Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (26) Olga et Ahmadou
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (26) Olga et Ahmadou
Ceux et celles qui me suivent depuis le début de ces récits savent que ma préférence va à des amants endurants, bien membrés et qui me baisent longuement comme une femelle et, j’ose le dire, comme une salope. C’est ce genre de mâles qui m’a toujours attiré depuis que j’ai perdu ma puberté. Ce que je cherche alors, c’est à être prise, à être bien remplie. La position que je préfère dans ce cas est la levrette, parce que c’est celle où la pénétration est la plus profonde et surtout celle où je me sens le plus femelle, voire animale, entièrement tendue vers le plaisir que va me donner le coït et l’appel que je fais au mâle pour qu’il me prenne encore et encore.
Je suis à la fois vaginale et clitoridienne et j’ai aussi la capacité d’enchaîner des orgasmes de plus en plus en puissants. Et le summum est quand il est possible que le mâle, après avoir longuement résisté, se vide en moi en de longues et puissantes giclées. Je m’abandonne alors totalement à ma fonction de femelle et cela peut aller, comme ce fût le cas avec Rachid (Récit n°22), puis avec Hassan et plus récemment avec N, jusqu’à me faire féconder par celui à qui je m’offre totalement.
Vous l’avez compris, ce que je veux dans ces cas-là, ce n’est pas de la tendresse et des sentiments. Comme toute personne, j’en ai besoin et c’est ce que m’apporte Philippe. C’est ce qui le rend indispensable. Seul Hassan a essayé, et a réussi un moment, à jouer ce rôle auprès de moi. Mais personne ne peut remplacer Philippe dont le candaulisme et l’amour sans limites qu’il me porte font que nous sommes en communion quand il m’offre à un autre et voit monter mon plaisir, qui devient alors aussi le sien.
Quand je suis ainsi femelle, je ne recherche guère les baisers, les caresses, les préliminaires. Et pourtant j’adore quand les lèvres, les mains de mes amants parcourent mon corps, quand on s’occupe de mes petits seins si sensibles, quand une langue explore ma chatte. Pourtant, quand je suis offerte (je ne dis pas quand je m’offre, car c’est Rachid qui décidait et depuis c’est Philippe qui décide) à un mâle qui a une virilité prometteuse d’un long coït, ce dont j’ai envie, encore et encore, c’est d’être saillie, qu’il m’envoie en l’air. Sa queue est alors comme une épée dont mon vagin est le fourreau. Je n’ai plus qu’une envie, être prise, pénétrée, sentir les couilles lourdes taper sur mes fesses. Dans ces cas-là, et je l’assume, je suis une salope, une chienne, une femelle, qui n’écoute plus que son instinct qui vient sans doute du fonds des âges. Et dont le plaisir est décuplé par les insultes proférées par le mâle, sa domination sans oublier la présence, les encouragements, le plaisir partagé de mon mari Philippe.
Lors de l’une des partouzes dont j’ai parlées dans le récit 25, j’avais eu l’occasion de « rencontrer » Ahmadou, un ami sénégalais de Rachid. J’avoue avoir eu peur la première fois que ce jeune homme ne m’estropie, tellement son engin était monstrueux. Mais j’avais connu un plaisir inouï et j’avais envie de recommencer.
Que l’on soit clair. Il n’y a pas de ce point de vue de déterminisme. Tous les Africains ne disposent pas d’une virilité hors normes, prétendre le contraire serait un préjugé stupide et raciste. J’ai parlé, tout au long de ces récits des amants particulièrement gâtés par la nature et qui m’ont possédé. Rachid a été l’un d’eux. En érection, sa verge avait une longueur de 22 centimètres et, dès la première fois qu’il m’avait prise, dans l’ascenseur de notre immeuble (récit n°10), je savais qu’il serait mon mâle. Et il le fût pendant près de deux ans, et chaque jour il « m’honorait » et je m’en lassais pas, au point que nous avons poursuivi cela y compris pendant ma grossesse.
Ahmadou c’était encore un niveau au-dessus. Je pense que si je n’avais pas pratiqué régulièrement le fist-fucking avec Philippe, à qui je demandais de me mettre la main et une partie de l’avant-bras, jamais je n’aurais pu supporter d’avoir en moi un tel engin.
Le soir même de cette fameuse partouze, j’ai osé demandé à Rachid si je pouvais revoir Ahmadou, s’il pouvait le faire venir à la maison.
Rachid a commencé, par sadisme, à faire trainer les choses, disant que je ne méritais pas un tel cadeau, et ce malgré mes demandes répétées et mes supplications. Cela devenait chez moi une obsession. Je voulais à nouveau copuler avec Ahmadou.
C’est Philippe qui l’a convaincu, lui expliquant qu’il aimerait beaucoup voir ce mâle me démonter. Mieux, il suggéra à Rachid de vérifier qu’Ahmadou puisse garantir qu’il était sain, afin de me prendre sans capote et se vider en moi. Plus de risques de conception, puisque j’étais déjà enceinte, seulement le plaisir de voir ma chatte noyée par la semence de ce mâle exceptionnel.
Rachid finit par le faire venir, mais se refusa à assister, sans doute un peu jaloux que je fusse attirée par un mâle encore plus performant que lui. Il précisa juste à Ahmadou que « le cocu voulait mater»
• Tu ne seras pas déçu, cocu, tu vas voir comment je vais m’occuper de cette petite putain blanche.
Ce premier soir où Ahmadou est venu, je portais une robe-tunique blanche, assez transparente, un string blanc, des escarpins ouverts à talons hauts…
Il ne s’embarrassa pas de préliminaires. Il était venu pour me baiser et j’étais impatiente qu’il le fasse.
Sa bite fait au moins 30 cm et son diamètre est énorme.
Je cherchais Philippe du regard, excitée mais une certaine appréhension se lisait dans mes yeux, comment une telle monstruosité va-t-elle à nouveau entrer dans mon ventre ? Vais-je pouvoir tout prendre ?
Ahmadou m’enlaça. J’avais l’air d’une petite chose fragile dans les bras de ce mec qui devait faire au moins 100 kilos de muscles et 20 bons centimètres de plus que moi. Il n’y alla pas par 4 chemins : il avait déjà une main qui pelotait mes seins et l’autre qui se glissait dans ma petite culotte, sans ménagement. Puis il prit ma main et la dirigea vers son slip. Ma main fine sortit la queue – déjà impressionnante – du black. Je commençais à la branler. Philippe était déjà comme hypnotisé par la scène.
Il regroupa ensuite mes cheveux en queue de cheval, m’empoigna et me fit se mettre à genoux. Je m’exécutais. Il me fourra aussi sec sa bite dans la bouche. J’ai eu un haut-le-cœur puis je me suis mise à le sucer et à le lécher, les yeux mi-clos. Ma bouche allait et venait sur cet énorme membre noir comme l’ébène. Le mec me releva et me souleva comme une plume pour que j’enlace les jambes autour de sa taille. Je me laissais totalement faire. Il m’embrassa alors à pleine bouche.
Toujours collé à moi, il m’allongea sur le lit, glissa 2 doigts dans ma chatte, les ressortit et les mit dans ma bouche. Il se tourna vers Philippe :
• putain, elle mouille ta salope de femme…
Il m’obligea à nouveau à le sucer en me maintenant la tête plaquée contre son ventre. Mes mains se mirent à caresser ses abdos, ses pectoraux massifs, ses cuisses. Mes ongles s’enfonçaient par instants dans la peau dure et noire.
Il m’allongea sur le lit, sur le dos, leva mes jambes puis les écarta totalement vers le haut, en les tenants par les chevilles. Il me pénétra. Enfin !
Je me mordais les lèvres, poussait des gémissements de plaisir. Philippe matait la queue raide du black qui allait et venait dans la chatte de sa femme. Assis sur un fauteuil, il se mit à caresser sa queue, comme dans un état second.
Il voyait que je me laissais totalement aller. Philippe voyait ce black me retourner comme une crêpe, me positionner en levrette, m’écartant le cul et y enfonçant un doigt pendant qu’il me baisait par derrière, telle une chienne totalement docile.
• S’il te plait dis quelque chose, dis quelque chose mon amour…. TU n’as pas mal ?
J’entrouvris les yeux, toujours au bord des larmes et secouée de spasmes, je le regardais :
• Tu vois pas que je prends mon pied ?!
Le Black se mit à rire et se moquait de Philippe. Il se mit à me défoncer de plus belle et me demanda de répéter ce qu’il disait :
• Vas-y salope, gueule-le que tu aimes ça ! je veux que tout le monde t’entende et surtout ton cocu ! Regarde ta pute comme elle aime se faire démonter la chatte et le cul par une grosse bite ! Putain mais dis-le salope que t’aimes ça ! hurlait-il en me fessant le cul pendant que je me tortillais…
• Hmmmfff… oui… j’aime ça…. Vas-y, oui… je lâchais dans un râle. Oh ouiiiiiiiiii
Philippe se mit à genoux et recommençait à se branler.
• ha ha et regarde le, putain, regarde-le, ça le fait bander ce connard ! Il se branle sa petite bite de blanc ! Même pas capable de tenir sa femme ! dis-lui que t’es qu’une pute à blacks, une traînée !
• Oui, je suis une pute, Ahmadou, ta pute, ta femelle. Je suis à toi ! Vas-y, défonce-moi, démonte-moi, mets-la moi bien au fond. Oui, comme ça
Il me pénétra plus fort encore, enfonçant maintenant 2 doigts dans mon trou du cul, puis il se saisit de mes poignets et les bloqua derrière-elle en bas du dos d’une main ferme ; il retira ses doigts et me claqua le cul, une fois, 2 fois, 3 fois puis il attrapa à nouveau mes cheveux par la nuque et me tira la tête en arrière brutalement.
