Mon Beauf, cet hétéro canon (4)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mon Beauf, cet hétéro canon (4)
Chapitre 4
Nous sommes sortis de l’appart puis direction la voiture. Arrivés dans celle-ci, il prit ma main et me dit sur un ton calme et apaisant.
-Je suis désolé d’avoir été sévère avec toi mais maintenant que tu es as moi, je ne veux pas que tu ailles voir ailleurs. Je suis très jaloux…
Il me fit un sourire et démarra. Durant le trajet en direction de la prochaine entreprise qu’il devait visiter, il ne dit pas un mot mais sa main était posée sur ma jambe. Je n’osais plus bouger ni le regarder quand il prit la parole.
-Tu sais, ce n’est pas parce que je suis comme ça avec toi que tu ne peux pas me parler durant le trajet.
-Eh bien non, je ne sais pas. Je ne voulais pas être irrespectueux envers toi.
-Ok, je comprends mais comme je te l’ai dit, je suis très jaloux et très possessif. Je déteste qu’on marche sur mes plates-bandes. Tu es as moi tu comprends ?
-Je comprends mais est-ce que je peux te demander quelque chose ?
-Oui, vas-y.
-Tu me dis tout ça mais je ne t’ai jamais vu comme ça avec ma sœur ? Tu ne fais pas le mâle dominant ?
-C’est vrai. Mais avec ta sœur, c’est différent. Je sais très bien qu’elle n’ira pas voir ailleurs. C’est une femme qui sait que je suis là pour elle dans tous les domaines.
-Mais tu es bi ?
-Ah non, pas du tout.
-Pourtant avec moi….
-Toi c’est encore autre chose. Je ne te vois pas comme un mec. Plutôt comme une bonne petite salope, un bon batard qui aime la bite. La preuve, c’est quand même toi qui m’as allumé avec ton petit cul. Bref, je ne suis pas PD mais maintenant que je t’ai bien fécondé, tu es à moi et à personne d’autre.
-Ok, mais…
-Oh pis j’en ai marre.
Il fit demi-tour sur la route (heureusement, il n’y avait personne derrière ni devant) et il roula sur un parking désert sur une petite route qu’il avait repéré. Il stoppa la voiture et ouvrit sa braguette pour en sortir sa bite bien droite.
-A force de parler de tout ça, j’ai grave la gaule et tu vas me soulager avant d’aller bosser, compris ?
-Oui, Aloïs.
Il prit ma tête et la dirigea sur sa grosse queue. Son gland était énorme et ses couilles devait être déjà bien pleines. Il me fit faire des gorges profondes durant cinq minutes puis stoppa pour que je le suce de moi-même.
-Ouai, vas-y comme ça espèce de petite merde, suceuse de bites. Lèches mes couilles aussi.
J’alternais entre ses couilles et sa bite et cinq minutes plus tard, il éjacula en gueulant dans ma bouche. Je continuais à le sucer pour nettoyer tout son jus. Puis, il reprit ma tête et remis sa queue bien au fond de ma gorge. Je commençais à étouffer tellement, il me maintenait. Il dit enfin :
-J’ai envie de pisser, pas le temps de rester là donc tu vas tout avaler pendant que je conduis.
J’allais pour me retirer qu’avec sa main il maintenait ma tête tout en conduisant de l’autre main. Je sentis les premières saccades de pisse couler au fond de ma gorge. C’était chaud mais je n’avais pas le choix que d’avaler. J’avais l’impression qu’il n’en finissait pas.
-Ah putain que ça soulage. Lèches bien ma bite salope. Je la veux bien propre avant que tu ne la remettes bien au chaud dans mon caleçon et tu refermes la fermeture éclair.
Je fis tout ce qu’il me demandait et me mis à tousser tellement ma gorge était endolorie de faire des fonds de gorges.
-Fais pas ta chochotte, je sais que tu aimes ça. Je t’ai dis que tu étais à moi et je veux que tu me montres que tu m’appartient, je me suis bien fais comprendre ?
-Oui Aloïs. Mais comme maintenant je suis à toi, comment tu vas faire quand je vais devoir repartir et quand ma sœur va rentrer chez vous ?
-Tu auras le temps de voir mais en attendant, tu vas devoir bien te soumettre à moi et me prouver que je n’ai pas succomber à ton cul pour que dalle.
Le reste du voyage se fit en silence cette fois-ci. Nous sommes enfin arrivés sur le parking de l’entreprise où il se gara bien à l’écart des autres voitures.
