Passion trouble.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Passion trouble.
-Cette salope mal-baisée à surtout besoin que quelqu’un s’occupe d’elle, s’exclame Christine devant sa collègue Micheline et moi.
La personne dont il s’agit est Claudie, la responsable du service. Elle vient de sèchement réprimander Christine pour une faute tout à fait anodine, comme elle le fait un peu trop ces dernières semaines.
Micheline éclate de rire et s’adresse à moi.
-Tu as entendu ce que vient de dire Christine ?
-Oui, j’ai entendu !
-Je compte sur toi pour ne pas lui dire.
-Tu me prends pour qui ?
-Je ne sais pas encore, tu es nouveau dans le service.
-De toute façon elle ne m’adresse jamais la parole.
-Pourtant mon petit doigt, fait Micheline, que tu ne la laisses pas indifférente. Cela serait bien pour franchir la barrière.
Christine et Micheline se regardent et éclatent de rire en même temps. Depuis toujours elles croient fermement vu mon âge que je suis encore un puceau et que sa remarque est en réalité qu’une fanfaronnade.
-Fonce, mon beau ! Répond Christine, toujours en se foutant de ma pomme.
Au cours des jours suivants, je commence à m’intéresser de plus près à Claudie. La scrutant chaque fois qu’elle passe devant mes yeux. Elle doit avoir le même âge que Brigitte ma voisine et maîtresse. En plus classe !
Je pense sans me tromper que je suis sur le collimateur des deux collègues aussi. Avec lesquelles j’ai désormais de plus en plus des discussions coquines. Elles me prennent pour un jeunot rigolard, sortie de ma coquille. La blague devient mon fantasme et je me languis sur ça encore plus à chaque fois que la responsable passe. Je scrute ses fesses, ses jambes,, ses pieds dans ses escarpins. Je la trouve absolument irrésistible.
Et puis un jour je me lance. Je frappe à la porte de la directrice et attend quelques secondes, jusqu’à ce qu’une voix de femme venant de l’intérieur m’invite à entrer. Alors je pousse la porte et entre.
Je lui fais part du sujet.
-Vous pouvez disposer maintenant mon garçon, déclarez Claudie sur un air sérieux.
-Oui Madame, fis-je en me dirigeant vers la sortie.
-A plus tard Alain, répond Claudie d’un ton familier.
Je quitte le bureau, les étoiles dans les yeux. J’ai les yeux qui reluquent ses pieds sortant du bas de son bureau. La nuit suivante, ce fut un sujet pour moi pour ma branlette.
Je n’en peux plus. Ce fantasme m’étouffe et je me sens obliger de faire savoir à ma directrice que je me suis branlé en pensant à ses pieds. Je ne sais pas comment je le lui fais savoir, ni quand, et le lui dire n’est pas quelque chose simple à faire. Peut-être une situation embarrassante et risquée, ou même pire encore, mais comme toujours dans ses cas là, je m’en fiche, je veux qu’elle le sache, un point c’est tout !
Quand je vois la directrice discuter avec une collègue, je la scrute et la trouve plus séduisante que jamais dans ses escarpins vernis. Je veux lui parler, mais pour lui dire quoi ? Je ne me lasse pas de la regarder et elle s’appuie sur un bureau, ce qui la fait courber un peu, à la vue de son dos cambré et de ses fesses rebondies, je sens mon envie monter et ma queue gonflée.
Ne pouvant plus me retenir, je me décide à aller frapper à sa porte. Elle m’invite tout de suite à franchir la porte.
-Excusez-moi Madame, je peux vous parler deux secondes.
-Oui, je vous écoute !
-Heu, eh bien, enfin… rien…
-Je vous écoute, que voulez-vous bien me dire…
Je reste immobile tandis qu’elle signe des papiers. Mes jambes tremblent.
-Et bien si vous assistez je vais vous le dire : j’aime vos pieds.
Voilà c’est dit !
-Quoi ! Vous aimez quoi ? Balbutie-t-elle.
-Je sais je me sens con de vous avoir avoué cela.
