Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants.

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2018 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants.
Ce texte sera le 4ème et le dernier sur nos vacances de l’été 2014 dans un camping de la côte atlantique.

Ce séjour si particulier m’avait tellement apporté pour assumer mes besoins d’hypersexuelle, qu’à force d’insistance, j’avais fini par convaincre Philippe de le prolonger une troisième semaine.

Au courant de cette dernière semaine, Philippe avait dû, malgré mes vives protestations, s’absenter deux jours « pour des raisons professionnelles ». C’était en fait pour retrouver Ambre, qui avait obtenu de Renaud qu’il accepte qu’elle fasse venir son amant !

Lorsque j’ai su, bien plus tard, la nature réelle des relations de Philippe et d’Ambre, je fis une scène terrible à Philippe. Mais ceci est une autre histoire, même si elle a eu beaucoup de conséquences pour notre couple, qui en a été fragilisé.

Je me retrouvais donc provisoirement seule, d’autant plus que l’inconnu qui avait été mon amant éphémère (récit 47), était lui aussi parti. Depuis notre arrivée à ce camping, j’avais connu un rythme effréné, intensif, de plaisir et, brutalement, plus rien. J’étais bien décidée à être sage, en attendant le retour de mon mari et complice, car je voulais que mes frasques se déroulent dans le cadre candauliste que nous avions défini, et non me laisser aller à l’adultère. C’était un « sevrage » brutal, mais limité à 48 heures et qui donc ne devait pas durer.

Le lendemain du départ de Philippe, un groupe de jeunes saisonniers, particulièrement bruyant est venu poser son campement non loin de notre bungalow.

Ne tenant plus, je sollicitais la direction pour qu’elle nous change de place ou bien fasse cesser ce « bordel ». Ma démarche occasionna un effet insoupçonné. Il ne faisait aucun doute que les remontrances avaient été faites, mais j’étais clairement identifiée comme étant la «balance» par le groupe de jeunes.

ADULTERE DANS LES DOUCHES
Un soir que trois d’entre eux chahutaient dans les sanitaires, j’allais prendre ma douche. Lorsque je sortis de la douche dans mon drap de bain, ils s’agitèrent autour de moi. A force de me tripoter, l’un deux m’arracha le string que je tenais à la main. Voulant le récupérer, mon drap glissa et je me retrouvais nue devant mes trois gaillards. Ils s’en donnèrent immédiatement à cœur joie pour me caresser.

Un des garçons m’immobilisa les bras dans le dos et me poussa dans la douche handicapé ; les deux autres nous suivirent. On me posa un doigt sur la bouche en signe de silence.

A deux, ils s’occupèrent de moi, malaxant ma poitrine, me tordant les tétons, les étirant...je me mordais la lèvre pour ne pas crier. On me chuchotait à l’oreille des mots obscènes.

• On a entendu parler de toi. On sait que tu aimes ça salope, tu mouilles, cochonne !

Je reçus deux doigts dans la chatte, sans ménagement, ainsi que deux autres dans la bouche, on me branla énergiquement.

Déjà, je me laissais aller. Mes bonnes résolutions de ne rien faire en l’absence de Philippe étaient déjà oubliées. Après tout, il n’avait pas besoin de me laisser seule.

Le plaisir montait irrésistiblement en moi, je n’arrivais pas à le contenir, pire, j’écartais les jambes pour mieux me faire doigter.

• Putain, la salope, elle aime ça, cette chienne, elle mouille grave !

• Mes renseignements étaient bons. C’est la meuf la plus chaude de tout le camping !

• Vas-y, te gênes pas, mets lui la main entière!

Habituée à être fistée par Philippe, j’encourageais le jeune homme à y aller.

• Oui, vas-y, salaud. Mets-la-moi entièrement ! N’aies pas peur, j’ai l’habitude et j’aime ça ! Ouiiiii !!!!


J’avais 4 doigts en moi, lorsque je sentis qu’il essayait de mettre le pouce, je jouis abondamment sur mon doigteur, l’aspergeant de mouille, sans pouvoir m’arrêter, signe d’un orgasme particulièrement fort.

