Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: Agun, Philippe et moi

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: Agun, Philippe et moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2020 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: Agun, Philippe et moi
RAPPELS
Philippe et moi, Agun et moi, formons deux couples parallèles, sans constituer un trio. Pourtant, au fil du temps,des liens, que j'ai encouragés, se sont créés entre Philippe et Agun. C'est de cela dont je veux parler parce que c'est important pour mieux nous comprendre.

J’ai expliqué, dans sept textes publiés sous cette rubrique sur HDS (les 27 octobre 2019, 25 novembre 2019, 7 janvier, 6 février, 11 mars, le 18 avril et le 4 mai 2020), les conséquences de mon adultère avec N et comment j’avais pu reconstruire ce que j’avais failli détruire, suite à ma trahison et revenir à la situation antérieure, avec, d’une part, mon couple candauliste avec Philippe et, d’autre part, mon « autre » couple avec Agun, dont j’ai longuement parlé dans un autre texte (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (52) : Agun mon amour, mon épouse », paru le 14 novembre 2018).

J’ai également souligné le rôle central qu’avait joué Agun, d’abord parce qu’elle avait pardonné ma trahison, ensuite parce qu’elle avait fortement contribué à ce que je retrouve ma place auprès de Philippe.

Agun et moi savons que le bonheur qui est le nôtre depuis bientôt six ans, c’est d’abord à Philippe que nous le devons. Agun ne l’a jamais oublié et c’est ce qui l’a poussé, quand je suis revenue de ma folle escapade auprès de N, à tout faire pour ma réconciliation avec Philippe et non de suivre ma proposition, que Philippe avait faite d’ailleurs de son côté, d’une officialisation de mon couple avec Agun, une fois le divorce acté avec Philippe
En apparence, tout est revenu à la normale, ma vie s’organisant entre les charges familiales, qui s’étaient accrues avec la naissance d’un quatrième enfant, Alexandre, reconnu par Philippe, et mes « deux » couples, l’officiel, avec Philippe et le saphique, avec Agun, que je rejoignais à chaque fois que je le pouvais, en journée en particulier. Philippe favorise cet équilibre et veille à ce que, de temps en temps, nous puissions donner libre cours à mon hypersexualité et à son candaulisme, tout cela, comme convenu, à son initiative.

Il avait fallu aussi, pendant plusieurs mois, tenir compte de la double vie de Philippe et de sa maîtresse Théodora. Alors que, dans un passé récent, je n’avais pas accepté la moindre rivale et consenti à Philippe la réciprocité des libertés qu’il m’encourageait à prendre, j’avais dû cette fois-ci adopter une toute autre approche. C’est Théodora qui rompra assez rapidement cet équilibre. N’acceptant pas mon retour, surtout comme épouse officielle alors qu’elle était cantonnée, malgré sa maternité, dans le rôle de maîtresse, elle avait fini par demander à Philippe de choisir entre elle et moi. Devant le refus de celui-ci, elle avait décidé de rompre.

AGUN ET LA FEMME DE SA VIE
J’ai longuement parlé d’Agun dans le texte publié sur HDS le 14 novembre 2018 et que j’invite à relire pour mieux comprendre.

A 34 ans, Agun n’avait jamais connu un homme, elle n’était pas bisexuelle mais exclusivement lesbienne. Pour bien comprendre Agun, il faut aussi rappeler que même son expérience avec les femmes était limitée.

En fait, Agun n’a connu, dans sa vie intime, que deux amantes.

Une touriste française, Françoise, l’a initié aux plaisirs saphiques, alors qu’Agun n’avait que 17 ans. Ce fut une révélation pour la jeune fille qui comprit alors qu’elle était lesbienne. Agun fut follement amoureuse de Françoise, femme proche de la quarantaine, qui réussit à lui trouver un travail dans le salon de massage où je devais la rencontrer par la suite. Françoise, qui était mariée et mère de famille,était en secret bisexuelle. Elle entendait bien que sa liaison reste discrète et même secrète. Elle finit par se lasser de la jeune Thaïlandaise, le prétexte de la rupture fut pour Françoise une mutation professionnelle. Agun a été très marquée par cette rupture brutale. Elle l’a vécue comme un abandon, une trahison, car elle avait compris que cette femme n’avait aucun sentiment pour elle.

Courageuse, ayant besoin de travailler pour soutenir sa famille restée au pays, Agun pensa alors qu’elle ne connaitrait jamais le grand amour. Pendant des mois, elle se concentra sur son travail, où elle était très appréciée, refusant toute tentative d’approche, qu’il s’agisse d’hommes, mais aussi de femmes.

