Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (32) : Philippe, mon mari, mon amant, toujours candauliste.
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (32) : Philippe, mon mari, mon amant, toujours candauliste.
Dès son arrivée chez nous, Hassan avait fait comprendre à Philippe qu’il était désormais mon véritable homme et que notre mariage, dont j’avais depuis déjà un moment rompu le serment de fidélité (en accord et avec la volonté de Philippe) en m’offrant à un si grand nombre d’hommes, était désormais en sursis.
Le lendemain matin, profitant qu’Hassan, que j’avais épuisé en exigeant des assauts une bonne partie de la nuit, dormait profondément, je suis allé à la chambre d’amis où dormait Philippe.
J’avais été malheureuse la veille de son humiliation. Et je voulais me faire pardonner. Oui j’étais prête à céder à Hassan pour le divorce, mais non je n’étais pas prête à renoncer à Philippe. Je l’aimais toujours. J’étais amoureuse de deux hommes à la fois, en même temps, de manière différente, mais avec la même force. Pourquoi fallait-il qu’Hassan exige d’avoir le monopole sur moi ?
PHILIPPE, MON MARI DEVENU MON AMANT
Depuis que j’étais la femme de Philippe, je l’avais toujours gratifié d’une fellation le matin. C’était un rite entre nous et même lorsque j’étais sous la coupe de Rachid, je n’y ai pas dérogé. Je me rends donc sans faire de bruit dans la chambre d’amis, où Philippe s’est réfugié.
Philippe est allongé. Comme nous le faisons souvent, il fait semblant de dormir profondément. Je sais que je l’ai fait beaucoup souffrir la veille. Je sais qu’il n’a pas ou peu dormi, je sais, même si un homme ne l’avoue pas, qu’il a pleuré. Je m’en veux parce que je lui ai fait du mal, je veux me faire pardonner, lui faire comprendre que rien ne doit changer entre nous, que je l’aime toujours.
Il a beau faire semblant de dormir, je sais bien qu’il sent ma présence. Je ne me suis pas lavée avant de le rejoindre. Etant nue, il ne peut pas ne pas sentir, lui qui est si sensible aux odeurs, que je porte sur moi une forte odeur de femelle qui a copulé une bonne partie de la nuit, qui a la semence de son mâle, mais aussi beaucoup de sperme séché sur mes seins, mon visage, mon corps.
Je veux Philippe, comme hier soir je voulais Hassan. Je me glisse dans son lit, contre lui. Je lui offre mes lèvres et l’embrasse fougueusement.
• Oui mon chéri, embrasse ton épouse adultère. Tu as voulu que je sois ainsi, maintenant c’est trop tard pour changer.
• Oh mon Olga, je t’aime. J’ai entendu tes cris de plaisir une bonne partie de la nuit.
• Oui Philippe, il est insatiable et moi aussi. Il m’a peut-être déjà fécondée tu sais. Je suis pleine de lui. Approche de ma chatte, elle sent la femelle, la putain.
• Tu me rends fou, tu sais !
• Je m’en rends compte, mon amour !
Je regarde la bosse qui se prononce au niveau de son entrecuisse. Il bande comme un salaud ! Je la touche légèrement de ma main. Hum... comme c'est dur ! Mon Dieu ! Comme cette bandaison est prometteuse ! Alors, là, je n'hésite pas. Je la pelote copieusement de toute ma main, de ma paume et de mes cinq doigts. Sa bite, sous l'étoffe de son pantalon de pyjama, est dure comme de la pierre. Je la caresse de plus en plus avec instance. J'en suis toute excitée ; et lui aussi, bien sûr. Il est maintenant dans tous ses états. Chaud comme de la braise. Il est en surchauffe. On dirait qu'il va exploser. Il faut faire quelque chose ! Alors, tout doucement, je baisse son pantalon de pyjama. D'un geste, je libère sa queue. Comme un diable sortant de sa boîte, elle me saute à la figure. Quelle queue ! Enorme ! Son gland est turgescent et quelques gouttes nacrées s'en échappent. Quelle merveille ! Je n'y résiste pas. Maintenant, je la goûte par petites touches de ma langue gourmande. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! C'est du miel chaud qui coule dans ma bouche. Sa queue est nourrissante. Elle m'excite à outrance. Je sens tout mon corps s'embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Passons aux choses sérieuses. J'engouffre sa queue en m'écartelant la bouche.
Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue. Ben mon coquin ! Je sais combien il aime ça.
Puis, je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l'extrême qui s'offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens. Le fait que je trompe Hassan avec Philippe, le risque qu’il se réveille et nous surprenne. Tout cela fait que je mouille. Je suis trempée. J'ai envie de me toucher la chatte mais, je suis toute à cette queue. Alors, je me mets à le branler doucement. Il coule encore. Je le lèche avec application. Sa mouille est bonne ; elle est onctueuse et salée. J'aimerais qu'il me gicle dans la bouche. Comme ça ! Tout prendre de lui. Cette idée me submerge et déchaîne ma passion. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J'en bave ; et plus bas, j'en mouille de plus bel. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l'enfonce jusqu'à l'étouffement. Elle m'excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas.
Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C'est ça que je veux, je veux le boire. Alors, je prends mes deux mains ; l'une branlant sur toute la longueur de la bite, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste pas.
Il lâche un long cri sonore que j’étouffe en lui mettant la main sur la bouche pour qu’il ne réveille pas Hassan. Philippe décharge dans ma bouche. Une giclée d'une pression inouïe m'inonde l'arrière gorge. Je tousse. Je pleure ; mais de joie. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me brûle et m'enflamme. Il faut que j'avale tout de lui. J’aime toujours Philippe et je veux tout de lui. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en moi. Il me brûle.
• Hum... comme tu es bon mon amour !
Philippe me tend les lèvres et nous échangeons un long baiser amoureux.
• Ainsi tu m’aimes encore mon Olga ?
• Bien sûr, tu le sais bien, idiot et je t’aimerais toute ma vie. Tu es à moi, seulement à moi. Jamais je ne renoncerai à toi.
• Que va-t-on faire ?
• Quel dommage qu’Hassan ne veuille pas comprendre que je vous aime tous les deux, différemment, mais intensément. Eh bien, sans qu’il le sache, tu seras mon amant. Je ne peux me passer de te pomper, tu sais tout le plaisir que j’ai à te sucer, à avaler ton foutre. Mais aussi je ne veux pas renoncer à tous nos autres jeux érotiques.
• Tu es donc une femme adultère et je suis ton amant.
• Aujourd’hui tu es mon mari. Mais en fait il est devenu mon mari et tu es mon amant.
• Ça me rend fou de vous entendre et de ne pas pouvoir être près de toi, vous mater, l’encourager à te baiser plus fort, te couvrir de baisers, de caresses, gicler dans ta bouche ou sur toi pendant qu’il se vide dans ta chatte.
• Moi aussi, ça me manque, Philippe. Tu sais bien que ma jouissance est décuplée quand tu es près de moi. Je vais m’arranger pour que tu puisses assister discrètement. C’est tout ce que je peux faire pour l’instant.
• Je t’aime.
• Moi aussi. Embrasse-moi, je vais le rejoindre, il ne faut pas qu’il nous surprenne.
PHILIPPE LE VOYEUR
Je tins parole le jour même. Je savais à quel moment Philippe devait rentrer du travail.
Philippe entrouvrit la porte pour observer ce qu’il se passait. Le couloir vide, il continuait sa progression jusqu’au salon.
Hassan et moi nous étions bien en train de nous embrasser langoureusement sur le canapé. Il avait les mains sur mes seins, je commençais à gémir.
Les mains d’Hassan avaient déjà relevé ma minijupe, un doigt glissait dans ma chatte. Je n’avais pas mis de string.
Hassan se releva et se mit dans le fauteuil qui me faisait face.
