Mon Beauf, cet hétéro canon (2)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mon Beauf, cet hétéro canon (2)
Chapitre 2
Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il s’est couché sur le lit et je suis parti à la salle de bain quand il a éteint la lumière. Arrivé dans la salle de bain, je me suis branlé en prenant son jus qui coulait et en le mettant à la bouche pour tout l’avaler. J’ai pris son boxer qui était par terre et j’ai gicler dedans. Putain que son jus était bon. Je me suis essuyé, remonté mon caleçon et suis reparti dans la chambre me coucher. Il était déjà en train de ronfler et sa queue était moins grosse mais je voyais encore un peu de jus perlé sur son gland. Je me suis mis sur le lit et me suis approché tout doucement. Je me suis penché et du bout de ma langue, j’ai juste récolté sa goutte de sperme. Et là, il a soupiré et dis en dormant :
-Petite salope.
Je me suis enfin allongé sur le côté sans pouvoir m’endormir. J’étais plus qu’excité avec ce qu’il venait de se produire mais je ne savais pas ce qu’il allait se passer dès le lendemain matin. Dans la nuit, je le sentais bouger et de mon côté je n’osais plus le faire. Le lit n’était pas très grand et de temps en temps, je sentais sa queue contre mon cul ou alors son cul contre le mien. J’ai bandé toute la nuit en le sentant tout proche de moi. J’ai tout de même réussi à m’endormir. Le lendemain matin, je l’ai entendu se réveiller mais sans qu’il ne se lève tout de suite. J’ai senti une main sur mon cul puis lui qui sortait du lit. En passant devant moi, j’ai fait mine de dormir mais je l’ai vu passer avec une putain de gaule. Je ne l’avais pas vu encore en érection mais là, elle doit bien faire dans les 23cm avec une grosseur de fou. Je l’entendais se prendre son café puis allé se laver. Puis une heure après, j’ai entendu la porte se refermer. J’ai enfin décidé de me lever. Il m’avait tout préparer pour mon petit déjeuner. C’était plutôt gentil de sa part.
J’ai passé toute la journée à repenser à ce qu’il s’était passé la veille puis je suis allé me balader en ville pour faire quelques courses. Une fois de retour, je lui ai préparé le dîner puis j’ai attendu son retour. Je ne savais pas comment cela allait se passer entre lui et moi.
A 19h30, il est rentré en me faisant la bise pour me saluer.
-Coucou mon ptit Baptiste, tu as passé une bonne journée ? Tu ne t’es pas fait trop chier ?
-Heu, salut. Si un peu mais je vais bien trouver des choses à faire ces prochains jours !
-Oui, c’est sûr. Si tu veux, demain, je vais en déplacement du côté de Mâcon, si tu veux, tu pourras m’accompagner et pendant que je serai en entreprise, tu pourras aller te promener en ville. Si tu veux ? Je ne te force à rien ?
-Ben pourquoi pas. Je veux bien mais je ne veux pas te déranger.
-Non, ça me fera un peu de compagnie en voiture et le soir, je t’inviterai au resto ça évitera de faire à manger en rentrant.
-Si tu veux alors.
-Bon je vais prendre ma douche et j’arrive. Après, tu peux m’accompagner et on continue de discuter.
-Quand même.
-Allé, amène-toi.
Je l’ai donc suivi jusqu’à la salle de bain et il me parlait de sa journée merdique tout en se déshabillant. Je pouvais à nouveau admirer ce magnifique corps et cette superbe bite reposant sur ces deux grosses couilles bien pendantes et toujours aussi lourdes. Il se savonnait tout le corps et encore plus au niveau de sa bite qu’il décalottait devant moi sans aucune gêne. Putain, rien que le fait de se toucher la bite, celle-ci devenait un peu plus grosse et je ne vous explique même pas la mienne qui était bien dure et très serrée dans mon shorty. Je n’arrivais pas à relever la tête quand il se touchait. Il me parlait mais j’étais sur un petit nuage.
-Allo la Terre, ici la Lune. C’est ma queue que tu mates comme ça ?
-Euh pardon, j’étais dans mes pensées. Tu me disais quoi ?
-Je te demandais si c’est ma bite que tu regardais comme ça ?
-Ah euh, non pas du tout désolé.
-Après, tu as le droit, je te l’ai dit, je ne suis pas pudique et qu’on me mate, j’adore ça. C’est mon côté un peu exhib qui refait surface.
-Comment ça ?
-Ta sœur déteste que je fasse ça. Je veux dire exhiber mon corps sans gêne.