-Bon, je te préviens cette fois-ci, tu as le droit de sortir fumer mais pas le droit de parler à qui que ce soit. Si je t’envoie un message, tu me réponds immédiatement et toutes les demi-heures, tu m’écris que tout est ok pour toi. Dans les coffres, il y a une glacière avec des bouteilles d’eau si tu as soif. Je pense en avoir pour deux heures environs et ensuite, si tu as été bien sage, je t’emmène manger au resto.
-Oui Aloïs.
Je le vis sortir son téléphone et pianoter dessus. D’un seul coup, mon cul se mit à vibrer et je compris que le Lush qu’il m’avait acheté était connecté à son portable.
-A toute sale batard.
Je le vis partir et j’étais heureux de ce qu’il se produisait avec Aloïs mais en même temps, j’avais peur de ce qu’il allait se passer par la suite.
Cela ne faisait pas un quart d’heure qu’il était parti que je sentais mon cul vibrer. Cette décharge se faisait de plus en plus forte et je commençais à bander. Puis cela s’arrêta et je reçu un sms de sa part : « Toujours ok pour toi ma petite salope à foutre ? » auquel je répondis « Oui Aloïs ».
Je commençais vraiment à être soumis à lui. Plus rien ne comptait à mes yeux. Je voulais être à lui, rien qu’à lui. Je lui ai donc envoyé chaque 30 minutes un message pour dire que tout allait bien mon dernier message fut pour lui dire que j’étais pressé qu’il revienne. Il ne tarda pas à répondre en me disant qu’il aimait se sentir important de voir que sa présence me manquait tout en rajoutant une petite salope à la fin. Rien que de le lire même si c’était de petits messages me donnait envie de me branler mais je me retins.
Il avait eu raison car deux heures plus tard, il revint avec un grand sourire.
-Tu as été sage petite pute ?
-Oui Aloïs.
-Bien et tu as fait tout ce que je t’ai demandé (me dit-il en me refaisant vibrer).
Il me caressa la joue sans me regarder. Je me sentis sur le coup très heureux de le rendre fier de moi. Il reprit la route et s’arrêta dans beau restaurant au-dessus du lac avec une superbe vue panoramique.
-Tu l’as bien mérité Baptiste.
-Merci beaucoup.
Nous sommes donc allés dans ce restaurant et nous avons été placé à une bonne table avec une superbe vue. Nous avons mangé tranquillement en discutant comme deux amis puis durant le dessert, il mit le Lush à vibrer sur une grande vitesse ce qui me fis bouger dans tous les sens en essayant de ne pas gémir comme une vulgaire chienne en chaleur. Il me regardait avec un grand sourire.
-J’aime quand tu te trémousse comme ça. J’ai encore envie de te féconder ma petite pute. Va aux toilettes et je t’y rejoins dans deux minutes. Je bande comme un ouf et tu vas me soulager.
Je fis oui de la tête et parti à la recherche des toilettes tout en dandinant parce qu’il avait laissé le vibreur. Les personnes autour me regardait faire mais je m’en foutais car j’allais me faire baiser par mon beauf viril.
J’attendis peu de temps avant qu’il ne me rejoigne. Avant d’arriver, il avait arrêté le jouet dans mon cul que j’avais retiré en baissant mon short. Il entra dans la cabine de toilette et baissa son pantalon en exhibant sa bite au garde à vous. Il me plaqua contre la paroi et me la mit d’un coup sec. Il me baisa sans faire de bruit mais avec une brutalité dans ses coups de reins énorme. Il avait mis sa main sur ma bouche pour étouffer mes petits cris de salope. J’avais le cul en feu mais c’était divin. Il a juté au fond de mon cul en cinq minutes. Il me mit une bonne claque au cul. Il remit son pantalon, sa queue en place qu’il me fit sucer avant puis sorti en me disant stop du doigt pour que j’attendes un peu avant de ressortir. J’ai remis le Lush dans mon cul bien ouvert pour garder son jus en moi et ai remis mon short. J’ai attendu un peu puis je suis ressorti me laver les mains et le rejoindre à table. Tout le monde me regardait. Je ne compris pas tout de suite pourquoi mais quand j’ai vu la tête d’Aloïs qui rigolait en regardant mon entrejambe, je compris pourquoi. J’avais juté sans m’en rendre compte en enfilant mon short et comme je ne portais de sous-vêtements, cela se voyait bien. Je devins rouge de honte.
-Je vais aller payer, vas m’attendre dans la voiture. On est à la bourre, j’ai encore un rendez-vous cette aprem.
Je me levai, puis pris la direction de la voiture en me dépêchant de marcher mais ce vicieux d’Aloïs remit le Lush en marche ce qui me fis pousser un petit cri devant tout le monde. Il s’est mis à rire et moi je me suis mis à courir. Il revint à la voiture quelques minutes après en riant de plus belle.
