Olga, Elodie et Philippe 8 - Matinée de révisions
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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Olga, Elodie et Philippe 8 - Matinée de révisions
AVERTISSEMENT
Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de ceux parus les 14, 22 octobre, les 6 et 20 novembre, les 4 et 17 décembre 2020 et le 1er janvier 2021 sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.
Bonne lecture et merci pour vos commentaires!
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir s’entraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. L’étudiante qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée dévoile son vrai visage de petite salope.
Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga n’autorise pas Elodie à faire l’amour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Après le petit déjeuner, Olga envoya Elodie prendre sa douche seule pour ne pas qu’elle tente son diable. Qui sait ce que cette gamine, ingénue et perverse, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession, allait trouver comme stratagème pour séduire, tenter et exciter l’un d’eux?
Olga était déterminée à coacher Elodie pour la présentation de sa thèse. C’était un peu justice que de lui consacrer quelques heures, après tout le temps et l’énergie qu’elle avait donnés à leurs plaisirs. La jeune étudiante était initialement venue pour être aidée à vaincre sa timidité maladive et à parler en public. Mais Olga l’avait rapidement détournée de son objectif initial pour assouvir ses besoins d’hypersexuelle. Il était temps de l’aider à avancer dans sa petite vie.
Elodie sortit de la salle de bain en portant le peignoir réservé aux amants de passage que Philippe sélectionnait pour venir démonter son épouse. Le vêtement était bien trop grand pour elle et était imprégné de l’odeur des mâles en rut.
Elodie semblait aussi perdue dans ce peignoir que dans sa vie. Avec ses cheveux mouillés, son attitude gauche et les pans du peignoir offrant, comme par inadvertance, un décolleté généreux sur ses petits seins, n’importe quel être humain aurait été touché par la grâce de la fragilité de cette jeune femme aux allures de vierge romantique.
Revenue à la chambre où l’attendait Olga, Elodie caressa avec nostalgie la chemise de Philippe qu’elle avait portée la veille en mode Birkin. Elle avait envie de la sentir et de la tenir dans ses bras mais Olga veillait et ne l’entendait pas de cette oreille.
- Ce n’est pas une tenue pour une soutenance de thèse, petite garce !
Elodie frissonnait toujours quand Olga la traitait de noms d’oiseaux ou employait des mots crus. Cela la choquait toujours autant venant d’une femme aussi classe et élégante. Elle lui tendit la robe noire essayée la veille dans la chambre du couple.
- C’est la tenue que tu mettras ce matin. Tu sais bien, qu’en petite Birkin ingénue, tu plais beaucoup trop à MON homme. Je ne tiens pas à ce que tu l'excites davantage. Et puis c’est une soutenance de thèse officielle, donc petite robe noire obligatoire!
Elodie n’osa pas dire combien elle était heureuse et fière de susciter le désir de cet homme. Elle était prête à tout pour mériter qu'il lui fasse l’amour, avant la fin du week-end. Il fallait pour cela ne pas discuter les volontés de la volcanique Olga. Elodie voulait l’amener lentement à lui offrir ce cadeau, comme si l’idée venait d‘elle.
- C’est incroyable ce que tu me fais faire, Elodie. Jusqu’il y a peu, une autre femme aurait désiré mon homme, je lui aurais arraché les yeux. Aujourd’hui, l’imaginer en train de te baiser, ça m’excite! Tu as envie de lui, n’est-ce pas, ma petite salope?
Elodie, yeux baissés, n’osa rien dire de ses pensées irrévérencieuses.
- Qui ne dit mot consent. De toute façon tu m’aurais juré le contraire que je ne te croirai pas. Allez, file au salon te préparer, le jury ne va pas tarder.
Elodie n’en demanda pas plus et s’échappa comme une petite souris. Olga ne lui avait donné que la robe, c’est donc à même le corps qu’elle l’enfila. Elle adorait se retrouver les pieds nus sur le parquet, cela l’ancrait dans le sol et devrait l’aider à prendre confiance. Mais en quelque secondes, la pression de présenter sa thèse monta en elle.
Olga et Philippe firent une entrée remarquée. Philippe avait choisi de se mettre dans l’ambiance d’une véritable soutenance, en portant un costume chic et sobre, une chemise blanche et une cravate foncée. Olga n’avait pas dérogé à ses habitudes. Elle portait une jupe courte et avait revêtu un chemisier translucide et décolleté, sans soutien-gorge. Rien que de les voir ainsi, Elodie était impressionnée et troublée.
Philippe avait transformé le salon en salle d’examens. Il y avait même un tableau, une sorte de “paper board”.
Elodie fit l’effort de commencer son exposé, d’une voix peu assurée, en multipliant les “euh”, les hésitations et toutes les mimiques classiques des timides. Tout le stress de ses années d’études l'envahit. Elle se décomposa sur place, totalement fragilisée.
Philippe lui adressa un regard bienveillant, un sourire plein d’empathie, pour l’encourager, la mettre à l’aise. Elodie ne sentait pas le courage lui revenir, pourtant elle lisait dans ce regard la compassion qu’un professeur ou qu’un père pourrait avoir pour elle. Elodie aurait aimé tout arrêter pour qu’il la prenne dans ses bras, la console, l’embrasse.
Olga avait une toute autre attitude. Elle savait qu’Elodie pouvait être plus sûre d’elle, capable de les surprendre, comme elle l’avait fait la veille de façon si inattendue en la fistant, en la faisant jouir sous la douche et encore ce matin en gratifiant Philippe d’une fellation d’anthologie. Elodie pouvait tout à fait assumer ses envies, ses faits et gestes. Il fallait juste qu’elle se décide à affronter, à aller de l’avant, à affronter le jury, jouer avec eux comme elle l’avait fait avec son couple, les séduire avec sa bouille adorable. Olga était féministe et s’énervait de voir une fille pleine de qualités s’abaisser ainsi.
