Mon Beauf, cet hétéro canon (12)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 28 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 86 699 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 490 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mon Beauf, cet hétéro canon (12)
Chapitre 12
Je lui mis la main sur la bouche pour le faire taire puis je l’embrassais sur les lèvres. Il me prit la tête entre ses mains et inséra sa langue bien au fond de ma bouche. Je fis de même mais me ressaisis rapidement. Il eut un très large sourire et me dit :
-Je savais que tu kiffais.
-Je n’ai rien dit.
-Peut-être mais je l’ai senti. Et regardes comme tu rougis quand je te dis ça.
-Pffuuuu t’es nul.
Je me mis ensuite à le savonner puis nous sommes sortis de la douche propre. Je rejoignis Aloïs sur le lit pendant que Pierre s’habillait. Mon beauf se leva et parti à la cuisine pour boire un coup. Pierre sortit de sa poche un papier avec un stylo et gribouilla sur celui-ci. Il me mit le papier dans la main puis parti en me faisant un clin d’œil. Je l’entendis saluer Aloïs et je regardais le papier. Son numéro était inscrit dessus avec l’inscription : « Appelles-moi stp ».
Nous avons passé la journée tranquille dans le camping en profitant de la piscine et du restaurant. Aloïs était plutôt prévenant mais je n’avais qu’une chose en tête depuis le matin : la façon dont Pierre m’avait embrassé et pourquoi il m’avait laissé son numéro de téléphone ? Comment faire pour l’appeler ou lui envoyer un message avec mon beauf toujours près de moi.
-Tu as bien l’air pensif depuis ce matin, que t’arrive-t-il ?
-Rien rien, je suis super bien avec toi.
-T’es sûr, parce que tu n’en as pas l’air ?
-Non, c’est vrai tu as raison. Mais si je te dis ce qu’il y a, tu me promets de ne pas te mettre en colère ?
-Euh, qu’est ce que tu as fait encore ? dit-il en commençant à s’énerver.
-Tu vois, je ne peux rien te dire du coup.
-Si si pardon, excuses-moi. Je parie que c’est par rapport à ce matin avec Pierre ?
-Ben, euh, comment tu sais ?
-Oh j’ai bien vu que tu étais pensif depuis ce matin.
-Ok, mais je ne sais pas quoi en penser à vrai dire.
-Expliques moi alors.
Je me suis donc décidé à tout lui expliquer depuis la douche avec le baiser et le numéro de téléphone qu’il m’avait laissé. Il m’a regardé avec un air que je ne connaissais pas encore. Je ne savais pas s’il était en colère, ou s’il s’en foutait.
-Tu ne dis rien ?
-Ben tu veux que je te dise quoi ?
-La dernière fois qu’un mec m’a laissé son numéro de téléphone tu t’es mis en colère.
-C’est vrai mais je sais que tu ne feras rien sans mon consentement maintenant donc je ne me fais pas de soucis. Tu crois qu’il a encore envie de te baiser comme une chienne ?
-Je ne sais pas vraiment à vrai dire.
-Ben appelles-le et on verra bien.
-Là tout de suite ?
-Ben oui et s’il veut te baiser c’est devant moi ou tient, je vais l’appeler moi avec ton téléphone et tu vois je ne me mets pas en colère mais tu sais que tu es à moi et que je décide, ok ?
-Oui Aloïs. Merci Aloïs.
Il prit donc mon téléphone et parti dehors l’appeler tandis que je restais dans le mobile home en l’attendant avec impatience pour savoir ce qu’il voulait exactement. Il est revenu au bout de dix minutes avec un grand sourire mais avec un air assez sévère.
-Alors ?
-Eh bien je crois que tu as un fan.
-Comment ça ?
-Eh bien notre très cher Pierre a envie de te revoir donc ce soir je l’ai autorisé à t’inviter au resto et si vous voulez baiser, ça sera ici. Je resterai dans le mobile home mais ne vous dérangerai pas. Il t’attendra donc à la sortie du camping à 19h30 ce soir.
-Je ne comprends pas. Je croyais que tu ne voulais pas que je vois d’autres mecs seuls.
-Tu veux ou pas ?
-Oui oui mais je ne comprends pas.
