Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (31) : Hassan s’impose.
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (31) : Hassan s’impose.
J’ai détaillé dans le texte précédent (récit n°30) dans quelles circonstances j’avais rencontré Hassan et comment nous étions devenus immédiatement amants.
Cette rencontre n’était pas de celles que je collectionnais alors avec mes nombreux amants. C’était autre chose. C’était un coup de foudre réciproque. J’étais tombée follement amoureuse et, dès cet instant, Hassan me considérait comme sa femme et était bien décidé à occuper toute la place dans ma vie. Ce qui venait d’arriver était le risque que courent tous les couples candaulistes, à savoir que l’épouse tombe amoureuse de l’un de ses amants et que cela fasse alors exploser le couple. La candaulisme est un jeu délicieux mais qui consiste à jouer avec le feu. C’est ce qui venait d’arriver pour mon couple avec Philippe, malgré la force de nos liens que nous pensions indestructibles. Nous avions pris le risque, cette fois c’était arrivé.
Pour l’instant j’étais devenue pleinement adultère. Pour la première fois depuis longtemps, j’avais découché sans avoir informé Philippe ni avant, ni après. Je ne me suis dit que Philippe m’avait toujours dit que j’étais entièrement libre de faire tout ce que je voulais. J’ai aussi pensé qu’il prendrait soin du bébé, c’est de cela que j’ai eu le plus honte.
Philippe et moi avons une définition restrictive de l’adultère au sein de notre couple. Il n’y a pas adultère pour nous quand je couche avec un ou plusieurs autres hommes, dès lors que nous sommes dans un cadre candauliste, que Philippe est au courant et mieux, qu’il est présent. Quoiqu’en pensent beaucoup de gens, Philippe n’est pas un mari cocu, mais un mari candauliste.
J’avais déjà été dans des situations d’adultère, par exemple à Rio (voir récit n°8), ou, plus récemment avec Pierre, le mari de Christine (récit n°15). Dans le cas de Rio, j’avais informé Philippe après coup et lui avait fait profité ensuite de mes ébats au téléphone. En ce qui concerne Jean, je reconnais que j’ai mis plusieurs jours à informer Philippe.
Mais, dans un cas comme dans l’autre, il n’y avait rien de sentimental.
Philippe, après avoir tenté en vain de me joindre sur mon mobile, très inquiet, avait fini par contacter Rachid. Celui-ci avait eu vite fait d’être informé par Kamel de ce qui s’était passé la veille. Kamel n’était pas très fier de lui. Il mit Rachid en garde. Il ne doutait pas que je m’étais offerte à Hassan.
• Sache que mon frère est, d’après ce que je sais, un amant exceptionnel. Mais c’est surtout un homme de principes. Il est rigoriste et intransigeant. S’il la prise, désormais elle est à lui et à personne d’autre.
Ce matin-là, je me réveillais dans les bras d’Hassan. Nous avions fait l’amour toute l’après-midi, la soirée et une bonne partie de la nuit.
J’étais tombée follement amoureuse d’Hassan. Je ne parle pas seulement de ses muscles, de son visage, de ses yeux sombres qui m’avaient fascinée. Hassan était un athlète, beau comme un Dieu. J’étais en admiration devant son corps et ses exceptionnelles qualités d’amant.
Je pense aussi à son tempérament et c’est cela qui m’a séduite et qui a fait d’une rencontre parmi d’autres une page importante de ma vie et la seule fois depuis ma rencontre avec Philippe où j’ai vraiment trahi celui-ci, en tombant amoureuse d’un autre, ce qui n’était jamais arrivé précédemment, y compris avec Rachid envers lequel j’avais une dépendance physique et, sauf au début, pas sentimentale.
La virilité, c’est l’opposé de la fragilité. Hassan est un homme un peu macho, assez dominant, grande gueule, déterminé. Nos envies et nos désirs se complétaient… J’étais une femme soumise durant l’acte, mais Hassan avait besoin de maîtriser la femme qu’il honorait.
Hassan affirmait sa masculinité. Il savait se faire respecter, il cultivait son corps et sa forme physique, mais aussi sa force de caractère : il avait appris à faire des choix dans sa vie, à affronter l’adversité plutôt que l’éviter, à tirer le positif de ses erreurs, à développer un mental fort et déterminé. En un mot, il était un acteur, pas un suiveur. Hassan savait en outre cultiver sa sensualité d’homme, il le prouva dans la passion qui nous a unis pendant près de deux ans. Hassan était un homme cultivé. Il était issu de ce quartier, mais avait réussi. Il était professeur dans un lycée voisin, mais avait gardé les liens avec son quartier d’origine. Ses parents étant disparus, il gardait un œil sur le petit dernier, Kamel, qui occupait le logement familial. Hassan s’inquiétait des mauvaises fréquentations de Kamel.
CONVERSATION AVEC PHILIPPE
Je consultais mon portable et je voyais le nombre d’appels que Philippe avait passés en vain depuis la veille. Alors qu’Hassan était dans la salle de bains, je me décidais à l’appeler. Il comprit tout de suite à la façon dont je m’adressais à lui et à mon ton que quelque chose de grave venait de se passer :
• Bonjour Philippe. Comment va le bébé ?
• Bonjour chérie. Enfin, j’étais mort d’inquiétude ! Lucie a beaucoup pleuré, je me suis débrouillé, comme toujours. Elle préfère ton lait maternel au lait en poudre que je lui ai donné. A aucun moment tu n’as pensé à notre fille et à moi. Tu es un monstre, Olga.
• Tu arrêtes ça tout de suite, Philippe. Tu m’as toujours dit que j’étais totalement libre, non ?
• C’est vrai ! Rachid m’a dit que tu es avec Hassan, le frère de Kamel.
• Oui, je suis avec lui depuis hier après-midi.
• Je suppose qu’il t’a donné beaucoup de plaisir.
• Philippe, nous avons fait l’amour pendant des heures et des heures. Tu m’entends, nous avons fait l’amour, nous n’avons pas seulement baisé. Tu me comprends ?
• Tu es amoureuse de lui ?
• Oui, je suis amoureuse à la folie. C’est la première fois que j’ai tout : le plaisir et l’amour. Avec un même homme. Ça ne m’était jamais arrivé auparavant.
• Tu ne m’aimes plus, c’est ça ? Tu veux me quitter ?
• Ecoute, on ne va pas parler de ça au téléphone. Je vais venir chez nous avec Hassan. Il va s’installer à la maison, je vais vivre avec lui en attendant que nous réglions la situation.
• Et Rachid ?
• C’est fini avec lui. Ne t’inquiète pas, Hassan va s’occuper de lui. Pour le reste, nous en parlerons de vive voix.
• Olga, je suis prêt à tout accepter. Mais je t’en supplie mon amour, ne me quitte pas, ne me chasse pas de ta vie.
• Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un monstre. Tu es le vrai père de mon bébé et tu es mon compagnon, je tiens à toi. Tu es à moi, bébé. Je t’embrasse.
A ce moment-là, Hassan sortit de la salle de bains.
• Tu téléphonais à Philippe, n’est-ce pas ?
• C’est normal, il s’inquiétait et je voulais savoir comment ça s’était passé avec le bébé.
• J’aurais préféré que tu lui parles en ma présence. J’ai entendu tes dernières paroles. Je te le répète, Olga, je ne partage pas. C’est fini avec Rachid, mais c’est aussi fini avec lui. Tu es à moi et à personne d’autre, désormais. C’est compris ?
• Hassan, je t’aime. Mais tu dois comprendre ce que Philippe est pour moi.
Hassan avait pris en mains mes poignets et les serrait avec force. Il était très en colère. Ses yeux lançaient des braises. Je sentais qu’il faisait des efforts pour se maîtriser. Je comprenais qu’il était partagé entre l’envie de me battre et le désir qu’il avait pour moi. Il me dira plus tard que ce qu’il avait accepté de ma part, il ne l’avait et ne l’aurait jamais accepté d’une autre. Je l’avais, m’a-t-il dit, « ensorcelé ».
Il se calma, m’embrassa puis me dit, d’un ton qui ne souffrait pas la discussion :
• Femme, vas préparer le petit déjeuner
Je n’avais pas l’habitude d’être commandée, mais plutôt d’être servie. Pourtant j’obtempérais, soumise à la volonté sans appel de ce mâle dominant.
J’essayais, en choisissant mes mots, de plaider la cause de Philippe, expliquant à Hassan l’immensité de son amour, tout ce qu’il avait fait pour moi, jusqu’à reconnaître et élever un enfant conçu par un autre homme.
• C’est bien le moins qu’il devait faire, c’est quand même lui qui t’a livrée à Rachid et qui a accepté, pire qui a poussé à ce que celui-ci te féconde. Excuse-moi, mais je n’arrive pas à accepter qu’un homme puisse pousser sa femme dans les bras d’un autre et en plus y trouver du plaisir. Je te promets d’être gentil et patient avec lui, mais que les choses soient claires : il est hors de question qu’il nous mate et encore plus qu’il te touche ou que tu le touches. C’est compris, Olga ?
• Tu es cruel, mais je ferai ce sacrifice, alors que j’aime Philippe autant que je t’aime. Il fait partie de ma vie, ne l’éloigne pas de moi, je t’en supplie !
RACHID HORS JEU
Sur ces paroles, il y eut un coup de sonnette.
• Ah Rachid, tu tombes bien ! On va pouvoir mettre les choses au point. Rentre ! Et toi, Olga, mets une robe de chambre. Je ne veux plus qu’un autre homme te voit nue !
• Mais chérie, s’il y a bien quelqu’un qui connait mon corps, c’est Rachid.
• Justement ! Fais ce que je te dis, femme !
Je m’exécutais, comprenant que je devais prendre l’habitude d’obéir à cet homme.
• Bonjour Olga. Si j’ai bien compris, tu viens d’affubler Philippe de sa plus belle paire de cornes. Il est malheureux comme une pierre. Quant à toi, dit-il à Hassan, bonne chance avec cette pute, car il n’y a que le train qui ne lui soit pas passé dessus !
Hassan réagit au quart de tour, prit Rachid par le blouson, le souleva du sol et commença à le secouer, menaçant de lui démolir le portrait. Il le lâcha et Rachid tomba au sol
• T’es malade !
• Ecoute-moi bien, petite frappe. C’est un aperçu de ce qui t’attend parce que tu viens de manquer de respect à ma femme. Et ça vaut aussi pour tout le mal que tu lui as fait. Si je ne me retenais pas, je te massacrerai. Et ce n’est rien à côté de ce que je te réserve si jamais je te vois encore essayer de l’approcher. Tu sors de sa vie, c’est compris ?
• Et oh du calme ! Tu la veux, je te la laisse. De toute façon, j’avais fait le tour, je commençais à m’ennuyer avec elle. Moi je n’ai rien demandé, c’est son mari qui est venu me chercher.
• Ne t’inquiète pas, il paiera ses fautes aussi. Une dernière chose : tu préviens tous ceux qui lui ont fait du mal que l’interdiction vaut aussi pour eux, à commencer par cette avocate, Marie C. Je crois que tu la connais bien. Dis-lui que je ne plaisante pas.
Rachid s’en alla sans demander son reste, sans un regard pour moi, qui tournait ainsi brutalement une page de près de deux ans, où j’avais connus les plus forts moments de plaisir, mais aussi tous les excès.
Je me rendais compte que j’allais changer complétement de vie. J’étais débarrassée de Rachid, mais qu’allait devenir Philippe ? Je ne pouvais me résigner à le sacrifier aux exigences d’Hassan. Je me demandais si, du fait de mon hypersexualité, si j’étais capable d’être fidèle et de me contenter d’un seul homme, fut-il un amant aussi performant qu’Hassan ?
Hassan appela Kamel pour l’informer qu’il pourrait revenir à l’appartement et qu’il allait s’installer chez nous.
LA METAMORPHOSE D’OLGA
J’avais remis mes vêtements de la veille.
• Ah non, tu ne sors pas comme ça ! Ce sont des vêtements de putain ! Chez nous, je veux bien que tu sois sexy, et même à poil, mais seulement pour moi et pas offerte à la concupiscence des autres ! Je vais te chercher des vêtements décents. Tu es ma femme désormais.
J’étais estomaquée, mais je ne le contredisais pas.
Il revint peu après, avec une longue tenue et un voile.
• Tu es fou ? Je ne vais pas mettre ça ! Je ne suis pas musulmane !