• Alors ma petite pute, tu me fais un strip-tease ?
Je mis un CD et commença à me trémousser sensuellement. Philippe m’a dit ensuite que j’étais à la fois vulgaire et très belle. Je remontais ma jupe et prenais des poses obscènes, je dévoilais ma chatte et mon petit anus. Tantôt j’étais à genoux sur le canapé et écartais les fesses, tantôt je me plaçais juste devant Hassan et glissait deux doigts dans mon vagin. Je jetais parfois vers Philippe de petits coups d’œil discrets.
• Suce-moi bien la queue !
Je me penchais et la pièce s’emplit des bruits de succions et des gémissements de plaisir d’Hassan.
• Mets-toi debout, je vais te déshabiller.
Je le dirigeais pour le mettre de profil par rapport à Philippe. Je lui retirais sa chemise et lui fit retirer son pantalon qui était déjà à ses pieds.
Je faisais ça pour que Philippe me voie sucer mon homme. Je m’agenouillais devant Hassan et lui lapa le gland. Je parcourus de mes lèvres humides la grosse verge. Je gobais l’une après l’autre les grosses couilles poilues d’Hassan. Je remontais et l’embouchais. J’aspirais, je creusais les joues, je pompais en exagérant les bruits de succions. Je la rentrais le plus loin possible dans ma gorge, j’en avais des haut-le-cœur. Je me donnais comme jamais. J’en rajoutais à l’intention de Philippe, je savais quel effet cela avait sur lui.
• J’ai envie de te baiser maintenant.
• Juste ma chatte ou la totale ?
• T’es vraiment la reine des vicieuses. Tu es superbe !
Je me mis à genoux sur le canapé, j’écartais les fesses. Hassan se posta derrière moi et glissa d’une seule poussée son énorme sexe dans ma chatte. Je criais de plaisir, j’eus un orgasme pratiquement tout de suite. Il me pilonnait violemment et me martyrisant les pointes des seins. Ses grosses couilles frappaient mon clito. J’étais comme une poupée désarticulée tellement il me bourrait fort. Il était endurant et j’eus encore 2 ou 3 orgasmes. Je hurlais ma jouissance, je savais qu’un autre homme, mon mari, se branlait comme un dingue en nous matant discrètement. Soudain, Hassan se retira de ma chatte et me dit :
• Maintenant, je vais compléter la totale.
Hassan flatta d’une main le creux de mes reins, descendant quelquefois jusqu’à la fossette adorable qui marquait la naissance de ma raie. Il se mit à caresser mes jolies fesses rondes et fermes. Il effleura du doigt le petit trou serré aux bords plissés. Il commença à masser doucement de son index les abords immédiats de l’anus, y faisant pénétrer progressivement son doigt. Je me mis à gémir doucement puis de plus en plus fort. Il était en moi désormais jusqu’à la deuxième phalange. L’anneau musclé le serrait gentiment comme s’il ne voulait jamais le laisser partir. Il poussa alors son index jusqu’à ce qu’il ait complètement disparu dans la grotte brûlante.
• C’est bon ton doigt là … Que c’est bon…
Je me tortillais légèrement avec des mouvements de reptile. Il commença alors à retirer tranquillement son doigt, et arrivé à la première phalange, le renfonça sans brusquerie, s’attachant à rendre la pénétration harmonieuse en suivant la courbe intérieure du rectum. Il refit ce geste plusieurs fois et peu à peu, le sphincter se relâcha autour de son doigt.
Encouragé par mes gémissements de plus en plus prononcés, Hassan était décidé à prendre son temps. Je soulevais mon cul à la rencontre de son doigt, impatient que sa queue m’encule jusqu’au fond de mes entrailles.
Il lubrifiait mon cul par quelques coups de langue ou en recueillant la liqueur gluante secrétée par les muqueuses vaginales. Je râlais râlait de plaisir, agitée par une sorte de spasme ressemblant à un orgasme passager.
Il positionna enfin son gland sur ma pastille. Il cramponna mes hanches et commença à pousser, tandis qu’avec sa main droite, il s’évertuait à me caresser le clitoris.
J’étais à genoux sur le canapé, le visage et les épaules sur le haut du dossier. De mes mains, j’écartais les fesses. Hassan avait le nez fourré entre mes fesses. Je gémissais déjà, impatiente de me faire casser le cul. Je tournais la tête et regardais dans la direction de Philippe. Mon visage transpirait l’extase.
Hassan m’avait préparé longuement. Il me releva, écarta mes jambes pour mettre son gros sexe à la hauteur de mon anus.
Il avança encore. Après quelques secondes d’immobilisation, il repartit en arrière et commença une lent va et vient.
• Caresse-toi la chatte en même temps. Tu prendras plus de plaisir.
• Je ne me suis jamais sentie aussi remplie de ma vie.
• Et encore tu n’as que la moitié en toi.
• Mets-moi tout maintenant.
Il poussa alors son membre entièrement dans mon cul. Il s’immobilisa encore quelques secondes et reprit les allers-retours. Je me caressais le clito. Philippe bandait comme jamais. Il se branlait en regardant sa femme se faire enculer.
Hassan accélérait progressivement la cadence. Il me pilonnait maintenant dans un rythme élevé. Je jouissais intensément. Hassan me lima un bon moment, parfois il sortait son sexe puis il me pénétrait de nouveau. J’eus un orgasme puissant, mais lui continuait de m’éclater l’arrière train.
• Viens ! Jouis maintenant !
• Pas encore, je veux profiter de ton trou du cul.
• Je n’en peux plus.
Hassan m’attrapa les cheveux et tira fort dessus, me forçant ainsi à me cambrer encore plus. Il accéléra encore dans des mouvements désordonnés et poussa un puissant cri de jouissance lorsqu’il vida ses grosses couilles dans mon cul dilaté. Nous restâmes soudés comme ça de longues minutes. Puis doucement il se retira. Du sperme s’échappa de mon trou du cul béant.
Philippe fit alors qu’on entende la porte d’entrée claquer. Nous n’eûmes que le temps de mettre un peignoir, nos vêtements étaient au sol, le sperme abondant d’Hassan coulait de nos jambes.
• Oh pardon, je vous dérange.
• Tu es toujours chez toi, dit Hassan d’un air renfrogné.
• Oui, mais je ne veux pas porter atteinte à votre intimité. Olga est ta femme désormais. Tu as le droit de lui faire l’amour où tu veux dans cette maison et quand tu veux. La seule chose qui compte est qu’elle soit heureuse et que tu lui donnes beaucoup de plaisir.
• Je compte bien la rendre heureuse. Il faudra cependant que nous parlions sérieusement du divorce.
• Chéri, je te l’ai déjà dit, je ne suis pas pressée, je suis bien comme ça, avec toi dans mon lit et Philippe dans la maison. Tu sais les sentiments que j’ai toujours pour Philippe et je te rappelle qu’il est le père de Lucie.
• Tu sais bien que…
• Je te dis qu’il est le père de ma fille et ma fille devra être élevée avec son père à proximité.
Le soir même, Philippe avait entendu les sons, il savait que je suçais Hassan.
Il entrouvre discrètement la porte de la chambre et voit la bite énorme de mon nouveau mâle remplir ma bouche. J’ai la mâchoire grande ouverte et mes deux mains tiennent la base de sa queue. Hassan n’a rien remarqué, moi si. Je suis heureuse que Philippe puisse nous voir, je veux lui offrir mon plaisir.
Hassan me porta comme une plume et me déposa sur le lit, la porte de la chambre grande ouverte. Il me pose sur le rebord du lit, et me met deux doigts dans la chatte et me lèche le clitoris en même temps. Je gémis comme jamais, je crie, je couine. Il me fait me lever, et enlève ma robe par le devant.
• Tu vas me baiser maintenant?
• oh oui !