Ahmadou regardait Philippe d’un air dédaigneux puis a éclaté de rire ; il a pris mon visage par les joues et le tourna vers lui ; je haletais, les yeux vagues, embués.…
• regarde ton cocu de mari, salope ha ha ha ! alors tu veux arrêter ou tu lui dis que tu aimes ça!!!
Il continuait, serrant plus fort mon visage :
• Oui, oui, oui, je suis une pute à blacks ! défonce moi avec ta grosse bite, défonce-moi par tous les trous !..... mais vas-y ! Oui, comme ça, plus fort, plus vite !!!!!
Et Philippe se branlait frénétiquement, les yeux rivés sur les 2 corps qui s’entrechoquaient, sur sa femme, qu’il n’avait jamais vu dans un état d’excitation aussi intense, qui se faisait malmener, qui acceptait TOUT, se lâchait totalement, se rabaissait verbalement de façon aussi spontanée.
Ahmadou sortit sa queue de moi, il tira mes jambes pour me faire glisser vers le bord du lit. Je m’affalais sur le sol, assise jambes écartées, totalement en sueur, haletante ;
Je protestais, car j’aurais voulu qu’il se vide en moi.
• Ca viendra, je n’en n’ai pas fini avec toi, petite pute.
Il était maintenant debout devant moi, masturbant sa grosse queue face à mon visage.
• Ouvre ta bouche, tire ta langue de pute, je vais te mettre une bonne giclée de foutre sur ta gueule de petite bourgeoise ! allez salope !
Je m’exécutais j’ouvris ma bouche, langue tendue, en le regardant dans les yeux par en-dessous, servile comme une chienne réclamant sa récompense…
• allez, oui, souille-moi comme une catin…
Son sperme a giclé presque en même temps que celui de Philippe. A part que lui jutait sur mon visage et que mon mari se répandait sur la moquette de la chambre.
• Nettoie-moi la bite pouffiasse, je ne veux pas qu’il en reste une goutte !
Je passais ma langue autour de ma bouche, léchait l’énorme gland d’où s’écoulait encore sa semence; il en avait aussi sur la main alors il me fourra ses doigts dans la bouche : je les suçais encore, les yeux mi-clos, frissonnante de plaisir et des orgasmes qu’il m’avait donnés.
Le lendemain soir, Ahmadou revient pour remettre ça. Il me considérait désormais comme sa femelle, ce qui ne plaisait pas du tout à Rachid.
Ahmadou m’avait demandé de me mettre nue sur le lit conjugal et de me tenir prête.
Comme un fou, il se précipite sur moi, qui, les cuisses écartées, me caressais à la vue du mandrin.
Sans ménagement, il me retourne, me courbe en avant et d’un jet, se propulse dans ma chatte, ouverte, mais qui a toujours du mal à enfourner le chibre. Il me bloque aux hanches et d’une poussée, il s’enfonce jusqu’à la garde. Sous le douleur, je crie, mais rien n’y fait et maintenant tel un fauve, il me pistonne sans retenue.
Le passage doit s’élargir car maintenant je gémis sous la possession animale d’Ahmadou. Le primitif en lui a repris ses droits car il ne tient pas compte de sa partenaire, seul son envie compte, il est le mâle dominant la femme et il lui laboure le ventre, pour lui elle ne compte pas mais il ne sait pas que pour moi, ce n’est que du plaisir. Je hurle ma jouissance, je me débats sur sa queue, non pas pour la fuir, mais au contraire pour aller au-devant. Le bassin d’Ahmadou tape avec violence sur mes fesses et j’en veux encore plus, et quand il se retire après avoir enfin éjaculé des flots de sperme en moi, je lui dis :
• encore, j’ai encore envie d’une bite ! De ta bite ! Je ne m’en lasse pas.
Pour l’instant il est satisfait, il m’a prise comme un guerrier, rien que pour lui. Mais moi j’en veux encore.
J’engouffre à nouveau le gland d’Ahmadou en écartant autant que je peux la mâchoire. Ahmadou se penche pour empoigner un sein, il fait rouler le téton entre ses doigts, je bombe le torse afin de lui offrir ma poitrine, ma main se pose sur sa queue en ébullition !
Une salive épaisse coule aux commissures de mes lèvres, provoquée par la poussée de la bite jusqu’aux amygdales, je triture les énormes couilles dépourvues de poils rondes et dures comme des balles de tennis. Désormais, nous ne nous contentons plus de baiser, nous faisons l’amour et Ahmadou se comporte comme mon homme, sans tenir compte de Philippe et même de Rachid.
Dans un râle Ahmadou plie les genoux et laisse son foutre envahir ma gorge, le trop plein s’échappe pour finir de couler entre mes seins. Ravie, je frottant ma poitrine avec le sperme qui s’y est collé.
Mes cuisses sont très ouvertes, ma chatte entrebâillée par le désir, à genoux près de moi, le noir caresse de ses mains tout le corps nu puis descend entre les cuisses, écarte les lèvre, un doigt s’infiltre dans la moule jusqu'à la troisième phalange impatiente, puis deux, de sa main libre il masturbe sa colonne qui reprend de l’ampleur.
Les préliminaires ne sont pas son fort, positionné entre les cuisses de sa femelle le gland frotte sur toute sa longueur mon vagin impatient. Je sursaute à chaque frottement sur mon clitoris. Il lève une de mes jambes pour la poser sur son épaule, la chatte baille, je suinte de bonheur, le gland s’est arrêté en face du trou en effervescence, j’ouvre la bouche mais aucun son ne sort, j’attends l’estocade
Ahmadou pousse, la verge plie, les lèvres sont repoussées dans mon ventre, il la prend dans sa main pour la guider, la queue d’ébène fait un bond en avant et coulisse centimètres par centimètres.
Quel contraste de couleur ! La bite entre toujours, la moitié a disparu dans mon ventre, je commence à apprécier, un long soupir en est la preuve, mon bassin se soulève. Ahmadou interprète çà comme une invite à forcer encore plus le vagin écartelé, il positionne l’autre jambe sur l’autre épaule, les mains aux hanches étroites il enfonce encore et encore ……de grimaçant mon visage se transforme en expression de béatitude, la bouche entrouverte la poitrine se soulève ballotée en tous sens
Philippe approche sa bouche de mon oreille pour murmurer
• Ca va mon amour ? Que ressens-tu ?
• Hoooo ouiii mon chéri çà va ! Je suis remplie de sa grosse bite c’est très très boooooonnn! Vas-y Ahmadou baise moi! Baise la salope de blanche !
La queue se retire presqu’entièrement luisante de mouille pour replonger brutalement dans mon con déformé, il me pistonne comme un forcené, des bruits mouillés et d’air chassé se font entendre, les cheveux collés sur le visage, je couine à moitié de bonheur et de peur, mais aussi d’envie de me faire véritablement défoncer.
A regret Ahamadou n’en finit pas de retirer ce monstre de chair de mes entrailles, une véritable rivière de sperme épais jaillis d’entre les lèvres difformes qui ne se jointent plus.
Très vite, je remets ça. Je suis insatiable et lui aussi. Je fais de « l’équitation » sur Ahmadou, je monte et descend à allure régulière sur le mat du noir, le vagissement qui monte annonce un orgasme violent du mâle, je ne peux réprimer un cri de plaisir. Une forte odeur de baise règne dans la chambre !
• Ahmadou !
• Oui cocu ?
• J’aimerais que tu l’encules ?
• Je risque de l’estropier !
• Ne t’inquiète pas !
Dès qu’Ahmadou reprend vigueur, je branle à deux mains la poutre toujours en érection, quelle santé il a ce gars ! Lui, une main entre mes cuisses, plus bas dans la raie, il commence à dilater l’anneau convoité, prélevant à même la source la mouille indispensable
Il s’allonge sur moi, je n’attendais que cela et j’écarte les cuisses spontanément pour me faire enfiler, il a bien compris mon message le bougre !
Le nouvel accouplement a été assez violent et bref, nous avons jouis tous les deux ensemble, une fois debout une purée abondante coule entre mes cuisses.
• Cocu, prépare pour moi le cul de ta femme !
• Oui chéri, à toi de faire le nécessaire. Encule-moi avant chéri !
• Pourquoi pas, si je peux rendre service !!!
L’anneau bien préparé par Ahmadou n’a opposé aucune difficulté, Philippe m’a embrochée d’un coup jusqu’aux couilles.
Ahmadou a exprimé à nouveau son désir, sa queue gonflait a vue d’œil, le moment est venu pour moi de me faire sodomiser par ce monstre, je me positionne à plat ventre, les jambes bien séparées
Ahmadou approche la queue à la main, enfile un doigt, il le ressort gluant de mon foutre, et, étonnamment, se penche, écarte les deux lobes et de son épaisse langue rose perfore l’anneau
Philippe est attiré par son cul rebondis d’Africain, il avance une main sur ces fesses musclées, le noir écarte les jambes … sa main descend, passe entre les fesses, rencontre la paire de couilles dures, prêtes à injecter leur jus dans mon cul. Après les avoir malaxées, Philippe continue sa progression, collé à lui il se saisit de la verge. Il apprécie car des murmures sortent de sa bouche alors qu’il me butine le cul. Philippe aime sucer une belle queue, surtout quand elle va prendre sa femme.