-Tu es à moi mais j’ai ta sœur donc quand on va rentrer tu vas reprendre ta vie mais je serai toujours présent car tu es à moi pour toujours et Pierre est au courant de tout ça mais ça n’a pas l’air de le déranger.
-C’est-à-dire ?
-Tu comprendras mais je veux que tu gardes en tête ceci : tu es à moi et même si un jour tu te trouve un mec je veux que tu saches que malgré ça, je te baiserai dès que j’en ai envie. Tu le sais ça ?
-Oui je le sais.
-Bien. Maintenant, vas te préparer pour ton rencard, me dit-il avec un sourire et un clin d’œil.
-Oui, merci Aloïs.
-Mais avant de te préparer, viens me pomper tout de suite.
Je ne me fis pas prier, je me déshabillai puis je me suis mis à genoux devant lui et lui ai descendu son short. Il n’avait rien en dessous et il bandait déjà comme un âne. Je commençais par lui gober les couilles tout en lui pinçant les tétons. Il gémissait quand j’aspirait ses belles couilles bien lisses et pendantes. Puis je commençais à lécher sa verge de haut en bas tout en prenant son gland en bouche et je recommençais de nouveau. A chaque coup de langue, je le fixais avec intensité droit dans ses yeux et il ne lâchait pas mon regard non plus. Je pris ensuite sa verge en bouche et commençais à le sucer doucement tout en malaxant ses couilles. Il commençait à mettre des petits coups de reins pour que je prenne bien sa queue en entière et bien à fond. J’aime le regarder dans ces moments-là. Il prit enfin sa queue en main et la branla devant moi. J’ouvris la bouche et tirais la langue. Il se branla sur ma langue et me biffla avec de grand coup de queue. Puis son regard changea en un regard plus bestial. Il enfonça sa queue bien au fond de ma gorge et m’attrapa la tête de ses deux mains et il commença à me baiser la bouche comme un malade. Il mit sa queue bien à fond et me bloqua dans cette position pendant plus de trente secondes. J’en avais les larmes aux yeux tellement j’avais du mal à respirer. Il ne disait rien mais grognait de plus en plus. Je voyais dans son regard qu’il se vengeait car il ne serait pas avec moi ce soir. Je ne lui en voulais pas. J’étais reconnaissant et bien au contraire, je trouvais ça normal même. Je lui appartiens et je le sais maintenant. Il reprit de plus belle ses vas et viens dans ma bouche. Il sortit sa queue puis m’attrapa et me coucha sur le dos sur le lit la tête dans le vide puis il me remit sa queue en bouche pour la rebaiser avec force. Il me baisa la bouche comme ça pendant plus de 15 minutes. D’un coup, il mit un coup de rein violent en bloquant sa queue en gorge profonde et déversa tout son jus pour que j’avale tout. Je n’ai même pas eu besoin de me branler que moi aussi je me mis à juter sur mon ventre. Il me fit sucer sa queue pour qu’elle soit bien propre puis avec ses doigts, il prit mon jus qu’il me fit boire.
-Ah, maintenant, tu peux aller te laver et te préparer mon lapin.
Je partis donc me laver et m’habiller avec classe. Une fois près, Aloïs me prit par la taille et me regarda de la tête au pied.
-Tu es très beau mon lapin.
-Merci Aloïs.
-Je te dis donc à tout à l’heure.
-Oui à tout à l’heure.
Je commençais à partir quand il m’appela.
-Tu n’oublies rien avant de partir par hasard ?
-Ben non, je ne crois pas.
-Tu ne m’embrasses pas ?
-Excuses-moi.
Je revins donc sur mes pas et il m’attrapa à nouveau par la taille et c’est lui qui m’embrassa fougueusement.
-Passes une bonne soirée mon beau et n’oublies pas que tu es à moi quoi qu’il arrive.
-Oui Aloïs.
Je l’embrassais à nouveau puis parti rejoindre Pierre. Je le retrouvai debout devant sa voiture et mon Dieu qu’il était séduisant. Il portait une chemise blanche plutôt cintrée et un jean bleu ainsi que des baskets blanches. Je m’approchai de lui et il me fit la bise. Nous sommes donc montés dans sa voiture et il démarra. Nous avons roulé durant un bon quart d’heure sans nous parler. Puis nous sommes arrivés devant un petit resto qui avait l’air plutôt tranquille.