-Ah ok. Après, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux.
-Oh fait, je voulais m’excuser pour hier soir. J’avais tellement les couilles pleines que je n’ai pas put résister. Surtout en voyant ce putain de petit cul. Franchement, tu aurais été une meuf, je te le déglinguais comme jamais. Tiens regardes, juste le fait de parler de ça, je bande.
-Euh oui en effet.
Je me suis mis à rougir et je suis sorti de la salle de bain. Il vient me rejoindre complètement nu avec encore son érection.
-Ne soit pas gêner de me voir à poil car je vais être comme ça à chaque fois et désolé si le fait de bander te choque mais encore une fois, j’ai envie qu’on me vide les couilles. Mais ça va redescendre.
-C’est juste que je n’ai pas l’habitude à vrai dire mais ça va aller et pas de problème pour hier soir, c’était cool.
-Quoi donc ?
-Ben tu sais ? Si ça t’a un peu aidé de te vider comme ça, c’est cool.
-Je n’aurai peut-être pas du te gicler sur le dos !
-Ce n’est pas grave, je te le promets. Après si ça peut encore t’aider, recommence si tu le souhaite.
-Me tente pas comme ça, je crois que je vais y prendre goût à force. Je ne suis pas gay, mais c’est juste ton ptit cul quoi.
-Comme tu veux.
-Non mais regardes, je ne débande pas. Je suis dur comme la pierre. Tiens, touches !
Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit qu’il s’avança vers moi, me prit la main et la déposa sur sa queue. Puis il l’enleva et les déposa sur ses couilles bien lisses.
-Tu vois comme je suis dur et comme mes couilles sont pleines ?
J’ai enlevé ma main et je suis encore devenu très rouge et ma queue qui ne voulait plus débander.
-Oui oui, c’est clair que tu es plus que dur.
-Non, mais pour en revenir à ta proposition, tu serais près à me remontrer ton ptit cul pour que je me branle ?
-Si ça reste juste entre nous ok mais je ne suis pas gay non plus.
Je ne voulais pas me faire griller non plus.
-Ah oui, ça serait top. Vas-y, montre-moi tout ça (me dit-il en se mettant assis dans le canapé les jambes bien écartées).
-Tu veux que je me mette où ?
-Viens te mettre juste devant moi. Enlève ton short et ton caleçon et places toi devant moi ste plaît ?
Je vins me placer devant lui et retira mon short ainsi que mon shorty.
-Non, mais putain ce cul que tu as. Tu me ferais perdre la tête avec ça. Ça donne envie de le bouffer. Vas-y, penche-toi en avant que je voie ce petit trou. Mets tes mains sur la table basse devant toi.
Je fis ce qu’il me demandait et il me remit une main au cul et commençait à me caresser. Dans ma position, je pouvais le voir se branler énergiquement avec son autre main. Puis je sentis comme un souffle près de mon trou mais encore une fois, je le laissais faire. Je n’avais pas envie de le braquer. Si mon cul l’excitait, tant mieux. Tout ce que je voulais : c’est qu’il me baise comme une bonne chienne.
-Putain, mais ton cul est juste magnifique.
Je n’eus pas le temps de répondre qu’il s’arrêta de se branler et m’écarta les fesses de ses deux mains. Je senti ensuite sa langue le long de ma raie et sans même m’avoir touché je déchargeais tout mon foutre sur le sol.
-Ça te fais de l’effet dit donc ? Je prends ça pour une invitation alors.
Il m’écarta encore les fesses et cette fois-ci me bouffa le fion comme un fou. Je gémissais comme une petite pucelle. De temps à autre, il alternait entre sa langue et un doigt qu’il humectait et me rentrait dans le cul. Il reprenait ensuite sa branlette tout en me bouffant le cul.
-Tu vas me faire juter petite salope. Ton cul est un régal.
Il ne fut pas si long. Il se releva et juta au moins 8 jets de foutre contre mon trou. Il appuya ensuite avec son doigt pour m’en mettre à l’intérieur. Puis il se rassit dans le canapé.
-Putain que ça fait du bien. Merci beaucoup mais toi aussi tu me promets de ne rien dire à personne ?
-Oui, promis.
-Tu sais ce que l’on dit : une fois que tu as du jus en toi, ça veut dire que tu appartiens à la personne qui t’a inséminée !
-Pffuuuu, t’es con.
-C’est vrai, en fait, y’aurait fallu que je te mette ma bite dans le cul pour que tu m’appartiennes lol. Allé vas te laver. T’as du jus plein le fion.