Philippe vient au plus près entre les deux amants, puis ouvrant grand la mâchoire avale le gland satiné, pompe avec délice la queue qui a donné tant de satisfaction à sa femme. Mais le mâle a envie d’autre chose, le moment est venu …..
Philippe s’assoit à mes côtés et aide la manœuvre en écartant les lobes, le trou est bien ouvert dégoulinant de salive.
• Tu es prête chérie ? Çà va aller, je suis là tout près, je vois tout
Il caresse ma tête, je me cambre, offrant mon postérieur au black, celui-ci se positionne sur la cible, comme pour la chatte les chairs sont repoussées, la rondelle cède peu à peu et d’un coup le nœud s’engouffre,
• HAAAAAAAAA, Ahmadou, tu me déchire !!!!!!!! Ça brule ! Stop !!!!
• Ça va passer mon amour …. Courage dans deux secondes tu vas sentir le plaisir monter
• Tu crois ? j’espère car sinon j’arrête !
• Je vais te casser le cul, salope !
• Vas-y mais fais doucement ……
Le boudin noir recommence sa progression, le cul a un réflexe de retrait et finalement résiste et même pousse vers la queue, c’est gagné !
• Encule-moi Ahamdou, ça va maintenant
Il se retire carrément, impressionnant, le trou reste ouvert, béant rouge à l’intérieur, l’homme envoie un giclée de salive qui disparait dans le fondement
Et la manthule reprend sa place, je me cabre, et, de nouveau je m’embroche, le contraste de ces fesses blanches et de ce gros trait noir planté en moi fascine Philippe.
Lentement mais sans faiblir de cadence les vas et vient m’arrachent des soupirs, Philippe passe sa main sous moi pour caresser tantôt les seins, tantôt le clitoris noyé de mouille, des spasmes traversent tout mon être, la jouissance arrive lentement ….
Soudain j’ai une giclée phénoménale de cyprine, Ahmadou se cramponne aux hanches et, bloqués l’un sur l’autre, nous laissons échapper des cris inhumains, quelques instants de récupération et les deux sexes se déboitent, celui du Black laisse échapper une dernière goute de foutre et le cul toujours ouvert fait des bulles recrachant des paquets de spermes, je m’effondre, épuisée de bonheur
Ahmadou et moi sommes assis côte à côte face à Philippe, moi, chacun une main sur la cuisse de l’autre comme deux vieux amants. Je me lève pour venir à cheval sur ses genoux, les jambes légèrement fléchies, je guide la verge recourbée entre mes lèvres toujours dilatées, le boudin noir disparait lentement dans le ventre maintenant habitué à ce diamètre.
En salope assumée, je fixe Philippe en passant la langue sur mes lèvres, Ahmadou me maintient par les hanches et rythme la descente appuyant plus ou moins fort pour définir profondeur de la pénétration.
Nous avons ainsi baisé une bonne partie de la nuit, avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Rentré le lendemain matin, Rachid nous a trouvé ainsi. Il était furieux et fût à deux doigts de se battre avec Ahmadou. Rachid avait une forte autorité dans sa cité et, curieusement, c’est Ahmadou qui céda, acceptant de partir et de ne plus me revoir, comme l’exigea Rachid. J’ai eu la tentation de suivre Ahmadou, auquel j’étais en train de m’attacher, mais Rachid m’a fermement reprise à mains.
• Tu es à moi, femme et je n’en n’ai pas fini avec toi. Tu as compris, salope.
Rachid devenait de plus en plus odieux et de plus brutal avec moi, se comportait comme si j’étais à lui et ne prenait même plus la peine de demander à Philippe, mon mari, son avis. Avec le recul, je me dis que c’est sans doute dans ce moment-là, que j’ai ensuite trouvé la force de le faire sortir de ma vie.
Quant à Ahmadou, j’ai appris plus tard qu’il avait quitté la ville et qu’il était rentré au Sénégal. Nous avons été bien plus tard en contact par messagerie, grâce à un autre jeune de la cité. Ahmadou n’a pas oublié ces quelques jours intenses et moi non plus. Il me propose régulièrement de venir avec Philippe passer des vacances non loin de son village. Il veut, dit-il me présenter à des amis. J’ai bien compris ce qu’il avait en tête, avec la promesse d’être pendant plusieurs jours livrée à Ahmadou et ses amis. Philippe me pousse à répondre favorablement à cette proposition. Ce n’est pas d’actualité, compte tenu de mon état. Mais j’avoue que la perspective me tente, mais ça me fait aussi peur. Pas la perspective d’être baisée par des forces de la nature, mais je crains toujours de me laisser glisser sur ma pente naturelle.
Je suis à la fois vaginale et clitoridienne et j’ai aussi la capacité d’enchaîner des orgasmes de plus en plus en puissants. Et le summum est quand il est possible que le mâle, après avoir longuement résisté, se vide en moi en de longues et puissantes giclées. Je m’abandonne alors totalement à ma fonction de femelle et cela peut aller, comme ce fût le cas avec Rachid (Récit n°22), puis avec Hassan et plus récemment avec N, jusqu’à me faire féconder par celui à qui je m’offre totalement.
Vous l’avez compris, ce que je veux dans ces cas-là, ce n’est pas de la tendresse et des sentiments. Comme toute personne, j’en ai besoin et c’est ce que m’apporte Philippe. C’est ce qui le rend indispensable. Seul Hassan a essayé, et a réussi un moment, à jouer ce rôle auprès de moi. Mais personne ne peut remplacer Philippe dont le candaulisme et l’amour sans limites qu’il me porte font que nous sommes en communion quand il m’offre à un autre et voit monter mon plaisir, qui devient alors aussi le sien.
Quand je suis ainsi femelle, je ne recherche guère les baisers, les caresses, les préliminaires. Et pourtant j’adore quand les lèvres, les mains de mes amants parcourent mon corps, quand on s’occupe de mes petits seins si sensibles, quand une langue explore ma chatte. Pourtant, quand je suis offerte (je ne dis pas quand je m’offre, car c’est Rachid qui décidait et depuis c’est Philippe qui décide) à un mâle qui a une virilité prometteuse d’un long coït, ce dont j’ai envie, encore et encore, c’est d’être saillie, qu’il m’envoie en l’air. Sa queue est alors comme une épée dont mon vagin est le fourreau. Je n’ai plus qu’une envie, être prise, pénétrée, sentir les couilles lourdes taper sur mes fesses. Dans ces cas-là, et je l’assume, je suis une salope, une chienne, une femelle, qui n’écoute plus que son instinct qui vient sans doute du fonds des âges. Et dont le plaisir est décuplé par les insultes proférées par le mâle, sa domination sans oublier la présence, les encouragements, le plaisir partagé de mon mari Philippe.
Lors de l’une des partouzes dont j’ai parlées dans le récit 25, j’avais eu l’occasion de « rencontrer » Ahmadou, un ami sénégalais de Rachid. J’avoue avoir eu peur la première fois que ce jeune homme ne m’estropie, tellement son engin était monstrueux. Mais j’avais connu un plaisir inouï et j’avais envie de recommencer.
Que l’on soit clair. Il n’y a pas de ce point de vue de déterminisme. Tous les Africains ne disposent pas d’une virilité hors normes, prétendre le contraire serait un préjugé stupide et raciste. J’ai parlé, tout au long de ces récits des amants particulièrement gâtés par la nature et qui m’ont possédé. Rachid a été l’un d’eux. En érection, sa verge avait une longueur de 22 centimètres et, dès la première fois qu’il m’avait prise, dans l’ascenseur de notre immeuble (récit n°10), je savais qu’il serait mon mâle. Et il le fût pendant près de deux ans, et chaque jour il « m’honorait » et je m’en lassais pas, au point que nous avons poursuivi cela y compris pendant ma grossesse.
Ahmadou c’était encore un niveau au-dessus. Je pense que si je n’avais pas pratiqué régulièrement le fist-fucking avec Philippe, à qui je demandais de me mettre la main et une partie de l’avant-bras, jamais je n’aurais pu supporter d’avoir en moi un tel engin.
Le soir même de cette fameuse partouze, j’ai osé demandé à Rachid si je pouvais revoir Ahmadou, s’il pouvait le faire venir à la maison.
Rachid a commencé, par sadisme, à faire trainer les choses, disant que je ne méritais pas un tel cadeau, et ce malgré mes demandes répétées et mes supplications. Cela devenait chez moi une obsession. Je voulais à nouveau copuler avec Ahmadou.
C’est Philippe qui l’a convaincu, lui expliquant qu’il aimerait beaucoup voir ce mâle me démonter. Mieux, il suggéra à Rachid de vérifier qu’Ahmadou puisse garantir qu’il était sain, afin de me prendre sans capote et se vider en moi. Plus de risques de conception, puisque j’étais déjà enceinte, seulement le plaisir de voir ma chatte noyée par la semence de ce mâle exceptionnel.
Rachid finit par le faire venir, mais se refusa à assister, sans doute un peu jaloux que je fusse attirée par un mâle encore plus performant que lui. Il précisa juste à Ahmadou que « le cocu voulait mater»
• Tu ne seras pas déçu, cocu, tu vas voir comment je vais m’occuper de cette petite putain blanche.
Ce premier soir où Ahmadou est venu, je portais une robe-tunique blanche, assez transparente, un string blanc, des escarpins ouverts à talons hauts…
Il ne s’embarrassa pas de préliminaires. Il était venu pour me baiser et j’étais impatiente qu’il le fasse.
Sa bite fait au moins 30 cm et son diamètre est énorme.
