Noémie la femme enrobée : une sexualité bien à part et une pipe d’enfer (Partie 2/3)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Noémie la femme enrobée : une sexualité bien à part et une pipe d’enfer (Partie 2/3)
Noémie n’était pas prête à quitter cette maison luxueuse, Gérald la rendait heureuse, elle fut très vite recouverte de fleurs et de cadeaux. Entre vêtements de marque et bijoux, elle recevait régulièrement quelques cadeaux de sa part. mais ce n’était pas pour cette raison qu’elle restait avec lui, elle l’aimait et ne voulait pas passer pour une profiteuse. Après un mois, lorsque Gérald, ne voulant plus se cacher, lui dit qu’il organiserait une réunion avec tout le personnel afin de leur annoncer que Noémie deviendrait sa compagne, celle-ci refusa catégoriquement :— Je ne peux pas mon amour même si je le désire du fond du cœur, tout ceci est impossible.
— Pourquoi ? Je ne comprends pas ma petite chérie. C’est la différence d’âge qui te gêne ?
Noémie confrontée à une sexualité bien spéciale avec son amant, n’était pas tout à fait comblée côté sexe, elle jouissait fortement, elle prenait vraiment beaucoup de plaisir avec lui mais le god-ceinture ne remplaçait la verge d’un partenaire et cela lui manquait et elle n’osait pas le lui dire. C’était donc l’occasion rêvée pour lui avouer son secret :— Mon amour, si nous nous installons ensemble, cela veut dire que je dois te rester fidèle et c’est vraiment ce que je désire mais ! …— Mais quoi ? Tu n’es pas tout à fait satisfaite, c’est ça ?
Oui ! Gérald avait vu juste, il savait que leur relation sexuelle lui procurait beaucoup de jouissance mais se doutait bien que rien ne pouvait remplacer le vrai sexe en érection d’un garçon. Il devait faire quelque chose, il y avait déjà pensé : — Je vais te dire franchement ma chérie, tu pourras quand tu le voudras voir quelqu’un, je te laisserai vivre ta libido.
— Je ne m’en sentirai jamais capable mon amour, je ne pourrai pas te tromper, cela jamais, je t’aime trop.
Après une très longue discussion en tête à tête sans tabou, cet homme tant amoureux de sa compagne lui proposait de prendre des amants pour satisfaire ses pulsions mais comme elle ne voulait pas le faire dans son dos, il lui proposa qu’elle le fasse en sa présence :— Mon plaisir sera de te voir heureuse ma chérie. Dis Oui !
Ils avaient donc établi ensemble un pacte, Noémie choisissait de coucher avec des hommes tous les mois, devant le regard de son bien aimé. Elle emmènerait ces amants à la maison, dans la chambre d’amis où des caméras seraient installées. Ainsi, le couple pourrait faire l’amour suivant les désirs de Noémie pendant que Gérald regarderait sur son ordinateur cette séance pornographique depuis la chambre conjugale :— Je ne veux pas d’un amant me faisant l’amour, ça je te le réserve. Je veux un partenaire de sexe qui me baisera comme une salope.
— Qu’il en soit ainsi et moi ça va m’exciter, je prendrai plus de plaisir avec toi après tout ça.
L’annonce faite aux employés, fut une réelle surprise pour tous. Entre ceux qui étaient heureux pour Noémie et les jaloux qui auraient aimé être à la place de leur patron, les avis étaient partagés et cela faisait jaser.
Le premier partenaire de Noémie fut trouvé lors d’une sortie au restaurant. À la table voisine de la leur, deux hommes mangeaient là, ils semblaient être en déplacement certainement des VRP. Le plus jeune regardait avec insistance la jeune femme qui lui faisait presque face :— Regarde Noémie, ce jeune en pince pour toi, il te plairait ? il a l’air correct, qu’en penses-tu ?
— Oui ! c’est vrai qu’il est mignon, je ne sais pas comment faire, tu me mets dans l’embarras.
Gérald la rassura, il allait l’aider, il avait hâte de commencer cette expérience et Noémie était toute excitée en pensant à cette situation délicate. Il profita que le chef du jeune homme quitte la table pour payer au comptoir pour le rencontrer et lui dire doucement à l’oreille :— Ma fille voudrait bien que je vous amène à la maison, qu’en dites-vous ?