Je remis mon shorty mais ne remis pas mon short.
-Non, je vais le laisser là où il est pour le moment. On va passer à table si tu veux.
-Ah ouai après avoir autant gicler, j’ai faim. Mais en tout cas, ça fait très salope ce que tu viens de faire en gardant mon jus.
-Si tu le dis et je lui fis un clin d’œil.
On se mit à table comme si de rien était puis nous nous sommes installés dans la chambre pour regarder une série. Lui toujours la queue à l’air et moi juste en shorty et débardeur. Je n’arrivais pas à suivre la série car sa queue était trop proche de moi. J’en avais une furieuse envie.
-Elle te plaît ?
-Je, euh, quoi ?
-Ben ma queue ? Ça fait presqu’une heure que tu la regardes. Je comprends, moi aussi je l’aime ma queue.
-En fait, euh, comment te dire ?
-Ben vas-y ? Dis-moi ?
-Je voulais savoir si je pouvais encore la toucher ?
-Je ne vais pas te dire non après t’avoir bouffé le cul, si tu veux la toucher, fais toi plaisir.
-T’es sûr.
-Mais avant, je vais te poser une seule question mais tu dois me répondre sincèrement ok ?
-Ok.
-T’es gay, n’est-ce pas ?
-Non, loin de là (dis-je rougissant à mort).
-Pas de mensonges j’ai dit sinon tu ne touches pas. Je vois bien comment tu me mattes et si tu crois que je n’ai pas senti ta langue sur ma bite hier soir, tu te trompes !
-Oh merde, excuses-moi.
-Ne t’excuses pas, c’était agréable et je ne ferai pas ça avec un autre mec mais je veux juste la vérité.
-Ok, oui je suis gay mais personne ne le sait et j’aurais encore du mal à en parler. Ça te va comme réponse ? Et toi ?
-Moi quoi ?
-Ben toi aussi je te pose la même question ?
-Oh que non, je ne suis pas gay du tout. C’est juste que tu as un magnifique cul. Et en plus tu ressemble un peu à ta sœur. Mais jamais de la vie, je ne toucherai une bite, tu comprends ?
-Oui oui je vois.
-Mais après si tu veux t’amuser avec ma bite, je te laisse faire. C’est toi qui vois
Il me prit à nouveau la main et la déposa sur sa bite. Il continua de regarder la télé et je me suis allongé près de sa bite pour la branler tout doucement. Il commençait à bander de plus en plus avec ma main. Quelle sensation agréable. Je l’ai branlé dix minutes doucement puis j’ai approché mes lèvres près de son gland. J’ai introduit le début de sa bite et avec ma langue, je tournais autour de son gland.
-Merde alors, même ta bouche est bonne. Tu fais ça drôlement bien. Continue, c’est vraiment trop bon.
Je pris sa queue le plus loin possible en bouche et commença à y faire des allers retours tout en lui palpant les couilles. Il gémissait et sa respiration s’accélérait. Tantôt il regardait la télé, tantôt, il me regardait. J’ai commencé à lui faire des gorges profondes qui le faisait gémir encore plus fort. Puis, au bout de vingt bonnes minutes, il me maintint la tête fermement et je sentis – gros jets de jus bien chaud et bien épais se déverser dans ma gorge.
-Putain, ouai, comme ça avale bien mon jus petite salope. T’aime ça, pas vrai ?
Je fis oui de la tête. Puis lorsqu’il eu terminé, il retira ses mains et les mis derrière la tête. Je continuais de le sucer pour avaler les dernières gouttes.
-Oui, vas-y nettoie bien. On dirait que t’es né pour ça.
Une fois sa bite bien propre et luisante, je me remis assis à ses côtés pour regarder enfin la série. Mais le pied que d’avoir sa bite dans la bouche. Un pur régal. Je suis sur un petit nuage.
-Tu m’as fait le plus grand bien donc si tu le veux, je t’autorise à venir dans mes bras petite salope.
-M’appelle pas comme ça s’il te plaît ?
-Ben quoi, c’est vrai que tu fais vraiment une bonne petite salope quand tu me tétais la pine. Donc pour moi tu seras ma petite salope. Sois-tu acceptes et tu te blottis dans mes bras, sois-tu pars sur le canapé.
-Ok.
-Ok quoi ?
-Ok je suis ta petite salope. Allez ramène-toi par ici.
Il ouvre ses bras et je viens me blottir dans ses bras.
