Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (5 : la
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (5 : la
J’ai déjà publié quatre textes sur ma relation adultère avec N et ses conséquences : le 27 octobre, le 25 novembre, le 7 janvier et le 6 février.
EN COUPLE AVEC AGUN
Dans mon texte du 6 février, j’ai parlé de mes retrouvailles avec Agun. Elles avaient été particulièrement chaudes.
Depuis ce jour-là, nous vivions en couple. Nous étions aussi amoureuses que lors de notre première rencontre, 13 ans auparavant. Nos nuits étaient courtes, nous dormions peu, insatiables l’une de l’autre, voulant rattraper le temps perdu et moi cherchant sans doute à faire oublier mon comportement, même si Agun ne demandait rien de tel. Nos caresses, nos baisers, nos ébats nous avaient tant manqué. Nous savions ce que l’autre aimait, comment la mener à la jouissance. Contrairement à ce qui s’était passé le jour de nos retrouvailles, j’avais désormais retrouvé auprès d’Agun mon rôle « dirigeant » dans nos ébats, de celle qui prend les initiatives.
Agun devait être bien fatiguée en se rendant à son travail, mais elle était heureuse de ce bonheur retrouvé. De mon côté, je pouvais me reposer en journée, en attendant le retour de ma compagne. Je me retrouvais dans une position étrange, celle d’une femme entretenue par Agun. J’essayais de retrouver du travail, mais ça s’avérait très compliqué, compte tenu de mon âge (40 ans) et après plus de 15 ans d’inactivité. Il y avait bien eu la tentative faite un peu plus de deux ans auparavant et qui s’était avérée désastreuse, me poussant à démissionner au bout de quelques mois (voir : « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau. », paru le 29 novembre 2018). Mon ancien chef, Denis, que j’avais quitté très fâché, n’aurait certainement pas dit grand bien de moi si j’avais donné cette référence. J’acceptais mal le fait de vivre aux crochets d’Agun, même en sachant que nous sommes un couple, que je lui donnais tout mon amour et prenais soin d’elle, me comportant déjà en parfaite femme d’intérieur.
L’INTRANSIGEANCE DE PHILIPPE
Depuis mon retour, Philippe avait refusé catégoriquement de me parler et avait fait savoir qu’il n’accepterait pas que je revienne au domicile conjugal. Je ne me plaignais pas, sachant combien je l’avais blessé et pensant que tout cela était hélas irréversible.
Il ne s’opposait évidemment pas à ce que je puisse revoir les enfants, mais avait demandé que ce soit en présence d’Agun et en évitant tout contact avec moi.
Les choses étaient très dures, je dirai même douloureuses.
Mon ainée, Lucie, âgée alors de 8 ans, refusait de me voir et quand Agun et Philippe ont fini par la convaincre, elle ne voulut pas que je l’approche et me dit qu’elle me détestait. Il aura fallu par la suite du temps et du travail pour que nous retrouvions des relations normales entre mère et fille. Ce soir là, j’ai beaucoup pleuré dans les bras d’Agun, je lui disais que j’avais tout gâché et que, sans elle, j’aurais voulu mourir.
C’était encore plus compliqué avec Hassan, qui avait repris la garde de notre ma seconde fille, Leila, âgée de 6 ans. Il refusait absolument tout contact entre elle et moi. Je refusais pour le moment les procédures que me conseillait d’engager mon avocat, pour faire respecter mon droit de visite.
Les choses étaient différentes avec la dernière de mes filles, Sofia, qui n’avait que 4 ans, qui me donnait tant de bonheur en me couvrant de bisous, mais qui comprenait mal pourquoi je ne restais pas avec elle. Quand je m’en allais, avant le retour de Philippe, comme nous en étions convenus, ses larmes me brisaient aussi le cœur.
Malgré tout l’amour d’Agun, j’étais donc sévèrement punie pour toutes mes fautes et profondément malheureuse pour le mal que j’avais fait autour de moi, surtout à mes enfants.
Philippe était intransigeant : il voulait le divorce, mais aussi la garde de nos deux filles. Hassan avait la même position en ce qui concerne la garde de la petite Leila.