Je cherchais Philippe du regard, excitée mais une certaine appréhension se lisait dans mes yeux, comment une telle monstruosité va-t-elle à nouveau entrer dans mon ventre ? Vais-je pouvoir tout prendre ?
Ahmadou m’enlaça. J’avais l’air d’une petite chose fragile dans les bras de ce mec qui devait faire au moins 100 kilos de muscles et 20 bons centimètres de plus que moi. Il n’y alla pas par 4 chemins : il avait déjà une main qui pelotait mes seins et l’autre qui se glissait dans ma petite culotte, sans ménagement. Puis il prit ma main et la dirigea vers son slip. Ma main fine sortit la queue – déjà impressionnante – du black. Je commençais à la branler. Philippe était déjà comme hypnotisé par la scène.
Il regroupa ensuite mes cheveux en queue de cheval, m’empoigna et me fit se mettre à genoux. Je m’exécutais. Il me fourra aussi sec sa bite dans la bouche. J’ai eu un haut-le-cœur puis je me suis mise à le sucer et à le lécher, les yeux mi-clos. Ma bouche allait et venait sur cet énorme membre noir comme l’ébène. Le mec me releva et me souleva comme une plume pour que j’enlace les jambes autour de sa taille. Je me laissais totalement faire. Il m’embrassa alors à pleine bouche.
Toujours collé à moi, il m’allongea sur le lit, glissa 2 doigts dans ma chatte, les ressortit et les mit dans ma bouche. Il se tourna vers Philippe :
• putain, elle mouille ta salope de femme…
Il m’obligea à nouveau à le sucer en me maintenant la tête plaquée contre son ventre. Mes mains se mirent à caresser ses abdos, ses pectoraux massifs, ses cuisses. Mes ongles s’enfonçaient par instants dans la peau dure et noire.
Il m’allongea sur le lit, sur le dos, leva mes jambes puis les écarta totalement vers le haut, en les tenants par les chevilles. Il me pénétra. Enfin !
Je me mordais les lèvres, poussait des gémissements de plaisir. Philippe matait la queue raide du black qui allait et venait dans la chatte de sa femme. Assis sur un fauteuil, il se mit à caresser sa queue, comme dans un état second.
Il voyait que je me laissais totalement aller. Philippe voyait ce black me retourner comme une crêpe, me positionner en levrette, m’écartant le cul et y enfonçant un doigt pendant qu’il me baisait par derrière, telle une chienne totalement docile.
• S’il te plait dis quelque chose, dis quelque chose mon amour…. TU n’as pas mal ?
J’entrouvris les yeux, toujours au bord des larmes et secouée de spasmes, je le regardais :
• Tu vois pas que je prends mon pied ?!
Le Black se mit à rire et se moquait de Philippe. Il se mit à me défoncer de plus belle et me demanda de répéter ce qu’il disait :
• Vas-y salope, gueule-le que tu aimes ça ! je veux que tout le monde t’entende et surtout ton cocu ! Regarde ta pute comme elle aime se faire démonter la chatte et le cul par une grosse bite ! Putain mais dis-le salope que t’aimes ça ! hurlait-il en me fessant le cul pendant que je me tortillais…
• Hmmmfff… oui… j’aime ça…. Vas-y, oui… je lâchais dans un râle. Oh ouiiiiiiiiii
Philippe se mit à genoux et recommençait à se branler.
• ha ha et regarde le, putain, regarde-le, ça le fait bander ce connard ! Il se branle sa petite bite de blanc ! Même pas capable de tenir sa femme ! dis-lui que t’es qu’une pute à blacks, une traînée !
• Oui, je suis une pute, Ahmadou, ta pute, ta femelle. Je suis à toi ! Vas-y, défonce-moi, démonte-moi, mets-la moi bien au fond. Oui, comme ça
Il me pénétra plus fort encore, enfonçant maintenant 2 doigts dans mon trou du cul, puis il se saisit de mes poignets et les bloqua derrière-elle en bas du dos d’une main ferme ; il retira ses doigts et me claqua le cul, une fois, 2 fois, 3 fois puis il attrapa à nouveau mes cheveux par la nuque et me tira la tête en arrière brutalement.
Ahmadou regardait Philippe d’un air dédaigneux puis a éclaté de rire ; il a pris mon visage par les joues et le tourna vers lui ; je haletais, les yeux vagues, embués.…
• regarde ton cocu de mari, salope ha ha ha ! alors tu veux arrêter ou tu lui dis que tu aimes ça!!!
Il continuait, serrant plus fort mon visage :
• Oui, oui, oui, je suis une pute à blacks ! défonce moi avec ta grosse bite, défonce-moi par tous les trous !..... mais vas-y ! Oui, comme ça, plus fort, plus vite !!!!!
Et Philippe se branlait frénétiquement, les yeux rivés sur les 2 corps qui s’entrechoquaient, sur sa femme, qu’il n’avait jamais vu dans un état d’excitation aussi intense, qui se faisait malmener, qui acceptait TOUT, se lâchait totalement, se rabaissait verbalement de façon aussi spontanée.
Ahmadou sortit sa queue de moi, il tira mes jambes pour me faire glisser vers le bord du lit. Je m’affalais sur le sol, assise jambes écartées, totalement en sueur, haletante ;
Je protestais, car j’aurais voulu qu’il se vide en moi.
• Ca viendra, je n’en n’ai pas fini avec toi, petite pute.
Il était maintenant debout devant moi, masturbant sa grosse queue face à mon visage.
• Ouvre ta bouche, tire ta langue de pute, je vais te mettre une bonne giclée de foutre sur ta gueule de petite bourgeoise ! allez salope !
Je m’exécutais j’ouvris ma bouche, langue tendue, en le regardant dans les yeux par en-dessous, servile comme une chienne réclamant sa récompense…
• allez, oui, souille-moi comme une catin…
Son sperme a giclé presque en même temps que celui de Philippe. A part que lui jutait sur mon visage et que mon mari se répandait sur la moquette de la chambre.
• Nettoie-moi la bite pouffiasse, je ne veux pas qu’il en reste une goutte !
Je passais ma langue autour de ma bouche, léchait l’énorme gland d’où s’écoulait encore sa semence; il en avait aussi sur la main alors il me fourra ses doigts dans la bouche : je les suçais encore, les yeux mi-clos, frissonnante de plaisir et des orgasmes qu’il m’avait donnés.
Le lendemain soir, Ahmadou revient pour remettre ça. Il me considérait désormais comme sa femelle, ce qui ne plaisait pas du tout à Rachid.
Ahmadou m’avait demandé de me mettre nue sur le lit conjugal et de me tenir prête.
Comme un fou, il se précipite sur moi, qui, les cuisses écartées, me caressais à la vue du mandrin.
Sans ménagement, il me retourne, me courbe en avant et d’un jet, se propulse dans ma chatte, ouverte, mais qui a toujours du mal à enfourner le chibre. Il me bloque aux hanches et d’une poussée, il s’enfonce jusqu’à la garde. Sous le douleur, je crie, mais rien n’y fait et maintenant tel un fauve, il me pistonne sans retenue.
Le passage doit s’élargir car maintenant je gémis sous la possession animale d’Ahmadou. Le primitif en lui a repris ses droits car il ne tient pas compte de sa partenaire, seul son envie compte, il est le mâle dominant la femme et il lui laboure le ventre, pour lui elle ne compte pas mais il ne sait pas que pour moi, ce n’est que du plaisir. Je hurle ma jouissance, je me débats sur sa queue, non pas pour la fuir, mais au contraire pour aller au-devant. Le bassin d’Ahmadou tape avec violence sur mes fesses et j’en veux encore plus, et quand il se retire après avoir enfin éjaculé des flots de sperme en moi, je lui dis :
• encore, j’ai encore envie d’une bite ! De ta bite ! Je ne m’en lasse pas.
Pour l’instant il est satisfait, il m’a prise comme un guerrier, rien que pour lui. Mais moi j’en veux encore.
J’engouffre à nouveau le gland d’Ahmadou en écartant autant que je peux la mâchoire. Ahmadou se penche pour empoigner un sein, il fait rouler le téton entre ses doigts, je bombe le torse afin de lui offrir ma poitrine, ma main se pose sur sa queue en ébullition !
Une salive épaisse coule aux commissures de mes lèvres, provoquée par la poussée de la bite jusqu’aux amygdales, je triture les énormes couilles dépourvues de poils rondes et dures comme des balles de tennis. Désormais, nous ne nous contentons plus de baiser, nous faisons l’amour et Ahmadou se comporte comme mon homme, sans tenir compte de Philippe et même de Rachid.
Dans un râle Ahmadou plie les genoux et laisse son foutre envahir ma gorge, le trop plein s’échappe pour finir de couler entre mes seins. Ravie, je frottant ma poitrine avec le sperme qui s’y est collé.
Mes cuisses sont très ouvertes, ma chatte entrebâillée par le désir, à genoux près de moi, le noir caresse de ses mains tout le corps nu puis descend entre les cuisses, écarte les lèvre, un doigt s’infiltre dans la moule jusqu'à la troisième phalange impatiente, puis deux, de sa main libre il masturbe sa colonne qui reprend de l’ampleur.
Les préliminaires ne sont pas son fort, positionné entre les cuisses de sa femelle le gland frotte sur toute sa longueur mon vagin impatient. Je sursaute à chaque frottement sur mon clitoris. Il lève une de mes jambes pour la poser sur son épaule, la chatte baille, je suinte de bonheur, le gland s’est arrêté en face du trou en effervescence, j’ouvre la bouche mais aucun son ne sort, j’attends l’estocade
Ahmadou pousse, la verge plie, les lèvres sont repoussées dans mon ventre, il la prend dans sa main pour la guider, la queue d’ébène fait un bond en avant et coulisse centimètres par centimètres.
