Mon Beauf, cet hétéro canon (13 et fin) - histoire érotique

Chapitre 13.

Après cinq bonnes minutes, il me reposa sur le lit toujours sa queue en moi et continua de me baiser avec intensité. Ses coups de queue me produisaient un plaisir très fort et mon sphincter se resserra sur sa queue et je me mis à jouir. Il se mit à grogner avec force au même moment et me remplit mes entrailles de tout son jus. Il s’écroula enfin sur moi et se m’embrassa.

-C’était génial.
-Oui le pied, dis-je.
-Et j’ai vraiment envie de te revoir.

Il m’embrassa encore avec fougue. On entendit à nouveau frapper à la porte. Pierre se mit sous les draps et Aloïs rentra dans la chambre, nu, avec une érection d’enfer.

-A mon tour maintenant, dit-il. Ben quoi, t’es à moi et désolé mais vous m’avez trop chauffé avec vos gémissements. Je me branle depuis tout à l’heure mais j’ai besoin de te remplir.

Il s’approcha de moi et me retourna sans prêter attention à Pierre. Je n’eu pas le temps de protester qu’il avait enfoncé sa queue d’un coup bien fort et il se mit à me limer avec toute ses forces. Je gémissais à nouveau comme une chienne en rut tout en fixant Pierre qui se remit à bander directement. J’attrapai sa queue et le branlait au rythme des coups de reins qu’Aloïs me prodiguait. Je sentais tout le jus de Pierre qui se faisait tasser par la bite de mon mâle et je crois que cela lui plaisait. Pierre se rapprocha de moi et me donna sa queue à sucer ce que je fis sans me faire prier. Il prit les devant en faisant des allers retours dans ma bouche avec la même intensité que les coups de bites d’Aloïs. Ce ne fut pas long car en dix minutes Aloïs se déversa en moi avec un cri bestial ce qui fit juter au même moment Pierre dans ma bouche. J’avalais tout son jus sans en perdre une seule goutte et Aloïs vint présenter sa queue devant moi pour que je la nettoie. Il me mit une claque énorme au cul ce qui me fit pousser un cri se surprise puis dit :

-Alors, Pierre, pas trop déstabiliser ?
-Un peu si, je dois dire.
-J’ai aussi fait ça pour te montrer vraiment ce qui se passera si tu veux vraiment continuer avec Baptiste. Tu en as toujours envie ?
-Malgré tout ça oui.
-Eh bien mon lapin, je crois que tu as trouvé la perle rare car crois-moi pour rien au monde je ne partagerais ma femme. Vous voulez boire un coup pour fêter ça ?
-Euh oui bien sûr mais je vais peut-être vous laisser tranquille ?
-Tu ne veux pas dormir avec lui cette nuit ?
-Euh, si mais toi tu vas dormir où ?
-Et bien ici aussi. Il dormira entre nous. Ça te pose un problème ?
-Non, non je demandais simplement.

Nous nous sommes tous relevé et sommes allés boire une bière sur le sofa. Aloïs était dans son coin les jambes écartées pour me montrer fièrement sa queue et Pierre me prit dans ses bras toujours nus nous aussi. Nous avons discuté un peu puis vers 1h du matin nous sommes allés nous coucher. Nous étions très serré dans le lit mais j’étais blotti dans les bras de Pierre avec mes mains dans les mains d’Aloïs. Je crois que j’étais très heureux à vrai dire de ce qui se passait. J’appartient à mon mâle et Pierre me plaît vraiment et j’ai vraiment envie d’essayer quelque chose avec lui. Je me suis endormi avec le sourire.
Le lendemain matin, j’ai été réveillé par les rayons du soleil mais cette fois-ci j’étais dans les bras d’Aloïs. Celui-ci était réveillé et me dit à l’oreille :

-T’es toujours à moi tu sais. Du coup, je t’ai récupéré durant la nuit pour te mettre dans mes bras et tu dormais tellement bien que tu n’as rien senti. Ton Pierre m’a regardé faire sans broncher. Je pense que tu as trouvé la perle rare alors ne le lâches surtout pas.

Je regardais Pierre dormir paisiblement puis je sentis la bite d’Aloïs gonflée tout doucement contre mes fesses. Il me pénétra doucement mais sa queue rentra en moi sans aucun problème. Je sentais encore tout le sperme de la veille en moi commencer à ressortir et se faire tasser en même temps. J’allais pour gémir quand il me mit la main sur la bouche et me baisa le plus doucement possible pour ne pas réveiller Pierre. Il me dit à nouveau dans l’oreille :

-Regardes-le bien pendant que je te baise. Regarde bien ton copain pendant que ton mâle te remplit encore et encore. Est-ce que tu aimes ton mâle ?