- Arrêtez de faire votre timorée, Mademoiselle. Votre attitude de gamine est ridicule et absolument pas à la hauteur des doctorants de notre université. Tout d’abord, redressez-vous et ouvrez moi donc vos épaules. Cela vous aidera à respirer.
Olga ne cachait plus son exaspération, d'autant qu’Elodie, qui connaissait son sujet sur le bout des ongles, s'emmêlait les pinceaux, faisant des erreurs grossières de forme alors que le fond était très bon. Ce qui énervait encore plus Olga était l’indulgence de Philippe. Il accueillait ces fautes de présentation avec le sourire, tentant de rassurer la jeune fille:
- Ce n’est rien, Elodie. Continuez, je vous prie.
Olga bouillonnait :
- Vous avez travaillé pendant tous ces mois et là vous nous donnez l’impression de n’avoir rien fait! C’est insupportable! Et vous, Monsieur Philippe T, cher membre du jury, vous ne lui dites rien? Vous ne lui rendez absolument pas service en laissant passer son attitude gauche! C’est l’avenir de cette jeune fille et l’image de notre université qui est en jeu!
- Vous êtes dure avec elle!
- Non je veux la corriger, pour son bien! Je veux qu'elle soit la meilleure, qu’elle expose et défende sa thèse. Je ne suis pas là pour être complaisante. Alors Mademoiselle, reprenez et je vous préviens, je ne tolérerai aucune autre stupidité dans votre comportement. C’est insupportable à la fin, toutes ces hésitations.
Elodie était en train de perdre l’once de confiance qui lui restait, malgré la bienveillance de Philippe. Elle s’en voulait d’autant plus qu’elle avait tant travaillé ce sujet, qu'elle le maîtrisait sur le bout des ongles. Elle reprit donc son exposé, mais très vite retomba dans ses travers, faisant même une grossière erreur, sous l’émotion, disant l’inverse au sujet du contenu de l’Article 50 du Traité, qui régissait le Brexit.
- Ah non cette fois, c’est trop! Vous méritez une bonne leçon!
Olga fit signe à Elodie de s’approcher d’elle.
- Venez ici, espèce de petite sotte! Couchez-vous sur mes genoux!
Elodie baissait les yeux. Au fond d’elle, elle était totalement perdue et se laissa faire, comme lorsque ses parents la punissaient quand elle était petite. A nouveau, elle retrouvait, avec ce couple, des sensations enfouies depuis son enfance.
Olga remonta la robe noire que portait Elodie. Les petites fesses de la jeune fille étaient prêtes pour la correction que comptait lui infliger la belle quadragénaire.
Philippe savait ce qui allait se passer : après avoir marqué le joli cou de l’étudiante avec de nombreux suçons, Olga allait lui faire rougir ses fesses, sans ménagement, comme pour la réveiller.
La main bien ouverte d’Olga frappa alternativement une fesse puis l’autre, lentement, méthodiquement. Elodie réprima un petit cri.
Le salon s’était empli de la sonorité sexy des claques qui résonnaient. La main d’Olga couvrait maintenant toute la surface des fesses d’Elodie, de la taille jusqu’au pli des cuisses. Elodie parvenait tant bien que mal à s’empêcher de crier, mais sentait monter du fond de sa gorge un irrépressible sanglot. Tout son corps tressautait, puis, brusquement, les larmes déferlèrent. La petite pleurait à chaudes larmes et n’avait pourtant pas envie que ça s’arrête. Le fait que ça se passait en présence de Philippe accroissait encore son excitation.
- Doucement, chérie, ses fesses sont rouges !
- Ne t’inquiète pas, c’est évident qu’elle aime ça ! D’ailleurs cette petite garce a trempé ma jupe, tellement elle mouille!
Olga estima cependant que, pour le moment, ça suffisait. Elle laissa à la blondinette le temps de se reprendre, déposa un doux baiser dans son cou, caressa doucement ses fesses rougies, et susurra à son oreille :
- Tu es magnifique, tu sais. Alors maintenant fais ta petite salope avec le jury comme tu fais avec nous. Séduis-les. Mais c’est pas de la baise que tu veux, juste une bonne note!
Les joues d’Elodie étaient aussi roses que ses fesses. Olga la renvoya au tableau
- Allez, hop on passe aux choses sérieuses maintenant. Elodie, tu as dix minutes pour résumer ta thèse sans faire une seule hésitation, ni prononcer un seul “euh” de petite débile.
Elodie devint blanche, se disant qu’elle n’était pas prête. Elle était presque plus impressionnée par le couple que par le jury qu’elle aurait à affronter lundi. Elle prit sur elle et finalement l’introduction se passa mieux qu’elle l’espérait. Elle le lut dans les yeux du couple. Olga poursuivit:
- Le plus dur c’est le lancement, ma petite. Les dix premières minutes sont cruciales pour ta confiance, après tout sera plus simple.
Philippe confirma :
- Olga a raison, il te faut apparaître au jury de façon naturelle. Ils savent que tu as du stress mais tu connais ton sujet et dois y faire honneur. Alors arrive avec la fierté de partager ton travail et de transmettre ton savoir. Ta présentation est une obligation professionnelle, alors oublie le côté perso. Ce n’est pas Elodie qui parle, c'est le Docteur en Droit.
Elodie n’avait jamais vu cela de cette façon. Philippe lui proposait de faire comme au théâtre et d’oublier qui elle était, pour enfiler son costume d’avocate.
Olga alla plus loin:
- Tu dois savoir te mettre à nue pour leur montrer l’étendue de ton travail. D’ailleurs, faisons cela, mets-toi à poil, face au jury, dans le sens littéral du terme. Allez hop, enlève moi cette robe noire et refais-nous ton introduction.
Elodie alla chercher dans les yeux de Philippe une sorte d’approbation et son petit coup de menton valut acceptation. Elle retira sa petite robe noire et ses tétons pointèrent immédiatement.
- Maintenant, va ouvrir les rideaux!
Philippe refit un coup de menton, sachant bien qui elle risquait d’y trouver. Elodie se cacha derrière un voilage pour ouvrir le premier rideau.