• Pas encore, mais tu es déjà ma femme. Tu dois doit couvrir tout le corps à l’exception des mains et du visage. Le voile ne doit pas laisser dépasser la moindre partie de la chevelure. Tu m’as promis obéissance, femme ! Désormais tu sortiras ainsi. Je ne veux plus que ma femme soit un objet de désir pour les autres hommes. Seulement pour moi.
Je me soumettais. Après tout si c’est ce qu’il voulait, c’était aussi un moyen de ne pas susciter la tentation.
Il m’embrassa tendrement.
• Parfait, tu sais que même ainsi, tu me fais bander, Olga. Dès que nous serons chez toi, je te conduirai dans notre chambre et je t’honorerai.
Notre descente fit sensation. C’était une autre femme qui quittait l’appartement de Kamel, rien à voir avec la scandaleuse, la putain qui était arrivée la veille sous les injures et les malédictions. J’étais respectée, j’étais la femme d’Hassan.
Philippe eut un choc quand il nous vit arriver. En plus, je refusais tout baiser, lui tendant la main.
• Mais Olga, c’est quoi cette tenue ? Tu t’es convertie ?
• Pas encore, mais c’est la tenue de ma femme quand elle sort. Bonjour je suis Hassan, le nouvel homme d’Olga.
• Philippe, son mari.
• Pour le moment.
• C’est à Olga d’en décider.
• Elle a choisi mais je ne veux rien précipiter. C’est elle qui te l’annoncera.
• Nous sommes d’accord là-dessus, j’ai toujours dit qu’Olga était entièrement libre, y compris si elle choisit la servitude.
Hassan fit alors tomber mon voile, me prit dans ses bras et m’embrassa longuement, sans prêter plus d’attention à Philippe.
• Philippe, notre chambre est-elle prête ?
• Oui, elle est prête.
• J’y vais avec ma femme. Je ne lui ai pas encore fait l’amour depuis ce matin. J’ai bien l’intention de la féconder dès que possible. Elle est faite pour avoir des enfants.
• C’est vrai que la maternité la rend encore plus belle.
CANDAULISME INTERDIT
Hassan me prit par la main et nous nous dirigions vers la chambre conjugale, où j’avais si souvent été prise par Rachid. Philippe voulut nous suivre.
• Que les choses soient claires, Philippe. Pas question que tu joues les spectateurs. Tu nous laisses seuls avec ma femme.
Je voyais Philippe au bord des larmes, mais j’avais trop envie de m’offrir à Hassan, en particulier dans mon lit.
Une fois dans la chambre, je ne pense plus à la tristesse de Philippe.
Hassan soude ses lèvres aux miennes. Il fait tomber ma tunique, sous laquelle j’étais nue.
Je descends ma main contre son torse, vers sa hanche, j’arrive au contact de la verge tendue, je caresse la peau douce et chaude, remonte sur le champignon violet gorgé de sang. La caresse de ma main s'affermit sur la verge, je tends les lèvres, le baiser reprend, il fouille ma bouche de sa langue tandis que je le branle doucement. Les mains d’Hassan descendent sur mes reins et se posent sur mes fesses...
La glace de la chambre renvoie l'image de notre couple adultère. Je pense à Philippe, j’aimerais tant qu’il soit dans son fauteuil, la queue sortie, qu’il nous mate et nous encourage.
• Tu me plais; je te veux...je veux tout de toi.
Il se penche et d'un geste, ouvre le lit. Il sait qu’il va l’occuper désormais. Je m’y allonge, contemple mon nouveau mâle, mon homme. Je suis offerte et impudique. Hassan se couche à côté de moi et me caresse, du visage jusqu'aux cuisses, s'attardant sur les seins, la cuvette du nombril, descendant sur le mont de Vénus, insinuant un doigt dans mon ouverture détrempée, me faisant très vite gémir.
Hassan me fit alors un cunnilingus artistique.
• Je veux ta chatte maintenant ! Je veux te lécher ! Dis-moi que t’en as envie !
• Oui, oui…
• Et tu veux que je le fasse ? Dis-le-moi…
• Oui, oui, je t’en prie, fais-le…
• Plus fort, crie-le haut et fort, lâche-toi !
Il savait que Philippe, sans faire de bruit, était derrière la porte.
Hassan me poussait à être un animal guidé par ses pulsions les plus primitives. Je le suppliais en criant :
• Oui, oui, lèche-moi le sexe, je t’en prie !
Hassan n’y tint plus. Il plongea littéralement sur mon bas-ventre, colla sa bouche sur mon sexe, s’attaqua sérieusement au sensible bourgeon qui se gonflait à la commissure de la féminité éclose. J’enfonçais sauvagement mes ongles dans les épaules de mon partenaire qui commençait aussi à gémir. Il collait sa bouche sur le clitoris qu’il aspirait en le titillant de la langue, un clitoris d’une longueur et grosseur surprenantes.
Il le délaissa assez vite, préférant glisser sa langue dans le sillon humide, aussi loin que possible, allant et venant, s’acharnant impitoyablement. Je criais.
Je n’existais plus que par cette chose vivante qui se frayait partout un chemin, explorait, tournoyait et vrillait, me sondant à m’en arracher l’âme. Je me laissais emporter, comme aspirée par une tornade dévastatrice qui bouleversait mes sens comme jamais.
Un instant, j’eus la force de me redresser, pour voir. Il n’y avait rien de plus beau que cet homme viril, étendu entre mes jambes, fesses levées, la tête enfoncée dans la fourche de mes cuisses, en train d’explorer amoureusement mon sexe comme personne ne l’avait fait, avec un tel appétit qu’il semblait vouloir me dévorer vivante.
Avec un râle d’abandon, je me laissais retomber sur le lit. Tétanisée par les brûlantes crispations qui incendiaient mon bas-ventre, ma croupe accentuait les profonds mouvements de houle qui l’agitaient. Je perdais le contrôle, criant, suppliant, divaguant, tétanisée par un tel foisonnement de sensations si délicieuses, si intenses, qu’elles en devenaient presque insoutenables. Impitoyable, Hassan accéléra la pression de sa bouche et la vibration de sa langue. Il empoigna à pleines mains mes fesses, y enfonça ses doigts, plaquant davantage le bas-ventre contre sa bouche vorace. Traits tendus, lèvres entrouvertes sur une plainte autant sensuelle qu’enfantine, je finis par me laisser aller. Mes doigts se crispaient dans la chevelure et j’accompagnais les mouvements de la tête pendant que ses hanches ondulaient.
Je fus comme frappée par mille flèches brûlantes qui semblèrent me transpercer, et ce fut enfin l’explosion fulgurante, un orgasme fabuleux, extraordinairement puissant qui m’ébranla toute entière. Je fus incapable de contenir les spasmes qui partaient de mon bas-ventre, et continuais de me vider sur la bouche gourmande qui, ayant perçue les contractions annonciatrices de l’orgasme, avait redoublé d’attention pour laper jusqu’à la dernière goutte.
Avec des gémissements de bonheur, je m’accrochais de plus belle à Hassan en le serrant contre mon ventre, comme si je voulais le garder enfoncer au plus intime de mon être pour toujours, bien au-delà des derniers sursauts qui me faisaient encore trembler. Eperdue de reconnaissance, je lui enfonçais dans la bouche une langue frétillante, excitée de retrouver sur ses lèvres la saveur de sa propre liqueur intime.
Tout en l’embrassant, je le caressais par-dessus le jean, pressant mes doigts sur la virilité dressée, le torturant sans pitié. Il n’y tint plus, se déshabillant fébrilement. Je m’emparais de sa verge que je masturbais. Il m’embrassa avec une telle sauvagerie qu’il me mordit. Les yeux fous, suffocante, je me redressais, lui offrant mes seins qui se dressaient comme des dards insolents. Hassan les prit à pleines mains, surpris encore par leur douceur, ravi de sentir les bouts réagir à ses caresses.
Penchée sur son bas-ventre, je l’effleurai de mes lèvres, glissant la pointe de sa langue sur ses poils, à quelques millimètres du pénis. Il se cambra violemment, le sexe durci à lui faire mal. Je ne répondis pas à ses attentes, jouant avec ses nerfs. Il réussit à se contorsionner, collant son sexe contre mon visage, me suppliant de passer aux choses sérieuses.
D’un coup, je le pris à pleine bouche, l’avalant presque entièrement d’une aspiration goulue, si voracement qu’il hoqueta de plaisir et de soulagement. Je le ressortis de ma bouche pour le happer encore plus profondément, allant et venant à une cadence accélérée, l’affolant de temps à autre d’habiles glissades de la langue pour faciliter la prochaine fellation. Hassan grognait de plaisir, se tordit en tous sens, pris de tremblements convulsifs à l’approche d’une éjaculation imminente.
Je sentais qu’il était au bord de l’orgasme et j’arrêtais à temps, bien décidée à faire durer le plaisir, son plaisir et le mien. Je voulais être prise.
Je remontais sur lui pour me déplacer au-dessus, me frottant fébrilement contre son sexe. Il ne fallut aucun effort pour qu’il s’enfonce en moi d’un puissant coup de reins.
Je hurlais, la tête penchée en arrière. Il me saisit les fesses pour m’imposer son rythme, me percutant de fougueux déhanchements qui s’accélérèrent.
Je me soulevais d’un coup de reins, retombais, m’empalant à fond, l’obligeant à modérer ses ardeurs pour lui donner sa cadence, plus lente et appuyée. Vaincu, il se laissa guider.
J’oscillais sur lui, et chaque ondulation nous arrachait un long soupir animal.
Bientôt, mes mouvements se firent plus impétueux, je me cambrais avec un frémissement incontrôlé, tendue et crispée, marmonnant des « oh oui ! » dans un râle extasié.
Le mâle reprit alors le contrôle du coït. Soudés l’un à l’autre, nous copulions rageusement dans un rythme désordonné, emportés par la même frénésie sexuelle. Nous mêlions nos corps, nos cris, nos gémissements. Nos corps s’emboitaient l’un dans l’autre, se perdant dans toutes sortes de positions incongrues, avec un plaisir sans cesse renouvelé.
Son majeur agace mon clitoris puis s'engouffre dans le vagin jusqu'à ce que je crie.
• Tu veux ?
• Je t’en supplie, oui..oui je me donne, je suis ta femme, je suis à toi, prends-moi !..
• Je suis ton mari, Olga. Je veux te faire un enfant.
• Oui, mon amour, fais-moi un enfant.
• Tu seras mon épouse, devant Dieu et devant les hommes.
Il se hisse sur moi et me pénètre à nouveau. Il choisit cette fois la position du missionnaire
• Oui, Hassan. Mets-la-moi bien au fond, oui, comme ça ! Oh que c’est bon !
• Tu divorceras ?
• Oui, Hassan, je divorcerai, je ferai tout ce que tu veux. Plus fort, plus vite ! Oh oui, encoreeeeee
J’enchainais les orgasmes, la sueur coulait de mon front, j’avais l’impression que mon cœur allait exploser dans ma poitrine. Jamais je ne m’étais autant donnée. Rachid m’embrassait à me faire perdre haleine, seul moyen d’étouffer mes cris de plaisir, mes gémissements étant devenus des cris, puis des hurlements de plaisirs. Je ne pensais plus que, de l’autre côté de la porte, Philippe entendait tout et qu’il devait être partagé entre l’excitation et la souffrance car il semblait bien cette fois-ci qu’il allait me perdre.
Ce fut une délivrance quand Hassan se décida enfin à jouir longuement dans mon vagin.
Son sexe toujours aussi roide se loge ensuite dans le sillon fessier et il commence un lent mouvement de va et vient auquel je ne tarde pas à répondre en me cambrant. Il veut m’enculer, ce qu’il n’a pas encore fait jusqu’à présent.
Ses doigts viennent explorer la raie profonde, son majeur trouve l'anneau des reins et s'y enfonce. Je gémis doucement, mais il n'en a cure et son index vient en renfort après qu'il ait humecté ses doigts de salive...
• Je veux ton cul...
• Oui, encules-moi mon amour, mais vas-y doucement, tu es si gros
• Allons, tu es habituée, je le sais
Il retire ses doigts pour guider son gland, il se hisse légèrement sur les genoux. Je sens la poussée contre mon anus...puis l'envahissement inexorable...la sensation d'être écartelée, à nouveau la morsure sur ma nuque ...
L’énorme matraque progresse dans mon rectum... je sens que ça se dilate.
• Tu es si bonne à enculer, chérie. C’est incroyable, je suis presqu’aussi à l’aise que dans ton vagin. Cambres-toi davantage, que je puisse entrer à fond. Je vais te casser le cul !
Je gémis de plus en plus autant à cause des allées et venues du membre dans mon fondement que des sensations que lui procurent les deux mains qui me pétrissent.