Nous avons été installés en terrasse mais dans un coin assez isolé et tranquille. Nous avons quand même enfin parlé de banalités et j’ai appris qu’il avait de la famille dans le Jura pas loin de là où je vis aussi et qu’il avait 32 ans. J’étais toujours intrigué par ce qu’il s’était passé ce matin et je pris donc la parole :
-Je peux te poser une question ?
-Oui, bien sûr. Dis-moi ?
-Je voulais savoir pourquoi tout ça ? Pourquoi tu voulais que je t’appelle et que signifiait ce baiser sous la douche.
-Ben en fait, personne dans mon entourage ne le sais mais je pense être Bi mais avant toi, je n’avais jamais rien fait avec un gars. Je n’avais jamais franchi le pas avant.
-Ok mais pourquoi tu voulais que je te rappelle ? Tu sais le lien que j’ai avec Aloïs et il t’a expliqué comment ça se passait entre lui et moi. Je lui appartiens et même si un jour j’aurais quelqu’un dans ma vie, je serais toujours à lui.
-Oui ça j’ai bien compris tout ça.
-Ok mais je ne comprends toujours pas ce que tu me veux exactement.
-Ben tu n’as toujours rien compris ?
-Ben à vrai dire non.
-Tu me plaît.
-Toi aussi tu me plais mais on ne vit pas à côté l’un de l’autre, on a aussi 11 ans d’écart. Je suis encore étudiant et toi tu as une vie, un boulot et….
-Mais et alors ? Rien ne m’empêche de te revoir.
-T’es sûr que tu as compris ma relation avec Aloïs ?
-Je l’ai très bien compris oui et s’il faut te partager pour te revoir alors ok.
-T’es dingue, personne ne voudrait ça et on se connait à peine.
-C’est ça qui est chouette, on va pouvoir apprendre à se connaître et pour l’âge, je m’en tape drôlement. T’es étudiant ok ce n’est pas grave si ?
-Non, c’est vrai.
-Mais le fait que je sois plus vieux que toi te dérange ?
-Non, pas du tout en plus t’es grave sexy.
-Ah cool alors et tu me plais vraiment tu sais ?
-J’ai cru comprendre oui.
-Et tes potes, ils vont en dire quoi ?
-Tu sais, on se connait depuis la primaire donc je ne pense pas que ça les dérangera. Ils seront sûrement surpris au départ mais ça devrait aller. Tu serais près à essayer de me connaître un peu plus alors ?
-Je crois que oui.
Il mit sa main sur la mienne et me fit un grand sourire. Le repas se déroula très bien et nous avons continuer de parler de tout et de rien. Ah si, il est maçon et que s’il le voulait, il pouvait retrouver du boulot facilement n’importe où.
Vers 22h30, nous sommes retournés ensemble au mobile home où Aloïs nous attendait en regardant la télévision.
-Alors, les tourtereaux, le resto était sympa ? Vous voulez un petit café où vous voulez vous retrouver seul dans la chambre.
-On va aller dans la chambre si ça ne te dérange pas.
-Non pas du tout.
-Cool alors.
Aloïs s’est levé d’un coup puis s’est approché de moi tout en regardant Pierre. Il attrapa ma taille en m’embrassa à nouveau fougueusement devant le regard surpris de Pierre.
-Ca ne te pose pas de problème ?
-Euh, non non, dit Pierre nerveusement.
Je pris ensuite la main de Pierre et le dirigea avec moi jusque dans la chambre où il vint s’asseoir sur le lit.
-T’es sûr que ça ne te dérange pas ?
-C’est bizarre mais je t’ai dit que j’étais ok.
-T’es dingue.
Et je vins m’enlacer dans ses bras puis je l’embrassai sur les lèvres tendrement.
Il me caressa la joue puis me mit sur le dos et se mit au-dessus de moi tout en me regardant avec un grand sourire. Au même moment, on entendit derrière la porte Aloïs demander :
-T’es clean mec ?
-Euh, oui pourquoi ?
-Devines ?
-Ben, dis-moi.
-T’es autorisé à ne pas mettre de capote mec. Enfin si ça te dit.
-Euh, ok ok merci.