Hassan présente alors à ce moment son énorme gland à l’entrée de ma chatte, il me pénètre doucement mais surement. Il entre de plus en plus en moi, je cherche mon souffle et je crie déjà. Puis, une fois bien au fond de ma chatte, il me pilonne comme un fou, m’arrachant des cris de plaisir.
• Défonce moi Hassan, je suis ta pute, baise moi comme une chienne.
Il me retourne, et me prends en levrette sur le lit.
• Met toi sur le dos, je veux m’empaler sur ta queue.
Je voulais surtout pouvoir regarder Philippe pendant qu’Hassan me baisait. Cette complicité avec mon mari candauliste me manquait. La présence discrète de Philippe décuplait mon plaisir.
La lumière en contrejour lui laisse apercevoir les ombres formées par notre couple. Il peut ainsi encore mieux se rendre compte de la grosseur du sexe qui me pilonne. Je me déchaine, fais des va et vient avec mon bassin.
• Encore, encore, j’y suis presque.
Pour me terminer, Hassan décide de me soulever et met mes deux mains sur les murs. Il me prend alors par derrière et me pénètre fortement. Je n’en peux plus et jouis de toutes ses forces.
• Vas-y éjacule moi sur le visage, gicle moi dessus.
Hassan se retire, je me mets à genoux devant lui et il vide son énorme bite sur mon visage, dans la bouche et mes cheveux. Le sperme dégouline de mon visage pour tomber sur le sol. Après quelques minutes de récupération, Hassan, insatiable remet ça.
Il profite du moment où j’ouvre la bouche pour enfoncer sa bite dedans. Je me donne à fond. Je me touche la chatte toute humide d’excitation.
Hassan me fait monter sur la lit et se place en dessous de moi en 69.Il commence à me bouffer la chatte tout en continuant de se faire sucer.
• Baise-moi encore ! dis-je en me mettant sur le dos.
Il place alors son énorme sexe à l’entrée de ma chatte et rentre juste le gland.
• Mmh,oui vas y continue
Il s’enfonce alors de plus en plus en elle en position du missionnaire puis ressort, J’attrape alors ses fesses musclées et le tire vers moi tout en avançant son bassin, je suis vraiment excitée, je sais que Philippe en profite pleinement.
• Je vais à nouveau me vider en toi.
• Oui, féconde-moi !
• Tu es jeune, je t’en ferai beaucoup. Tu es faite pour la maternité.
• Je t’aime !
• Tu es d’accord pour divorcer ? Tu sais que je ne veux pas te partager.
• Oui, je suis d’accord mon amour. C’est toi que j’aime.
• Tu veux bien m’épouser ?
• Oui, je porterai ton nom. Je serai Madame Hassan Z.
• Et plus Mme Philippe T.
• Non !!!! Arrêtes de parler et baises-moi !
Hassan rentre alors à nouveau en moi, il commence à me pilonner doucement puis de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’il se vide en moi.
Oh comme j’aurais aimé que Philippe soit près de nous, matant assis sur son fauteuil, ou encore s’approchant pour m’embrasser, pour me caresser, pour encourager le mâle à me baiser sans ménagement. Comme j’aurais aimé qu’il vienne ensuite soigneusement nettoyer ma chatte pleine du sperme de mon mâle.
Le refus par Hassan du candaulisme me frustrait terriblement, même s’il m’apportait un plaisir inouï. Je savais pourtant que les paroles que j’avais prononcées sous l’emprise d’Hassan devaient lui avoir fait un mal infini. J’étais bien décidée à me rendre le lendemain dans le lit de Philippe pour lui dire qu’il n’en n’était rien et que je l’aimais toujours. J’étais décidée à poursuivre ce jeu dangereux et à réussir le pari impossible du double jeu, je voulais garder mes deux hommes, mari, amant, ils étaient à la fois l’un et l’autre.
Le lendemain matin, profitant qu’Hassan, que j’avais épuisé en exigeant des assauts une bonne partie de la nuit, dormait profondément, je suis allé à la chambre d’amis où dormait Philippe.
J’avais été malheureuse la veille de son humiliation. Et je voulais me faire pardonner. Oui j’étais prête à céder à Hassan pour le divorce, mais non je n’étais pas prête à renoncer à Philippe. Je l’aimais toujours. J’étais amoureuse de deux hommes à la fois, en même temps, de manière différente, mais avec la même force. Pourquoi fallait-il qu’Hassan exige d’avoir le monopole sur moi ?
PHILIPPE, MON MARI DEVENU MON AMANT
Depuis que j’étais la femme de Philippe, je l’avais toujours gratifié d’une fellation le matin. C’était un rite entre nous et même lorsque j’étais sous la coupe de Rachid, je n’y ai pas dérogé. Je me rends donc sans faire de bruit dans la chambre d’amis, où Philippe s’est réfugié.
Philippe est allongé. Comme nous le faisons souvent, il fait semblant de dormir profondément. Je sais que je l’ai fait beaucoup souffrir la veille. Je sais qu’il n’a pas ou peu dormi, je sais, même si un homme ne l’avoue pas, qu’il a pleuré. Je m’en veux parce que je lui ai fait du mal, je veux me faire pardonner, lui faire comprendre que rien ne doit changer entre nous, que je l’aime toujours.
Il a beau faire semblant de dormir, je sais bien qu’il sent ma présence. Je ne me suis pas lavée avant de le rejoindre. Etant nue, il ne peut pas ne pas sentir, lui qui est si sensible aux odeurs, que je porte sur moi une forte odeur de femelle qui a copulé une bonne partie de la nuit, qui a la semence de son mâle, mais aussi beaucoup de sperme séché sur mes seins, mon visage, mon corps.
Je veux Philippe, comme hier soir je voulais Hassan. Je me glisse dans son lit, contre lui. Je lui offre mes lèvres et l’embrasse fougueusement.
• Oui mon chéri, embrasse ton épouse adultère. Tu as voulu que je sois ainsi, maintenant c’est trop tard pour changer.
• Oh mon Olga, je t’aime. J’ai entendu tes cris de plaisir une bonne partie de la nuit.
• Oui Philippe, il est insatiable et moi aussi. Il m’a peut-être déjà fécondée tu sais. Je suis pleine de lui. Approche de ma chatte, elle sent la femelle, la putain.
• Tu me rends fou, tu sais !
• Je m’en rends compte, mon amour !
Je regarde la bosse qui se prononce au niveau de son entrecuisse. Il bande comme un salaud ! Je la touche légèrement de ma main. Hum... comme c'est dur ! Mon Dieu ! Comme cette bandaison est prometteuse ! Alors, là, je n'hésite pas. Je la pelote copieusement de toute ma main, de ma paume et de mes cinq doigts. Sa bite, sous l'étoffe de son pantalon de pyjama, est dure comme de la pierre. Je la caresse de plus en plus avec instance. J'en suis toute excitée ; et lui aussi, bien sûr. Il est maintenant dans tous ses états. Chaud comme de la braise. Il est en surchauffe. On dirait qu'il va exploser. Il faut faire quelque chose ! Alors, tout doucement, je baisse son pantalon de pyjama. D'un geste, je libère sa queue. Comme un diable sortant de sa boîte, elle me saute à la figure. Quelle queue ! Enorme ! Son gland est turgescent et quelques gouttes nacrées s'en échappent. Quelle merveille ! Je n'y résiste pas. Maintenant, je la goûte par petites touches de ma langue gourmande. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! C'est du miel chaud qui coule dans ma bouche. Sa queue est nourrissante. Elle m'excite à outrance. Je sens tout mon corps s'embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Passons aux choses sérieuses. J'engouffre sa queue en m'écartelant la bouche.
Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue. Ben mon coquin ! Je sais combien il aime ça.