-Ah oui, maintenant que je sais que t’es PD, je t’autorise à me pomper quand tu as envie et aussi dès que j’en ai envie. Je ne dis jamais non pour juter dans une bonne bouche gourmande. Regarde, dès que je parle de cul, je bande.
-Putain, mais t’es jamais rassasié toi ?
-Moi, jamais donc au boulot. J’ai encore du jus à te donner. Et cette fois-ci mets-toi à quatre pattes sur le côté quand tu me suces. Je vais m’amuser avec ta bonne chate de pute.
Je me mets donc à quatre pattes comme il me l’a demandé et il me fait écarter les cuisses. Il humidifie ses doigts de salive et m’en plante deux d’un coup bien au fond de mon cul.
-Putain, mais en plus tu encaisses bien dis donc ?
Il continue son traitement avec ses doigts tout en me baisant la gueule pour que j’avale bien sa queue en profondeur. Sa queue est tellement épaisse que j’en bave. Il enlève ses doigts et cette fois-ci il en met trois directement.
-Mais putain, si j’avais su que mon petit beau-frère avec une putain de chatte aussi accueillante, je me serai amusé plus tôt avec.
Je ne disais rien car sa queue était bien plantée au fond de ma gorge. Puis après bien vingt longues minutes de ce traitement, il me prit, me retourna direct et se mit à genoux sur le lit la bouche dans mon cul. Il me bouffa le fion comme une brute mais bordel, qu’est-ce qu’il est doué avec sa langue. Il releva la tête et je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qu’il se passait qu’il m’avait planté sa grosse bite bien au fond de mon cul sans prendre la peine de me le dire avant. Je n’attendais que ça mais je me mis à crier bien fort. Il rigolait et me mis une grosse claque sur le cul.
-Oh putain de merde. Je savais que ce cul était magnifique mais de là à ce qu’il épouse ma queue à la perfection, c’est juste incroyable.
-Doucement s’il te plaît, ça fait mal (dis-je les larmes aux yeux et en criant).
Il me remit une grosse claque sur le cul.
-Fermes-la et profites de ce moment. Tu voulais ma queue alors tu l’as donc fermé ta gueule de salope sinon ça sera pire pour ton cul. Si je veux ton cul et si je veux le démonter, je le fais ok ? Et je t’ai dit tout à l’heure que lorsque quelqu’un t’insémine, tu lui appartiens pour le reste de tes jours et c’est ce qui va se passer avec toi.
Il me prit les hanches et se mit à me défoncer le cul bien fort et de plus en plus vite. Je criais tout en gémissant mais dans le fond, j’en avais envie depuis très longtemps et j’étais heureux qu’il me baise. Je ne m’attendais vraiment pas qu’il soit un baiseur comme ça aussi endurant et en plus un très gros juteur. Il me baisa de la sorte durant encore une bonne demie heure. Je n’en pouvais plus mais qu’est-ce que c’était bon. Sa queue venait bien au fond de mon cul et je sentais ses grosses couilles bien pleines me frapper le cul à chaque coup de reins. Puis, il ressortit sa queue et la replanta en moi, bien profondément et se mit à crier comme une bête. J’ai senti tout son jus se déverser en moi. Il resta en moi pour que son jus reste bien puis se retira. Il m’attrapa par les cheveux et me colla sa queue directement devant la bouche.
-Nettoies bien la queue de ton homme maintenant car oui maintenant tu m’appartiens. Tu es à moi et rien qu’à moi. Je vais te dire une chose : maintenant, tu ne baiseras qu’avec moi. Si j’ose apprendre un jour que tu t’es fais baiser ou que tu as sucer quelqu’un d’autre, je peux te dire que tu le regretteras. Est-ce que tu m’as bien compris ?
-Oui.
-Oui qui ?
-Oui Baptiste.
J’ai commencé à me relever pour aller me laver un coup mais il me prit le bras.
-Tu vas où comme ça ?
-A la salle de bain, me laver un coup.
-Tu restes ici avec mon jus dans ton cul ok ? Et maintenant on dort. Et vu que tu as été très docile, tu as le droit de dormir dans mes bras et demain matin, tu viendras tirer ton lait pour le petit déjeuner, ok ?
-Oui Baptiste.
Il me fit un doux baiser sur le front et je pus me coller contre lui bien confortablement dans ses bras bien que j’eusse très mal au cul. Mais j’étais le plus heureux : il m’avait enfin baisé et cela allait se reproduire. Je ne mis pas longtemps pour m’endormir dans ses bras sa queue qu’il avait replanter dans mon cul pour que je garde bien son jus.
