Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga
Je vais maintenant raconter le moment décisif du parcours de notre couple, qui nous a fait définitivement basculer, Philippe vers le candaulisme, moi accepter ma nature hypersexuelle.
Je continue donc le récit de ma métamorphose d'épouse sage à une femme dominée par le plaisir charnel. Je vais parler maintenant de ma rencontre avec Rachid, l'homme qui m'a prise, par la suite, devant mon mari, réalisant ainsi le vœu le plus cher de mon époux.
J’ai expliqué dans mon précédent texte que cette rencontre n’avait pas été le fruit du hasard, comme je l’ai cru au départ, mais la conséquence d’une suggestion de Georges, le concierge, à Philippe, qui avait fini par l’accepter, malgré la réputation de Rachid.
Mon adultère définitif et permanent a commencé, non dans une sortie mondaine, dans un dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, le concierge, complice de Rachid et de Philippe, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclaire et complète. J'ignorais à ce moment-là que, en désespoir de me convaincre de continuer ce que j'avais commencé à Rio, Philippe avait fait appel à ce fauve pour obtenir ma capitulation. Il me l'a avoué plus tard et, alors que j'aurais dû être furieuse d'être traitée ainsi, je n'en veux absolument pas à Philippe. Au contraire ! Sans cette initiative, je ne sais pas ce qui se serait passé. Soit je serai devenue folle à force de refuser ce que mon corps réclamait, soit j'aurai fini par prendre un amant "classique", pour un adultère mesquin, hors cadre candauliste. J'aurai sans doute divorcé et je n'aurai pas vécu tout ce que j'ai connu et que je ne regrette pas, oh que non!
C'était donc en juillet 2007, une des rares journées d'été de cette année-là. Je faisais des courses au supermarché du quartier. Comme il faisait assez chaud ce jour-là, j'avais mis une jupe courte, un mini string blanc, des bas noirs. Je portais un chemisier décolleté, pas de soutien-gorge, j’en porte rarement car j'aime que mes petits seins soient libres. Franchement, je ne m'étais pas rendue compte que ce chemisier était assez translucide et laissait voir mes seins sous le tissu. A force que Philippe me pousse à m’habiller ainsi, je ne me rendais plus compte combien j’étais provocatrice et indécente.
J'avais remarqué ce beau jeune homme, un jeune beur qui me suivait depuis quelques temps, et pour cause, car il faisait du « repérage » pour connaître mes habitudes et bien choisir le moment. Il portait un jeans serré et un tee-shirt. C'était un des jeunes de la cité voisine. Par la suite, il m'a expliqué qu'il m'avait remarquée d'autres fois quand je faisais mes courses à ce supermarché et qu'il avait parié avec ses amis que je serai à lui.
A un moment donné, nous étions seuls dans une allée. Il m'a fixé dans les yeux et il m'a dit :• Je suis certain que tu es une salope. Je m'appelle Rachid et je vais te baiser!
En même temps, il avait mis la main sur l'énorme bosse qui déformait son pantalon.
J'ai rougi, je ne lui ai rien dit alors que j'aurais dû faire un scandale, le gifler ou appeler un vigile pour me plaindre d’être ainsi importunée. Je me suis contentée de tourner les talons. Je n'avais plus rien connu depuis mon voyage au Brésil en mars et malgré l'attitude complice de mon mari, son insistance à me pousser à la débauche, j'étais bien décidée à ne plus recommencer. J'avais honte de ce que j'avais fait alors.
Je me suis donc empressée de payer mes quelques achats et de rentrer chez moi, sachant qu'une fois à la maison je regretterai de n'avoir pas dit oui à ce type et que j’aurais besoin de me calmer en me branlant le clito, en me doigtant, avant de me finir avec mon gode ou un vibro-masseur, et jouir comme une folle en pensant à lui et à son formidable engin.
Dans la rue, je me suis rendue compte qu'il me suivait. Malgré moi, je n'ai pas pressé le pas pour essayer de le semer. Pire, une fois arrivée à mon immeuble, je n'ai pas refermé la porte d'entrée et naturellement il s'est engouffré derrière moi.
J'avais commandé l'ascenseur, il est entré avec moi puis a stoppé l'ascenseur entre deux étages.
Il a commencé à poser les mains sur mes seins et à me caresser. Mes seins se dressaient, mes tétons étaient durs. Comment avait-il deviné que c’était un de mes points les plus sensibles ? J’ai compris après que Philippe l’avait soigneusement renseigné. Je tentais de protester :
• Mais Monsieur, que faites-vous? Vous êtes fou, laissez-moi! Je suis mariée, nous sommes dans mon immeuble. Je suis sérieuse et fidèle. Arrêtez, sinon je vais appeler, je vais crier pour appeler à l'aide!
• Oui, tu vas crier, mais de plaisir ! Arrête tes histoires ! Tu as envie, ça se voit. Ton mari, on va le faire cocu!
Il a continué et a commencé à ouvrir les boutons de mon chemisier, libérant mes seins qui se dressèrent immédiatement, malgré moi. Il a commencé à titiller, puis à me sucer les tétons. Je devenais folle de désir, je fermais les yeux, tentant de retenir mes gémissements.
• Oh non arrêtez, vous êtes fou ! On peut nous surprendre. Oh, oui, vas-y continue, j'adore ça !
• Je le savais. Tu m'as trop excité. Je te baiserai ici même, ma salope.
Il a enlevé ma jupe, a arraché mon mini string. Ses doigts ont commencé à fouiller mon intimité.
• Ta chatte est bien ouverte. Dis-donc tu mouilles abondamment. Une vraie chienne en chaleur !