- Non, mets-toi bien au centre de la fenêtre et reste là. Il te faut te mettre à nue devant tout le monde.
Olga savait ce qu’elle faisait. Les appartements bourgeois des immeubles qui donnaient sur la grande cour avaient vue sur son petit corps nu, livré à eux. Un reflet derrière une fenêtre fit frissonner la jeune étudiante.
- Va ouvrir les rideaux de l’autre fenêtre, sans te cacher cette fois-ci.
Elodie comprenait la logique d’Olga qui l’obligeait à se dévoiler. Cette fois-ci, elle tira les voilages sans se cacher, comme elle l’aurait fait si elle avait été habillée.
- Voila, reste là, face à la fenêtre et regarde les appartements un à un, comme si c’était un public venu assister à ta thèse.
Le reflet était en fait un homme qui la regardait et elle se figea.
- Ne bouge surtout pas et respire naturellement, ne bloque pas ta respiration, détend toi. Regarde bien tous les appartements un à un, ce sont les membres de ton jury
Elle faisait face à cet inconnu, probablement un voyeur, habitué aux frasques d’Olga.
- Et maintenant reviens nous faire ton introduction.
Le soleil illuminait la pièce. Le voisin n’avait pas bougé et l’observait toujours. Ils étaient désormais trois jurés. Mais finalement l’idée d’Olga semblait fonctionner et, totalement mise à nue, Elodie enchaîna par deux fois son introduction de dix minutes avec une plus grande aisance et un allant de plus en plus communicatif. A tel point qu’Olga et Philippe applaudirent sa dernière tentative qui était parfaite.
Les larmes montèrent aux yeux d’Elodie, qui ne savait plus où se mettre. Elle savait qu’elle venait de gagner une grande bataille sur elle-même, grâce à ce couple qui l’aidait à avancer dans sa vie.
Une chose n’avait pas échappé à Olga:
- Il n’y a pas que les larmes qui coulent sur tes joues, petite salope. Regarde-moi ce filet entre tes cuisses!
Elodie se figea, ressentit en effet la coulure de mouille
- Puisque que tu es nue, caresse-toi ma petite. Tu as bien travaillé, tu mérites récompense. Caresse-toi et fais-toi jouir ma belle, c’est bon pour évacuer ton stress. Tu verras, après cela, ton exposé sera plus facile.
Olga lui donnait en quelque sorte un petit sucre, comme elle l’aurait fait avec une petite chienne qui lui aurait ramené un bâton à son maître. A propos de bâton, Philippe avait le sien bien droit.
- Toi aussi mon amour, d’un jury tu es surtout un joli membre. Alors baise-moi comme si tu baisais cette petite étudiante qui se masturbe pour toi.
Olga, qui était toujours en feu avec son hypersexualité, avait jeté une grenade sensuelle au milieu de quatre bonbonnes de gaz. Tout explosa en même temps, l’air était irrespirable. Le voisin avait écarté son rideau pour mieux voir et semblait avoir sa queue en main. Cela faisait vingt minutes que cette petite Birkin s’exhibait à poil sous ses yeux. Et voilà maintenant qu’elle se caressait. Olga libéra la queue de Philippe avec une dextérité et une vitesse déconcertante. Cette queue qu’Elodie savait que bientôt elle allait être sienne, celle-là même qui avait déjà pris sa gorge ce matin.
Philippe, l’élégant et discret candauliste, releva la jupe de son épouse, la retourna en position de levrette et écarta son string sans ménagement, ce qui la surprit un peu. Elle ne put s'empêcher de lâcher un petit cri d’étonnement.
- Madame la jury va elle aussi recevoir sa note!
Il rentra en elle d’un coup, comme elle aimait que le fassent ses amants de passage.
- Tu es toute trempée, espèce de cochonne!
Voilà que son époux se comportait et lui parlait d’une façon qui n’était absolument pas dans ses habitudes Quand sa libido était exacerbée, Olga adorait qu’on la traite ainsi. Et d’habitude, pour répondre à ce besoin, Philippe faisait appel à d’autres hommes.
Il commença à la pilonner sans ménagement. Sa queue parut à Olga tout aussi énorme que les hommes bien montés auxquels elle adorait s’abandonner. Elodie faisait décidément un bel effet à son mari comme à elle et se révélait être un catalyseur inattendu de leur plaisir à tous les deux.
D’habitude, Philippe faisait l’amour à son épouse, laissant le soin à d’autres le soin de la baiser.
Ce matin-là, encouragé par la présence d’Elodie, il n’était pas le mari. Il était l’amant, l’étalon, celui qui allait envoyer en l’air l'insatiable hypersexuelle.
- Tu la sens bien, chienne? Je vais te niquer, te posséder, te faire couiner de plaisir. Prends-ça!
- Oh ouiiiii. Vas-y! Mets-la-moi. Bien profond! Oui, comme ça, plus fort!
Le voisin d’en face avait depuis un certain temps repéré ce qui se passait dans cet appartement. D’habitude, d’autres hommes baisaient cette belle quadragénaire et le mari se contentait d’assister à la scène. Cette fois-ci, c’était lui qui assurait et manifestement la belle brune prenait son pied.
Elodie était fascinée. Elle caressait frénétiquement son petit clito d’adolescente d’une main et de l’autre se tripotait les seins comme si elle allait se les arracher. Elle était en feu.
Philippe, mains sur les hanches d’Olga, rentrait et sortait d’elle, yeux exorbités, en lui collant des coups sur les fesses.
- Tu aimes ça. Je vais te démonter! Prends ça MA putain
Olga n’en revenait toujours pas de cette situation inattendue. Être prise comme elle l’aimait, sous les yeux d’un voisin qui était devenu le candauliste de l’histoire, son homme se comportait comme un amant de passage. Elle haletait et se laissait aller à ce rythme puissant et surprenant. Ce matin, elle aimait encore plus fort cet homme qui lui avait tout donné et tout accordé. Il s’adressa à Elodie:
- Et toi, petite salope, viens gicler sur nous, approche!