Agun, avec sa douceur et son amour sans limites pour moi, tentait en vain d’amadouer Philippe.
• Philippe, Olga est bien consciente que cette fois, elle a été trop loin. Tu sais, elle t’aime, tu es et reste l’homme de sa vie.
• Le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne l’a pas beaucoup montré depuis l’été dernier. Pas davantage qu’elle s’est comportée comme une mère quand elle les a abandonnés pour rejoindre son amant.
• Je t’en supplie, donnes-lui une chance !
• Je sais comment s’est passée sa rencontre avec Lucie. La petite m’en a parlé. Je n’ai pourtant jamais dénigré Olga auprès d’elle. Et pourtant, elle m’a dit qu’elle la déteste, qu’elle ne veut plus la revoir, qu’elle ne veut pas qu’elle revienne à la maison. Dans un divorce, la mère a presque toujours la garde des enfants. Dans son cas, ça sera différent. Je demanderai la garde de Lucie et de Sofia. Et que le doit de visite soit très encadré.
• Je ne te savais pas si cruel. Philippe, Olga est une mère.
• Et bien, elle aura l’enfant que lui a fait son maquereau. N’insiste pas Agun, j’irai au bout de ce divorce. C’est fini.
• Tu as pensé à ce qu’elle deviendra ? Tu sais bien qu’elle aura beaucoup de mal à retrouver un travail.
• Elle ne le mérite pas, mais je suis prêt à lui proposer une pension alimentaire.
• Elle m’a dit qu’elle n’en voulait pas, elle aurait trop honte.
• De toute façon, elle n’est pas seule. Tu es là. Tu l’aimes, vous vivrez ensemble. Quand elle sera divorcée, tu l’épouseras.
• Tu sais bien que je suis déjà la femme d’Olga. Elle m’a en effet proposé, une fois divorcée, qu’on se marie, parce qu’elle est convaincue que tu ne pardonneras pas. Je serai la femme la plus heureuse au monde, mais je sais que ce n’est pas ce qu’il faut pour elle, pour les enfants, pour toi. J’aime Olga depuis le jour où je l’ai rencontrée et je l’aimerai toute ma vie, je n’ai pas besoin d’un mariage pour ça.
• Ce n’est pas mon affaire. C’est à vous d’en décider. Je pense que tu es la seule qui peut l’apaiser, peut-être même éviter ses excès. Ensemble vous élèverez cet enfant.
• Cet enfant a besoin d’un père et le meilleur père c’est toi.
• Désolé, cette fois, je n’assumerai pas.
• Tu oublies que les autres fois, c’est toi qui l’avait poussé vers les pires excès.
• Tu as raison, mais cette fois c’est autre chose : ce n’était pas du candaulisme, mais un adultère, pire, une trahison. Je sais, elle m’a trompé si souvent, mais c’était différent, je l’avais voulu, j’étais le témoin, le complice de son plaisir et j’ai adoré ça. Ce qui s’est passé change tout.
• Tu ne lui as pas pardonné sa réaction lors de la découverte de ta liaison avec Ambre (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisir et jalousie », publié le 5 juillet 2018)
• Elle avait réagi très violement et avait exigé que je rompe brutalement avec cette fille. Oui je n’ai pas oublié ça. « Faites ce que je dis et pas ce que je fais », ça suffit maintenant !
• Tu ne veux pas écouter aujourd’hui, mais je ne renoncerai pas tant que vous ne serez pas de nouveau ensemble. Je veux te voir la baiser. Je sais que tu as toujours envie d’elle et c’est d’ailleurs pour ne pas céder à la tentation que tu refuses de la voir.
• Ton amour pour Olga est infini, Agun. C’est admirable, mais tu perds ton temps : c’est non !
LA FESSEE
Je connaissais l’opiniâtreté d’Agun, mais elle ne pouvait pas me mentir : la situation paraissait bloquée, le divorce inévitable, la catastrophe était annoncée.
Ma mère avait elle aussi essayé de plaider ma cause auprès de Philippe. En vain.