D’une main, ses doigts pénétraient ma chatte et il branlait mon clito. L’autre main s’occupait de mes seins. Ma tête était renversée en arrière, j’étais dans un autre monde, c’était un rêve.
Rachid s’est accroupi et a commencé à me lécher longuement. Jamais on ne m’avait fait un cunni avec autant de science, y compris Philippe qui, dans ce domaine, savait jouer de mon corps, y compris mes amantes, même ma chérie Agun qui me manquait tant.
• Oh oui, Rachid, c’est divin. Bouffe-moi la moule. Oui aspire mon clito, bois ma cyprine ! Oh oui, vas-y, mets moi aussi un doigt dans le cul !
Rachid avait gagné. Je ne pensais absolument plus à mes bonnes résolutions, à l'endroit où j'étais, qu'on pouvait nous entendre, nous surprendre. Heureusement, on était en périodes de vacances. Je ne retenais plus mes gémissements.
Rachid s'est redressé, m'a prise dans ses bras, ses lèvres ont pris possession des miennes et nous avons échangé un baiser interminable, où sa langue possédait la mienne. Ses mains étaient sur mes fesses, je sentais contre moi son désir sauvage, sa verge en érection. J'avais trop envie de lui. Ce jeune mâle avait gagné : pourquoi résister plus longtemps à ma nature ?
• Tu sens comme j'ai envie de toi, ma salope. Tu me veux? Je te préviens : je suis ton mâle désormais. Je te prends sans capote et je me vide en toi. Dis-moi que tu as envie!
• Oui Rachid, je t'en prie, baise-moi, j'en meurs d'envie!
• Oui j’ai vu que tu es trempée et bien ouverte. Mets-toi à genoux ! Tu vas me tailler une pipe d'abord. Je suis certain que tu es une bonne pipeuse !
Je lui ai obéi et j'ai mis toute mon âme à le sucer, toute ma science de la fellation, moi qui, plusieurs fois par jour, pratiquais sur la queue de Philippe, c’était devenu un rituel entre nous. La verge de Rachid n’était pas du tout du même calibre que celle de mon époux. Ma bouche était déformée, je m'étouffais, mais je ne lâchais pas prise. Mes lèvres étaient serrées autour de la hampe, ma langue torturait agréablement son gland. Il était incroyablement résistant car peu d’hommes auraient résisté longtemps résisté à un tel traitement.
• Tu es une reine de la fellation, Olga. Tu es divine. Mais je n’ai pas l'intention pour le moment de me vider dans ta bouche. J’ai envie d’autre chose et toi aussi
J'avais une envie folle qu'il me prenne. Jamais, même dans mes fantasmes les plus hard, je n'avais pensé à un tel scénario.
Il a fini par me faire relever et m'a dit de me pencher. Il m'a prise en levrette, ma position préférée. Malgré la taille de son engin, j'étais tellement excitée que c'est entré sans problème. Il a commencé le coït :• Tu me sens bien?
• Oh oui chéri. Jamais je n'ai été baisée comme ça. Vas y, plus fort, plus profond !
• Oui après je t'enculerai dans le lit conjugal, comme ça tu penseras à moi quand tu seras avec lui ce soir. Et un jour je te baiserai devant le cocu. Tu veux?
• Oh oui, je veux et lui, il adorera ça. Oh ! Rachid encore! N’arrête pas s’il te plait, c’est trop bon !
Il m'a besogné un long moment. Je n'avais plus aucune retenue. Mes cris devaient s'entendre dans tout l'immeuble. J’ignorais alors que, comme convenu entre eux, Georges le concierge n’en perdait pas une miette. Il se trouvait dans le couloir à notre étage, Rachid ayant arrêté l’ascenseur juste en-dessous et Georges ayant pris soin de mettre aux autres étages un panneau « ascenseur en panne ». Rachid avait prévenu Philippe et Georges que c’était le grand jour et qu’il me suivrait depuis le supermarché. Par sms, Philippe était informé par Georges de la progression des choses, puis Georges l’appela et mis le haut-parleur pour qu’il puisse tout entendre. Rachid en rajoutait pour que ce soit explicite• Je m’appelle Rachid A et je suis en train de niquer la belle Olga T, la femme de Monsieur T, dans l’ascenseur de son immeuble, comme une pute. Allez Olga, dis que tu aimes ça, que je te bourre ?
• Oui Rachid, moi Olga T, je suis en train de me prendre en levrette la belle queue de Rachid et j’adore ça !
• Ca te plait, salope, de faire cocu ton mari ? Dis-le !
• Oh oui que ça me plait de cocufier mon mari Philippe T. Depuis le temps qu’il me le demande, il faudra le faire en sa présence, qu’il en profite. Oh putain, que c’est bon Rachid, mon amour, je suis à toi, je t’aime !!!!!!!!!
J’ignorais totalement que Philippe entendait tout. Il découvrait en direct qu’il avait ouvert la boite de Pandore et que ça allait bien plus loin qu’il ne l’avait imaginé. Il avait tellement voulu cela, couru un risque majeur et il se trouvait que je tombais amoureuse du type auquel il m’avait offerte.
Je pense que ça a au moins duré 10 minutes avant que je ne jouisse sous ses coups de boutoir et qu'il ne se vide en moi par de longs et puissants jets. J'ai cru m'évanouir.
Quand j'ai repris mes esprits, Rachid m'a embrassé, m'a redonné ma jupe, mon chemiser avec lequel il s'était essuyé la verge et m'a dit :• On n'a pas fini. On va chez toi. Désormais je veux te baiser chaque fois que j'ai envie, si possible tous les jours!