Sauf peut-être quand il l’avait reconquise, de haute lutte, sur son second mari Hassan, Olga n’avait jamais connu Philippe aussi directif. Rien qu’en y pensant, elle se sentait partir. Olga connaissait les éjaculations d'Elodie et savait que la gamine allait les éclabousser de son jus féminin transparent. Olga visualisait déjà les jets des sécrétions partir de ce petit minou d’étudiante.
Elodie s’avançait comme Philippe le lui avait ordonné et se rapprochait dangereusement d’eux
- Dis-moi, espèce de putain à quel point tu aimes que je te pilone.
Olga adorait sentir son vagin être ainsi maltraité et se contracter. Essayant de retenir encore un peu son plaisir, elle lâcha:
- Oui pilone-moi, je suis à toi, je suis ta putain. Fais de moi ce que tu veux! Ohhhhh
Jamais Olga n’avait vu Philippe se comporter ainsi, c’était troublant. Depuis le temps qu’elle rêvait de le voir agir de la sorte.
- Alors jouis sous mes coups de bite, ma jolie cochonne, ma garce, ma femme, mon amour! . Et toi, la petite salope, fais couler ton jus!
Olga arrivait au bout de son plaisir. Elodie avança son bassin vers les amants, en se masturbant frénétiquement. Elle se regarda faire ce qui lui faisait le plus honte et qu’elle ne contrôlait pas: ces jets mystérieux. Ils sortirent d’elle pour éclabousser les amants comme la manifestation la plus pure de son orgasme.
Olga partit dans un râle incontrôlé, sous les coups de boutoir de son mari, qui poursuivait sa saillie, sans ralentir le rythme.
Philippe éprouva un plaisir énorme à regarder ces deux femmes jouir sous ses yeux. D’habitude il aurait regardé, assis sur son fauteuil de candauliste, un mâle en train de baiser son épouse. Mais là il était l’amant dominateur qui les avait amené à vivre cela. Sa fierté et son estime personnelle étaient au maximum, d’autant plus qu’il n’avait pas joui.
- Je me garde pour plus tard, Mesdames
Olga ne dit rien. Elle aurait aimé à ce moment ultime de l’orgasme que son homme se vide en elle, la remplisse, la féconde.
Philippe était redevenu en une seconde cet homme élégant et classe.
Olga en spasmes et comblée, se blottit dans les bras de son mari, cet homme merveilleux et étonnant qui venait de se révéler à elle sous un nouvel angle, après leurs deux mariages et 20 ans de vie commune. Elle lui offrit ses lèvres pour un long baiser amoureux et passionné.
Elodie resta stoïque comme une conne au milieu de ses secrétions qui couvraient le plancher. Elle essuya tout avec le peignoir des amants, referma les rideaux et courut se rhabiller aux toilettes, laissant un temps d’intimité à ce couple incroyable pour qu’ils profitent seuls de ces moments extraordinaires, l’un dans les bras de l’autre, échangeant des mots d’amour.
Les émotions des filles étaient au maximum. Elodie était fière et heureuse, réalisant que sa présence avait des conséquences décisives sur ce couple, qui, de son côté, la poussait tant à assumer sa personnalité, aussi bien au niveau de sa sensualité que dans sa future vie professionnelle.
Tout le monde avait repris ses esprits et s’était rhabillé, Elodie reprit sa présentation de thèse devant ce jury avec le professionnalisme, l’aisance et la diction d’une avocate lionne, en pleine plaidoirie. Elle avait passé un cap incommensurable face à sa timidité et s’étonna elle-même de sa prestation.
Le trio, après toutes ces émotions, avait droit à des moments de détente. Olga avait parlé de shopping. Il était presque l’heure du déjeuner.
Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de ceux parus les 14, 22 octobre, les 6 et 20 novembre, les 4 et 17 décembre 2020 et le 1er janvier 2021 sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.
Bonne lecture et merci pour vos commentaires!
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir s’entraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. L’étudiante qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée dévoile son vrai visage de petite salope.
Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga n’autorise pas Elodie à faire l’amour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Après le petit déjeuner, Olga envoya Elodie prendre sa douche seule pour ne pas qu’elle tente son diable. Qui sait ce que cette gamine, ingénue et perverse, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession, allait trouver comme stratagème pour séduire, tenter et exciter l’un d’eux?
Olga était déterminée à coacher Elodie pour la présentation de sa thèse. C’était un peu justice que de lui consacrer quelques heures, après tout le temps et l’énergie qu’elle avait donnés à leurs plaisirs. La jeune étudiante était initialement venue pour être aidée à vaincre sa timidité maladive et à parler en public. Mais Olga l’avait rapidement détournée de son objectif initial pour assouvir ses besoins d’hypersexuelle. Il était temps de l’aider à avancer dans sa petite vie.
Elodie sortit de la salle de bain en portant le peignoir réservé aux amants de passage que Philippe sélectionnait pour venir démonter son épouse. Le vêtement était bien trop grand pour elle et était imprégné de l’odeur des mâles en rut.
Elodie semblait aussi perdue dans ce peignoir que dans sa vie. Avec ses cheveux mouillés, son attitude gauche et les pans du peignoir offrant, comme par inadvertance, un décolleté généreux sur ses petits seins, n’importe quel être humain aurait été touché par la grâce de la fragilité de cette jeune femme aux allures de vierge romantique.
Revenue à la chambre où l’attendait Olga, Elodie caressa avec nostalgie la chemise de Philippe qu’elle avait portée la veille en mode Birkin. Elle avait envie de la sentir et de la tenir dans ses bras mais Olga veillait et ne l’entendait pas de cette oreille.
- Ce n’est pas une tenue pour une soutenance de thèse, petite garce !
Elodie frissonnait toujours quand Olga la traitait de noms d’oiseaux ou employait des mots crus. Cela la choquait toujours autant venant d’une femme aussi classe et élégante. Elle lui tendit la robe noire essayée la veille dans la chambre du couple.