Encouragé par mes plaintes langoureuses, Hassan se retire jusqu’au gland pour s'enfoncer, ses bourses venant frapper l’entrecuisse, ses mains quittent les fesses devenues écarlates pour passer sous le buste et se saisir des seins qu'elles pétrissent à leur tour, les doigts pincent les mamelons, les étirent.
Je suis au bord de la pâmoison, je devine aux contractions de la verge que lui aussi est au bord de la jouissance, mais il se maîtrise et ce n'est qu'après m'avoir entendue hurler qu'il se déverse enfin. Je sens la semence chaude envahir mon fondement.
Hassan m’embrassa ensuite tendrement, remonta le drap sur moi et me dit, après avoir ouvert la porte :
• Appelle Philippe !
• Philippe, tu peux venir, s’il te plait.
Philippe entra timidement dans la chambre.
• Nous nous excusons auprès de toi, mais ça sera ainsi le temps que nous cohabitions. Tu le sais sans doute, mais Olga est très démonstrative quand elle est bien baisée. Là nous avons baisé, mais nous avons surtout fait l’amour.
J’offrais mes lèvres à Hassan et, sans gêne, nous nous embrassions amoureusement.
J’étais couverte par le drap jusqu’au cou, alors que Philippe connaissait si bien mon corps. Mais Hassan tenait à ce que lui seul puisse profiter de ma nudité. Hassan, par contre, entièrement nu, n’était pas gêné par la présence du mari déchu. Il voulait que celui-ci connaisse ses atouts.
• Ça t’impressionne, n’est-ce pas ? La nature ne donne pas à chacun les mêmes atouts. Je sais que tu es bisexuel et que Rachid t’enculait régulièrement. Ce n’est pas trop mon truc, tu sais, les pédés, pas plus que les hommes qui ont du plaisir à offrir leurs femmes à d’autres.
Philippe devint pâle mais ne répondit pas à l’insulte.
• En attendant, amène le bébé pour qu’Olga lui donne le sein. Ensuite, tu nous apporteras un plateau repas et une bouteille de champagne, nous ne quittons pas le lit. Olga est insatiable et moi aussi.
D’une autre manière que Rachid, Hassan s’affirmait d’emblée face à Philippe. Celui-ci faisait le dos rond, se disant que la patience lui permettrait peut-être de surmonter cette épreuve.
Cette rencontre n’était pas de celles que je collectionnais alors avec mes nombreux amants. C’était autre chose. C’était un coup de foudre réciproque. J’étais tombée follement amoureuse et, dès cet instant, Hassan me considérait comme sa femme et était bien décidé à occuper toute la place dans ma vie. Ce qui venait d’arriver était le risque que courent tous les couples candaulistes, à savoir que l’épouse tombe amoureuse de l’un de ses amants et que cela fasse alors exploser le couple. La candaulisme est un jeu délicieux mais qui consiste à jouer avec le feu. C’est ce qui venait d’arriver pour mon couple avec Philippe, malgré la force de nos liens que nous pensions indestructibles. Nous avions pris le risque, cette fois c’était arrivé.
Pour l’instant j’étais devenue pleinement adultère. Pour la première fois depuis longtemps, j’avais découché sans avoir informé Philippe ni avant, ni après. Je ne me suis dit que Philippe m’avait toujours dit que j’étais entièrement libre de faire tout ce que je voulais. J’ai aussi pensé qu’il prendrait soin du bébé, c’est de cela que j’ai eu le plus honte.
Philippe et moi avons une définition restrictive de l’adultère au sein de notre couple. Il n’y a pas adultère pour nous quand je couche avec un ou plusieurs autres hommes, dès lors que nous sommes dans un cadre candauliste, que Philippe est au courant et mieux, qu’il est présent. Quoiqu’en pensent beaucoup de gens, Philippe n’est pas un mari cocu, mais un mari candauliste.
J’avais déjà été dans des situations d’adultère, par exemple à Rio (voir récit n°8), ou, plus récemment avec Pierre, le mari de Christine (récit n°15). Dans le cas de Rio, j’avais informé Philippe après coup et lui avait fait profité ensuite de mes ébats au téléphone. En ce qui concerne Jean, je reconnais que j’ai mis plusieurs jours à informer Philippe.
Mais, dans un cas comme dans l’autre, il n’y avait rien de sentimental.
Philippe, après avoir tenté en vain de me joindre sur mon mobile, très inquiet, avait fini par contacter Rachid. Celui-ci avait eu vite fait d’être informé par Kamel de ce qui s’était passé la veille. Kamel n’était pas très fier de lui. Il mit Rachid en garde. Il ne doutait pas que je m’étais offerte à Hassan.
• Sache que mon frère est, d’après ce que je sais, un amant exceptionnel. Mais c’est surtout un homme de principes. Il est rigoriste et intransigeant. S’il la prise, désormais elle est à lui et à personne d’autre.
Ce matin-là, je me réveillais dans les bras d’Hassan. Nous avions fait l’amour toute l’après-midi, la soirée et une bonne partie de la nuit.
J’étais tombée follement amoureuse d’Hassan. Je ne parle pas seulement de ses muscles, de son visage, de ses yeux sombres qui m’avaient fascinée. Hassan était un athlète, beau comme un Dieu. J’étais en admiration devant son corps et ses exceptionnelles qualités d’amant.
Je pense aussi à son tempérament et c’est cela qui m’a séduite et qui a fait d’une rencontre parmi d’autres une page importante de ma vie et la seule fois depuis ma rencontre avec Philippe où j’ai vraiment trahi celui-ci, en tombant amoureuse d’un autre, ce qui n’était jamais arrivé précédemment, y compris avec Rachid envers lequel j’avais une dépendance physique et, sauf au début, pas sentimentale.
La virilité, c’est l’opposé de la fragilité. Hassan est un homme un peu macho, assez dominant, grande gueule, déterminé. Nos envies et nos désirs se complétaient… J’étais une femme soumise durant l’acte, mais Hassan avait besoin de maîtriser la femme qu’il honorait.
Hassan affirmait sa masculinité. Il savait se faire respecter, il cultivait son corps et sa forme physique, mais aussi sa force de caractère : il avait appris à faire des choix dans sa vie, à affronter l’adversité plutôt que l’éviter, à tirer le positif de ses erreurs, à développer un mental fort et déterminé. En un mot, il était un acteur, pas un suiveur. Hassan savait en outre cultiver sa sensualité d’homme, il le prouva dans la passion qui nous a unis pendant près de deux ans. Hassan était un homme cultivé. Il était issu de ce quartier, mais avait réussi. Il était professeur dans un lycée voisin, mais avait gardé les liens avec son quartier d’origine. Ses parents étant disparus, il gardait un œil sur le petit dernier, Kamel, qui occupait le logement familial. Hassan s’inquiétait des mauvaises fréquentations de Kamel.
CONVERSATION AVEC PHILIPPE
Je consultais mon portable et je voyais le nombre d’appels que Philippe avait passés en vain depuis la veille. Alors qu’Hassan était dans la salle de bains, je me décidais à l’appeler. Il comprit tout de suite à la façon dont je m’adressais à lui et à mon ton que quelque chose de grave venait de se passer :
• Bonjour Philippe. Comment va le bébé ?
• Bonjour chérie. Enfin, j’étais mort d’inquiétude ! Lucie a beaucoup pleuré, je me suis débrouillé, comme toujours. Elle préfère ton lait maternel au lait en poudre que je lui ai donné. A aucun moment tu n’as pensé à notre fille et à moi. Tu es un monstre, Olga.
• Tu arrêtes ça tout de suite, Philippe. Tu m’as toujours dit que j’étais totalement libre, non ?
• C’est vrai ! Rachid m’a dit que tu es avec Hassan, le frère de Kamel.
• Oui, je suis avec lui depuis hier après-midi.
• Je suppose qu’il t’a donné beaucoup de plaisir.
• Philippe, nous avons fait l’amour pendant des heures et des heures. Tu m’entends, nous avons fait l’amour, nous n’avons pas seulement baisé. Tu me comprends ?
• Tu es amoureuse de lui ?
• Oui, je suis amoureuse à la folie. C’est la première fois que j’ai tout : le plaisir et l’amour. Avec un même homme. Ça ne m’était jamais arrivé auparavant.
• Tu ne m’aimes plus, c’est ça ? Tu veux me quitter ?
• Ecoute, on ne va pas parler de ça au téléphone. Je vais venir chez nous avec Hassan. Il va s’installer à la maison, je vais vivre avec lui en attendant que nous réglions la situation.
• Et Rachid ?
• C’est fini avec lui. Ne t’inquiète pas, Hassan va s’occuper de lui. Pour le reste, nous en parlerons de vive voix.
• Olga, je suis prêt à tout accepter. Mais je t’en supplie mon amour, ne me quitte pas, ne me chasse pas de ta vie.
• Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un monstre. Tu es le vrai père de mon bébé et tu es mon compagnon, je tiens à toi. Tu es à moi, bébé. Je t’embrasse.
A ce moment-là, Hassan sortit de la salle de bains.
• Tu téléphonais à Philippe, n’est-ce pas ?
• C’est normal, il s’inquiétait et je voulais savoir comment ça s’était passé avec le bébé.
• J’aurais préféré que tu lui parles en ma présence. J’ai entendu tes dernières paroles. Je te le répète, Olga, je ne partage pas. C’est fini avec Rachid, mais c’est aussi fini avec lui. Tu es à moi et à personne d’autre, désormais. C’est compris ?
• Hassan, je t’aime. Mais tu dois comprendre ce que Philippe est pour moi.
Hassan avait pris en mains mes poignets et les serrait avec force. Il était très en colère. Ses yeux lançaient des braises. Je sentais qu’il faisait des efforts pour se maîtriser. Je comprenais qu’il était partagé entre l’envie de me battre et le désir qu’il avait pour moi. Il me dira plus tard que ce qu’il avait accepté de ma part, il ne l’avait et ne l’aurait jamais accepté d’une autre. Je l’avais, m’a-t-il dit, « ensorcelé ».
Il se calma, m’embrassa puis me dit, d’un ton qui ne souffrait pas la discussion :
• Femme, vas préparer le petit déjeuner
Je n’avais pas l’habitude d’être commandée, mais plutôt d’être servie. Pourtant j’obtempérais, soumise à la volonté sans appel de ce mâle dominant.
J’essayais, en choisissant mes mots, de plaider la cause de Philippe, expliquant à Hassan l’immensité de son amour, tout ce qu’il avait fait pour moi, jusqu’à reconnaître et élever un enfant conçu par un autre homme.
• C’est bien le moins qu’il devait faire, c’est quand même lui qui t’a livrée à Rachid et qui a accepté, pire qui a poussé à ce que celui-ci te féconde. Excuse-moi, mais je n’arrive pas à accepter qu’un homme puisse pousser sa femme dans les bras d’un autre et en plus y trouver du plaisir. Je te promets d’être gentil et patient avec lui, mais que les choses soient claires : il est hors de question qu’il nous mate et encore plus qu’il te touche ou que tu le touches. C’est compris, Olga ?
• Tu es cruel, mais je ferai ce sacrifice, alors que j’aime Philippe autant que je t’aime. Il fait partie de ma vie, ne l’éloigne pas de moi, je t’en supplie !
RACHID HORS JEU
Sur ces paroles, il y eut un coup de sonnette.
• Ah Rachid, tu tombes bien ! On va pouvoir mettre les choses au point. Rentre ! Et toi, Olga, mets une robe de chambre. Je ne veux plus qu’un autre homme te voit nue !
• Mais chérie, s’il y a bien quelqu’un qui connait mon corps, c’est Rachid.
• Justement ! Fais ce que je te dis, femme !
Je m’exécutais, comprenant que je devais prendre l’habitude d’obéir à cet homme.
• Bonjour Olga. Si j’ai bien compris, tu viens d’affubler Philippe de sa plus belle paire de cornes. Il est malheureux comme une pierre. Quant à toi, dit-il à Hassan, bonne chance avec cette pute, car il n’y a que le train qui ne lui soit pas passé dessus !
Hassan réagit au quart de tour, prit Rachid par le blouson, le souleva du sol et commença à le secouer, menaçant de lui démolir le portrait. Il le lâcha et Rachid tomba au sol
• T’es malade !
• Ecoute-moi bien, petite frappe. C’est un aperçu de ce qui t’attend parce que tu viens de manquer de respect à ma femme. Et ça vaut aussi pour tout le mal que tu lui as fait. Si je ne me retenais pas, je te massacrerai. Et ce n’est rien à côté de ce que je te réserve si jamais je te vois encore essayer de l’approcher. Tu sors de sa vie, c’est compris ?