Quel contraste de couleur ! La bite entre toujours, la moitié a disparu dans mon ventre, je commence à apprécier, un long soupir en est la preuve, mon bassin se soulève. Ahmadou interprète çà comme une invite à forcer encore plus le vagin écartelé, il positionne l’autre jambe sur l’autre épaule, les mains aux hanches étroites il enfonce encore et encore ……de grimaçant mon visage se transforme en expression de béatitude, la bouche entrouverte la poitrine se soulève ballotée en tous sens
Philippe approche sa bouche de mon oreille pour murmurer
• Ca va mon amour ? Que ressens-tu ?
• Hoooo ouiii mon chéri çà va ! Je suis remplie de sa grosse bite c’est très très boooooonnn! Vas-y Ahmadou baise moi! Baise la salope de blanche !
La queue se retire presqu’entièrement luisante de mouille pour replonger brutalement dans mon con déformé, il me pistonne comme un forcené, des bruits mouillés et d’air chassé se font entendre, les cheveux collés sur le visage, je couine à moitié de bonheur et de peur, mais aussi d’envie de me faire véritablement défoncer.
A regret Ahamadou n’en finit pas de retirer ce monstre de chair de mes entrailles, une véritable rivière de sperme épais jaillis d’entre les lèvres difformes qui ne se jointent plus.
Très vite, je remets ça. Je suis insatiable et lui aussi. Je fais de « l’équitation » sur Ahmadou, je monte et descend à allure régulière sur le mat du noir, le vagissement qui monte annonce un orgasme violent du mâle, je ne peux réprimer un cri de plaisir. Une forte odeur de baise règne dans la chambre !
• Ahmadou !
• Oui cocu ?
• J’aimerais que tu l’encules ?
• Je risque de l’estropier !
• Ne t’inquiète pas !
Dès qu’Ahmadou reprend vigueur, je branle à deux mains la poutre toujours en érection, quelle santé il a ce gars ! Lui, une main entre mes cuisses, plus bas dans la raie, il commence à dilater l’anneau convoité, prélevant à même la source la mouille indispensable
Il s’allonge sur moi, je n’attendais que cela et j’écarte les cuisses spontanément pour me faire enfiler, il a bien compris mon message le bougre !
Le nouvel accouplement a été assez violent et bref, nous avons jouis tous les deux ensemble, une fois debout une purée abondante coule entre mes cuisses.
• Cocu, prépare pour moi le cul de ta femme !
• Oui chéri, à toi de faire le nécessaire. Encule-moi avant chéri !
• Pourquoi pas, si je peux rendre service !!!
L’anneau bien préparé par Ahmadou n’a opposé aucune difficulté, Philippe m’a embrochée d’un coup jusqu’aux couilles.
Ahmadou a exprimé à nouveau son désir, sa queue gonflait a vue d’œil, le moment est venu pour moi de me faire sodomiser par ce monstre, je me positionne à plat ventre, les jambes bien séparées
Ahmadou approche la queue à la main, enfile un doigt, il le ressort gluant de mon foutre, et, étonnamment, se penche, écarte les deux lobes et de son épaisse langue rose perfore l’anneau
Philippe est attiré par son cul rebondis d’Africain, il avance une main sur ces fesses musclées, le noir écarte les jambes … sa main descend, passe entre les fesses, rencontre la paire de couilles dures, prêtes à injecter leur jus dans mon cul. Après les avoir malaxées, Philippe continue sa progression, collé à lui il se saisit de la verge. Il apprécie car des murmures sortent de sa bouche alors qu’il me butine le cul. Philippe aime sucer une belle queue, surtout quand elle va prendre sa femme.
Philippe vient au plus près entre les deux amants, puis ouvrant grand la mâchoire avale le gland satiné, pompe avec délice la queue qui a donné tant de satisfaction à sa femme. Mais le mâle a envie d’autre chose, le moment est venu …..
Philippe s’assoit à mes côtés et aide la manœuvre en écartant les lobes, le trou est bien ouvert dégoulinant de salive.
• Tu es prête chérie ? Çà va aller, je suis là tout près, je vois tout
Il caresse ma tête, je me cambre, offrant mon postérieur au black, celui-ci se positionne sur la cible, comme pour la chatte les chairs sont repoussées, la rondelle cède peu à peu et d’un coup le nœud s’engouffre,
• HAAAAAAAAA, Ahmadou, tu me déchire !!!!!!!! Ça brule ! Stop !!!!
• Ça va passer mon amour …. Courage dans deux secondes tu vas sentir le plaisir monter
• Tu crois ? j’espère car sinon j’arrête !
• Je vais te casser le cul, salope !
• Vas-y mais fais doucement ……
Le boudin noir recommence sa progression, le cul a un réflexe de retrait et finalement résiste et même pousse vers la queue, c’est gagné !
• Encule-moi Ahamdou, ça va maintenant
Il se retire carrément, impressionnant, le trou reste ouvert, béant rouge à l’intérieur, l’homme envoie un giclée de salive qui disparait dans le fondement
Et la manthule reprend sa place, je me cabre, et, de nouveau je m’embroche, le contraste de ces fesses blanches et de ce gros trait noir planté en moi fascine Philippe.
Lentement mais sans faiblir de cadence les vas et vient m’arrachent des soupirs, Philippe passe sa main sous moi pour caresser tantôt les seins, tantôt le clitoris noyé de mouille, des spasmes traversent tout mon être, la jouissance arrive lentement ….
Soudain j’ai une giclée phénoménale de cyprine, Ahmadou se cramponne aux hanches et, bloqués l’un sur l’autre, nous laissons échapper des cris inhumains, quelques instants de récupération et les deux sexes se déboitent, celui du Black laisse échapper une dernière goute de foutre et le cul toujours ouvert fait des bulles recrachant des paquets de spermes, je m’effondre, épuisée de bonheur
Ahmadou et moi sommes assis côte à côte face à Philippe, moi, chacun une main sur la cuisse de l’autre comme deux vieux amants. Je me lève pour venir à cheval sur ses genoux, les jambes légèrement fléchies, je guide la verge recourbée entre mes lèvres toujours dilatées, le boudin noir disparait lentement dans le ventre maintenant habitué à ce diamètre.
En salope assumée, je fixe Philippe en passant la langue sur mes lèvres, Ahmadou me maintient par les hanches et rythme la descente appuyant plus ou moins fort pour définir profondeur de la pénétration.
Nous avons ainsi baisé une bonne partie de la nuit, avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Rentré le lendemain matin, Rachid nous a trouvé ainsi. Il était furieux et fût à deux doigts de se battre avec Ahmadou. Rachid avait une forte autorité dans sa cité et, curieusement, c’est Ahmadou qui céda, acceptant de partir et de ne plus me revoir, comme l’exigea Rachid. J’ai eu la tentation de suivre Ahmadou, auquel j’étais en train de m’attacher, mais Rachid m’a fermement reprise à mains.
• Tu es à moi, femme et je n’en n’ai pas fini avec toi. Tu as compris, salope.
Rachid devenait de plus en plus odieux et de plus brutal avec moi, se comportait comme si j’étais à lui et ne prenait même plus la peine de demander à Philippe, mon mari, son avis. Avec le recul, je me dis que c’est sans doute dans ce moment-là, que j’ai ensuite trouvé la force de le faire sortir de ma vie.
Quant à Ahmadou, j’ai appris plus tard qu’il avait quitté la ville et qu’il était rentré au Sénégal. Nous avons été bien plus tard en contact par messagerie, grâce à un autre jeune de la cité. Ahmadou n’a pas oublié ces quelques jours intenses et moi non plus. Il me propose régulièrement de venir avec Philippe passer des vacances non loin de son village. Il veut, dit-il me présenter à des amis. J’ai bien compris ce qu’il avait en tête, avec la promesse d’être pendant plusieurs jours livrée à Ahmadou et ses amis. Philippe me pousse à répondre favorablement à cette proposition. Ce n’est pas d’actualité, compte tenu de mon état. Mais j’avoue que la perspective me tente, mais ça me fait aussi peur. Pas la perspective d’être baisée par des forces de la nature, mais je crains toujours de me laisser glisser sur ma pente naturelle.
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47 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci rachid741!
Merci Olga pour ton témoignage, tu as raison de préciser en début de récit que tous les black ne sont pas monté comme des taureaux comme les arabes ne sont pas tous de dominateurs irrespectueux des femmes blanches.
J'ai vu comment tu as aimé te faire dilater tes trous et comment Philippe aimer le voir.
Peut-être que Philippe aurait aimé être à ta place et sentir ce gourdin dans son cul. Je ne crois pas que Ahmadou étais méprisant envers toi et Philippe pour de vrai mais qu'il avait compris le jeu et qu'il savait ce qui vous excitait Philippe et toi. D'ailleurs il le montre en ne faisant pas de vague avec Rachid car il a compris que ce dernier était un con dangereux- Je comprends que vous ayez été tentés de quitter Rachid pour ce nouvel amant c'était tellement différent avec lui.
Bon je t'embrasse et je vais continuer ma lecture la bite raide de désir, merci car par vos récit vous me faites revivre tellement de souvenir
J'ai vu comment tu as aimé te faire dilater tes trous et comment Philippe aimer le voir.