Je décidais alors de tenter le tout pour le tout, de forcer le destin. Agun s’était soigneusement renseignée pour la date de l’opération. Nous avions mis Christine dans la confidence, qui avait obtenu de Philippe de prendre quelques jours les filles chez elle, lors de vacances scolaires. Philippe était à la maison, seul, sa maitresse Théodora étant rentrée quelques semaines au pays pour régler ses propres affaires.
Comme pour Agun, j’avais toujours les clés de la maison de Philippe. Je suis arrivée le soir, assez tard pour que personne ne puisse me voir. Je n’ai pas cherché à rentrer, ça aurait été la dernière chose à faire. Je n’ai pas sonné. J’avais choisi de porter une de ces tenues sexy qu’il affectionne, un tailleur échancré, un chemisier clair sous lequel je ne portais pas de soutien-gorge, une jupe courte. Je me suis installée devant la porte, en boule et j’ai attendu. Nous étions au printemps et, malgré mon imperméable, j’avais froid. Il s’est passé de longues heures, pendant lesquels j’ai longuement réfléchi à mon parcours, où j’avoue avoir prié et pleuré. J’ai fini par m’endormir vers le matin et j’ai été réveillée quand la porte s’est ouverte. C’était Philippe qui s’apprêtait à sortir pour aller à son travail.
Je me suis levée, je n’ai rien dit, j’ai baissé les yeux et je me suis mise à genoux, en disant simplement « pardon »
• Qu’est-ce que tu fais là ? Vas-t’en ! Je t’ai dit que je ne voulais plus te voir, tu as compris ?
Son visage était emprunt de colère, son regard était dur. Il me prit assez brutalement par le bras, pour me chasser. Il me faisait mal, mais je ne disais rien.
J’ai alors voulu m’approcher pour me jeter dans ses bras, pour qu’il sente mon désir. Je voulais prendre ses lèvres. Il détourna la tête, pour éviter mon baiser, et me repoussa assez vivement.
• Ah non ! Pas ça !
C’est alors qu’est partie une première gifle, puis une seconde. Elles étaient violentes et exprimaient sa colère, lui qui n’avait jamais levé la main sur moi.
• Pardon, je n’aurais pas dû !
• Si, tu as bien fait. Je te le demande, donne-moi la correction que je mérite, pourvu que je retrouve une place auprès de toi.
Ce jour-là, Philippe aurait pu faire de moi ce qu’il voulait. Son regard exprimait sa colère, mais aussi son désir. Il me déshabillait du regard. Le connaissant bien, il ne m’avait pas échappé qu’il bandait. Quoiqu’il en dise, je ne lui étais pas indifférente, il avait toujours envie de moi. Je savais que le chemin serait encore long et que je devais être prudente dans mes initiatives. Je me taisais donc, baissant toujours les yeux en signe de soumission.
• Je sais ce que tu veux, que je te baise et tu espères que ça soldera les comptes. Ne te fais aucune illusion, je ne te toucherai pas, tu me dégoutes trop. Par contre, te donner une bonne correction, après tout pourquoi pas, tu ne l’as pas volée !
Il me prit par la main et me fit entrer sans ménagement dans l’appartement, me conduisant dans le salon. Il s’installa sur le canapé.
• Enlève ta jupe et viens. Couche-toi sur mes genoux !
Il descendit ma culotte.
Je sais ce qui m’attend et j’en ai envie, il sait bien que j’aime ça. Je suis excitée, ma chatte est trempée, mes tétons sont durs.
Philippe m’attrape par le bras et me couche sur ses genoux. Je sens contre moi sa formidable érection. Je résiste difficilement à la tentation, j’ai envie de toucher cette queue que j’adore, de la branler, de la prendre en bouche, je voudrais tant le pomper, qu’il se vide dans ma bouche, qu’il me baise. Je sais qu’en essayant de faire ça, je gâcherai tout, que je dois lui laisser entièrement l’initiative.
Il commence la fessée, d’abord doucement puis accélère le rythme et la force des claques.
Devant cette avalanche, je ne peux me contenir. Si je parviens à ne pas crier, je pleure à gros sanglots et en même temps mon excitation augmente.
J’aimerais tant me doigter et branler mon clito, alors que le bruit des claques résonne dans ma tête. Je devais me contenter de me frotter sur sa cuisse, alors qu’est si proche cette queue qui comblerait mon désir.