- C’est la tenue que tu mettras ce matin. Tu sais bien, qu’en petite Birkin ingénue, tu plais beaucoup trop à MON homme. Je ne tiens pas à ce que tu l'excites davantage. Et puis c’est une soutenance de thèse officielle, donc petite robe noire obligatoire!
Elodie n’osa pas dire combien elle était heureuse et fière de susciter le désir de cet homme. Elle était prête à tout pour mériter qu'il lui fasse l’amour, avant la fin du week-end. Il fallait pour cela ne pas discuter les volontés de la volcanique Olga. Elodie voulait l’amener lentement à lui offrir ce cadeau, comme si l’idée venait d‘elle.
- C’est incroyable ce que tu me fais faire, Elodie. Jusqu’il y a peu, une autre femme aurait désiré mon homme, je lui aurais arraché les yeux. Aujourd’hui, l’imaginer en train de te baiser, ça m’excite! Tu as envie de lui, n’est-ce pas, ma petite salope?
Elodie, yeux baissés, n’osa rien dire de ses pensées irrévérencieuses.
- Qui ne dit mot consent. De toute façon tu m’aurais juré le contraire que je ne te croirai pas. Allez, file au salon te préparer, le jury ne va pas tarder.
Elodie n’en demanda pas plus et s’échappa comme une petite souris. Olga ne lui avait donné que la robe, c’est donc à même le corps qu’elle l’enfila. Elle adorait se retrouver les pieds nus sur le parquet, cela l’ancrait dans le sol et devrait l’aider à prendre confiance. Mais en quelque secondes, la pression de présenter sa thèse monta en elle.
Olga et Philippe firent une entrée remarquée. Philippe avait choisi de se mettre dans l’ambiance d’une véritable soutenance, en portant un costume chic et sobre, une chemise blanche et une cravate foncée. Olga n’avait pas dérogé à ses habitudes. Elle portait une jupe courte et avait revêtu un chemisier translucide et décolleté, sans soutien-gorge. Rien que de les voir ainsi, Elodie était impressionnée et troublée.
Philippe avait transformé le salon en salle d’examens. Il y avait même un tableau, une sorte de “paper board”.
Elodie fit l’effort de commencer son exposé, d’une voix peu assurée, en multipliant les “euh”, les hésitations et toutes les mimiques classiques des timides. Tout le stress de ses années d’études l'envahit. Elle se décomposa sur place, totalement fragilisée.
Philippe lui adressa un regard bienveillant, un sourire plein d’empathie, pour l’encourager, la mettre à l’aise. Elodie ne sentait pas le courage lui revenir, pourtant elle lisait dans ce regard la compassion qu’un professeur ou qu’un père pourrait avoir pour elle. Elodie aurait aimé tout arrêter pour qu’il la prenne dans ses bras, la console, l’embrasse.
Olga avait une toute autre attitude. Elle savait qu’Elodie pouvait être plus sûre d’elle, capable de les surprendre, comme elle l’avait fait la veille de façon si inattendue en la fistant, en la faisant jouir sous la douche et encore ce matin en gratifiant Philippe d’une fellation d’anthologie. Elodie pouvait tout à fait assumer ses envies, ses faits et gestes. Il fallait juste qu’elle se décide à affronter, à aller de l’avant, à affronter le jury, jouer avec eux comme elle l’avait fait avec son couple, les séduire avec sa bouille adorable. Olga était féministe et s’énervait de voir une fille pleine de qualités s’abaisser ainsi.
- Arrêtez de faire votre timorée, Mademoiselle. Votre attitude de gamine est ridicule et absolument pas à la hauteur des doctorants de notre université. Tout d’abord, redressez-vous et ouvrez moi donc vos épaules. Cela vous aidera à respirer.
Olga ne cachait plus son exaspération, d'autant qu’Elodie, qui connaissait son sujet sur le bout des ongles, s'emmêlait les pinceaux, faisant des erreurs grossières de forme alors que le fond était très bon. Ce qui énervait encore plus Olga était l’indulgence de Philippe. Il accueillait ces fautes de présentation avec le sourire, tentant de rassurer la jeune fille:
- Ce n’est rien, Elodie. Continuez, je vous prie.
Olga bouillonnait :
- Vous avez travaillé pendant tous ces mois et là vous nous donnez l’impression de n’avoir rien fait! C’est insupportable! Et vous, Monsieur Philippe T, cher membre du jury, vous ne lui dites rien? Vous ne lui rendez absolument pas service en laissant passer son attitude gauche! C’est l’avenir de cette jeune fille et l’image de notre université qui est en jeu!
- Vous êtes dure avec elle!
- Non je veux la corriger, pour son bien! Je veux qu'elle soit la meilleure, qu’elle expose et défende sa thèse. Je ne suis pas là pour être complaisante. Alors Mademoiselle, reprenez et je vous préviens, je ne tolérerai aucune autre stupidité dans votre comportement. C’est insupportable à la fin, toutes ces hésitations.
Elodie était en train de perdre l’once de confiance qui lui restait, malgré la bienveillance de Philippe. Elle s’en voulait d’autant plus qu’elle avait tant travaillé ce sujet, qu'elle le maîtrisait sur le bout des ongles. Elle reprit donc son exposé, mais très vite retomba dans ses travers, faisant même une grossière erreur, sous l’émotion, disant l’inverse au sujet du contenu de l’Article 50 du Traité, qui régissait le Brexit.
- Ah non cette fois, c’est trop! Vous méritez une bonne leçon!
Olga fit signe à Elodie de s’approcher d’elle.
- Venez ici, espèce de petite sotte! Couchez-vous sur mes genoux!
Elodie baissait les yeux. Au fond d’elle, elle était totalement perdue et se laissa faire, comme lorsque ses parents la punissaient quand elle était petite. A nouveau, elle retrouvait, avec ce couple, des sensations enfouies depuis son enfance.