La directrice est abasourdie mais réussit à m’inviter à sortir de son bureau.
Le lendemain, je suis convoqué à son bureau. Je suis abasourdie, je stresse et je pense que cela signifie simplement que je suis sur le point de changer de service. Je prends nerveusement le couloir jusqu’à son bureau. Je frappe à la porte et la voix féminine me demande de rentrer.
-Madame, je suis désolé pour hier, je suis… je ne sais pas ce qui m’a pris, fais-je d’une voix hésitante.
-Prenez place, répondit-elle avec une sorte de sourire vicieux sur le visage.
Je m’installe en face d’elle séparer par le bureau.
-J’ai pensé à ce que vous m’avez dit, Monsieur, fit Claudie, les yeux fixés sur moi, mais elle n’a pas l’air en colère.
-Je suis vraiment désolé, Madame, répondis-je.
-Désolé d’avoir dit ce que vous aimerez faire ? Dit Claudie, toute souriante en me faisant bander. Vous aimez faire cela ?
-Oui ! Répondis-je avec la bouche qui s’assèche de seconde en seconde.
-Vous le pensez alors ?
-Euh, oui, Madame !
-C’est bien la première fois que ce genre de chose m’arrive.
Je me demande qu’elles sont vraiment ses intentions. Je gagne en confiance et enchaîne :
-J’aime les pieds, surtout les vôtre.
Claudie halète, sa bouche s’entrouvre et elle répond un peu énerver :
-Je suis marié, le savez-vous ?
-Oui parfaitement ! C’est cela qui me plaît !
-Beau comme vous êtes, ce ne doit pas être un problème pour vous d’avoir des copines.
-Je préfère les femmes matures, comme vous. Fis-je en me laissant tomber à ses pieds.
Elle porte sa main à sa bouche en haletant.
-Ça ne va pas ! Quelqu’un pourrait entrer, continue-t-elle.
-Laissez-moi vous embrasser le pied, seulement embrasser. Je demande désormais confiant.
-Non… non, balbutie-t-elle en tirant son pied à elle, derrière le bureau.
Mais
dans l’action son pied se déchausse et son escarpin reste dans ma main. Tout de suite je le porte à la hauteur de mes narines.
-J’adore votre odeur !
-Dehors ! Allez dehors, et rendez-moi ma chaussure, voulez-vous !
Après l’avoir copieusement humé, bien bruyamment pour qu’elle l’entende bien, je lui tends.
-Je suis à votre service Madame !
Elle ne dit rien, je souris pour moi-même, fier de moi et sortis.
Pas plus tard que le lendemain après la réunion, elle m’invite oralement devant tout le monde, de passer à son bureau.
-J’ai besoin de vos services !
Elle me reçoit assise derrière son bureau. Les pieds dépassant de dessous son bureau. Avec une attirance maladive pour les pieds, mon regard se porte tout de suite dessus. Elle porte des talons hauts, et pour mon plus grand plaisir, elle a choisi comme par hasard, une paire où ses orteils sortent du bout ouvert.
Dans ma tête j'hésite, mais ma queue m’ordonne de passer à l’action. Et comme je suis du genre à écouter ma queue, je m’agenouille devant le bureau et caresse du doigt le cuir.
-C’est une fixation chez vous, Alain, les pieds !
-Vous ne vous rendez pas compte à quel point !
Je déchausse son pied droit et le caresse doucement. La réaction de Claudie est tout à fait normale. Elle est de nouveau étonnée au début puis commence à prendre goût petit à petit. A m’inviter à passer de l’autre côté du bureau.
A présent sous le bureau, je lui fais remarquer que ses pieds sont justes parfaits. Pas un seul pli, pas un orteil plus tordu que l'autre, pas de rature avec le vernis à ongles. Bref, ses pieds sont charmants. Ma pulsion est tellement forte que je ne peux résister à la tentation de nicher ses orteils dans ma bouche.
-C’est bien la première fois qu’il m’arrive ce genre de chose. S’exclame-t-elle.