Je sens mon derrière brûler. Je halète alors que Philippe s’acharne. Sa main tombe inlassablement, parfois en alternant une fesse puis l’autre, parfois en séries rapides sur chacune de mes fesses sans négliger le pli fessier si sensible.
Il continue, plus lentement mais tout aussi fort. Entre chaque claque, il pose sa main sur mes fesses qui commencent à être chaudes. Il répartit bien ses claques sur toute la surface, descendant jusqu’au haut des cuisses. Au fur et à mesure que mon cul rougit, j’écarte les cuisses.
• Oh Philippe, oui, punis ta putain. Vas-y mon chéri, plus fort, je le mérite ! Encore !
Mes paroles eurent pour effet qu’il me fessa encore plus fort :
• Tu es un démon !
• Je sais, je suis une salope. Ta salope ! Punis-moi, mon chéri. Vas-y ! Oh je vais jouir !
Jamais Philippe ne s’était comporté ainsi. Je découvrais un autre homme et il réagissait comme je le voulais, avec fermeté et virilité.
Après plusieurs séries, il s’arrête enfin, au moment même où je jouis, me laissant inerte sur ses genoux, avec les fesses en feu.
Il n’y avait pas été de main morte et je m’en souviendrai quelques jours.
J’aurais voulu que ces jeux, que nous avons toujours pratiqués, continuent, aillent plus loin. Je n’osais pas lui demander, mais j’aurais voulu la cravache car je n’étais pas apaisée. J’aurais surtout voulu qu’il me prenne, qu’il me baise.
Philippe ne répondit pas à mes attentes, voulant sans doute ne pas entrer davantage dans mon jeu et craignant de perdre le contrôle de la situation. Il m’a dit par la suite qu’il avait eu terriblement envie de moi et avait dû faire un immense effort pour ne pas me baiser.
• Ca suffit maintenant, tu as eu ce que tu voulais et ça m’a fait du bien aussi. Maintenant, remets ta culotte et ta jupe et tu dégages. Ne t’imagine pas que j’ai changé d’avis le moins du monde en ce qui te concerne. Mon avocat appellera le tien pour qu’on en finisse.
Malgré mon désir, mon instinct me disait de ne pas insister. Cette mémorable fessée était un premier pas, je le pressentais.
Je devais être patiente car je savais qu’il serait de nouveau tenté par tous les jeux qu’il pouvait pratiquer avec moi et ne retrouvait certainement pas auprès de sa maîtresse. Il me mit dehors sans ménagement, sans un mot ni un geste de tendresse, refusant à nouveau un baiser.
Je fis un compte-rendu complet à Agun, qui, en mettant du baume, fut impressionnée par l’état de mes fesses :
• Et ben dis-donc il n’y est pas allé de main morte !
• Il bandait et je sais qu’il me désire toujours. Rien que le fait qu’il ait posé les mains sur moi, même pour me donner la fessée de ma vie, j’ai adoré. Je ferai tout pour reprendre ma place à ses côtés. Aïe, vas-y doucement chérie avec la pommade, ça me brule.
• Mon pauvre amour, cette brute t’a mise dans un bel état !
• J’ai pris mon pied tu sais. Il faut arriver à le convaincre d’aller plus loin.
LA CLE DU CANDAULISME
Philippe est candauliste et ce fantasme il ne l’a réalisé qu’avec moi.
Ses autres compagnes avaient refusé de lui accorder le plaisir d’être le témoin de leur plaisir avec un autre homme. C’est même ce refus qui a provoqué, par deux fois, la rupture entre lui et Flavienne, laquelle pensait pourtant l’avoir reconquis à mes dépends, alors que j’étais la maitresse d’Hassan (voir en particulier « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple. » publié le 28 septembre 2017 et « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (34) : adultère… avec Philippe. », publié le 7 octobre 2017).
Or Agun avait réussi à savoir qu’il en était de même avec Théodora, la maîtresse de Philippe qui, malgré les demandes de celui-ci, refusait fermement de « faire ça ».
