parfaite salope! - histoire érotique

Je ne vous cache pas que mes pensées sont devenues ordonnées, subtiles pour Julie la fille de Catherine. Au point d'aiguiser mes sens pour trouver une solution pour m’approcher d’elle sans me faire voir. Et quand enfin, je l'ai trouvé, je me suis senti euphorique.


Après renseignement, je découvre que la belle Julie se trouve seule chez elle le mardi après-midi. Alors je me suis rendu à son domicile ce fameux jour.
Lunette au nez, elle n’est pas plus étonnée que ça de me voir devant sa porte d’entrée. M’invitant même à pénétrer son couloir sans prendre la peine de me demander le pourquoi de ma visite.
Je la suis jusqu’au salon. Je profite de l’instant pour poser mon regard sur sa croupe, moulée dans une jupe blanche. Que sa démarche fait balloter son postérieur, tantôt sur l’une, tantôt sur l’autre de ses jambes, m’offrant le plaisir de faire bouger son cul.
Résultat, ma queue se raidit dans mon slip. J’imagine bien sous la jupe, les fesses arrondies. Vraiment tout m’attire chez cette jeune femme.
-Tu sais pourquoi je suis là ? Lui fais-je.
-Je ne sais pas, non ! Enfin, ça a à voir avec maman ?
-Comment ça avec ta mère ?
-Tu sais bien, l’autre jour quand j’étais au téléphone…
-Ah oui, je vois.
-Je suis contente pour elle. Je vois bien qu’elle marche sur l’eau ces derniers temps.
-Ce qui n’est pas ton cas.
-Ça, c’est une autre histoire ! Me lâche-t-elle.
-Tu veux en parler peut-être ?
-Je ne sais pas, cela ne se fait peut-être pas !
-T’inquiète… cela restera entre nous !
-C’est gentil, me fait-elle, cela me fera un grand bien de me confier à une connaissance qui ne fait pas partie de mon cercle d’amis.
Et bien sûr, très vite même, comme deviner, le tête-à-tête s’oriente du côté de son manque d’affection de la part de son compagnon. Et le dialogue devient sulfureux. Elle me confesse même des choses, comme quoi son partenaire ne serait pas contre une expérience homosexuelle. Et que même, il serait favorable de faire ça avec un homme mûr.
Elle me met vraiment, sans le savoir dans un tel état d’excitation que je ne peux me freiner à faire glisser ma main sous sa jupe sans y être invité, naturellement. Sans me préoccuper des retombées. Celle-ci, parfaitement maîtresse d’elle-même, n’en continue pas moins à converser avec moi, comme si ce que je lui faisais était secondaire.
Alors que sous sa jupe, ma main atteint sa cuisse, et très vite par la suite le sexe. Que j’effleure à travers la culotte.
-Oh voyons Alain. Ne profite tout de même pas de la situation ! Fait-elle, avec une voix qui se trouble.
Son inaction trahit ses dires, ce a pour effet de m’encourager à poursuivre mon œuvre. D’envoyer mes doigts fureteurs se glisser sous l’élastique.
-T'aimes ce que je te fais ? Je lui dis.
-Ça reste que de la caresse. Répond-t-elle en laissant mes doigts mignarder sa fourche, à la recherche de son intimité secrète, toujours sous la jupe blanche.
Je n’en peux plus. Mon sexe est aussi dur qu’une barre de fer. Il m’arrive parfois d’entendre Julie, émettre un petit hoquet. Signe que mes doigts palpent un point sensible de son anatomie. Je me permets même, de retrousser la jupe. Juste pour contempler sa jolie culotte de fine dentelle. Vision bouleversante.
-Il ne me caresse pas comme ça mon Dani!
-Le goujat ! Faire cela à une femme si belle que toi ! Je lui réplique.
-Oui, comme tu dis ! J’espère ne pas faire de bêtises en me laissant tripoter.
-Où vas-tu chercher cela Julie ! Nous ne faisons rien de mal.
-Je le pense aussi !
-En le faisant je te rends même un petit service. Si tu cherches bien ! -Parfaitement ! Je suis tout à fait d’accord avec toi.
Je couvre Julie de centaines d’attouchements, faisant naître sur la peau de la jeune femme des ruisseaux de frissons et de chair de poule. Ma main vole, glisse, s’attarde ici et là, repart ailleurs.
La gorge sèche, haletant, je profite de l’instant pour écarter sa culotte. Elle cherche bien de m’en empêcher à l’aide de ses mains.
-Je pense qu’il serait bien raisonnable de s’arrêter là, Alain ! Tu ne penses pas ?
-T’inquiète Julie… je recherche seulement ton plaisir ma belle ! ce que ton Dani n’est pas capable de te donner. Promis qu’après j’arrête !
-Je te fais confiance !
-Tu peux…
Je m’autorise alors, à enfoncer mon index dans son vagin. Que Julie m’offre de façon, relâchée. Sans pour autant cesser d’habiller de nouveau son Dani. Tout en la branlant de ma droite, avec la gauche, je récupère la petite culotte pour la porter sur mon nez.
