Pas banale. Gilles 56 ans quitte sa femme pour Émilie, une jeune fille de 23 ans.

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Pas banale. Gilles 56 ans quitte sa femme pour Émilie, une jeune fille de 23 ans. Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pas banale. Gilles 56 ans quitte sa femme pour Émilie, une jeune fille de 23 ans.
Chef d’entreprise à la recherche d’une employée de service polyvalente, pouvant faire du rangement, de la préparation de commande ou de faire quelques travaux ménager, j’avais épluché toutes les réponses en ma possession. Elles n’étaient pas bien nombreuses à avoir répondu à mon annonce et d’après les photos agrafées à leur CV, très peu me plaisaient physiquement. Ce fut la raison pour laquelle mon choix s’arrêta sur Delphine une très jeune fille dont sa jolie poitrine me fit la choisir, d’autant plus qu’elle n’habitait qu’à quelques kilomètres de mes bureaux et proche de chez-moi.

Il faut dire qu’étant marié à une femme ayant pris beaucoup de poids depuis nos 30 ans de mariage, je n’étais pas très satisfait côté sexe. J’étais aujourd’hui à 55 ans obligé de me masturber souvent devant des films X mettant en scène de jeunes soubrettes à forte poitrine, vêtues d’une jupe noire très courtes arrivant au raz des fesses, d’un chemisier blanc à large décolleté et d’un petit tablier qui ne cachait rien. C’était mon fantasme et je prenais beaucoup de plaisir de les voir se faire prendre sans ménagement.

Ce matin-là, j’avais convoqué Delphine de bonne heure pour l’entretien d’embauche car je devais rentrer chez-moi immédiatement après afin de préparer ma valise pour prendre le TGV pour Paris. En effet, j’avais un rendez-vous important dans la soirée avec un négociant. Dès mon arrivée dans mes locaux, je fus agréablement surpris de voir que cette charmante jeune fille était déjà présente et m’attendais assise dans le hall d’entrée. Je me présentai à elle et lui demanda de me suivre.

Installée sur le siège devant moi, elle répondit timidement pendant plus d’une vingtaine de minutes, à toutes mes questions. Elle fut assez gênée lorsque je lui dis qu’elle n’avait aucune expérience, si ce n’était que deux stages en entreprise et qu’elle ne ferait sans doute pas l’affaire. Je me préparais donc à la faire sortir de mon bureau courtoisement lorsque celle-ci me répondis avec un peu plus d’hardiesse :— Vous savez Monsieur, je m’adapte à toutes les situations et je suis prête à tout pour obtenir ce poste.

En disant cela, elle était restée assise alors j’étais déjà debout, près à quitter la pièce, je me dirigeai vers son fauteuil et passa derrière elle. Sa poitrine dont le décolleté était plongeant me fascina, des pensées malsaines tournèrent dans mon cerveau. Je posai mes mains sur ses épaules et regardai à l’intérieur de son chemisier largement ouvert :— Prête à tout vous dites, c’est-à-dire. Dis-je en lui massant délicatement ses clavicules du bout des doigts.

Au contact de sa peau nue et voyant ses seins remués à chacune de ses respirations, une érection brutale vint remplir mon entre jambe, incontestablement, Delphine était bandante et je pensais qu’elle le savait. Elle décala légèrement sa tête vers le haut et posa son regard sur moi et enchaina :— Vous savez Monsieur, je serai capable de vous satisfaire. Me dit-elle en me prenant les mains pour les descendre un peu plus bas dans son décolleté.
— Je vois que tu n’es pas farouche.
— Si c’est le prix à payer pour mon embauche…
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase, j’avais très envie de la peloter, de lui triturer ses nibards qui étaient qu’à quelques millimètres de mes mains mais je savais que cela pouvait m’être fatale avec toutes les accusations d’harcèlement sexuel, je me devais d’être très attentif. Je retirai mes mains et lui dit :— Bon ! Mademoiselle, je vous ferai connaitre ma décision lorsque je reviendrai de Paris demain dans la soirée.

Je l’avais raccompagnée jusqu’au hall d’entrée et machinalement, devant nos locaux, je lui demandai comment elle était venue. Elle répondit « Avec mon copain et je rentre en stop, je n’habite pas très loin. »— Vous savez, ce n’est pas très prudent de nos jours, voulez-vous que je vous dépose, c’est sur mon chemin. Montez donc avec moi, ma voiture est juste là.

Je roulais tranquillement sur cette petite départementale déserte pour rentrer à la maison, Delphine à mes côtés. Il était 9 heures du matin et il faisait déjà chaud pour ce mois de juin, Elle n’était vêtue que de son chemisier et d’une légère jupe courte assez sexy. Je sautai sur l’occasion pour reprendre notre conversation, mais cette fois-ci en la tutoyant : « Tu ne vis donc pas seule ? Tu as quel âge déjà ? » — J’ai 22 ans. Si Monsieur mon copain vit chez ses parents. Je vous remercie de m’avoir prise avec vous, vous me rendez là un grand service.