-J’adore te voir courir comme ça en poussant des petits cris de salope. Les mêmes cris que lorsque je te bourre le fion.
-J’ai eut la honte de ma vie.
-Et alors, moi j’ai bien mangé et j’ai les couilles moins lourdes donc c’est le pied.
Il repartit en démarrant en trombe. L’après-midi était plus long. Toutes les trente minutes, je lui envoyais un petit message pour lui dire que tout était ok pour moi sauf que son jus commençait à couler de plus en plus. Pour ne pas salir son siège de voiture, je récoltais le tout avec mes doigts que je léchais ensuite en lui envoyant une petite vidéo de moi en train de le faire à laquelle il me répondit : « Mmmmmm, t’es vraiment qu’un vide couilles, ton cul va encore prendre cher ce soir ». Je souris, heureux qu’il veuille encore mon cul. Le temps fut moins long en sachant ça mais j’avais hâte de rentrer.
Nous sommes rentrés vers 20h à l’appart. Il ne dit rien et alla prendre sa douche. Je savais qu’il allait me demander une bière en sortant donc je lui préparai et lui servis lorsqu’il ressorti de la douche avec juste une serviette autour de la taille. Mon dieu qu’il est vraiment bandant encore mouiller et quasi à poils devant moi. Je lui tendis la bière et il me gratifia d’un grand sourire des plus ravageur. Il me montra du doigt la salle de bain et je partis sans ne rien dire me laver bien à fond car je savais que ce soir il allait me baiser. J’avais encore le Lush dans le cul et lorsque je l’ai enlevé, cela m’a fait comme si quelque chose me manquait.
Je me fis un bon lavement, puis le rejoignit au salon mais il n’y était pas. Je partis dans la chambre mais personne. Merde, je ne suis à la salle de bain que 15 minutes. Puis j’ai trouvé un mot sur la table avec inscrit : « je reviens dans une heure alors d’ici une heure, je te veux à poils sur le lit à quatre pattes et ton cul bien cambré. A tout de suite ma petite pute à jus. » J’ai tourné en rond pendant toute cette heure puis je suis allé m’installé sur le lit comme il me l’a demandé. J’ai entendu la porte s’ouvrir et je tendis donc mon cul pour qu’il voit bien que je suis très obéissant. Je l’entendis arriver dans la chambre.
-Putain mais ton cul est toujours aussi bandant et accueillant sale pute.
Il s’approcha puis me caressa les fesses. Il me mit un doigt qui me fit gémir et je sentis ensuite sa langue le long de ma raie ce qui me fis couiner comme une chienne en chaleur.
-J’aime quand tu couines. Tu vas être une bonne chienne ce soir. Et je ne vais pas te baiser à toute vitesse. Je vais prendre mon temps mais je vais te démonter ton petit cul de sale pédale. Tu vas morfler mais tu vas en redemander, j’en suis sûr.
Il se remit à me lécher le cul puis je sentis sa langue s’introduire à l’intérieur. Je ne pouvais m’empêcher de gémir à chaque coup de langue. Il me caressait aussi le dos et cela à durer plus de dix minutes. C’était bon, doux et je bandais comme un malade.
-T’es prêt à encaisser ma petite pute ?
-Oui Aloïs. Prends-moi, démontes moi. Féconde-moi. Je suis tout à toi. Fais de moi ce que tu veux. Je t’appartiens.
-Tout ce que je voudrais et comme je voudrais ? Tu es sûr de toi ?
-Oui Aloïs. Tout, tout, tout.
Il me mit une claque sur le cul et me demanda de me mettre sur le dos, la tête au bord du lit et dans le vide. Il me fourra ensuite sa bite au bord de mes lèvres et il commença à l’introduire de plus en plus profondément.
-Oh putain, que c’est bon. Même ta sœur ne me fait pas ça. Aucune autres d’ailleurs.
Que voulait-il dire par aucune autre ? Bref, je m’en fou, je suis à lui et il me baise. C’est tout ce que j’attendais depuis si longtemps.
Il continuait donc de me baiser la bouche et ses couilles venait taper mon menton. Il se déchainait comme une bête dans ma bouche. Je ne pouvais pas l’arrêter, ma salive coulait le long de mes joues et de temps en temps il restait bien au fond de ma gorge tout en remuant le bassin et me traitant de sale pute. Il ressortit enfin sa bite mais je n’eu pas beaucoup de répit car il s’allongea sur le dos et me dit de venir le chevaucher. Je pris sa bite entre mes doigts et grâce à son bouffage de cul et à ma salive sur sa queue, je vins m’asseoir en la prenant bien à fond.