• Et oh du calme ! Tu la veux, je te la laisse. De toute façon, j’avais fait le tour, je commençais à m’ennuyer avec elle. Moi je n’ai rien demandé, c’est son mari qui est venu me chercher.
• Ne t’inquiète pas, il paiera ses fautes aussi. Une dernière chose : tu préviens tous ceux qui lui ont fait du mal que l’interdiction vaut aussi pour eux, à commencer par cette avocate, Marie C. Je crois que tu la connais bien. Dis-lui que je ne plaisante pas.
Rachid s’en alla sans demander son reste, sans un regard pour moi, qui tournait ainsi brutalement une page de près de deux ans, où j’avais connus les plus forts moments de plaisir, mais aussi tous les excès.
Je me rendais compte que j’allais changer complétement de vie. J’étais débarrassée de Rachid, mais qu’allait devenir Philippe ? Je ne pouvais me résigner à le sacrifier aux exigences d’Hassan. Je me demandais si, du fait de mon hypersexualité, si j’étais capable d’être fidèle et de me contenter d’un seul homme, fut-il un amant aussi performant qu’Hassan ?
Hassan appela Kamel pour l’informer qu’il pourrait revenir à l’appartement et qu’il allait s’installer chez nous.
LA METAMORPHOSE D’OLGA
J’avais remis mes vêtements de la veille.
• Ah non, tu ne sors pas comme ça ! Ce sont des vêtements de putain ! Chez nous, je veux bien que tu sois sexy, et même à poil, mais seulement pour moi et pas offerte à la concupiscence des autres ! Je vais te chercher des vêtements décents. Tu es ma femme désormais.
J’étais estomaquée, mais je ne le contredisais pas.
Il revint peu après, avec une longue tenue et un voile.
• Tu es fou ? Je ne vais pas mettre ça ! Je ne suis pas musulmane !
• Pas encore, mais tu es déjà ma femme. Tu dois doit couvrir tout le corps à l’exception des mains et du visage. Le voile ne doit pas laisser dépasser la moindre partie de la chevelure. Tu m’as promis obéissance, femme ! Désormais tu sortiras ainsi. Je ne veux plus que ma femme soit un objet de désir pour les autres hommes. Seulement pour moi.
Je me soumettais. Après tout si c’est ce qu’il voulait, c’était aussi un moyen de ne pas susciter la tentation.
Il m’embrassa tendrement.
• Parfait, tu sais que même ainsi, tu me fais bander, Olga. Dès que nous serons chez toi, je te conduirai dans notre chambre et je t’honorerai.
Notre descente fit sensation. C’était une autre femme qui quittait l’appartement de Kamel, rien à voir avec la scandaleuse, la putain qui était arrivée la veille sous les injures et les malédictions. J’étais respectée, j’étais la femme d’Hassan.
Philippe eut un choc quand il nous vit arriver. En plus, je refusais tout baiser, lui tendant la main.
• Mais Olga, c’est quoi cette tenue ? Tu t’es convertie ?
• Pas encore, mais c’est la tenue de ma femme quand elle sort. Bonjour je suis Hassan, le nouvel homme d’Olga.
• Philippe, son mari.
• Pour le moment.
• C’est à Olga d’en décider.
• Elle a choisi mais je ne veux rien précipiter. C’est elle qui te l’annoncera.
• Nous sommes d’accord là-dessus, j’ai toujours dit qu’Olga était entièrement libre, y compris si elle choisit la servitude.
Hassan fit alors tomber mon voile, me prit dans ses bras et m’embrassa longuement, sans prêter plus d’attention à Philippe.
• Philippe, notre chambre est-elle prête ?
• Oui, elle est prête.
• J’y vais avec ma femme. Je ne lui ai pas encore fait l’amour depuis ce matin. J’ai bien l’intention de la féconder dès que possible. Elle est faite pour avoir des enfants.
• C’est vrai que la maternité la rend encore plus belle.
CANDAULISME INTERDIT
Hassan me prit par la main et nous nous dirigions vers la chambre conjugale, où j’avais si souvent été prise par Rachid. Philippe voulut nous suivre.
• Que les choses soient claires, Philippe. Pas question que tu joues les spectateurs. Tu nous laisses seuls avec ma femme.
Je voyais Philippe au bord des larmes, mais j’avais trop envie de m’offrir à Hassan, en particulier dans mon lit.
Une fois dans la chambre, je ne pense plus à la tristesse de Philippe.
Hassan soude ses lèvres aux miennes. Il fait tomber ma tunique, sous laquelle j’étais nue.
Je descends ma main contre son torse, vers sa hanche, j’arrive au contact de la verge tendue, je caresse la peau douce et chaude, remonte sur le champignon violet gorgé de sang. La caresse de ma main s'affermit sur la verge, je tends les lèvres, le baiser reprend, il fouille ma bouche de sa langue tandis que je le branle doucement. Les mains d’Hassan descendent sur mes reins et se posent sur mes fesses...
La glace de la chambre renvoie l'image de notre couple adultère. Je pense à Philippe, j’aimerais tant qu’il soit dans son fauteuil, la queue sortie, qu’il nous mate et nous encourage.
• Tu me plais; je te veux...je veux tout de toi.
Il se penche et d'un geste, ouvre le lit. Il sait qu’il va l’occuper désormais. Je m’y allonge, contemple mon nouveau mâle, mon homme. Je suis offerte et impudique. Hassan se couche à côté de moi et me caresse, du visage jusqu'aux cuisses, s'attardant sur les seins, la cuvette du nombril, descendant sur le mont de Vénus, insinuant un doigt dans mon ouverture détrempée, me faisant très vite gémir.
Hassan me fit alors un cunnilingus artistique.
• Je veux ta chatte maintenant ! Je veux te lécher ! Dis-moi que t’en as envie !
• Oui, oui…
• Et tu veux que je le fasse ? Dis-le-moi…
• Oui, oui, je t’en prie, fais-le…
• Plus fort, crie-le haut et fort, lâche-toi !
Il savait que Philippe, sans faire de bruit, était derrière la porte.
Hassan me poussait à être un animal guidé par ses pulsions les plus primitives. Je le suppliais en criant :
• Oui, oui, lèche-moi le sexe, je t’en prie !
Hassan n’y tint plus. Il plongea littéralement sur mon bas-ventre, colla sa bouche sur mon sexe, s’attaqua sérieusement au sensible bourgeon qui se gonflait à la commissure de la féminité éclose. J’enfonçais sauvagement mes ongles dans les épaules de mon partenaire qui commençait aussi à gémir. Il collait sa bouche sur le clitoris qu’il aspirait en le titillant de la langue, un clitoris d’une longueur et grosseur surprenantes.
Il le délaissa assez vite, préférant glisser sa langue dans le sillon humide, aussi loin que possible, allant et venant, s’acharnant impitoyablement. Je criais.
Je n’existais plus que par cette chose vivante qui se frayait partout un chemin, explorait, tournoyait et vrillait, me sondant à m’en arracher l’âme. Je me laissais emporter, comme aspirée par une tornade dévastatrice qui bouleversait mes sens comme jamais.
Un instant, j’eus la force de me redresser, pour voir. Il n’y avait rien de plus beau que cet homme viril, étendu entre mes jambes, fesses levées, la tête enfoncée dans la fourche de mes cuisses, en train d’explorer amoureusement mon sexe comme personne ne l’avait fait, avec un tel appétit qu’il semblait vouloir me dévorer vivante.
Avec un râle d’abandon, je me laissais retomber sur le lit. Tétanisée par les brûlantes crispations qui incendiaient mon bas-ventre, ma croupe accentuait les profonds mouvements de houle qui l’agitaient. Je perdais le contrôle, criant, suppliant, divaguant, tétanisée par un tel foisonnement de sensations si délicieuses, si intenses, qu’elles en devenaient presque insoutenables. Impitoyable, Hassan accéléra la pression de sa bouche et la vibration de sa langue. Il empoigna à pleines mains mes fesses, y enfonça ses doigts, plaquant davantage le bas-ventre contre sa bouche vorace. Traits tendus, lèvres entrouvertes sur une plainte autant sensuelle qu’enfantine, je finis par me laisser aller. Mes doigts se crispaient dans la chevelure et j’accompagnais les mouvements de la tête pendant que ses hanches ondulaient.
Je fus comme frappée par mille flèches brûlantes qui semblèrent me transpercer, et ce fut enfin l’explosion fulgurante, un orgasme fabuleux, extraordinairement puissant qui m’ébranla toute entière. Je fus incapable de contenir les spasmes qui partaient de mon bas-ventre, et continuais de me vider sur la bouche gourmande qui, ayant perçue les contractions annonciatrices de l’orgasme, avait redoublé d’attention pour laper jusqu’à la dernière goutte.
Avec des gémissements de bonheur, je m’accrochais de plus belle à Hassan en le serrant contre mon ventre, comme si je voulais le garder enfoncer au plus intime de mon être pour toujours, bien au-delà des derniers sursauts qui me faisaient encore trembler. Eperdue de reconnaissance, je lui enfonçais dans la bouche une langue frétillante, excitée de retrouver sur ses lèvres la saveur de sa propre liqueur intime.
Tout en l’embrassant, je le caressais par-dessus le jean, pressant mes doigts sur la virilité dressée, le torturant sans pitié. Il n’y tint plus, se déshabillant fébrilement. Je m’emparais de sa verge que je masturbais. Il m’embrassa avec une telle sauvagerie qu’il me mordit. Les yeux fous, suffocante, je me redressais, lui offrant mes seins qui se dressaient comme des dards insolents. Hassan les prit à pleines mains, surpris encore par leur douceur, ravi de sentir les bouts réagir à ses caresses.
Penchée sur son bas-ventre, je l’effleurai de mes lèvres, glissant la pointe de sa langue sur ses poils, à quelques millimètres du pénis. Il se cambra violemment, le sexe durci à lui faire mal. Je ne répondis pas à ses attentes, jouant avec ses nerfs. Il réussit à se contorsionner, collant son sexe contre mon visage, me suppliant de passer aux choses sérieuses.
D’un coup, je le pris à pleine bouche, l’avalant presque entièrement d’une aspiration goulue, si voracement qu’il hoqueta de plaisir et de soulagement. Je le ressortis de ma bouche pour le happer encore plus profondément, allant et venant à une cadence accélérée, l’affolant de temps à autre d’habiles glissades de la langue pour faciliter la prochaine fellation. Hassan grognait de plaisir, se tordit en tous sens, pris de tremblements convulsifs à l’approche d’une éjaculation imminente.
Je sentais qu’il était au bord de l’orgasme et j’arrêtais à temps, bien décidée à faire durer le plaisir, son plaisir et le mien. Je voulais être prise.
Je remontais sur lui pour me déplacer au-dessus, me frottant fébrilement contre son sexe. Il ne fallut aucun effort pour qu’il s’enfonce en moi d’un puissant coup de reins.
Je hurlais, la tête penchée en arrière. Il me saisit les fesses pour m’imposer son rythme, me percutant de fougueux déhanchements qui s’accélérèrent.
Je me soulevais d’un coup de reins, retombais, m’empalant à fond, l’obligeant à modérer ses ardeurs pour lui donner sa cadence, plus lente et appuyée. Vaincu, il se laissa guider.
J’oscillais sur lui, et chaque ondulation nous arrachait un long soupir animal.
Bientôt, mes mouvements se firent plus impétueux, je me cambrais avec un frémissement incontrôlé, tendue et crispée, marmonnant des « oh oui ! » dans un râle extasié.
Le mâle reprit alors le contrôle du coït. Soudés l’un à l’autre, nous copulions rageusement dans un rythme désordonné, emportés par la même frénésie sexuelle. Nous mêlions nos corps, nos cris, nos gémissements. Nos corps s’emboitaient l’un dans l’autre, se perdant dans toutes sortes de positions incongrues, avec un plaisir sans cesse renouvelé.
Son majeur agace mon clitoris puis s'engouffre dans le vagin jusqu'à ce que je crie.
• Tu veux ?
• Je t’en supplie, oui..oui je me donne, je suis ta femme, je suis à toi, prends-moi !..
• Je suis ton mari, Olga. Je veux te faire un enfant.
• Oui, mon amour, fais-moi un enfant.
• Tu seras mon épouse, devant Dieu et devant les hommes.
Il se hisse sur moi et me pénètre à nouveau. Il choisit cette fois la position du missionnaire
• Oui, Hassan. Mets-la-moi bien au fond, oui, comme ça ! Oh que c’est bon !
