Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (19) : avec Marie, domination et plaisir.
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (19) : avec Marie, domination et plaisir.
Ce qui venait de se passer entre Philippe, mon mari candauliste, et Rachid, mon mâle, marquait un tournant.
Non seulement Philippe avait (enfin) assumé sa bisexualité, mais ce fut pour lui une découverte. Il était devenu aussi accro que moi aux ébats avec Rachid. Il avait oublié la douleur de son dépucelage et, désormais, devenait insatiable. Certes, il aimait toujours me voir prise par Rachid, mais, quelque part, nous étions devenus « rivaux » pour savoir qui bénéficierait des saillies de notre mâle.
Nous étions depuis longtemps objet de scandale dans notre ville, mais la situation s’aggravait encore. Rachid n’avait aucune retenue, il voulait nous afficher et faire savoir qu’il était le mâle d’Olga et Philippe T. Lorsque nous sortions en ville, il nous tenait chacun par la main, ou encore il avait une main sur mes fesses et l’autre sur celles de Philippe. Rachid n’hésitait pas, en pleine rue, à nous embrasser l’un comme l’autre à pleine bouche.
Comme il le disait à qui voulait l’entendre, il avait désormais deux femelles. Au cinéma, au restaurant, c’était, en fonction de ses envies, l’un ou l’autre qui était chargé de lui vider les couilles. Toute la ville n’avait plus que mépris pour « le pédé et sa putain ». Notre réputation était définitivement ruinée.
Nous étions en rivalité pour savoir qui, de Philippe ou de moi, aurait le privilège de passer la nuit avec notre mâle. Rachid finit par établir d’autorité un roulement. Celui ou celle qui ne passerait pas la nuit avec Rachid avait le droit d’être honoré en premier, avant d’assister passivement aux ébats du couple du soir, homosexuel ou hétérosexuel selon ce qu’avait décidé notre mâle.
Rachid se plaignait quelquefois que nous le prenions pour un étalon et lui faisions vivre un rythme infernal. «Pour me calmer » et se reposer, disait-il, il prit l’habitude de m’amener chaque jour à sa cité, pour m’offrir à ses potes. J’en parlerai dans un autre récit. Malgré ces nombreux ébats, qui faisaient de moi une «pute gratuite», j’avais toujours besoin d’être prise par Rachid et notamment devant Philippe. Je savais combien celui-ci adorait ça et je voulais lui montrer que c’est quand même ce que Rachid préférait.
Nous étions ainsi rentrés dans une phase du candaulisme que les spécialistes appellent le cuckold, celle où le mari est avant tout cocu et humilié. Rachid le macho avait une tendance naturelle à cela, compte tenu de son mépris souverain pour un mari qui avait offert son épouse à un autre. S’y ajoutait la façon dont il percevait les homosexuels passifs. Si cela ne suffisait pas, Rachid subissait l’influence maléfique d’une femme qui me détestait, le mot est faible, Maître Marie C. Cette sadique dominatrice avait désormais beaucoup d’influence sur Rachid et l’encourageait vers sa pente naturelle, celle du macho qui, en plus, avait le sentiment qu’à travers nous, il prenait sa revanche sur les bourgeois du quartier haut de la ville.
Peu de jours après le nouvel équilibre de notre trio, Rachid m’intima l’ordre de préparer un diner raffiné en l’honneur de lui et de Marie. Sur le moment, je fus choquée et jalouse, mais je ne voulais pas perdre Rachid et mit à profit tous mes talents de cuisinière. De son côté Philippe veilla à préparer soigneusement les plus fins champagnes et les meilleurs crus.
Peu avant l’arrivée de Marie, Philippe et moi furent contraints de nous mettre nus, ne portant qu’un tablier de soubrette.
Marie arriva. Elle portait une jupe en cuir qui mettait en valeur ses longues jambes et un chemisier qui laissait bien voir ses seins opulents.
Elle ne nous prêta pas attention au départ. Elle voulait montrer son emprise sur Rachid, en lui offrant ses lèvres et l’embrassant longuement. Elle se serrait contre lui.
Elle me vit, me fit signe d’approcher. Elle commença par me donner une violente gifle.
• Je t’ai déjà dit de baisser les yeux en ma présence, petite putain !
• Oui
Je m’en suis prise à ce moment-là une seconde, encore plus violente.
• Oui, qui ?
• Oui, Madame.
• C’est mieux. Je vais te mater, moi et apprendre à Rachid comment il doit te traiter.
Elle me prit dans ses bras, m’offrit ses lèvres, mais en profita pour mordre au sang ma lèvre. Elle pinça également brutalement mes tétons et ses doigts, avec ses longs ongles, fouillèrent mon intimité.
Malgré mes larmes, mon humiliation et la douleur qu’elle m’infligeait, ma chatte était trempée. Philippe voulut intervenir, je lui fis signe que je ne le voulais pas.
• Comme l’autre jour, il se confirme que cette chienne aime le SM. Je me suis arrangé avec Jean et Christine, ils ont promis de mettre à disposition leur lieu de plaisir pour quelques séances bien hard avec Olga. Tu vas souffrir, ma belle, me dit-elle, en me labourant le dos de ses ongles.
Marie se montra nettement moins dure avec Philippe :
• Alors maintenant tu connais l’instrument qui donne tant de plaisir à cette chienne ? Rachid m’a dit que tu as beaucoup aimé ça.
• Oui, pour moi, ce fut une révélation. J’en avais envie depuis longtemps, je n’avais jamais osé.
• Tu es un type très particulier. Tu sais, Philippe, cette petite putain ne te mérite pas.
• Je l’aime et elle m’aime.
• Tu crois ça. Tu as besoin d’une vraie femme, comme moi. Crois-moi, je suis bien plus chaude qu’elle, mais elle c’est une chienne soumise, moi je suis une femme forte, dominatrice. Je veux que tu sois à moi.
• Marie, je suis flatté de ton intérêt, mais c’est Olga que j’aime. Elle m’a apporté tout ce dont je rêvais.
Même Rachid ne comprenait pas l’acharnement de Marie.
• Dis-moi, pourquoi veux-tu à tout prix lui prendre Philippe ? Tu sais, il n’est pas un amant très performant. Et pourquoi détestes-tu autant Olga ?
• C’est parce qu’elle tient tant à lui que je veux les séparer. Quant à elle, je tiens à conserver ma réputation de meilleure baiseuse de notre ville qui était la mienne, avant qu’elle ne fasse son apparition. Approche, Olga. Dis-moi, qu’as-tu de plus précieux ?
• Vous le savez très bien. Philippe, mon mari, il est mon amour, l’homme de ma vie, celui qui m’a révélé, qui m’a rendu heureuse. Personne ne me le prendra, même vous !
Je prononçais ces paroles en la fixant, d’un air de défi. Je savais que je déclencherai sa colère.
• Petite putain, je te soumettrai ! Il sera à moi, je te le prendrai parce que je veux te faire mal, tu entends, salope !
Je m’abandonnais à ses gifles et à ses coups. L’intervention de Philippe mit fin à la correction. Je ne sais pas jusqu’où elle était capable d’aller. Il me releva, essuya mes larmes, m’embrassa tendrement.
• Chérie, ça va trop loin. Arrêtons ça ! Je la mets à la porte et on porte plainte à la police pour coups et blessures.
• Non Philippe, c’est très hard, mais c’est une expérience de domination que j’accepte. Ça m’excite et je ressens le besoin d’être punie pour mon comportement depuis des mois
Les yeux de Marie lançaient des éclairs de rage, mais Philippe était en quelque sorte exonéré. Je savais que c’était moi qui subirais, le moment venu, les représailles.
Rachid et Marie passèrent à table et, comme prévu, Philippe et moi nous fîmes le service. Marie se montrait particulièrement dure envers moi, ne perdant pas une occasion de m’abaisser, de m’humilier et de m’insulter. Quand elle parlait de moi, ce n’était pas Olga, mais « la chienne, la truie, la pute ». Quand j’étais à portée, elle ne perdait pas une occasion de me faire mal, en me tordant un sein, en me griffant, en fouillant avec brutalité ma chatte ou mon anus, constatant avec satisfaction mon excitation.
• C’est absolument incroyable, Rachid. Cette petite pute est trempée. Tu aimes, ça, petite salope ?
• Oui, Madame, ça me plait beaucoup. Je mérite d’être traitée sévèrement. Ca fait longtemps que je le sais.
Sur l’insistance de Marie, je racontais alors comment mon père m’avait battue, alors que je cherchais à pousser plus loin ma tentative d’inceste, puis au moment de ma rupture définitive avec mes parents, que j’ai racontée dans le second épisode de mes récits. J’avais alors constaté sa colère mais aussi combien il était excité de me punir et le plaisir que j’en avais ressenti. Par la suite, j’avais poussé Philippe à me fouetter, mais celui-ci ne le faisait que parce que j’insistais, il n’aimait pas ça. Maintenant, j’avais rencontré Marie. J’avais adoré ce qui s’était passé au « château » (la résidence secondaire de Jean et Christine) et j’avais envie de continuer.
• Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez, Madame. Ça vous étonnera, mais je suis toujours profondément croyante et je suis convaincue que notre rencontre n’est pas un hasard. Vous êtes là pour me punir de mes fautes, puisque je suis incapable de contrôler mes sens.
Philippe tenta à nouveau d’intervenir.
• Chérie, de quoi parles-tu ? Il n’est pas question de fautes ! C’est moi qui t’ai encouragée et j’adore te voir être toujours plus dépravée. Mais, je t’en supplie, prends garde à cette femme. Elle n’a pas de limites !
Philippe me prit dans ses bras et m’embrassa amoureusement. Je sentais contre moi son désir. Oh certes, ce n’était pas le calibre de Rachid, mais, à ce moment-là, j’aurais eu envie qu’il me prenne pour montrer aux deux autres que, quoique je fasse, j’étais à Philippe et seulement à Philippe.
• C’est incroyable qu’il continue à être fou d’amour pour cette garce !
Marie se leva, nous sépara brutalement, me faisant tomber, puis prit ma place dans les bras de Philippe. Elle lui offrit ses lèvres, il tourna la tête.
• Prends garde ! Si tu ne veux pas de moi, c’est elle qui paiera ! C’est ce que tu veux ?
Philippe ne dit rien, mais sa réponse fut de céder. Marie était une superbe femme, et elle savait comment obtenir la capitulation d’un homme.
• Oui, Olga, je vais te punir comme tu le mérites. Mais ma punition la plus terrible ne sera pas physique, car en plus tu aimes ça ! Elle sera morale. Non seulement je te ferai cocue, en faisant de ton mari et de ton mâle mes amants, mais je ferai tout pour te le prendre. Il est, as-tu dit, ce que tu as de plus précieux, et donc je le veux !
Ce que je voyais devant moi était une descente aux enfers. Je voyais devant moi Philippe qui n’opposait plus aucune résistance, bien au contraire. Il répondait avec force au baiser de Marie. Celle-ci triomphait.
• Je t’aime, Philippe et depuis longtemps. Je t’ai aperçu il y a déjà plusieurs années, tu étais alors avec Flavienne. Mais tu n’avais pas fait attention à moi, alors que je t’avais dragué devant ta compagne de l’époque. Et quand j’ai appris que tu vivais avec celle-là et qu’en plus tu l’avais mariée, j’étais folle de rage. Aujourd’hui, je tiens ma revanche. Allez, reconnais que je suis bien plus belle qu’elle. Touche ma poitrine ! Des seins lourds, fermes. Une poitrine de femme, rien à voir avec les œufs sur le plat de cette petite garce. Touche, oui, vas-y, j’aime quand tu me touches !
J’étais à la fois fascinée, excitée et furieuse. J’avais envie de sauter sur Marie, de les séparer, de me battre comme une tigresse, de lui dire, « ne le touche pas, il est à moi, tu entends ! »
J’étais paralysée, les larmes me montaient aux yeux et en même temps j’étais excitée, comme malgré moi. Je constatais que Philippe bandait, comme je l’avais rarement vu, sauf dans les débuts de notre relation. Il désirait cette femme. Il semblait qu’elle avait gagné.