Il a remis l'ascenseur en route. J'ai cru mourir de honte car Georges le concierge était à mon étage. Je me suis dit qu’il avait remarqué que l'ascenseur était bloqué, qu’il avait surtout entendu les cris mais ne pouvait pas s'imaginer que moi, Olga T, d'habitude si réservée, si hautaine, je m’étais ainsi faite baiser ainsi, sans retenue, dans l’ascenseur de mon immeuble.
Rachid n'a rien fait pour être discret. De toute façon, je ne pouvais nier: cheveux en bataille, yeux cernés, chemisier taché et mal boutonné, le sperme qui coulait sur mes jambes. Et en plus Rachid qui posait ostensiblement les mains sur mes fesses, en signe de victoire et de propriété.
Le concierge a fait un clin d'œil à Rachid et nous a dit :• Bonne journée, Madame T !
Quand nous sommes entrés dans l'appartement, j'ai dit à Rachid :• Tu es fou. Il va tout raconter.
• Et alors? Je suis fier de moi, de ma conquête. Tu es à moi désormais. Tu diras tout à ton mari de toute façon, c’est bien ce qui est convenu entre vous, non ?
Sur ce, Rachid a arraché mes vêtements et m'a entraînée vers la chambre. C’était la première fois que je trompais Philippe sur le lit conjugal puisque mes précédents adultères s’étaient déroulés dans un hôtel (avec Pierre, pour notre nuit de noces), dans le parking, avec Georges et, à nouveau dans un hôtel, récemment à Rio.
C’était une étape décisive qui était franchie. Plus question désormais d’épouse sage. Philippe l’avait voulu, il devait assumer. C’est dans cet appartement, dans ce lit, que, chaque jour, je serai possédée par un homme que je ne connaissais pas le matin même et dont j’étais devenue follement amoureuse.
J’étais insatiable, il était endurant. Il m'a encore fait l'amour pendant des heures et m'a en particulier enculée et m'a fait avaler sa semence. A l'issue de cette journée, ma vie était définitivement changée. J’ai compris que je ne pouvais plus ni me priver de plaisir, ni me passer de Rachid.
Rachid m'avait besogné dans le lit conjugal toute l'après-midi. Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid, j'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les séquelles de mes ébats.
Philippe a commencé par recueillir dans ma chatte et sur mon corps le sperme de mon amant. Je lui tenais la tête, le traitant de cocu, de petit pédé. Je rêvais, non seulement du moment où Rachid me prendrait devant Philippe mais aussi du moment où mon amant enculerait mon époux en ma présence. Je savais, pour sodomiser Philippe régulièrement avec mon gode-ceinture, qu’il était un bisexuel refoulé, qui rêvait de se faire prendre et de sucer à fond une belle queue, surtout si elle avait auparavant fait jouir sa chérie. Quant à Rachid, je ne doutais pas que ce vicieux aurait plaisir à casser le cul du cocu, après avoir baisé son épouse. Cela se fera, j’en parlerai ultérieurement.
J'ai donc tout raconté à Philippe et je dois dire que ce soir-là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Certes comparée à la queue de celui qui était désormais mon mâle, le sexe de mon cocu était ridicule. Il avait du plaisir, non de me baiser, encore que sa queue baignait dans ma chatte pleine des œuvres de mon amant, mais de ce que je lui racontais, en omettant aucun détail.
Je me suis efforcée d'aller au fond des choses avec Philippe. J'ai donc relancé la discussion et j'ai été directe, alors qu'il était dans mes bras:• Chéri, j'ai découvert au cours de ces derniers mois un plaisir que je n'imaginais pas et dont je ne veux plus me passer. Mais que vas-tu faire? Je ne veux pas te perdre car je t'aime toujours et je dirai même plus que jamais. Tout cela, c’est grâce à toi.
• Mon Olga, je t'aime plus fort que jamais, comme un fou. Je t'encourageais depuis des années à avoir des amants. Bien sûr ça m'excite énormément de t'imaginer, et, je l’espère, de te voir jouir sans retenue sous les assauts d'un homme. Mais avant tout, je t'aime et je te donne la plus grande des preuves d'amour. Tu ne me trompes pas, non seulement parce que je t'ai toujours dit que tu étais libre, que je suis d'accord et que je t'encourage. Je suis heureux que tu aies enfin le plaisir que tu mérites. Je veux que tu sois heureuse.
• Tu te rends bien compte de la situation ? Je suis amoureuse de Rachid, je suis folle de lui, je suis désormais à lui. Il sera non seulement mon amant régulier mais il viendra ici et me fera l'amour à chaque fois qu'il le pourra et en aura envie. Il a exigé que je lui réserve ma chatte. Il me prendra sans préservatif. Pour le moment, je prends la pilule mais je lui ferais un enfant quand il le souhaitera. Toi, tu ne te videras plus en moi ou tu mets une capote. Et enfin, il fera de moi ce qu’il veut. Il m’a dit qu’il m’offrirait à d’autres. Tu acceptes tout cela ? Tu n'es pas jaloux ? Tu acceptes que je sois amoureuse d’un autre ? Que je sois sa femelle, sa putain ?
• J'accepte tout. Je n'ai qu'un souhait, celui de rester près de toi si tu m'acceptes.
• Evidemment, car si Rachid est désormais mon homme, toi tu restes mon Philippe, mon mari, l’homme de ma vie.
• Olga, mon amour, je pourrai assister quand il te baise ? Tu sais que j’en ai tant envie.