• Tu divorceras ?
• Oui, Hassan, je divorcerai, je ferai tout ce que tu veux. Plus fort, plus vite ! Oh oui, encoreeeeee
J’enchainais les orgasmes, la sueur coulait de mon front, j’avais l’impression que mon cœur allait exploser dans ma poitrine. Jamais je ne m’étais autant donnée. Rachid m’embrassait à me faire perdre haleine, seul moyen d’étouffer mes cris de plaisir, mes gémissements étant devenus des cris, puis des hurlements de plaisirs. Je ne pensais plus que, de l’autre côté de la porte, Philippe entendait tout et qu’il devait être partagé entre l’excitation et la souffrance car il semblait bien cette fois-ci qu’il allait me perdre.
Ce fut une délivrance quand Hassan se décida enfin à jouir longuement dans mon vagin.
Son sexe toujours aussi roide se loge ensuite dans le sillon fessier et il commence un lent mouvement de va et vient auquel je ne tarde pas à répondre en me cambrant. Il veut m’enculer, ce qu’il n’a pas encore fait jusqu’à présent.
Ses doigts viennent explorer la raie profonde, son majeur trouve l'anneau des reins et s'y enfonce. Je gémis doucement, mais il n'en a cure et son index vient en renfort après qu'il ait humecté ses doigts de salive...
• Je veux ton cul...
• Oui, encules-moi mon amour, mais vas-y doucement, tu es si gros
• Allons, tu es habituée, je le sais
Il retire ses doigts pour guider son gland, il se hisse légèrement sur les genoux. Je sens la poussée contre mon anus...puis l'envahissement inexorable...la sensation d'être écartelée, à nouveau la morsure sur ma nuque ...
L’énorme matraque progresse dans mon rectum... je sens que ça se dilate.
• Tu es si bonne à enculer, chérie. C’est incroyable, je suis presqu’aussi à l’aise que dans ton vagin. Cambres-toi davantage, que je puisse entrer à fond. Je vais te casser le cul !
Je gémis de plus en plus autant à cause des allées et venues du membre dans mon fondement que des sensations que lui procurent les deux mains qui me pétrissent.
Encouragé par mes plaintes langoureuses, Hassan se retire jusqu’au gland pour s'enfoncer, ses bourses venant frapper l’entrecuisse, ses mains quittent les fesses devenues écarlates pour passer sous le buste et se saisir des seins qu'elles pétrissent à leur tour, les doigts pincent les mamelons, les étirent.
Je suis au bord de la pâmoison, je devine aux contractions de la verge que lui aussi est au bord de la jouissance, mais il se maîtrise et ce n'est qu'après m'avoir entendue hurler qu'il se déverse enfin. Je sens la semence chaude envahir mon fondement.
Hassan m’embrassa ensuite tendrement, remonta le drap sur moi et me dit, après avoir ouvert la porte :
• Appelle Philippe !
• Philippe, tu peux venir, s’il te plait.
Philippe entra timidement dans la chambre.
• Nous nous excusons auprès de toi, mais ça sera ainsi le temps que nous cohabitions. Tu le sais sans doute, mais Olga est très démonstrative quand elle est bien baisée. Là nous avons baisé, mais nous avons surtout fait l’amour.
J’offrais mes lèvres à Hassan et, sans gêne, nous nous embrassions amoureusement.
J’étais couverte par le drap jusqu’au cou, alors que Philippe connaissait si bien mon corps. Mais Hassan tenait à ce que lui seul puisse profiter de ma nudité. Hassan, par contre, entièrement nu, n’était pas gêné par la présence du mari déchu. Il voulait que celui-ci connaisse ses atouts.
• Ça t’impressionne, n’est-ce pas ? La nature ne donne pas à chacun les mêmes atouts. Je sais que tu es bisexuel et que Rachid t’enculait régulièrement. Ce n’est pas trop mon truc, tu sais, les pédés, pas plus que les hommes qui ont du plaisir à offrir leurs femmes à d’autres.
Philippe devint pâle mais ne répondit pas à l’insulte.
• En attendant, amène le bébé pour qu’Olga lui donne le sein. Ensuite, tu nous apporteras un plateau repas et une bouteille de champagne, nous ne quittons pas le lit. Olga est insatiable et moi aussi.
D’une autre manière que Rachid, Hassan s’affirmait d’emblée face à Philippe. Celui-ci faisait le dos rond, se disant que la patience lui permettrait peut-être de surmonter cette épreuve.
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60 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@rachid741, merci beaucoup! Oui ce fut une nouvelle épreuve pour nous, que nous avons réussi à surmonter également car Philippe est l'homme de ma vie.
Bonjour Olga,
Au fil des récit tu deviens presque comme une amie, je viens de lire le témoignage de Philippe que je trouve touchant.
Pensé avec sa chatte ou sa bite n'est malheureusement pas conseillé tu l'as fait mais je sais que philippe te manquera très vite et que cette vie de couple avec Hassan n'est pas faite pour une femme comme toi.
Comme il est dit au début du texte le candaulisme est un jeu dangereux et il faut envisager l'éventualité de tout perdre.
Au fil des récit tu deviens presque comme une amie, je viens de lire le témoignage de Philippe que je trouve touchant.
Pensé avec sa chatte ou sa bite n'est malheureusement pas conseillé tu l'as fait mais je sais que philippe te manquera très vite et que cette vie de couple avec Hassan n'est pas faite pour une femme comme toi.
Comme il est dit au début du texte le candaulisme est un jeu dangereux et il faut envisager l'éventualité de tout perdre.
Bonjour Nikko
Merci de ce message.
Je reconnais que je suis entre l’hypersexualité et la nymphomanie, la frontière étant tenue.
En ce qui concerne ce moment de mon histoire que tu commentes, oui, nous étions dans une situation d’adultère, pas de candaulisme.
Je te laisse découvrir la suite de mes textes et tu verras que, dans ce cas précis, c’est Philippe qui m’a reconquis, pas l’inverse.
Merci de ce message.
Je reconnais que je suis entre l’hypersexualité et la nymphomanie, la frontière étant tenue.
En ce qui concerne ce moment de mon histoire que tu commentes, oui, nous étions dans une situation d’adultère, pas de candaulisme.
Je te laisse découvrir la suite de mes textes et tu verras que, dans ce cas précis, c’est Philippe qui m’a reconquis, pas l’inverse.
Bonjour Olga, je lis ces récits depuis le début, et j’avoue qu’en tant que mâle j’aurais bien profité de toi… et de Philippe.
Par contre il semblerait qu’on ait quelques définitions différentes… tu n’es pas hyper sexuelle comme tu le dis (je le suis mais je sais aussi me réfréner), tu es nymphomane; libre à toi de te le cacher. Quant à Philippe qui est un vrai candauliste, certes un peu trop poussé à l’extrême, je trouves que tu n’as que du mépris pour lui et surtout aucune considération.
J’ai été candauliste à une époque et par contre, l’adultère a fait basculer directement ma relation sans aucune excuse possible!!!! Le principe du candaulisme est d’avoir des relations avec une tierce personne devant l’autre conjoint, ET que les deux soient d’accord!!! L’adultère n’en fait pas partie et l’abandon de son enfant non plus!!!!
Tu parles du « petit » sexe de Philippe… heu… à 14 cm il est au dessus de la moyenne nationale… alors vu le nombre de personnes rencontrées, ils sont tous au dessus de la moyenne? Je me marre un brin… tous ses collègues ont des queues de 25 cm…
Je crois en fait que tu n’aimes pas Philippe si ce n’est pour la stabilité tant financière que émotionnelle.
Ta façon de respecter Philippe me choque profondément… ce qui sera à l’occasion d’une nouvelle rupture pour vous… Qu’as-tu promis à Philippe comme mensonge pour le faire revenir…
Je vais continuer à lire pour essayer de comprendre et certains récits me font bander… mais …
Nikko
Par contre il semblerait qu’on ait quelques définitions différentes… tu n’es pas hyper sexuelle comme tu le dis (je le suis mais je sais aussi me réfréner), tu es nymphomane; libre à toi de te le cacher. Quant à Philippe qui est un vrai candauliste, certes un peu trop poussé à l’extrême, je trouves que tu n’as que du mépris pour lui et surtout aucune considération.
J’ai été candauliste à une époque et par contre, l’adultère a fait basculer directement ma relation sans aucune excuse possible!!!! Le principe du candaulisme est d’avoir des relations avec une tierce personne devant l’autre conjoint, ET que les deux soient d’accord!!! L’adultère n’en fait pas partie et l’abandon de son enfant non plus!!!!
Tu parles du « petit » sexe de Philippe… heu… à 14 cm il est au dessus de la moyenne nationale… alors vu le nombre de personnes rencontrées, ils sont tous au dessus de la moyenne? Je me marre un brin… tous ses collègues ont des queues de 25 cm…
Je crois en fait que tu n’aimes pas Philippe si ce n’est pour la stabilité tant financière que émotionnelle.
Ta façon de respecter Philippe me choque profondément… ce qui sera à l’occasion d’une nouvelle rupture pour vous… Qu’as-tu promis à Philippe comme mensonge pour le faire revenir…
Je vais continuer à lire pour essayer de comprendre et certains récits me font bander… mais …
Nikko
@ Ibrahim; Hassan était très dominateur
Hassan a fait les choses dans les règles. il a viré ton male puis ton cocu pour faire de toi sa femme et il t'a honoré comme il faut. t'étais à lui
tout ce que tu racontes confirme ce que je t'ai dit en mp Hassan a débarqué pour toi. il savait absolument tout et te voulait comme femme et mère de ses enfants. il a viré Rachid en lui disant bien qu'il savait tout. ta tenue pour sortir dignement dans quartier était déjà prete. il t'a recadré direct en te prenant le cul et il a mis la misère à ton cocu en l'humiliant sur sa façon de faire tout en montrant bien son chibre
Ibrahim
tout ce que tu racontes confirme ce que je t'ai dit en mp Hassan a débarqué pour toi. il savait absolument tout et te voulait comme femme et mère de ses enfants. il a viré Rachid en lui disant bien qu'il savait tout. ta tenue pour sortir dignement dans quartier était déjà prete. il t'a recadré direct en te prenant le cul et il a mis la misère à ton cocu en l'humiliant sur sa façon de faire tout en montrant bien son chibre
Ibrahim
Oui, Manon, je sais que je me suis très mal comportée. Il fallait qu'il m'aime à la folie pour pardonner ça, j'en suis bien consciente
Rachid a été traité comme il le méritait! Par contre je n'aime pas comment tu t'es comportée avec Philippe
Manon
Manon
Ce sera un plaisir pour nous aussi, Yanis. Bisous!
Ne t'inquiète pas, Olga, de ce côté pas de problèmes, tu ne seras pas déjçue et ton mari non plus! Fais moi signe dès que ça va pour vous. Bises, ma belle! Yanis
Bonsoir Yanis, je l'ai conservé et nous prendrons contact avec toi. J'en ai parlé à Philippe, c'est lui qui décide maintenant, il se rappeleait aussi de toi. Nous viendrons et, après une après-midi à la cité, nous passerons la nuit à l'hôtel tous les trois. Pas possible avant plusieurs mois compte tenu de mon "état" actuel". J'espère naturellement que tu es toujours aussi bien dôté par la nature. Bises, beau mâle!
Olga, si ça te manque, à votre disposition pour organiser ça. Ce sera un événement, tu sais. Â l'époque, je t'avais laissé mon 06, j'ai toujours le même. Si ça vous dit, n'hésitez pas. En tant qu'intermédiaire, je demanderai comme seule récompense de pouvoir ensuite m'occuper de toi ( én présence de ton mari, ça ne me gêne pas, au contraire!) ça me rappellera des moments merveilleux. Bises, ma belle. Yanis.
@ Céline, je n'ai jamais tenu de comptabilité précise. Plus peut-être? Et je n'ai pas l'intention de m'arrêter dans cette quête du plaisir! Ceci aussi pour le plaisir de mon candauliste.
Ce qui est fascinant, c'est d'essayer d'imaginer le nombre d'amants que tu as eu depuis ton dépucelage, il y a 25 ans, si j'en crois tes récits que je suis avec attention. Plus que des centaines, 1500, 2000? Plus? Sans compter que même si votre candaulisme et ton hypersexualité sont plus maîtrisées, tu continues. Impressionnant! Céline.