Je fis oui de la tête et il m’embrassa dans le coup. Il me baisa pendant un quart d’heure avant de me remplir à nouveau de son jus.

-Maintenant, vas te laver et ensuite tu iras nous chercher les croissants pour le petit déjeuner, ok ?
-Oui Aloïs.

Nous nous sommes levés doucement pour laisser dormir Pierre. Je suis allé prendre ma douche, me suis habillé puis je suis parti chercher les croissant. Il fallait donc que je traverse le camping quand je suis tombé sur un des potes de Pierre.

-Eh mec, t’aurais pas vu Pierre par hasard ?

Je ne savais pas quoi répondre.

-Alors, tu l’as vu ?
-Euh non désolé.
-Arrêtes de mentir. On vous a vu ensemble hier soir partir en voiture ! Il se passe quoi entre vous ? C’était déjà louche l’autre soir donc il est où ?
-Je sais pas alors si je le vois je lui dis que tu le cherches ok ?
-T’as intérêt car on se barre dans l’aprem.
-Ah bon ?
-Oui. A plus mec.
-Salut.

J’étais déconcerté par cette nouvelle car Pierre ne m’avait rien dit. Je suis donc allé chercher les croissants et suis revenu au mobile home.
Quand j’ai ouvert la porte du mobile home, j’ai entendu des cris venir de la chambre et me suis dirigé vers celle-ci. La porte était ouverte et je suis resté sur le cul en y pénétrant. Aloïs était en train d’enculer Pierre qui gémissait fort.

-Alors, t’as toujours envie de revoir ma petite chienne ?
-Oui, j’en ai toujours envie disait Pierre en criant et en me regardant avec des yeux grands ouverts. Je suis désolé, il ne m’a pas laissé le choix.
-Oh oui, il n’avait pas le choix que de gouter à ma queue s’il voulait rester avec toi.

J’allais pour les rejoindre quand Aloïs me dit :

-Hop hop hop, ne bouges pas toi. C’est entre lui et moi. En attendant que je termine, vas faire les cafés.
-Oui Aloïs.

Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Je parti donc faire les cafés mais depuis la cuisine je pouvais voir tout ce qui se passait. Après plus de cinq minutes, Aloïs attrapa les cheveux de Pierre et lui mit un grand coup de reins et beugla très fort. Je pense qu’il venait de juter dans son cul.

-Allé, vas te laver maintenant et rejoins nous dans la cuisine pour le petit déjeuner.

Aloïs enfila son boxer puis vint me rejoindre en m’embrassant.

-Choqué mon lapin ?
-Non Aloïs.
-Donc tu comprends ce qu’il vient de se passer ?
-Oui je t’appartiens et si tu as fait ça c’est pour qu’il comprenne bien que je suis à lui mais que je serais toujours à toi.
-Bien.

Pierre est revenu de la salle de bain douché et nu puis nous nous sommes installés devant notre café. Je lui ai expliqué que j’avais vu son ami et qu’il m’avait dit qu’il repartait cet après-midi. Nous sommes restés le reste de la matinée ensemble puis j’ai dû lui dire aurevoir mais qu’il me rappellerait dès qu’il serait rentré. Il m’embrassa passionnément puis reparti vers ses amis.
Quant à nous, nous sommes repartis le lendemain matin. Aloïs m’a raccompagné directement chez mes parents mais avant d’arrivé, il m’a baisé une nouvelle fois dans les bois près de chez moi.
Je suis reparti faire mes études et de temps en temps Aloïs venait me rendre visite dans mon studio étudiant.
Vous allez me demander qu’est devenu Pierre. Eh bien lui aussi est revenu. Au bout de six mois, il a déménagé et s’est trouvé un appartement vers chez moi. J’ai ensuite emménagé avec lui. Bien entendu, Aloïs nous rendait visite au moins une fois par semaine.
Cela fait maintenant 3 ans que je vis avec Pierre. Aloïs est toujours marié avec ma sœur et je lui appartiens toujours. Pierre s’est fait une raison mais il sait que je l’aime plus que tout. Nous avons même décidé de nous marier à la fin de mes études, une fois que j’aurai trouvé un boulot et devinez qui sera mon témoin ?
Eh oui Aloïs ! Imaginez l’enterrement de vie de garçon qu’il a prévu ? Lui aussi je l’aime mais d’une tout autre manière car sans lui je crois que je n’aurais jamais trouver l’homme de ma vie.

Fin.