-Oh oui putain de merde qu’est-ce que c’est bon. Vas-y chevauches ta monture espèce de salope.
Cela m’encouragea à faire des vas et vient sur cette queue énorme. Puis il releva les genoux et c’est lui qui se mit à me mettre de grands coups de reins forts et rapides. Je le regardais dans les yeux et je le voyais se mordre la lèvre tout en me regardant avec son regard de braise. Après plus de dix minutes de ce traitement, il m’allongea sur le côté et me remit sa queue pour me baiser de plus belle. Il y allait tellement fort et vite que je sentais ses gouttes de sueur coulées dans mon dos. Il me mit ensuite sur le dos et me baisa dans cette position plus d’un quart d’heure. Ce mec est une vraie machine à baise. Il est si endurant. Je n’ai jamais baiser avec un mec comme lui. Il me retourna une dernière fois en me remettant à quatre pattes et me la fourra d’un coup sec. Il la ressortait et la re-rentrait à nouveau comme un fou.
-Putain, je vais te remplir ton cul de salope. Ohhhh OUIIIII, putain, que c’est bon. Prends ça, espèce de pute. Prends mon jus en toi. Tu sens comme ton mâle t’as bien fécondé espèce de putain ?
Je gémissais et couinais à chaque coup de reins et chaque giclée qui remplissait mes entrailles. Il s’écroula et se mit à trembler de bonheur et d’extase. Je m’allongeais contre lui et lui pris sa bite en main et j’y approchais ma langue pour la lécher tout doucement en terminant par son gland encore plein de son sperme. Il fit des petits soubresauts quand je repris sa queue en bouche. Puis je vins me mettre dans ses bras face à lui. Il prit ensuite ma queue en main et me branla jusqu’à ce que je jouisse à mon tour sur son torse en râlant de bonheur. Il me fit lécher tout mon jus et je revins me mettre face à lui.
Il me caressa la joue et me dit :
-Je crois que ça restera une de mes meilleures baises.
Il s’endormit directement en me serrant dans ses bras son torse contre le mien, sa bite contre la mienne. Je posai ma tête contre son torse puis m’endormis à mon tour.
Le lendemain matin, il me réveilla et me demanda de le suivre dans la cuisine.
-Pour aujourd’hui, tu ne viendras pas avec moi. Par contre hier soir, lorsque je suis parti, je suis allé chez un pote pour lui déposer des affaires. On a discuté un coup et je lui ai demandé de passer manger ce soir avec deux autres potes. Donc je te donne quelques petites missions. Mets cet appart bien au propre et fais-nous un bon dîner. Je t’ai retiré de l’argent hier pour que tu ailles faire des courses à la supérette du coin. Je veux que tout soit nickel et toi aussi par la même occasion. Ah oui, l’argent est sur la table. Je rentre vers 18h et mes potes arriveront vers 19h. Je veux aussi que tu mettes ton petit cadeau bien au chaud dans ton cul quand je rentrerais ce soir.
-Oui Aloïs. Je ferais tout ce que tu m’as demandé.
Il vint me faire une caresse sur le cul puis parti.
J’ai passé toute la matinée à faire le ménage, faire les courses et cuisiner pour que tout soit nickel à son retour.
A 18h, il arriva, se déshabilla, puis vint devant moi.
-Suces-moi petite salope.
Je me mis donc à genoux et je lui gobai la queue comme un dingue. Je l’ai sucé pendant 15 minutes avant qu’il ne me donne tout son jus bien crémeux. Il partit ensuite se doucher puis revint habillé en tenue décontracté. Un short ample et un débardeur. Mon dieu, qu’il est sexy.
19h, on frappe à la porte. Aloïs se lève et va accueillir ses invités. Je vois débarqué 3 sublimes créatures superbement bien foutus. Il me les présente : Théo (35 ans, 1m85, blond aux yeux bleus), Corentin (31 ans, brun aux yeux verts, 1m90) et enfin Benjamin (1m75, brun aux yeux marrons). Comment faire pour ne pas leur sauter dessus. Mon mâle, c’est Aloïs et je lui ai fait la promesse qu’il n’y aurait que lui.
-Baptiste, je te présente mes potes Théo, Corentin et Benjamin mais tout le monde l’appelle Ben.
-Enchanté les gars.
Bizarre leurs regards sur moi. Puis Aloïs reprend :
-Les mecs, je vous présente ma chienne à jus…
Fin du chapitre 4
Nous sommes sortis de l’appart puis direction la voiture. Arrivés dans celle-ci, il prit ma main et me dit sur un ton calme et apaisant.