Puis, je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l'extrême qui s'offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens. Le fait que je trompe Hassan avec Philippe, le risque qu’il se réveille et nous surprenne. Tout cela fait que je mouille. Je suis trempée. J'ai envie de me toucher la chatte mais, je suis toute à cette queue. Alors, je me mets à le branler doucement. Il coule encore. Je le lèche avec application. Sa mouille est bonne ; elle est onctueuse et salée. J'aimerais qu'il me gicle dans la bouche. Comme ça ! Tout prendre de lui. Cette idée me submerge et déchaîne ma passion. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J'en bave ; et plus bas, j'en mouille de plus bel. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l'enfonce jusqu'à l'étouffement. Elle m'excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas.
Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C'est ça que je veux, je veux le boire. Alors, je prends mes deux mains ; l'une branlant sur toute la longueur de la bite, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste pas.
Il lâche un long cri sonore que j’étouffe en lui mettant la main sur la bouche pour qu’il ne réveille pas Hassan. Philippe décharge dans ma bouche. Une giclée d'une pression inouïe m'inonde l'arrière gorge. Je tousse. Je pleure ; mais de joie. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me brûle et m'enflamme. Il faut que j'avale tout de lui. J’aime toujours Philippe et je veux tout de lui. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en moi. Il me brûle.
• Hum... comme tu es bon mon amour !
Philippe me tend les lèvres et nous échangeons un long baiser amoureux.
• Ainsi tu m’aimes encore mon Olga ?
• Bien sûr, tu le sais bien, idiot et je t’aimerais toute ma vie. Tu es à moi, seulement à moi. Jamais je ne renoncerai à toi.
• Que va-t-on faire ?
• Quel dommage qu’Hassan ne veuille pas comprendre que je vous aime tous les deux, différemment, mais intensément. Eh bien, sans qu’il le sache, tu seras mon amant. Je ne peux me passer de te pomper, tu sais tout le plaisir que j’ai à te sucer, à avaler ton foutre. Mais aussi je ne veux pas renoncer à tous nos autres jeux érotiques.
• Tu es donc une femme adultère et je suis ton amant.
• Aujourd’hui tu es mon mari. Mais en fait il est devenu mon mari et tu es mon amant.
• Ça me rend fou de vous entendre et de ne pas pouvoir être près de toi, vous mater, l’encourager à te baiser plus fort, te couvrir de baisers, de caresses, gicler dans ta bouche ou sur toi pendant qu’il se vide dans ta chatte.
• Moi aussi, ça me manque, Philippe. Tu sais bien que ma jouissance est décuplée quand tu es près de moi. Je vais m’arranger pour que tu puisses assister discrètement. C’est tout ce que je peux faire pour l’instant.
• Je t’aime.
• Moi aussi. Embrasse-moi, je vais le rejoindre, il ne faut pas qu’il nous surprenne.
PHILIPPE LE VOYEUR
Je tins parole le jour même. Je savais à quel moment Philippe devait rentrer du travail.
Philippe entrouvrit la porte pour observer ce qu’il se passait. Le couloir vide, il continuait sa progression jusqu’au salon.
Hassan et moi nous étions bien en train de nous embrasser langoureusement sur le canapé. Il avait les mains sur mes seins, je commençais à gémir.
Les mains d’Hassan avaient déjà relevé ma minijupe, un doigt glissait dans ma chatte. Je n’avais pas mis de string.
Hassan se releva et se mit dans le fauteuil qui me faisait face.
• Alors ma petite pute, tu me fais un strip-tease ?
Je mis un CD et commença à me trémousser sensuellement. Philippe m’a dit ensuite que j’étais à la fois vulgaire et très belle. Je remontais ma jupe et prenais des poses obscènes, je dévoilais ma chatte et mon petit anus. Tantôt j’étais à genoux sur le canapé et écartais les fesses, tantôt je me plaçais juste devant Hassan et glissait deux doigts dans mon vagin. Je jetais parfois vers Philippe de petits coups d’œil discrets.
• Suce-moi bien la queue !
Je me penchais et la pièce s’emplit des bruits de succions et des gémissements de plaisir d’Hassan.
• Mets-toi debout, je vais te déshabiller.
Je le dirigeais pour le mettre de profil par rapport à Philippe. Je lui retirais sa chemise et lui fit retirer son pantalon qui était déjà à ses pieds.
Je faisais ça pour que Philippe me voie sucer mon homme. Je m’agenouillais devant Hassan et lui lapa le gland. Je parcourus de mes lèvres humides la grosse verge. Je gobais l’une après l’autre les grosses couilles poilues d’Hassan. Je remontais et l’embouchais. J’aspirais, je creusais les joues, je pompais en exagérant les bruits de succions. Je la rentrais le plus loin possible dans ma gorge, j’en avais des haut-le-cœur. Je me donnais comme jamais. J’en rajoutais à l’intention de Philippe, je savais quel effet cela avait sur lui.
• J’ai envie de te baiser maintenant.
• Juste ma chatte ou la totale ?
• T’es vraiment la reine des vicieuses. Tu es superbe !
Je me mis à genoux sur le canapé, j’écartais les fesses. Hassan se posta derrière moi et glissa d’une seule poussée son énorme sexe dans ma chatte. Je criais de plaisir, j’eus un orgasme pratiquement tout de suite. Il me pilonnait violemment et me martyrisant les pointes des seins. Ses grosses couilles frappaient mon clito. J’étais comme une poupée désarticulée tellement il me bourrait fort. Il était endurant et j’eus encore 2 ou 3 orgasmes. Je hurlais ma jouissance, je savais qu’un autre homme, mon mari, se branlait comme un dingue en nous matant discrètement. Soudain, Hassan se retira de ma chatte et me dit :
• Maintenant, je vais compléter la totale.
Hassan flatta d’une main le creux de mes reins, descendant quelquefois jusqu’à la fossette adorable qui marquait la naissance de ma raie. Il se mit à caresser mes jolies fesses rondes et fermes. Il effleura du doigt le petit trou serré aux bords plissés. Il commença à masser doucement de son index les abords immédiats de l’anus, y faisant pénétrer progressivement son doigt. Je me mis à gémir doucement puis de plus en plus fort. Il était en moi désormais jusqu’à la deuxième phalange. L’anneau musclé le serrait gentiment comme s’il ne voulait jamais le laisser partir. Il poussa alors son index jusqu’à ce qu’il ait complètement disparu dans la grotte brûlante.
• C’est bon ton doigt là … Que c’est bon…
Je me tortillais légèrement avec des mouvements de reptile. Il commença alors à retirer tranquillement son doigt, et arrivé à la première phalange, le renfonça sans brusquerie, s’attachant à rendre la pénétration harmonieuse en suivant la courbe intérieure du rectum. Il refit ce geste plusieurs fois et peu à peu, le sphincter se relâcha autour de son doigt.
Encouragé par mes gémissements de plus en plus prononcés, Hassan était décidé à prendre son temps. Je soulevais mon cul à la rencontre de son doigt, impatient que sa queue m’encule jusqu’au fond de mes entrailles.
Il lubrifiait mon cul par quelques coups de langue ou en recueillant la liqueur gluante secrétée par les muqueuses vaginales. Je râlais râlait de plaisir, agitée par une sorte de spasme ressemblant à un orgasme passager.
Il positionna enfin son gland sur ma pastille. Il cramponna mes hanches et commença à pousser, tandis qu’avec sa main droite, il s’évertuait à me caresser le clitoris.
J’étais à genoux sur le canapé, le visage et les épaules sur le haut du dossier. De mes mains, j’écartais les fesses. Hassan avait le nez fourré entre mes fesses. Je gémissais déjà, impatiente de me faire casser le cul. Je tournais la tête et regardais dans la direction de Philippe. Mon visage transpirait l’extase.
Hassan m’avait préparé longuement. Il me releva, écarta mes jambes pour mettre son gros sexe à la hauteur de mon anus.