Pierre me regarda et éclata de rire. Il vint ensuite m’embrasser et commença à me déshabiller. J’allais pour faire la même chose mais il se déshabilla lui-même. Il vint ensuite s’allonger sur moi et commença à me caresser de partout. Il s’allongea ensuite sur le dos et c’est moi cette fois-ci qui pris les devant en lui aspirant sa queue qui était déjà au garde à vous. Il se mit à fermer les yeux dès que je faisais des allers retours sur son énorme bite bien dure et veineuse. Pendant que je le suçais, il mit sa main sur ma tête pour me montrer la cadence mais il restait quand même doux avec moi. Rien à voir avec le matin même. Je l’ai donc sucé pendant presque 15 minutes puis il se redressa et me fit me retourner sur lui. J’avais toujours sa queue en bouche et lui pouvait me bouffer le cul. Je sentais sa langue me lécher de haut en bas puis s’insérer. Il me mit un doigt puis deux qu’il fit faire des allers retours. Je gémissais de plaisir et d’un coup, je me suis redressé puis retourner pour lui faire face. Je l’ai regardé puis embrassé. Avec ma main, j’ai attrapé sa queue que j’ai placé devant ma rosette bien ouverte. Tout doucement, sa queue a pris sa place et j’ai commencé à gémir de plus en plus en remuant mon cul sur sa queue. Lui aussi gémissait de plaisir et ce fut intense. Il se mit assit au bord du lit et tout en me portant avec sa queue en moi, il se releva, me porta et me colla contre le mur. J’avais les jambes autour de sa taille et je me maintenant à son coup pendant que lui m’embrassait et me martelait de coup de riens intenses et rapide. Après cinq bonnes minutes, il me reposa sur le lit toujours sa queue en moi et continua de me baiser avec intensité. Ses coups de queue me produisaient un plaisir très fort et mon sphincter se resserra sur sa queue et je me mis à jouir. Il se mit à grogner avec force au même moment et me remplit mes entrailles de tout son jus. Il s’écroula enfin sur moi et se m’embrassa.
-C’était génial.
-Oui le pied, dis-je.
-Et j’ai vraiment envie de te revoir.
Il m’embrassa encore avec fougue. On entendit à nouveau frapper à la porte. Pierre se mit sous les draps et Aloïs rentra dans la chambre, nu, avec une érection d’enfer.
-A mon tour maintenant, dit-il.
Fin du chapitre 12.
Je lui mis la main sur la bouche pour le faire taire puis je l’embrassais sur les lèvres. Il me prit la tête entre ses mains et inséra sa langue bien au fond de ma bouche. Je fis de même mais me ressaisis rapidement. Il eut un très large sourire et me dit :
-Je savais que tu kiffais.
-Je n’ai rien dit.
-Peut-être mais je l’ai senti. Et regardes comme tu rougis quand je te dis ça.
-Pffuuuu t’es nul.
Je me mis ensuite à le savonner puis nous sommes sortis de la douche propre. Je rejoignis Aloïs sur le lit pendant que Pierre s’habillait. Mon beauf se leva et parti à la cuisine pour boire un coup. Pierre sortit de sa poche un papier avec un stylo et gribouilla sur celui-ci. Il me mit le papier dans la main puis parti en me faisant un clin d’œil. Je l’entendis saluer Aloïs et je regardais le papier. Son numéro était inscrit dessus avec l’inscription : « Appelles-moi stp ».
Nous avons passé la journée tranquille dans le camping en profitant de la piscine et du restaurant. Aloïs était plutôt prévenant mais je n’avais qu’une chose en tête depuis le matin : la façon dont Pierre m’avait embrassé et pourquoi il m’avait laissé son numéro de téléphone ? Comment faire pour l’appeler ou lui envoyer un message avec mon beauf toujours près de moi.
-Tu as bien l’air pensif depuis ce matin, que t’arrive-t-il ?
-Rien rien, je suis super bien avec toi.
-T’es sûr, parce que tu n’en as pas l’air ?
-Non, c’est vrai tu as raison. Mais si je te dis ce qu’il y a, tu me promets de ne pas te mettre en colère ?
-Euh, qu’est ce que tu as fait encore ? dit-il en commençant à s’énerver.
-Tu vois, je ne peux rien te dire du coup.
-Si si pardon, excuses-moi. Je parie que c’est par rapport à ce matin avec Pierre ?
-Ben, euh, comment tu sais ?
-Oh j’ai bien vu que tu étais pensif depuis ce matin.