-Je suis désolé d’avoir été sévère avec toi mais maintenant que tu es as moi, je ne veux pas que tu ailles voir ailleurs. Je suis très jaloux…
Il me fit un sourire et démarra. Durant le trajet en direction de la prochaine entreprise qu’il devait visiter, il ne dit pas un mot mais sa main était posée sur ma jambe. Je n’osais plus bouger ni le regarder quand il prit la parole.
-Tu sais, ce n’est pas parce que je suis comme ça avec toi que tu ne peux pas me parler durant le trajet.
-Eh bien non, je ne sais pas. Je ne voulais pas être irrespectueux envers toi.
-Ok, je comprends mais comme je te l’ai dit, je suis très jaloux et très possessif. Je déteste qu’on marche sur mes plates-bandes. Tu es as moi tu comprends ?
-Je comprends mais est-ce que je peux te demander quelque chose ?
-Oui, vas-y.
-Tu me dis tout ça mais je ne t’ai jamais vu comme ça avec ma sœur ? Tu ne fais pas le mâle dominant ?
-C’est vrai. Mais avec ta sœur, c’est différent. Je sais très bien qu’elle n’ira pas voir ailleurs. C’est une femme qui sait que je suis là pour elle dans tous les domaines.
-Mais tu es bi ?
-Ah non, pas du tout.
-Pourtant avec moi….
-Toi c’est encore autre chose. Je ne te vois pas comme un mec. Plutôt comme une bonne petite salope, un bon batard qui aime la bite. La preuve, c’est quand même toi qui m’as allumé avec ton petit cul. Bref, je ne suis pas PD mais maintenant que je t’ai bien fécondé, tu es à moi et à personne d’autre.
-Ok, mais…
-Oh pis j’en ai marre.
Il fit demi-tour sur la route (heureusement, il n’y avait personne derrière ni devant) et il roula sur un parking désert sur une petite route qu’il avait repéré. Il stoppa la voiture et ouvrit sa braguette pour en sortir sa bite bien droite.
-A force de parler de tout ça, j’ai grave la gaule et tu vas me soulager avant d’aller bosser, compris ?
-Oui, Aloïs.
Il prit ma tête et la dirigea sur sa grosse queue. Son gland était énorme et ses couilles devait être déjà bien pleines. Il me fit faire des gorges profondes durant cinq minutes puis stoppa pour que je le suce de moi-même.
-Ouai, vas-y comme ça espèce de petite merde, suceuse de bites. Lèches mes couilles aussi.
J’alternais entre ses couilles et sa bite et cinq minutes plus tard, il éjacula en gueulant dans ma bouche. Je continuais à le sucer pour nettoyer tout son jus. Puis, il reprit ma tête et remis sa queue bien au fond de ma gorge. Je commençais à étouffer tellement, il me maintenait. Il dit enfin :
-J’ai envie de pisser, pas le temps de rester là donc tu vas tout avaler pendant que je conduis.
J’allais pour me retirer qu’avec sa main il maintenait ma tête tout en conduisant de l’autre main. Je sentis les premières saccades de pisse couler au fond de ma gorge. C’était chaud mais je n’avais pas le choix que d’avaler. J’avais l’impression qu’il n’en finissait pas.
-Ah putain que ça soulage. Lèches bien ma bite salope. Je la veux bien propre avant que tu ne la remettes bien au chaud dans mon caleçon et tu refermes la fermeture éclair.
Je fis tout ce qu’il me demandait et me mis à tousser tellement ma gorge était endolorie de faire des fonds de gorges.
-Fais pas ta chochotte, je sais que tu aimes ça. Je t’ai dis que tu étais à moi et je veux que tu me montres que tu m’appartient, je me suis bien fais comprendre ?
-Oui Aloïs. Mais comme maintenant je suis à toi, comment tu vas faire quand je vais devoir repartir et quand ma sœur va rentrer chez vous ?
-Tu auras le temps de voir mais en attendant, tu vas devoir bien te soumettre à moi et me prouver que je n’ai pas succomber à ton cul pour que dalle.
Le reste du voyage se fit en silence cette fois-ci. Nous sommes enfin arrivés sur le parking de l’entreprise où il se gara bien à l’écart des autres voitures.
-Bon, je te préviens cette fois-ci, tu as le droit de sortir fumer mais pas le droit de parler à qui que ce soit. Si je t’envoie un message, tu me réponds immédiatement et toutes les demi-heures, tu m’écris que tout est ok pour toi. Dans les coffres, il y a une glacière avec des bouteilles d’eau si tu as soif. Je pense en avoir pour deux heures environs et ensuite, si tu as été bien sage, je t’emmène manger au resto.