Et pourtant, comme je l’ai racontée dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (6) : résistance et dérapages. » paru le 23 décembre 2016, texte que j’ai repris dans le récit publié le 14 novembre 2018, notre rencontre fut un coup de foudre qui a changé la vie d’Agun. Elle ne m’avait jamais vu, mais est tombée immédiatement amoureuse. Elle fit ce jour-là une chose qu’elle n’avait jamais faite jusqu’alors : c’est elle qui prit l’initiative et ce fut un moment merveilleux qui restera dans ma mémoire.

Nous en avons reparlé récemment :
• Agun ma chérie, tu m’as dit qu’entre Françoise et moi, tu n’avais connu personne, que tu n’avais eu aucune relation.

• C’est vrai mon Olga. Ce qu’avait fait Françoise m’avait beaucoup blessé, je n’avais pas envie de recommencer ça.

• Jolie comme tu es, ne me dis pas que d’autres ne t’ont pas dragué ?

• Bien sûr, des hommes et des femmes, mais ça ne m’intéressait pas. Ce qu’ils voulaient, c’était du sexe, c’était couché avec moi. Moi j’avais envie d’autre chose, le grand amour, mais je n’y croyais pas, ou je n’y croyais plus
• Alors pourquoi moi ? Tu ne me connaissais pas !

• C’est vrai. Je t’ai vu et je ne sais pas ce qui s’est passé, je suis tombée immédiatement amoureuse. Tu m’as fascinée.

• Pourtant de jolies femmes, tu as dû en voir souvent dans ce salon. C’est vrai que moi aussi j’ai immédiatement été frappée par ta gentillesse, ton sourire, ta douceur. Et je ne sais pas pourquoi, d’emblée, mes tétons traduisaient mon excitation.

• Tu t’en es même excusée et je me suis permise de te dire «Vous êtes si belle, Madame Olga. Ne vous excusez pas, votre poitrine est si jolie, vous pouvez la montrer sans gêne ». Jamais je n’avais parlé ainsi à une cliente. Ce type de comportement était strictement interdit dans ce salon de massage et pouvait me coûter mon poste.

• Tu m’as examiné des pieds à la tête, t’attardant sur mon pubis et plus longuement sur mes seins. Ce regard, qui me fouillait, provoquait un frisson d’excitation supplémentaire dans mon bas-ventre, mes seins durcissaient, mes mamelons se raidissaient encore plus.

• C’est à ce moment-là que je me suis dit que je te voulais, que tu étais celle que j’attendais. Quel que soit le risque, le prix à payer, je te voulais, j’avais envie de toi comme je n’avais jamais eu envie de personne. A ce moment-là, je ne savais pas que tu étais bisexuelle. Tu aurais pu me repousser, pire te plaindre de mon comportement. Je me suis laissée aller à mon instinct, à mon désir.

• Mon amour, ce jour restera à jamais dans mes souvenirs.

De ce jour date en effet l’amour fou d’Agun pour moi. J’ai raconté dans les récits auxquels je fais référence, notre brève mais intense liaison, les circonstances qui ont amené Agun à rentrer en Thaïlande, notre longue séparation de plus de 9 ans, période au cours de laquelle nous sommes restées en contact. Pendant toutes ces années, Agun fut ma confidente et mon soutien moral, me restant fidèle malgré mes turpitudes et sans même avoir l’espoir de me revoir.

J’ai aussi raconté comment, grâce à Philippe, nous nous sommes retrouvées en 2013 et comment j’ai fait en sorte, par la suite, de la faire revenir auprès de moi, formant avec elle un second couple, aux côtés de mon couple officiel avec Philippe.

J’ai aussi expliqué, dans le texte paru le 6 février 2020 « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (4) » comment Agun a pardonné ma trahison, alors que je l’avais quittée, comme j’avais quitté Philippe, pour rejoindre mon amant N.

C’est d’abord grâce à Agun que j’ai pu retrouver ma place auprès de Philippe et reconstruire ce que j’avais failli détruire définitivement : je renvois sur ce point aux textes suivants :
• « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (5 : la fessée) », paru le 11 mars 2020
• "Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (épilogue et retour au candaulisme)", paru le 18 avril 2020.

Tous ces rappels sont importants pour comprendre ce texte, en ayant à l’esprit qui est Agun pour moi et la force des liens qui nous unissent.