@ Céline, oui ça me manque! Nous avons conservé des contacts dans cette cité. Avec Philippe, nous envisageons que j'y retourne, ceux que j'ai "instruits" ont pris des années, mais ces étreintes avec de juenes mâles me font toujours envie
@ Yanis, oui je me souviens, car, à part pour son "complice" Kamel, Rachid exigeait le port du préservatif. Tu as eu ce provilège et j'en ai bien profité car j'ai bien plus de plaisir quand je suis prise sans capote et que mon amant se répand en moi. Et en effet, après avoir réussi à canaliser ton impatience, tu t'es révélé très doué, j'ai enchaîné les orgasmes. la présence de Philippe, comme toujours, avait accru mon excitation, je voulais qu'il ne soit pas déçu et que je sois très salope, comme il aime. Tu te souviens qu'il venait me lécher après que tu m'aies remplie abondamment? Et aussi quand, lui et moi t'avons sucé alternativement? Tu avais adoré. Et moi j'étais très fier d'avoir instruit un garçon dont j'avais alors le double de son âge. J'étais déja un peu cougar lors de ces mardi après-midi!
Le commentaire de Yanis et ce que tu dis confirment que ces séances du mardi ont été essentielles dans ta vie d'hypersexuelle. Je suis certaine que ça te manque! Céline.
Ayant appris par un ami qu'Olga racontait sur ce site ses exploits, je confirme, pour avoir été un des nombreux bénéficiaires de ces après-midi que ça reste gravé dans ma mémoire. Comme beaucoup de potes de notre cité, je suis reconnaissant à Olga de mon dépucelage et à Rachid d'avoir mis cette superbe femme, si chaude, si salope, si experte, à notre disposition. Je peux aussi confirmé qu'elle prenait tout son temps et qu'elle prenait son pied. J'ai même eu le privilège, comme c'était ma première fois et que mon grand frère était un frère pour Rachid, de pouvoir baiser Olga sans capote et de me vider dans sa chatte. Tu t'en souviens Olga? Ton mari était présent, il nous matait comme un fou, én se branlant. Yanis
@ Céline Je suis passée sous la coupe de Rachid en juillet 2007 et, dès septembre, il m'a amené à la cité. Et ça s'est passé chaque mardi ou presque jusqu'au 3ème mois de ma grossesse (mai 2009), puis il m'a fait recommencé 3 mois après la naissance de Lucie, en février 2010. J'ai rencontré Hassan en juin 2010. Donc près de deux ans en tout. Le nombre de partenaires variait, ils étaient beaucoup au début (jusque 10 par "séance") moins après parce qu'ils ont exigé de pouvoir bien en profiter. Cela fait beaucoup d'amants, sachant que beaucoup ont obtenu le droit de "remettre le couvert". Très franchement, parmi les expériences que j'ai connues sous la coupe de Rachid, c'est sans doute celle où j'ai le plus pris mon pied. Je réussissais à canaliser l'impatience de ces jeunes mâles, leur inexpérience et à les guider vers le plaisir, en me donnant du plaisir. Ils me traitaient comme un pute, mais à ce moment-là, c'est bien ce que j'étais Et j'avoue aimer être traitée ainsi.
Et ces séances hebdomadaires à la cité, tu as fait ça combien de temps? Il y avait combien de jeunes qui te passaient dessus chaque mardi après-midi? Tu as aimé ça, je crois? Céline.
Bonsoir Céline. Comme je l'ai expliqué, l'accueil que je recevais chaque mardi en rejoignant l'appartement de Kamel, était plutôt chaud.
Il y avait d'un côté les jeunes, ceux qui n'avaient pas été retenus le jour-là. Ils voulaient mater et toucher. Leurs commentaires montraient leur désir et leur mépris.
Ily avait aussi les mères, qui me maudissaient de "pervertir" leur fils, qui m'abreuvaient d'injures. Il m'arrivait de me faire cracher dessus.
La veille ça s'était passé comme ça, j'avais, comme Rachid le voulait, choisi de porter une tenue limite pute, qui exhibait mes jambes, mon cul, avec un décolleté vertigineux.
A partir de l'après-midi et tard dans la nuit, avec ces appartements mal insonorisés, les voisins avaient subi mes cris, mes hurlements de plaisir. Ils n'avaient rien dit par crainte d'Hassan.
Quand ils vont redescendre couverte de cette tenue, n'exhiabnt plus rien, les cheveux et le visage caché, ils ont été estomaqués. Certains félicitaient Hassan "Bravo, Hassan tu as enfin maté ce démon, cette kahba!" D'autres lui demandaient: "Tu veux faire quoi de cette putain? Il avait répondu "ma femme, je l'épouserai et je lui ferai chaque année un enfant" "Bon courage, fils, mais tu n'y arriveras pas, elle a le mal en elle"
C'est la dernière fois que je suis allé dans cet immeuble, où j'avais passé de nombreuses après-midi de plaisir.
Il y avait d'un côté les jeunes, ceux qui n'avaient pas été retenus le jour-là. Ils voulaient mater et toucher. Leurs commentaires montraient leur désir et leur mépris.
Ily avait aussi les mères, qui me maudissaient de "pervertir" leur fils, qui m'abreuvaient d'injures. Il m'arrivait de me faire cracher dessus.
La veille ça s'était passé comme ça, j'avais, comme Rachid le voulait, choisi de porter une tenue limite pute, qui exhibait mes jambes, mon cul, avec un décolleté vertigineux.
A partir de l'après-midi et tard dans la nuit, avec ces appartements mal insonorisés, les voisins avaient subi mes cris, mes hurlements de plaisir. Ils n'avaient rien dit par crainte d'Hassan.
Quand ils vont redescendre couverte de cette tenue, n'exhiabnt plus rien, les cheveux et le visage caché, ils ont été estomaqués. Certains félicitaient Hassan "Bravo, Hassan tu as enfin maté ce démon, cette kahba!" D'autres lui demandaient: "Tu veux faire quoi de cette putain? Il avait répondu "ma femme, je l'épouserai et je lui ferai chaque année un enfant" "Bon courage, fils, mais tu n'y arriveras pas, elle a le mal en elle"
C'est la dernière fois que je suis allé dans cet immeuble, où j'avais passé de nombreuses après-midi de plaisir.
Quelle réaction ont eu les voisins quand ils ont t'on vu descendre métamorphosé de l'appartement après cette longue baise avec Hassan? Céline.
@ Christine, tu me connais bien et tu as fait la bonne analyse
Tu voulais garder tes deux hommes. Philippe était d'accord, même en laissant la première place à Hassan. Mais celui-ci ne le voulait pas. Ca ne pouvait pas marcher ce trio. Dommage parce que à eux deux, ils t'apportaient tout: amour et plaisir! Hassan était intransigeant parce qu'il était convaincu d'écarter facilement Philippe. Et sa plus grande illusion: il pensait pouvoir te "guérir" de ton hypersexualité et faire de toi une épouse qu'il tiendrait enfermée et à qui, chaque année, il ferait un enfant. Il ne te connaissait pas pour imaginer que c'était possible. Christine
je m'étais promis de ne plus répondre à Sofiane. Il défend bec et ongles son ami Rachid. Je dirai seulement que Philippe et moi avons toujours reconnu ce que Rachid nous a apporté, il a fait franchir un pas décisif à notre vie sexuelle. Mais cela ne l'exonère pas pour son comportement, que nous avons trop longtemps accepté.
@ Astrid, ni Philippe, ni moi n'avons jamais prétendu être des "victimes" Nous assumons les choix que nous avons faits. Je dis bien les choix car je suis hypersexuelle, pas nymphomane Ce n'est pas qu'une question de sémantique, je l'ai déja expliqué!
@ Michel, oui Hassan est une personne pleine de contradictions!
@ Astrid, ni Philippe, ni moi n'avons jamais prétendu être des "victimes" Nous assumons les choix que nous avons faits. Je dis bien les choix car je suis hypersexuelle, pas nymphomane Ce n'est pas qu'une question de sémantique, je l'ai déja expliqué!
@ Michel, oui Hassan est une personne pleine de contradictions!
@ Astrid, je ne porte pas de jugement mais je considère que Philippe et Olga ne sont en aucun cas des victimes. Même si je pense qu'elle est nymphômane et pas hypersexuelle, Olga sait parfaitement ce qu'elle fait. Quant à Philippe, il suit ses pulsions candaulistes et savait tous les risques qu'il prenait, surtout avec une épouse dont il connaissait la tendance forte à la nymphomanie. Donc pour moi, adultes consentants, ils sont responsables de leurs choix. Jeanne
Il n'empêche que c'est Philippe qui a mis Rachid sur le chemin d'Olga, alors qu'il avait été prévenu que c'était un fauve. Il lui avait donné carte blanche. Quant à Olga, dès le premier jour elle s'était offerte complétement. C'est vrai qu'il a été trop loin mais c'est lui qui a transformé Olga, lui a donné l'occasion de connaître des plaisirs inouïs et à Philippe de vivre son candaulisme. Avec Hassan, c'est un adultère, pas du candaulisme. Il voulait seulement én faire sa meuf, rien d'autre. Et én plus il a pas réussi.
Olga et Philippe pourraient avoir un peu de reconnaissance pour Rachid et il aurait mérité d'être traité autrement! Sofiane.
Olga et Philippe pourraient avoir un peu de reconnaissance pour Rachid et il aurait mérité d'être traité autrement! Sofiane.
Beaucoup sont sévères avec Olga. Sans l'exonérer, je voudrais rappeler que c'est Philippe qui a poussé Olga à la débauche. Elle a longtemps résisté puis elle s'est laissée aller. Philippe aurait été mal venu de se plaindre. Il savait le risque qu'il courait.
Astrid
Astrid
@ André au sujet de la "cruauté d'Hassan" Il m'a dit que ça le gênait que quelqu'un le mate dans un moment aussi intime que celui d'un couple en train de faire l'amour. Par contre, il savait très bien que Philippe, de l'autrecôté de la porte, entendait tout. Et cela convenait à Hassan qui voulait qu'il comprenne que son mariage était fini, que j'étais à lui et seulement à lui
@ Mélissa, oui et les mots traduisent difficilement ce que j'ai ressenti. je croyais mourir de plaisir.
@ Mélissa, oui et les mots traduisent difficilement ce que j'ai ressenti. je croyais mourir de plaisir.
Hassan est présenté comme un "rigoriste" Pourtant il boit de l'alcool, vue la demande qu'il fait à Philippe en réclamant du champagne! Michel
Décidément, Sofiane tu es une caricature! Comment peux-tu dire ça? Rachid était l'amant d'Olga, il n'avait aucun "droit" sur elle. Elle s'est offerte à Hassan qui est tombé amoureux d'elle. André
La description de ta saillie par Hassan est exceptionnelle. Il ne est de même de la sodomie. Je suis jalouse! Melissa
Quelle cruauté de la part d'Hassan d'empêcher le mari candauliste d'assister, alors qu'il sait qu'il est derrière la porte! André
Je vais encore me prendre une volée de bois vert, mais je trouve que ni Olga, ni Hassan n'ont été corrects avec Rachid! Sofiane
@ Jacques du Canada, merci pour votre conclusion. Et vous avez raison, une nouvelle incartade de ma part signifierait la fin de notre couple, j'en suis bien consciente.
@ Nathalie, je suppose que vous parlez des rapports "sexuels"
Un grand merci à Lilly Grasse. J'ai choisi de tout dire, y compris ce qui m'est défavorable. Mais je ne cherche pas à me défendre. De toute façon, ce qui est fait est fait.
Un grand merci à Lilly Grasse. J'ai choisi de tout dire, y compris ce qui m'est défavorable. Mais je ne cherche pas à me défendre. De toute façon, ce qui est fait est fait.
Je remercie chaleureusement mon Philippe pour avoir accepté de mettre un commentaire. Il ne voulait absolument pas.
S'agapó Ándras moy!
S'agapó Ándras moy!
Désolé Dre Olga mais je pense que Philippe vous aimais tellement, il vous faisait tellement confiance qu'il ne se doutait même pas que vous auriez été aussi loin. Comment peut-on faire une telle chose à quelqu'un qu'on aime ?
En tant que je suis concerné il y a belle et bien eu trahison de votre part. D'ailleur comme vous dites, il y a eu des changements lors de votre retour.
Le principal est que vous soyez de retour et que vous soyez tout les deux ain que votre famille très heureux.
Jacques du Canada
En tant que je suis concerné il y a belle et bien eu trahison de votre part. D'ailleur comme vous dites, il y a eu des changements lors de votre retour.
Le principal est que vous soyez de retour et que vous soyez tout les deux ain que votre famille très heureux.
Jacques du Canada
Comme ça ne fonctionne pas non plus depuis le compte "Premium" d'Olga et qu'elle est occupée (elle est avec Agun), je vais donc faire l'effort de remettre le commentaire qu'Olga m'a demandé de publier.