Fin du chapitre 2
Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il s’est couché sur le lit et je suis parti à la salle de bain quand il a éteint la lumière. Arrivé dans la salle de bain, je me suis branlé en prenant son jus qui coulait et en le mettant à la bouche pour tout l’avaler. J’ai pris son boxer qui était par terre et j’ai gicler dedans. Putain que son jus était bon. Je me suis essuyé, remonté mon caleçon et suis reparti dans la chambre me coucher. Il était déjà en train de ronfler et sa queue était moins grosse mais je voyais encore un peu de jus perlé sur son gland. Je me suis mis sur le lit et me suis approché tout doucement. Je me suis penché et du bout de ma langue, j’ai juste récolté sa goutte de sperme. Et là, il a soupiré et dis en dormant :
-Petite salope.
Je me suis enfin allongé sur le côté sans pouvoir m’endormir. J’étais plus qu’excité avec ce qu’il venait de se produire mais je ne savais pas ce qu’il allait se passer dès le lendemain matin. Dans la nuit, je le sentais bouger et de mon côté je n’osais plus le faire. Le lit n’était pas très grand et de temps en temps, je sentais sa queue contre mon cul ou alors son cul contre le mien. J’ai bandé toute la nuit en le sentant tout proche de moi. J’ai tout de même réussi à m’endormir. Le lendemain matin, je l’ai entendu se réveiller mais sans qu’il ne se lève tout de suite. J’ai senti une main sur mon cul puis lui qui sortait du lit. En passant devant moi, j’ai fait mine de dormir mais je l’ai vu passer avec une putain de gaule. Je ne l’avais pas vu encore en érection mais là, elle doit bien faire dans les 23cm avec une grosseur de fou. Je l’entendais se prendre son café puis allé se laver. Puis une heure après, j’ai entendu la porte se refermer. J’ai enfin décidé de me lever. Il m’avait tout préparer pour mon petit déjeuner. C’était plutôt gentil de sa part.
J’ai passé toute la journée à repenser à ce qu’il s’était passé la veille puis je suis allé me balader en ville pour faire quelques courses. Une fois de retour, je lui ai préparé le dîner puis j’ai attendu son retour. Je ne savais pas comment cela allait se passer entre lui et moi.
A 19h30, il est rentré en me faisant la bise pour me saluer.
-Coucou mon ptit Baptiste, tu as passé une bonne journée ? Tu ne t’es pas fait trop chier ?
-Heu, salut. Si un peu mais je vais bien trouver des choses à faire ces prochains jours !
-Oui, c’est sûr. Si tu veux, demain, je vais en déplacement du côté de Mâcon, si tu veux, tu pourras m’accompagner et pendant que je serai en entreprise, tu pourras aller te promener en ville. Si tu veux ? Je ne te force à rien ?
-Ben pourquoi pas. Je veux bien mais je ne veux pas te déranger.
-Non, ça me fera un peu de compagnie en voiture et le soir, je t’inviterai au resto ça évitera de faire à manger en rentrant.
-Si tu veux alors.
-Bon je vais prendre ma douche et j’arrive. Après, tu peux m’accompagner et on continue de discuter.
-Quand même.
-Allé, amène-toi.
Je l’ai donc suivi jusqu’à la salle de bain et il me parlait de sa journée merdique tout en se déshabillant. Je pouvais à nouveau admirer ce magnifique corps et cette superbe bite reposant sur ces deux grosses couilles bien pendantes et toujours aussi lourdes. Il se savonnait tout le corps et encore plus au niveau de sa bite qu’il décalottait devant moi sans aucune gêne. Putain, rien que le fait de se toucher la bite, celle-ci devenait un peu plus grosse et je ne vous explique même pas la mienne qui était bien dure et très serrée dans mon shorty. Je n’arrivais pas à relever la tête quand il se touchait. Il me parlait mais j’étais sur un petit nuage.
-Allo la Terre, ici la Lune. C’est ma queue que tu mates comme ça ?
-Euh pardon, j’étais dans mes pensées. Tu me disais quoi ?
-Je te demandais si c’est ma bite que tu regardais comme ça ?
-Ah euh, non pas du tout désolé.
-Après, tu as le droit, je te l’ai dit, je ne suis pas pudique et qu’on me mate, j’adore ça. C’est mon côté un peu exhib qui refait surface.
-Comment ça ?
-Ta sœur déteste que je fasse ça. Je veux dire exhiber mon corps sans gêne.
-Ah ok. Après, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux.