Le soleil était filtré par mes vitres teintées, les vitres étaient légèrement ouvertes, le vent caressait ses cheveux et jouait avec le tissu fin de son corsage, ouvrant un peu plus son décolleté. Je m’aperçus vite qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, elle semblait être à l’aise et me donnait l’impression que cela lui faisait plaisir. La brise faisait durcir ses tétons qui semblaient vouloir déchirer le tissu. Assise à côté de moi, je la regardais furtivement et admirais sa beauté, mes yeux allaient de ses seins, à ses cuisses qu’elles avaient savamment dégagées de tout obstacle lorsqu’elle avait remonté sa jupe courte.

J’étais sur une longue ligne droite de plus de sept kilomètres, mes yeux ne la quittèrent pas. Je me demandais pourquoi elle regardait par la fenêtre, et non pas dans ma direction et cela m’intriguait. Je ralentis encore la vitesse au fur et à mesure que je la contemplais. Je me permis de prendre sa main pour la poser sur ma jambe droite. Delphine ne disait toujours rien et ne retira pas sa main et bougeait légèrement les doigts. Ils étaient restés bien à la même place à quelques centimètres de mon entre jambe. Cette situation m’excita et mon sexe recommença à faire des siennes, j’étais très à l’étroit dans mon pantalon en toile légère.

Nous étions à quelques pas de chez elle, lorsqu’elle tourna la tête vers moi, je fis semblant de rien, mais mon sourire lui en disait long car depuis un bon moment, elle me voyait dans la fenêtre me pinçant les lèvres. Sa main changea de place pour se poser sur la mienne qui se trouvait sur le pommeau du levier de vitesses, elle se redressa, tira d’une main sa ceinture de sécurité et vint m’embrasser sur la joue. Je fis une petite embardée en prenant le virage.

Elle me dit alors : — Regarde devant toi, nous risquons un accident. Me dit-elle en me souriant sensuellement.
Malgré que je sois surpris par ce tutoiement, je ne pus répondre, car sa main avait enserré mon sexe et en me la tâtant poursuivi :— Je crois que ta décision est prise, je suis embauchée n’est-ce pas ?
— Bien sûr Delphine lui répondis-je en garant ma voiture devant sa porte d’entrée.

Elle était descendue de la voiture toujours avec son magnifique sourire et passa du côté de ma vitre que je baissai entièrement. Elle me déposa un petit baiser sur les lèvres cette fois en me disant : « À demain soir » tout en s’éloignant. Je restai là immobile, je jetai un œil sur la montre, j’allais être en retard si je m’attarde encore. Elle franchissait le seuil et je sautai de la voiture en criant :— Attends Delphine. Lui dis-je devant sa porte. Tu as prévu quelques choses ? Je t’emmène avec moi à Paris tu veux ?
— Oui ! Si c’est compté dans mes heures.
— Bien entendu, tu commences ton boulot maintenant. Prépare-toi ! Je passe te chercher dans trois quart d’heure.

J’étais heureux comme un gosse, cette fille me rendait déjà fou, j’étais entièrement tombé sous son charme. Assise à côté de moi dans le TGV, elle s’était blottie dans mes bras et avait pratiquement dormi la moitié du voyage. Après son réveil, nous nous sommes embrassés longuement, elle me caressa intimement et s’apercevant de mon énorme érection, elle me demanda de la suivre dans les toilettes du train. Elle n’avait pas attendu avant de me prendre la bite dans la bouche puis elle me demanda de la lécher, elle était trempée d’excitation. Après quelques minutes, n’en pouvant plus, elle se pencha, releva sa jupe et me dit : « Viens ! Prends-moi tout de suite »
Heureusement qu’elle avait tout prévu, elle avait ouvert le sachet avec ses dents et m’enfila le préservatif avec la bouche, tout en le déroulant entre ses lèvres pincées. Tellement excité, je n’avais pas tardé à éjaculer dans le latex, mais comme elle l’était tout autant, elle prit son plaisir en même temps que moi, en poussant de petits cris. Nous nous sommes embrassés et nous avions regagné notre place. Les personnes présentes dans le train n’avaient pu imaginer ce que nous venions de faire, car vu l’écart d’âge, je pense qu’ils croyaient tous qu’ils étaient en présence du père et de sa fille.

Pendant le reste du trajet, elle m’avait posé un tas de questions sur ma vie et mon couple, je m’étais laissé emporter, j’étais déjà tombé amoureux de Delphine et lui racontai tout, sans tabou, jusqu’à mes fantasmes les fous et celui de la soubrette, bien entendu :— Nous allons ce soir le mettre en scène celui-là, tu prends qu’une chambre d’hôtel, je serai à la hauteur, tu verras.

Mon rendez-vous n’étant qu’en début d’après-midi, j’emmenai Delphine faire les boutiques, la carte bleue de l’entreprise avait chauffé. Elle était aux anges, elle s’était renouvelée sa garde-robe, elle avait pu se faire payer tout ce qu’elle aimait porter. Lors de mon rendez-vous, après le déjeuner prit en tête à tête dans une petite brasserie sympa, je la présentai comme ma secrétaire. Elle fut à la hauteur, elle était incroyablement intelligente et sut se faire discrète quand il le fallait. En fin d’après-midi, avant de regagner notre hôtel, nous étions passé dans un sexshop pour acheter une nouvelle tenue, mais cette fois-ci à ma convenance.