-Oh Alain… qu’est-ce que tu fais là…tu me fais honte, arrête, je t’en prie !
-Mais pourquoi donc ? Surtout que tu l’as copieusement parfumé ta culotte.
-Arrête, veux-tu, je ne sais plus où me mettre…
-Il ne faut pas… sois même fière…
Alors que je me saoule de son odeur entêtante, la coquine de son côté, écarte les jambes, donnant accès plus aisément à sa fente.
Je fourre un deuxième doigt dans sa tirelire doigts et continue à la branler. Mon initiative est couronnée d’un couinement de la part de sa propriétaire. Cela m’incite à la besogne avec ma main avec ardeur. J’ai les doigts tout luisants de mouille.
-Tu n’aimerais pas que je te la suce ?
-Ça ne va pas ! Où vas-tu chercher ça. Je ne suis pas hygiéniquement parlant, décente !
-C’est bien pour ça que j’ai envie de fouiller ton pompon ma belle ! Fais-je en me laissant tomber à ses pieds.
J’effleure de mon nez sa toison. Que je m’autorise à humer. Je m’étrangle à moitié par l’odeur forte que en émane. Julie soupire d’aise. Je souffle sur sa fourrure. Un frisson parfaitement visible court sous la peau de la jeune femme. Elle aime ça ! Et moi aussi.
D’ailleurs je suis submergé par une violente poussée d’adrénaline. Ce qui me pousse à approcher ma figure au plus près du ventre de la jeune fille. Écrasant mes joues contre la chair moite des cuisses. Éraflant le sexe visqueux au goût âcre. Il ruisselle. La coquine en plein délire, agite le pubis de manière à se frotter encore plus contre mon visage. Pas besoin de discours pour savoir ce qu’elle désire à présent.
Avec douceur, j’ouvre le compas de ses jambes. Elle a un léger sursaut lorsque j’enfouis ma tête dans la fourchette et pose mes lèvres sur les plis de sa chair intime. Toujours radieux par la puissante odeur qui monte à mes narines, aussi forte qu’une bouffée marine. Assez pour pousser ma langue pointue dans la cachette secrète. Éprise, Julie gambade. Je surveille son visage se mouvoir. C’est exceptionnellement bon. Mais je veux, comme promis plus tôt, lui en donner encore plus.
Pour ça, je colle ma bouche sur son sexe. Fouille sa chatte de ma langue. Elle gémit de plaisir, écartant autant qu’elle peut ses cuisses pour ouvrir sa chatte. Et ainsi me faciliter mon activité buccale. Je lèche, aspire, mâchouille sa chatte pendant plusieurs minutes, avant de me canaliser sur son bouton. Elle acquit mon initiative par des gémissements. Je profite de son extase pour insérer comme j’aime, mon majeur dans son cul tout en lui tétant son clito, tout bouffi. Elle hisse son cul pour bien appuyer son clito sur ma bouche.
Comme son corps frémit, sous mon doigt qui fouille sans modération, et profondément son cul. Un ambitieux va-et-vient. Délaissant le bouton, j’enfonce ma langue dans son vagin. La jouissance est immédiate. Je visse ma langue aussi loin que je le peux dans son puits d’amour, la fais frétiller. L’enfonçant et la ressortant, à grands coups. Je lui lèche l’intérieur, alors que mes doigts fâchent sans limite son anus qui s’ouvre de lui-même.
- Oh… ta langue… que c’est bon ! Me lance-t-elle. Lèche, lèche-moi bien la chatte salaud, c'est bon ! Ajoute-t-elle en s’appuyant sur ma tête avec ses mains en même temps.
Après quelques minutes de léchage intensif, ma petite maîtresse se met à trembler et à crier plus fort. Il était temps ! J’ai la mâchoire toute endolorie.
Quelques minutes plus tard, Julie remis de ses émotions, souffle, avant de laisser échapper ses émotions :
-Putain que c'était délicieux… que c’est bon de se faire bouffer la chatte !
-Je mérite bien une récompense… tu ne crois pas ?
-Qu’est-ce que tu désires ?
-Je ne sais pas, tu me proposes quoi ?
-Je ne sais pas… une branlette…
-Va pour une branlette.
Je me libère et elle s’exécute. Je reconnais qu’elle s’est y faire. Une fois après avoir asséché ma jouissance, je lui demande si c’est quelque chose qu’elle fait souvent.
-Te laisser aller avec un partenaire en l’absence de son compagnon.
Je sais, la question est d’une gaucherie exceptionnelle, mais c’est plus fort que moi.
- Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Rétorque-t-elle. Qu’il ne m’est jamais rien arrivé de pareil. Pas une seule fois dans ma vie ?
-Et alors…
-Pourquoi… me coupe-t-elle, parce que tu es croustillant. Tu m’as charmé. Oui, je n’ai pas honte de te le dire. Pas un seul instant, ou alors si peu, je n’ai pas hésité à me mettre en faute et à me comporter d’une façon qui ne me ressemble pas du tout ? En parfaite salope ! Voilà je l’ai dit…