• Je te donnerai à mon tour cette preuve d’amour, mon chéri. Rachid a dit qu’il était d’accord, mais que ce serait quand il l’aura décidé.
• Merci mon amour. Je t’aime tant.
• Philippe, ce soir, je suis à toi, je vais commencer par te vider les couilles grâce à une bonne pipe, car tu dois en avoir besoin, mon petit cochon. Et j’ai toujours envie de te boireEnsuite tu fisteras ma chatte qui est bien lubrifiée avec tout ce qu’il m’a envoyé et, pour finir, car je suis insatiable, j’ai envie de deux choses que j’adore.
• Quoi ma chérie ?
• D’abord t’enculer, te casser le cul, car je veux te préparer pour un jour te livrer à Rachid qui fera de toi une femelle, mon pédé chéri.
• Tu connais bien mes fantasmes, ma chérie !
• Et enfin tu puniras comme il se doit ta putain adorée, et comme il faut car j’ai besoin de ça pour me calmer, après cette journée exceptionnelle.
Après deux heures de nos pratiques les plus hard, nous avons fini par la séance SM que j’avais réclamée. Philippe avait exhaussé mes vœux, ses coups de cravaches furent à la hauteur de ce que je réclamais, au point que le lendemain, Rachid, me déshabillant et voyant les traces sur mon dos, me dit « vous êtes encore plus vicieux que je ne le pensais On va bien s’amuser tous les trois ! »Cette nuit-là, Philippe et moi nous nous sommes endormis nus, dans les bras l’un de l’autre, épuisés, heureux de cette journée inoubliable, toujours aussi amoureux. Notre vie était définitivement changée. J’assumais désormais pleinement mon hypersexualité et, chose que je ne m’imaginais pas, mon amour pour deux hommes. Philippe, à force de patience et, il faut le dire, d’intrigues, était parvenu à ses fins et pouvait espérer que bientôt son vieux fantasme candauliste serait pleinement réalisé.
Il ne serait en effet pas déçu.
(A suivre : Rachid baise Olga devant Philippe)
Je continue donc le récit de ma métamorphose d'épouse sage à une femme dominée par le plaisir charnel. Je vais parler maintenant de ma rencontre avec Rachid, l'homme qui m'a prise, par la suite, devant mon mari, réalisant ainsi le vœu le plus cher de mon époux.
J’ai expliqué dans mon précédent texte que cette rencontre n’avait pas été le fruit du hasard, comme je l’ai cru au départ, mais la conséquence d’une suggestion de Georges, le concierge, à Philippe, qui avait fini par l’accepter, malgré la réputation de Rachid.
Mon adultère définitif et permanent a commencé, non dans une sortie mondaine, dans un dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, le concierge, complice de Rachid et de Philippe, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclaire et complète. J'ignorais à ce moment-là que, en désespoir de me convaincre de continuer ce que j'avais commencé à Rio, Philippe avait fait appel à ce fauve pour obtenir ma capitulation. Il me l'a avoué plus tard et, alors que j'aurais dû être furieuse d'être traitée ainsi, je n'en veux absolument pas à Philippe. Au contraire ! Sans cette initiative, je ne sais pas ce qui se serait passé. Soit je serai devenue folle à force de refuser ce que mon corps réclamait, soit j'aurai fini par prendre un amant "classique", pour un adultère mesquin, hors cadre candauliste. J'aurai sans doute divorcé et je n'aurai pas vécu tout ce que j'ai connu et que je ne regrette pas, oh que non!
C'était donc en juillet 2007, une des rares journées d'été de cette année-là. Je faisais des courses au supermarché du quartier. Comme il faisait assez chaud ce jour-là, j'avais mis une jupe courte, un mini string blanc, des bas noirs. Je portais un chemisier décolleté, pas de soutien-gorge, j’en porte rarement car j'aime que mes petits seins soient libres. Franchement, je ne m'étais pas rendue compte que ce chemisier était assez translucide et laissait voir mes seins sous le tissu. A force que Philippe me pousse à m’habiller ainsi, je ne me rendais plus compte combien j’étais provocatrice et indécente.
J'avais remarqué ce beau jeune homme, un jeune beur qui me suivait depuis quelques temps, et pour cause, car il faisait du « repérage » pour connaître mes habitudes et bien choisir le moment. Il portait un jeans serré et un tee-shirt. C'était un des jeunes de la cité voisine. Par la suite, il m'a expliqué qu'il m'avait remarquée d'autres fois quand je faisais mes courses à ce supermarché et qu'il avait parié avec ses amis que je serai à lui.
A un moment donné, nous étions seuls dans une allée. Il m'a fixé dans les yeux et il m'a dit :• Je suis certain que tu es une salope. Je m'appelle Rachid et je vais te baiser!
En même temps, il avait mis la main sur l'énorme bosse qui déformait son pantalon.
J'ai rougi, je ne lui ai rien dit alors que j'aurais dû faire un scandale, le gifler ou appeler un vigile pour me plaindre d’être ainsi importunée. Je me suis contentée de tourner les talons. Je n'avais plus rien connu depuis mon voyage au Brésil en mars et malgré l'attitude complice de mon mari, son insistance à me pousser à la débauche, j'étais bien décidée à ne plus recommencer. J'avais honte de ce que j'avais fait alors.
Je me suis donc empressée de payer mes quelques achats et de rentrer chez moi, sachant qu'une fois à la maison je regretterai de n'avoir pas dit oui à ce type et que j’aurais besoin de me calmer en me branlant le clito, en me doigtant, avant de me finir avec mon gode ou un vibro-masseur, et jouir comme une folle en pensant à lui et à son formidable engin.