Agun et Philippe étaient, au fil des années, devenues très proches. Philippe avait fini par avouer combien ça lui manquait, à lui le candauliste, de voir sa femme lui offrir le spectacle de son plaisir avec d’autres hommes. Et il reconnut que seulement moi lui avait permis de réaliser, au-delà de toutes ses espérances, ce fantasme qui était si présent chez lui. Ce fût ma femme, ma compagne et mon mari, qui alors qu’il s’apprêtait à divorcer, qui furent complice d’une séance décisive qui a permis de recoller les morceaux.
• Philippe, pourquoi tu te prives d’une telle femme ? La seule qui t’a permis de satisfaire ton candaulisme.
• Parce qu’elle m’a trahi en tombant à nouveau amoureuse d’un autre. Parce qu’elle a abandonné ses enfants pour cet homme. Parce qu’elle a été jusqu’à lui offrir ce qui m’était réservé, sa dernière grossesse.
• On ne peut pas effacer le passé. Mais crois-moi, elle a compris la leçon et elle est prête désormais à s’en remettre complètement à toi. Il n’y aura plus d’écart. Je ne l’accepterai d’ailleurs pas moi non plus.
• J’avoue que ça me manque de la voir se faire baiser devant moi. Et je t’avoue que l’autre jour, quand je lui ai mis cette mémorable fessée, j’ai du faire un immense effort sur moi pour en rester là. Je crevais d’envie de la baiser.
• Alors, laisse-toi tenter. Organise les choses, tu verras comme elle te sera obéissante désormais. A partir du moment où, de temps en temps, tu lui offres ce plaisir dont elle a besoin, en ta présence et sous ton contrôle, tu répondras aux besoins de son hypersexualité et à tes envies de candaulisme.
• Tu es très particulière, Agun. Ca fait des semaines que tu te bats pour que je pardonne à Olga, alors que je me suis juré de ne pas passer l’éponge. C’est contre ton intérêt car, en cas de divorce, Olga n’avait plus d’autre choix que d’officialiser son couple avec toi. Pourquoi tu as fait ça ?
• Je te l’ai déjà dit : parce que j’aime Olga à la folie et que je veux son bonheur. Ce bonheur, j’en fais partie, mais il repose aussi sur sa famille, donc sur ses enfants et sur toi.
• Tu avais pourtant l’occasion de l’avoir pour toi toute seule. De l’épouser.
• Olga est notre femme, à toi et à moi. Autant je serais folle de l’imaginer dans les bras d’une autre femme, autant j’ai envie de la voir dans les tiens et soumise à ce que tu pourras organiser pour son plaisir et le tien.
• Je vais réfléchir à tout ça et je reviendrai vers toi pour te dire ce que j’ai prévu et qui me fera décider de reprendre ou non la vie commune avec Olga.
Agun était triomphante quand elle vint me rapporter cette conversation. Je mesurais d’où je revenais, je n’étais pas passée loin de la catastrophe qu’aurait représenté pour moi et notre famille une rupture définitive avec Philippe.
• J’attends ce qu’il va organiser. Je suis impatiente et excitée. Et je ne le décevrai pas. Sans toi, rien n’aurait été possible. Tu ne peux pas imaginer comme je t’aime, mon Agun.
Ce soir-là, Agun et moi, nous avons fait l’amour avec passion. Pour la première fois depuis des mois, j’étais pleinement heureuse, soulagée de savoir que j’allais retrouver Philippe et les enfants, même si rien n’était encore fait.
Le candaulisme, qui avait fragilisé notre couple et si souvent menacé sa pérennité, allait cette fois paradoxalement permettre de le reconstruire. J’attendais ce que Philippe avait préparé et j’entendais bien me montrer à la hauteur de ses envies.
(à suivre : retour au candaulisme)
EN COUPLE AVEC AGUN
Dans mon texte du 6 février, j’ai parlé de mes retrouvailles avec Agun. Elles avaient été particulièrement chaudes.