Le trentenaire surpris de cette démarche, ne répondit pas tout de suite, il regarda Noémie qui clignait des yeux en souriant puis regarda droit dans les yeux Gérald afin de savoir si ce n’était pas une blague :— C’est sérieux ? Que me proposez-vous là, vous êtes son mac ?
— Non pas du tout ! Ce n’est ni une blague, ni une pute. C’est juste une petite salope qui a envie de baiser avec vous. Vous nous suivez ?
— Ok je viens ! Attendez deux minutes, je préviens mon responsable. Vous me ramènerez à mon hôtel.
— Pas de problème mon garçon comptez sur moi.
Voilà comment ce jeune VRP se retrouva dans le lit de Noémie.
Mais cette grosse demi-heure passée dans les bras de cet homme fut catastrophique. Si le jeune VRP, qui n’avait rien demandé, avait trouvé par miracle, une femme à baiser après une savante une fellation. Noémie n’avait pris aucun plaisir dans ces préliminaires bâclés, elle n’avait pas non plus joui lors de la longue pénétration. À aucun moment, elle senti monter le désir mais elle savait que c’était de sa faute, elle ne s’était jamais libérée. Elle n’avait pensé qu’à Gérald qui la regardait sur son écran et qui l’avait offerte à un inconnu sans qu’elle ait pris la peine de se faire désirer.
Ils en avaient longuement discuté après que Gérald ait raccompagné son partenaire pendant qu’elle prenait sa douche et se préparait pour la nuit. Elle avait passé sa nouvelle nuisette puis s’était couchée en attendant son compagnon. Cette expérience avait bien plu à Gérald qui voulait que tout cela continue. Il insista auprès d’elle, en lui disant qu’il fallait qu’elle se lâche, qu’elle devienne comme dans ses fantasmes, une vraie salope qui voulait baiser sauvagement sans penser à autre chose :— Ne pense qu’à ressusciter ma queue ma chérie, ferme les yeux en pensant que c’est ma bite qui te baise et te défonce.
Ces mots lui donnèrent une pulsion de désir, elle se jeta dans ses bras, elle avait besoin d’amour. Gérald fut génial ce soir-là, elle obtint plusieurs orgasmes de suite et le plus important, fut lorsqu’il l’avait sodomisée avec son jouet à la ceinture, elle tremblait de tout son corps en éjaculant des flots de cyprine. Avant de dormir, Noémie avoua qu’elle aimerait bien pour le prochain, qu’elle vive un moment de drague avec son futur partenaire de sexe afin de se sentir libre et désirée. Elle voulait exciter le maximum sa proie afin qu’il la prenne sauvagement et sans ménagement.
Même si la deuxième séance était bien mieux, ce n’était pas encore la panacée. Les deux partenaires qu’ils avaient choisis, étaient bien trop jeunes et trop sentimentaux. Ils devaient progresser dans leur choix.
Trois mois c’était passé, c’était le vendredi choisi pour leur séance mensuelle. Cette fois, Noémie avec l’accord de Gérald avait choisit un client. En effet, il y avait une quinzaine de jours, un homme d’une petite cinquantaine d’année, assez macho et très viril s’était présenté auprès de la secrétaire pour un rendez-vous avec le patron de l’entreprise. Gérald étant encore occupé auprès d’un autre client était dans l’impossibilité de le recevoir dans l’immédiat :— Écoute ma chérie, fait le patienter, sert lui le café, j’en ai pour dix minutes.
Comme son homme lui avait demandé, Noémie se leva et avec grâce, alla préparer le café pour ce client qui l’observait et la déshabillait du regard. Elle revint vers lui le café à la main et lui tendit :— Attention Monsieur Dupont, ne vous brûlez pas, il est très chaud.
Dit-elle en se remettant assise. Elle croisa les jambes derrière son bureau, songeuse, sous les compliments de ce quinquagénaire :— Vous avez des yeux magnifiques, cette couleur orangée est très rare, vous êtes ravissante. Se permettait-il de dire.