Dans la rue, je me suis rendue compte qu'il me suivait. Malgré moi, je n'ai pas pressé le pas pour essayer de le semer. Pire, une fois arrivée à mon immeuble, je n'ai pas refermé la porte d'entrée et naturellement il s'est engouffré derrière moi.
J'avais commandé l'ascenseur, il est entré avec moi puis a stoppé l'ascenseur entre deux étages.
Il a commencé à poser les mains sur mes seins et à me caresser. Mes seins se dressaient, mes tétons étaient durs. Comment avait-il deviné que c’était un de mes points les plus sensibles ? J’ai compris après que Philippe l’avait soigneusement renseigné. Je tentais de protester :
• Mais Monsieur, que faites-vous? Vous êtes fou, laissez-moi! Je suis mariée, nous sommes dans mon immeuble. Je suis sérieuse et fidèle. Arrêtez, sinon je vais appeler, je vais crier pour appeler à l'aide!
• Oui, tu vas crier, mais de plaisir ! Arrête tes histoires ! Tu as envie, ça se voit. Ton mari, on va le faire cocu!
Il a continué et a commencé à ouvrir les boutons de mon chemisier, libérant mes seins qui se dressèrent immédiatement, malgré moi. Il a commencé à titiller, puis à me sucer les tétons. Je devenais folle de désir, je fermais les yeux, tentant de retenir mes gémissements.
• Oh non arrêtez, vous êtes fou ! On peut nous surprendre. Oh, oui, vas-y continue, j'adore ça !
• Je le savais. Tu m'as trop excité. Je te baiserai ici même, ma salope.
Il a enlevé ma jupe, a arraché mon mini string. Ses doigts ont commencé à fouiller mon intimité.
• Ta chatte est bien ouverte. Dis-donc tu mouilles abondamment. Une vraie chienne en chaleur !
D’une main, ses doigts pénétraient ma chatte et il branlait mon clito. L’autre main s’occupait de mes seins. Ma tête était renversée en arrière, j’étais dans un autre monde, c’était un rêve.
Rachid s’est accroupi et a commencé à me lécher longuement. Jamais on ne m’avait fait un cunni avec autant de science, y compris Philippe qui, dans ce domaine, savait jouer de mon corps, y compris mes amantes, même ma chérie Agun qui me manquait tant.
• Oh oui, Rachid, c’est divin. Bouffe-moi la moule. Oui aspire mon clito, bois ma cyprine ! Oh oui, vas-y, mets moi aussi un doigt dans le cul !
Rachid avait gagné. Je ne pensais absolument plus à mes bonnes résolutions, à l'endroit où j'étais, qu'on pouvait nous entendre, nous surprendre. Heureusement, on était en périodes de vacances. Je ne retenais plus mes gémissements.
Rachid s'est redressé, m'a prise dans ses bras, ses lèvres ont pris possession des miennes et nous avons échangé un baiser interminable, où sa langue possédait la mienne. Ses mains étaient sur mes fesses, je sentais contre moi son désir sauvage, sa verge en érection. J'avais trop envie de lui. Ce jeune mâle avait gagné : pourquoi résister plus longtemps à ma nature ?
• Tu sens comme j'ai envie de toi, ma salope. Tu me veux? Je te préviens : je suis ton mâle désormais. Je te prends sans capote et je me vide en toi. Dis-moi que tu as envie!
• Oui Rachid, je t'en prie, baise-moi, j'en meurs d'envie!
• Oui j’ai vu que tu es trempée et bien ouverte. Mets-toi à genoux ! Tu vas me tailler une pipe d'abord. Je suis certain que tu es une bonne pipeuse !
Je lui ai obéi et j'ai mis toute mon âme à le sucer, toute ma science de la fellation, moi qui, plusieurs fois par jour, pratiquais sur la queue de Philippe, c’était devenu un rituel entre nous. La verge de Rachid n’était pas du tout du même calibre que celle de mon époux. Ma bouche était déformée, je m'étouffais, mais je ne lâchais pas prise. Mes lèvres étaient serrées autour de la hampe, ma langue torturait agréablement son gland. Il était incroyablement résistant car peu d’hommes auraient résisté longtemps résisté à un tel traitement.
• Tu es une reine de la fellation, Olga. Tu es divine. Mais je n’ai pas l'intention pour le moment de me vider dans ta bouche. J’ai envie d’autre chose et toi aussi
J'avais une envie folle qu'il me prenne. Jamais, même dans mes fantasmes les plus hard, je n'avais pensé à un tel scénario.
Il a fini par me faire relever et m'a dit de me pencher. Il m'a prise en levrette, ma position préférée. Malgré la taille de son engin, j'étais tellement excitée que c'est entré sans problème. Il a commencé le coït :• Tu me sens bien?
• Oh oui chéri. Jamais je n'ai été baisée comme ça. Vas y, plus fort, plus profond !
• Oui après je t'enculerai dans le lit conjugal, comme ça tu penseras à moi quand tu seras avec lui ce soir. Et un jour je te baiserai devant le cocu. Tu veux?
• Oh oui, je veux et lui, il adorera ça. Oh ! Rachid encore! N’arrête pas s’il te plait, c’est trop bon !