Depuis ce jour-là, nous vivions en couple. Nous étions aussi amoureuses que lors de notre première rencontre, 13 ans auparavant. Nos nuits étaient courtes, nous dormions peu, insatiables l’une de l’autre, voulant rattraper le temps perdu et moi cherchant sans doute à faire oublier mon comportement, même si Agun ne demandait rien de tel. Nos caresses, nos baisers, nos ébats nous avaient tant manqué. Nous savions ce que l’autre aimait, comment la mener à la jouissance. Contrairement à ce qui s’était passé le jour de nos retrouvailles, j’avais désormais retrouvé auprès d’Agun mon rôle « dirigeant » dans nos ébats, de celle qui prend les initiatives.
Agun devait être bien fatiguée en se rendant à son travail, mais elle était heureuse de ce bonheur retrouvé. De mon côté, je pouvais me reposer en journée, en attendant le retour de ma compagne. Je me retrouvais dans une position étrange, celle d’une femme entretenue par Agun. J’essayais de retrouver du travail, mais ça s’avérait très compliqué, compte tenu de mon âge (40 ans) et après plus de 15 ans d’inactivité. Il y avait bien eu la tentative faite un peu plus de deux ans auparavant et qui s’était avérée désastreuse, me poussant à démissionner au bout de quelques mois (voir : « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau. », paru le 29 novembre 2018). Mon ancien chef, Denis, que j’avais quitté très fâché, n’aurait certainement pas dit grand bien de moi si j’avais donné cette référence. J’acceptais mal le fait de vivre aux crochets d’Agun, même en sachant que nous sommes un couple, que je lui donnais tout mon amour et prenais soin d’elle, me comportant déjà en parfaite femme d’intérieur.
L’INTRANSIGEANCE DE PHILIPPE
Depuis mon retour, Philippe avait refusé catégoriquement de me parler et avait fait savoir qu’il n’accepterait pas que je revienne au domicile conjugal. Je ne me plaignais pas, sachant combien je l’avais blessé et pensant que tout cela était hélas irréversible.
Il ne s’opposait évidemment pas à ce que je puisse revoir les enfants, mais avait demandé que ce soit en présence d’Agun et en évitant tout contact avec moi.
Les choses étaient très dures, je dirai même douloureuses.
Mon ainée, Lucie, âgée alors de 8 ans, refusait de me voir et quand Agun et Philippe ont fini par la convaincre, elle ne voulut pas que je l’approche et me dit qu’elle me détestait. Il aura fallu par la suite du temps et du travail pour que nous retrouvions des relations normales entre mère et fille. Ce soir là, j’ai beaucoup pleuré dans les bras d’Agun, je lui disais que j’avais tout gâché et que, sans elle, j’aurais voulu mourir.
C’était encore plus compliqué avec Hassan, qui avait repris la garde de notre ma seconde fille, Leila, âgée de 6 ans. Il refusait absolument tout contact entre elle et moi. Je refusais pour le moment les procédures que me conseillait d’engager mon avocat, pour faire respecter mon droit de visite.
Les choses étaient différentes avec la dernière de mes filles, Sofia, qui n’avait que 4 ans, qui me donnait tant de bonheur en me couvrant de bisous, mais qui comprenait mal pourquoi je ne restais pas avec elle. Quand je m’en allais, avant le retour de Philippe, comme nous en étions convenus, ses larmes me brisaient aussi le cœur.
Malgré tout l’amour d’Agun, j’étais donc sévèrement punie pour toutes mes fautes et profondément malheureuse pour le mal que j’avais fait autour de moi, surtout à mes enfants.
Philippe était intransigeant : il voulait le divorce, mais aussi la garde de nos deux filles. Hassan avait la même position en ce qui concerne la garde de la petite Leila.
Agun, avec sa douceur et son amour sans limites pour moi, tentait en vain d’amadouer Philippe.
• Philippe, Olga est bien consciente que cette fois, elle a été trop loin. Tu sais, elle t’aime, tu es et reste l’homme de sa vie.
• Le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne l’a pas beaucoup montré depuis l’été dernier. Pas davantage qu’elle s’est comportée comme une mère quand elle les a abandonnés pour rejoindre son amant.
• Je t’en supplie, donnes-lui une chance !