C'est l’instant que choisit ma pulsion sexuelle pour atteindre son summum d’excitation. Je me mets à lécher le pied, du talon jusqu'aux orteils, puis vice-versa. Et je peux vous assurer chers lecteurs, que je suis à mon aise dans cette discipline. Et cela même, pour un pied malodorant.
- Je reconnais que c’est très agréable.
Elle parle avec une voix douce.
-Je savais que cela aller-vous plaire. Fais-je. C’est pour cette raison que j’ai insisté.
-Et je ne le regrette pas de m’être fait ferrer.
Cela a pour but de m’encourager à poursuivre mon œuvre. Mon cœur s’emballe. Une brusque chaleur envahit mes joues. Les yeux qui me fixent au-dessus de moi, semblent me demander autre chose. L’atmosphère se charge très rapidement d’électricité. Je lèche, je suce encore et encore…
- Vous êtes vraiment très adroit avec votre langue.
Je dois m’éclaircir la voix avant de pouvoir lui répondre.
- C’est un honneur pour moi de donner du plaisir à une dame.
- Et vous comptez juste vous limiter à mes pieds ?
Je suis interloqué par ce que je viens d’entendre. Mais aussi très motivé à passer à autre chose. Je porte mon regard plus haut. À l’intersection de ses jambes. Là où la touffe noire du pubis de Claudie descend vers le renflement du sexe et forme comme un écrin à la longue fente rectiligne de chair tendre et rose qui palpiter sous mes yeux. C’est une vision si inouïe que je ne peux détacher le regard. Je reste coït, la cochonne ne porte même pas une culotte. Je halète. La sueur perle à mes tempes. Je finis par lui empoigner les jambes, les ouvrir encore, et j’avance ma tête pour l’enfouir entre ses cuisses. Elle me bloque, et lâche :
- En voilà des manières !
-Vous n’aimez pas ?
-C’est que…
-Vous trouvez ça sale !
-Oui, et à choisir je ne serais pas contre de me toucher devant vous.
-Je ne dis pas non, de pouvoir assister à cela, je dirais même que je crois rêver.
Elle écarte ses grandes lèvres de ses doigts, les dépliants délicatement. Puis elle se caresse avec lenteur, avec un soin minutieux et régulier. Le plat de son index se fixe une seconde sur le promontoire rouge du clitoris, puis descend, plonge dans les profondeurs humides des muqueuses, et remonte encore et caresse en tournant la crête de plus en plus enflammée qui se dresse à l’orée des poils. Son souffle s’accélère. Un long frisson gonfle son ventre. Cela dure quelques minutes, puis elle retire sa main.
-Vous êtes toujours d’accord ?
-Je vous dis que j’adore donner du plaisir !
Elle m’attrape alors par ma nuque. M’attirant vers elle, elle me chuchote.
- Nous sommes fous de faire cela…me fit-elle, tout en regardant avec envie ma bouche s’approcher de son sexe. Je titille de ma langue son petit bouton avant de le sucer avec force. Elle gémit. Son bouton entre mes lèvres, je lui fais un clin d’œil. Je perçois ses tremblements sous mes pincements. Je lui pétris les fesses. Me relevant peu à peu, je lèche son nombril, monte jusqu’à sa poitrine, puis je retourne auprès de son sexe. Elle geint de plus belle tout en tortillant du croupion. Déjà son bassin se balance d’avant en arrière, mimant le coït que son sexe réclame.
- C’est délicieux, me dit-elle, les yeux mouillés.
Après lui avoir donné trois orgasmes, il est temps pour moi d’arrêter.
- Vous avez envie de me la mettre ? Me lâche-t-elle.
- Ce sera pour une autre fois. Là je n’ai pas le temps, dis-je m’essuyant la bouche d’un revers de manche.
Elle me regarde sans comprendre, le corps agité de tremblements, les pommettes empourprées de désir.
- Vous avez mieux à faire ailleurs ?
-Exactement !
Je devine son désarroi. Elle oscille entre colère et tristesse. Et quand elle ouvre la bouche, je ne sais si elle va m’injurier ou me supplier.
- Vous pourrez remettre ça à demain ?
