Petite soirée entre amis - histoire érotique

Entre amis Chrystèle l'était à plus d'un titre. C'étaient des amis et ils la prenaient. L'un la défonçait en levrette pendant que l'autre profitait des périodes plus calmes pour se faire sucer. Soyons honnête : elle n'y mettait pas beaucoup d'application, préférant se concentrer sur les grands coups de queue que lui assénait un grand black. De l'autre côté se tenait un charmant Asiatique qui devait mesurer et peser moitié moins lourd que son ami. Ils avaient entrepris Chrystèle dès son arrivée dans ce grand loft parisien. 300 m2 livrés au sexe ce soir là dans une soirée privée. Avec son mètre 80 - chaussure comprises -, son 95C, ses fesses rebondies, ses jambes interminables, Chrystèle provoquait toujours son petit effet. Sous l'oeil vigilant de son compagnon, Léopold, bien plus banal et qui savait qu'il risquait de faire tapisserie dès qu'ils se rendaient dans une soirée couples et hommes seuls où ces dames venaient chasser des proies bien plus sexy que son banal mètre 80 sur 70 kgs. Mais bon. Il fallait bien avouer qu'il prenait un pied fabuleux à voir sa belle se faire prendre.
En l'occurrence Baptiste, le beau black, était un peu le roi de la fête ce soir là et plusieurs femmes étaient à ses pieds quand Chrysèle et Léopold avaient fait leur arrivée. Ils avaient été attirés par le spectacle et s'étaient assis tout près, leurs coupes de champagne à la main, discutant d'abord avec un ex-amant de Chrystèle qui s'était curieusement - et au grand dépit de la belle - habillé en drag queen ce soir-là. Apparemment il goûtait différents plaisirs. Mais passons. Baptiste s'était levé. Nu. Grand. Musclé. 18 cms fièrement dressés par les soins de deux belles femmes qui en espéraient surement plus. Mais voilà il avait préféré se rapprocher de Chrystèle et avait démarré la discussion aussi naturellement que s'il était habillé.
"Vous êtes bien belle mademoiselle." Puis s'adressant à Léopold: "Vous permettez?" Sans attendre la réponse il s'était assis dans le canapé à côté de Chrystèle qui ne pouvait pas franchement se détacher de la vue de son sexe. Pas plus que notre ami drag queen d'un soir. Allez, soyons honnête, Léopold y jetait également des coups d'oeil ébahis. Il faut dire que la pièce était belle : triomphante, lourde, bien proportionnée, posée sur deux grosses couilles rasées. Le mâle dans toute sa superbe !
"Vous venez souvent ici? Nous ne nous sommes jamais vus je crois?" Baptiste était poli, affable, prévenant comme l'infirmier qu'il était. Absolument nu il se rapprochait peu à peu de Chrystèle, ses doigts couraient sur ses cuisses, il admirait ses seins. Et soudain il demande : "Montrez moi vos seins s'il vous plait." Typiquement le genre de propositions auxquelles elle répond positivement. Elle descend peu à peu sa robe rouge. Dévoile un de ses superbes seins. Puis l'autre. Baptiste est sous le charme. Son sexe semble encore grandir. "Je peux toucher", demande Chrystèle. "Faites", répond un Baptiste décidément très cérémonieux qui lui laissait les tétons. Elle prend son sexe en main, remonte, descend, soupèse ses testicules, s'agenouille devant lui, le prend en bouche. On dirait vraiment qu'elle déguste une glace, monte descend, lèche, il gémit, elle va lentement comme elle aime le faire, déguste, sait qu'il n'en sera que bien plus dur quand il la prendra. "Bougeons veux-tu. Nous sommes un peu trop nombreux ici", propose Baptiste en se levant et en l'emmenant. Elle rajuste sa robe, il prend ses vêtements épars. Ils partent bras dessus bras dessous comme de vieux amants et Léopold ne peut que les suivre. Ils montent à l'étage dans une pièce plus tranquille. Il retourne Chrystèle. La place devant lui. Dénude ses fesses. La doigte pour voir si elle est prête à le recevoir. Elle l'est. Elle est superbe. Les fesses offertes. Ses seins qu'il révèle. Ca y est il la prend. Un petit Asiatique fait son entrée. Il lui indique de profiter de sa bouche. Les coups de boutoir commencent. Elle semble comme ballottée. Ses seins semblent doués d'une vie propre. Léopold sait qu'elle profite de la position pour se toucher. Ca ne dure pas. Baptiste l'a relève pour qu'elle soit à quatre pattes. Il l'a baise. Ses seins sont encore plus en vue. Léopold se repait du spectacle.
La saillie aura duré longtemps. Baptiste l'aura prise, retournée, prise par devant, l'aura fait s'empaler sur lui. Encore un spectacle dont on ne peut se lasser que de voir cette femme mettre peu à peu ce splendide sexe en elle. Voir l'homme lui pétrir les seins, les rapprocher, titiller ses tétons. Plus tard il lui demandera d'éjaculer sur ses seins. Une quantité spectaculaire de sperme qu'elle goutera d'un air coquin pendant que Baptiste la remercie. "Je suis épuisée, partons." Léopold aimerait bien profiter aussi de la soirée. Elle lui demande juste un peu de répit. Il la ramène sur le canapé, va lui chercher une coupe. La retrouve en pleine discussion avec leur ami asiatique, vietnamien pour être précis qui, semble-t-il, aimerait bien également la prendre. Mais non, pour l'instant elle se repose. Suspense va-t-elle remettre ça ?

La réponse est oui. Minh est le premier à en profiter. Après une heure de repos Chrystèle a accepté qu'il l'a prenne. Et il s'applique. Et elle s'applique à sucer Léopold qui n'en pouvait plus d'attendre. C'est divin. Elle le suce comme une reine pendant que Minh s'applique à la baiser. Certes avec beaucoup moins de vigueur que Baptiste mais le spectacle est là. Et comme ils sont restés dans la pièce principale les spectateurs sont nombreux. Hommes et femmes certains lui touchent les seins. Une même s'enhardit à lui sucer puis s'empare du sexe de Léopold. Elle se place à côté de Chrystèle, en levrette comme elle. Léopold la prend à so tour. Les deux femmes montent leurs fesses et reçoivent l'assaut des deux hommes. L'"amie" du moment de Léopold n'a pas du tout le physique de Chrystèle. Elle est encore plus grande mais très mince, de tous petits seins, un sexe très accueillant, trempé, dans lequel il ne tarde pas à jouir - préservatif bien sûr - quelques secondes avant Minh.
"Ca t'a plu?
- Il m'a baisée comme jamais.
- Baptiste ?
- Pas Minh non. Mais c'était très agréable aussi.

- On remet ça samedi prochain?
- Bien sur!"