J'avais en été échaudé par l'expérience du blog et j'avais donc mis du temps à donner mon accord pour qu'Olga, en novembre dernier, reprenne le récit de notre expérience candauliste, cette fois sur ce site HdS.J'ai fini par accepter parce que cela l'aide à maîtriser son hypersexualité, tout en exigeant qu'elle évite les dérives du blog, qui avaient permis à des gens de nous identifier.
Contrairement au blog, c'est Olga seule qui rédige les articles. De temps en temps elle me les montre. Je lui avais vivement déconseillé de publier des articles détaillés au sujet d'Hassan, car je savais que ces textes susciteraient des relations défavorables.
Olga et moi partageons la responsabilité de tout ce qui s'est passé depuis que nous nous sommes rencontrés, fin 1999.
J'avais compris, avant même qu'elle ne m'en parle, qu'Olga est une hypersexuelle et donc qu'elle était la femme qui me permettrait de vivre le candaulisme auquel j'aspirais depuis longtemps et que mes précédentes compagnes refusaient.
J'ai un plaisir immense à assister, à organiser, à prendre part au plaisir inouï de la femme que j'aime. Ceux qui n'ont jamais été témoins de cela, la montée du plaisir sur le visage d'Olga, notre communion quand son plaisir monte et qu'elle enchaîne les orgasmes, quand je lui tiens la main et l'encourage, quand je finis par jouir moi aussi dans sa bouche ou sur elle, alors qu'un autre l'a longuement prise. C'est beau tout simplement.
Olga a longtemps refusé cela. C'est moi qui l'ai poussée vers sa pente naturelle. C'est moi qui ai organisé son adultère lors de notre nuit de noces. Moi encore qui l'ai jeté dans les bras d'un fauve, Rachid, qui a réalisé tous mes fantasmes au-delà de ce que je pouvais imaginer.
Je savais que le risque était qu'un jour elle rencontre un homme dont elle tombe amoureuse. C'est ce qui s'est passé avec Hassan. J'avais joué ce jeu dangereux, j'ai failli tout perdre. J'ai tout accepté pour celle qui est et reste la femme de ma vie, y compris assumer la paternité d'enfants que je n'avais pas conçu mais aimme comme les miens.
Luc a bien compris notre couple et ce que j'ai ressenti, mélange de souffrance et de jouissance. Oui, Jacques du Canada, vous aviez raison, j'aurais dû mettre Hassan dehors, comme auparavant j'aurais du chasser Rachid de notre vie. Je ne l'ai pas fait, pas par lâcheté ou par vice, mais parce que j'avais promis à Olga une totale liberté.En ce qui concerne Hassan j'avais compris qu'elle l'aimait. J'accepte qu'elle aime deux personnes à la fois, hier Hassan, aujourd'hui Agun.
Oui, Luc, j'ai eu du mal à l'avouer à Olga: au cours de ces journées où Hassan s'imposait chez nous, j'ai pleuré mais j'ai aussi vécu cela en candauliste. Quand j'entendais les gémissements d'Olga qui se changeaient en cris puis en hurlements de plaisir. Ayant été si souvent à ses côtés dans de tels moments, je pouvais imaginer, même si cela me frustrait de ne pas assister et que j'étais mortifié par ses mots d'amour exclusifs et ses promesses envers mon rival.
Oui, Luc, j'ai joui, sans avoir besoin de me toucher et y compris sur la porte de la chambre ou la moquette du couloir. Je n'ai pas nettoyé ces traces car je voulais qu'Olga puisse se rendre compte de mon plaisir douloureux.
Olga devrait, dans son prochain récit, expliquer qu'après une première nuit avec Hassan dans notre lit conjugal, elle m'a rejoint dans la chambre d'amis pour me prouver qu'elle m'aimait toujours et qu'insatiable, elle voulait ses deux hommes: Hassan, mais sans renoncer à moi.Moi je l'acceptais, Hassan non.
Oui, Jacques du Canada, tout cela a transformé profondément notre couple. Comme elle l'a dit, si c'est finalement moi qu'elle a choisi, ce n'est pas seulement pour la liberté que je lui donne, c'est parce que j'ai changé et que je me suis battu.
J'ai commencé par la rendre folle de jalousie, en renouant avec une ex-compagne. Que l'on me comprenne bien, j'ai fait cela parce que je pensais sincèrement que mon couple avec Olga était fini. Je n'imaginais pas la façon dont elle a réagi ensuite. J'ai surtout surmonté les problèmes sexuels que j'avais et qui avaient tant frustré Olga.
En reprenant notre vie commune, nous avons poursuivi notre candaulisme, mais sur d'autres bases. C'est vrai; Jacques du Canada, que j'ai très mal vécu ce qui s'est passé l'an dernier avec N., cette fois on peut parler de trahison. Et je me suis accordé la liberté qu'Olga me refusait depuis toujours.
Nous sommes toujours ensemble pourtant et je veux dire publiquement à Olga que je l'aime toujours aussi fort. Je pense même que les sentiments d'Olga pour moi sont encore plus forts qu'au début.
Nous avons trouvé un équilibre. Qu'Olga écrive sur ce site en fait partie. Je t'aime Basilissa Moy! Philippe
J'avais en été échaudé par l'expérience du blog et j'avais donc mis du temps à donner mon accord pour qu'Olga, en novembre dernier, reprenne le récit de notre expérience candauliste, cette fois sur ce site HdS.J'ai fini par accepter parce que cela l'aide à maîtriser son hypersexualité, tout en exigeant qu'elle évite les dérives du blog, qui avaient permis à des gens de nous identifier.
Contrairement au blog, c'est Olga seule qui rédige les articles. De temps en temps elle me les montre. Je lui avais vivement déconseillé de publier des articles détaillés au sujet d'Hassan, car je savais que ces textes susciteraient des relations défavorables.
Olga et moi partageons la responsabilité de tout ce qui s'est passé depuis que nous nous sommes rencontrés, fin 1999.
J'avais compris, avant même qu'elle ne m'en parle, qu'Olga est une hypersexuelle et donc qu'elle était la femme qui me permettrait de vivre le candaulisme auquel j'aspirais depuis longtemps et que mes précédentes compagnes refusaient.
J'ai un plaisir immense à assister, à organiser, à prendre part au plaisir inouï de la femme que j'aime. Ceux qui n'ont jamais été témoins de cela, la montée du plaisir sur le visage d'Olga, notre communion quand son plaisir monte et qu'elle enchaîne les orgasmes, quand je lui tiens la main et l'encourage, quand je finis par jouir moi aussi dans sa bouche ou sur elle, alors qu'un autre l'a longuement prise. C'est beau tout simplement.
Olga a longtemps refusé cela. C'est moi qui l'ai poussée vers sa pente naturelle. C'est moi qui ai organisé son adultère lors de notre nuit de noces. Moi encore qui l'ai jeté dans les bras d'un fauve, Rachid, qui a réalisé tous mes fantasmes au-delà de ce que je pouvais imaginer.
Je savais que le risque était qu'un jour elle rencontre un homme dont elle tombe amoureuse. C'est ce qui s'est passé avec Hassan. J'avais joué ce jeu dangereux, j'ai failli tout perdre. J'ai tout accepté pour celle qui est et reste la femme de ma vie, y compris assumer la paternité d'enfants que je n'avais pas conçu mais aimme comme les miens.
Luc a bien compris notre couple et ce que j'ai ressenti, mélange de souffrance et de jouissance. Oui, Jacques du Canada, vous aviez raison, j'aurais dû mettre Hassan dehors, comme auparavant j'aurais du chasser Rachid de notre vie. Je ne l'ai pas fait, pas par lâcheté ou par vice, mais parce que j'avais promis à Olga une totale liberté.En ce qui concerne Hassan j'avais compris qu'elle l'aimait. J'accepte qu'elle aime deux personnes à la fois, hier Hassan, aujourd'hui Agun.
Oui, Luc, j'ai eu du mal à l'avouer à Olga: au cours de ces journées où Hassan s'imposait chez nous, j'ai pleuré mais j'ai aussi vécu cela en candauliste. Quand j'entendais les gémissements d'Olga qui se changeaient en cris puis en hurlements de plaisir. Ayant été si souvent à ses côtés dans de tels moments, je pouvais imaginer, même si cela me frustrait de ne pas assister et que j'étais mortifié par ses mots d'amour exclusifs et ses promesses envers mon rival.
Oui, Luc, j'ai joui, sans avoir besoin de me toucher et y compris sur la porte de la chambre ou la moquette du couloir. Je n'ai pas nettoyé ces traces car je voulais qu'Olga puisse se rendre compte de mon plaisir douloureux.
Olga devrait, dans son prochain récit, expliquer qu'après une première nuit avec Hassan dans notre lit conjugal, elle m'a rejoint dans la chambre d'amis pour me prouver qu'elle m'aimait toujours et qu'insatiable, elle voulait ses deux hommes: Hassan, mais sans renoncer à moi.Moi je l'acceptais, Hassan non.
Oui, Jacques du Canada, tout cela a transformé profondément notre couple. Comme elle l'a dit, si c'est finalement moi qu'elle a choisi, ce n'est pas seulement pour la liberté que je lui donne, c'est parce que j'ai changé et que je me suis battu.
J'ai commencé par la rendre folle de jalousie, en renouant avec une ex-compagne. Que l'on me comprenne bien, j'ai fait cela parce que je pensais sincèrement que mon couple avec Olga était fini. Je n'imaginais pas la façon dont elle a réagi ensuite. J'ai surtout surmonté les problèmes sexuels que j'avais et qui avaient tant frustré Olga.
En reprenant notre vie commune, nous avons poursuivi notre candaulisme, mais sur d'autres bases. C'est vrai; Jacques du Canada, que j'ai très mal vécu ce qui s'est passé l'an dernier avec N., cette fois on peut parler de trahison. Et je me suis accordé la liberté qu'Olga me refusait depuis toujours.
Nous sommes toujours ensemble pourtant et je veux dire publiquement à Olga que je l'aime toujours aussi fort. Je pense même que les sentiments d'Olga pour moi sont encore plus forts qu'au début.
Nous avons trouvé un équilibre. Qu'Olga écrive sur ce site en fait partie. Je t'aime Basilissa Moy! Philippe
J'ai en tout cas beaucoup aimé la description des rapports avec Hassan! Nathalie
Bonjour Olga ^^
J'aime beaucoup lire vos récits et ce que j'ai vraiment adoré c'est votre sincérité avec laquelle vous racontez honnêtement les faits , sans aucune tricheries.
Par contre, ce que je trouve ignoble, c'est la façon dont certains vous jugent avec beaucoup de virulence tout ça pour oublier qu'ils ont une vraie vie de merde !!
Au moins, vous avez le courage de vous montrer telle que vous êtes , ce qui est relativement rare et tout à votre honneur.
Alors un conseil, laissez parler les gens, ne vous fatiguer même pas la leur répondre !
Personne n'est parfait, tout le monde est critiquable pour quelque chose de toute façons.
Autrement je vous felicite et je suis impatiente de lire la suite des événements.
Cordialement, Lilly
PS : j'ai aussi relevé le lapsus Rachid , mais la lectrice a été plus rapide que moi , lol ^^
J'aime beaucoup lire vos récits et ce que j'ai vraiment adoré c'est votre sincérité avec laquelle vous racontez honnêtement les faits , sans aucune tricheries.
Par contre, ce que je trouve ignoble, c'est la façon dont certains vous jugent avec beaucoup de virulence tout ça pour oublier qu'ils ont une vraie vie de merde !!
Au moins, vous avez le courage de vous montrer telle que vous êtes , ce qui est relativement rare et tout à votre honneur.
Alors un conseil, laissez parler les gens, ne vous fatiguer même pas la leur répondre !
Personne n'est parfait, tout le monde est critiquable pour quelque chose de toute façons.
Autrement je vous felicite et je suis impatiente de lire la suite des événements.
Cordialement, Lilly
PS : j'ai aussi relevé le lapsus Rachid , mais la lectrice a été plus rapide que moi , lol ^^
J'avais préparé mon commentaire sur word, mais le "copié-collé" n'est pas accepté . Je laisse donc mon texte à Olga pour qu'elle le publie. Philippe
@ Luc et Audrey, merci pour vos commentaires et votre compréhension pour le fait, incompréhensible pour beaucoup, que je suis capable d'aimer, du point de vue sentimental, deux personnes en même temps. ce fût le cas alors d'Hassan et de Philippe. C'est le cas aujurd'hui avec Philippe et Agun.