-Oh fait, je voulais m’excuser pour hier soir. J’avais tellement les couilles pleines que je n’ai pas put résister. Surtout en voyant ce putain de petit cul. Franchement, tu aurais été une meuf, je te le déglinguais comme jamais. Tiens regardes, juste le fait de parler de ça, je bande.
-Euh oui en effet.
Je me suis mis à rougir et je suis sorti de la salle de bain. Il vient me rejoindre complètement nu avec encore son érection.
-Ne soit pas gêner de me voir à poil car je vais être comme ça à chaque fois et désolé si le fait de bander te choque mais encore une fois, j’ai envie qu’on me vide les couilles. Mais ça va redescendre.
-C’est juste que je n’ai pas l’habitude à vrai dire mais ça va aller et pas de problème pour hier soir, c’était cool.
-Quoi donc ?
-Ben tu sais ? Si ça t’a un peu aidé de te vider comme ça, c’est cool.
-Je n’aurai peut-être pas du te gicler sur le dos !
-Ce n’est pas grave, je te le promets. Après si ça peut encore t’aider, recommence si tu le souhaite.
-Me tente pas comme ça, je crois que je vais y prendre goût à force. Je ne suis pas gay, mais c’est juste ton ptit cul quoi.
-Comme tu veux.
-Non mais regardes, je ne débande pas. Je suis dur comme la pierre. Tiens, touches !
Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit qu’il s’avança vers moi, me prit la main et la déposa sur sa queue. Puis il l’enleva et les déposa sur ses couilles bien lisses.
-Tu vois comme je suis dur et comme mes couilles sont pleines ?
J’ai enlevé ma main et je suis encore devenu très rouge et ma queue qui ne voulait plus débander.
-Oui oui, c’est clair que tu es plus que dur.
-Non, mais pour en revenir à ta proposition, tu serais près à me remontrer ton ptit cul pour que je me branle ?
-Si ça reste juste entre nous ok mais je ne suis pas gay non plus.
Je ne voulais pas me faire griller non plus.
-Ah oui, ça serait top. Vas-y, montre-moi tout ça (me dit-il en se mettant assis dans le canapé les jambes bien écartées).
-Tu veux que je me mette où ?
-Viens te mettre juste devant moi. Enlève ton short et ton caleçon et places toi devant moi ste plaît ?
Je vins me placer devant lui et retira mon short ainsi que mon shorty.
-Non, mais putain ce cul que tu as. Tu me ferais perdre la tête avec ça. Ça donne envie de le bouffer. Vas-y, penche-toi en avant que je voie ce petit trou. Mets tes mains sur la table basse devant toi.
Je fis ce qu’il me demandait et il me remit une main au cul et commençait à me caresser. Dans ma position, je pouvais le voir se branler énergiquement avec son autre main. Puis je sentis comme un souffle près de mon trou mais encore une fois, je le laissais faire. Je n’avais pas envie de le braquer. Si mon cul l’excitait, tant mieux. Tout ce que je voulais : c’est qu’il me baise comme une bonne chienne.
-Putain, mais ton cul est juste magnifique.
Je n’eus pas le temps de répondre qu’il s’arrêta de se branler et m’écarta les fesses de ses deux mains. Je senti ensuite sa langue le long de ma raie et sans même m’avoir touché je déchargeais tout mon foutre sur le sol.
-Ça te fais de l’effet dit donc ? Je prends ça pour une invitation alors.
Il m’écarta encore les fesses et cette fois-ci me bouffa le fion comme un fou. Je gémissais comme une petite pucelle. De temps à autre, il alternait entre sa langue et un doigt qu’il humectait et me rentrait dans le cul. Il reprenait ensuite sa branlette tout en me bouffant le cul.
-Tu vas me faire juter petite salope. Ton cul est un régal.
Il ne fut pas si long. Il se releva et juta au moins 8 jets de foutre contre mon trou. Il appuya ensuite avec son doigt pour m’en mettre à l’intérieur. Puis il se rassit dans le canapé.
-Putain que ça fait du bien. Merci beaucoup mais toi aussi tu me promets de ne rien dire à personne ?
-Oui, promis.
-Tu sais ce que l’on dit : une fois que tu as du jus en toi, ça veut dire que tu appartiens à la personne qui t’a inséminée !
-Pffuuuu, t’es con.
-C’est vrai, en fait, y’aurait fallu que je te mette ma bite dans le cul pour que tu m’appartiennes lol. Allé vas te laver. T’as du jus plein le fion.
Je remis mon shorty mais ne remis pas mon short.