Il continua ses compliments sur sa tenue vestimentaire puis s’aventura sur son charme, jusqu’à aller la féliciter sur sa silhouette :— J’aime vos formes, j’aime les femmes comme vous, qui osez porter des vêtements sexy sans aucune appréhension.
— Merci Monsieur Dupont mais c’est beaucoup trop de compliments que vous me faites là.
Dit-elle en prenant l’air d’une sainte nitouche. S’étant aperçue qu’il portait une alliance sur son annulaire gauche. Elle rajouta :— Que dirait votre femme si elle vous voyait ainsi ?
Il n’eut pas l’occasion de répondre, Gérald était là, raccompagnant son client. Il l’invita à le suivre dans son bureau. Noémie était persuadée que cet homme n’était qu’un beau pervers qui ne pensait qu’à la baiser sauvagement. « C’est peut-être l’occasion. » se disait-elle en retournant à ses occupations. Pendant ce temps, monsieur Dupont était en pleine discussion travail avec Gérald. Celui-ci voulait vraiment l’obtenir comme clients, il avait besoin de lui dans ces moments difficiles où les bons chantiers se faisaient rare.
À la fin des premières négociations, Monsieur Dupont qui ne savait pas que Noémie était la compagne de Gérald lui dit :— Vous avez vraiment de la chance Monsieur Régent, si j’avais une secrétaire comme la vôtre, ça fait déjà longtemps que je l’aurais mise sous mon bureau. Sa bouche est faite pour tailler des pipes, vous n’avez jamais essayé, dites-moi ?
— Si, bien sûr ! Elle suce à merveille, je vous le garantis. Tentez toujours votre chance, on ne sait jamais.
Avant son départ, Monsieur Dupont alla saluer Noémie en lui disant qu’ils se reverrait bientôt et qu’il en était déjà impatient. Elle lui sourit et lui serra la main, en gardant la sienne, un peu plus longtemps que la normale, Jacques était sûr à présent que cette femme finirait par céder à ses avances. Après son départ, Gérald et Noémie comprirent tous les deux qu’ils avaient eu la même idée, ils se mirent à rire :— Tu sais que je vais avoir besoin de toi, il peut devenir un client important et en ces temps qui courent, c’est important.
— Si nous pouvons joindre l’utile à l’agréable, je vais tout faire pour. Rassure-toi, il me plait, je serai heureuse de te rendre ce service.
Gérald fit installer des mini caméra sur la rampe de spots de la salle d’accueil, attenante à son bureau où il se prélassait de temps à autres avec ses clients en buvant le verre de l’amitié après les signatures des contrats.
Comme il l’avait envisagé, Jacques Dupont rappela Noémie le mercredi suivant, ce n’était pas pour l’inviter à déjeuner :— Bonjour Noémie, j’aimerais tant passer un moment seul avec vous. Je dois rencontrer Monsieur Régent vendredi soir à 18 heures, serez-vous encore là.
— J’aurais aimé aussi mais malheureusement, je quitte à 18 heures.
— Si je viens pour 17h30, trente minutes en tête à tête ça vous dit ?
Le vendredi soir, après s’être fait la bise pour se saluer, Noémie avait amené son invité dans la salle d’accueil. Installé sur le grand canapé, Jacques s’était fait servir un scotch par la secrétaire qui avait déjà dévoilé la moitié de sa forte poitrine en enlevant deux boutons supplémentaires. Avec des gestes lents, elle continua à ôter le reste des boutons, son chemisier était totalement ouvert dévoilant ce magnifique soutien-gorge en dentelle qui ne cachait rien des rondeurs de cette fabuleuse poitrine.
Elle s’agenouilla devant lui, et sans lui demander, elle déboucla sa ceinture, enleva la pression et descendit le zip de sa fermeture éclair. Il leva légèrement les fesses afin qu’elle puisse descendre son pantalon puis son slip kangourou. La verge de Monsieur Dupont était dans la moyenne nationale, elle n’était ni de grande taille, ni trop épaisse mais d’une dureté impressionnante. Elle prit son pénis et délicatement, elle commença à descendre et monter sa main, tout en décalottant son gland rosé. Il ressemblait à s’y méprendre à une fraise. Lentement, très lentement, elle le masturbait, elle continuait tout en passant le bout de son index sur la goutte qui suintait du méat, ça coulait encore, elle persévérait en étalant ce liquide pré séminal sur l’ensemble de son gland, jusqu’à la couronne. Jacques s’arc boutait, la regardant faire, cette caresse magique lui faisait monter son désir au plus haut point.