Si aucun lien officiel ne nous unit, Agun et moi, je me dois d’être à la hauteur de son amour et fidèle à ma promesse de ne pas lui faire revivre la déchirure que lui avait infligée Françoise.

PREMIERE COHABITATION
A son retour en France, Agun a vécu quelques semaines chez nous, avant d’avoir son propre appartement.

De là remonte le premier rapprochement entre Philippe et Agun. Agun savait que c’était Philippe qui m’avait encouragé à me rendre en Thaïlande pour la retrouver, puis à la faire revenir en France. Il a beaucoup œuvré pour cela, pour lui permettre de revenir, pour lui trouver un travail et, ensuite, lui trouver un logement non loin de chez nous. Il a tout de suite mis Agun à l’aise, l’intégrant pleinement dans la famille. C’est Philippe qui proposa qu’Agun soit la marraine de notre troisième fille, Sofia.

Il a aussi d’emblée accepté qu’Agun et moi formions, à côté de notre couple officiel, un second couple. Philippe a toujours veillé que nous puissions nous retrouver régulièrement, que je puisse passer des nuits d’amour avec celle que je considère comme ma femme, mon épouse.

Ces quelques semaines de cohabitation à trois étaient nécessaires pour que l’on trouve un appartement pour Agun, qui soit assez proche de chez nous pour que je puisse la rejoindre à chaque fois que c’était possible. Elles furent la première pierre dans la construction des liens qui unissent trois personnes à travers deux couples.

Cette cohabitation imposait des précautions. Philippe avait eu le tact infini de laisser le lit conjugal à Agun, celle-ci me rejoignant une fois que nous étions certains que les enfants dormaient. Nous ne voulions pas courir le risque que les enfants, en particulier la plus grande, ne surprennent leur mère au lit avec marraine Agun. Je me souvenais, des conséquences qu’ont eues sur moi les scènes interdites auxquelles j’ai assistées clandestinement pendant mon adolescence, je ne voulais pas que cela se reproduise et cela ne pouvait donc être durable, quand bien même les filles adorent Agun.J’ai raconté dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: confinée, déconfinée (1) », paru le 10 juillet que des années plus tard, lors du confinement, Agun nous ayant rejoint pendant cette période, ma fille Lucie a compris les relations entre sa mère et Agun. La réaction de ma fille n’a fait que confirmer mes pires craintes, mais ceci est une autre histoire.

Agun, je l’ai dit, n’avait jamais connu d’homme et ne s’était jamais montré nue à un homme. C’est pourquoi il n’était pas question pour elle que Philippe puisse la voir dans l’intimité. Cela s’est produit inévitablement au cours de ces semaines, sans que Philippe ne surprenne Agun volontairement. Je me rappelle qu’Agun en avait été presque traumatisée.

Cela nous a valu un échange tendu avec Philippe, sur un sujet où j’ai toujours refusé toute réciprocité aux libertés qu’il m’accordait.

• Philippe, pourquoi Agun a-t-elle crié ?

• Elle était à la salle de bains, nue. Elle avait oublié de fermer la porte à clés. Je me suis excusée. Mais tu sais, elle est superbe ta chérie. Si elle n’était pas ta femme et une lesbienne exclusive, je m’occuperai volontiers d’elle. Elle aurait besoin de connaitre une étreinte virile.

• Fais attention, tu sais très bien que je n’ai jamais supporté que tu approches d’une autre femme et encore moins que tu aies une relation avec elle.

• Je n’ai pas oublié quand tu nous avais surpris avec Flavienne alors que nous étions en pleins ébats (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple », paru le 28 septembre 2017). J’ai cru ce jour-là que tu allais étrangler Flavienne. Tu étais une vraie furie.

• Je l’aurais fait si tu n’étais pas intervenu, car cette putain me volait mon homme. En tout cas n’approche pas une autre femme, Agun pas plus qu’une autre.

• Ne t’inquiète pas, je plaisantais. Avec Agun, aucun risque, elle n’aime pas les hommes.

Je me suis alors convaincue qu’il fallait qu’Agun abandonne cette phobie et accepte que d’autres que moi puissent la voir dans l’intimité.

J’ai fini par aborder le sujet avec ma chérie, un soir, après de longs ébats où notre science des plaisirs saphiques nous avait laissé épuisées.

• Agun, chaque soir, Philippe nous laisse le lit conjugal pour que nous puissions faire l’amour. Il dort dans la pièce d’â côté pour éviter que les filles puissent nous surprendre.