• la salope, elle m’a pissé dessus !

• mais non, c’est une femme fontaine !

• c’est les pires des salopes !

• ben on va voir comment elle suce, notre petite pute, maintenant qu’elle a pris son pied !

• allez, à genoux, de suite !

Je me retrouvais nue, à genoux, face à trois bites que je tentais de satisfaire, les suçant, les léchant, les branlant. Dès que j’en laissais une de côté, elle venait me cingler le visage. Chacun leur tour ils essayèrent de me l’enfoncer au fond de la gorge, j’y arrivais avec deux d’entre eux, le troisième me fit presque vomir, tellement il avait un sexe long et épais.

Crachant ma bile, ils me firent garder la bouche ouverte et se branlèrent au-dessus de moi. Je reçus la jouissance de ces trois garçons dans la bouche et sur le visage. J’en avais aussi sur les cheveux et les seins.

L’OFFRANDE DE MON PLAISIR
• caresse-toi et avale, salope !

Avec les doigts, je récupérais le sperme des trois mâles puis les nettoyais avec ma langue.

Mes lèvres intimes étaient tellement gonflées par l'excitation, mes seins toujours piqués par l'air frais plus excités et raides que jamais.

Je sens des filets de mouille s'échapper de mon minou, glisser le long de mes lèvres, quelle sensation divine...

Exhibitionniste, j’aime me branler ainsi devant des spectateurs.

• Offre nous ton plaisir, jolie garce !

Ma main trouve naturellement le chemin de ma chatte trempée de cyprine. Mon doigt écarte les grandes lèvres à partir du bas, pour remonter le long de ma fente et trouver le bouton de rose de mon plaisir. Mes yeux sont clos, ma tête en arrière, la bouche entrouverte et désormais, mes jambes sont grandes ouvertes, mon sexe ainsi est offert à mes doigts indiscrets. De mon autre main, je malaxe mes mamelons qui pointent. Mes tétons durcis et excités roulent entre mes doigts, je sens que je mouille de plus en plus, que cette mouille coule avec abondance, hors de mon sexe en feu.

Mes doigts se font caresse et vont toujours de bas en haut, le long de cette fente trempée.

Mon clitoris est stimulé de façon aléatoire, j'en veux plus. J'écarte alors les lèvres pour récupérer plus de mouille, mes deux doigts encadrent mon clitoris et commencent à tourner lentement.

J'ai envie de gémir, je gémis, en me malaxant un sein. Ma poitrine est tellement tendue qu'elle pourrait exploser, mes tétons bandent tellement que ça en ferait presque mal.

• Oh, que c'est bon ! Ça vous plait ?

• Jamais vu une salope comme toi. Vas-y, ma belle, branle ton clito, fourre tes doigts dans ton con !

Mes doigts se resserrent atour de ce clitoris jusqu'à ce qu'il y en ait un qui prenne le pas sur l'autre, pour se poser sur le centre de ma jouissance. J'appuie dessus tout en tournant, le maltraitant, le pinçant. Que c'est bon de sentir ce plaisir monter, je gémis, je ronronne de plaisir !


Toujours accrochée à mon sein et à mon téton, j'alterne les sollicitations de mon clitoris. Quelques doigts trouvent à nouveau le chemin de mon vagin détrempé, empli de désir, mais rapidement, l'appel brulant de mon clitoris les rappelle à l'ordre.

Je branle avec violence ce clitoris gonflé de plaisir, ma respiration est de plus en plus rapide, je sens la jouissance monter en moi, j'aimerai faire durer ce plaisir, mais je ne peux plus m'arrêter, ma main se crispe sur mon sein, ma mâchoire se contracte, mes dents se serrent, je ferme les yeux. Mon visage exprime la violence de ce plaisir inouï.