Il avança encore. Après quelques secondes d’immobilisation, il repartit en arrière et commença une lent va et vient.
• Caresse-toi la chatte en même temps. Tu prendras plus de plaisir.
• Je ne me suis jamais sentie aussi remplie de ma vie.
• Et encore tu n’as que la moitié en toi.
• Mets-moi tout maintenant.
Il poussa alors son membre entièrement dans mon cul. Il s’immobilisa encore quelques secondes et reprit les allers-retours. Je me caressais le clito. Philippe bandait comme jamais. Il se branlait en regardant sa femme se faire enculer.
Hassan accélérait progressivement la cadence. Il me pilonnait maintenant dans un rythme élevé. Je jouissais intensément. Hassan me lima un bon moment, parfois il sortait son sexe puis il me pénétrait de nouveau. J’eus un orgasme puissant, mais lui continuait de m’éclater l’arrière train.
• Viens ! Jouis maintenant !
• Pas encore, je veux profiter de ton trou du cul.
• Je n’en peux plus.
Hassan m’attrapa les cheveux et tira fort dessus, me forçant ainsi à me cambrer encore plus. Il accéléra encore dans des mouvements désordonnés et poussa un puissant cri de jouissance lorsqu’il vida ses grosses couilles dans mon cul dilaté. Nous restâmes soudés comme ça de longues minutes. Puis doucement il se retira. Du sperme s’échappa de mon trou du cul béant.
Philippe fit alors qu’on entende la porte d’entrée claquer. Nous n’eûmes que le temps de mettre un peignoir, nos vêtements étaient au sol, le sperme abondant d’Hassan coulait de nos jambes.
• Oh pardon, je vous dérange.
• Tu es toujours chez toi, dit Hassan d’un air renfrogné.
• Oui, mais je ne veux pas porter atteinte à votre intimité. Olga est ta femme désormais. Tu as le droit de lui faire l’amour où tu veux dans cette maison et quand tu veux. La seule chose qui compte est qu’elle soit heureuse et que tu lui donnes beaucoup de plaisir.
• Je compte bien la rendre heureuse. Il faudra cependant que nous parlions sérieusement du divorce.
• Chéri, je te l’ai déjà dit, je ne suis pas pressée, je suis bien comme ça, avec toi dans mon lit et Philippe dans la maison. Tu sais les sentiments que j’ai toujours pour Philippe et je te rappelle qu’il est le père de Lucie.
• Tu sais bien que…
• Je te dis qu’il est le père de ma fille et ma fille devra être élevée avec son père à proximité.
Le soir même, Philippe avait entendu les sons, il savait que je suçais Hassan.
Il entrouvre discrètement la porte de la chambre et voit la bite énorme de mon nouveau mâle remplir ma bouche. J’ai la mâchoire grande ouverte et mes deux mains tiennent la base de sa queue. Hassan n’a rien remarqué, moi si. Je suis heureuse que Philippe puisse nous voir, je veux lui offrir mon plaisir.
Hassan me porta comme une plume et me déposa sur le lit, la porte de la chambre grande ouverte. Il me pose sur le rebord du lit, et me met deux doigts dans la chatte et me lèche le clitoris en même temps. Je gémis comme jamais, je crie, je couine. Il me fait me lever, et enlève ma robe par le devant.
• Tu vas me baiser maintenant?
• oh oui !
Hassan présente alors à ce moment son énorme gland à l’entrée de ma chatte, il me pénètre doucement mais surement. Il entre de plus en plus en moi, je cherche mon souffle et je crie déjà. Puis, une fois bien au fond de ma chatte, il me pilonne comme un fou, m’arrachant des cris de plaisir.
• Défonce moi Hassan, je suis ta pute, baise moi comme une chienne.
Il me retourne, et me prends en levrette sur le lit.
• Met toi sur le dos, je veux m’empaler sur ta queue.
Je voulais surtout pouvoir regarder Philippe pendant qu’Hassan me baisait. Cette complicité avec mon mari candauliste me manquait. La présence discrète de Philippe décuplait mon plaisir.
La lumière en contrejour lui laisse apercevoir les ombres formées par notre couple. Il peut ainsi encore mieux se rendre compte de la grosseur du sexe qui me pilonne. Je me déchaine, fais des va et vient avec mon bassin.
• Encore, encore, j’y suis presque.
Pour me terminer, Hassan décide de me soulever et met mes deux mains sur les murs. Il me prend alors par derrière et me pénètre fortement. Je n’en peux plus et jouis de toutes ses forces.
• Vas-y éjacule moi sur le visage, gicle moi dessus.
Hassan se retire, je me mets à genoux devant lui et il vide son énorme bite sur mon visage, dans la bouche et mes cheveux. Le sperme dégouline de mon visage pour tomber sur le sol. Après quelques minutes de récupération, Hassan, insatiable remet ça.
Il profite du moment où j’ouvre la bouche pour enfoncer sa bite dedans. Je me donne à fond. Je me touche la chatte toute humide d’excitation.
Hassan me fait monter sur la lit et se place en dessous de moi en 69.Il commence à me bouffer la chatte tout en continuant de se faire sucer.
• Baise-moi encore ! dis-je en me mettant sur le dos.
Il place alors son énorme sexe à l’entrée de ma chatte et rentre juste le gland.
• Mmh,oui vas y continue
Il s’enfonce alors de plus en plus en elle en position du missionnaire puis ressort, J’attrape alors ses fesses musclées et le tire vers moi tout en avançant son bassin, je suis vraiment excitée, je sais que Philippe en profite pleinement.
• Je vais à nouveau me vider en toi.
• Oui, féconde-moi !
• Tu es jeune, je t’en ferai beaucoup. Tu es faite pour la maternité.
• Je t’aime !
• Tu es d’accord pour divorcer ? Tu sais que je ne veux pas te partager.
• Oui, je suis d’accord mon amour. C’est toi que j’aime.
• Tu veux bien m’épouser ?
• Oui, je porterai ton nom. Je serai Madame Hassan Z.
• Et plus Mme Philippe T.
• Non !!!! Arrêtes de parler et baises-moi !
Hassan rentre alors à nouveau en moi, il commence à me pilonner doucement puis de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’il se vide en moi.
Oh comme j’aurais aimé que Philippe soit près de nous, matant assis sur son fauteuil, ou encore s’approchant pour m’embrasser, pour me caresser, pour encourager le mâle à me baiser sans ménagement. Comme j’aurais aimé qu’il vienne ensuite soigneusement nettoyer ma chatte pleine du sperme de mon mâle.
Le refus par Hassan du candaulisme me frustrait terriblement, même s’il m’apportait un plaisir inouï. Je savais pourtant que les paroles que j’avais prononcées sous l’emprise d’Hassan devaient lui avoir fait un mal infini. J’étais bien décidée à me rendre le lendemain dans le lit de Philippe pour lui dire qu’il n’en n’était rien et que je l’aimais toujours. J’étais décidée à poursuivre ce jeu dangereux et à réussir le pari impossible du double jeu, je voulais garder mes deux hommes, mari, amant, ils étaient à la fois l’un et l’autre.
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52 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Ibrahim, il est vrai que je les trompais tous les deux, en quelque sorte
comportement de bonne grosse chienne adultère
Ibrahim
Ibrahim
Oui, Manon et j'en suis fière. J'adore "tailler des pipes" Une de mes pratiques favorites
Grande fellatrice!
Manon
Manon
Merci André! Bises
Que dire en plus tout à été détaillé une chose dite aussi on adore OLGA et si elle voulait donner du plaisir à Phil en là regardant ,c'est bien elle qui en jouissait le plus en le voyant souffrir en même temps qu'il la regarder se faire tringler et pas qu'une fois c'est lui qui l'a poussé dans cette voie elle a raison maintenant d'en profiter même parfois égoïstement.