@ Luc, Philippe avait accepté, quelques années après la fermeture du blog, que je puisse venir raconter notre parcours ici, sans rien cacher, à condition de préserver notre anonymat, ce que nous n'avions pas pris la précaution de faire avec le blog. J'ai beaucoup insisté pour qu'il vienne commenter ici.
@ Luc, Philippe avait accepté, quelques années après la fermeture du blog, que je puisse venir raconter notre parcours ici, sans rien cacher, à condition de préserver notre anonymat, ce que nous n'avions pas pris la précaution de faire avec le blog. J'ai beaucoup insisté pour qu'il vienne commenter ici.
@ Jacques et à tous ceux qui ont relevé mon comportement de mère indigne. Oui, comme le relève Jeanne, pendant que j'étais avec Hassan, je ne me suis pas préoccupée de ma famille. C'est impardonnable, même si je savais que Philippe serait à la hauteur. Mais je ne suis pas un monstre, une catin qui ne pense qu'à son cul! Quand je suis rentrée, Lucie dormait.Comme indiqué à la fin du récit, elle était réveillée après cette période de deux heures où j'ai fait l'amour avec Hassan, Philippe me l'a amené et je me suis occupée d'elle. Je lui notamment donné le sein devant Hassan, ce qui a beaucoup plus à celui-ci. Ma maternité et l'allaitement avait développé mes seins, moi qui ais une petite poitrine.
@ Jacques du Canada, au sujet de votre réponse à Florence. Oui l'absence de liberté sexuelle a pesé, alors que Philippe m'accordait une liberté totale. En me poussant à assumer sans freins mon hypersxualité, Philippe savait les risques qu'il prenait, et en particulier que je tombe amoureuse d'un autre. Il ne pouvait donc pas et n'a donc jamais parlé de trahison. Par contre, je sais, et je m'en veux, que je l'ai fait souffrir, qu'il a été meurtri au plus profond de son âme.
Ce qui a provoqué ma rupture avec Hassan a été qu'il n'admettait que je continue à aimer Philippe, à vouloir le garder près de moi, pas seuelement comme le père de notre première fille, mais aussi sur le plan sentimental et sexuel.
Par amour pour Hassan, je pouvais, même si v'était difficile, accepter de ne plus avoir d'amants, mais renoncer à Philippe, ce fut au-dessus de mes forces.
Oui, Jacques du Canada, vous auriez mis Hassan dehors et Philipe aurait du le faire. Mais vous n'êtes pas Philippe et c'est Philippe à qui j'ai lié mon destin.
Dernière chsoe: cette épreuve a transformé notre vie de couple, vous avez raison, mais elle a aussi profondément transformé Philippe. L'homme avec qui je suis à nouveau marié n'est plus tout à fait celui que j'ai rencontré il y a près de 18 ans. Il est toujours aussi amoureux de moi, mais il est devenu plus viril, n'accepte plus tout et a en effet édicté des règles plus strictes (en pas les avoir respecter l'an dernier a failli être catastrophique). C'est d'ailleurs en changeant, en suscitant ma jalousie, qu'il a pu me reconquérir et finalement "évincé" Hassan.Et que je suis devenue encore plus amoureuse de lui!
Ce qui a provoqué ma rupture avec Hassan a été qu'il n'admettait que je continue à aimer Philippe, à vouloir le garder près de moi, pas seuelement comme le père de notre première fille, mais aussi sur le plan sentimental et sexuel.
Par amour pour Hassan, je pouvais, même si v'était difficile, accepter de ne plus avoir d'amants, mais renoncer à Philippe, ce fut au-dessus de mes forces.
Oui, Jacques du Canada, vous auriez mis Hassan dehors et Philipe aurait du le faire. Mais vous n'êtes pas Philippe et c'est Philippe à qui j'ai lié mon destin.
Dernière chsoe: cette épreuve a transformé notre vie de couple, vous avez raison, mais elle a aussi profondément transformé Philippe. L'homme avec qui je suis à nouveau marié n'est plus tout à fait celui que j'ai rencontré il y a près de 18 ans. Il est toujours aussi amoureux de moi, mais il est devenu plus viril, n'accepte plus tout et a en effet édicté des règles plus strictes (en pas les avoir respecter l'an dernier a failli être catastrophique). C'est d'ailleurs en changeant, en suscitant ma jalousie, qu'il a pu me reconquérir et finalement "évincé" Hassan.Et que je suis devenue encore plus amoureuse de lui!
A une autre lectrice anonyme qui relève un lapsus dans le texte où je parle de Rachid, alors que j'étais avec Hassan, oui c'est bien un lapsus, je m'en excuse. Il vient du fait que ces deux hommes ont marqué profondément ma vie sexuelle et notre couple candauliste. Depuis le début de mes "confessions" sur Hds, qui sont largement autobiographiques, j'ai beaucoup parlé de Rachid. Mais dans ce récit il s'agit bien d'Hassan.Et ce n'est pas un "copié-collé" d'un de mes textes précédents.
Je vais essayer de répondre à tous les commentaires, je m'attendais à ce que certains soient virulents, car cette histoire, que nous avons vécue, n'est pas à mon avantage.
@ Julie, à Jacques du Canada et une lectrice anonyme qui parle d'un "récit hallucinant", au sujet du comportement de Hassan (et aussi du mien qui a accepté ça), oui je n'aurais jamais du accepter cela, ni ce qu'il m'imposait, ni son comportement envers Philippe. A sa décharge, il était amoureux de moi comme un fou et voulait que je sorte du candaulisme et de l'hypersexualité. Je suis donc inexcusable, à part que j'étais amoureuse d'Hassan.
C'est d'ailleurs ce comportement qui a été un éléemnt majeur dans l'échec de notre couple, au-delà du fort attrait sexuel que j'avais pour Hassan et des sentiments réels que j'avais pour lui.
@ Julie, à Jacques du Canada et une lectrice anonyme qui parle d'un "récit hallucinant", au sujet du comportement de Hassan (et aussi du mien qui a accepté ça), oui je n'aurais jamais du accepter cela, ni ce qu'il m'imposait, ni son comportement envers Philippe. A sa décharge, il était amoureux de moi comme un fou et voulait que je sorte du candaulisme et de l'hypersexualité. Je suis donc inexcusable, à part que j'étais amoureuse d'Hassan.
C'est d'ailleurs ce comportement qui a été un éléemnt majeur dans l'échec de notre couple, au-delà du fort attrait sexuel que j'avais pour Hassan et des sentiments réels que j'avais pour lui.
Avec ce récit, tu t'attires de vive critiques, tu t'y attendais je pense! Mais moi j'y vois des points positifs, en premier lieu que tu étais, que vous êtiez enfin dèbarasser de Rachid. Ensuite mlagré tout ce que je lis, tu continuais, à ta façon, d'aimer Philippe. Peu de gens peuvent comprendre que tu voulais garder les deux hommes. Et manifestement Hassan ne le voulait pas! Audrey
Ce fut un des moments où ton couple avec Philippe fut le plus menacé. Je pensais alors sincèrement que c'était fini, c'était aussi ce que Philippe m'avait dit. Il était désespéré. Christine.
Quand Hassan a voulu t'imposer cette tenue, tu aurais dû immédiatement refuser! C'est inacceptable! Julie
Je te suis depuis les temps du blog. Un de tes textes les plus forts, d'un érotisme torride. C'est un adultère où tu te donnes complètement, sous votre toit, dans le lit conjugal. C'est un adultère total car il est autant sexuel que sentimental. Philippe n'a sans doute jamais été autant cocu que ce jour-là, car contrairement aux situations précédentes ( le jour de votre mariage et surtout quand il a mis Rachid sur ta route) il n'est à l'origine de rien. L'humiliation est terrible pour lui. En même temps, c'est une situation candauliste, car, si Philippe n'est pas autorisé à mater, privé de ce qu'il aime tant, il est derrière la porte. Il entend tout, ton plaisir, qui est comme un tsunami, mais aussi les paroles échangées où tu dis ton amour pour Hassan, ta soumission. Son mariage semble fini. Et pourtant il pousse son amour pour toi vers des limites incroyables. Il laisse faire, alors qu'il devrait vous mettre dehors. Son amour et son candaulisme sont les plus forts. Il est là à bander, à se branler. Sans doute a-t-il joui plusieurs fois. A-t-il pleuré sur son mariage qu'il a tant fait pour détruire? Je suis impatient de lire la suite. Bisous. Luc
 aucun moment moment tu ne t'es préoccupée de Philippe et Lucie?
Jeanne
Jeanne
hallucinant dans le mauvais sens. En particulier en humiliant à large degré au dessus son mari sans parler de l'hypocrisie dont Hassan fait preuve vis à vis de la religion. 1 mec m'impose ça se fera démonter. Sérieux on est plus à l'époque des cavernes ou les mecs traînaient les femmes par les cheveux !!!!
Bonsoir Florence, oui je me suis détournée de lui,je vais le raconter dans les prochains récits. Même si une femme va par la suite beaucoup compter dans ma vie, ce n'est pas qui elle qui est à l'origine, mais un homme que je considère exceptionnel: mon mari candauliste Philippe
J'ai cru lire un bien joli lapsus de votre part en lisant "Rachid" alors qu'il n'avait pas lieu d'y être puisque vous étiez à ce moment précis avec Hassan ; regardez par vous même, c'est un copié collé de votre propre texte :
" J’enchainais les orgasmes, la sueur coulait de mon front, j’avais l’impression que mon cœur allait exploser dans ma poitrine. Jamais je ne m’étais autant donnée. Rachid m’embrassait à me faire perdre haleine, seul moyen d’étouffer mes cris ..."
" J’enchainais les orgasmes, la sueur coulait de mon front, j’avais l’impression que mon cœur allait exploser dans ma poitrine. Jamais je ne m’étais autant donnée. Rachid m’embrassait à me faire perdre haleine, seul moyen d’étouffer mes cris ..."
Je pensais que tu n'appartiens à personne Dre Olga!
Je suis surpris que ce rustre aie si facilement conquis ton cœur. Un coup et le tour est joué, tu laisses ton mari! Je constate que tu as vraiment un réel amour profond pour Philippe. Ta fille! Même arrivé chez-vous tu ne va même pas la voir. Je ne comprends vraiment pas ce que tu veux dire quand tu dis que tu aimes. Je ne pense pas que tu sois capable d'aimer quelqu'un d'autre que toi.
Je peux te dire que après avoir écouté les premiers mots sortis de la bouche de ce grossier il serait retourné sur le perron et ne serait plus jamais entré chez moi. Bien entendu tu aurais eu à choisir de l'accompagner ou de rester avec ton mari. À ce jour, avec mon 2 mètres et mes 115 kl
je n'ai jamais vu quelqu'un me refuser quelques choses que je tiens vraiment.
Je suis surpris que ce rustre aie si facilement conquis ton cœur. Un coup et le tour est joué, tu laisses ton mari! Je constate que tu as vraiment un réel amour profond pour Philippe. Ta fille! Même arrivé chez-vous tu ne va même pas la voir. Je ne comprends vraiment pas ce que tu veux dire quand tu dis que tu aimes. Je ne pense pas que tu sois capable d'aimer quelqu'un d'autre que toi.
Je peux te dire que après avoir écouté les premiers mots sortis de la bouche de ce grossier il serait retourné sur le perron et ne serait plus jamais entré chez moi. Bien entendu tu aurais eu à choisir de l'accompagner ou de rester avec ton mari. À ce jour, avec mon 2 mètres et mes 115 kl
je n'ai jamais vu quelqu'un me refuser quelques choses que je tiens vraiment.
Comme le dit Olga, le candaulisme c'est merveilleux mais ce n'est pas sans risques! Et d'abord que l'épouse tombe amoureuse d'un autre homme. Steph et JP
Un récit particulierement excitant. Mais l'humiliation de Philippe me gêne beaucoup. Il ne méritait pas ça! Agnès
Je ne penses pas Florence. Dre Olga va quitter Hassan à cause de son manque de liberté sexuelle, ce qu'elle avait avec Philippe. Je crains par contre que le pauvre Philippe soit énormément meurtri par cette rencontre. Meme si elle revient avec Philippe cette trahison va changer leur rapport conjugaux pour le restant de leur vie.
Philippe protégera ses arrières! Ce sera fini pour la confiance mutuelle.
Jacques du Canada
Philippe protégera ses arrières! Ce sera fini pour la confiance mutuelle.
Jacques du Canada
Toujours superbement écrit, mais je pense que tu quitteras quand même Hassan; serait-ce une femme qui te détournera de lui ???