Tout fut parfait, je vivais un rêve, je n’avais pas débandé de toute l’après-midi, sous ses petites allusions dites sensuellement dans mon oreille ou par ses petites caresses discrètes et précises sur mon entre jambe. Avec elle, je retrouvais une seconde jeunesse. Et que dire de la soirée à l’hôtel, elle fut géante dans son rôle de servante sexy, je lui avais éjaculé comme dans un film entre ses deux seins qu’elle maintenait serré contre ma queue. Après le diner, au lit, elle fut gigantesque, je lui refis l’amour trois fois dans la nuit et le matin elle m’avait une nouvelle fois redonné de la vigueur dans une fellation parfaite avant que je la sodomise. Cela faisait plus de vingt-cinq, voire même trente ans que je n’avais pas baisé de la sorte.

Dans le TGV, ce fut moi qui, épuisé, m’était blotti dans ses bras, j’avais dormi pendant les deux heures de trajet. J’eus droit un baiser sur la bouche en guise de réveil, j’ouvris les yeux et vis son visage radieux et souriant devant moi. Je ne pus m’empêcher de lui dire :— Delphine, je t’aime. Je suis amoureux comme à mes 15 ans.
— Allez-allez Gilles, descendons du train. Nous en reparlerons plus tard.

Je l’avais déposée chez elle avant de me rendre dans mes locaux. Tout le restant de l’après-midi, elle m’avait déjà terriblement manquée. J’avais hâte de la retrouver avant de rentrer chez moi. Cette nuit-là je n’avais pas dormi dans le lit conjugal. Delphine m’avait préparé un petit repas, nous avions fait l’amour avant de manger et deux autres fois avant de nous endormir vers minuit enlacés dans son lit.

Notre relation secrète dura plus d’un an, elle me connaissait par cœur et sexuellement parlant, elle faisait tout ce que je désirais. Sachant que dans mon fantasme le plus fou, je désirais être à la merci d’un homme, n’ayant jamais connu cette pratique, elle me prépara avec un plug anal. Lorsqu’elle s’était aperçue que j’étais enfin prêt, elle avait organisé un trio avec un ami à elle. Nous faisions un soixante-neuf, ma tête entre ses cuisses ma bouche et mes doigts lui faisaient monter son désir. Elle de son côté, me suçait goulument pendant que son ami prenait possession de mon rectum. Delphine cria son plaisir lorsque j’éjaculais abondamment dans sa bouche et que M se vidait sur mes fesses. Je n’avais jamais connu un pied pareil.

Si Delphine faisait suivant mes désirs sexuels, je cédais à tous ses caprices, j’étais entièrement accroc de ma jeune princesse, je l’adorais et j’aurais fait n’importe quoi pour elle. Jusqu’au jour où elle me demanda de divorcer :— Écoute Gilles, j’en ai marre de me cacher. Tu sais comme moi que tu n’aimes plus ta femme, alors s’il te plait dit lui ce soir en rentrant.

Elle avait su y faire, j’avais eu l’impression qu’elle n’avait jamais été aussi amoureuse de moi, lorsque nous avions fait l’amour avant que je rentre chez moi. Il m’était impossible de me séparer d’elle, Delphine avait raison, je n’aimais plus Élise et je devais lui annoncer ma décision de divorcer. N’ayant pas de part dans ma société, nous avions simplement réalisé une séparation à l’amiable.

Tout ne s’était pas passé comme sur des roulettes, mais un an plus tard notre divorce fut prononcé. Deux mois plus tard, Delphine avait su me convaincre, je me remariais avec ma princesse. Depuis, je ne vois plus mes deux enfants qui prirent le parti de leur mère, n’ayant jamais compris ce qu’il m’était arrivé. J’étais tout simplement aveuglé par ma déesse que j’aimais de tout mon cœur.

Sept ans plus tard, j’étais toujours fou amoureux, Delphine dirigeait l’entreprise avec moi mais malheureusement pour moi, avec mon problème de prostate, je ne peux plus la contenter à moi seul, même si nous baisons toujours régulièrement. Ayant trente ans, je compris que Delphine avait besoin de sexe que je ne pouvais plus lui donner, elle ne m’avait rien caché et me demanda de prendre des amants lorsque le besoin se ferait sentir. Jamais je ne lui refusai et pour me remercier, elle avait tenu à faire ses galipettes sexuelles en ma présence. Ce qui m’excitait fortement, après qu’elle atteignait l’orgasme et que son amant lui éjaculé dans la bouche, elle venait sur moi et m’embrassait laissant couler le sperme dans ma bouche pendant qu’elle me masturbait.

Aujourd’hui, elle a trouvé un amant régulier qui vit pratiquement à la maison. j’en prend énormément de plaisir et je ne suis pas prêt de vouloir stopper ce ménage à trois, même si cela fait jaser autour de moi.

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