Noémie stoppa quelques instants, elle avait compris qu’il était prêt à éjaculer, elle voulait lui en donner un peu plus. Il reprit ses esprits, posa son verre sur la table basse après l’avoir vidé cul sec. Elle le regarda, lui sourit et se pencha sur son entrejambe, elle prit du bout des lèvres le gland de son phallus et l’enfonçait progressivement, très lentement dans sa bouche. Puis se retirait avant de renouveler l’opération. Jacques n’en revenait pas, il ne s’était pas trompé, cette femme était née pour faire des pipes, c’était une reine en la matière. Elle contractait ses joues en aspirant le bout de sa queue, Jacques s’était enfoncé sur le dossier en cuir en disant :— C’est trop bon ma salope, tu suces mieux qu’une pute…
Noémie sentait sa cyprine coulée, elle prenait un vrai plaisir à réaliser cette fellation. Il y avait très longtemps qu’elle n’avait pas eu de pénis en bouche. Elle enfonçait la hampe petit à petit entre ses lèvres, elle sentait, vu la crispation des muscles de son partenaire que celui-ci ne résisterait plus longtemps à cette caresse buccale, il posa ses mains sur l’arrière de son crâne et fit quelques va et vient :— Je te baise la bouche sale pute, elle est trop bonne.
Ne pouvant répondre la bouche pleine, elle accélérait le mouvement d’avant en arrière, son membre de 15 cm était entièrement rentré, lorsqu’elle ressentit le liquide chaud s’épandre par saccades. Elle garda le sperme quelques instant encore au fond de sa gorge puis le laissa s’échapper, le long de la colonne de chair en continuant de le masturber et en étalant ce liquide poisseux jusqu’à ses bourses qu’elle triturait. Un dernier petit jet de semence ressortit de son gland, elle le lécha avec sa langue et l’avala.
Depuis quelques minutes, une de ses mains était posée sur sa vulve, elle aussi se masturbait. Deux doigts la pénétraient et très vite elle prit son orgasme à son tour, sous les yeux ébahis de Jacques qui la regardait faire :— Tu es une sale cochonne, une vraie petite salope comme je les aime. Dit-il en prenant du sopalin sur la table.
— Merci Jacques, j’espère que cela vous a plu ?
— On est appelé à se revoir, avec ce que je viens de vivre, je signe ce soir même.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Noémie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
— Pourquoi ? Je ne comprends pas ma petite chérie. C’est la différence d’âge qui te gêne ?
Noémie confrontée à une sexualité bien spéciale avec son amant, n’était pas tout à fait comblée côté sexe, elle jouissait fortement, elle prenait vraiment beaucoup de plaisir avec lui mais le god-ceinture ne remplaçait la verge d’un partenaire et cela lui manquait et elle n’osait pas le lui dire. C’était donc l’occasion rêvée pour lui avouer son secret :— Mon amour, si nous nous installons ensemble, cela veut dire que je dois te rester fidèle et c’est vraiment ce que je désire mais ! …— Mais quoi ? Tu n’es pas tout à fait satisfaite, c’est ça ?
Oui ! Gérald avait vu juste, il savait que leur relation sexuelle lui procurait beaucoup de jouissance mais se doutait bien que rien ne pouvait remplacer le vrai sexe en érection d’un garçon. Il devait faire quelque chose, il y avait déjà pensé : — Je vais te dire franchement ma chérie, tu pourras quand tu le voudras voir quelqu’un, je te laisserai vivre ta libido.
— Je ne m’en sentirai jamais capable mon amour, je ne pourrai pas te tromper, cela jamais, je t’aime trop.
Après une très longue discussion en tête à tête sans tabou, cet homme tant amoureux de sa compagne lui proposait de prendre des amants pour satisfaire ses pulsions mais comme elle ne voulait pas le faire dans son dos, il lui proposa qu’elle le fasse en sa présence :— Mon plaisir sera de te voir heureuse ma chérie. Dis Oui !