-Ok, mais je ne sais pas quoi en penser à vrai dire.
-Expliques moi alors.
Je me suis donc décidé à tout lui expliquer depuis la douche avec le baiser et le numéro de téléphone qu’il m’avait laissé. Il m’a regardé avec un air que je ne connaissais pas encore. Je ne savais pas s’il était en colère, ou s’il s’en foutait.
-Tu ne dis rien ?
-Ben tu veux que je te dise quoi ?
-La dernière fois qu’un mec m’a laissé son numéro de téléphone tu t’es mis en colère.
-C’est vrai mais je sais que tu ne feras rien sans mon consentement maintenant donc je ne me fais pas de soucis. Tu crois qu’il a encore envie de te baiser comme une chienne ?
-Je ne sais pas vraiment à vrai dire.
-Ben appelles-le et on verra bien.
-Là tout de suite ?
-Ben oui et s’il veut te baiser c’est devant moi ou tient, je vais l’appeler moi avec ton téléphone et tu vois je ne me mets pas en colère mais tu sais que tu es à moi et que je décide, ok ?
-Oui Aloïs. Merci Aloïs.
Il prit donc mon téléphone et parti dehors l’appeler tandis que je restais dans le mobile home en l’attendant avec impatience pour savoir ce qu’il voulait exactement. Il est revenu au bout de dix minutes avec un grand sourire mais avec un air assez sévère.
-Alors ?
-Eh bien je crois que tu as un fan.
-Comment ça ?
-Eh bien notre très cher Pierre a envie de te revoir donc ce soir je l’ai autorisé à t’inviter au resto et si vous voulez baiser, ça sera ici. Je resterai dans le mobile home mais ne vous dérangerai pas. Il t’attendra donc à la sortie du camping à 19h30 ce soir.
-Je ne comprends pas. Je croyais que tu ne voulais pas que je vois d’autres mecs seuls.
-Tu veux ou pas ?
-Oui oui mais je ne comprends pas.
-Tu es à moi mais j’ai ta sœur donc quand on va rentrer tu vas reprendre ta vie mais je serai toujours présent car tu es à moi pour toujours et Pierre est au courant de tout ça mais ça n’a pas l’air de le déranger.
-C’est-à-dire ?
-Tu comprendras mais je veux que tu gardes en tête ceci : tu es à moi et même si un jour tu te trouve un mec je veux que tu saches que malgré ça, je te baiserai dès que j’en ai envie. Tu le sais ça ?
-Oui je le sais.
-Bien. Maintenant, vas te préparer pour ton rencard, me dit-il avec un sourire et un clin d’œil.
-Oui, merci Aloïs.
-Mais avant de te préparer, viens me pomper tout de suite.
Je ne me fis pas prier, je me déshabillai puis je me suis mis à genoux devant lui et lui ai descendu son short. Il n’avait rien en dessous et il bandait déjà comme un âne. Je commençais par lui gober les couilles tout en lui pinçant les tétons. Il gémissait quand j’aspirait ses belles couilles bien lisses et pendantes. Puis je commençais à lécher sa verge de haut en bas tout en prenant son gland en bouche et je recommençais de nouveau. A chaque coup de langue, je le fixais avec intensité droit dans ses yeux et il ne lâchait pas mon regard non plus. Je pris ensuite sa verge en bouche et commençais à le sucer doucement tout en malaxant ses couilles. Il commençait à mettre des petits coups de reins pour que je prenne bien sa queue en entière et bien à fond. J’aime le regarder dans ces moments-là. Il prit enfin sa queue en main et la branla devant moi. J’ouvris la bouche et tirais la langue. Il se branla sur ma langue et me biffla avec de grand coup de queue. Puis son regard changea en un regard plus bestial. Il enfonça sa queue bien au fond de ma gorge et m’attrapa la tête de ses deux mains et il commença à me baiser la bouche comme un malade. Il mit sa queue bien à fond et me bloqua dans cette position pendant plus de trente secondes. J’en avais les larmes aux yeux tellement j’avais du mal à respirer. Il ne disait rien mais grognait de plus en plus. Je voyais dans son regard qu’il se vengeait car il ne serait pas avec moi ce soir. Je ne lui en voulais pas. J’étais reconnaissant et bien au contraire, je trouvais ça normal même. Je lui appartiens et je le sais maintenant. Il reprit de plus belle ses vas et viens dans ma bouche. Il sortit sa queue puis m’attrapa et me coucha sur le dos sur le lit la tête dans le vide puis il me remit sa queue en bouche pour la rebaiser avec force. Il me baisa la bouche comme ça pendant plus de 15 minutes. D’un coup, il mit un coup de rein violent en bloquant sa queue en gorge profonde et déversa tout son jus pour que j’avale tout. Je n’ai même pas eu besoin de me branler que moi aussi je me mis à juter sur mon ventre. Il me fit sucer sa queue pour qu’elle soit bien propre puis avec ses doigts, il prit mon jus qu’il me fit boire.