Peut-être que Philippe aurait aimé être à ta place et sentir ce gourdin dans son cul. Je ne crois pas que Ahmadou étais méprisant envers toi et Philippe pour de vrai mais qu'il avait compris le jeu et qu'il savait ce qui vous excitait Philippe et toi. D'ailleurs il le montre en ne faisant pas de vague avec Rachid car il a compris que ce dernier était un con dangereux- Je comprends que vous ayez été tentés de quitter Rachid pour ce nouvel amant c'était tellement différent avec lui.
Bon je t'embrasse et je vais continuer ma lecture la bite raide de désir, merci car par vos récit vous me faites revivre tellement de souvenir
les coups de chibre d'Ahmadou te faisait oublier comme il faut Rachid. t'étais sa chienne blanche et t'adorais ça et ton cocu aussi. il se giclait dessus en te matant gueuler comme jamais. Ahmadou avait juste à gérer Rachid et tu lui appartenais. tu adorais trop ta transfo en pute à blacks
Ibrahim
Ibrahim
@ Ibrahim, j'étais alors attachée à Rachid
t'as été une bonne grosse pute à black. Ahmadou a fait de toi sa pute soumise dès que tu t'es pris sa poutre. une bonne blanche neige qui adore comme on abuse d'elle. fallait qu'il vire Rachid pour que tu devienne sa chienne. t'aurais décollé comme jamais avec lui. ton cocu se l'ait pris dans le cul aussi ? un bon voyage au pays est fait pour vous
Ibrahim
Ibrahim
Nous en sommes conscients, Sarah
Tu as la tentation du Sénégal? Prudence quand même!
Sarah
Sarah
@ Manon, je n'oublie pas mes enfants.
Je sais bien entendu ce qui m'attend pendant mes séjours. Et Ca m'excite d'avance!
Je sais bien entendu ce qui m'attend pendant mes séjours. Et Ca m'excite d'avance!
Philippe n'a pas peur que tu y sois transformée en putain blanche et que tu ne restes là bas?
Manon
Manon
@ Manon : pas encore, mais c'est dans nos projets. Philippe sait ce qui m'attend là-bas!
C'est bestial de tout point de vue! Une expérience exceptionnelle! Tu as répondu ou tu comptes répondre à l'invitation d'Ahmadou? Manon
@ Jacques du Canada. Je pense que vous avez raison. Philippe va finir par se lasser des frasques d'Olga, qu'il a toujours assumées jusqu'à présent. Olga a désormais une rivale d'autant plus dangereuse qu'elle est bien plus jeune qu'elle. Christine
@Jacques du Canada. Oui, vous avez raison, j'ai été au départ amoureuse de Rcahid et j'ai mis beaucoup de temps à comprendre qui il était et encore plus à ce qu'il sorte de ma vie
Je parlerai plus tard d'Hassan et je reconnais que je me suis particulièrement mal comportée avec lui, sans doute, sans chercher d'excuses, parce que ce qu'il me proposait, une "famille normale" ne correspond pas à ma personnalité et à mes aspirations.
Oui je suis revenue dans les bras de Philippe parce que j'ai compris que je ne pouvais me passer de lui, mais aussi parce qu'il était différent de l'homme que j'avais (provisoirement) quitté pour Hassan
Aujourd'hui je sens bien que les choses sont différentes, depuis mon aventure avec N. et la rencontre de Philippe et de Théodora.
J'ai accepté un compromis, dans l'intérêt de tous, à commencer par les enfants, et parce que je suis prête à tout pour ne pas le perdre. Mais ce que vous évoquez peut en effet se produire, je le sais
Je vous embrasse
Je parlerai plus tard d'Hassan et je reconnais que je me suis particulièrement mal comportée avec lui, sans doute, sans chercher d'excuses, parce que ce qu'il me proposait, une "famille normale" ne correspond pas à ma personnalité et à mes aspirations.
Oui je suis revenue dans les bras de Philippe parce que j'ai compris que je ne pouvais me passer de lui, mais aussi parce qu'il était différent de l'homme que j'avais (provisoirement) quitté pour Hassan
Aujourd'hui je sens bien que les choses sont différentes, depuis mon aventure avec N. et la rencontre de Philippe et de Théodora.
J'ai accepté un compromis, dans l'intérêt de tous, à commencer par les enfants, et parce que je suis prête à tout pour ne pas le perdre. Mais ce que vous évoquez peut en effet se produire, je le sais
Je vous embrasse
N'oubliez pas Dre Olga que vous avez offert à Rachid de quitter Philippe s'il le désirait!
Là vous êtes contente qu'Hassan vous aie ENFIN libérée de ses liens.
Vous allez quitter Philippe plus tard pour avoir une famille normale avec Hassan. Vous allez revenir éventuellement ,après avoir réaliser tout vos nouvelles expériences,dans les bras de Philippe ; avec un enfant en plus, parce que c'est vraiment lui que vous aimez.
Avoir été à la place de Philippe ça ne se serait pas passé comme ça. Je n'aurais pas accepté votre retour. J'aurais trouvé une remplaçante.
D'ailleurs peut-être sent-il la soupe chaude aujourd'hui après votre aventure avec M.
Peut-être qu'il se prépare t'il à un avenir plus riche en amour avec Théodora et avec moins de répercussion décevante. Il a déjà vécu l'expérience et je ne pense pas qu'il ait oublié.
Jacques du Canada
Là vous êtes contente qu'Hassan vous aie ENFIN libérée de ses liens.
Vous allez quitter Philippe plus tard pour avoir une famille normale avec Hassan. Vous allez revenir éventuellement ,après avoir réaliser tout vos nouvelles expériences,dans les bras de Philippe ; avec un enfant en plus, parce que c'est vraiment lui que vous aimez.
Avoir été à la place de Philippe ça ne se serait pas passé comme ça. Je n'aurais pas accepté votre retour. J'aurais trouvé une remplaçante.
D'ailleurs peut-être sent-il la soupe chaude aujourd'hui après votre aventure avec M.
Peut-être qu'il se prépare t'il à un avenir plus riche en amour avec Théodora et avec moins de répercussion décevante. Il a déjà vécu l'expérience et je ne pense pas qu'il ait oublié.
Jacques du Canada
Merci Olga. Je suis impatient de lire ça. Bises. Luc
@ Luc. Il y a d'ores et déja deux récits (déja envoyés à Hds) qui expliquent comment j'ai vécu mon hypersexualité pendant ma première grossesse. Et comme j'ai du temps en ce moment, je prépare les récits suivants, plusieurs textes consacrés à ma rencontre avec Hassan, qui nous a permis de nous débarasser (enfin) de Rachid, mais qui, par sa volonté de construire avec moi un couple "ordinaire" avait conduit à une rupture prolongée, mais finalement provisoire avec Philippe.
Une question, Olga, quels sont les récits qui seront publiés dans les prochaines semaines? Luc
@ Jacques du Canada Merci! Bises
@ André: tentée, oui, mais, outre que ce n'est pas d'actualité, je ne suis pas certaine de ma volonté dans de telles circonstances. La prudence s'impose donc
@ André: tentée, oui, mais, outre que ce n'est pas d'actualité, je ne suis pas certaine de ma volonté dans de telles circonstances. La prudence s'impose donc
Bonjour
Perso ca a été dur de lire l'histoire avec le jeune senegalais, en fait j'avais du mal avec sa façon de s'exprimer vis à vis des femmes donc perso à choisir je prefererai 1 histoire qui raconte Assan, 1 autre Agun et 1 autre pourquoi pas Theodora.
Voila mon humble avis.
Perso ca a été dur de lire l'histoire avec le jeune senegalais, en fait j'avais du mal avec sa façon de s'exprimer vis à vis des femmes donc perso à choisir je prefererai 1 histoire qui raconte Assan, 1 autre Agun et 1 autre pourquoi pas Theodora.
Voila mon humble avis.
Pour ton plaisir mais aussi le nôtre, on aimerait que ce voyage au Sénégal soit programmé dès que possible. Cela nous promettrait un récit fabuleux car j'imagine que toute une tribu ça ne te fait pas peur. Je suis certain que tu es tentée, non? André.
Maintenant je vous appellerai: Dre Olga
Jacques du Canada
Jacques du Canada
Oui Olga j'étais certain que vous aviez un degré de scolarité élevé. Ça prouve que vous êtes tenace et ne lâchez a la première difficulté. Atteindre ce niveau d'instruction nécessite des qualités que la majorité du monde ne possède pas!
Je vois à vous lire que vous vous êtes bien organisée avec votre 4ieme grocesse. Félicitation parce qu'avec les 3 autre enfants vous avez besoin d'une organisation hors pair.
Je suis content que vous sentiez toujours l'amour dans votre couple. Le contraire aurait été possible! La vie arrange bien les choses.
Jacques du Canada
Je vois à vous lire que vous vous êtes bien organisée avec votre 4ieme grocesse. Félicitation parce qu'avec les 3 autre enfants vous avez besoin d'une organisation hors pair.
Je suis content que vous sentiez toujours l'amour dans votre couple. Le contraire aurait été possible! La vie arrange bien les choses.
Jacques du Canada
Merci pour leurs messages à JP et Steph d'une part, à Luc d'autre part.