Un régal de lecture.
André
Un régal de lecture.
André
@ Jeanne: Théodora ne discute jamais ce que veut Philippe
merci André
Et Théodora a accepté votre escapade? Jeanne
C'est noté, Olga. Profitez-en bien les amoureux! André
@ Jacques du Canada: pas de problèmes! J'en profite pour vous informer et aussi ceux et celels qui me suivent fidèlement que Philippe et moi faisons un petit voyage (qui sera sage, c'est promis!) en amoureux et que je ne serai pas trop en mesure de répondre aux commentaires qui seraient postés sur les prochains récits (un programmé aujourd'hui, un autre jeudi et un troisième ce samedi) et ce jusque dimanche inclus. Je suis heureuse comme une petite fille de ces moments que je vais passés avec Philippe d'autant que c'est le dernier que je peux faire au stade de ma grossesse. Je vous embrasse ainsi que ceux et celles qui me suivent avec bienveillance. Olga
Merci pour rappel
Je vais rester calme.
Jacques du Canada
Je vais rester calme.
Jacques du Canada
@ Jacques du Canada, merci! Juste un dernier mot: les récits qui ont été publiés et d'autres qui le seront prochainement décrievnt des situations qui se sont passées il y a plusieurs années et pas récemment. J'ai, depuis, pris conscience des risques et notamment que je risquais de perdre celui à qui je tiens tant. Olga
Bonne chance Dre Olga.
Jacques du Canada
Jacques du Canada
Merci aux administrateurs pour leurs message. Je partage entièrement la Charte de Hds
@ Jacques du Canada, merci pour votre franchise et l'intérêt que nous me portez. Vous avez raison sur de nombreux points:
1° J'ai joué, nous avons joué un jeu très dangereux avec Rachid
2° Oui, mon comportement n'est pas toujours cohérent avec mes sentiments et notamment avec l'amour que je porte pour Philippe. ce sentiment est fort, il est même de plus en plus fort et je ne supporterai pas de le perdre, comme cela a failli arriver il y a quelques semaines et de par ma faute. Je suis aujourd'hui contrainte de le partager et j'en souffre
3° Oui, j'ai beaucoup de chance d'être encore avec Philippe. Oui, Il est pour moi le conjoint idéal. Non, Je ne suis pas sadique, je suis faible quand il s'agit de plaisir. Mais je m'efforce désormais de ne plus déraper, je mesure les conséquences qui en résulteraient
@ Jacques du Canada, merci pour votre franchise et l'intérêt que nous me portez. Vous avez raison sur de nombreux points:
1° J'ai joué, nous avons joué un jeu très dangereux avec Rachid
2° Oui, mon comportement n'est pas toujours cohérent avec mes sentiments et notamment avec l'amour que je porte pour Philippe. ce sentiment est fort, il est même de plus en plus fort et je ne supporterai pas de le perdre, comme cela a failli arriver il y a quelques semaines et de par ma faute. Je suis aujourd'hui contrainte de le partager et j'en souffre
3° Oui, j'ai beaucoup de chance d'être encore avec Philippe. Oui, Il est pour moi le conjoint idéal. Non, Je ne suis pas sadique, je suis faible quand il s'agit de plaisir. Mais je m'efforce désormais de ne plus déraper, je mesure les conséquences qui en résulteraient
Effectivement je confirme les dires d'Olga. D'une manière générale nous laissons passer les commentaires à condition que ceux-ci soient lisibles et compréhensibles ! Bien entendu les propos injurieux, racistes, politiques, religieux ou encore les trolls en tout genre n'ont pas lieu d'être publiés.
Mes commentaires peuvent être sarcastiques mais non désobligeant. Peut-être HDS ont des critères élastiques et ne publient seulement ceux qui qui feront une belle image à leur site. C'est leur droit.
L'instruction et la sexualité sont effectivement deux choses différentes Dre Olga. Par contre l'un peut aider l'autre et éviter ainsi de sérieux problèmes. C'est la raison pour laquelle je trouve votre comportement incohérent. Vous avez joué à la roulette russe avec Rachid et ses comparses tout en sachant qu'il y avait plusieurs balles dans le barillet!
La naration de vos comportements avec Philippe vient me chercher au plus profond de mon être. Je ne comprends pas que l'ont puisse traiter l'amour de notre vie de la sorte tout en sachant que ce qu'il fait est pour notre bonheur. Votre débordement, pour mieux tromper Philippe avec N l'an passé en Grèce était incohérent avec l'amour inconditionnel que vous affirmez avoir pour Philippe.
Vous êtes chanceuse Dre Olga d'être encore avec Philippe. J'espère que vous savez qu'il est le conjoint idéal pour vous. Alors pourquoi châtier ceux qu'on aime?. Pourquoi les rendre malheureux? N'êtes vous pas un sadique la-dessus?!
Je ne permet aussi de vous embrasser tendrement Dre Olga et je vous souhaite une autre partie de votre vie des plus heureuse.
Jacques du Canada
L'instruction et la sexualité sont effectivement deux choses différentes Dre Olga. Par contre l'un peut aider l'autre et éviter ainsi de sérieux problèmes. C'est la raison pour laquelle je trouve votre comportement incohérent. Vous avez joué à la roulette russe avec Rachid et ses comparses tout en sachant qu'il y avait plusieurs balles dans le barillet!
La naration de vos comportements avec Philippe vient me chercher au plus profond de mon être. Je ne comprends pas que l'ont puisse traiter l'amour de notre vie de la sorte tout en sachant que ce qu'il fait est pour notre bonheur. Votre débordement, pour mieux tromper Philippe avec N l'an passé en Grèce était incohérent avec l'amour inconditionnel que vous affirmez avoir pour Philippe.
Vous êtes chanceuse Dre Olga d'être encore avec Philippe. J'espère que vous savez qu'il est le conjoint idéal pour vous. Alors pourquoi châtier ceux qu'on aime?. Pourquoi les rendre malheureux? N'êtes vous pas un sadique la-dessus?!
Je ne permet aussi de vous embrasser tendrement Dre Olga et je vous souhaite une autre partie de votre vie des plus heureuse.
Jacques du Canada
@ Mélissa, merci !
@ Cécile, c'est que j'essaireai d'expliquer au cours des prochains récits.
@ Cécile, c'est que j'essaireai d'expliquer au cours des prochains récits.
Moi je veux dire à Olga que j'adore ces récits. Ça sent le vécu. Et c'est particulièrement excitant. Olga et Philippe ont poussé l'hypersexualité et le candaulisme à l'extrême. Ç'est leur choix et ça les regarde! Melissa
En relisant ce texte et les deux précédents, j'avoue ne pas comprendre pourquoi tu n'as pas choisi Hassan! Cecile
@ Jacques du Canada. Deux préalables:
1° Ce n'est pas moi, mais le site Hds qui décide de publier ou non les commentaires. Ils m'ont interrogé (ils peuvent le confirmer) pour savoir si je souhaitais qu'ils soient plus sévères car ils trouvaient que j'étais confrontée à des commentaires souvent très virulents (je ne dis pas cela pour vous) Je leur ai répondu que je ne souhaiatais pas de refus publication, dès lors que le commentaire n'était pas contraire à la charte du site Hds
2° Je suis une femme et d'ailleurs les habitués de ce site savent reconnaitre la différence dans l'écriture d'une femme ou d'un homme. Parce que je ne veux pas renouveler l'expérience malheureuse du blog que nous avions créé sur Erog et que nous avons du fermer car nous avions été identifiés, je ne peux et ne veux apporter de preuves.
Ceci étant dit, le niveau d'instruction et de culture est une chose, le comportement sexuel en est une autre. Il n'y a aucune corralation, même si naturellement, quand je dérape, j'en prends immédiatement consciente et je m'en veux profondément.