-Non, je vais le laisser là où il est pour le moment. On va passer à table si tu veux.
-Ah ouai après avoir autant gicler, j’ai faim. Mais en tout cas, ça fait très salope ce que tu viens de faire en gardant mon jus.
-Si tu le dis et je lui fis un clin d’œil.
On se mit à table comme si de rien était puis nous nous sommes installés dans la chambre pour regarder une série. Lui toujours la queue à l’air et moi juste en shorty et débardeur. Je n’arrivais pas à suivre la série car sa queue était trop proche de moi. J’en avais une furieuse envie.
-Elle te plaît ?
-Je, euh, quoi ?
-Ben ma queue ? Ça fait presqu’une heure que tu la regardes. Je comprends, moi aussi je l’aime ma queue.
-En fait, euh, comment te dire ?
-Ben vas-y ? Dis-moi ?
-Je voulais savoir si je pouvais encore la toucher ?
-Je ne vais pas te dire non après t’avoir bouffé le cul, si tu veux la toucher, fais toi plaisir.
-T’es sûr.
-Mais avant, je vais te poser une seule question mais tu dois me répondre sincèrement ok ?
-Ok.
-T’es gay, n’est-ce pas ?
-Non, loin de là (dis-je rougissant à mort).
-Pas de mensonges j’ai dit sinon tu ne touches pas. Je vois bien comment tu me mattes et si tu crois que je n’ai pas senti ta langue sur ma bite hier soir, tu te trompes !
-Oh merde, excuses-moi.
-Ne t’excuses pas, c’était agréable et je ne ferai pas ça avec un autre mec mais je veux juste la vérité.
-Ok, oui je suis gay mais personne ne le sait et j’aurais encore du mal à en parler. Ça te va comme réponse ? Et toi ?
-Moi quoi ?
-Ben toi aussi je te pose la même question ?
-Oh que non, je ne suis pas gay du tout. C’est juste que tu as un magnifique cul. Et en plus tu ressemble un peu à ta sœur. Mais jamais de la vie, je ne toucherai une bite, tu comprends ?
-Oui oui je vois.
-Mais après si tu veux t’amuser avec ma bite, je te laisse faire. C’est toi qui vois
Il me prit à nouveau la main et la déposa sur sa bite. Il continua de regarder la télé et je me suis allongé près de sa bite pour la branler tout doucement. Il commençait à bander de plus en plus avec ma main. Quelle sensation agréable. Je l’ai branlé dix minutes doucement puis j’ai approché mes lèvres près de son gland. J’ai introduit le début de sa bite et avec ma langue, je tournais autour de son gland.
-Merde alors, même ta bouche est bonne. Tu fais ça drôlement bien. Continue, c’est vraiment trop bon.
Je pris sa queue le plus loin possible en bouche et commença à y faire des allers retours tout en lui palpant les couilles. Il gémissait et sa respiration s’accélérait. Tantôt il regardait la télé, tantôt, il me regardait. J’ai commencé à lui faire des gorges profondes qui le faisait gémir encore plus fort. Puis, au bout de vingt bonnes minutes, il me maintint la tête fermement et je sentis – gros jets de jus bien chaud et bien épais se déverser dans ma gorge.
-Putain, ouai, comme ça avale bien mon jus petite salope. T’aime ça, pas vrai ?
Je fis oui de la tête. Puis lorsqu’il eu terminé, il retira ses mains et les mis derrière la tête. Je continuais de le sucer pour avaler les dernières gouttes.
-Oui, vas-y nettoie bien. On dirait que t’es né pour ça.
Une fois sa bite bien propre et luisante, je me remis assis à ses côtés pour regarder enfin la série. Mais le pied que d’avoir sa bite dans la bouche. Un pur régal. Je suis sur un petit nuage.
-Tu m’as fait le plus grand bien donc si tu le veux, je t’autorise à venir dans mes bras petite salope.
-M’appelle pas comme ça s’il te plaît ?
-Ben quoi, c’est vrai que tu fais vraiment une bonne petite salope quand tu me tétais la pine. Donc pour moi tu seras ma petite salope. Sois-tu acceptes et tu te blottis dans mes bras, sois-tu pars sur le canapé.
-Ok.
-Ok quoi ?
-Ok je suis ta petite salope. Allez ramène-toi par ici.
Il ouvre ses bras et je viens me blottir dans ses bras.
-Ah oui, maintenant que je sais que t’es PD, je t’autorise à me pomper quand tu as envie et aussi dès que j’en ai envie. Je ne dis jamais non pour juter dans une bonne bouche gourmande. Regarde, dès que je parle de cul, je bande.