Olga remonta la robe noire que portait Elodie. Les petites fesses de la jeune fille étaient prêtes pour la correction que comptait lui infliger la belle quadragénaire.
Philippe savait ce qui allait se passer : après avoir marqué le joli cou de l’étudiante avec de nombreux suçons, Olga allait lui faire rougir ses fesses, sans ménagement, comme pour la réveiller.
La main bien ouverte d’Olga frappa alternativement une fesse puis l’autre, lentement, méthodiquement. Elodie réprima un petit cri.
Le salon s’était empli de la sonorité sexy des claques qui résonnaient. La main d’Olga couvrait maintenant toute la surface des fesses d’Elodie, de la taille jusqu’au pli des cuisses. Elodie parvenait tant bien que mal à s’empêcher de crier, mais sentait monter du fond de sa gorge un irrépressible sanglot. Tout son corps tressautait, puis, brusquement, les larmes déferlèrent. La petite pleurait à chaudes larmes et n’avait pourtant pas envie que ça s’arrête. Le fait que ça se passait en présence de Philippe accroissait encore son excitation.
- Doucement, chérie, ses fesses sont rouges !
- Ne t’inquiète pas, c’est évident qu’elle aime ça ! D’ailleurs cette petite garce a trempé ma jupe, tellement elle mouille!
Olga estima cependant que, pour le moment, ça suffisait. Elle laissa à la blondinette le temps de se reprendre, déposa un doux baiser dans son cou, caressa doucement ses fesses rougies, et susurra à son oreille :
- Tu es magnifique, tu sais. Alors maintenant fais ta petite salope avec le jury comme tu fais avec nous. Séduis-les. Mais c’est pas de la baise que tu veux, juste une bonne note!
Les joues d’Elodie étaient aussi roses que ses fesses. Olga la renvoya au tableau
- Allez, hop on passe aux choses sérieuses maintenant. Elodie, tu as dix minutes pour résumer ta thèse sans faire une seule hésitation, ni prononcer un seul “euh” de petite débile.
Elodie devint blanche, se disant qu’elle n’était pas prête. Elle était presque plus impressionnée par le couple que par le jury qu’elle aurait à affronter lundi. Elle prit sur elle et finalement l’introduction se passa mieux qu’elle l’espérait. Elle le lut dans les yeux du couple. Olga poursuivit:
- Le plus dur c’est le lancement, ma petite. Les dix premières minutes sont cruciales pour ta confiance, après tout sera plus simple.
Philippe confirma :
- Olga a raison, il te faut apparaître au jury de façon naturelle. Ils savent que tu as du stress mais tu connais ton sujet et dois y faire honneur. Alors arrive avec la fierté de partager ton travail et de transmettre ton savoir. Ta présentation est une obligation professionnelle, alors oublie le côté perso. Ce n’est pas Elodie qui parle, c'est le Docteur en Droit.
Elodie n’avait jamais vu cela de cette façon. Philippe lui proposait de faire comme au théâtre et d’oublier qui elle était, pour enfiler son costume d’avocate.
Olga alla plus loin:
- Tu dois savoir te mettre à nue pour leur montrer l’étendue de ton travail. D’ailleurs, faisons cela, mets-toi à poil, face au jury, dans le sens littéral du terme. Allez hop, enlève moi cette robe noire et refais-nous ton introduction.
Elodie alla chercher dans les yeux de Philippe une sorte d’approbation et son petit coup de menton valut acceptation. Elle retira sa petite robe noire et ses tétons pointèrent immédiatement.
- Maintenant, va ouvrir les rideaux!
Philippe refit un coup de menton, sachant bien qui elle risquait d’y trouver. Elodie se cacha derrière un voilage pour ouvrir le premier rideau.
- Non, mets-toi bien au centre de la fenêtre et reste là. Il te faut te mettre à nue devant tout le monde.
Olga savait ce qu’elle faisait. Les appartements bourgeois des immeubles qui donnaient sur la grande cour avaient vue sur son petit corps nu, livré à eux. Un reflet derrière une fenêtre fit frissonner la jeune étudiante.
- Va ouvrir les rideaux de l’autre fenêtre, sans te cacher cette fois-ci.
Elodie comprenait la logique d’Olga qui l’obligeait à se dévoiler. Cette fois-ci, elle tira les voilages sans se cacher, comme elle l’aurait fait si elle avait été habillée.
- Voila, reste là, face à la fenêtre et regarde les appartements un à un, comme si c’était un public venu assister à ta thèse.
Le reflet était en fait un homme qui la regardait et elle se figea.
- Ne bouge surtout pas et respire naturellement, ne bloque pas ta respiration, détend toi. Regarde bien tous les appartements un à un, ce sont les membres de ton jury
Elle faisait face à cet inconnu, probablement un voyeur, habitué aux frasques d’Olga.
- Et maintenant reviens nous faire ton introduction.
Le soleil illuminait la pièce. Le voisin n’avait pas bougé et l’observait toujours. Ils étaient désormais trois jurés. Mais finalement l’idée d’Olga semblait fonctionner et, totalement mise à nue, Elodie enchaîna par deux fois son introduction de dix minutes avec une plus grande aisance et un allant de plus en plus communicatif. A tel point qu’Olga et Philippe applaudirent sa dernière tentative qui était parfaite.
Les larmes montèrent aux yeux d’Elodie, qui ne savait plus où se mettre. Elle savait qu’elle venait de gagner une grande bataille sur elle-même, grâce à ce couple qui l’aidait à avancer dans sa vie.
Une chose n’avait pas échappé à Olga:
- Il n’y a pas que les larmes qui coulent sur tes joues, petite salope. Regarde-moi ce filet entre tes cuisses!
Elodie se figea, ressentit en effet la coulure de mouille
- Puisque que tu es nue, caresse-toi ma petite. Tu as bien travaillé, tu mérites récompense. Caresse-toi et fais-toi jouir ma belle, c’est bon pour évacuer ton stress. Tu verras, après cela, ton exposé sera plus facile.