• Tu vois, petite catin, ton mari est en train de bander pour moi. Elle me plait sa queue. Il parait que tu te plains à qui veut l’entendre que son calibre ne te fait rien, tu l’humilies en le comparant à la taille de l’engin de Rachid et des autres hommes qui te niquent ou encore qu’il éjacule trop vite. Vois-tu, le plaisir ce n’est pas seulement une question de taille. Tu n’es qu’une égoïste qui ne pense qu’à son seul plaisir. Tu ne sais pas y faire. Je vais te montrer après le diner que ton homme est un excellent amant. Nous allons finir ce diner, mais laissez-moi d’abord soulager mon chéri, je ne veux pas le laisser dans cet état.
Elle lui demande s’il veut se faire sucer……Philippe ne réfléchit pas longtemps, pour toute réponse il lui appuie sur l’épaule et présente sa bite toute tendue.
C’est la caresse que je préfère pratiquer avec Philippe et nous n’avons rarement commencé une journée sans que je m’offre le plaisir de lui vider les couilles et d’avaler son nectar. Je la pratique sur lui aussi souvent que je le peux, que ce soit en voiture, au cinéma, sur un parking, au restaurant. Je ne m’en lasse pas et je n’ai jamais apprécié de voir une autre pratiquer cette caresse sur lui (le soir de notre mariage, la vision de Christine en train de lui tailler une pipe avait provoqué ma colère et mon adultère) C’est donc plus que je ne peux en supporter :
• Non, pas ça, je ne le permets pas !
Rachid m’arrête et me maîtrise.
• Tu seras punie pour ça ! Mais ça me plait de voir jalouse et crois-moi, tu n’as pas finie de l’être. Je te ferai pleurer des larmes de sang !
Marie fait tomber sa jupe et écarte sa culotte pour pouvoir atteindre sa chatte. Je vois les yeux de Marie s’ouvrirent grands, sans perdre de temps elle s’accroupit les jambes grandes ouvertes et happe la queue de Philippe qui, sous la caresse, gémit de plaisir. Elle le suce goulument tout en se branlant vivement. Je dois reconnaître que le spectacle est excitant au plus haut point. Philippe joue le jeu et se régale. Il fait des compliments sur la plastique de Marie et lui dit qu’elle suce super bien.
Elle lui lèche le gland, lentement, puis serre ses lèvres pour forcer sur son gland. Elle fait pénétrer bien au fond de sa bouche. Comme moi, Marie adore sucer, ça se voit que sa bouche est une bouche à pipes.
Le sexe de Philippe était dur. Ma rivale lui astique le manche pendant plusieurs minutes tout en le branlant et en lui caressant les couilles doucement. Par moment il lui prend la tête et pousse dessus pour que ça aille vraiment loin.
D’un seul coup il n’en peut plus et jouit, envoyant plusieurs giclées dans la bouche de Marie, qui n’en perd pas une goutte.
Elle se redresse, triomphante, puis se dirige vers moi, me prends dans ses bras, force mes lèvres, pour partager avec moi ce qu’elle n’a pas avalé. Je la remercie d’avoir partagé avec moi le nectar de mon mari.
• Vous aimez le goût de son sperme, Madame ? Moi j’en raffole !
• Il sera bientôt seulement à moi, j’ai voulu partager un peu avec toi.
Notre baiser se prolonge, elle sent mon désir et me calme brutalement en griffant mon dos avec ses ongles.
• Je te plais, on dirait, sale petite gouine. Je sais décidément ce que tu aimes et ce qu’il te faut !
Le diner reprend son court. Marie se montre très gentille, presque chatte avec Philippe, avec qui elle sort le grand jeu.
Elle lui demande de venir l’embrasser. Philippe s’enhardit, ses mains passent dans le décolleté de Marie et il prend à pleines mains ses seins opulents.
• Hum, chéri j’adore quand tu me touches, surtout devant elle. Elle sait maintenant ce que c’est que de se faire humilier, d’être trompée en sa présence. Dis-moi, Philippe, tu as envie de moi ?
• Oui, j’ai envie de toi. Tu me fais bander
• Tu m’aimes ?
• J’ai envie de toi, mais c’est Olga que j’aime.
• Tu augmentes encore ma haine contre cette chienne. Je ferai en sorte de te la faire oublier !
Peu après, Marie fit en sorte que je fasse tomber une assiette sur elle. Alors que je n’étais pas responsable, elle se déchaina, me giflant violemment
• Petite idiote ! Elle n’est vraiment bonne à rien. Tout au plus à mettre sur le trottoir. Et encore !
Elle enleva son chemisier, qui était taché.
• Demain pour repartir, je prendrai des vêtements à toi, demain matin. Pour cette nuit, pas de problème, je la passerai dans le lit conjugal avec mon homme. En attendant, c’est incroyable ce que tu as fait. Même ma culotte est salie. Il est vrai qu’elle était trempée car ça m’a excité à mort d’humilier cette petite garce et d’avoir sucé son mari en sa présence !
La conversation de Marie et de Rachid portait sur moi et Marie ne cachait pas ses intentions.
Elle veut que Philippe se rende compte que mon comportement sans limites ruine sa réputation. Elle invite Rachid à poursuivre ce qu’il a commencé et, ensemble, ils annoncent le programme des prochaines semaines. Elle suggère à Rachid d’organiser, avec Olivier et Serge, les collègues de Philippe, une partie fine et surtout de prévoir que ça se déroule sur son lieu de travail. Elle encourage Rachid à m’amener régulièrement à la cité, pour m’offrir à ses potes.
• Nous avons commencé. Nous avons une grande cave où nous faisons nos tournantes. Quand je l’en ai parlé, les potes étaient enthousiastes. J’ai fait circuler des photos d’elle à poil. Les volontaires sont nombreux. Ce sera chaque semaine, ce sera sans répit, crois-moi.
• Tu as pensé à d’autres choses ?
• Il y a le foyer Sonacotra de la ville. Je veux faire d’elle un vide-couilles.
• C’est parfait ! Et toi, Philippe, ça ne te gêne pas que ton épouse devienne une pute gratuite ?
• Du moment qu’elle n’est pas contrainte, j’adore la voir prise. Elle est encore plus belle dans ces moments-là. J’ai toujours rêvé de la voir baisée par des hommes qui se succéderaient sans répit pour l’honorer, jusqu’à ce qu’elle soit épuisée.
• J’avoue que je ne te comprends pas. Tu sais que Rachid a aussi l’intention de la féconder. Ça aussi, tu l’acceptes ?
• Oui, ce sera pour moi une nouvelle preuve d’amour pour Olga.
• Elle t’a vraiment ensorcelé cette garce pour que tu dises cela ! En attendant cette soirée m’a excité et, pendant que nous prenons le dessert, j’ai besoin d’être soulagée. Olga passe sous la table et occupe-toi de ma chatte !
Je suis heureuse car, malgré, ou à cause de son comportement, bien qu’elle veuille m’arracher mon cœur en cherchant à me prendre Philippe, j’ai follement envie de Marie. J’ai très envie de la lécher et de la faire jouir. Je suis sous la table et je place mes mains sur les jolies courbes fessières de Marie, de façon à exercer une pression suffisante pour la ramener vers moi. Elle avance ses genoux de manière à positionner son intimité au niveau de mon visage.
J’ai une jolie vue sur son minou : son petit rectangle de poils, son clitoris déjà gonflé et ses lèvres vaginales déjà humides. J’utilise mes mains pour la toucher et frotter son clitoris entre mon index et mon pouce, ce qui la fait gémir. J’introduis délicatement un doigt dans son vagin et le ressort mouillé. Je le regarde quelques secondes puis décide de le porter à ma bouche pour goûter son jus intime. Hum, c’est bon et j’ai envie d’en goûter plus.
J’utilise donc mes doigts pour lui écarter ses lèvres et je redresse suffisamment ma tête pour pouvoir toucher sa vulve avec ma langue. Je commence par donner des grands coups de langue de haut en bas et de bas en haut, puis j’alterne en secouant ma tête de gauche à droite. Sa chatte est désormais bien humide, certes par l’effet de ma salive, mais au goût que je perçois sur mes papilles, également par sa cyprine.
Marie ferme les yeux et est en train de se caresser ses seins avec les mains. Philippe et Rachid observent, fascinés, la montée du plaisir sur son visage.
Je décide de plonger dans son sexe et j’essaye d’introduire ma langue le plus loin possible dans son vagin. J’ai le nez quasiment sur son clitoris et je respire les odeurs de ses effluves intimes.
Je sens que Marie est en train de trembler : elle va bientôt jouir. Je cesse de jouer avec ma langue et pose mes lèvres sur son clitoris. Je commence à le mordiller très doucement pour ne pas lui faire mal puis à aspirer son bouton aussi fort que possible. Marie place sa main derrière ma tête et me tire vers elle pour que je continue jusqu’au bout. Précaution inutile car je n’ai pas du tout l’intention de retirer ma bouche avant qu’elle n’ait joui.
• Ouuuuuuiiiiiiiii, c’est booooon, ne t’arrête pas !!
Je suis obéissante et je me plie à son ordre. Je sens du liquide s’écouler de mon sexe : son orgasme a déclenché le mien. Mon corps s’est tendu et je sens une sensation de chaleur partir de ma chatte pour se diffuser avec bien-être dans le reste de mon corps. Marie, haletante me dit :
• La vache, tu es douée, je viens de vivre un des plus bels orgasmes de ma vie ! Mais n’imagine pas que ça change mes sentiments envers toi ni mes projets en ce qui concerne Philippe.
Le repas étant terminé, Marie nous fit signe à tous d’aller dans la chambre.
Marie sort un gros vibromasseur et me fait signe d’approcher.
• Toi d’abord, tu as droit de jouir car ensuite ce sera très dur pour toi, quand tu assisteras, impuissante à ma nuit d’amour avec ton mari. Viens Olga, j’ai envie d’utiliser ça sur toi.
• Comment voulez-vous que je me mette ?
• Installe-toi en travers du lit, le bassin vers le bord.
Je m’exécute et écarte les jambes lorsque Marie se place à genoux par terre. Elle commence à jouer avec ma chatte d’une main et à porter le vibromasseur à sa bouche avec son autre main. Elle entreprend un début de fellation sur le sextoy pour le lubrifier. Quelques instants plus tard, elle juge que c’est bon et fait coulisser le vibromasseur le long de mon clitoris puis de mes lèvres intimes.
Elle appuie sur le bouton à la base et le sextoy commence à gagner son nom en se mettant à vibrer.
Après quelques minutes de ce traitement, j’ai à nouveau le sexe humide. Je n’ai qu’une envie, c’est que Marie me l’insère dedans. Au lieu de quoi, celle-ci éteint le vibromasseur et me dit qu’elle me le mettra qu’à la condition qu’on fasse un 69.
C’est du chantage mais un chantage qui me convient. Tout plutôt que cette torture qu’est le fait de m’exciter et de me laisser en plan. En plus, ça me fait plaisir de pouvoir faire un nouveau cunnilingus à Marie. Je me replace correctement sur le lit, sur le dos, et j’attends que Marie vienne se placer sur moi. Pourtant, la position n’a pas l’air de lui convenir, et elle me fait basculer sur le côté.
Satisfaite, elle se place de la même façon mais en sens inverse. Ma tête est au niveau de son entrejambe et réciproquement, de telle sorte que nous formons effectivement un 69.
J’ai perdu un peu de mon excitation le temps qu’on se positionne mais je la retrouve vite lorsque Marie introduit le vibromasseur, éteint, dans mon vagin et commence à me sucer mon bouton d’amour.
Position oblige, je lui rends la faveur et recommence à la lécher. C’est génial, le fait de devoir m’occuper d’elle alors qu’elle s’occupe de moi m’empêche de jouir tout de suite et fait durer le plaisir plus longtemps. Notre 69 s’achève sur mon orgasme, lorsque Marie a enfin décidé de déclencher les vibrations du sextoy.
• Oh oui, Marie, c’est bon, vous pouvez faire de moi, de mes hommes ce que vous voulez ! Ouiiiii
• Je te ferai jouir et l’instant d’après souffrir. J’ai compris que c’est ce que tu cherchais, petite putain !