Ils avaient donc établi ensemble un pacte, Noémie choisissait de coucher avec des hommes tous les mois, devant le regard de son bien aimé. Elle emmènerait ces amants à la maison, dans la chambre d’amis où des caméras seraient installées. Ainsi, le couple pourrait faire l’amour suivant les désirs de Noémie pendant que Gérald regarderait sur son ordinateur cette séance pornographique depuis la chambre conjugale :— Je ne veux pas d’un amant me faisant l’amour, ça je te le réserve. Je veux un partenaire de sexe qui me baisera comme une salope.
— Qu’il en soit ainsi et moi ça va m’exciter, je prendrai plus de plaisir avec toi après tout ça.
L’annonce faite aux employés, fut une réelle surprise pour tous. Entre ceux qui étaient heureux pour Noémie et les jaloux qui auraient aimé être à la place de leur patron, les avis étaient partagés et cela faisait jaser.
Le premier partenaire de Noémie fut trouvé lors d’une sortie au restaurant. À la table voisine de la leur, deux hommes mangeaient là, ils semblaient être en déplacement certainement des VRP. Le plus jeune regardait avec insistance la jeune femme qui lui faisait presque face :— Regarde Noémie, ce jeune en pince pour toi, il te plairait ? il a l’air correct, qu’en penses-tu ?
— Oui ! c’est vrai qu’il est mignon, je ne sais pas comment faire, tu me mets dans l’embarras.
Gérald la rassura, il allait l’aider, il avait hâte de commencer cette expérience et Noémie était toute excitée en pensant à cette situation délicate. Il profita que le chef du jeune homme quitte la table pour payer au comptoir pour le rencontrer et lui dire doucement à l’oreille :— Ma fille voudrait bien que je vous amène à la maison, qu’en dites-vous ?
Le trentenaire surpris de cette démarche, ne répondit pas tout de suite, il regarda Noémie qui clignait des yeux en souriant puis regarda droit dans les yeux Gérald afin de savoir si ce n’était pas une blague :— C’est sérieux ? Que me proposez-vous là, vous êtes son mac ?
— Non pas du tout ! Ce n’est ni une blague, ni une pute. C’est juste une petite salope qui a envie de baiser avec vous. Vous nous suivez ?
— Ok je viens ! Attendez deux minutes, je préviens mon responsable. Vous me ramènerez à mon hôtel.
— Pas de problème mon garçon comptez sur moi.
Voilà comment ce jeune VRP se retrouva dans le lit de Noémie.
Mais cette grosse demi-heure passée dans les bras de cet homme fut catastrophique. Si le jeune VRP, qui n’avait rien demandé, avait trouvé par miracle, une femme à baiser après une savante une fellation. Noémie n’avait pris aucun plaisir dans ces préliminaires bâclés, elle n’avait pas non plus joui lors de la longue pénétration. À aucun moment, elle senti monter le désir mais elle savait que c’était de sa faute, elle ne s’était jamais libérée. Elle n’avait pensé qu’à Gérald qui la regardait sur son écran et qui l’avait offerte à un inconnu sans qu’elle ait pris la peine de se faire désirer.
Ils en avaient longuement discuté après que Gérald ait raccompagné son partenaire pendant qu’elle prenait sa douche et se préparait pour la nuit. Elle avait passé sa nouvelle nuisette puis s’était couchée en attendant son compagnon. Cette expérience avait bien plu à Gérald qui voulait que tout cela continue. Il insista auprès d’elle, en lui disant qu’il fallait qu’elle se lâche, qu’elle devienne comme dans ses fantasmes, une vraie salope qui voulait baiser sauvagement sans penser à autre chose :— Ne pense qu’à ressusciter ma queue ma chérie, ferme les yeux en pensant que c’est ma bite qui te baise et te défonce.
Ces mots lui donnèrent une pulsion de désir, elle se jeta dans ses bras, elle avait besoin d’amour. Gérald fut génial ce soir-là, elle obtint plusieurs orgasmes de suite et le plus important, fut lorsqu’il l’avait sodomisée avec son jouet à la ceinture, elle tremblait de tout son corps en éjaculant des flots de cyprine. Avant de dormir, Noémie avoua qu’elle aimerait bien pour le prochain, qu’elle vive un moment de drague avec son futur partenaire de sexe afin de se sentir libre et désirée. Elle voulait exciter le maximum sa proie afin qu’il la prenne sauvagement et sans ménagement.