• Je le sais mon amour et je lui en suis infiniment reconnaissante.

• Le pauvre, depuis que tu es chez nous, je me réserve à toi et la seule chose à laquelle il a droit, est d’entendre, à travers la porte, nos cris de plaisir. Je sais que ça doit l’exciter beaucoup.

• Je sais, Olga, que tu es hypersexuelle et que tu as besoin de faire et souvent l’amour avec des hommes. Je ne t’en empêche pas et de quel droit d’ailleurs ? Qu’est-ce qui t’empêche de faire l’amour avec Philippe ou avec d’autres ? Il en est d’accord et d’ailleurs il adore ça. La seule chose que je te demande, ma chérie, c’est d’être ta seule femme désormais!

• Je te l’ai promis mon Agun. Tu m’as tellement manqué pendant toutes ces années que je suis insatiable de toi. Philippe ne se plaint pas, mais je voudrais lui faire plaisir.

• Que veux-tu dire ?

• Philippe, comme tous les hommes, aime être le témoin d’ébats saphiques, même s’il préfère me voir prise par un mâle.

• Olga, s’il te plait, je ne veux pas qu’on puisse nous voir ensemble. Et je ne veux pas qu’un homme puisse me voir nue.

• Tu es ma femme, Agun et tu m’as promis amour et obéissance, n’est-ce pas ?

• Oui, Olga, je ferai toujours tout ce que tu veux, pourvu que tu m’aimes et ne me quitte jamais.

Triomphante, je me suis levée, dans le plus simple appareil, me rendant dans la pièce d’à côté. Je savais que Philippe ne dormait pas, nos cris de plaisir l’en avaient certainement empêché.

• Viens mon chéri et assieds-toi dans ce fauteuil, comme tu aimes le faire. Je sais que tu vas adorer ce que tu vas voir. Nous allons nous aimer encore, Agun et moi, mais cette fois devant toi, comme deux tribades.

LA PREMIERE FOIS OU JE FIS L’AMOUR A AGUN DEVANT PHILIPPE
Agun se tient devant moi, un sourire légèrement gêné aux lèvres.

Philippe me dépose un baiser tendre sur les lèvres. Il s’assoit sur ce fauteuil qui a souvent été le complice de nos aventures candaulistes.

Philippe nous observe, silencieux, fasciné par notre complicité et notre amour. Ce n’est certes pas la première fois que Philippe me voit faire l’amour avec une femme, mais c’est la première fois qu’il me voit avec Agun. Jusqu’à ce soir-là, ça lui était interdit.

Agun me murmure à l’oreille un mot d’amour. Nous nous sourions et nous échangeons un regard qui en dit long. Ma main caresse maintenant le dos et la naissance des fesses d'Agun.

Nos mains se font aventureuses. J’enlace la taille d'Agun et ma main vagabonde entre sa hanche et la naissance de sa cuisse, pendant que celle d'Agun s'attarde sur mes cuisses.

Contrairement à nos habitudes dans notre couple, Agun est cette fois à l’initiative : ses mains parcourent mes épaules, mes fesses, mes seins. De mon coté, je commence à caresser la poitrine d'Agun.

Agun prend mon visage dans ses mains et dépose sur mes lèvres un long baiser amoureux. En continuant notre long baiser fougueux jusqu’à en perdre le souffle, nous basculons sur le lit. Je m’offre totalement et d’autant plus que Philippe est le témoin de notre amour.

Agun passe la main dans mes cheveux, puis sur ma joue, infiniment tendre. Elle tend les lèvres vers moi. Je lui rends son baiser. J’adore l’embrasser. C’est tellement doux, tellement sensuel. Nos langues de filles se caressent. Un parfum d’interdit flotte dans cette chambre. Un parfum qui m’enivre. Je prends maintenant la bouche de ma belle à pleine bouche, et elle me le rend bien.

Nous oublions presque la présence de Philippe, nous nous embrassons sans retenue, nous nous enlaçons, notre baiser est de plus en plus vif, de plus en plus audacieux. Nos bouches s'ouvrent plus grandes, nos langues s'emmêlent avec passion.

Ses seins insolents pointent vers moi, puis son cul ferme, haut et rebondi. Elle vient se coller à moi. Elle agace doucement mes tétons de sa langue inquisitrice. Nous sommes maintenant toutes les deux, allongées l’une contre l’autre, elle me grimpe dessus. Quel plaisir de sentir ses seins glisser contre ma poitrine, de prendre à pleines mains ses fesses tandis qu’elle me roule des pelles.

