanne. Je suis dans tous mes états d’entendre le fracas du pipi qui rebondit dans la cuvette.
Sur le bidet, elle ne se gêne pas de me dévoiler les poils légers de la motte, les grandes lèvres éclaboussées de pipi. Je suis béni des anges !
Et ça coule, et ça coule. Le flot dru bat l’eau à jet continu. Comme prise de démence qui me grouille dans le bas-ventre, je m’approche. Les femmes qui font pipi, ça m’attire depuis toujours ma jeune enfance. L’écoute du bruit de l’urine frappant l’eau de la cuvette ne me laisse pas indifférent.
Martine sur la cuvette, se met à haleter elle-même inconsciemment, gagnée je le devine par une excitation. Je me penche et je n’hésite pas à toucher la chatte humectée d’urine.
-Non…non !
Elle grimace de dégoût en me voyant renifler mes doigts humides de son pipi. Je la repousse en arrière. Elle reste comme hypnotisée. C’est alors qu’une autre brusque folie m’emporte. Qui me convulse de plaisir quand le liquide brûlant s’échappe encore de sa source pour gicler sur mes doigts.
Cette soumission fait exploser quelque chose dans ma tête. Je me redresse sans un mot, je l’attire à moi. Je me glisse lentement dans son dos, une tempête de déstabilisation sous mon crâne. Je transpire d’excitation, j’ai les mains moites et mon cœur bat la chamade. D’un geste souple, je caresse ses fesses. Fermant les yeux, Martine laisse couler sa tête vers l’arrière.
- Tu peux me sauter, cela restera entre nous…
-Tu es sûr que tu n’iras pas le chanter à ma femme ?
-Tu peux compter sur moi pour garder cela dans mon jardin secret !
Accompagnant ses mots d’un geste travaillé, très érotique, elle se déchausse, se sépare de son collant, de son slip qui lui entraver ses chevilles. Elle possède vraiment une croupe magnifique. Je plaque mon bas-ventre contre son cul. J’ai la bite en éruption. Je dégrafe mon pantalon je m’en s’épare pas sans mal. Le laissant chuter lourdement au sol dans un froissement d’étoffe. Je m’accroupis derrière elle, mon visage à quelques centimètres du cul de Martine.
Je passe ma langue sur la périphérie de ses fesses. Laissant l’empreinte de ma salive avant de m’insinuer dans sa raie. Un léger parfum de sueur envahit aussitôt mes narines. Je me délecte de ce fossé étroit gorgé de plaisir. J’agace tout d’abord son anus. Humectant à coups de langue l’entrée de ce délicieux orifice odoriférant. Enfin pour ma pomme !
J'envoie mes doigts à la rencontre de la tirelire. Il dégage lui aussi des effluves envoûtants, toujours pour un cochon comme moi !
Martine gémit en sentant mon nez s’enfouir dans sa raie. Haletante, elle fait aller sa croupe d’avant en arrière pour mieux s’imprégner de mon désir. Je descends ma langue jusqu’à son antre. Je titille son bourgeon. Elle se cambre vers l’avant, implorante, les mains sur le miroir de la salle de bains.
Je me redresse, guide ma queue jusqu’à se trouver entre ses lèvres intimes. J’empoigne ses hanches et commence un aller-retour en elle. Martine laisse échapper son bien-être, sous mes coups de boutoir, déversant soupirs et gémissements à chacun de mes assauts. Mais très vite je me sens beaucoup trop à l’aise dans l’orifice.
Je force l’autre ouverture, la plus petite. Elle crie sous la surprise, se pliant néanmoins sous la puissance de ma queue qui s’enfonce difficilement en elle. Arrivée à la moitié, je commence un mouvement de branle. Peu à peu je me retrouve entièrement dans son cul. Une trop grande excitation, me fait perdre le contrôle et libère un flot de sperme. Et tandis que je vacille sur mes jambes, épuisé par l’effort, Martine se redresse.
Néanmoins je prends le temps d’extraire la culotte du collant et l’emmène avec moi à l’intérieur du salon. Je propose une coupe de crémant à Martine, pour reprendre nos esprits. C’est l’instant que choisit ma femme pour s’informer par téléphone interposé.
-C’est son troisième appel. Me fait-elle, alors que j’hume son slip.
-Tu comptes quoi faire ?
-Je ne sais pas, tu me proposes quoi ?
-Maintenant que j’ai les couilles vidées, il serait bien que j’aille dormir.
- Salut ! Me fit-elle en me giflant.
Elle attend quelques instants avant de m’envoyer des excuses.
- Pour me faire pardonner, je vais te sucer. Qu’est-ce que tu en penses?
- Tu fais bien ce que tu veux. Fais attention, elle sort tout de même de ton cul !
Pour toute réponse, elle approche ses lèvres de ma queue, elle sort la langue et agace le bout du gland, léchant avec un certain délice ma verge qu’elle tient dans sa main et qui devient de plus en plus grosse. Sa langue passe sur toute ma longueur, s’attarde sur mon gland, pour aller ensuite se perdre sur mes couilles, m’offrant une érection phénoménale.