@ Jacques du Canada, oui je suis Docteur en économie (correspondant donc à 6 années après le baccalauréat) et c'est dans le cadre de mes fonctions que j'avais rencontré Philippe, mon collègue français, comme je l'avais raconté. Je me suis ensuite mise en congés sans solde pour pouvoir vivre avec lui et nous marier. Philippe prend soin de moi comme jamais, malgré ses nouveaux "devoirs". Il se montre toujours aussi attentionné et amoureux. Je me dis chaque jour que j'ai beaucoup de chance, à tout point de vue, de l'avoir rencontré. Il y a aussi Agun, qui habite un appartement séparé mais qui est ma compagne (et grâce à laquelle je vis pleinement ma bisexualité) Vous avez raison, Jacques, je me suis très (trop) souvent laissée gouverner par mes sens et c'est quelque chose que je m'efforce de maîtriser. L'âge devrait m'y aider et mon état actuel y contribue pour le moment. Je vous embrasse.
@ Jacques du Canada, oui je suis Docteur en économie (correspondant donc à 6 années après le baccalauréat) et c'est dans le cadre de mes fonctions que j'avais rencontré Philippe, mon collègue français, comme je l'avais raconté. Je me suis ensuite mise en congés sans solde pour pouvoir vivre avec lui et nous marier. Philippe prend soin de moi comme jamais, malgré ses nouveaux "devoirs". Il se montre toujours aussi attentionné et amoureux. Je me dis chaque jour que j'ai beaucoup de chance, à tout point de vue, de l'avoir rencontré. Il y a aussi Agun, qui habite un appartement séparé mais qui est ma compagne (et grâce à laquelle je vis pleinement ma bisexualité) Vous avez raison, Jacques, je me suis très (trop) souvent laissée gouverner par mes sens et c'est quelque chose que je m'efforce de maîtriser. L'âge devrait m'y aider et mon état actuel y contribue pour le moment. Je vous embrasse.
Une grossesse difficile Olga!
AVec tout le respect que je vous dois, à l'âge que vous avez maintenant ce n'est improbable. J'espère que vous avez quelqu'un pour prendre soins de vous. Le concepteur n'est plus là et votre mari a maintenant une autre personne a s'occuper.
J'aime vous lire, je trouve que votre style d'écriture est très bien. Ça prend un bon degré de scolarité pour écrire comme ça. Sans vouloir être trop indiscret est -il raisonnable de vous demander jusqu' ou vous vous êtes rendu dans le domaine instructif?
D'après moi vous avez une très bonne éducation ainsi qu'une très bonne instruction.
Par contre je trouve que sur le côté décisionnel là je remarque une petite faibleses, des fois je me pose des questions concernant votre jugement!.
Par contre je ne suis pas dans vos souliers et peut-être tou vos décisions sont Justifiées.
Jacques du Canada
AVec tout le respect que je vous dois, à l'âge que vous avez maintenant ce n'est improbable. J'espère que vous avez quelqu'un pour prendre soins de vous. Le concepteur n'est plus là et votre mari a maintenant une autre personne a s'occuper.
J'aime vous lire, je trouve que votre style d'écriture est très bien. Ça prend un bon degré de scolarité pour écrire comme ça. Sans vouloir être trop indiscret est -il raisonnable de vous demander jusqu' ou vous vous êtes rendu dans le domaine instructif?
D'après moi vous avez une très bonne éducation ainsi qu'une très bonne instruction.
Par contre je trouve que sur le côté décisionnel là je remarque une petite faibleses, des fois je me pose des questions concernant votre jugement!.
Par contre je ne suis pas dans vos souliers et peut-être tou vos décisions sont Justifiées.
Jacques du Canada
En ce qui me concerne, je suivais déjà Philippe et Olga du temps de leur blog. Et contrairement aux frustrés qui les injurient, je suis fan. Juste un peu jaloux de ses nombreux amants. Surtout continuez! Luc
Olga et Philippe font en effet ce qu'ils veulent et, en ce qui nous concerne, en tant que couple libéré, nous aimons lire ce qu'Olga écrit. Cela nous inspire d'ailleurs en partie dans notre vie sexuelle, car nous pratiquons aussi le candaulisme, sans être allés aussi loin. Que ceux et celles à qui ça déplaît ou qui, pire, insultent Philippe et Olga tout én s'excitent sur leur histoire, aillent voir ailleurs. Olga, surtout continue, on attend la suite avec Impatience. Steph et JP.
Merci chère Madame pour vos propos justes et clairs. Nous sommes un couple qui assume son mode de vie, qui reconnait qu'il nous est arrivé d'aller très loin, quelquefois trop loin. Nous avions souhaité raconté ces moments, comme nous l'avions fait sur notre ancien blog. Quant aux frustrés et prétendus donneurs et donneuses de leçons, nous avons l'habitude, nous les ignorons! Bises à vous et bon dimanche
Bien que je me mele d'habitude de ce qui me regarde je tenais quand meme à donner mon avis, pour Marquise ou d'autres, si ce que tu lis ne te conviens pas ne viens pas sur ce genre de site. N'ai pas l'hypocrisie comme certains français aiment le faire de faire la donneuse de leçon. Pour moi c'est 1 couple qui s'assume à sa façon. Alors avis à tous pourtant je ne suis pas Olga et je suis loin d'avoir son expérience mais gardez vos critiques à la noix pour vous. Chacun est libre de vivre sa vie comme il l'entends du moment que ça ne porte pas prejudice à quiconque. Sur ce bon WE.
@ Jacques du Canada, merci pour votre message et vos encouragements. Oui c'est un nouvel équilibre que nous avons accepté. C'est un compromis qui respecte chacun et l'intérêt des enfants. Cette année, je serai sage, compte tenu de mon état, avec une grossesse un peu difficile. Je vous embrasse.
Je n'insisterai pas sur la réponse à "Marquise". Déja aux temps du blog, nous avions des gens comme vous, qui venaient là pour se pervertir et qui, ensuite, nous vouer aux gémonies. Sans commentaires...
@ André, qui est un lecteur fidèle depuis les temps du blog: évidemment ce n'est pas facile. Si Philippe, par amour et pour satisfaire son candaulisme, m'a poussé dans les bras des autres, moi j'ai toujours été possessive et exclusive. J'ai toujours considéré que Philippe est à moi et j'ai toujours mal vécu que d'autres femmes essaient de l'approcher (Christine, l'épouse de Jean, Marie C) ou réussissent un moment à nous éloigner (son ex-compagne Flavienne, j'en parlerai et en effet Théodora) La situation avec Théodora est différente, car Philippe doit, avec elle aussi, assumé ses responsabilités de père. Il me faut donc accepter l'idée, qui me fait mal, de la partager. Mais rien n'a changé dans la force de nos sentiments.
@ André, qui est un lecteur fidèle depuis les temps du blog: évidemment ce n'est pas facile. Si Philippe, par amour et pour satisfaire son candaulisme, m'a poussé dans les bras des autres, moi j'ai toujours été possessive et exclusive. J'ai toujours considéré que Philippe est à moi et j'ai toujours mal vécu que d'autres femmes essaient de l'approcher (Christine, l'épouse de Jean, Marie C) ou réussissent un moment à nous éloigner (son ex-compagne Flavienne, j'en parlerai et en effet Théodora) La situation avec Théodora est différente, car Philippe doit, avec elle aussi, assumé ses responsabilités de père. Il me faut donc accepter l'idée, qui me fait mal, de la partager. Mais rien n'a changé dans la force de nos sentiments.
@ notre lectrice anonyme, merci pour votre compréhension et le fait que vous ne nous jugiez pas. La "période Rachid" est derrière nous, nous l'avons pas l'intention de revivre cela, c'était peut-être un moment nécessaire dans l'accomplissement de mon hypersexualité et du candaulisme de Philippe. Oui nous espérons que nous saurons expliquer, le moment venue, à notre fille Lucie et à l'enfant à naître (ce sera un garçon) nos choix, le faiit que nous sommes un couple libre, mais qui a tenu alors que nous sommes allés au bout de nos envies et que, grâce à Philippe, j'ai été et je suis une femme totalement libre. Et qu'ils ont la chance d'avoir un père formidable.
Nous avons préféré fermé le blog et changé de région parce que nous avions été trop loin dans la transparence et qu'il fallait protéger nos enfants. Je vous embrasse.
Nous avons préféré fermé le blog et changé de région parce que nous avions été trop loin dans la transparence et qu'il fallait protéger nos enfants. Je vous embrasse.
Je suis content Olga d'avoir de vos nouvelles.
De savoir que votre situation amoureuse
est revenue plus equilibrée par rapport à Philippe et Théodora me réjouis pour vous. La vie semble se replacer de façon normale si ont peut dire!!!!
Le temps des vacances arrive. Retournez-vous en Grèce cet été? Si oui n'allez pas dans les dunes seule!
PS: Comment va votre grossesse?
Jacques du Canada ( qui vous suis de loin )
De savoir que votre situation amoureuse
est revenue plus equilibrée par rapport à Philippe et Théodora me réjouis pour vous. La vie semble se replacer de façon normale si ont peut dire!!!!
Le temps des vacances arrive. Retournez-vous en Grèce cet été? Si oui n'allez pas dans les dunes seule!
PS: Comment va votre grossesse?