Agun sait ce qu’il faut faire pour me rendre folle de désir et de plaisir. Sans plus attendre, elle tend sa bouche vers mon sein gauche. Elle embrasse, léchouille, mordille le sein et le téton, fait de même avec le sein droit. Ses mains se baladent sur mon ventre, mes hanches et mes cuisses. Alors qu’Agun n’a pas encore approché ma chatte ouverte et humide, qui attend ses doigts et sa langue, mon souffle est saccadé. Je ferme les yeux. Je sais que Philippe ne perd pas une miette du spectacle que nous lui offrons. Et sa présence, sa complicité, son assentiment, son excitation, comme toujours, décuplent mon envie et la montée de mon plaisir.

Agun descend le long de mon corps de femme, embrasse mon cou, mes épaules, à nouveau mes petits seins puis mon ventre. La main d'Agun se faufile enfin entre mes jambes et les premières caresses déclenchent des gémissements de plaisirs. Je sais qu’elle va vouloir me lécher, j’en ai très envie. Ça y est, ses lèvres se posent sur mon mont de Vénus, qu’elle embrasse tendrement.

Sa langue vient s’insinuer en haut de ma chatte, pour y trouver mon clito. Sa langue vicieuse va de mon bouton à ma chatte puis revient à nouveau. Je vais défaillir, vite. Un orgasme puissant me monte du ventre jusqu’à toutes les terminaisons nerveuses de mon corps.

Je résiste tant que je peux. Mes yeux mi-clos rencontrent le regard de Philippe. Il ne dit rien, mais je comprends qu’il m’encourage à me laisser aller, à jouir, encore et encore, à lui offrir mon plaisir.

Je me cambre, puis je n’arrive plus à me contrôler. Philippe le comprend. Sans que j’ai besoin de le lui demander, il s’approche et me donne la main.

Au moment où je jouis, j’écrase les doigts de Philippe tellement c’est fort. Pour éviter que mes cris ne réveillent la maison, Philippe prend ma bouche pour un baiser fougueux, à en perdre haleine. En même temps, mes ongles labourent ses épaules, profondément.

Calmée, j’embrasse à pleine bouche Agun, puis Philippe. Nous sommes tous les trois sur le lit. Mon mari et ma femme ont chacun la tête sur une de mes épaules. Je leur dis, les embrassant à tour de rôle, combien je les aime.

Je n’en n’ai pas fini. Cette nuit sera longue. Je veux rendre la pareille à ma chérie. Mais d’abord goûter à ses beaux seins fermes et ronds. J’ai envie de les téter pendant des heures.

Je me pince les lèvres, ferme les yeux et à mon tour j’aventure la main vers la chatte d'Agun, elle aussi commence à soupirer. Mes doigts sont à l'intérieur de la chatte de ma chérie et commence un massage plus long, plus intense.

Agun m’embrasse partout sur mon corps, en présence de Philippe, fasciné. Je ne me contrôle plus. Quel plaisir, quel bonheur! Ses seins caressent les miens pendant qu’elle m’embrasse. Sa main caresse mon sexe. Je suis toute mouillée, mes tétons sont durs... Agun est mouillée aussi, ses seins pointent comme les miens. Sa peau est douce et ses gestes sont d’une tendresse infinie.

A ce moment, je veux montrer à Philippe comment fonctionne mon couple saphique.

• Philippe, mon chéri, il y a un paquet dans la table de nuit. Tu peux le prendre et le donner à Agun.

Philippe me tend le paquet. Je m'adresse à Agun:
• Agun, J’ai une surprise pour toi, ma chérie. Ouvre ce paquet cadeau !

Agun s’exécute et comprend. Il s’agit d’un gode ceinture noir, particulièrement réaliste. Nous en avons d’autres, nous pratiquons cela régulièrement, car j’aime la prendre et qu’elle se comporte en femme, qui s’offre à la virilité de son mari, c’est-à-dire à moi Mais celui-ci, avec ses 25 centimètres, était le plus long et le plus gros que j’avais utilisé avec elle jusqu’alors.

Agun se met sur le dos face à moi et me dit :
• Vas-y, fais-moi l’amour.

• Je vais te baiser, te défoncer, petite salope et devant mon mari. Tu es ma femme. Tu veux ?

• Oui, mon amour, je veux !

Agun serre la ceinture autour de moi. Je suis folle de désir.

Philippe m’encourage :
• Baise-la !