-Oui Aloïs.
Je le vis sortir son téléphone et pianoter dessus. D’un seul coup, mon cul se mit à vibrer et je compris que le Lush qu’il m’avait acheté était connecté à son portable.
-A toute sale batard.
Je le vis partir et j’étais heureux de ce qu’il se produisait avec Aloïs mais en même temps, j’avais peur de ce qu’il allait se passer par la suite.
Cela ne faisait pas un quart d’heure qu’il était parti que je sentais mon cul vibrer. Cette décharge se faisait de plus en plus forte et je commençais à bander. Puis cela s’arrêta et je reçu un sms de sa part : « Toujours ok pour toi ma petite salope à foutre ? » auquel je répondis « Oui Aloïs ».
Je commençais vraiment à être soumis à lui. Plus rien ne comptait à mes yeux. Je voulais être à lui, rien qu’à lui. Je lui ai donc envoyé chaque 30 minutes un message pour dire que tout allait bien mon dernier message fut pour lui dire que j’étais pressé qu’il revienne. Il ne tarda pas à répondre en me disant qu’il aimait se sentir important de voir que sa présence me manquait tout en rajoutant une petite salope à la fin. Rien que de le lire même si c’était de petits messages me donnait envie de me branler mais je me retins.
Il avait eu raison car deux heures plus tard, il revint avec un grand sourire.
-Tu as été sage petite pute ?
-Oui Aloïs.
-Bien et tu as fait tout ce que je t’ai demandé (me dit-il en me refaisant vibrer).
Il me caressa la joue sans me regarder. Je me sentis sur le coup très heureux de le rendre fier de moi. Il reprit la route et s’arrêta dans beau restaurant au-dessus du lac avec une superbe vue panoramique.
-Tu l’as bien mérité Baptiste.
-Merci beaucoup.
Nous sommes donc allés dans ce restaurant et nous avons été placé à une bonne table avec une superbe vue. Nous avons mangé tranquillement en discutant comme deux amis puis durant le dessert, il mit le Lush à vibrer sur une grande vitesse ce qui me fis bouger dans tous les sens en essayant de ne pas gémir comme une vulgaire chienne en chaleur. Il me regardait avec un grand sourire.
-J’aime quand tu te trémousse comme ça. J’ai encore envie de te féconder ma petite pute. Va aux toilettes et je t’y rejoins dans deux minutes. Je bande comme un ouf et tu vas me soulager.
Je fis oui de la tête et parti à la recherche des toilettes tout en dandinant parce qu’il avait laissé le vibreur. Les personnes autour me regardait faire mais je m’en foutais car j’allais me faire baiser par mon beauf viril.
J’attendis peu de temps avant qu’il ne me rejoigne. Avant d’arriver, il avait arrêté le jouet dans mon cul que j’avais retiré en baissant mon short. Il entra dans la cabine de toilette et baissa son pantalon en exhibant sa bite au garde à vous. Il me plaqua contre la paroi et me la mit d’un coup sec. Il me baisa sans faire de bruit mais avec une brutalité dans ses coups de reins énorme. Il avait mis sa main sur ma bouche pour étouffer mes petits cris de salope. J’avais le cul en feu mais c’était divin. Il a juté au fond de mon cul en cinq minutes. Il me mit une bonne claque au cul. Il remit son pantalon, sa queue en place qu’il me fit sucer avant puis sorti en me disant stop du doigt pour que j’attendes un peu avant de ressortir. J’ai remis le Lush dans mon cul bien ouvert pour garder son jus en moi et ai remis mon short. J’ai attendu un peu puis je suis ressorti me laver les mains et le rejoindre à table. Tout le monde me regardait. Je ne compris pas tout de suite pourquoi mais quand j’ai vu la tête d’Aloïs qui rigolait en regardant mon entrejambe, je compris pourquoi. J’avais juté sans m’en rendre compte en enfilant mon short et comme je ne portais de sous-vêtements, cela se voyait bien. Je devins rouge de honte.
-Je vais aller payer, vas m’attendre dans la voiture. On est à la bourre, j’ai encore un rendez-vous cette aprem.
Je me levai, puis pris la direction de la voiture en me dépêchant de marcher mais ce vicieux d’Aloïs remit le Lush en marche ce qui me fis pousser un petit cri devant tout le monde. Il s’est mis à rire et moi je me suis mis à courir. Il revint à la voiture quelques minutes après en riant de plus belle.