-Putain, mais t’es jamais rassasié toi ?
-Moi, jamais donc au boulot. J’ai encore du jus à te donner. Et cette fois-ci mets-toi à quatre pattes sur le côté quand tu me suces. Je vais m’amuser avec ta bonne chate de pute.
Je me mets donc à quatre pattes comme il me l’a demandé et il me fait écarter les cuisses. Il humidifie ses doigts de salive et m’en plante deux d’un coup bien au fond de mon cul.
-Putain, mais en plus tu encaisses bien dis donc ?
Il continue son traitement avec ses doigts tout en me baisant la gueule pour que j’avale bien sa queue en profondeur. Sa queue est tellement épaisse que j’en bave. Il enlève ses doigts et cette fois-ci il en met trois directement.
-Mais putain, si j’avais su que mon petit beau-frère avec une putain de chatte aussi accueillante, je me serai amusé plus tôt avec.
Je ne disais rien car sa queue était bien plantée au fond de ma gorge. Puis après bien vingt longues minutes de ce traitement, il me prit, me retourna direct et se mit à genoux sur le lit la bouche dans mon cul. Il me bouffa le fion comme une brute mais bordel, qu’est-ce qu’il est doué avec sa langue. Il releva la tête et je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qu’il se passait qu’il m’avait planté sa grosse bite bien au fond de mon cul sans prendre la peine de me le dire avant. Je n’attendais que ça mais je me mis à crier bien fort. Il rigolait et me mis une grosse claque sur le cul.
-Oh putain de merde. Je savais que ce cul était magnifique mais de là à ce qu’il épouse ma queue à la perfection, c’est juste incroyable.
-Doucement s’il te plaît, ça fait mal (dis-je les larmes aux yeux et en criant).
Il me remit une grosse claque sur le cul.
-Fermes-la et profites de ce moment. Tu voulais ma queue alors tu l’as donc fermé ta gueule de salope sinon ça sera pire pour ton cul. Si je veux ton cul et si je veux le démonter, je le fais ok ? Et je t’ai dit tout à l’heure que lorsque quelqu’un t’insémine, tu lui appartiens pour le reste de tes jours et c’est ce qui va se passer avec toi.
Il me prit les hanches et se mit à me défoncer le cul bien fort et de plus en plus vite. Je criais tout en gémissant mais dans le fond, j’en avais envie depuis très longtemps et j’étais heureux qu’il me baise. Je ne m’attendais vraiment pas qu’il soit un baiseur comme ça aussi endurant et en plus un très gros juteur. Il me baisa de la sorte durant encore une bonne demie heure. Je n’en pouvais plus mais qu’est-ce que c’était bon. Sa queue venait bien au fond de mon cul et je sentais ses grosses couilles bien pleines me frapper le cul à chaque coup de reins. Puis, il ressortit sa queue et la replanta en moi, bien profondément et se mit à crier comme une bête. J’ai senti tout son jus se déverser en moi. Il resta en moi pour que son jus reste bien puis se retira. Il m’attrapa par les cheveux et me colla sa queue directement devant la bouche.
-Nettoies bien la queue de ton homme maintenant car oui maintenant tu m’appartiens. Tu es à moi et rien qu’à moi. Je vais te dire une chose : maintenant, tu ne baiseras qu’avec moi. Si j’ose apprendre un jour que tu t’es fais baiser ou que tu as sucer quelqu’un d’autre, je peux te dire que tu le regretteras. Est-ce que tu m’as bien compris ?
-Oui.
-Oui qui ?
-Oui Baptiste.
J’ai commencé à me relever pour aller me laver un coup mais il me prit le bras.
-Tu vas où comme ça ?
-A la salle de bain, me laver un coup.
-Tu restes ici avec mon jus dans ton cul ok ? Et maintenant on dort. Et vu que tu as été très docile, tu as le droit de dormir dans mes bras et demain matin, tu viendras tirer ton lait pour le petit déjeuner, ok ?
-Oui Baptiste.
Il me fit un doux baiser sur le front et je pus me coller contre lui bien confortablement dans ses bras bien que j’eusse très mal au cul. Mais j’étais le plus heureux : il m’avait enfin baisé et cela allait se reproduire. Je ne mis pas longtemps pour m’endormir dans ses bras sa queue qu’il avait replanter dans mon cul pour que je garde bien son jus.
Fin du chapitre 2
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire. Franchement trop bien racontée et très exitante
👍👍👍👍👍👍👍👍👍