Même si la deuxième séance était bien mieux, ce n’était pas encore la panacée. Les deux partenaires qu’ils avaient choisis, étaient bien trop jeunes et trop sentimentaux. Ils devaient progresser dans leur choix.
Trois mois c’était passé, c’était le vendredi choisi pour leur séance mensuelle. Cette fois, Noémie avec l’accord de Gérald avait choisit un client. En effet, il y avait une quinzaine de jours, un homme d’une petite cinquantaine d’année, assez macho et très viril s’était présenté auprès de la secrétaire pour un rendez-vous avec le patron de l’entreprise. Gérald étant encore occupé auprès d’un autre client était dans l’impossibilité de le recevoir dans l’immédiat :— Écoute ma chérie, fait le patienter, sert lui le café, j’en ai pour dix minutes.
Comme son homme lui avait demandé, Noémie se leva et avec grâce, alla préparer le café pour ce client qui l’observait et la déshabillait du regard. Elle revint vers lui le café à la main et lui tendit :— Attention Monsieur Dupont, ne vous brûlez pas, il est très chaud.
Dit-elle en se remettant assise. Elle croisa les jambes derrière son bureau, songeuse, sous les compliments de ce quinquagénaire :— Vous avez des yeux magnifiques, cette couleur orangée est très rare, vous êtes ravissante. Se permettait-il de dire.
Il continua ses compliments sur sa tenue vestimentaire puis s’aventura sur son charme, jusqu’à aller la féliciter sur sa silhouette :— J’aime vos formes, j’aime les femmes comme vous, qui osez porter des vêtements sexy sans aucune appréhension.
— Merci Monsieur Dupont mais c’est beaucoup trop de compliments que vous me faites là.
Dit-elle en prenant l’air d’une sainte nitouche. S’étant aperçue qu’il portait une alliance sur son annulaire gauche. Elle rajouta :— Que dirait votre femme si elle vous voyait ainsi ?
Il n’eut pas l’occasion de répondre, Gérald était là, raccompagnant son client. Il l’invita à le suivre dans son bureau. Noémie était persuadée que cet homme n’était qu’un beau pervers qui ne pensait qu’à la baiser sauvagement. « C’est peut-être l’occasion. » se disait-elle en retournant à ses occupations. Pendant ce temps, monsieur Dupont était en pleine discussion travail avec Gérald. Celui-ci voulait vraiment l’obtenir comme clients, il avait besoin de lui dans ces moments difficiles où les bons chantiers se faisaient rare.
À la fin des premières négociations, Monsieur Dupont qui ne savait pas que Noémie était la compagne de Gérald lui dit :— Vous avez vraiment de la chance Monsieur Régent, si j’avais une secrétaire comme la vôtre, ça fait déjà longtemps que je l’aurais mise sous mon bureau. Sa bouche est faite pour tailler des pipes, vous n’avez jamais essayé, dites-moi ?
— Si, bien sûr ! Elle suce à merveille, je vous le garantis. Tentez toujours votre chance, on ne sait jamais.
Avant son départ, Monsieur Dupont alla saluer Noémie en lui disant qu’ils se reverrait bientôt et qu’il en était déjà impatient. Elle lui sourit et lui serra la main, en gardant la sienne, un peu plus longtemps que la normale, Jacques était sûr à présent que cette femme finirait par céder à ses avances. Après son départ, Gérald et Noémie comprirent tous les deux qu’ils avaient eu la même idée, ils se mirent à rire :— Tu sais que je vais avoir besoin de toi, il peut devenir un client important et en ces temps qui courent, c’est important.
— Si nous pouvons joindre l’utile à l’agréable, je vais tout faire pour. Rassure-toi, il me plait, je serai heureuse de te rendre ce service.
Gérald fit installer des mini caméra sur la rampe de spots de la salle d’accueil, attenante à son bureau où il se prélassait de temps à autres avec ses clients en buvant le verre de l’amitié après les signatures des contrats.