Je suis hypersexuelle (certains diront nymphomane) c'est un fait. Ne pensez pas non plus que j'ai joué systématiquement à la roulette russe en ayant des relations avec mes nombreux amants sans me protéger. C'est arrivé avec un nombre très limité de personnes, trop je veux bien en convenir.
Avec Hassan c'était tout à fait différent. J'étais tombée amoureuse de lui, tout en conservant des sentiments très forts pour Philippe. J'étais à ce moment-là en train de construire un nouveau couple avec Hassan et, si je l'avais écouté, c'est un couple "normal" qu'il voulait construire, basé sur la fidélité.
Je veux vous répéter que les faits que je rapporte sont exacts et ces récits sont très largement autobiographiques.
Je veux vous remercier pour votre intérêt et me permet de vous embrasser.
Olga
1° Ce n'est pas moi, mais le site Hds qui décide de publier ou non les commentaires. Ils m'ont interrogé (ils peuvent le confirmer) pour savoir si je souhaitais qu'ils soient plus sévères car ils trouvaient que j'étais confrontée à des commentaires souvent très virulents (je ne dis pas cela pour vous) Je leur ai répondu que je ne souhaiatais pas de refus publication, dès lors que le commentaire n'était pas contraire à la charte du site Hds
2° Je suis une femme et d'ailleurs les habitués de ce site savent reconnaitre la différence dans l'écriture d'une femme ou d'un homme. Parce que je ne veux pas renouveler l'expérience malheureuse du blog que nous avions créé sur Erog et que nous avons du fermer car nous avions été identifiés, je ne peux et ne veux apporter de preuves.
Ceci étant dit, le niveau d'instruction et de culture est une chose, le comportement sexuel en est une autre. Il n'y a aucune corralation, même si naturellement, quand je dérape, j'en prends immédiatement consciente et je m'en veux profondément.
Je suis hypersexuelle (certains diront nymphomane) c'est un fait. Ne pensez pas non plus que j'ai joué systématiquement à la roulette russe en ayant des relations avec mes nombreux amants sans me protéger. C'est arrivé avec un nombre très limité de personnes, trop je veux bien en convenir.
Avec Hassan c'était tout à fait différent. J'étais tombée amoureuse de lui, tout en conservant des sentiments très forts pour Philippe. J'étais à ce moment-là en train de construire un nouveau couple avec Hassan et, si je l'avais écouté, c'est un couple "normal" qu'il voulait construire, basé sur la fidélité.
Je veux vous répéter que les faits que je rapporte sont exacts et ces récits sont très largement autobiographiques.
Je veux vous remercier pour votre intérêt et me permet de vous embrasser.
Olga
@ Aurore, oui j'adore m'exhiber!
à notre lectrice anonyme il m'a avoué que ce fut l'une des meilleurs fellations que je lui ai faites!
@ Jeanne, vous me détestez et donc vous ne voulez pas reconnaitre, au-delà de la caricature une chose simple: j'aime Philippe, même si je me suis très mal comportée avec lui à ce moment là
à notre lectrice anonyme il m'a avoué que ce fut l'une des meilleurs fellations que je lui ai faites!
@ Jeanne, vous me détestez et donc vous ne voulez pas reconnaitre, au-delà de la caricature une chose simple: j'aime Philippe, même si je me suis très mal comportée avec lui à ce moment là
Pour répondre à Anna et Jeanne, je pense sincèrement que ce récit est une pure fiction écrit par une très bonne narratrice.
Avec la qualité d'instruction que Dre Olga s'octroie il est impossible qu'elle aie un telle comportement sexuel. Elle serait courant des répercussions très dangereuses d'une telle sexualité et du potentiel élevé des maladies graves qui pourraient en découler. Elle ne metterait pas en doute l'expertise médicale.
Elle a un comportement qui est complètement a l'opposé de son instruction.
De plus une telle instruction démontre que la personne qui la possède est une personne intéressée à son développement personnel et non foutre rien de ses journées sauf avoir des relations sexuelles et a tromper son mari.
Dre Olga est une très bonne ecrivaine si en réalité c'est une femme!
J'espère que cette fois-ci vous allez publier Dre Olga
Jacques du Canada
Avec la qualité d'instruction que Dre Olga s'octroie il est impossible qu'elle aie un telle comportement sexuel. Elle serait courant des répercussions très dangereuses d'une telle sexualité et du potentiel élevé des maladies graves qui pourraient en découler. Elle ne metterait pas en doute l'expertise médicale.
Elle a un comportement qui est complètement a l'opposé de son instruction.
De plus une telle instruction démontre que la personne qui la possède est une personne intéressée à son développement personnel et non foutre rien de ses journées sauf avoir des relations sexuelles et a tromper son mari.
Dre Olga est une très bonne ecrivaine si en réalité c'est une femme!
J'espère que cette fois-ci vous allez publier Dre Olga
Jacques du Canada
@Jacques du Canada, vous avez raison au sujet du comportement d'Olga. Elle profite du candaulisme de Philippe pour divorcer de fait et installer son amant dans le lit conjugal et tenir des propos dont elle sait parfaitement qu'ils font mal. Elle sait que Philippe acceptera tout. Elle lui accorde quelques miettes: pouvoir assister à ses ébats, elle sait qu'il aime ça. Elle le traite én homme objet. Il lui donne sa dose de sperme du matin. Moi non plus je ne vois pas d'amour dans tout ça! Et le fait que Philippe soit " consentant" n'excuse rien! Jeanne
Pour Philippe, c'est une fellation qui doit être dans sa mémoire!
Il me semble que tu aimes t'exhiber! Jolie scène de strip-tease! Aurore
Merci à notre lecteur anonyme pour ses paroles encourageantes. Je vous ai laissé un message sur votre adresse mail. Bises
@ Elisa, je préfère et de loin être baisée, par un mâle vigoureux et endurant, étant à la fois clitoridienne et vaginale, et capable d'enchainer des orgasmes de plus en plus puissants. Mais j'apprécie de me faire enculer. En un mot j'aime quand un mâle fait de moi sa chose et me traite comme la salope que je suis dans ces moments.
@ Michel, oui c'est une vraie et belle histoire d'amour entre moi et Philippe.
@ Michel, oui c'est une vraie et belle histoire d'amour entre moi et Philippe.
On est davantage sur un récit d'adultère ( de double adultère même) que de candaulisme. Il est certain que cela a laissé des traces dans votre couple avec Philippe, n'est-ce pas Olga? Sans cet épisode ( mais aussi celui avec N sans que Philippe l'ait autorisé préalablement) Aurait-il sans cela imposer la présence de Théodora? Probablement non, je dirai même qu'il n'y aurait jamais pensé. Christine.
Et plus de sadisme envers Philippe
Jacques du Canada
Jacques du Canada
Je pensais Anne être seul à penser ainsi. On peut avoir du plaisir consentant dans son couple, insulter son conjoint dans l'extase sans être obligé de foutre la vie de l'autre a l'envers.
Ce n'est pas de l'amour c'est du masochisme.
Jacques du Canada
Ce n'est pas de l'amour c'est du masochisme.
Jacques du Canada
Dommage que votre blog soit clos, j’aimerai tant vous connaitre toi Olga et ton mari, j’ai trouvé vos récits sur divers site et j’aime à suivre vos aventures, continuez ... Donnes-toi à Philippe avec les frustrations qu’il a eu il mérite de retrouver le chemin et la chaleur de ton sexe. On peut être candauliste (il l’a plus que prouvé) et consommer aussi !