Il m'a besogné un long moment. Je n'avais plus aucune retenue. Mes cris devaient s'entendre dans tout l'immeuble. J’ignorais alors que, comme convenu entre eux, Georges le concierge n’en perdait pas une miette. Il se trouvait dans le couloir à notre étage, Rachid ayant arrêté l’ascenseur juste en-dessous et Georges ayant pris soin de mettre aux autres étages un panneau « ascenseur en panne ». Rachid avait prévenu Philippe et Georges que c’était le grand jour et qu’il me suivrait depuis le supermarché. Par sms, Philippe était informé par Georges de la progression des choses, puis Georges l’appela et mis le haut-parleur pour qu’il puisse tout entendre. Rachid en rajoutait pour que ce soit explicite• Je m’appelle Rachid A et je suis en train de niquer la belle Olga T, la femme de Monsieur T, dans l’ascenseur de son immeuble, comme une pute. Allez Olga, dis que tu aimes ça, que je te bourre ?
• Oui Rachid, moi Olga T, je suis en train de me prendre en levrette la belle queue de Rachid et j’adore ça !
• Ca te plait, salope, de faire cocu ton mari ? Dis-le !
• Oh oui que ça me plait de cocufier mon mari Philippe T. Depuis le temps qu’il me le demande, il faudra le faire en sa présence, qu’il en profite. Oh putain, que c’est bon Rachid, mon amour, je suis à toi, je t’aime !!!!!!!!!
J’ignorais totalement que Philippe entendait tout. Il découvrait en direct qu’il avait ouvert la boite de Pandore et que ça allait bien plus loin qu’il ne l’avait imaginé. Il avait tellement voulu cela, couru un risque majeur et il se trouvait que je tombais amoureuse du type auquel il m’avait offerte.
Je pense que ça a au moins duré 10 minutes avant que je ne jouisse sous ses coups de boutoir et qu'il ne se vide en moi par de longs et puissants jets. J'ai cru m'évanouir.
Quand j'ai repris mes esprits, Rachid m'a embrassé, m'a redonné ma jupe, mon chemiser avec lequel il s'était essuyé la verge et m'a dit :• On n'a pas fini. On va chez toi. Désormais je veux te baiser chaque fois que j'ai envie, si possible tous les jours!
Il a remis l'ascenseur en route. J'ai cru mourir de honte car Georges le concierge était à mon étage. Je me suis dit qu’il avait remarqué que l'ascenseur était bloqué, qu’il avait surtout entendu les cris mais ne pouvait pas s'imaginer que moi, Olga T, d'habitude si réservée, si hautaine, je m’étais ainsi faite baiser ainsi, sans retenue, dans l’ascenseur de mon immeuble.
Rachid n'a rien fait pour être discret. De toute façon, je ne pouvais nier: cheveux en bataille, yeux cernés, chemisier taché et mal boutonné, le sperme qui coulait sur mes jambes. Et en plus Rachid qui posait ostensiblement les mains sur mes fesses, en signe de victoire et de propriété.
Le concierge a fait un clin d'œil à Rachid et nous a dit :• Bonne journée, Madame T !
Quand nous sommes entrés dans l'appartement, j'ai dit à Rachid :• Tu es fou. Il va tout raconter.
• Et alors? Je suis fier de moi, de ma conquête. Tu es à moi désormais. Tu diras tout à ton mari de toute façon, c’est bien ce qui est convenu entre vous, non ?
Sur ce, Rachid a arraché mes vêtements et m'a entraînée vers la chambre. C’était la première fois que je trompais Philippe sur le lit conjugal puisque mes précédents adultères s’étaient déroulés dans un hôtel (avec Pierre, pour notre nuit de noces), dans le parking, avec Georges et, à nouveau dans un hôtel, récemment à Rio.
C’était une étape décisive qui était franchie. Plus question désormais d’épouse sage. Philippe l’avait voulu, il devait assumer. C’est dans cet appartement, dans ce lit, que, chaque jour, je serai possédée par un homme que je ne connaissais pas le matin même et dont j’étais devenue follement amoureuse.
J’étais insatiable, il était endurant. Il m'a encore fait l'amour pendant des heures et m'a en particulier enculée et m'a fait avaler sa semence. A l'issue de cette journée, ma vie était définitivement changée. J’ai compris que je ne pouvais plus ni me priver de plaisir, ni me passer de Rachid.
Rachid m'avait besogné dans le lit conjugal toute l'après-midi. Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid, j'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les séquelles de mes ébats.
Philippe a commencé par recueillir dans ma chatte et sur mon corps le sperme de mon amant. Je lui tenais la tête, le traitant de cocu, de petit pédé. Je rêvais, non seulement du moment où Rachid me prendrait devant Philippe mais aussi du moment où mon amant enculerait mon époux en ma présence. Je savais, pour sodomiser Philippe régulièrement avec mon gode-ceinture, qu’il était un bisexuel refoulé, qui rêvait de se faire prendre et de sucer à fond une belle queue, surtout si elle avait auparavant fait jouir sa chérie. Quant à Rachid, je ne doutais pas que ce vicieux aurait plaisir à casser le cul du cocu, après avoir baisé son épouse. Cela se fera, j’en parlerai ultérieurement.
J'ai donc tout raconté à Philippe et je dois dire que ce soir-là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Certes comparée à la queue de celui qui était désormais mon mâle, le sexe de mon cocu était ridicule. Il avait du plaisir, non de me baiser, encore que sa queue baignait dans ma chatte pleine des œuvres de mon amant, mais de ce que je lui racontais, en omettant aucun détail.
Je me suis efforcée d'aller au fond des choses avec Philippe. J'ai donc relancé la discussion et j'ai été directe, alors qu'il était dans mes bras:• Chéri, j'ai découvert au cours de ces derniers mois un plaisir que je n'imaginais pas et dont je ne veux plus me passer. Mais que vas-tu faire? Je ne veux pas te perdre car je t'aime toujours et je dirai même plus que jamais. Tout cela, c’est grâce à toi.