Puis, elle la fait glisser entièrement, entre ses lèvres. Elle a la bouche déformée par ma verge. Cela ne l’empêche pas d’entreprendre un pompage d’experte. Jusqu’à ce qu’elle juge que ma queue serait mieux ailleurs !
- Vas-y Alain, mets-la moi bien au fond. Me supplie-t-elle.
Incapable de résister à un appel d’une femme, je prends la position adéquate, et guide ma verge à l’entrée de sa chatte, comme voulu. D’un coup de reins, je l’enfourche, lui arrachant des gémissements de bien-être.
- Si tu savais comme j’aime ça, me faire mettre…
-Je vois ça !
Je la saisis par les hanches et commence à naviguer dans son sexe, sur toute la longueur de ma queue, avant d’accélérer crescendo le balancement de mon bassin.
- Oh oui …continue…c’est bon, défonce-moi…encore, encore…
Avec de tels encouragements, je ne pouvais que la défoncer, littéralement. Sortant de la chatte plus que distendu pour y replonger aussitôt. L‘amenant à l’orgasme qu’elle acquiert dans un râle bruyant.
Loin de conclure à mon tour, je sors de son ventre, et m’étends sur mon divan.
-Tu as joui ? Me lance-t-elle.
-Bien sûr ! Menté-je.
- Oh que c’était bon ! S’exclame-t-elle.
Une fois Martine partie, abasourdi, la main crispée sur sa lingerie, je ne sais pas trop quoi penser de ce qui vient d'arriver. Toutefois j’approche le morceau d’étoffe pollué jusqu’à mes narines pour le respirer encore une fois avant de plonger dans la nuit.
-Ouh là… là, j’ai envie de faire pipi ! Ça presse, écoute.
-Les toilettes sont là ! J’indique à Martine en lui désignant la porte.
Martine est une collègue de ma femme. Que cette dernière n’a pas trouvé mieux pour me l’envoyer, comme messagère. Et ça faisait bien une heure que je l’écoutais à débiter ses conneries.
Martine est, comme à son habitude, vêtue d’une nouvelle tenue très chic. Elle porte un chemisier blanc très élégant par-dessus un body moulant sa poitrine et couvert de motifs à fleurs en dentelles. De petites formes rondes et fermes se profilent à l’embrassure de son décolleté. Elle porte une mini jupe noire jusqu’à mi-cuisse, gainée de nylon noirs très opaques et merveilleusement satinés, légèrement brillants. Elle marche, les jambes curieusement serrées d’une démarche saccadée.
-Oh là là ! Je ne tiens vraiment plus !
Je l’entends dire, distinctement, puisqu’elle a omis de fermer la porte. Me refaisant pas, alerté par une excitation malsaine, qui m’envoie du côté de la salle de bains, gaver mon voyeurisme. J’arrive au bon moment, elle est en train de relever sa jupe.
-Salaud, ne regarde pas ! Me fait-elle, alors que je m’appuis sur le chambranle de la porte.
Ma présence ne l’empêche néanmoins pas d’ouvrir la vanne. Je suis dans tous mes états d’entendre le fracas du pipi qui rebondit dans la cuvette.
Sur le bidet, elle ne se gêne pas de me dévoiler les poils légers de la motte, les grandes lèvres éclaboussées de pipi. Je suis béni des anges !
Et ça coule, et ça coule. Le flot dru bat l’eau à jet continu. Comme prise de démence qui me grouille dans le bas-ventre, je m’approche. Les femmes qui font pipi, ça m’attire depuis toujours ma jeune enfance. L’écoute du bruit de l’urine frappant l’eau de la cuvette ne me laisse pas indifférent.
Martine sur la cuvette, se met à haleter elle-même inconsciemment, gagnée je le devine par une excitation. Je me penche et je n’hésite pas à toucher la chatte humectée d’urine.
-Non…non !
Elle grimace de dégoût en me voyant renifler mes doigts humides de son pipi. Je la repousse en arrière. Elle reste comme hypnotisée. C’est alors qu’une autre brusque folie m’emporte. Qui me convulse de plaisir quand le liquide brûlant s’échappe encore de sa source pour gicler sur mes doigts.
Cette soumission fait exploser quelque chose dans ma tête. Je me redresse sans un mot, je l’attire à moi. Je me glisse lentement dans son dos, une tempête de déstabilisation sous mon crâne. Je transpire d’excitation, j’ai les mains moites et mon cœur bat la chamade. D’un geste souple, je caresse ses fesses. Fermant les yeux, Martine laisse couler sa tête vers l’arrière.
- Tu peux me sauter, cela restera entre nous…
-Tu es sûr que tu n’iras pas le chanter à ma femme ?
-Tu peux compter sur moi pour garder cela dans mon jardin secret !
Accompagnant ses mots d’un geste travaillé, très érotique, elle se déchausse, se sépare de son collant, de son slip qui lui entraver ses chevilles. Elle possède vraiment une croupe magnifique. Je plaque mon bas-ventre contre son cul. J’ai la bite en éruption. Je dégrafe mon pantalon je m’en s’épare pas sans mal. Le laissant chuter lourdement au sol dans un froissement d’étoffe. Je m’accroupis derrière elle, mon visage à quelques centimètres du cul de Martine.