Pour toute réponse, je lui roule un dernier patin. J’ai l’impression qu’elle veut m’avaler tant elle aspire ma langue.
La personne dont il s’agit est Claudie, la responsable du service. Elle vient de sèchement réprimander Christine pour une faute tout à fait anodine, comme elle le fait un peu trop ces dernières semaines.
Micheline éclate de rire et s’adresse à moi.
-Tu as entendu ce que vient de dire Christine ?
-Oui, j’ai entendu !
-Je compte sur toi pour ne pas lui dire.
-Tu me prends pour qui ?
-Je ne sais pas encore, tu es nouveau dans le service.
-De toute façon elle ne m’adresse jamais la parole.
-Pourtant mon petit doigt, fait Micheline, que tu ne la laisses pas indifférente. Cela serait bien pour franchir la barrière.
Christine et Micheline se regardent et éclatent de rire en même temps. Depuis toujours elles croient fermement vu mon âge que je suis encore un puceau et que sa remarque est en réalité qu’une fanfaronnade.
-Fonce, mon beau ! Répond Christine, toujours en se foutant de ma pomme.
Au cours des jours suivants, je commence à m’intéresser de plus près à Claudie. La scrutant chaque fois qu’elle passe devant mes yeux. Elle doit avoir le même âge que Brigitte ma voisine et maîtresse. En plus classe !
Je pense sans me tromper que je suis sur le collimateur des deux collègues aussi. Avec lesquelles j’ai désormais de plus en plus des discussions coquines. Elles me prennent pour un jeunot rigolard, sortie de ma coquille. La blague devient mon fantasme et je me languis sur ça encore plus à chaque fois que la responsable passe. Je scrute ses fesses, ses jambes,, ses pieds dans ses escarpins. Je la trouve absolument irrésistible.
Et puis un jour je me lance. Je frappe à la porte de la directrice et attend quelques secondes, jusqu’à ce qu’une voix de femme venant de l’intérieur m’invite à entrer. Alors je pousse la porte et entre.
Je lui fais part du sujet.
-Vous pouvez disposer maintenant mon garçon, déclarez Claudie sur un air sérieux.
-Oui Madame, fis-je en me dirigeant vers la sortie.
-A plus tard Alain, répond Claudie d’un ton familier.
Je quitte le bureau, les étoiles dans les yeux. J’ai les yeux qui reluquent ses pieds sortant du bas de son bureau. La nuit suivante, ce fut un sujet pour moi pour ma branlette.
Je n’en peux plus. Ce fantasme m’étouffe et je me sens obliger de faire savoir à ma directrice que je me suis branlé en pensant à ses pieds. Je ne sais pas comment je le lui fais savoir, ni quand, et le lui dire n’est pas quelque chose simple à faire. Peut-être une situation embarrassante et risquée, ou même pire encore, mais comme toujours dans ses cas là, je m’en fiche, je veux qu’elle le sache, un point c’est tout !
Quand je vois la directrice discuter avec une collègue, je la scrute et la trouve plus séduisante que jamais dans ses escarpins vernis. Je veux lui parler, mais pour lui dire quoi ? Je ne me lasse pas de la regarder et elle s’appuie sur un bureau, ce qui la fait courber un peu, à la vue de son dos cambré et de ses fesses rebondies, je sens mon envie monter et ma queue gonflée.
Ne pouvant plus me retenir, je me décide à aller frapper à sa porte. Elle m’invite tout de suite à franchir la porte.
-Excusez-moi Madame, je peux vous parler deux secondes.
-Oui, je vous écoute !
-Heu, eh bien, enfin… rien…
-Je vous écoute, que voulez-vous bien me dire…
Je reste immobile tandis qu’elle signe des papiers. Mes jambes tremblent.
-Et bien si vous assistez je vais vous le dire : j’aime vos pieds.
Voilà c’est dit !
-Quoi ! Vous aimez quoi ? Balbutie-t-elle.
-Je sais je me sens con de vous avoir avoué cela.
La directrice est abasourdie mais réussit à m’inviter à sortir de son bureau.