Marie n’a pas joui mais avec sa jouissance de tout à l’heure, je doute qu’elle aurait pu recommencer aussi tôt. Marie ressort le vibromasseur de mon sexe et, après avoir donné un petit coup de langue dessus, le porte à ma bouche pour que je le nettoie. Mes lèvres forment un O, et j’accepte cet intrus dans ma bouche. Je le suce comme s’il s’agissait du sexe d’un homme et goûte ma propre cyprine.
Marie n’en a pas encore fini avec moi.
Elle se met en position pour commencer à mettre dans l’entrée de mon con deux, puis trois doigts et enfin le début de la main. Je donne un grand coup de rein en poussant un hurlement quand la main entière est dans mon vagin. Elle l’enfonce complètement. Elle me fiste, ce que me fait régulièrement Philippe. La différence est qu’elle est brutale et va beaucoup plus loin et plus fort que Philippe, attentif seulement à mon plaisir, alors que Marie veut seulement me dominer et me faire mal.
Je suis pourtant dans un autre monde de volupté. Je murmure des mots sans suite coupés de gémissements. Marie continue avec sa main entièrement dans mon sexe. Elle me fiste jusqu’au moment où je semble perdre conscience. Elle enlève la main pleine de cyprine. Elle la lèche comme si elle avait mis la main dans un plat unique, tout y passe, tous les doigts, le dessus et la paume, jusqu’au début du poignet.
Je reste un moment pantelante, comme si un régiment m’était passé dessus.
• J’ai encore une surprise pour toi. Philippe, regarde bien, ton épouse est une véritable truie. Olga, ouvre ta bouche et approche de ma chatte !
• Non, s’il vous plait, pas ça ! C’est sale, je ne veux pas.
Elle me gifle à nouveau :
• Obéis, ouvre la bouche, je vais me soulager et les hommes le feront ensuite.
Marie écarte les lèvres de sa belle chatte, et un jet violent fuse dans ma gorge. Je suis surprise, j’ai la bouche remplie de pisse. Malgré ma nausée, j’avale.
• Décidemment, rien ne l’arrête ! Les hommes, approchez et soulagez-vous !
C'est au tour de Rachid. Nos ébats lesbiens l’ont beaucoup excité, il commence par envoyer sur mes seins, mes cheveux, mon visage, de puissantes giclées de sperme, puis urine dans ma bouche.
C'est maintenant au tour de Philippe, mais il est hésitant, il a des scrupules que l'on se serve de moi comme d'un urinoir. Je suis à ses genoux, bouche ouverte, et Marie l'encourage à se laisser aller.
Il s'abandonne, presque malgré lui. Ce petit jeu semble lui plaire. Il m'offre un long jet bien fourni, vrillé et doré. Jamais je n’aurais imaginé accepter ça et y trouver du plaisir.
Marie me fit ensuite changer les draps.
• Bon, maintenant je me suis assez occupée d’elle. Rachid, avant que, comme convenu, tu nous laisses tous les trois, tu vas l’attacher au fauteuil, pour que tu ne puisses pas bouger et les mains dans le dos, pour que tu ne puisses pas te caresser. Serre bien les cordes, qu’elle ne puisse pas bouger et que ça lui fasse mal. Je veux seulement que tu assistes, impuissante, à ton cocufiage. A la fin de cette nuit, ton mari sera définitivement à moi.
Rachid me lia les mains derrière le dos, puis m’attacha au fauteuil. Les cordes étaient en effet serrées et me faisaient mal.
Pendant des heures, j’ai assisté, impuissante, aux ébats de Marie et de Philippe. J’assistais à l’adultère de mon mari. Marie avait deviné que ce serait pour moi une épreuve. C’est la pire des tortures qu’elel pouvait m’infliger. Ça peut surprendre et choquer, moi, qui, depuis que je suis mariée avec Philippe, me suis offerte à tant d’hommes, mais je n’acceptais pas la réciprocité.
J’étais partagée entre la colère, sinon la rage, car j’étais folle de jalousie. Pourtant, peu à peu, ce que je voyais provoquait chez moi un émoi, puis une excitation croissante. Je devais avouer que c’était beau, et que j’étais particulièrement excitée de voir mon mari prendre du plaisir à faire jouir une autre femme.
C’était une autre Marie que je voyais. Ce n’était pas la dominatrice, la sadique qui me faisait souffrir et me voulait tant de mal. C’était une femme amoureuse, qui parvenait à ce qu’elle voulait depuis des années. Je me rendais compte aussi que, malgré mon amour pour Philippe, je n’avais pas su découvrir l’amant qu’il pouvait être. Je m’étais arrêtée à la taille moindre de sa verge, comparée en particulier aux mâles comme Rachid qui comblaient la vaginale que je suis. Je m’étais montrée égoïste, pensant à mon seul plaisir. Je n’avais pas su non plus faire ce qu’il fallait face aux tendances à l’éjaculation précoce de Philippe.
Marie, elle, à ce moment-là, ne pensait qu’au plaisir de l’homme qu’elle voulait et qu’elle aimait. A ma décharge, les précédentes compagnes de Philippe, Flavienne et Patricia n’avaient pas non plus su découvrir quel amant Philippe pouvait être.
Marie prenait tout son temps, faisant durer les préalables. Elle masturbait doucement Philippe, le prenait en bouche, mais devinait quand il était sur le point d’éjaculer. Elle savait alors s’arrêter, le rassurer, avant de reprendre le cours de leurs ébats.
Ce que je voyais devant moi, c’était un couple qui faisait l’amour, avec tendresse et progressivement, alors que moi, du fait de mon hypersexualité, je baisais, j’avais besoin d’enchainer les orgasmes et les coïts. Marie et Philipe, pendant un moment qui me sembla interminable, échangèrent baisers et caresses. C’est Marie qui était à l’initiative.
Philippe reprit les choses en mains en se mettant entre les cuisses de sa maîtresse et il lui pratiqua un long cunnilingus, qu’elle encourageait par ses gémissements et des paroles d’amour. Marie eut son premier orgasme. Comme moi, elle était multi-orgasmique.
Philipe ne lui laissa pas de répit. Il voulait à son tour dominer cette dominatrice.
Il lui introduit quatre doigts qui, lubrifiés par sa mouille abondante n’ont aucun mal à pénétrer son vagin distendu, les yeux fermés elle attend. Il tourne pour l’ouvrir encore plus. Philippe allonge son pouce à l’intérieur de sa main, et pousse en vrille. Arrivé à l’articulation du pouce ça bloque, les lèvres n’ont plus de formes, sa chatte devient un grand trou difforme, millimètre par millimètres il avance en tournant. Elle pousse un cri strident en même temps que ses lèvres se referment sur son poignet, son petit abricot a avalé la main !! Ça y est, elle est fistée !!
Il commence à bouger ses doigts, les retourne doucement vers l’intérieur, pile-poil sur son point G qu’il se met à gratter. Je sais par expérience ce que Marie peut ressentir. Philippe est un fisteur exceptionnel.
• Haaa ouii, c’est bon …on dirait que j’ai une bite de cheval dans la chatte …remue encore…
Lentement son poignet tourne alternativement, puis là pistonne ….c’est impressionnant. Marie se soulève sur ses coudes pour regarder ce qui ce passe entre ses cuisses.
Le jus de sa chatte coule le long du poignet de Philippe.
• Oh, oui, Vas-y plus fort…baise moi avec ton bras….je veux jouir comme çà ….
Je n’en peux plus, j’interviens, pour encourager Philippe.
• Oui, chéri, mets lui ton bras le plus profond possible, je veux entendre cette salope hurler de plaisir et de douleur !
• Comment oses-tu parler de moi ainsi, tu le paieras !
• En ce moment tu n’es pas Maitre Marie C, tu es une femelle qui se fait prendre par un mâle. Fais-la couiner, chéri. J’aime ça. Ah, si je pouvais branler mon clito, ma chatte est béante et trempée !
Les yeux de Marie se ferment à nouveau pour mieux ressentir ce que Philippe lui inflige, le vagin est maintenant bien ouvert, comme lors d’un accouchement, il arrive à sortir son poing et à le rentrer sans douleurs, le pouvoir du vagin à se distendre est surprenant.
Marie remonte ses genoux sur ses seins pour s’offrir au maximum, une position on ne peut plus impudique !! Çà lui coule entre les fesses, jusqu’au moment où Philippe retire un peu son poing, il prend une giclée de liquide en pleine figure…ce n’est pas de l’urine, un gout légèrement acre, la femme hurle à nouveau son bonheur.
Son vagin est rouge, le sang affleure la peau, stigmatisant la jouissance…Philippe a peur qu’elle ne tombe dans les pommes, alors il ralentit, puis doucement dans un bruit de ventouse se retire, la moule se vide, le lit est trempé, une flaque impressionnante !!
Marie revient sur terre lentement, elle a les yeux cernés…
Elle embrasse Philippe à pleine bouche….
• Merci mon chéri…Tu vas continuer à t’occuper de mon petit cul…..Mais il nous faut attendre que ma chatte se referme car j’ai envie que tu me prennes et tu te vides en moi.
Marie prend tout son temps avant ce coït qu’elle a tant attendu. Il faut en effet que son vagin se referme pour qu’elle puisse être prise par l’homme.
Quand elle juge le moment venu, elle vient sur Philippe et, après l’avoir longuement embrassé, vient s’empaler sur sa verge. Elle choisit la position d’Andromaque pour contrôler au mieux le coït et éviter l’éjaculation précoce.
Marie prend le contrôle de la relation sexuelle. Elle est assise à califourchon sur Philippe de façon à le faire pénétrer en elle. Elle effectue les mouvements de va-et-vient puis d'avant en arrière selon ses désirs et ses sensations. Elle prend le temps de demander à Philippe si les mouvements qu'elle effectue lui sont tout aussi agréables à lui qu'à elle.
Philippe en profite pour caresser les seins et le clitoris de sa partenaire afin de lui donner encore plus de plaisir. Je vois combien Philippe est fasciné par la forte poitrine de ma rivale.
• Tu vois, Olga, le plaisir qu’il a et qu’il me donne. Désormais, il n’est plus à toi, il est à moi !
Marie contractait son vagin et faisait des mouvements de bas en haut à une vitesse folle. Sans lui laisser un seul instant de répit, elle recommençait. Ils finirent par exploser tous les deux dans un orgasme dévastateur qui nous fit nous écrouler épuisés et comblés.
Un peu plus tard, Philippe vint me délivrer de mes liens, me donna un baiser, mais alla rejoindre sa maîtresse pour passer la nuit avec elle. Je restais dans mon fauteuil, avec une couverture et, malgré la masturbation pour tenter de calmer enfin mon excitation, je ne parvenais pas à trouver le sommeil, désespérée parce que j’étais convaincue d’avoir perdu Philippe.
Pourtant le lendemain, il vint me retrouver, me demandant pourquoi j’avais passé la nuit dans ce fauteuil et pas dans un lit. Je m’effondrai dans ses bras et lui disait, le visage inondée de larmes, combien je l’aimais.
A ce moment-là, Marie se réveilla et demanda à Philippe ce qu’il faisait dans mes bras.
• C’est très simple, Marie, nous avons fait l’amour, et c’était merveilleux. Mais c’est Olga que j’aime, pas toi.
Marie me jeta un regard glaçant, quitta le lit, et après récupéré quelques habits dans mon placard, s’en alla en claquant la porte.
• Oh Philippe, j’ai cru te perdre !
• Jamais, chérie, tu es folle ! Mais il faut absolument cesser les relations avec cette femme. J’ai peur du mal qu’elle peut te faire. Surtout après ce qui s’est passé.
Il avait raison. Mais je n’étais pas encore prête à l’écouter.
(à suivre)
Non seulement Philippe avait (enfin) assumé sa bisexualité, mais ce fut pour lui une découverte. Il était devenu aussi accro que moi aux ébats avec Rachid. Il avait oublié la douleur de son dépucelage et, désormais, devenait insatiable. Certes, il aimait toujours me voir prise par Rachid, mais, quelque part, nous étions devenus « rivaux » pour savoir qui bénéficierait des saillies de notre mâle.