J'aurais aimé avec l'avis de Jacques du Canada sur ce que je viens d'écrire. Je sais qu'il suit de près celle qu'il appelle "Dr Olga" Merci. Anna
Olga, les mots ont un sens et peuvent faire très mal, même si, pour te faire pardonner, tu rejoins discrètement Philippe le lendemain matin pour t'occuper de lui. Alors que tu savais que Philippe assistait, comment as-tu pu dire, une nouvelle fois, en lui envoyant ça à la figure en quelque sorte que c'est Hassan que tu aimais, que tu acceptais le divorce et que tu t'appellerais bientôt Olga Z et non plus Olga T. Le plaisir qui annihile ta volonté lorsqu'un mâle te besogne n'excuse pas tout. C'est d'une cruauté terrible et je pense que si Philippe a repris la vie commune par la suite pour pouvoir continuer avec toi son candaulisme, il te le fera payer et tu le paies déjà. Sans compter que tu as trahi à nouveau par ton adultère avec N. et en te faisant faire un nouvel enfant, que Philippe devra assumer. Je suis un peu dur, mais j'espère que tu es consciente de tout cela. Anna
Qu'on le veuille ou non, moi je vois d'abord une vraie histoire d'amour entre Philippe et Olga Michel
Je me trompe ou j'ai l'impression que tu prends autant ton pied en te faisant enculer que lorsque tu es baisée? Elisa
@Andrerp95 MYK: merci, plus agréable de répondre à un commentaire signé ;)
@ André, oui c'est à cause de la force de ses sentiments que j'ai finalement choisi Philippe
@ Vieulou:un grand merci!
@ André, oui c'est à cause de la force de ses sentiments que j'ai finalement choisi Philippe
@ Vieulou:un grand merci!
Que dire après tous ces commentaires ! ! !...
En tout cas, l'écriture d'Olga est celle d'une très bonne écrivaine, comme il y en a peu sur HDS (hommes et femmes confondus).
Que ces récits perdurent.
En tout cas, l'écriture d'Olga est celle d'une très bonne écrivaine, comme il y en a peu sur HDS (hommes et femmes confondus).
Que ces récits perdurent.
Cela a du redonner du baume au coeur à Philippe. Il a compris que, à ta façon, tu l'aimais encore et en plus il a pu, avec ta complicité, pratiquer son candaulisme sans se limiter à écouter derrière la porte. Je commence à comprendre pourquoi, au fina, c'est lui que tu as choisi, alors qu'objectivement il est moins bon amant que son rival! André
Pour répondre à Astrid c'est exact. Mais Philippe, depuis plusieurs mois, se faisait suivre par une sexologue. Les résultats, plus l'usage de Cialis, ont été spectaculaires. Je dois aussi dire que mes rivales, qui ont cherché à nous séparer, comme Marie C. et (j'en parlerai) Flavienne ont aussi largement contribué à lui redonner confiance dans sa virilité et donc à améliorer ses érections et à combattre la tendance à l'éjaculation précoce. Je dois reconnaitre que sans cela nous ne serions pas retrouvés et Philippe ne l'aurait pas au final "emporté" sur Hassan.
Oups je n'ai pas qui était l'auteur : Andrerp95 MYK voila bonne lecture.
@ Julie, oui quel dommage qu'Hassan ne le voulait pas et que cela ne soit pas possible!
@ Jeanne, toi si critique sur le plan moral, prendre la défense d'Hassan c'est surprenant. Ceci dit, je ne suis pas fière de mon comportement envers lui.
@ Paul: heureuse que cela te plaise!
@ notre lecteur anonyme: depuis que nous sommes amants et plus particulièrement depuis que nous vivons ensemble. C'est devenu une tradition entre nous. Ey quand je peux, je pratique la fellation sur Philippe à d'autres moments: en voyage, au cinéma, dans les toilettes d'un restaurant ou d'une réception. J'adore ça!
@ notre lectrice anonyme, je dirai juste que mes récits sont autobiographiques à 90% et, en particulier est exact le fait que Philippe et Hassan ont cohabité sous le même toit pendant des mois et que j'avais des rapports intimes avec mon mari sans que mon amant le sache ou s'en doute.
@ Jeanne, toi si critique sur le plan moral, prendre la défense d'Hassan c'est surprenant. Ceci dit, je ne suis pas fière de mon comportement envers lui.
@ Paul: heureuse que cela te plaise!
@ notre lecteur anonyme: depuis que nous sommes amants et plus particulièrement depuis que nous vivons ensemble. C'est devenu une tradition entre nous. Ey quand je peux, je pratique la fellation sur Philippe à d'autres moments: en voyage, au cinéma, dans les toilettes d'un restaurant ou d'une réception. J'adore ça!
@ notre lectrice anonyme, je dirai juste que mes récits sont autobiographiques à 90% et, en particulier est exact le fait que Philippe et Hassan ont cohabité sous le même toit pendant des mois et que j'avais des rapports intimes avec mon mari sans que mon amant le sache ou s'en doute.
Voila Olga T et Philippe, 1 recit dans lequel le mari fait preuve d'une abnegation hallucinante avec tous ce que sa femme et les amants de sa femme vont lui faire subir.
Autant toi Philippe il a finalement rendu son tablier pour que mieux vous retrouver autant lui non il a tout accepté. Je ne sais pas si le recit est vrai.
Autant toi Philippe il a finalement rendu son tablier pour que mieux vous retrouver autant lui non il a tout accepté. Je ne sais pas si le recit est vrai.
Tes descriptions des saillies de Hassan sont absolument exceptionnelles! Érection garantie à la lecture! Paul
Je me souviens que tu plaignait des éjaculations précoces de Philippe, d'une érection qui ne te convenait. Que s'est-il passé? Astrid.
Si j'ai bien compris, tu pratiques cette fellation chaque matin sur Philippe. Depuis combien de temps?
Je ne connais pas Hassan, mais je trouve incroyable le comportement que tu as eu envers lui. Â force de jouer sur tous les tableaux, tu mériterais de tout perdre! Jeanne
Merci à Luc et à Chris!
@ Florence27 Efcharistó polý, Kardiá moy!Il m'est arrivé comme à ce moment-là de raser entièrement mon pubis, mais je préfère m'épiler soigneusement, laisser un "ticket de métro". Ma compagne Agun et mon chéri Philippe adorent ça. Je ne connais pas d'homme qui pratique aussi bien le cunni. Pas étonnant qu'il soit bi, c'est une partie de sa personnalité que j'adore.
@ Florence27 Efcharistó polý, Kardiá moy!Il m'est arrivé comme à ce moment-là de raser entièrement mon pubis, mais je préfère m'épiler soigneusement, laisser un "ticket de métro". Ma compagne Agun et mon chéri Philippe adorent ça. Je ne connais pas d'homme qui pratique aussi bien le cunni. Pas étonnant qu'il soit bi, c'est une partie de sa personnalité que j'adore.
Tu es véritablement polygâme ou plutôt bi-andre, c'est-à-dire une femme qui a deux maris. Quel dommage qu'Hassan ne voulait pas de cela, c'était l'idéal, pour toi comme pour eux! Julie
Toso poly oréo !!! Glyka mou.
J'aimerais sucer ta chatte dégoulinante de sperme pour sentir les goûts de ta mouille mêlée au sperme, (bien que ce ne soit ni la consistance ni le goût qui me plaise le plus), mais voir ta chatte aux poils luisants de sperme doit être un délice car si je ne me trompe pas tu n'as pas la mauvaise idée d'avoir le pubis entièrement glabre.
J'aimerais sucer ta chatte dégoulinante de sperme pour sentir les goûts de ta mouille mêlée au sperme, (bien que ce ne soit ni la consistance ni le goût qui me plaise le plus), mais voir ta chatte aux poils luisants de sperme doit être un délice car si je ne me trompe pas tu n'as pas la mauvaise idée d'avoir le pubis entièrement glabre.
Encore un récit particulièrement torride. Tromper l'un et l'autre, l'un avec l'autre, tu es quand même une fiéffée salope, au sens étymologique du mot. Et dans ma bouche, c'est un compliment! Luc
On fini par être amoureux d'Olga...