Le lendemain, je suis convoqué à son bureau. Je suis abasourdie, je stresse et je pense que cela signifie simplement que je suis sur le point de changer de service. Je prends nerveusement le couloir jusqu’à son bureau. Je frappe à la porte et la voix féminine me demande de rentrer.
-Madame, je suis désolé pour hier, je suis… je ne sais pas ce qui m’a pris, fais-je d’une voix hésitante.
-Prenez place, répondit-elle avec une sorte de sourire vicieux sur le visage.
Je m’installe en face d’elle séparer par le bureau.
-J’ai pensé à ce que vous m’avez dit, Monsieur, fit Claudie, les yeux fixés sur moi, mais elle n’a pas l’air en colère.
-Je suis vraiment désolé, Madame, répondis-je.
-Désolé d’avoir dit ce que vous aimerez faire ? Dit Claudie, toute souriante en me faisant bander. Vous aimez faire cela ?
-Oui ! Répondis-je avec la bouche qui s’assèche de seconde en seconde.
-Vous le pensez alors ?
-Euh, oui, Madame !
-C’est bien la première fois que ce genre de chose m’arrive.
Je me demande qu’elles sont vraiment ses intentions. Je gagne en confiance et enchaîne :
-J’aime les pieds, surtout les vôtre.
Claudie halète, sa bouche s’entrouvre et elle répond un peu énerver :
-Je suis marié, le savez-vous ?
-Oui parfaitement ! C’est cela qui me plaît !
-Beau comme vous êtes, ce ne doit pas être un problème pour vous d’avoir des copines.
-Je préfère les femmes matures, comme vous. Fis-je en me laissant tomber à ses pieds.
Elle porte sa main à sa bouche en haletant.
-Ça ne va pas ! Quelqu’un pourrait entrer, continue-t-elle.
-Laissez-moi vous embrasser le pied, seulement embrasser. Je demande désormais confiant.
-Non… non, balbutie-t-elle en tirant son pied à elle, derrière le bureau.
Mais
dans l’action son pied se déchausse et son escarpin reste dans ma main. Tout de suite je le porte à la hauteur de mes narines.
-J’adore votre odeur !
-Dehors ! Allez dehors, et rendez-moi ma chaussure, voulez-vous !
Après l’avoir copieusement humé, bien bruyamment pour qu’elle l’entende bien, je lui tends.
-Je suis à votre service Madame !
Elle ne dit rien, je souris pour moi-même, fier de moi et sortis.
Pas plus tard que le lendemain après la réunion, elle m’invite oralement devant tout le monde, de passer à son bureau.
-J’ai besoin de vos services !
Elle me reçoit assise derrière son bureau. Les pieds dépassant de dessous son bureau. Avec une attirance maladive pour les pieds, mon regard se porte tout de suite dessus. Elle porte des talons hauts, et pour mon plus grand plaisir, elle a choisi comme par hasard, une paire où ses orteils sortent du bout ouvert.
Dans ma tête j'hésite, mais ma queue m’ordonne de passer à l’action. Et comme je suis du genre à écouter ma queue, je m’agenouille devant le bureau et caresse du doigt le cuir.
-C’est une fixation chez vous, Alain, les pieds !
-Vous ne vous rendez pas compte à quel point !
Je déchausse son pied droit et le caresse doucement. La réaction de Claudie est tout à fait normale. Elle est de nouveau étonnée au début puis commence à prendre goût petit à petit. A m’inviter à passer de l’autre côté du bureau.
A présent sous le bureau, je lui fais remarquer que ses pieds sont justes parfaits. Pas un seul pli, pas un orteil plus tordu que l'autre, pas de rature avec le vernis à ongles. Bref, ses pieds sont charmants. Ma pulsion est tellement forte que je ne peux résister à la tentation de nicher ses orteils dans ma bouche.
-C’est bien la première fois qu’il m’arrive ce genre de chose. S’exclame-t-elle.
C'est l’instant que choisit ma pulsion sexuelle pour atteindre son summum d’excitation. Je me mets à lécher le pied, du talon jusqu'aux orteils, puis vice-versa. Et je peux vous assurer chers lecteurs, que je suis à mon aise dans cette discipline. Et cela même, pour un pied malodorant.