Nous étions depuis longtemps objet de scandale dans notre ville, mais la situation s’aggravait encore. Rachid n’avait aucune retenue, il voulait nous afficher et faire savoir qu’il était le mâle d’Olga et Philippe T. Lorsque nous sortions en ville, il nous tenait chacun par la main, ou encore il avait une main sur mes fesses et l’autre sur celles de Philippe. Rachid n’hésitait pas, en pleine rue, à nous embrasser l’un comme l’autre à pleine bouche.
Comme il le disait à qui voulait l’entendre, il avait désormais deux femelles. Au cinéma, au restaurant, c’était, en fonction de ses envies, l’un ou l’autre qui était chargé de lui vider les couilles. Toute la ville n’avait plus que mépris pour « le pédé et sa putain ». Notre réputation était définitivement ruinée.
Nous étions en rivalité pour savoir qui, de Philippe ou de moi, aurait le privilège de passer la nuit avec notre mâle. Rachid finit par établir d’autorité un roulement. Celui ou celle qui ne passerait pas la nuit avec Rachid avait le droit d’être honoré en premier, avant d’assister passivement aux ébats du couple du soir, homosexuel ou hétérosexuel selon ce qu’avait décidé notre mâle.
Rachid se plaignait quelquefois que nous le prenions pour un étalon et lui faisions vivre un rythme infernal. «Pour me calmer » et se reposer, disait-il, il prit l’habitude de m’amener chaque jour à sa cité, pour m’offrir à ses potes. J’en parlerai dans un autre récit. Malgré ces nombreux ébats, qui faisaient de moi une «pute gratuite», j’avais toujours besoin d’être prise par Rachid et notamment devant Philippe. Je savais combien celui-ci adorait ça et je voulais lui montrer que c’est quand même ce que Rachid préférait.
Nous étions ainsi rentrés dans une phase du candaulisme que les spécialistes appellent le cuckold, celle où le mari est avant tout cocu et humilié. Rachid le macho avait une tendance naturelle à cela, compte tenu de son mépris souverain pour un mari qui avait offert son épouse à un autre. S’y ajoutait la façon dont il percevait les homosexuels passifs. Si cela ne suffisait pas, Rachid subissait l’influence maléfique d’une femme qui me détestait, le mot est faible, Maître Marie C. Cette sadique dominatrice avait désormais beaucoup d’influence sur Rachid et l’encourageait vers sa pente naturelle, celle du macho qui, en plus, avait le sentiment qu’à travers nous, il prenait sa revanche sur les bourgeois du quartier haut de la ville.
Peu de jours après le nouvel équilibre de notre trio, Rachid m’intima l’ordre de préparer un diner raffiné en l’honneur de lui et de Marie. Sur le moment, je fus choquée et jalouse, mais je ne voulais pas perdre Rachid et mit à profit tous mes talents de cuisinière. De son côté Philippe veilla à préparer soigneusement les plus fins champagnes et les meilleurs crus.
Peu avant l’arrivée de Marie, Philippe et moi furent contraints de nous mettre nus, ne portant qu’un tablier de soubrette.
Marie arriva. Elle portait une jupe en cuir qui mettait en valeur ses longues jambes et un chemisier qui laissait bien voir ses seins opulents.
Elle ne nous prêta pas attention au départ. Elle voulait montrer son emprise sur Rachid, en lui offrant ses lèvres et l’embrassant longuement. Elle se serrait contre lui.
Elle me vit, me fit signe d’approcher. Elle commença par me donner une violente gifle.
• Je t’ai déjà dit de baisser les yeux en ma présence, petite putain !
• Oui
Je m’en suis prise à ce moment-là une seconde, encore plus violente.
• Oui, qui ?
• Oui, Madame.
• C’est mieux. Je vais te mater, moi et apprendre à Rachid comment il doit te traiter.
Elle me prit dans ses bras, m’offrit ses lèvres, mais en profita pour mordre au sang ma lèvre. Elle pinça également brutalement mes tétons et ses doigts, avec ses longs ongles, fouillèrent mon intimité.
Malgré mes larmes, mon humiliation et la douleur qu’elle m’infligeait, ma chatte était trempée. Philippe voulut intervenir, je lui fis signe que je ne le voulais pas.
• Comme l’autre jour, il se confirme que cette chienne aime le SM. Je me suis arrangé avec Jean et Christine, ils ont promis de mettre à disposition leur lieu de plaisir pour quelques séances bien hard avec Olga. Tu vas souffrir, ma belle, me dit-elle, en me labourant le dos de ses ongles.
Marie se montra nettement moins dure avec Philippe :
• Alors maintenant tu connais l’instrument qui donne tant de plaisir à cette chienne ? Rachid m’a dit que tu as beaucoup aimé ça.
• Oui, pour moi, ce fut une révélation. J’en avais envie depuis longtemps, je n’avais jamais osé.
• Tu es un type très particulier. Tu sais, Philippe, cette petite putain ne te mérite pas.
• Je l’aime et elle m’aime.
• Tu crois ça. Tu as besoin d’une vraie femme, comme moi. Crois-moi, je suis bien plus chaude qu’elle, mais elle c’est une chienne soumise, moi je suis une femme forte, dominatrice. Je veux que tu sois à moi.
• Marie, je suis flatté de ton intérêt, mais c’est Olga que j’aime. Elle m’a apporté tout ce dont je rêvais.
Même Rachid ne comprenait pas l’acharnement de Marie.
• Dis-moi, pourquoi veux-tu à tout prix lui prendre Philippe ? Tu sais, il n’est pas un amant très performant. Et pourquoi détestes-tu autant Olga ?
• C’est parce qu’elle tient tant à lui que je veux les séparer. Quant à elle, je tiens à conserver ma réputation de meilleure baiseuse de notre ville qui était la mienne, avant qu’elle ne fasse son apparition. Approche, Olga. Dis-moi, qu’as-tu de plus précieux ?
• Vous le savez très bien. Philippe, mon mari, il est mon amour, l’homme de ma vie, celui qui m’a révélé, qui m’a rendu heureuse. Personne ne me le prendra, même vous !
Je prononçais ces paroles en la fixant, d’un air de défi. Je savais que je déclencherai sa colère.
• Petite putain, je te soumettrai ! Il sera à moi, je te le prendrai parce que je veux te faire mal, tu entends, salope !
Je m’abandonnais à ses gifles et à ses coups. L’intervention de Philippe mit fin à la correction. Je ne sais pas jusqu’où elle était capable d’aller. Il me releva, essuya mes larmes, m’embrassa tendrement.
• Chérie, ça va trop loin. Arrêtons ça ! Je la mets à la porte et on porte plainte à la police pour coups et blessures.
• Non Philippe, c’est très hard, mais c’est une expérience de domination que j’accepte. Ça m’excite et je ressens le besoin d’être punie pour mon comportement depuis des mois
Les yeux de Marie lançaient des éclairs de rage, mais Philippe était en quelque sorte exonéré. Je savais que c’était moi qui subirais, le moment venu, les représailles.
Rachid et Marie passèrent à table et, comme prévu, Philippe et moi nous fîmes le service. Marie se montrait particulièrement dure envers moi, ne perdant pas une occasion de m’abaisser, de m’humilier et de m’insulter. Quand elle parlait de moi, ce n’était pas Olga, mais « la chienne, la truie, la pute ». Quand j’étais à portée, elle ne perdait pas une occasion de me faire mal, en me tordant un sein, en me griffant, en fouillant avec brutalité ma chatte ou mon anus, constatant avec satisfaction mon excitation.
• C’est absolument incroyable, Rachid. Cette petite pute est trempée. Tu aimes, ça, petite salope ?
• Oui, Madame, ça me plait beaucoup. Je mérite d’être traitée sévèrement. Ca fait longtemps que je le sais.
Sur l’insistance de Marie, je racontais alors comment mon père m’avait battue, alors que je cherchais à pousser plus loin ma tentative d’inceste, puis au moment de ma rupture définitive avec mes parents, que j’ai racontée dans le second épisode de mes récits. J’avais alors constaté sa colère mais aussi combien il était excité de me punir et le plaisir que j’en avais ressenti. Par la suite, j’avais poussé Philippe à me fouetter, mais celui-ci ne le faisait que parce que j’insistais, il n’aimait pas ça. Maintenant, j’avais rencontré Marie. J’avais adoré ce qui s’était passé au « château » (la résidence secondaire de Jean et Christine) et j’avais envie de continuer.
• Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez, Madame. Ça vous étonnera, mais je suis toujours profondément croyante et je suis convaincue que notre rencontre n’est pas un hasard. Vous êtes là pour me punir de mes fautes, puisque je suis incapable de contrôler mes sens.
Philippe tenta à nouveau d’intervenir.
• Chérie, de quoi parles-tu ? Il n’est pas question de fautes ! C’est moi qui t’ai encouragée et j’adore te voir être toujours plus dépravée. Mais, je t’en supplie, prends garde à cette femme. Elle n’a pas de limites !
Philippe me prit dans ses bras et m’embrassa amoureusement. Je sentais contre moi son désir. Oh certes, ce n’était pas le calibre de Rachid, mais, à ce moment-là, j’aurais eu envie qu’il me prenne pour montrer aux deux autres que, quoique je fasse, j’étais à Philippe et seulement à Philippe.
• C’est incroyable qu’il continue à être fou d’amour pour cette garce !
Marie se leva, nous sépara brutalement, me faisant tomber, puis prit ma place dans les bras de Philippe. Elle lui offrit ses lèvres, il tourna la tête.
• Prends garde ! Si tu ne veux pas de moi, c’est elle qui paiera ! C’est ce que tu veux ?
Philippe ne dit rien, mais sa réponse fut de céder. Marie était une superbe femme, et elle savait comment obtenir la capitulation d’un homme.
• Oui, Olga, je vais te punir comme tu le mérites. Mais ma punition la plus terrible ne sera pas physique, car en plus tu aimes ça ! Elle sera morale. Non seulement je te ferai cocue, en faisant de ton mari et de ton mâle mes amants, mais je ferai tout pour te le prendre. Il est, as-tu dit, ce que tu as de plus précieux, et donc je le veux !
Ce que je voyais devant moi était une descente aux enfers. Je voyais devant moi Philippe qui n’opposait plus aucune résistance, bien au contraire. Il répondait avec force au baiser de Marie. Celle-ci triomphait.
• Je t’aime, Philippe et depuis longtemps. Je t’ai aperçu il y a déjà plusieurs années, tu étais alors avec Flavienne. Mais tu n’avais pas fait attention à moi, alors que je t’avais dragué devant ta compagne de l’époque. Et quand j’ai appris que tu vivais avec celle-là et qu’en plus tu l’avais mariée, j’étais folle de rage. Aujourd’hui, je tiens ma revanche. Allez, reconnais que je suis bien plus belle qu’elle. Touche ma poitrine ! Des seins lourds, fermes. Une poitrine de femme, rien à voir avec les œufs sur le plat de cette petite garce. Touche, oui, vas-y, j’aime quand tu me touches !
J’étais à la fois fascinée, excitée et furieuse. J’avais envie de sauter sur Marie, de les séparer, de me battre comme une tigresse, de lui dire, « ne le touche pas, il est à moi, tu entends ! »
J’étais paralysée, les larmes me montaient aux yeux et en même temps j’étais excitée, comme malgré moi. Je constatais que Philippe bandait, comme je l’avais rarement vu, sauf dans les débuts de notre relation. Il désirait cette femme. Il semblait qu’elle avait gagné.
• Tu vois, petite catin, ton mari est en train de bander pour moi. Elle me plait sa queue. Il parait que tu te plains à qui veut l’entendre que son calibre ne te fait rien, tu l’humilies en le comparant à la taille de l’engin de Rachid et des autres hommes qui te niquent ou encore qu’il éjacule trop vite. Vois-tu, le plaisir ce n’est pas seulement une question de taille. Tu n’es qu’une égoïste qui ne pense qu’à son seul plaisir. Tu ne sais pas y faire. Je vais te montrer après le diner que ton homme est un excellent amant. Nous allons finir ce diner, mais laissez-moi d’abord soulager mon chéri, je ne veux pas le laisser dans cet état.