-J’adore te voir courir comme ça en poussant des petits cris de salope. Les mêmes cris que lorsque je te bourre le fion.
-J’ai eut la honte de ma vie.
-Et alors, moi j’ai bien mangé et j’ai les couilles moins lourdes donc c’est le pied.
Il repartit en démarrant en trombe. L’après-midi était plus long. Toutes les trente minutes, je lui envoyais un petit message pour lui dire que tout était ok pour moi sauf que son jus commençait à couler de plus en plus. Pour ne pas salir son siège de voiture, je récoltais le tout avec mes doigts que je léchais ensuite en lui envoyant une petite vidéo de moi en train de le faire à laquelle il me répondit : « Mmmmmm, t’es vraiment qu’un vide couilles, ton cul va encore prendre cher ce soir ». Je souris, heureux qu’il veuille encore mon cul. Le temps fut moins long en sachant ça mais j’avais hâte de rentrer.
Nous sommes rentrés vers 20h à l’appart. Il ne dit rien et alla prendre sa douche. Je savais qu’il allait me demander une bière en sortant donc je lui préparai et lui servis lorsqu’il ressorti de la douche avec juste une serviette autour de la taille. Mon dieu qu’il est vraiment bandant encore mouiller et quasi à poils devant moi. Je lui tendis la bière et il me gratifia d’un grand sourire des plus ravageur. Il me montra du doigt la salle de bain et je partis sans ne rien dire me laver bien à fond car je savais que ce soir il allait me baiser. J’avais encore le Lush dans le cul et lorsque je l’ai enlevé, cela m’a fait comme si quelque chose me manquait.
Je me fis un bon lavement, puis le rejoignit au salon mais il n’y était pas. Je partis dans la chambre mais personne. Merde, je ne suis à la salle de bain que 15 minutes. Puis j’ai trouvé un mot sur la table avec inscrit : « je reviens dans une heure alors d’ici une heure, je te veux à poils sur le lit à quatre pattes et ton cul bien cambré. A tout de suite ma petite pute à jus. » J’ai tourné en rond pendant toute cette heure puis je suis allé m’installé sur le lit comme il me l’a demandé. J’ai entendu la porte s’ouvrir et je tendis donc mon cul pour qu’il voit bien que je suis très obéissant. Je l’entendis arriver dans la chambre.
-Putain mais ton cul est toujours aussi bandant et accueillant sale pute.
Il s’approcha puis me caressa les fesses. Il me mit un doigt qui me fit gémir et je sentis ensuite sa langue le long de ma raie ce qui me fis couiner comme une chienne en chaleur.
-J’aime quand tu couines. Tu vas être une bonne chienne ce soir. Et je ne vais pas te baiser à toute vitesse. Je vais prendre mon temps mais je vais te démonter ton petit cul de sale pédale. Tu vas morfler mais tu vas en redemander, j’en suis sûr.
Il se remit à me lécher le cul puis je sentis sa langue s’introduire à l’intérieur. Je ne pouvais m’empêcher de gémir à chaque coup de langue. Il me caressait aussi le dos et cela à durer plus de dix minutes. C’était bon, doux et je bandais comme un malade.
-T’es prêt à encaisser ma petite pute ?
-Oui Aloïs. Prends-moi, démontes moi. Féconde-moi. Je suis tout à toi. Fais de moi ce que tu veux. Je t’appartiens.
-Tout ce que je voudrais et comme je voudrais ? Tu es sûr de toi ?
-Oui Aloïs. Tout, tout, tout.
Il me mit une claque sur le cul et me demanda de me mettre sur le dos, la tête au bord du lit et dans le vide. Il me fourra ensuite sa bite au bord de mes lèvres et il commença à l’introduire de plus en plus profondément.
-Oh putain, que c’est bon. Même ta sœur ne me fait pas ça. Aucune autres d’ailleurs.
Que voulait-il dire par aucune autre ? Bref, je m’en fou, je suis à lui et il me baise. C’est tout ce que j’attendais depuis si longtemps.
Il continuait donc de me baiser la bouche et ses couilles venait taper mon menton. Il se déchainait comme une bête dans ma bouche. Je ne pouvais pas l’arrêter, ma salive coulait le long de mes joues et de temps en temps il restait bien au fond de ma gorge tout en remuant le bassin et me traitant de sale pute. Il ressortit enfin sa bite mais je n’eu pas beaucoup de répit car il s’allongea sur le dos et me dit de venir le chevaucher. Je pris sa bite entre mes doigts et grâce à son bouffage de cul et à ma salive sur sa queue, je vins m’asseoir en la prenant bien à fond.