Jacques du Canada ( qui vous suis de loin )
On pourra me rétorquer que si cela me choque je ne devrais pas le lire. Pour moi, l'histoire d'Olga et de Philippe, c'est celle d'une catin nymphomane et d'un pervers. Marquise
J'ai lu les commentaires et les réponses. Tu vas accepter de partager Philippe avec Théodora? Ca ne va pas être facile, surtout qu'elle sera dans la même maison et, si j'ai bien compris ses liens avec Philippe sont forts. André
Merci d'avoir répondu. Au moins vous avez vu 1 vie (familiale et sexuelle ) épanouie. Quand au coté salope si on lit ce genre d'histoire on n'est pas là pour juger. Pour moi vous etes 1 femme qui s'assume pleinement dans tout les sens du terme. Personnellement quelqu'un comme Rachid je n'aurai pas pu, j'ai trop 1 caractère pourri pour ce genre de relations. Toutes mes felicitations en tout cas. Dommage que le blog soit fermé. Bonne continuation. Bon courage pour vos filles plus tard au moment de l'adolescence pour leurs expliquer qu''on des femmes libres de faire nos propres choix tout en restant fideles à nos convictions.
A notre lectrice, merci pour le suivi de notre histoire.
C'est Hassan qui m'a délivré de l'emprise de Rachid, j'en parlerai.Hassan ne vit plus avec nous
Nous avons en effet, depuis cette période, été contraints de changer de région et nous vivons dans une grande agglomération, c'est plus facile par rapport à notre mode de vie. Nous sommes propriétaires d'une maison où il y a trois appartements. L'un est occupé par Agun, ma copine. Dans l'autre va s'installer Théodora, dont j'ai expliqué les liens avec Philippe. Et nous occupons le troisième, le plus grand. Philippe y vit avec moi, après être parti quelques semaines pour retrouver Théodora.J'ai eu en quelque sorte la monnaie de ma pièce et j'étais folle d'angoisse et de jalousie car j'ai cru avoir perdu Philippe.
En ce qui concerne nos enfants, Philippe a reconnu Lucie à sa naissance, comme il reconnaitra l'enfant que je porte actuellement.
Hassan avait reconnu Leila, il a le droit de garde et de visite. Et notre petite dernière, Sofia, a été conçu par Philippe.
Je reconnais que le plus difficile sera d'expliquer les choses à Lucie et à l'enfant que j'attends actuellement. Philippe assume parfaitement et merveilleusement son rôle de père et les enfants l'adorent.
Nous réfléchissons avec notre psychologue sur le meilleur moment et la façon de dire les choses en ce qui concerne Lucie et l'enfant à naitre. Nous sommes bien conscients que c'est la partie sombre de notre histoire.
C'est Hassan qui m'a délivré de l'emprise de Rachid, j'en parlerai.Hassan ne vit plus avec nous
Nous avons en effet, depuis cette période, été contraints de changer de région et nous vivons dans une grande agglomération, c'est plus facile par rapport à notre mode de vie. Nous sommes propriétaires d'une maison où il y a trois appartements. L'un est occupé par Agun, ma copine. Dans l'autre va s'installer Théodora, dont j'ai expliqué les liens avec Philippe. Et nous occupons le troisième, le plus grand. Philippe y vit avec moi, après être parti quelques semaines pour retrouver Théodora.J'ai eu en quelque sorte la monnaie de ma pièce et j'étais folle d'angoisse et de jalousie car j'ai cru avoir perdu Philippe.
En ce qui concerne nos enfants, Philippe a reconnu Lucie à sa naissance, comme il reconnaitra l'enfant que je porte actuellement.
Hassan avait reconnu Leila, il a le droit de garde et de visite. Et notre petite dernière, Sofia, a été conçu par Philippe.
Je reconnais que le plus difficile sera d'expliquer les choses à Lucie et à l'enfant que j'attends actuellement. Philippe assume parfaitement et merveilleusement son rôle de père et les enfants l'adorent.
Nous réfléchissons avec notre psychologue sur le meilleur moment et la façon de dire les choses en ce qui concerne Lucie et l'enfant à naitre. Nous sommes bien conscients que c'est la partie sombre de notre histoire.
Je continue à répondre aux commentaires qu'a suscité ce récit.
@ André, Rachid n'avait pas informé Marie et elle fût très furieuse en effet. Son objectif était de me faire du mal, pas que j'ai du plaisir.
@ Maurice: c'est Rachid qui lui avait demandé de se comporter ainsi. Mais il n'avait pas à se forcer. Pour Ahmadou, comme pour Rachid, "baiser une bourge" des beaux quartiers de la ville et "cocufier un notable" suscitait chez eux une sorte de haine sociale. Ils avaient un profond mépris pour le "cocu", ne comprenant pas son candaulisme.
@ Mohamed, tu es bien placé pour savoir que Philippe, depuis qu'il a assumé sa bisexualité avec Rachid, adore se faire sodomiser par un mâle. Il en aurait eu envie avec Ahmadou, mais il a craint, et moi aussi, d'être blessé, voir estropié!
@ André, Rachid n'avait pas informé Marie et elle fût très furieuse en effet. Son objectif était de me faire du mal, pas que j'ai du plaisir.
@ Maurice: c'est Rachid qui lui avait demandé de se comporter ainsi. Mais il n'avait pas à se forcer. Pour Ahmadou, comme pour Rachid, "baiser une bourge" des beaux quartiers de la ville et "cocufier un notable" suscitait chez eux une sorte de haine sociale. Ils avaient un profond mépris pour le "cocu", ne comprenant pas son candaulisme.
@ Mohamed, tu es bien placé pour savoir que Philippe, depuis qu'il a assumé sa bisexualité avec Rachid, adore se faire sodomiser par un mâle. Il en aurait eu envie avec Ahmadou, mais il a craint, et moi aussi, d'être blessé, voir estropié!
Je réponds dans l'ordre aux commentaires.
Merci à ce couple de lecteurs anonyme, la suite bientôt, c'est promis.
@ Benoit, heureuse que tu aies apprécié ce récit comme il se doit
@ Anna, tu devrais essayer!
@ Christine: Rachid était réticent, par sadisme mais aussi parce que, me connaissant, il craignait que je ne m'attache à Ahmadou. J'ai d'ailleurs été tentée, je le reconnais!
@A notre lecteur anonyme. Merci pour ce commentaire et pour ces mots, j'assume être devenue une salope et aime que l'on me parle ainsi.
Merci à ce couple de lecteurs anonyme, la suite bientôt, c'est promis.
@ Benoit, heureuse que tu aies apprécié ce récit comme il se doit
@ Anna, tu devrais essayer!
@ Christine: Rachid était réticent, par sadisme mais aussi parce que, me connaissant, il craignait que je ne m'attache à Ahmadou. J'ai d'ailleurs été tentée, je le reconnais!
@A notre lecteur anonyme. Merci pour ce commentaire et pour ces mots, j'assume être devenue une salope et aime que l'on me parle ainsi.
J'ai lu tes histoires, comment vas tu justifier à tes enfants pour Philippe ? Comment as tu reussi à te debarasser de l'emprise de Rachid. Vis tu à 4 chez toi ( Phi Hassan ta copine et toi )? As tu demenagé dans 1 grande ville pour vivre votre vie tranquille ?
Je suis certain que Philippe aurait aimé être à ta place et se faire démonter le cul par Ahmadou, n'est-ce pas? Mohamed
Pourquoi cette attitude méprisante d'Ahmadou vis-à-vis de toi et de Philippe? En te traitant commu une pute et en affichant son mépris pour le "cocu" alors que tout cela s'est déroulé parce que Philippe est candauliste. Tu peux expliquer? Maurice.
Je suis un lecteur fidèle de tes récits, comme je suivais votre ancien blog. Il me semble qu'à ce moment-là, ton ennemie intime, Marie C. était très complice de Rachid. Qu'a-t-elle pensé de cette initiative? André
C'est impressionnant!!! cette écriture digne de la reine des chiennes que tu deviens lors d'une rencontre avec un mâle viril....
Je me permet de te tutoyer tellement tu m'as excité femelle blanche...et tellement je me suis senti imprégné de ton histoire comme si j'étais l'acteur principale faisant de toi ma pute devant ton compréhensif mari cocu....chacune de tes histoires me parait invraisemblable....tellement cette salope femelle que tu es...es peu commune!
Si il y avait les JO du sex tu serais medailles d'or!
Prendre tous ce plaisir sans s'arrêter et en donner a tant de bite de male a ton mari est inouie....je n'ose imaginer les litres de foutre que tu as pu faire couler....surement plus que l'encre de ta plume que tu te sers aussi bien que d'une grosse verge...merci un fan
Je me permet de te tutoyer tellement tu m'as excité femelle blanche...et tellement je me suis senti imprégné de ton histoire comme si j'étais l'acteur principale faisant de toi ma pute devant ton compréhensif mari cocu....chacune de tes histoires me parait invraisemblable....tellement cette salope femelle que tu es...es peu commune!
Si il y avait les JO du sex tu serais medailles d'or!
Prendre tous ce plaisir sans s'arrêter et en donner a tant de bite de male a ton mari est inouie....je n'ose imaginer les litres de foutre que tu as pu faire couler....surement plus que l'encre de ta plume que tu te sers aussi bien que d'une grosse verge...merci un fan
Tu es une exceptionnelle salope et tu l'assumes. Sur ce coup-là, Rachid était réticent. Seulement par sadisme? Ou parce qu'il savait que tu pouvais tomber sous la coupe de ce mâle encore plus exceptionnel que lui. Comme Philippe, Rachid te connaissait bien. Christine
Hum, j'aurais adoré être à ta place! Anna
Wohaaaa ....
Merci pour ce récit...!!!! et pardon pour ma trivialité, mais ce récit m'a tellement fait bander que ma queue me fait mal !
Merci pour ce récit...!!!! et pardon pour ma trivialité, mais ce récit m'a tellement fait bander que ma queue me fait mal !
Superbe histoire, nous adorons la façons dont tu nous faits part de tes aventures avec tous les détails, vivement la suite.