Monique et le routier
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Monique et le routier
Cela s'est passé il y a quelques semaines, lorsque nous partions en vacances. C'était un dimanche, et nous nous sommes arrêtés sur une petite aire d'autoroute pour pique-niquer.
Nous nous sommes installés sur un plaid et, en face de nous, il y avait des camions en attente de repartir en raison de l'interdiction de rouler le dimanche. Je portais une robe légère qui m'arrivait à mi-cuisse, pratique pour voyager mais moins adaptée pour être assise par terre. Parfois, on pouvait voir une bonne partie de ma cuisse, de ma fesse, et peut-être même ma culotte.
Un routier, à la fenêtre de son camion, avait vu le panorama depuis sa cabine et regardait avec insistance. Mon mari avait remarqué qu’il zieutait dans notre direction, sans comprendre pourquoi au début. Quand il a vu que j’étais assise les jambes légèrement écartées, laissant entrevoir le triangle de ma culotte. Quant à moi, je n’avais pas remarqué que le routier observait le jeu de mes jambes, dévoilant plus ou moins mon entrecuisse. A chaque changements de position le regard du routier devenait plus intense.
Mon mari avait compris la situation , et il me le chuchota à l’oreille.
Souriante, amusée aussi, je jouais le jeu, ajustant ma position de manière a offrir une vue encore plus provocante. Je pouvais sentir le désir monter en moi, alimenter par le regard vorace du routier. J’étais excitée par ce petit jeu d’exhibition improvisé. Je dis a mon mari:
Tu crois que il se branle ?
— "Je ne sais pas, vas-y voir!" (lol)
Sans hésiter, je me lève et me dirige vers le camion. Mon mari me demande, perplexe :
— "Où est-ce que tu vas ?"
— "Tu m'as dit d'y aller !"
Il reste là, assis comme un idiot, en terminant son sandwich.
J'essaie de discuter avec le camionneur, mais il est polonais et parle un anglais approximatif. Malgré la barrière de la langue, il se fait comprendre et ouvre la porte de son camion. J'y monte. C'était une invitation à une rencontre sur une aire d'autoroute avec un routier. L’ambiance électrique n’est pas aux préliminaires. Le routier enfile un préservatif pendant que j’enlève ma culotte et remonte ma robe. Allongée sur la couchette du camion il se couche sur moi et me pénètre en missionnaire. Il n’a aucun mal a entrer en moi car je suis toute humide. Dans ce contexte je ne tarde pas a atteindre l’orgasme. Mon vagin fait des petits spasme puis serre sa queue.Je pense qu’il le sent, il force un peu, accélère la cadence et se termine dans un râle de soulagement. Cela a été rapide mais très bon. Il me fait comprendre qu’il ne tenait plus , que c’était pour cela qu’il a éjaculer si vite.
Il n'est pas goujat, nous nous câlinons un peu, et il se montre attentionné. Peu après, je décide de partir. En descendant du camion, je réajuste ma robe car sa cabine était assez étroite. Je me retourne, il me regarde. Je lui envoie un baiser et il me fait signe de la main avec un grand sourrire.
Je me dirige vers mon gros candauliste de mari une main derrière le dos. J’arrive a sa hauteur et je lance la capote pleine nouée en sa direction.
-Tiens plus de doute il se branlait , mais je l’ai aider.
-T’es vraiment une grosse salope.
-Ne t’en déplaise mon chère.
Nous rangons tout dans la voiture, le camionneur m’observe toujours. Je regarde a gauche et a droite, personne. Je lève ma robe et secoue mon popotin un dernier coup vers lui. Il me montre un pouce tendu vers le haut et il fait un cœur avec ses mains.
Nous reprenons la route, aucun mot sur ce qui c’est passer. Mon Cocu était encore ébahit.