• Mon Olga, je t'aime plus fort que jamais, comme un fou. Je t'encourageais depuis des années à avoir des amants. Bien sûr ça m'excite énormément de t'imaginer, et, je l’espère, de te voir jouir sans retenue sous les assauts d'un homme. Mais avant tout, je t'aime et je te donne la plus grande des preuves d'amour. Tu ne me trompes pas, non seulement parce que je t'ai toujours dit que tu étais libre, que je suis d'accord et que je t'encourage. Je suis heureux que tu aies enfin le plaisir que tu mérites. Je veux que tu sois heureuse.
• Tu te rends bien compte de la situation ? Je suis amoureuse de Rachid, je suis folle de lui, je suis désormais à lui. Il sera non seulement mon amant régulier mais il viendra ici et me fera l'amour à chaque fois qu'il le pourra et en aura envie. Il a exigé que je lui réserve ma chatte. Il me prendra sans préservatif. Pour le moment, je prends la pilule mais je lui ferais un enfant quand il le souhaitera. Toi, tu ne te videras plus en moi ou tu mets une capote. Et enfin, il fera de moi ce qu’il veut. Il m’a dit qu’il m’offrirait à d’autres. Tu acceptes tout cela ? Tu n'es pas jaloux ? Tu acceptes que je sois amoureuse d’un autre ? Que je sois sa femelle, sa putain ?
• J'accepte tout. Je n'ai qu'un souhait, celui de rester près de toi si tu m'acceptes.
• Evidemment, car si Rachid est désormais mon homme, toi tu restes mon Philippe, mon mari, l’homme de ma vie.
• Olga, mon amour, je pourrai assister quand il te baise ? Tu sais que j’en ai tant envie.
• Je te donnerai à mon tour cette preuve d’amour, mon chéri. Rachid a dit qu’il était d’accord, mais que ce serait quand il l’aura décidé.
• Merci mon amour. Je t’aime tant.
• Philippe, ce soir, je suis à toi, je vais commencer par te vider les couilles grâce à une bonne pipe, car tu dois en avoir besoin, mon petit cochon. Et j’ai toujours envie de te boireEnsuite tu fisteras ma chatte qui est bien lubrifiée avec tout ce qu’il m’a envoyé et, pour finir, car je suis insatiable, j’ai envie de deux choses que j’adore.
• Quoi ma chérie ?
• D’abord t’enculer, te casser le cul, car je veux te préparer pour un jour te livrer à Rachid qui fera de toi une femelle, mon pédé chéri.
• Tu connais bien mes fantasmes, ma chérie !
• Et enfin tu puniras comme il se doit ta putain adorée, et comme il faut car j’ai besoin de ça pour me calmer, après cette journée exceptionnelle.
Après deux heures de nos pratiques les plus hard, nous avons fini par la séance SM que j’avais réclamée. Philippe avait exhaussé mes vœux, ses coups de cravaches furent à la hauteur de ce que je réclamais, au point que le lendemain, Rachid, me déshabillant et voyant les traces sur mon dos, me dit « vous êtes encore plus vicieux que je ne le pensais On va bien s’amuser tous les trois ! »Cette nuit-là, Philippe et moi nous nous sommes endormis nus, dans les bras l’un de l’autre, épuisés, heureux de cette journée inoubliable, toujours aussi amoureux. Notre vie était définitivement changée. J’assumais désormais pleinement mon hypersexualité et, chose que je ne m’imaginais pas, mon amour pour deux hommes. Philippe, à force de patience et, il faut le dire, d’intrigues, était parvenu à ses fins et pouvait espérer que bientôt son vieux fantasme candauliste serait pleinement réalisé.
Il ne serait en effet pas déçu.
(A suivre : Rachid baise Olga devant Philippe)
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14 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@John62, oui une vraie rupture. je l'ai suivi loin, très loin, trop loin sans doute. Mais il me faisait tant jouir. Il m'a révélé ma vraie nature.
''Rachid baise-moi, j'en ai envie''
Effectivement un moment decisif de ton histoire, un virage à 180° qui satisfait tout le monde
@Olga, son mari, son amant et
Maître
Impatient de découvrir qui est Ranchid, un queutard, un vicelard, un sadique et jusqu'ou Olga le suivra.
Effectivement un moment decisif de ton histoire, un virage à 180° qui satisfait tout le monde
@Olga, son mari, son amant et
Maître
Impatient de découvrir qui est Ranchid, un queutard, un vicelard, un sadique et jusqu'ou Olga le suivra.
@ Lucie, tu as raison. Rachid était à la fois performant et inquiétant, il l'a prouvé ensuite. Ce qui s'est passé ce jour-là fut un tsunami. Les barrages que j'avais tenté de mettre en place depuis plusieurs années et qui s'étaient fissurés (cf ce qui s'était passé lors de notre mariage ou encore à Rio) ont été emportés. Dès lors, ni moi, ni Philippe ne contrôlions plus rien. Nous étions entrés dans une phase extrême, que les spécialistes du genre appellent du cuckold. C'est allé très loin et cela a failli nous détruire.
si Rachid est un amant performant comme on aime, son approche restera inquiétante à mes yeux...tu dis non avant de céder mais je reste persuadée que si tu avais encore dit non ça ne l'aurait pas arrêté
l'état mental dans lequel tu finis cette journée montre comme cette abstinence t'avais brisée. son foutre t'a fait devenir sexaddict instantanément...amoureuse...prête à lui donner ta fécondité...insultante envers Philippe
Lucie
l'état mental dans lequel tu finis cette journée montre comme cette abstinence t'avais brisée. son foutre t'a fait devenir sexaddict instantanément...amoureuse...prête à lui donner ta fécondité...insultante envers Philippe
Lucie
@ Leo, tu as parfaitement compris. Oui, Philippe a fait en sorte que se réalise ce qu'il voulait depuis des années. Sauf qu'en ayant recours à Rachid, c'était un peu comme faire exploser une grenade dans un dépôt de poudre.