Mes doigts alternent leurs caresses sur mon clitoris et le long de cette fente ruisselante. Je n'en peux plus, j'attise violemment mon bouton, mon corps se cambre, et la jouissance explose, des râles bestiaux s'échappent de ma gorge, puis des véritables cris de jouissance, plus rien n'existe autour de moi, si ce n'est cette main sur mon sexe et mes doigts qui malaxent mes mamelons.

Cette jouissance est puissante, furieuse, brulante, et je jouis, je jouis, je jouis….

• Ahhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Plus je jouis, plus je sens cette mouille qui s'échappe de ma fente ardente.

Mes jambes se dérobent, je m’effondre sur le sol, mes yeux voilés par ce plaisir ravageur.

Après cette folle jouissance, s'installe un sentiment de bien-être exceptionnel. Un vide bienfaisant.

Rarement une masturbation ne m'avait emmené si loin. Une main posée sur mon sexe, une autre reposant sur mon sein, je suis grisée de plaisir, comme saoule...

• Ouah, j’avais jamais vu une fille prendre un tel pied rien qu’en se branlant !

• T’es une exceptionnelle salope, Olga. Je t’ai filmé, pas d’objections ?

• Non, du moment que tu promets de ne pas diffuser sur les réseaux sociaux !

• T’inquiètes, on n’est pas des salauds ! Faut dire que c’était un super spectacle ! C’était chaud, c’était beau ! Tu dois avoir de l’expérience, ma belle !

• Oui depuis que, adolescente, j’ai commencé à découvrir mon corps. Depuis, je me masturbe souvent, parfois plusieurs fois par jour. Un moyen pour me calmer quand je n’ai pas de mâle sous la main. Et je sais comment m’envoyer en l’air.

Ils me roulèrent chacun une pelle, remontèrent leurs shorts et sortirent de la douche. Ils me jetèrent mon drap et ma trousse de toilette par-dessus la porte. J’étais un peu frustrée, j’aurais tant aimé qu’ils me baisent.

Je retourne à notre bungalow. Brisée par le plaisir, je m’endors tôt, mes rêves sont très chauds. Je retrouve le matin ma chatte humide et béante. J’ai donc commencé la nouvelle journée par une violente masturbation, en pensant à ces jeunes mâles dont j’espérais bien qu’ils allaient m’honorer le soir même comme il se doit. Dans cette attente, la journée m’a paru bien longue.

PARTOUZE
C’est seulement vers minuit qu’on frappa enfin à la porte, à travers la vitre je reconnus un des jeunes.

• Allez viens boire un verre avec nous, celui de l’amitié ;
Je me retrouvais à leur table à boire, alors que la veille, ils m’avaient presque violée.

Ils étaient cinq cette fois. Evidement les trois avaient raconté à leurs copains ce qu’ils avaient fait la veille.

• C’est vrai ce qu’ils racontent? Que tu pisses quand tu jouis?

• Vous êtes bêtes. Je mouille simplement beaucoup quand je jouis.

• Je me ferais bien sucer moi !

• Bon et bien qu’est-ce que tu attends? On ne va pas te forcer quand même, t’es là pour ça, non ?

Ils me prenaient pour une pute, mais c’était bien ainsi que je me comportais. Ces jeunes saisonniers avaient 20 ans tout au plus. J’étais fière de retrouver les sensations qui étaient les miennes, quelques années auparavant, quand Rachid m’offrait chaque semaine aux jeunes de sa cité.

Je me levais et me mis à genoux devant le garçon, il sortit son sexe a moitié dur. Je le pris en main le branla un peu.

On entendit une salve d’applaudissements.

• Allez appliques toi !

Je me mis à lui téter le dard, lui lécher les boules.

• oh la salope, c’est vrai qu’elle suce bien.

J’activais mes aller et venu sur sa bite, la suçant l’aspirant, la branlant dans ma bouche.

Quelqu’un baissa mon pantalon et ma culotte, on me caressa la chatte, elle était trempée.

• je te l’avais dit qu’elle aime la baise !

On m’écarta les fesses, avec ma mouille ils me lubrifièrent le cul et ils m’introduisirent un doigt bien profondément dedans, puis deux. Je me cambrais tellement le cul me brulait.