- Je reconnais que c’est très agréable.
Elle parle avec une voix douce.
-Je savais que cela aller-vous plaire. Fais-je. C’est pour cette raison que j’ai insisté.
-Et je ne le regrette pas de m’être fait ferrer.
Cela a pour but de m’encourager à poursuivre mon œuvre. Mon cœur s’emballe. Une brusque chaleur envahit mes joues. Les yeux qui me fixent au-dessus de moi, semblent me demander autre chose. L’atmosphère se charge très rapidement d’électricité. Je lèche, je suce encore et encore…
- Vous êtes vraiment très adroit avec votre langue.
Je dois m’éclaircir la voix avant de pouvoir lui répondre.
- C’est un honneur pour moi de donner du plaisir à une dame.
- Et vous comptez juste vous limiter à mes pieds ?
Je suis interloqué par ce que je viens d’entendre. Mais aussi très motivé à passer à autre chose. Je porte mon regard plus haut. À l’intersection de ses jambes. Là où la touffe noire du pubis de Claudie descend vers le renflement du sexe et forme comme un écrin à la longue fente rectiligne de chair tendre et rose qui palpiter sous mes yeux. C’est une vision si inouïe que je ne peux détacher le regard. Je reste coït, la cochonne ne porte même pas une culotte. Je halète. La sueur perle à mes tempes. Je finis par lui empoigner les jambes, les ouvrir encore, et j’avance ma tête pour l’enfouir entre ses cuisses. Elle me bloque, et lâche :
- En voilà des manières !
-Vous n’aimez pas ?
-C’est que…
-Vous trouvez ça sale !
-Oui, et à choisir je ne serais pas contre de me toucher devant vous.
-Je ne dis pas non, de pouvoir assister à cela, je dirais même que je crois rêver.
Elle écarte ses grandes lèvres de ses doigts, les dépliants délicatement. Puis elle se caresse avec lenteur, avec un soin minutieux et régulier. Le plat de son index se fixe une seconde sur le promontoire rouge du clitoris, puis descend, plonge dans les profondeurs humides des muqueuses, et remonte encore et caresse en tournant la crête de plus en plus enflammée qui se dresse à l’orée des poils. Son souffle s’accélère. Un long frisson gonfle son ventre. Cela dure quelques minutes, puis elle retire sa main.
-Vous êtes toujours d’accord ?
-Je vous dis que j’adore donner du plaisir !
Elle m’attrape alors par ma nuque. M’attirant vers elle, elle me chuchote.
- Nous sommes fous de faire cela…me fit-elle, tout en regardant avec envie ma bouche s’approcher de son sexe. Je titille de ma langue son petit bouton avant de le sucer avec force. Elle gémit. Son bouton entre mes lèvres, je lui fais un clin d’œil. Je perçois ses tremblements sous mes pincements. Je lui pétris les fesses. Me relevant peu à peu, je lèche son nombril, monte jusqu’à sa poitrine, puis je retourne auprès de son sexe. Elle geint de plus belle tout en tortillant du croupion. Déjà son bassin se balance d’avant en arrière, mimant le coït que son sexe réclame.
- C’est délicieux, me dit-elle, les yeux mouillés.
Après lui avoir donné trois orgasmes, il est temps pour moi d’arrêter.
- Vous avez envie de me la mettre ? Me lâche-t-elle.
- Ce sera pour une autre fois. Là je n’ai pas le temps, dis-je m’essuyant la bouche d’un revers de manche.
Elle me regarde sans comprendre, le corps agité de tremblements, les pommettes empourprées de désir.
- Vous avez mieux à faire ailleurs ?
-Exactement !
Je devine son désarroi. Elle oscille entre colère et tristesse. Et quand elle ouvre la bouche, je ne sais si elle va m’injurier ou me supplier.
- Vous pourrez remettre ça à demain ?
Pour toute réponse, je lui roule un dernier patin. J’ai l’impression qu’elle veut m’avaler tant elle aspire ma langue.
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très belle histoire !