Olga lui donnait en quelque sorte un petit sucre, comme elle l’aurait fait avec une petite chienne qui lui aurait ramené un bâton à son maître. A propos de bâton, Philippe avait le sien bien droit.
- Toi aussi mon amour, d’un jury tu es surtout un joli membre. Alors baise-moi comme si tu baisais cette petite étudiante qui se masturbe pour toi.
Olga, qui était toujours en feu avec son hypersexualité, avait jeté une grenade sensuelle au milieu de quatre bonbonnes de gaz. Tout explosa en même temps, l’air était irrespirable. Le voisin avait écarté son rideau pour mieux voir et semblait avoir sa queue en main. Cela faisait vingt minutes que cette petite Birkin s’exhibait à poil sous ses yeux. Et voilà maintenant qu’elle se caressait. Olga libéra la queue de Philippe avec une dextérité et une vitesse déconcertante. Cette queue qu’Elodie savait que bientôt elle allait être sienne, celle-là même qui avait déjà pris sa gorge ce matin.
Philippe, l’élégant et discret candauliste, releva la jupe de son épouse, la retourna en position de levrette et écarta son string sans ménagement, ce qui la surprit un peu. Elle ne put s'empêcher de lâcher un petit cri d’étonnement.
- Madame la jury va elle aussi recevoir sa note!
Il rentra en elle d’un coup, comme elle aimait que le fassent ses amants de passage.
- Tu es toute trempée, espèce de cochonne!
Voilà que son époux se comportait et lui parlait d’une façon qui n’était absolument pas dans ses habitudes Quand sa libido était exacerbée, Olga adorait qu’on la traite ainsi. Et d’habitude, pour répondre à ce besoin, Philippe faisait appel à d’autres hommes.
Il commença à la pilonner sans ménagement. Sa queue parut à Olga tout aussi énorme que les hommes bien montés auxquels elle adorait s’abandonner. Elodie faisait décidément un bel effet à son mari comme à elle et se révélait être un catalyseur inattendu de leur plaisir à tous les deux.
D’habitude, Philippe faisait l’amour à son épouse, laissant le soin à d’autres le soin de la baiser.
Ce matin-là, encouragé par la présence d’Elodie, il n’était pas le mari. Il était l’amant, l’étalon, celui qui allait envoyer en l’air l'insatiable hypersexuelle.
- Tu la sens bien, chienne? Je vais te niquer, te posséder, te faire couiner de plaisir. Prends-ça!
- Oh ouiiiii. Vas-y! Mets-la-moi. Bien profond! Oui, comme ça, plus fort!
Le voisin d’en face avait depuis un certain temps repéré ce qui se passait dans cet appartement. D’habitude, d’autres hommes baisaient cette belle quadragénaire et le mari se contentait d’assister à la scène. Cette fois-ci, c’était lui qui assurait et manifestement la belle brune prenait son pied.
Elodie était fascinée. Elle caressait frénétiquement son petit clito d’adolescente d’une main et de l’autre se tripotait les seins comme si elle allait se les arracher. Elle était en feu.
Philippe, mains sur les hanches d’Olga, rentrait et sortait d’elle, yeux exorbités, en lui collant des coups sur les fesses.
- Tu aimes ça. Je vais te démonter! Prends ça MA putain
Olga n’en revenait toujours pas de cette situation inattendue. Être prise comme elle l’aimait, sous les yeux d’un voisin qui était devenu le candauliste de l’histoire, son homme se comportait comme un amant de passage. Elle haletait et se laissait aller à ce rythme puissant et surprenant. Ce matin, elle aimait encore plus fort cet homme qui lui avait tout donné et tout accordé. Il s’adressa à Elodie:
- Et toi, petite salope, viens gicler sur nous, approche!
Sauf peut-être quand il l’avait reconquise, de haute lutte, sur son second mari Hassan, Olga n’avait jamais connu Philippe aussi directif. Rien qu’en y pensant, elle se sentait partir. Olga connaissait les éjaculations d'Elodie et savait que la gamine allait les éclabousser de son jus féminin transparent. Olga visualisait déjà les jets des sécrétions partir de ce petit minou d’étudiante.
Elodie s’avançait comme Philippe le lui avait ordonné et se rapprochait dangereusement d’eux
- Dis-moi, espèce de putain à quel point tu aimes que je te pilone.
Olga adorait sentir son vagin être ainsi maltraité et se contracter. Essayant de retenir encore un peu son plaisir, elle lâcha:
- Oui pilone-moi, je suis à toi, je suis ta putain. Fais de moi ce que tu veux! Ohhhhh
Jamais Olga n’avait vu Philippe se comporter ainsi, c’était troublant. Depuis le temps qu’elle rêvait de le voir agir de la sorte.
- Alors jouis sous mes coups de bite, ma jolie cochonne, ma garce, ma femme, mon amour! . Et toi, la petite salope, fais couler ton jus!
Olga arrivait au bout de son plaisir. Elodie avança son bassin vers les amants, en se masturbant frénétiquement. Elle se regarda faire ce qui lui faisait le plus honte et qu’elle ne contrôlait pas: ces jets mystérieux. Ils sortirent d’elle pour éclabousser les amants comme la manifestation la plus pure de son orgasme.
Olga partit dans un râle incontrôlé, sous les coups de boutoir de son mari, qui poursuivait sa saillie, sans ralentir le rythme.
Philippe éprouva un plaisir énorme à regarder ces deux femmes jouir sous ses yeux. D’habitude il aurait regardé, assis sur son fauteuil de candauliste, un mâle en train de baiser son épouse. Mais là il était l’amant dominateur qui les avait amené à vivre cela. Sa fierté et son estime personnelle étaient au maximum, d’autant plus qu’il n’avait pas joui.
- Je me garde pour plus tard, Mesdames
Olga ne dit rien. Elle aurait aimé à ce moment ultime de l’orgasme que son homme se vide en elle, la remplisse, la féconde.
Philippe était redevenu en une seconde cet homme élégant et classe.