-Ah, maintenant, tu peux aller te laver et te préparer mon lapin.
Je partis donc me laver et m’habiller avec classe. Une fois près, Aloïs me prit par la taille et me regarda de la tête au pied.
-Tu es très beau mon lapin.
-Merci Aloïs.
-Je te dis donc à tout à l’heure.
-Oui à tout à l’heure.
Je commençais à partir quand il m’appela.
-Tu n’oublies rien avant de partir par hasard ?
-Ben non, je ne crois pas.
-Tu ne m’embrasses pas ?
-Excuses-moi.
Je revins donc sur mes pas et il m’attrapa à nouveau par la taille et c’est lui qui m’embrassa fougueusement.
-Passes une bonne soirée mon beau et n’oublies pas que tu es à moi quoi qu’il arrive.
-Oui Aloïs.
Je l’embrassais à nouveau puis parti rejoindre Pierre. Je le retrouvai debout devant sa voiture et mon Dieu qu’il était séduisant. Il portait une chemise blanche plutôt cintrée et un jean bleu ainsi que des baskets blanches. Je m’approchai de lui et il me fit la bise. Nous sommes donc montés dans sa voiture et il démarra. Nous avons roulé durant un bon quart d’heure sans nous parler. Puis nous sommes arrivés devant un petit resto qui avait l’air plutôt tranquille.
Nous avons été installés en terrasse mais dans un coin assez isolé et tranquille. Nous avons quand même enfin parlé de banalités et j’ai appris qu’il avait de la famille dans le Jura pas loin de là où je vis aussi et qu’il avait 32 ans. J’étais toujours intrigué par ce qu’il s’était passé ce matin et je pris donc la parole :
-Je peux te poser une question ?
-Oui, bien sûr. Dis-moi ?
-Je voulais savoir pourquoi tout ça ? Pourquoi tu voulais que je t’appelle et que signifiait ce baiser sous la douche.
-Ben en fait, personne dans mon entourage ne le sais mais je pense être Bi mais avant toi, je n’avais jamais rien fait avec un gars. Je n’avais jamais franchi le pas avant.
-Ok mais pourquoi tu voulais que je te rappelle ? Tu sais le lien que j’ai avec Aloïs et il t’a expliqué comment ça se passait entre lui et moi. Je lui appartiens et même si un jour j’aurais quelqu’un dans ma vie, je serais toujours à lui.
-Oui ça j’ai bien compris tout ça.
-Ok mais je ne comprends toujours pas ce que tu me veux exactement.
-Ben tu n’as toujours rien compris ?
-Ben à vrai dire non.
-Tu me plaît.
-Toi aussi tu me plais mais on ne vit pas à côté l’un de l’autre, on a aussi 11 ans d’écart. Je suis encore étudiant et toi tu as une vie, un boulot et….
-Mais et alors ? Rien ne m’empêche de te revoir.
-T’es sûr que tu as compris ma relation avec Aloïs ?
-Je l’ai très bien compris oui et s’il faut te partager pour te revoir alors ok.
-T’es dingue, personne ne voudrait ça et on se connait à peine.
-C’est ça qui est chouette, on va pouvoir apprendre à se connaître et pour l’âge, je m’en tape drôlement. T’es étudiant ok ce n’est pas grave si ?
-Non, c’est vrai.
-Mais le fait que je sois plus vieux que toi te dérange ?
-Non, pas du tout en plus t’es grave sexy.
-Ah cool alors et tu me plais vraiment tu sais ?
-J’ai cru comprendre oui.
-Et tes potes, ils vont en dire quoi ?