Elle lui demande s’il veut se faire sucer……Philippe ne réfléchit pas longtemps, pour toute réponse il lui appuie sur l’épaule et présente sa bite toute tendue.
C’est la caresse que je préfère pratiquer avec Philippe et nous n’avons rarement commencé une journée sans que je m’offre le plaisir de lui vider les couilles et d’avaler son nectar. Je la pratique sur lui aussi souvent que je le peux, que ce soit en voiture, au cinéma, sur un parking, au restaurant. Je ne m’en lasse pas et je n’ai jamais apprécié de voir une autre pratiquer cette caresse sur lui (le soir de notre mariage, la vision de Christine en train de lui tailler une pipe avait provoqué ma colère et mon adultère) C’est donc plus que je ne peux en supporter :
• Non, pas ça, je ne le permets pas !
Rachid m’arrête et me maîtrise.
• Tu seras punie pour ça ! Mais ça me plait de voir jalouse et crois-moi, tu n’as pas finie de l’être. Je te ferai pleurer des larmes de sang !
Marie fait tomber sa jupe et écarte sa culotte pour pouvoir atteindre sa chatte. Je vois les yeux de Marie s’ouvrirent grands, sans perdre de temps elle s’accroupit les jambes grandes ouvertes et happe la queue de Philippe qui, sous la caresse, gémit de plaisir. Elle le suce goulument tout en se branlant vivement. Je dois reconnaître que le spectacle est excitant au plus haut point. Philippe joue le jeu et se régale. Il fait des compliments sur la plastique de Marie et lui dit qu’elle suce super bien.
Elle lui lèche le gland, lentement, puis serre ses lèvres pour forcer sur son gland. Elle fait pénétrer bien au fond de sa bouche. Comme moi, Marie adore sucer, ça se voit que sa bouche est une bouche à pipes.
Le sexe de Philippe était dur. Ma rivale lui astique le manche pendant plusieurs minutes tout en le branlant et en lui caressant les couilles doucement. Par moment il lui prend la tête et pousse dessus pour que ça aille vraiment loin.
D’un seul coup il n’en peut plus et jouit, envoyant plusieurs giclées dans la bouche de Marie, qui n’en perd pas une goutte.
Elle se redresse, triomphante, puis se dirige vers moi, me prends dans ses bras, force mes lèvres, pour partager avec moi ce qu’elle n’a pas avalé. Je la remercie d’avoir partagé avec moi le nectar de mon mari.
• Vous aimez le goût de son sperme, Madame ? Moi j’en raffole !
• Il sera bientôt seulement à moi, j’ai voulu partager un peu avec toi.
Notre baiser se prolonge, elle sent mon désir et me calme brutalement en griffant mon dos avec ses ongles.
• Je te plais, on dirait, sale petite gouine. Je sais décidément ce que tu aimes et ce qu’il te faut !
Le diner reprend son court. Marie se montre très gentille, presque chatte avec Philippe, avec qui elle sort le grand jeu.
Elle lui demande de venir l’embrasser. Philippe s’enhardit, ses mains passent dans le décolleté de Marie et il prend à pleines mains ses seins opulents.
• Hum, chéri j’adore quand tu me touches, surtout devant elle. Elle sait maintenant ce que c’est que de se faire humilier, d’être trompée en sa présence. Dis-moi, Philippe, tu as envie de moi ?
• Oui, j’ai envie de toi. Tu me fais bander
• Tu m’aimes ?
• J’ai envie de toi, mais c’est Olga que j’aime.
• Tu augmentes encore ma haine contre cette chienne. Je ferai en sorte de te la faire oublier !
Peu après, Marie fit en sorte que je fasse tomber une assiette sur elle. Alors que je n’étais pas responsable, elle se déchaina, me giflant violemment
• Petite idiote ! Elle n’est vraiment bonne à rien. Tout au plus à mettre sur le trottoir. Et encore !
Elle enleva son chemisier, qui était taché.
• Demain pour repartir, je prendrai des vêtements à toi, demain matin. Pour cette nuit, pas de problème, je la passerai dans le lit conjugal avec mon homme. En attendant, c’est incroyable ce que tu as fait. Même ma culotte est salie. Il est vrai qu’elle était trempée car ça m’a excité à mort d’humilier cette petite garce et d’avoir sucé son mari en sa présence !
La conversation de Marie et de Rachid portait sur moi et Marie ne cachait pas ses intentions.
Elle veut que Philippe se rende compte que mon comportement sans limites ruine sa réputation. Elle invite Rachid à poursuivre ce qu’il a commencé et, ensemble, ils annoncent le programme des prochaines semaines. Elle suggère à Rachid d’organiser, avec Olivier et Serge, les collègues de Philippe, une partie fine et surtout de prévoir que ça se déroule sur son lieu de travail. Elle encourage Rachid à m’amener régulièrement à la cité, pour m’offrir à ses potes.
• Nous avons commencé. Nous avons une grande cave où nous faisons nos tournantes. Quand je l’en ai parlé, les potes étaient enthousiastes. J’ai fait circuler des photos d’elle à poil. Les volontaires sont nombreux. Ce sera chaque semaine, ce sera sans répit, crois-moi.
• Tu as pensé à d’autres choses ?
• Il y a le foyer Sonacotra de la ville. Je veux faire d’elle un vide-couilles.
• C’est parfait ! Et toi, Philippe, ça ne te gêne pas que ton épouse devienne une pute gratuite ?
• Du moment qu’elle n’est pas contrainte, j’adore la voir prise. Elle est encore plus belle dans ces moments-là. J’ai toujours rêvé de la voir baisée par des hommes qui se succéderaient sans répit pour l’honorer, jusqu’à ce qu’elle soit épuisée.
• J’avoue que je ne te comprends pas. Tu sais que Rachid a aussi l’intention de la féconder. Ça aussi, tu l’acceptes ?
• Oui, ce sera pour moi une nouvelle preuve d’amour pour Olga.
• Elle t’a vraiment ensorcelé cette garce pour que tu dises cela ! En attendant cette soirée m’a excité et, pendant que nous prenons le dessert, j’ai besoin d’être soulagée. Olga passe sous la table et occupe-toi de ma chatte !
Je suis heureuse car, malgré, ou à cause de son comportement, bien qu’elle veuille m’arracher mon cœur en cherchant à me prendre Philippe, j’ai follement envie de Marie. J’ai très envie de la lécher et de la faire jouir. Je suis sous la table et je place mes mains sur les jolies courbes fessières de Marie, de façon à exercer une pression suffisante pour la ramener vers moi. Elle avance ses genoux de manière à positionner son intimité au niveau de mon visage.
J’ai une jolie vue sur son minou : son petit rectangle de poils, son clitoris déjà gonflé et ses lèvres vaginales déjà humides. J’utilise mes mains pour la toucher et frotter son clitoris entre mon index et mon pouce, ce qui la fait gémir. J’introduis délicatement un doigt dans son vagin et le ressort mouillé. Je le regarde quelques secondes puis décide de le porter à ma bouche pour goûter son jus intime. Hum, c’est bon et j’ai envie d’en goûter plus.
J’utilise donc mes doigts pour lui écarter ses lèvres et je redresse suffisamment ma tête pour pouvoir toucher sa vulve avec ma langue. Je commence par donner des grands coups de langue de haut en bas et de bas en haut, puis j’alterne en secouant ma tête de gauche à droite. Sa chatte est désormais bien humide, certes par l’effet de ma salive, mais au goût que je perçois sur mes papilles, également par sa cyprine.
Marie ferme les yeux et est en train de se caresser ses seins avec les mains. Philippe et Rachid observent, fascinés, la montée du plaisir sur son visage.
Je décide de plonger dans son sexe et j’essaye d’introduire ma langue le plus loin possible dans son vagin. J’ai le nez quasiment sur son clitoris et je respire les odeurs de ses effluves intimes.
Je sens que Marie est en train de trembler : elle va bientôt jouir. Je cesse de jouer avec ma langue et pose mes lèvres sur son clitoris. Je commence à le mordiller très doucement pour ne pas lui faire mal puis à aspirer son bouton aussi fort que possible. Marie place sa main derrière ma tête et me tire vers elle pour que je continue jusqu’au bout. Précaution inutile car je n’ai pas du tout l’intention de retirer ma bouche avant qu’elle n’ait joui.
• Ouuuuuuiiiiiiiii, c’est booooon, ne t’arrête pas !!
Je suis obéissante et je me plie à son ordre. Je sens du liquide s’écouler de mon sexe : son orgasme a déclenché le mien. Mon corps s’est tendu et je sens une sensation de chaleur partir de ma chatte pour se diffuser avec bien-être dans le reste de mon corps. Marie, haletante me dit :
• La vache, tu es douée, je viens de vivre un des plus bels orgasmes de ma vie ! Mais n’imagine pas que ça change mes sentiments envers toi ni mes projets en ce qui concerne Philippe.
Le repas étant terminé, Marie nous fit signe à tous d’aller dans la chambre.
Marie sort un gros vibromasseur et me fait signe d’approcher.
• Toi d’abord, tu as droit de jouir car ensuite ce sera très dur pour toi, quand tu assisteras, impuissante à ma nuit d’amour avec ton mari. Viens Olga, j’ai envie d’utiliser ça sur toi.
• Comment voulez-vous que je me mette ?
• Installe-toi en travers du lit, le bassin vers le bord.
Je m’exécute et écarte les jambes lorsque Marie se place à genoux par terre. Elle commence à jouer avec ma chatte d’une main et à porter le vibromasseur à sa bouche avec son autre main. Elle entreprend un début de fellation sur le sextoy pour le lubrifier. Quelques instants plus tard, elle juge que c’est bon et fait coulisser le vibromasseur le long de mon clitoris puis de mes lèvres intimes.
Elle appuie sur le bouton à la base et le sextoy commence à gagner son nom en se mettant à vibrer.
Après quelques minutes de ce traitement, j’ai à nouveau le sexe humide. Je n’ai qu’une envie, c’est que Marie me l’insère dedans. Au lieu de quoi, celle-ci éteint le vibromasseur et me dit qu’elle me le mettra qu’à la condition qu’on fasse un 69.
C’est du chantage mais un chantage qui me convient. Tout plutôt que cette torture qu’est le fait de m’exciter et de me laisser en plan. En plus, ça me fait plaisir de pouvoir faire un nouveau cunnilingus à Marie. Je me replace correctement sur le lit, sur le dos, et j’attends que Marie vienne se placer sur moi. Pourtant, la position n’a pas l’air de lui convenir, et elle me fait basculer sur le côté.
Satisfaite, elle se place de la même façon mais en sens inverse. Ma tête est au niveau de son entrejambe et réciproquement, de telle sorte que nous formons effectivement un 69.
J’ai perdu un peu de mon excitation le temps qu’on se positionne mais je la retrouve vite lorsque Marie introduit le vibromasseur, éteint, dans mon vagin et commence à me sucer mon bouton d’amour.
Position oblige, je lui rends la faveur et recommence à la lécher. C’est génial, le fait de devoir m’occuper d’elle alors qu’elle s’occupe de moi m’empêche de jouir tout de suite et fait durer le plaisir plus longtemps. Notre 69 s’achève sur mon orgasme, lorsque Marie a enfin décidé de déclencher les vibrations du sextoy.
• Oh oui, Marie, c’est bon, vous pouvez faire de moi, de mes hommes ce que vous voulez ! Ouiiiii
• Je te ferai jouir et l’instant d’après souffrir. J’ai compris que c’est ce que tu cherchais, petite putain !
Marie n’a pas joui mais avec sa jouissance de tout à l’heure, je doute qu’elle aurait pu recommencer aussi tôt. Marie ressort le vibromasseur de mon sexe et, après avoir donné un petit coup de langue dessus, le porte à ma bouche pour que je le nettoie. Mes lèvres forment un O, et j’accepte cet intrus dans ma bouche. Je le suce comme s’il s’agissait du sexe d’un homme et goûte ma propre cyprine.
Marie n’en a pas encore fini avec moi.