Olga en spasmes et comblée, se blottit dans les bras de son mari, cet homme merveilleux et étonnant qui venait de se révéler à elle sous un nouvel angle, après leurs deux mariages et 20 ans de vie commune. Elle lui offrit ses lèvres pour un long baiser amoureux et passionné.
Elodie resta stoïque comme une conne au milieu de ses secrétions qui couvraient le plancher. Elle essuya tout avec le peignoir des amants, referma les rideaux et courut se rhabiller aux toilettes, laissant un temps d’intimité à ce couple incroyable pour qu’ils profitent seuls de ces moments extraordinaires, l’un dans les bras de l’autre, échangeant des mots d’amour.
Les émotions des filles étaient au maximum. Elodie était fière et heureuse, réalisant que sa présence avait des conséquences décisives sur ce couple, qui, de son côté, la poussait tant à assumer sa personnalité, aussi bien au niveau de sa sensualité que dans sa future vie professionnelle.
Tout le monde avait repris ses esprits et s’était rhabillé, Elodie reprit sa présentation de thèse devant ce jury avec le professionnalisme, l’aisance et la diction d’une avocate lionne, en pleine plaidoirie. Elle avait passé un cap incommensurable face à sa timidité et s’étonna elle-même de sa prestation.
Le trio, après toutes ces émotions, avait droit à des moments de détente. Olga avait parlé de shopping. Il était presque l’heure du déjeuner.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Didier, la "révision" est un exercice qui vise à donner de l'assurance à Elodie et à révéler tout son potentiel, surmontant sa timidité et ses inhibitions. Et en effet, Elodie, se mettant à nue, au propre comme au figuré, y parvient avec brio!
Mais quel drôle de matinée de révisions !!!
En effet cette journée, débutée dans la chambre par de la jouissance, se poursuit désormais dans le salon avec une "étrange" séance de révision, mélange de travail, de punition, d’exhibitionnisme et surtout de sexe une fois encore…
Dépassée par sa timidité Elodie, vêtue à la demande d’Olga d’une simple petite robe noire, se lance sous le regard du couple dans une présentation plus qu’hésitante de sa thèse.
Perdant totalement confiance en elle, et ce malgré la bienveillance d’un Philippe sous le charme, et les remarques d’une Olga devinant tout son potentiel, Elodie persiste à ne livrer sans cesse que de lamentables, désastreuses, prestations. Excédée par l’attitude de son Philippe et surtout intimement persuadée que comme la nuit précédente la jeune étudiante pourrait surmonter ses complexes et les surprendre, Olga décide alors de sévir pour mieux la motiver.
Olga commence par assener une fessée mémorable à Elodie, provoquant un mélange de sanglots et de jouissance chez la jeune étudiante pas si indifférente si que cela au châtiment. Puis elle lui conseille, lui demande de se mettre à nue, au sens propre comme au figuré, afin de surmonter ses complexes pour mieux "séduire" le jury dans sa présentation.
Et c’est ainsi qu’Elodie nue réussit parfaitement, brillamment, l’exercice, sous le regard du couple mais aussi d’un voisin voyeur, les rideaux du salon ayant été ouverts au préalable bien sûr.
Cette réussite comble tellement Elodie de bonheur, que sur le coup et tel une récompense Olga l’incite à se masturber devant eux, et ne voulant pas être en reste avec l’étudiante, Olga demande également à Son Philippe de s’occuper d’elle, aussi. Celui-ci, tellement excité pas le spectacle offert par Elodie, se met alors à baiser Olga comme il ne l’avait rarement fait auparavant, provoquant ainsi un énorme orgasme à son épouse en simultané de celui d’Elodie…
Oui en effet, quel drôle, quelle surprenante séance de révision que celle-ci.
La journée étant loin d’être finie, et au regard de cette folle matinée, je m’interroge désormais sur la réelle teneur de cette séance shopping prévue dans l’après-midi.
Didier
En effet cette journée, débutée dans la chambre par de la jouissance, se poursuit désormais dans le salon avec une "étrange" séance de révision, mélange de travail, de punition, d’exhibitionnisme et surtout de sexe une fois encore…
Dépassée par sa timidité Elodie, vêtue à la demande d’Olga d’une simple petite robe noire, se lance sous le regard du couple dans une présentation plus qu’hésitante de sa thèse.
Perdant totalement confiance en elle, et ce malgré la bienveillance d’un Philippe sous le charme, et les remarques d’une Olga devinant tout son potentiel, Elodie persiste à ne livrer sans cesse que de lamentables, désastreuses, prestations. Excédée par l’attitude de son Philippe et surtout intimement persuadée que comme la nuit précédente la jeune étudiante pourrait surmonter ses complexes et les surprendre, Olga décide alors de sévir pour mieux la motiver.
Olga commence par assener une fessée mémorable à Elodie, provoquant un mélange de sanglots et de jouissance chez la jeune étudiante pas si indifférente si que cela au châtiment. Puis elle lui conseille, lui demande de se mettre à nue, au sens propre comme au figuré, afin de surmonter ses complexes pour mieux "séduire" le jury dans sa présentation.
Et c’est ainsi qu’Elodie nue réussit parfaitement, brillamment, l’exercice, sous le regard du couple mais aussi d’un voisin voyeur, les rideaux du salon ayant été ouverts au préalable bien sûr.
Cette réussite comble tellement Elodie de bonheur, que sur le coup et tel une récompense Olga l’incite à se masturber devant eux, et ne voulant pas être en reste avec l’étudiante, Olga demande également à Son Philippe de s’occuper d’elle, aussi. Celui-ci, tellement excité pas le spectacle offert par Elodie, se met alors à baiser Olga comme il ne l’avait rarement fait auparavant, provoquant ainsi un énorme orgasme à son épouse en simultané de celui d’Elodie…
Oui en effet, quel drôle, quelle surprenante séance de révision que celle-ci.
La journée étant loin d’être finie, et au regard de cette folle matinée, je m’interroge désormais sur la réelle teneur de cette séance shopping prévue dans l’après-midi.
Didier