-Oh oui putain de merde qu’est-ce que c’est bon. Vas-y chevauches ta monture espèce de salope.
Cela m’encouragea à faire des vas et vient sur cette queue énorme. Puis il releva les genoux et c’est lui qui se mit à me mettre de grands coups de reins forts et rapides. Je le regardais dans les yeux et je le voyais se mordre la lèvre tout en me regardant avec son regard de braise. Après plus de dix minutes de ce traitement, il m’allongea sur le côté et me remit sa queue pour me baiser de plus belle. Il y allait tellement fort et vite que je sentais ses gouttes de sueur coulées dans mon dos. Il me mit ensuite sur le dos et me baisa dans cette position plus d’un quart d’heure. Ce mec est une vraie machine à baise. Il est si endurant. Je n’ai jamais baiser avec un mec comme lui. Il me retourna une dernière fois en me remettant à quatre pattes et me la fourra d’un coup sec. Il la ressortait et la re-rentrait à nouveau comme un fou.
-Putain, je vais te remplir ton cul de salope. Ohhhh OUIIIII, putain, que c’est bon. Prends ça, espèce de pute. Prends mon jus en toi. Tu sens comme ton mâle t’as bien fécondé espèce de putain ?
Je gémissais et couinais à chaque coup de reins et chaque giclée qui remplissait mes entrailles. Il s’écroula et se mit à trembler de bonheur et d’extase. Je m’allongeais contre lui et lui pris sa bite en main et j’y approchais ma langue pour la lécher tout doucement en terminant par son gland encore plein de son sperme. Il fit des petits soubresauts quand je repris sa queue en bouche. Puis je vins me mettre dans ses bras face à lui. Il prit ensuite ma queue en main et me branla jusqu’à ce que je jouisse à mon tour sur son torse en râlant de bonheur. Il me fit lécher tout mon jus et je revins me mettre face à lui.
Il me caressa la joue et me dit :
-Je crois que ça restera une de mes meilleures baises.
Il s’endormit directement en me serrant dans ses bras son torse contre le mien, sa bite contre la mienne. Je posai ma tête contre son torse puis m’endormis à mon tour.
Le lendemain matin, il me réveilla et me demanda de le suivre dans la cuisine.
-Pour aujourd’hui, tu ne viendras pas avec moi. Par contre hier soir, lorsque je suis parti, je suis allé chez un pote pour lui déposer des affaires. On a discuté un coup et je lui ai demandé de passer manger ce soir avec deux autres potes. Donc je te donne quelques petites missions. Mets cet appart bien au propre et fais-nous un bon dîner. Je t’ai retiré de l’argent hier pour que tu ailles faire des courses à la supérette du coin. Je veux que tout soit nickel et toi aussi par la même occasion. Ah oui, l’argent est sur la table. Je rentre vers 18h et mes potes arriveront vers 19h. Je veux aussi que tu mettes ton petit cadeau bien au chaud dans ton cul quand je rentrerais ce soir.
-Oui Aloïs. Je ferais tout ce que tu m’as demandé.
Il vint me faire une caresse sur le cul puis parti.
J’ai passé toute la matinée à faire le ménage, faire les courses et cuisiner pour que tout soit nickel à son retour.
A 18h, il arriva, se déshabilla, puis vint devant moi.
-Suces-moi petite salope.
Je me mis donc à genoux et je lui gobai la queue comme un dingue. Je l’ai sucé pendant 15 minutes avant qu’il ne me donne tout son jus bien crémeux. Il partit ensuite se doucher puis revint habillé en tenue décontracté. Un short ample et un débardeur. Mon dieu, qu’il est sexy.
19h, on frappe à la porte. Aloïs se lève et va accueillir ses invités. Je vois débarqué 3 sublimes créatures superbement bien foutus. Il me les présente : Théo (35 ans, 1m85, blond aux yeux bleus), Corentin (31 ans, brun aux yeux verts, 1m90) et enfin Benjamin (1m75, brun aux yeux marrons). Comment faire pour ne pas leur sauter dessus. Mon mâle, c’est Aloïs et je lui ai fait la promesse qu’il n’y aurait que lui.
-Baptiste, je te présente mes potes Théo, Corentin et Benjamin mais tout le monde l’appelle Ben.
-Enchanté les gars.
Bizarre leurs regards sur moi. Puis Aloïs reprend :
-Les mecs, je vous présente ma chienne à jus…
Fin du chapitre 4
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Aucun plaisir à la lecture. La soumission et la violence rendent le récit presque ridicule… c’est dommage car ça démarrait bien dans les 2 premiers chapitres.