Elle se met en position pour commencer à mettre dans l’entrée de mon con deux, puis trois doigts et enfin le début de la main. Je donne un grand coup de rein en poussant un hurlement quand la main entière est dans mon vagin. Elle l’enfonce complètement. Elle me fiste, ce que me fait régulièrement Philippe. La différence est qu’elle est brutale et va beaucoup plus loin et plus fort que Philippe, attentif seulement à mon plaisir, alors que Marie veut seulement me dominer et me faire mal.
Je suis pourtant dans un autre monde de volupté. Je murmure des mots sans suite coupés de gémissements. Marie continue avec sa main entièrement dans mon sexe. Elle me fiste jusqu’au moment où je semble perdre conscience. Elle enlève la main pleine de cyprine. Elle la lèche comme si elle avait mis la main dans un plat unique, tout y passe, tous les doigts, le dessus et la paume, jusqu’au début du poignet.
Je reste un moment pantelante, comme si un régiment m’était passé dessus.
• J’ai encore une surprise pour toi. Philippe, regarde bien, ton épouse est une véritable truie. Olga, ouvre ta bouche et approche de ma chatte !
• Non, s’il vous plait, pas ça ! C’est sale, je ne veux pas.
Elle me gifle à nouveau :
• Obéis, ouvre la bouche, je vais me soulager et les hommes le feront ensuite.
Marie écarte les lèvres de sa belle chatte, et un jet violent fuse dans ma gorge. Je suis surprise, j’ai la bouche remplie de pisse. Malgré ma nausée, j’avale.
• Décidemment, rien ne l’arrête ! Les hommes, approchez et soulagez-vous !
C'est au tour de Rachid. Nos ébats lesbiens l’ont beaucoup excité, il commence par envoyer sur mes seins, mes cheveux, mon visage, de puissantes giclées de sperme, puis urine dans ma bouche.
C'est maintenant au tour de Philippe, mais il est hésitant, il a des scrupules que l'on se serve de moi comme d'un urinoir. Je suis à ses genoux, bouche ouverte, et Marie l'encourage à se laisser aller.
Il s'abandonne, presque malgré lui. Ce petit jeu semble lui plaire. Il m'offre un long jet bien fourni, vrillé et doré. Jamais je n’aurais imaginé accepter ça et y trouver du plaisir.
Marie me fit ensuite changer les draps.
• Bon, maintenant je me suis assez occupée d’elle. Rachid, avant que, comme convenu, tu nous laisses tous les trois, tu vas l’attacher au fauteuil, pour que tu ne puisses pas bouger et les mains dans le dos, pour que tu ne puisses pas te caresser. Serre bien les cordes, qu’elle ne puisse pas bouger et que ça lui fasse mal. Je veux seulement que tu assistes, impuissante, à ton cocufiage. A la fin de cette nuit, ton mari sera définitivement à moi.
Rachid me lia les mains derrière le dos, puis m’attacha au fauteuil. Les cordes étaient en effet serrées et me faisaient mal.
Pendant des heures, j’ai assisté, impuissante, aux ébats de Marie et de Philippe. J’assistais à l’adultère de mon mari. Marie avait deviné que ce serait pour moi une épreuve. C’est la pire des tortures qu’elel pouvait m’infliger. Ça peut surprendre et choquer, moi, qui, depuis que je suis mariée avec Philippe, me suis offerte à tant d’hommes, mais je n’acceptais pas la réciprocité.
J’étais partagée entre la colère, sinon la rage, car j’étais folle de jalousie. Pourtant, peu à peu, ce que je voyais provoquait chez moi un émoi, puis une excitation croissante. Je devais avouer que c’était beau, et que j’étais particulièrement excitée de voir mon mari prendre du plaisir à faire jouir une autre femme.
C’était une autre Marie que je voyais. Ce n’était pas la dominatrice, la sadique qui me faisait souffrir et me voulait tant de mal. C’était une femme amoureuse, qui parvenait à ce qu’elle voulait depuis des années. Je me rendais compte aussi que, malgré mon amour pour Philippe, je n’avais pas su découvrir l’amant qu’il pouvait être. Je m’étais arrêtée à la taille moindre de sa verge, comparée en particulier aux mâles comme Rachid qui comblaient la vaginale que je suis. Je m’étais montrée égoïste, pensant à mon seul plaisir. Je n’avais pas su non plus faire ce qu’il fallait face aux tendances à l’éjaculation précoce de Philippe.
Marie, elle, à ce moment-là, ne pensait qu’au plaisir de l’homme qu’elle voulait et qu’elle aimait. A ma décharge, les précédentes compagnes de Philippe, Flavienne et Patricia n’avaient pas non plus su découvrir quel amant Philippe pouvait être.
Marie prenait tout son temps, faisant durer les préalables. Elle masturbait doucement Philippe, le prenait en bouche, mais devinait quand il était sur le point d’éjaculer. Elle savait alors s’arrêter, le rassurer, avant de reprendre le cours de leurs ébats.
Ce que je voyais devant moi, c’était un couple qui faisait l’amour, avec tendresse et progressivement, alors que moi, du fait de mon hypersexualité, je baisais, j’avais besoin d’enchainer les orgasmes et les coïts. Marie et Philipe, pendant un moment qui me sembla interminable, échangèrent baisers et caresses. C’est Marie qui était à l’initiative.
Philippe reprit les choses en mains en se mettant entre les cuisses de sa maîtresse et il lui pratiqua un long cunnilingus, qu’elle encourageait par ses gémissements et des paroles d’amour. Marie eut son premier orgasme. Comme moi, elle était multi-orgasmique.
Philipe ne lui laissa pas de répit. Il voulait à son tour dominer cette dominatrice.
Il lui introduit quatre doigts qui, lubrifiés par sa mouille abondante n’ont aucun mal à pénétrer son vagin distendu, les yeux fermés elle attend. Il tourne pour l’ouvrir encore plus. Philippe allonge son pouce à l’intérieur de sa main, et pousse en vrille. Arrivé à l’articulation du pouce ça bloque, les lèvres n’ont plus de formes, sa chatte devient un grand trou difforme, millimètre par millimètres il avance en tournant. Elle pousse un cri strident en même temps que ses lèvres se referment sur son poignet, son petit abricot a avalé la main !! Ça y est, elle est fistée !!
Il commence à bouger ses doigts, les retourne doucement vers l’intérieur, pile-poil sur son point G qu’il se met à gratter. Je sais par expérience ce que Marie peut ressentir. Philippe est un fisteur exceptionnel.
• Haaa ouii, c’est bon …on dirait que j’ai une bite de cheval dans la chatte …remue encore…
Lentement son poignet tourne alternativement, puis là pistonne ….c’est impressionnant. Marie se soulève sur ses coudes pour regarder ce qui ce passe entre ses cuisses.
Le jus de sa chatte coule le long du poignet de Philippe.
• Oh, oui, Vas-y plus fort…baise moi avec ton bras….je veux jouir comme çà ….
Je n’en peux plus, j’interviens, pour encourager Philippe.
• Oui, chéri, mets lui ton bras le plus profond possible, je veux entendre cette salope hurler de plaisir et de douleur !
• Comment oses-tu parler de moi ainsi, tu le paieras !
• En ce moment tu n’es pas Maitre Marie C, tu es une femelle qui se fait prendre par un mâle. Fais-la couiner, chéri. J’aime ça. Ah, si je pouvais branler mon clito, ma chatte est béante et trempée !
Les yeux de Marie se ferment à nouveau pour mieux ressentir ce que Philippe lui inflige, le vagin est maintenant bien ouvert, comme lors d’un accouchement, il arrive à sortir son poing et à le rentrer sans douleurs, le pouvoir du vagin à se distendre est surprenant.
Marie remonte ses genoux sur ses seins pour s’offrir au maximum, une position on ne peut plus impudique !! Çà lui coule entre les fesses, jusqu’au moment où Philippe retire un peu son poing, il prend une giclée de liquide en pleine figure…ce n’est pas de l’urine, un gout légèrement acre, la femme hurle à nouveau son bonheur.
Son vagin est rouge, le sang affleure la peau, stigmatisant la jouissance…Philippe a peur qu’elle ne tombe dans les pommes, alors il ralentit, puis doucement dans un bruit de ventouse se retire, la moule se vide, le lit est trempé, une flaque impressionnante !!
Marie revient sur terre lentement, elle a les yeux cernés…
Elle embrasse Philippe à pleine bouche….
• Merci mon chéri…Tu vas continuer à t’occuper de mon petit cul…..Mais il nous faut attendre que ma chatte se referme car j’ai envie que tu me prennes et tu te vides en moi.
Marie prend tout son temps avant ce coït qu’elle a tant attendu. Il faut en effet que son vagin se referme pour qu’elle puisse être prise par l’homme.
Quand elle juge le moment venu, elle vient sur Philippe et, après l’avoir longuement embrassé, vient s’empaler sur sa verge. Elle choisit la position d’Andromaque pour contrôler au mieux le coït et éviter l’éjaculation précoce.
Marie prend le contrôle de la relation sexuelle. Elle est assise à califourchon sur Philippe de façon à le faire pénétrer en elle. Elle effectue les mouvements de va-et-vient puis d'avant en arrière selon ses désirs et ses sensations. Elle prend le temps de demander à Philippe si les mouvements qu'elle effectue lui sont tout aussi agréables à lui qu'à elle.
Philippe en profite pour caresser les seins et le clitoris de sa partenaire afin de lui donner encore plus de plaisir. Je vois combien Philippe est fasciné par la forte poitrine de ma rivale.
• Tu vois, Olga, le plaisir qu’il a et qu’il me donne. Désormais, il n’est plus à toi, il est à moi !
Marie contractait son vagin et faisait des mouvements de bas en haut à une vitesse folle. Sans lui laisser un seul instant de répit, elle recommençait. Ils finirent par exploser tous les deux dans un orgasme dévastateur qui nous fit nous écrouler épuisés et comblés.
Un peu plus tard, Philippe vint me délivrer de mes liens, me donna un baiser, mais alla rejoindre sa maîtresse pour passer la nuit avec elle. Je restais dans mon fauteuil, avec une couverture et, malgré la masturbation pour tenter de calmer enfin mon excitation, je ne parvenais pas à trouver le sommeil, désespérée parce que j’étais convaincue d’avoir perdu Philippe.
Pourtant le lendemain, il vint me retrouver, me demandant pourquoi j’avais passé la nuit dans ce fauteuil et pas dans un lit. Je m’effondrai dans ses bras et lui disait, le visage inondée de larmes, combien je l’aimais.
A ce moment-là, Marie se réveilla et demanda à Philippe ce qu’il faisait dans mes bras.
• C’est très simple, Marie, nous avons fait l’amour, et c’était merveilleux. Mais c’est Olga que j’aime, pas toi.
Marie me jeta un regard glaçant, quitta le lit, et après récupéré quelques habits dans mon placard, s’en alla en claquant la porte.
• Oh Philippe, j’ai cru te perdre !
• Jamais, chérie, tu es folle ! Mais il faut absolument cesser les relations avec cette femme. J’ai peur du mal qu’elle peut te faire. Surtout après ce qui s’est passé.
Il avait raison. Mais je n’étais pas encore prête à l’écouter.
(à suivre)
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47 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@John62, merci. Oui des dominateurs et Marie était dangereuse
Philippe devient le centre des attentions de Rachid et Marie qui se montre une dominante très dure. Une vraie sadique qui s'amuse à t'humilier plus qu'à profiter de ton mari... heureusement que sa main a des qualités pour compenser les faiblesses de son sexe et Marie y trouve son compte
Comme toujours une très belle écriture
Comme toujours une très belle écriture
@ Didier, un commentaire long et pertinent, fruit d'une lecture attentive de ce chapitre et des précédents. A l'époque, je n'aurais pas réagi comme je le fais aujourd'hui, plus d'une décennie après cette situation. A l'époque, je dirai que nous étions sous emprise de Rachid, ce que les experts appellent "le syndrome de Stockholm". Cela nous a amené très près du gouffre. Nous avons eu beaucoup de chance de nous en remettre. Ce ne fut pas qu'une question de chance. C'est avant tout la force de l'amour qui nous lie Philippe et moi qui nous a permis, in extremis, de nous en sortir, après bien des moments douloureux.
Olga,
Comme je le pressentais, la création de ce triangle amoureux provoque une accélération de votre destruction par Rachid.