J'ajoute que j'accepte le terme de "salope", dès lors qu'il n'a pas une connotation morale. Et c'est bien ce que je suis, je l'assume.
J'ajoute que j'accepte le terme de "salope", dès lors qu'il n'a pas une connotation morale. Et c'est bien ce que je suis, je l'assume.
C'est le moment décisif de ton parcours, un peu comme un second dépucelage, même si tu t'en étais donné à coeur joie avant ta rencontre avec Philippe.
Désormais tu renonces à tes illusions de vouloir te "ranger", de vivre une vue de famille "normale".
Il te fallait un mari candauliste pour assumer pleinement ce que tu es: une salope!
Le problème est que, pour y parvenir, Philippe a fait appel à un sacré numéro, un prédateur en effet, qui ne connaissait aucune limite.
Leo
Désormais tu renonces à tes illusions de vouloir te "ranger", de vivre une vue de famille "normale".
Il te fallait un mari candauliste pour assumer pleinement ce que tu es: une salope!
Le problème est que, pour y parvenir, Philippe a fait appel à un sacré numéro, un prédateur en effet, qui ne connaissait aucune limite.
Leo
Merci Jj35. Et bravo pour tes textes!
Histoire très intéressante Olga. J'en profite pour te remercier de tous tes commentaires intéressants
@ Didier, ce qui s'est passé ce jour-là, j'avais tout fait pour l'éviter. C'était sans doute inévitable, mais ce fut le début de la descente aux enfers pour moi et notre couple
Olga,
Ne sachant nullement que tu as fait l’objet d’un deal, où Philippe t’a « vendue » et dévoilé tes points faibles, tu te vois abordé outrageusement par un certain Rachid, qui semblait te suivre depuis un certain temps.
Celui-ci continuant à te filer, il finit par te rejoindre et te bloquer dans ton ascenseur.
Là, et n’étant pas insensible à ses charmes, tu capitule définitivement en succombant à ses assauts.
Te donnant totalement à cette étreinte virile, tu ne savais pas nous plus, que Philippe entendait tout par l’intermédiaire du téléphone de votre gardien d’immeuble.
Celui-ci complice, prenait-il là sa revanche de te voir humilier de la sorte, ou n’étaient ce que les prémices d’autre chose de plus infâme ?
Totalement soumise désormais à Rachid, tu t’offres sans plus aucunes retenues à ton nouveau « mâle » dans le lit conjugal tout le reste de l’après-midi.
Le soir venu, au retour de ton Philippe tu t’empresse, lors d’un hardissime ébat, de lui avouer ton amour pour Rachid, mais aussi de tes futures intentions pour vous deux.
Jusqu’où va t’emmener Rachid ? Que te réserves-t-il pour la suite ?
Philippe obtiendra-t-il enfin ce qu’il attend depuis si longtemps ?
Le plaisir, le sexe, ayant pris le pas sur tout le reste, votre couple atypique que vous êtes résistera t’il réellement à tout cela ?
Didier
Ne sachant nullement que tu as fait l’objet d’un deal, où Philippe t’a « vendue » et dévoilé tes points faibles, tu te vois abordé outrageusement par un certain Rachid, qui semblait te suivre depuis un certain temps.
Celui-ci continuant à te filer, il finit par te rejoindre et te bloquer dans ton ascenseur.
Là, et n’étant pas insensible à ses charmes, tu capitule définitivement en succombant à ses assauts.
Te donnant totalement à cette étreinte virile, tu ne savais pas nous plus, que Philippe entendait tout par l’intermédiaire du téléphone de votre gardien d’immeuble.
Celui-ci complice, prenait-il là sa revanche de te voir humilier de la sorte, ou n’étaient ce que les prémices d’autre chose de plus infâme ?
Totalement soumise désormais à Rachid, tu t’offres sans plus aucunes retenues à ton nouveau « mâle » dans le lit conjugal tout le reste de l’après-midi.
Le soir venu, au retour de ton Philippe tu t’empresse, lors d’un hardissime ébat, de lui avouer ton amour pour Rachid, mais aussi de tes futures intentions pour vous deux.
Jusqu’où va t’emmener Rachid ? Que te réserves-t-il pour la suite ?
Philippe obtiendra-t-il enfin ce qu’il attend depuis si longtemps ?
Le plaisir, le sexe, ayant pris le pas sur tout le reste, votre couple atypique que vous êtes résistera t’il réellement à tout cela ?
Didier
@ Ibrahim, c'est clair qu'il avait les clés pour m'avoir, ce que je ne savais pas
ta tête disais oui ma salope. bien pour ça que t'avais déjà remarqué Rachid. que tu l'as laissé te chauffer ds supermarché. que t'as tout fait pour qu'il te suive. même l'ascenseur ton truc suis marié et fidèle = domine moi
Ibrahim
Ibrahim
@ Ibrahim, c'est plus compliqué que ça. Ma tête disait non, mon corps appelait ça
ahah comme tu t'es faite lever comme une grosse salope. ça se voit que t'était en mode grosse nympho en manque tellement il fait de toi facilement sa pute totalement soumise. il t'a tringlé comme il faut et rempli de bon jus tout tes trous de décharges à foutre
Ibrahim
Ibrahim