Ce soir-là je fus baisée de nombreuses fois, sodomisée à deux reprises, je bus une grosse quantité de sperme, j’eus de nombreux orgasmes violents, qui me laissèrent sans jambes.

Au petit matin deux des garçons me portèrent à mon bungalow, tellement j’étais incapable de marcher.

DEVANT PHILIPPE
Dès que Philippe fut de retour, je lui ai expliqué ce qui s’était passé. Je ne voulais pas lui mentir, fidèle à la transparence prévue par notre « Pacte candauliste » et ignorant que lui venait de me tromper sans vergogne avec cette salope d’Ambre.

• Ma jolie cougar, j’ai envie de te voir avec ces jeunes mâles !

• Dis- donc, je ne suis pas une cougar, je n’ai que 37 ans, mais c’est vrai que je pourrais être la mère de ces jeunes. Ca me rappelle ces moments si chauds que je passais à la cité. J’adorais ça !

Nous invitons donc le soir même deux de ces jeunes à notre bungalow, les autres étant hélas déjà repartis.

Je leur ai dit que je voulais qu’ils me baisent devant mon mari, que non seulement il était consentant, mais qu’en plus il adorait ça. Philippe leur confirma d’emblée en les accueillant, leur disant : « elle est à vous », puis s’installant sur un fauteuil pour assister à son spectacle favori.

Ils furent directs. L’un des deux garçons passe la main sous ma jupe et au moment de toucher mon string, il dit
• Ohlala, elle mouille déjà !

Voyant l'autre jeune essayant de me déshabiller, Philippe l’aide à enlever mon haut et ma jupe pour laisser le string.

Je branle un des jeunes.

• Ouah, c’est bon ! Tu me suces ?

Je fais un oui de la tête et lui enlève son short, pour découvrir sa bite.

Le deuxième se lève aussi et semble attendre son tour. Je lui enlève également le short et saisis sa queue dans une main.

Le plus grand saisit ma tête, pour m’inciter à le sucer, ce que je fais en regardant Philippe, qui mate et a, lui aussi, sorti sa queue.

Le deuxième jeune se rapproche pour que je le suce également. Je branle mon clito pendant je suce les deux jeunes à tour de rôle.

Philippe se rapproche et caresse mes seins. Il se met au milieu des jeunes, il a envie que je le suce également. Les deux jeunes le repoussent gentiment.

• Nous d'abord ! Ce soir, tu te contentes de mater !

• Bébé, ce n’est pas tous les jours, laisse-moi profiter, et c'est toi qui l'a voulu depuis toujours. Je veux t’offrir mon plaisir, mon amour.

Philippe se remet sur son fauteuil et se contente donc de me regarder en train de sucer les deux jeunes.

Au bout de 5 minutes, j’enlève mon string et demande au plus jeune de me lécher pendant que je suce l'autre. Il est particulièrement doué. Je prends sa tête à deux mains. Il s’allonge sur le dos et se met à califourchon, la tête entre mes jambes.

• Oui, c’est bon, continue ce que tu me fais.

Je lui répète de continuer, alors qu'il n'arrive même pas à respirer et je me mets à jouir dans sa bouche, l’inondant de ma cyprine. Je le redresse, l’embrasse, en lui disant que sa technique était merveilleuse et que j’avais adoré.

• Si on passait aux choses sérieuses, me répond celui qui vient de me faire un merveilleux cunnilingus
• Ah enfin, c'est pas trop tôt ! Baisez-moi !

Le plus âgé regarde Philippe et lui dit :
• Pas de problèmes?

• Vous êtes là pour ça, les amis ! Faites-la jouir !

Ces jeunes étaient prévoyants et sont allés chercher dans leur sacoche un paquet de préservatifs.

Le premier jeune commence à me faire l'amour en position missionnaire, pendant que je suce son copain.
• Enlève ta capote, chéri, je veux bien te sentir, je veux être remplie, je veux que tu jouisses en moi. Ne t’inquiète pas, je suis saine et j’ai pris mes précautions. Philippe, tu es d’accord ?