Je m’exécute de suite. J’enfonce d’abord doucement le gode dans le sexe d’Agun. Il rentre très facilement vu son excitation.

J’accélère le mouvement, tout en lui léchant les seins. Elle crie, elle hurle de plaisir.

J’enfonce alors mon faux sexe dans la chatte d’Agun en un seul coup. Celle-ci crie de stupeur, elle ne s’attendait pas à être pénétrée de la sorte.

• Doucement chérie.

Agun, malgré nos pratiques régulières, n’était pas habituée à un tel calibre ni à une telle brutalité. Des larmes brillent dans ses jolis yeux, mais, désireuse de ne pas s’opposer à mon désir, elle se laisse faire.

• Un jour, tu t’en prendras une vraie ! Tu verras comme c’est bon !

Je me mets à limer sans discontinuer la chatte d’Agun. Celle-ci s’étant bien vite tue. Maintenant, j’entends uniquement ses gémissements. Elle apprécie ce que je lui fais.

Je me mets à mon tour sur le dos et elle s’empale sur moi. Elle se met à me chevaucher, à chevaucher mon cadeau... Ses seins ondulent en même temps qu’elle bouge. Agun est si belle quand son regard, son visage expriment sa jouissance.

Je demande à Agun de se mettre à genoux pour que je puisse la prendre en levrette. J’accélère de toutes mes forces le mouvement. Je la pénètre violemment en m’aidant de mes mains pour la tenir par les fesses. Je lui donne de temps en temps de petites claques sur ses fesses. Agun est à moi et cela me fait à mon tour grimper au septième ciel.

PREMIER "TRIO"
Cette soirée-là fut particulièrement chaude, comme une récompense pour Philippe. Agun et moi nous fîmes tout ce que deux femmes pouvaient faire ensemble : caresses et baisers fougueux, cunnilingus, ciseaux, gode double, doigtage allant jusqu’au fist-fucking. Nous étions insatiables et Ce fut une longue nuit de plaisir.

Philippe ne se contenta pas de mater nos ébats, ou encore de tenir ma main quand je prenais mon pied ou de m’embrasser pour étouffer mes cris de plaisir.

Il méritait davantage. Je voulais qu’il participe.

Je l’ai appelé près de moi, car je voulais partager mon corps entre mon mari et ma femme. J’ai senti l’inquiétude d’Agun :
• Chérie, je te l’ai promis, il ne te touchera pas. Mais j’ai envie de lui comme j’ai envie de toi.

Ce fut une merveille, d’être embrassée par l’un, puis par l’autre, d’avoir quatre mains et deux bouches qui ne me laissaient aucun moment de répit.

J’avais déjà baisé avec deux hommes et davantage et donc ce n’était pas la première fois qu’une langue s’occupait du téton gauche, pendant qu’une autre langue s’occupait du téton droit.

Mais je dois dire que ce fut unique, exceptionnel, quand Philippe et Agun se sont relayés pour m’offrir un cunnilingus d’enfer que je ne suis pas prête d’oublier, ne me laissant aucun répit, allant même jusqu’à pratiquer en même temps, leurs langues à quelques millimètres l’une de l’autre, sans que cela n’aille plus loin, leur seule préoccupation étant mon plaisir.

J’ai aussi demandé à Philippe de se vider dans ma bouche pendant qu’Agun me faisait jouir. Et, à la fin de la nuit, avant qu’épuisés, nous nous endormions ensemble dans le même lit, Philippe m’a prise, Agun restant à mes côtés pour m’embrasser et me caresser. Je voulais qu’elle soit, à son tour, le témoin de mon plaisir.

Philippe sut trouver les ressources pour me prendre longuement, sous diverses positions. Il devait avoir envie de montrer à Agun que lui aussi était capable de me faire mourir de plaisir.

Entre deux baisers fougueux à Agun, je commentais pour celle-ci la montée de mon plaisir :
• Oh Philippe, mon amour, vas-y mon chéri, démonte-moi. Agun, ma chérie, tu ne peux pas savoir comme c’est bon. J’aimerai qu’un jour tu connaisses ce plaisir !

Le lendemain, quand nous avions repris nos esprits, Agun me dit combien elle avait aimé cette soirée, mais ajouta immédiatement qu’elle n’avait pas changé d’avis en ce qui concerne ses relations avec les hommes.

Pour le moment, j’avais décidé de ne pas insister, ligne de conduite que j’ai suivie jusqu’aux événements liés à mon escapade avec N.

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Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: Agun, Philippe et moi
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