Son mépris affiché envers Philippe, le pousse ainsi à l’humilier, à vous humilier, de plus en plus, et donc votre réputation, déjà bien mise à mal, se voit réduite à néant. Sans compter de plus qu’étant tous deux épris des étreintes viriles de votre Mâle, il se crée entre vous une certaine rivalité afin d’obtenir ses faveurs pour la nuit.
Rachid qui de plus est influencé par cette Marie qui te hait tant. Une haine qu’elle te voue du fait qu’en plus de lui avoir usurpé le titre de meilleure baiseuse, elle ne te juge pas digne de Philippe, l’homme qu’elle aime, qu’elle veut, et que tu lui as volé en l’épousant…
C’est dans ce contexte que ton amant t’ordonne alors d’organiser pour Marie et lui, un diner en tête à tête, chez toi et où avec Philippe êtes contraints de les servir nus, accentuant ainsi l’humiliation de ce pénible moment.
Marie te montrant d’entrée de jeu qu’elle a déjà la main mise sur Rachid, se fait dominatrice à ton encontre, faisant preuve alors envers toi d’une violence aussi bien physique que verbale que seul Philippe, avec qui elle minaude, arrive à contenir. Seulement, ce châtiment n’a pas du tout sur toi l’effet escompté, car tu y prends un certain plaisir.
Plaisir en effet que tu as découvert adolescente quand ton père te châtiait après une tentative d’inceste, due surement à un complexe d’Electre, et qui se confirma à chaque fois qu’il te corrigeait de tes incartades du moment.
Bien que soudainement mystique tu approuve ce châtiment corporel, Marie décide alors de te faire souffrir autrement, en appuyant où cela te fais vraiment mal, à savoir te voler ton joyau, ton Philippe.
Sous la menace de virulentes représailles à ton encontre, ton bien aimé finit par céder finalement aux avances de la perfide Marie. Celle-ci, après lui avoir pratiqué une fellation et reçu de ta part un succulent cunnilingus, se lance dans une brutale étreinte saphique avec toi, ébat se concluant pour toi par un nouvel avilissement, l’urophilie.
Dès lors, entravée sur une chaise une partie de la nuit, tu te vois imposer d’assister impuissante aux étreintes charnelles de Marie et Philippe, qui ne baisent pas mais font l’amour, te faisant ainsi découvrir quel excellent amant peut être aussi ton Philippe.
Cependant au matin, totalement désespérée et éplorée, c’est un Philippe aimant qui vient te réconforter, confirmant ainsi et aussi à une Marie furieuse tout ce qu’il a pu lui affirmer le long de la soirée, la seule personne qu’il aime c’est TOI, son Olga.
Si je ne dois retenir qu’une seule chose de cet étrange diner, où domination, plaisirs, mais aussi révélations, avilissements et souffrances furent au menu, c’est que ton couple a su, a pu, résister à la destruction seulement grâce à l’indéfectible et incommensurable amour que vous vous portez tout deux.
Une question cependant, pourquoi t’obstine-tu à continuer de refuser ce que ton Philippe te demande, à savoir de tout arrêter sur le champ?
Au regard de ce que Rachid et Marie te réservent à l’avenir, oui pourquoi un tel acharnement à vouloir poursuivre dans cette voie de perdition et de souffrance?
Est ce ton insatiable désir de jouissance ou ton envie de donner du plaisir à ton époux candauliste qui te pousse à faire cela?
Le jeu en vaut-t-il vraiment la chandelle, en effet au final cette fuite en avant ne risque t'elle pas de te, de vous, détruire...
Didier
Comme je le pressentais, la création de ce triangle amoureux provoque une accélération de votre destruction par Rachid.
Son mépris affiché envers Philippe, le pousse ainsi à l’humilier, à vous humilier, de plus en plus, et donc votre réputation, déjà bien mise à mal, se voit réduite à néant. Sans compter de plus qu’étant tous deux épris des étreintes viriles de votre Mâle, il se crée entre vous une certaine rivalité afin d’obtenir ses faveurs pour la nuit.
Rachid qui de plus est influencé par cette Marie qui te hait tant. Une haine qu’elle te voue du fait qu’en plus de lui avoir usurpé le titre de meilleure baiseuse, elle ne te juge pas digne de Philippe, l’homme qu’elle aime, qu’elle veut, et que tu lui as volé en l’épousant…
C’est dans ce contexte que ton amant t’ordonne alors d’organiser pour Marie et lui, un diner en tête à tête, chez toi et où avec Philippe êtes contraints de les servir nus, accentuant ainsi l’humiliation de ce pénible moment.
Marie te montrant d’entrée de jeu qu’elle a déjà la main mise sur Rachid, se fait dominatrice à ton encontre, faisant preuve alors envers toi d’une violence aussi bien physique que verbale que seul Philippe, avec qui elle minaude, arrive à contenir. Seulement, ce châtiment n’a pas du tout sur toi l’effet escompté, car tu y prends un certain plaisir.
Plaisir en effet que tu as découvert adolescente quand ton père te châtiait après une tentative d’inceste, due surement à un complexe d’Electre, et qui se confirma à chaque fois qu’il te corrigeait de tes incartades du moment.
Bien que soudainement mystique tu approuve ce châtiment corporel, Marie décide alors de te faire souffrir autrement, en appuyant où cela te fais vraiment mal, à savoir te voler ton joyau, ton Philippe.
Sous la menace de virulentes représailles à ton encontre, ton bien aimé finit par céder finalement aux avances de la perfide Marie. Celle-ci, après lui avoir pratiqué une fellation et reçu de ta part un succulent cunnilingus, se lance dans une brutale étreinte saphique avec toi, ébat se concluant pour toi par un nouvel avilissement, l’urophilie.
Dès lors, entravée sur une chaise une partie de la nuit, tu te vois imposer d’assister impuissante aux étreintes charnelles de Marie et Philippe, qui ne baisent pas mais font l’amour, te faisant ainsi découvrir quel excellent amant peut être aussi ton Philippe.
Cependant au matin, totalement désespérée et éplorée, c’est un Philippe aimant qui vient te réconforter, confirmant ainsi et aussi à une Marie furieuse tout ce qu’il a pu lui affirmer le long de la soirée, la seule personne qu’il aime c’est TOI, son Olga.
Si je ne dois retenir qu’une seule chose de cet étrange diner, où domination, plaisirs, mais aussi révélations, avilissements et souffrances furent au menu, c’est que ton couple a su, a pu, résister à la destruction seulement grâce à l’indéfectible et incommensurable amour que vous vous portez tout deux.
Une question cependant, pourquoi t’obstine-tu à continuer de refuser ce que ton Philippe te demande, à savoir de tout arrêter sur le champ?
Au regard de ce que Rachid et Marie te réservent à l’avenir, oui pourquoi un tel acharnement à vouloir poursuivre dans cette voie de perdition et de souffrance?
Est ce ton insatiable désir de jouissance ou ton envie de donner du plaisir à ton époux candauliste qui te pousse à faire cela?
Le jeu en vaut-t-il vraiment la chandelle, en effet au final cette fuite en avant ne risque t'elle pas de te, de vous, détruire...
Didier
@ Ibrahim, c'est vrai qu'il se comporte tout à fait différement avec les autres femmes. Ça provoque d'ailleurs chez moi de la jalousie
tu te fais humilier et corriger comme une grosse pute soumise et tu adores ça.
ton cocu sait baiser dès qu'il déboite une autre chienne que toi
Ibrahim
ton cocu sait baiser dès qu'il déboite une autre chienne que toi
Ibrahim
C'est exactement ça Sarah, plus, en ce qui me concerne, la volonté "d'expier" mes fautes
Cette Marie, comme d'ailleurs Rachid, était vraiment dangereuse. Mais peut-être avais tu besoin, votre couple avait-il besoin d'expériences extrêmes!
Sarah
Sarah
Merci Manon, je sais aujourd'hui combien tu as raison!
Heureusement que tu n'es plus sous la coupe de Marie et de Rachid. Je n'ose pas imaginer ce qu'ils auraient fini par faire de toi. Je pense même qu'ils t'auraient détruite!
Manon
Manon
@ Manon, c'est en effet tout ça à la fois. Depuis mon adolescence, quand ma mère, poussée à bout par mon insolence, sortait une cravache pour me corriger, j'avais découvert que cela me procurait du plaisir, ce qui d'ailleurs la rendait folle de rage. Par la suite, j'ai peu eu l'occasion de pratiquer. je devais beaucoup insister pour que Philippe le fasse, pour me faire plaisir. Alors, oui, les séances initiées par Marie m'apportaient ce plaisir rare. Il y avait aussi l'obéissance à Rachid. Et aussi, car je suis toujours croyante, le sentiment que je méritais d'être punie, comme lorsque je manquais de respect à ma mère.
Le seul moment où je me suis révoltée dans ces moments, c'est quand cette garce de Marie C. prétendait vouloir m'enlever Philippe. Personne ne parviendra jamais à nous séparer. Philippe est à moi!
Le seul moment où je me suis révoltée dans ces moments, c'est quand cette garce de Marie C. prétendait vouloir m'enlever Philippe. Personne ne parviendra jamais à nous séparer. Philippe est à moi!
Je continue ma découverte de tes récits. J'avoue que ce récit me met mal à l'aise. Qu'est-ce qui te faisait accepter ça? Ta soumission à Rachid qui était alors ton "mâle"? Ton attirance pour les pratiques sado-maso? La volonté de te punir pour ta conduite? Ce qui me frappe aussi d'une certaine façon, c'est ton attachement à Philippe, malgré ce que tu lui avais fait et au risque de redoubler la colère, la haine de la terrible Marie C, qui avait compris que, pour te faire vraiment mal il fallait t'enlever Philippe
Manon
Manon
André, j'en ai parlé dans le récit 17: 3 filles ayant respectivement 8 ans, 6 ans et 4 ans. Philippe est le père biologique de la dernière, il a reconnu la première et les élève toutes les trois. Hassan a assumé sa paternité pour la seconde. Nos trois filles adorent Philippe, qui est leur papa et c'est aussi pour elles que nous ne pouvons nous séparer. Le fait que j'attends un enfant de N et Théodora un enfant de Philippe crée une situation nouvelle et compliquée, mais nous trouverons une solution dans l'intérêt des enfants.
A Jacques du Canada, les enfants que nous avons eus (et ceux que nous attendons) ont été voulus. Nous veillons strictement à les préserver de notre mode de vie et d'autant plus que nos filles grandissent. C'est ce qui nous conduira, j'en suis certaine, à surmonter notre crise actuelle.
Je vous suivais déjà du temps de votre blog. Si j'ai bien suivi, Olga ça fait 4 enfants de 4 pères biologiques différents? André
Quel famille multiethnic!
Je vous souhaite bonne chance à tous.
Voulez-vous avoir de l'information sur les multiples moyen anticonceptionnelles? Peux-être utile pour vous tous!
Jacques du Canada
Je vous souhaite bonne chance à tous.
Voulez-vous avoir de l'information sur les multiples moyen anticonceptionnelles? Peux-être utile pour vous tous!
Jacques du Canada
A Jacques du Canada. Oui c'est vrai que j'ai fait la même chose précédemment, en particulier lors de ma liaison avec Hassan, dont je parlerai ultérieurement. Mais je suis ensuite revenue vers Philippe, car notre couple est fusionnel. Le mari candauliste et l'épouse hypersexuelle sont inséparables. Nous avons aussi en commun nos trois filles que nous adorons et avons toujours voulu et su préserver. Cette fois c'est plus difficile d'une part parce que Philippe semble amoureux de cette petite garce, qui attend un enfant de lui et qui satisfait tous les fantasmes candaulistes de Philippe. De mon côté, j'attends un enfant de N. Je suis prête à tout accepter pour ne pas perdre Philippe. Les autres hommes, je les ai désirés sur le plan sexuel, mais je sais maintenant que c'est Philippe que j'aime.
Le retour du boomerang Olga!
N'oublies pas que tu lui a fait la même chose il y a quelques temps.
Maintenant un boomerang continue jusqu'à son point d'origine s'il n'est pas arrêté. À toi de jouer avec efficacité comme seulement une femme peut le faire.