• Vas-y gamin, tu pourras te vider en elle !

• Que c’est bon. Oh Philippe, mon chéri, ça me rappelle ces merveilleux moments où, chaque semaine, je me faisais baiser par de jeunes mâles à la cité. Ca me manque tant !

Et environ 20minutes après, il se met à jouir en moi.

L’autre jeune prend ma tête à 2 mains et me fait comprendre que je dois le sucer.

Pendant que je me redresse pour le sucer, le gars s'adresse à Philippe
• désolé mais on l’a fait jouir ta femme, avec nous elle prend son pied, avec toi elle perd son temps !

Il explose de rire et son copain en fait de même. Je ne dis rien, trop concentrée sur ma fellation.

Philippe est humilié, ça me gêne et, en même temps, ça m’excite.

• Regarde comment elle me suce ta meuf. Regarde, elle se touche tellement elle aime ça !

A ce moment, le deuxième jeune se rapproche d'eux.

• A mon tour maintenant !

Je me mets à 4 pattes.

• Viens me prendre en levrette !

Je suis à 4 pattes, mon second amant me tient par les reins et commence le coït.

Pendant qu'il me touche partout, le jeune se met à accélérer le mouvement violemment.

• Chérie ça va ?

• Oh putain, que c’est bon ! Tu vois pas que je prends mon pied ? Laisse le faire, je vais jouir ! Vas-y toi, pilonne-moi, démonte-moi ! N’arrête-pas !

Son bassin s’avance, ses fesses se durcissent. Il est en train de s’enfoncer, d’ouvrir et repousser les chairs intimes.

Philippe nous regarde forniquer. Son regard témoigne de son excitation et de son amour envers moi.

L’autre jeune a repris des forces. Il fait signe à son copain de se relayer. Ils me prennent à tour de rôle, pour m’accabler de plaisir et retarder l’échéance. Quand mon étalon du moment sent qu’il va venir, il se fait remplacer, l’autre prenant aussitôt le relais dans ma vulve.

Les garçons s’activent à tour de rôle, en alternant des coups de reins brusques et puissants à d’autres beaucoup plus lents mais bien plus profonds.

Les gémissements montent en puissance jusqu’à devenir des cris.

• Oh Philippe, mon amour, approche ! Tiens-moi la main, embrasse-moi ! Regarde ce qu’ils font à ta chérie ! Ils me tuent de plaisir ! Je suis une salope, une putain ! Grâce à toi, Philippe !!!

Les gestes deviennent moins doux, les coups de reins se muent en coups de boutoirs. C’est une course effrénée vers le plaisir suprême qui se déroule. Je n’en reviens pas de la violence de l’assaut. Je ne suis plus qu’un pantin, désarticulée, s’agitant au gré de la possession que je subis avec délice.

Comme j’aimerais qu’ils soient plus que deux pour que d’autres se succèdent sur moi, que ça dure des heures, que ça ne s’arrête pas.

Je change de position, car au moment ultime, je veux voir leur plaisir, je veux leurs caresses, leurs baisers. Je m’ouvre au maximum, écarte les jambes en repliant mes genoux que je ramène vers ma poitrine. Je crie. Je gémis. Je m’efforce de garder les yeux ouverts, de ne pas perdre du regard Philippe. Si je connais ce plaisir inouï, c’est grâce à lui, c’est qu’il a tant voulu que nous reproduisons encore et encore.

• Que c’est bon, que c’est bon, que c’est bon !!!!!! Philippe, mon amour, tu ne t’en lasses donc pas ?

• Jamais, mon Olga, c’est si beau ! Je t’aime. Et vous, allez-y, faites la jouir encore et encore !

Le coït dure plus de 15 minutes, j’enchaine les orgasmes. Le deuxième finit par jouir à son tour, ma chatte déborde du sperme de mes amants.

J’insiste pour être léchée à nouveau. L’un des jeunes, pas dégoûté de cette chatte qui dégouline de sa semence et de celle de son ami, s’allonge sur le dos pour que je me mette à califourchon sur sa tête.