-Tu sais, on se connait depuis la primaire donc je ne pense pas que ça les dérangera. Ils seront sûrement surpris au départ mais ça devrait aller. Tu serais près à essayer de me connaître un peu plus alors ?
-Je crois que oui.
Il mit sa main sur la mienne et me fit un grand sourire. Le repas se déroula très bien et nous avons continuer de parler de tout et de rien. Ah si, il est maçon et que s’il le voulait, il pouvait retrouver du boulot facilement n’importe où.
Vers 22h30, nous sommes retournés ensemble au mobile home où Aloïs nous attendait en regardant la télévision.
-Alors, les tourtereaux, le resto était sympa ? Vous voulez un petit café où vous voulez vous retrouver seul dans la chambre.
-On va aller dans la chambre si ça ne te dérange pas.
-Non pas du tout.
-Cool alors.
Aloïs s’est levé d’un coup puis s’est approché de moi tout en regardant Pierre. Il attrapa ma taille en m’embrassa à nouveau fougueusement devant le regard surpris de Pierre.
-Ca ne te pose pas de problème ?
-Euh, non non, dit Pierre nerveusement.
Je pris ensuite la main de Pierre et le dirigea avec moi jusque dans la chambre où il vint s’asseoir sur le lit.
-T’es sûr que ça ne te dérange pas ?
-C’est bizarre mais je t’ai dit que j’étais ok.
-T’es dingue.
Et je vins m’enlacer dans ses bras puis je l’embrassai sur les lèvres tendrement.
Il me caressa la joue puis me mit sur le dos et se mit au-dessus de moi tout en me regardant avec un grand sourire. Au même moment, on entendit derrière la porte Aloïs demander :
-T’es clean mec ?
-Euh, oui pourquoi ?
-Devines ?
-Ben, dis-moi.
-T’es autorisé à ne pas mettre de capote mec. Enfin si ça te dit.
-Euh, ok ok merci.
Pierre me regarda et éclata de rire. Il vint ensuite m’embrasser et commença à me déshabiller. J’allais pour faire la même chose mais il se déshabilla lui-même. Il vint ensuite s’allonger sur moi et commença à me caresser de partout. Il s’allongea ensuite sur le dos et c’est moi cette fois-ci qui pris les devant en lui aspirant sa queue qui était déjà au garde à vous. Il se mit à fermer les yeux dès que je faisais des allers retours sur son énorme bite bien dure et veineuse. Pendant que je le suçais, il mit sa main sur ma tête pour me montrer la cadence mais il restait quand même doux avec moi. Rien à voir avec le matin même. Je l’ai donc sucé pendant presque 15 minutes puis il se redressa et me fit me retourner sur lui. J’avais toujours sa queue en bouche et lui pouvait me bouffer le cul. Je sentais sa langue me lécher de haut en bas puis s’insérer. Il me mit un doigt puis deux qu’il fit faire des allers retours. Je gémissais de plaisir et d’un coup, je me suis redressé puis retourner pour lui faire face. Je l’ai regardé puis embrassé. Avec ma main, j’ai attrapé sa queue que j’ai placé devant ma rosette bien ouverte. Tout doucement, sa queue a pris sa place et j’ai commencé à gémir de plus en plus en remuant mon cul sur sa queue. Lui aussi gémissait de plaisir et ce fut intense. Il se mit assit au bord du lit et tout en me portant avec sa queue en moi, il se releva, me porta et me colla contre le mur. J’avais les jambes autour de sa taille et je me maintenant à son coup pendant que lui m’embrassait et me martelait de coup de riens intenses et rapide. Après cinq bonnes minutes, il me reposa sur le lit toujours sa queue en moi et continua de me baiser avec intensité. Ses coups de queue me produisaient un plaisir très fort et mon sphincter se resserra sur sa queue et je me mis à jouir. Il se mit à grogner avec force au même moment et me remplit mes entrailles de tout son jus. Il s’écroula enfin sur moi et se m’embrassa.
-C’était génial.
-Oui le pied, dis-je.
-Et j’ai vraiment envie de te revoir.
Il m’embrassa encore avec fougue. On entendit à nouveau frapper à la porte. Pierre se mit sous les draps et Aloïs rentra dans la chambre, nu, avec une érection d’enfer.
-A mon tour maintenant, dit-il.
Fin du chapitre 12.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Tounet39270
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