Comme il l’avait envisagé, Jacques Dupont rappela Noémie le mercredi suivant, ce n’était pas pour l’inviter à déjeuner :— Bonjour Noémie, j’aimerais tant passer un moment seul avec vous. Je dois rencontrer Monsieur Régent vendredi soir à 18 heures, serez-vous encore là.
— J’aurais aimé aussi mais malheureusement, je quitte à 18 heures.
— Si je viens pour 17h30, trente minutes en tête à tête ça vous dit ?
Le vendredi soir, après s’être fait la bise pour se saluer, Noémie avait amené son invité dans la salle d’accueil. Installé sur le grand canapé, Jacques s’était fait servir un scotch par la secrétaire qui avait déjà dévoilé la moitié de sa forte poitrine en enlevant deux boutons supplémentaires. Avec des gestes lents, elle continua à ôter le reste des boutons, son chemisier était totalement ouvert dévoilant ce magnifique soutien-gorge en dentelle qui ne cachait rien des rondeurs de cette fabuleuse poitrine.
Elle s’agenouilla devant lui, et sans lui demander, elle déboucla sa ceinture, enleva la pression et descendit le zip de sa fermeture éclair. Il leva légèrement les fesses afin qu’elle puisse descendre son pantalon puis son slip kangourou. La verge de Monsieur Dupont était dans la moyenne nationale, elle n’était ni de grande taille, ni trop épaisse mais d’une dureté impressionnante. Elle prit son pénis et délicatement, elle commença à descendre et monter sa main, tout en décalottant son gland rosé. Il ressemblait à s’y méprendre à une fraise. Lentement, très lentement, elle le masturbait, elle continuait tout en passant le bout de son index sur la goutte qui suintait du méat, ça coulait encore, elle persévérait en étalant ce liquide pré séminal sur l’ensemble de son gland, jusqu’à la couronne. Jacques s’arc boutait, la regardant faire, cette caresse magique lui faisait monter son désir au plus haut point.
Noémie stoppa quelques instants, elle avait compris qu’il était prêt à éjaculer, elle voulait lui en donner un peu plus. Il reprit ses esprits, posa son verre sur la table basse après l’avoir vidé cul sec. Elle le regarda, lui sourit et se pencha sur son entrejambe, elle prit du bout des lèvres le gland de son phallus et l’enfonçait progressivement, très lentement dans sa bouche. Puis se retirait avant de renouveler l’opération. Jacques n’en revenait pas, il ne s’était pas trompé, cette femme était née pour faire des pipes, c’était une reine en la matière. Elle contractait ses joues en aspirant le bout de sa queue, Jacques s’était enfoncé sur le dossier en cuir en disant :— C’est trop bon ma salope, tu suces mieux qu’une pute…
Noémie sentait sa cyprine coulée, elle prenait un vrai plaisir à réaliser cette fellation. Il y avait très longtemps qu’elle n’avait pas eu de pénis en bouche. Elle enfonçait la hampe petit à petit entre ses lèvres, elle sentait, vu la crispation des muscles de son partenaire que celui-ci ne résisterait plus longtemps à cette caresse buccale, il posa ses mains sur l’arrière de son crâne et fit quelques va et vient :— Je te baise la bouche sale pute, elle est trop bonne.
Ne pouvant répondre la bouche pleine, elle accélérait le mouvement d’avant en arrière, son membre de 15 cm était entièrement rentré, lorsqu’elle ressentit le liquide chaud s’épandre par saccades. Elle garda le sperme quelques instant encore au fond de sa gorge puis le laissa s’échapper, le long de la colonne de chair en continuant de le masturber et en étalant ce liquide poisseux jusqu’à ses bourses qu’elle triturait. Un dernier petit jet de semence ressortit de son gland, elle le lécha avec sa langue et l’avala.
Depuis quelques minutes, une de ses mains était posée sur sa vulve, elle aussi se masturbait. Deux doigts la pénétraient et très vite elle prit son orgasme à son tour, sous les yeux ébahis de Jacques qui la regardait faire :— Tu es une sale cochonne, une vraie petite salope comme je les aime. Dit-il en prenant du sopalin sur la table.
— Merci Jacques, j’espère que cela vous a plu ?
— On est appelé à se revoir, avec ce que je viens de vivre, je signe ce soir même.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Noémie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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