Le cunnilingus dure encore longtemps, tellement que je ne compte plus le temps. Quand enfin je jouis dans sa bouche, je l’oblige à avaler ce mélange de sperme et de cyprine dont ma chatte est remplie.

Je fais de nouveau l’amour avec ces deux jeunes et fougueux amants. Ils décident cette fois de me prendre en sandwich. C’est un moment unique, merveilleux.

• Oh oui, c’est bon ! doucement, on a le temps, toute la nuit devant nous
• Oh que tu es bonne !

• Oui, comme ça, pas trop vite. C’est bien. Oh que j’aime ça !

• Ton mari n’en perd pas une miette, il se branle le cochon !

• Oh je vous sens bien, remplissez moi, ouiiiiiiiii
Ils n’en n’ont pas encore assez. Le premier, qui rebande très vite, prend ma tête d'un coup et se met à enfoncer sa bite dans ma gorge. Je m’étouffe, Philippe veut intervenir, mais le grand l’éloigne.

• Ta meuf aime ces situations un peu forcées, elle aime être dominée, au contraire ca l'excite. Ce soir, elle est à nous !

• T'inquiète bébé, tu sais que j’aime les gorges profondes
A ce moment, le jeune reprend ma tête à deux mains, continue de faire semblant de me forcer à sucer profondément, et à un moment donner fait basculer ma tête à la renverse. Je suis allongée sur le dos, il baise ma bouche.

Je continue à me laisser emboucher comme ça, je leur avais dit que j’aimais ça. En même temps, je me caresse. J’attrape le bras de l’autre, saisis à deux mains sa tête et je lui fais comprendre qu'il doit me lécher.

Le jeune est sur le point d’exploser, mes jambes tremblent, ce qui signifie que l'orgasme arrive, et au moment où le jeune dit « je vais spermer » et commence à se soulever, je lui agrippe les fesses et le plaque contre ma bouche. Il éjacule donc dans ma bouche.

A ce moment, l'autre gars se retire de ma chatte, et à son tour m’envoie de puissantes giclées, vers mon visage et mes seins.


Je me redresse, avec un soupir de soulagement, couverte de sperme, repue de plaisir, un sourire radieux aux lèvres et m'approche de Philippe en l’embrassant amoureusement et en lui disant :
• merci bébé de me laisser faire tout ça, c'était vraiment génial. Demain on doit partir, mais tu m’as offert des vacances inoubliables !

Ils se rhabillent et sortent de notre bungalow, après m’avoir embrassé sur la bouche et serré la main de Philippe.

• Merci Philippe, c’est sympa de partager Olga comme ça. On s’excuse de t’avoir un peu bousculé, mais c’était à la demande d’Olga, elle nous avait dit que tu aimerais ça.

• On ne s’attendait pas, Olga, à ce que tu sois aussi cochonne que ça.

• Philippe, tu as de la chance d’avoir une telle épouse.

• Les garçons, grâce à vous, j’ai passé une merveilleuse soirée, ça faisait des années que je n’avais plus eues des amants aussi jeunes que vous. J’ai surtout de la chance d’avoir un mari formidable qui me permet de faire tout ça !

Les avis des lecteurs

Merci Arthur!

Histoire Erotique
Olga, la scène ou tu te branles frénétiquement devant ces 3 jeunes est magnifique ! Tu as de réels talents d ecriture! On s'y croirait et tu decris tres bien ton plaisir, quelle salope tu fais?
J aurais aimé être à leur place, quel souvenir pour eux et en plus ils ont une video!
Bises
Arthur

Merci, cher Thallium!

Histoire Erotique
Ma chère Olga,


Je reprend ma découverte de ta vie de luxure et c'est toujours la queue dure que je termine tes récits. Merci

Thallium

chère lectrice anonyme, c'est vrai. Cette patience est le fruit de son amour sans limites et de son candaulisme

Histoire Libertine
Philippe a eu beaucoup de patiences.



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants.
Histoire sexe : Une rose rouge
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