Nous nous sommes installés sur un plaid et, en face de nous, il y avait des camions en attente de repartir en raison de l'interdiction de rouler le dimanche. Je portais une robe légère qui m'arrivait à mi-cuisse, pratique pour voyager mais moins adaptée pour être assise par terre. Parfois, on pouvait voir une bonne partie de ma cuisse, de ma fesse, et peut-être même ma culotte.
Un routier, à la fenêtre de son camion, avait vu le panorama depuis sa cabine et regardait avec insistance. Mon mari avait remarqué qu’il zieutait dans notre direction, sans comprendre pourquoi au début. Quand il a vu que j’étais assise les jambes légèrement écartées, laissant entrevoir le triangle de ma culotte. Quant à moi, je n’avais pas remarqué que le routier observait le jeu de mes jambes, dévoilant plus ou moins mon entrecuisse. A chaque changements de position le regard du routier devenait plus intense.
Mon mari avait compris la situation , et il me le chuchota à l’oreille.
Souriante, amusée aussi, je jouais le jeu, ajustant ma position de manière a offrir une vue encore plus provocante. Je pouvais sentir le désir monter en moi, alimenter par le regard vorace du routier. J’étais excitée par ce petit jeu d’exhibition improvisé. Je dis a mon mari:
Tu crois que il se branle ?
— "Je ne sais pas, vas-y voir!" (lol)
Sans hésiter, je me lève et me dirige vers le camion. Mon mari me demande, perplexe :
— "Où est-ce que tu vas ?"
— "Tu m'as dit d'y aller !"
Il reste là, assis comme un idiot, en terminant son sandwich.
J'essaie de discuter avec le camionneur, mais il est polonais et parle un anglais approximatif. Malgré la barrière de la langue, il se fait comprendre et ouvre la porte de son camion. J'y monte. C'était une invitation à une rencontre sur une aire d'autoroute avec un routier. L’ambiance électrique n’est pas aux préliminaires. Le routier enfile un préservatif pendant que j’enlève ma culotte et remonte ma robe. Allongée sur la couchette du camion il se couche sur moi et me pénètre en missionnaire. Il n’a aucun mal a entrer en moi car je suis toute humide. Dans ce contexte je ne tarde pas a atteindre l’orgasme. Mon vagin fait des petits spasme puis serre sa queue.Je pense qu’il le sent, il force un peu, accélère la cadence et se termine dans un râle de soulagement. Cela a été rapide mais très bon. Il me fait comprendre qu’il ne tenait plus , que c’était pour cela qu’il a éjaculer si vite.
Il n'est pas goujat, nous nous câlinons un peu, et il se montre attentionné. Peu après, je décide de partir. En descendant du camion, je réajuste ma robe car sa cabine était assez étroite. Je me retourne, il me regarde. Je lui envoie un baiser et il me fait signe de la main avec un grand sourrire.
Je me dirige vers mon gros candauliste de mari une main derrière le dos. J’arrive a sa hauteur et je lance la capote pleine nouée en sa direction.
-Tiens plus de doute il se branlait , mais je l’ai aider.
-T’es vraiment une grosse salope.
-Ne t’en déplaise mon chère.
Nous rangons tout dans la voiture, le camionneur m’observe toujours. Je regarde a gauche et a droite, personne. Je lève ma robe et secoue mon popotin un dernier coup vers lui. Il me montre un pouce tendu vers le haut et il fait un cœur avec ses mains.
Nous reprenons la route, aucun mot sur ce qui c’est passer. Mon Cocu était encore ébahit.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
... c'est une aventure rapide..
Mais crédible.
Bravo d'assumer tes pulsions aussi librement..
J'ai lu ton profil auteur.
..je partage complètement le comportement de ton mari..
Profitez tout les deux.
Rudy
Mais crédible.
Bravo d'assumer tes pulsions aussi librement..
J'ai lu ton profil auteur.
..je partage complètement le comportement de ton mari..
Profitez tout les deux.
Rudy
Monique tu m'excites
Nul
Superbe histoire.
Il manque cependant quelques détails.
Il manque cependant quelques détails.