Bonne chance et si tu as le succès espéré il faudra agir avec diligence avec Phîippe dans le futur
Jacques du Canada.
N'oublies pas que tu lui a fait la même chose il y a quelques temps.
Maintenant un boomerang continue jusqu'à son point d'origine s'il n'est pas arrêté. À toi de jouer avec efficacité comme seulement une femme peut le faire.
Bonne chance et si tu as le succès espéré il faudra agir avec diligence avec Phîippe dans le futur
Jacques du Canada.
Oui Luc, notre couple traverse un moment très difficile. Philippe a fait venir en France cette petite garce de Théodora et s'est installé avec elle.Philippe est à moi, pas à elle. Je n'ai pas dit mon dernier mot
Olga, et pourquoi un tel délai pour publier la suite? Nous commencions à nous impatienter! Des problèmes dans votre couple Philippe et toi? Luc
Je viens d'envoyer la suite de notre histoire, qui sera donc disponible prochainement. Pardon pour ce long délai. Bises pour ceux et celles qui suivent mes récits.
bonjour à tous et merci pour vos messages, en m'excusant pour ne pas avoir répondu plutôt. Oui, Alex, nous avions fermé le blog, car cela nous avait créé des problèmes, dû au manque de prudence (publication de photos en particulier) Ici c'est plus discret. Oui Léon, nous continuons à vivre notre vie. Nous essaierons de publier la suite de ces récits dès que possible. Bises
Salut olga, j'espère que tu vas bien, ...donne nous de tes nouvelles. ...
Perso je vous ai suivi via votre ancien blog et suis content de te relire. ....continue à croquer la vie à belle dent pour nous. ....et ne t'occupes pas des frustrés
A te lire bientôt. ...et profites bien de la vie...
Leon. .
Perso je vous ai suivi via votre ancien blog et suis content de te relire. ....continue à croquer la vie à belle dent pour nous. ....et ne t'occupes pas des frustrés
A te lire bientôt. ...et profites bien de la vie...
Leon. .
Bonjour Olga
Je vous suivait il y a quelques temps sur un blog que vous avez je crois ferme
je suis content de vous avoir retrouve ainsi
bien a vous
Alex
Je vous suivait il y a quelques temps sur un blog que vous avez je crois ferme
je suis content de vous avoir retrouve ainsi
bien a vous
Alex
Bonsoir à tous. Nous publierons dès que possible la suite de notre histoire. Désolés nous somems peu disponibles en ce moment. Merci pour votre compréhension et merci pour vos commentaires.
J'ai encore oublié de signer!
Jacques du Canada
Jacques du Canada
Es-tu en repos Olga? Donnes-moi des nouvelles.
J'ai encore oublié de signer!
Jacques du Canada
Jacques du Canada
Je ne suis pas vraiment surpris de votre situation actuelle Olga. En couchant avec tout le monde en voulant tromper son conjoint ne démontre pas trop de respect pour l'être cher!
Phîippe veut ou voulait que vous réalisiez vos pulsions sexuelle il a tout fait pour que votre bien être se réalise. Lui il est candauliste, il aurait aimé qu'en bénéficiant de ses largesses d'esprit que vous lui auriez permis d'assouvir son fantasme.
Mais non vous avez profité, attrapé votre macro mâle. Vous avez donné le contrôle à votre macro et par le fait même délaissé Philippe qui lui ne voulait que votre bonheur. Pensez-vous qu'il a aimé cette situation?
Vous êtes tiraillé avec N! Pourquoi? Que vous apportera y-il? Il n'y a pas un homme qui vous a démontré autant d'amour que Philippe. N ne durera qu'un instant. Entre vous et moi, quel homme ne desirerais pas passer quelques temps avec vous?
Ça prendre de la connivence dans votre couple.
Réalisez vos pulsions sexuelle a deux au lieu d'individuellement. Vous verrez alors que la partie est complètement differente et peut-être beaucoup plus agréable avec l'être adoré!
Phîippe veut ou voulait que vous réalisiez vos pulsions sexuelle il a tout fait pour que votre bien être se réalise. Lui il est candauliste, il aurait aimé qu'en bénéficiant de ses largesses d'esprit que vous lui auriez permis d'assouvir son fantasme.
Mais non vous avez profité, attrapé votre macro mâle. Vous avez donné le contrôle à votre macro et par le fait même délaissé Philippe qui lui ne voulait que votre bonheur. Pensez-vous qu'il a aimé cette situation?
Vous êtes tiraillé avec N! Pourquoi? Que vous apportera y-il? Il n'y a pas un homme qui vous a démontré autant d'amour que Philippe. N ne durera qu'un instant. Entre vous et moi, quel homme ne desirerais pas passer quelques temps avec vous?
Ça prendre de la connivence dans votre couple.
Réalisez vos pulsions sexuelle a deux au lieu d'individuellement. Vous verrez alors que la partie est complètement differente et peut-être beaucoup plus agréable avec l'être adoré!
Jacques du Canada, vous êtes sévère, mais pas loin de la vérité. Je ferai tout pour sauver notre couple avec Philippe, qui est tiraillé entre N d'un côté en ce qui me concerne et Théodora pour ce qui concerne Philippe. Je me battrai pour ça.
merci Kaminu, dès que possible. Peu de temps disponible en ce moment. Bises
Je trouve vraiment désolant que vous n'ayez pas été capable de benificier de la complicité de Phîippe a votre égard. S'il y avait eu de la complicité amoureuse vis à vis de Philippe vous en seriez pas là en ce moment. Un couple en amour a une vision,un but à atteindre ensemble.
Vous Olga vous êtes tombé en amour avec tous ceux qui vous ont fait jouir sans agard pour Philippe.
Prenez soin de lui un peu il est le seul qui vous comprend et qui peut vous rendre heureuse.
Jacques de Canada
Vous Olga vous êtes tombé en amour avec tous ceux qui vous ont fait jouir sans agard pour Philippe.
Prenez soin de lui un peu il est le seul qui vous comprend et qui peut vous rendre heureuse.
Jacques de Canada
Même si vous dites que vous aimez Phîippe, lors de votre dernier voyage en Grèce l'été dernier, vous l'avez laissé seul sans rien lui dire et êtes partie avec un inconnu pour sentir plus que vous le trompiez.
Il ne faut pas beaucoup d'amour pour agir ainsi.
Il a rencontré Théodora,qui vous a rencontré auparavant. Elle l'a réconforté sur votre absence et l'a guidé vers votre lieu d'accouplement. Vous désiriez avoir un enfant avec cet inconnu qui maintenant est votre ami semble t'il.
Je ne vois pas de grand amour envers Philippe qui lui j'en suis certain était follement amoureux de vous.
La goutte d'eau à peut être fait débordé le vase.
Comme je vous disais avec trois enfants et peut-être un autre en chemin, ça prend un bon fond de pension. Je ne suis pas certain que Philippe voudra contribuer pour les deux premiers et celui en devenir. On en saura peut-être plus dans avenir proche!
Jacques du Canada
Il ne faut pas beaucoup d'amour pour agir ainsi.
Il a rencontré Théodora,qui vous a rencontré auparavant. Elle l'a réconforté sur votre absence et l'a guidé vers votre lieu d'accouplement. Vous désiriez avoir un enfant avec cet inconnu qui maintenant est votre ami semble t'il.
Je ne vois pas de grand amour envers Philippe qui lui j'en suis certain était follement amoureux de vous.
La goutte d'eau à peut être fait débordé le vase.
Comme je vous disais avec trois enfants et peut-être un autre en chemin, ça prend un bon fond de pension. Je ne suis pas certain que Philippe voudra contribuer pour les deux premiers et celui en devenir. On en saura peut-être plus dans avenir proche!
Jacques du Canada
Merci beaucoup Olga.
J'ai hâte de lire le prochain épisode, j'en bande d'avance.
J'ai hâte de lire le prochain épisode, j'en bande d'avance.
- A notre lectrice anonyme: moi aussi ça m'excite beaucoup quand Phil se fait prendre devant moi
- A Kaminu, nous aimons aussi beaucoup tes récits. Nous aurons l'occasion de reparler de la bisexualité de Philippe
- A Marthe, ça vous étonnera, mais je suis d'accord avec vous. Et c'est pour ça que j'ai accepté tout ce que Marie m'a fait subir, je considérais que c'était la punition de mes fautes
- A Jacques du Canada, vous êtes sévère envers moi. je réaffirme que j'aime mon mari, mais je sais que je ne suis pas toujours digne de son amour. Je m'en rends compte car en ce moment notre couple tangue, cette petite Théodora est une rivale redoutable. Mais je ne veux pas perdre Philippe
- A Kaminu, nous aimons aussi beaucoup tes récits. Nous aurons l'occasion de reparler de la bisexualité de Philippe
- A Marthe, ça vous étonnera, mais je suis d'accord avec vous. Et c'est pour ça que j'ai accepté tout ce que Marie m'a fait subir, je considérais que c'était la punition de mes fautes
- A Jacques du Canada, vous êtes sévère envers moi. je réaffirme que j'aime mon mari, mais je sais que je ne suis pas toujours digne de son amour. Je m'en rends compte car en ce moment notre couple tangue, cette petite Théodora est une rivale redoutable. Mais je ne veux pas perdre Philippe
Bravo à Marie de traiter Olga comme elle le mérite! Luc
Dommage, comme le dit une lectrice, que Philippe ne se soit pas encore fait prendre comme une femelle et bien fait remplir le cul. Récit très excitant néanmoins, tu m'a encore fait jouir chère Olga, j'adore me branler en lisant tes histoires.
La confirmation de l'attrait d'Olga pour le SM Excitant! Paul
Jacques du Canada, c'est moi qui vient d'envoyer les commentaires concernant votre grand amour pour Philippe.
Là Olga je suis très septique quant à votre grand amour pour Philippe. Vous avez toujours bien dit à votre macro au début de votre relation que vous laisseriez Philippe s'il le demandais! Vous l'avez toujours bien laissé pendant une semaine sans l'informer de votre situation!
Vous allez nous raconter plus tard l'avoir laissé pour plusieurs mois! Je crois que vous l'aimez quand ça fait votre affaire, point à la lingne.
Un amour comme le vôtre si j'étais à la place de Philippe, je m'en passerais. J'assouvirais ma passion avec quelqu'un qui me le rendrait bien! Je ne vois aucune connivance avec Phîippe parcontre tout le contraire avec votre macro.
Comme vous dites si bien vous êtes un peu égoïste sur ce coté là!
Vous allez nous raconter plus tard l'avoir laissé pour plusieurs mois! Je crois que vous l'aimez quand ça fait votre affaire, point à la lingne.
Un amour comme le vôtre si j'étais à la place de Philippe, je m'en passerais. J'assouvirais ma passion avec quelqu'un qui me le rendrait bien! Je ne vois aucune connivance avec Phîippe parcontre tout le contraire avec votre macro.
Comme vous dites si bien vous êtes un peu égoïste sur ce coté là!
Marie est l'instrument de ton châtiment! Et c'est mérité pour toutes fautes. Marthe
c'est bcp plus excitant quand phil se fait prendre comme une femelle!!
merci pour vous commentaires. Oui, Jacques ce récit prouve que Philippe est capable de prendre les choses en mains. Il n'est pas question pour moi d'accepter que l'on me prenne l'homme que j'aime, au-delà de tous mes amants Pas plus à l'époque qu'aujourd'hui
Oui Luc il semble que Philippe reçoit tout d'un coup la reconnaissance qu'il mérite! J'espère que ça continuera car c'est tout de même lui qui maintient ce trio ensemble!
Je pense qu'Olga a réalisé son manque attention envers Philippe. En tant qu'hypersexuelle elle sera certainement capable de redonner la place et l'amour dont il a droit
Jacques du Canada
Je pense qu'Olga a réalisé son manque attention envers Philippe. En tant qu'hypersexuelle elle sera certainement capable de redonner la place et l'amour dont il a droit
Jacques du Canada
Une surprenante inversion des rôles, au bénéfice de Philippe! Luc
Vivement la suite en.faisant la pute gratuite et la.fecondation.
Olga, Ce récit est dur mais montre la force de votre amour à Philippe et toi.