Je passe ma langue sur la périphérie de ses fesses. Laissant l’empreinte de ma salive avant de m’insinuer dans sa raie. Un léger parfum de sueur envahit aussitôt mes narines. Je me délecte de ce fossé étroit gorgé de plaisir. J’agace tout d’abord son anus. Humectant à coups de langue l’entrée de ce délicieux orifice odoriférant. Enfin pour ma pomme !
J'envoie mes doigts à la rencontre de la tirelire. Il dégage lui aussi des effluves envoûtants, toujours pour un cochon comme moi !
Martine gémit en sentant mon nez s’enfouir dans sa raie. Haletante, elle fait aller sa croupe d’avant en arrière pour mieux s’imprégner de mon désir. Je descends ma langue jusqu’à son antre. Je titille son bourgeon. Elle se cambre vers l’avant, implorante, les mains sur le miroir de la salle de bains.
Je me redresse, guide ma queue jusqu’à se trouver entre ses lèvres intimes. J’empoigne ses hanches et commence un aller-retour en elle. Martine laisse échapper son bien-être, sous mes coups de boutoir, déversant soupirs et gémissements à chacun de mes assauts. Mais très vite je me sens beaucoup trop à l’aise dans l’orifice.
Je force l’autre ouverture, la plus petite. Elle crie sous la surprise, se pliant néanmoins sous la puissance de ma queue qui s’enfonce difficilement en elle. Arrivée à la moitié, je commence un mouvement de branle. Peu à peu je me retrouve entièrement dans son cul. Une trop grande excitation, me fait perdre le contrôle et libère un flot de sperme. Et tandis que je vacille sur mes jambes, épuisé par l’effort, Martine se redresse.
Néanmoins je prends le temps d’extraire la culotte du collant et l’emmène avec moi à l’intérieur du salon. Je propose une coupe de crémant à Martine, pour reprendre nos esprits. C’est l’instant que choisit ma femme pour s’informer par téléphone interposé.
-C’est son troisième appel. Me fait-elle, alors que j’hume son slip.
-Tu comptes quoi faire ?
-Je ne sais pas, tu me proposes quoi ?
-Maintenant que j’ai les couilles vidées, il serait bien que j’aille dormir.
- Salut ! Me fit-elle en me giflant.
Elle attend quelques instants avant de m’envoyer des excuses.
- Pour me faire pardonner, je vais te sucer. Qu’est-ce que tu en penses?
- Tu fais bien ce que tu veux. Fais attention, elle sort tout de même de ton cul !
Pour toute réponse, elle approche ses lèvres de ma queue, elle sort la langue et agace le bout du gland, léchant avec un certain délice ma verge qu’elle tient dans sa main et qui devient de plus en plus grosse. Sa langue passe sur toute ma longueur, s’attarde sur mon gland, pour aller ensuite se perdre sur mes couilles, m’offrant une érection phénoménale.
Puis, elle la fait glisser entièrement, entre ses lèvres. Elle a la bouche déformée par ma verge. Cela ne l’empêche pas d’entreprendre un pompage d’experte. Jusqu’à ce qu’elle juge que ma queue serait mieux ailleurs !
- Vas-y Alain, mets-la moi bien au fond. Me supplie-t-elle.
Incapable de résister à un appel d’une femme, je prends la position adéquate, et guide ma verge à l’entrée de sa chatte, comme voulu. D’un coup de reins, je l’enfourche, lui arrachant des gémissements de bien-être.
- Si tu savais comme j’aime ça, me faire mettre…
-Je vois ça !
Je la saisis par les hanches et commence à naviguer dans son sexe, sur toute la longueur de ma queue, avant d’accélérer crescendo le balancement de mon bassin.
- Oh oui …continue…c’est bon, défonce-moi…encore, encore…
Avec de tels encouragements, je ne pouvais que la défoncer, littéralement. Sortant de la chatte plus que distendu pour y replonger aussitôt. L‘amenant à l’orgasme qu’elle acquiert dans un râle bruyant.
Loin de conclure à mon tour, je sors de son ventre, et m’étends sur mon divan.
-Tu as joui ? Me lance-t-elle.
-Bien sûr ! Menté-je.
- Oh que c’était bon ! S’exclame-t-elle.
Une fois Martine partie, abasourdi, la main crispée sur sa lingerie, je ne sais pas trop quoi penser de ce qui vient d'arriver. Toutefois j’approche le morceau d’étoffe pollué jusqu’à mes narines pour le respirer encore une fois avant de plonger dans la nuit.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore ces histoires un peu rustre où la baise est bien menée....
J'aime aussi ces bruits de pisse dans les toilettes et humer des culs et des culottes...
Merci
Cyrille
J'aime aussi ces bruits de pisse dans les toilettes et humer des culs et des culottes...
Merci
Cyrille
Bof bof