• Je sais comment s’est passée sa rencontre avec Lucie. La petite m’en a parlé. Je n’ai pourtant jamais dénigré Olga auprès d’elle. Et pourtant, elle m’a dit qu’elle la déteste, qu’elle ne veut plus la revoir, qu’elle ne veut pas qu’elle revienne à la maison. Dans un divorce, la mère a presque toujours la garde des enfants. Dans son cas, ça sera différent. Je demanderai la garde de Lucie et de Sofia. Et que le doit de visite soit très encadré.
• Je ne te savais pas si cruel. Philippe, Olga est une mère.
• Et bien, elle aura l’enfant que lui a fait son maquereau. N’insiste pas Agun, j’irai au bout de ce divorce. C’est fini.
• Tu as pensé à ce qu’elle deviendra ? Tu sais bien qu’elle aura beaucoup de mal à retrouver un travail.
• Elle ne le mérite pas, mais je suis prêt à lui proposer une pension alimentaire.
• Elle m’a dit qu’elle n’en voulait pas, elle aurait trop honte.
• De toute façon, elle n’est pas seule. Tu es là. Tu l’aimes, vous vivrez ensemble. Quand elle sera divorcée, tu l’épouseras.
• Tu sais bien que je suis déjà la femme d’Olga. Elle m’a en effet proposé, une fois divorcée, qu’on se marie, parce qu’elle est convaincue que tu ne pardonneras pas. Je serai la femme la plus heureuse au monde, mais je sais que ce n’est pas ce qu’il faut pour elle, pour les enfants, pour toi. J’aime Olga depuis le jour où je l’ai rencontrée et je l’aimerai toute ma vie, je n’ai pas besoin d’un mariage pour ça.
• Ce n’est pas mon affaire. C’est à vous d’en décider. Je pense que tu es la seule qui peut l’apaiser, peut-être même éviter ses excès. Ensemble vous élèverez cet enfant.
• Cet enfant a besoin d’un père et le meilleur père c’est toi.
• Désolé, cette fois, je n’assumerai pas.
• Tu oublies que les autres fois, c’est toi qui l’avait poussé vers les pires excès.
• Tu as raison, mais cette fois c’est autre chose : ce n’était pas du candaulisme, mais un adultère, pire, une trahison. Je sais, elle m’a trompé si souvent, mais c’était différent, je l’avais voulu, j’étais le témoin, le complice de son plaisir et j’ai adoré ça. Ce qui s’est passé change tout.
• Tu ne lui as pas pardonné sa réaction lors de la découverte de ta liaison avec Ambre (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisir et jalousie », publié le 5 juillet 2018)
• Elle avait réagi très violement et avait exigé que je rompe brutalement avec cette fille. Oui je n’ai pas oublié ça. « Faites ce que je dis et pas ce que je fais », ça suffit maintenant !
• Tu ne veux pas écouter aujourd’hui, mais je ne renoncerai pas tant que vous ne serez pas de nouveau ensemble. Je veux te voir la baiser. Je sais que tu as toujours envie d’elle et c’est d’ailleurs pour ne pas céder à la tentation que tu refuses de la voir.
• Ton amour pour Olga est infini, Agun. C’est admirable, mais tu perds ton temps : c’est non !
LA FESSEE
Je connaissais l’opiniâtreté d’Agun, mais elle ne pouvait pas me mentir : la situation paraissait bloquée, le divorce inévitable, la catastrophe était annoncée.
Ma mère avait elle aussi essayé de plaider ma cause auprès de Philippe. En vain.
Je décidais alors de tenter le tout pour le tout, de forcer le destin. Agun s’était soigneusement renseignée pour la date de l’opération. Nous avions mis Christine dans la confidence, qui avait obtenu de Philippe de prendre quelques jours les filles chez elle, lors de vacances scolaires. Philippe était à la maison, seul, sa maitresse Théodora étant rentrée quelques semaines au pays pour régler ses propres affaires.
Comme pour Agun, j’avais toujours les clés de la maison de Philippe. Je suis arrivée le soir, assez tard pour que personne ne puisse me voir. Je n’ai pas cherché à rentrer, ça aurait été la dernière chose à faire. Je n’ai pas sonné. J’avais choisi de porter une de ces tenues sexy qu’il affectionne, un tailleur échancré, un chemisier clair sous lequel je ne portais pas de soutien-gorge, une jupe courte. Je me suis installée devant la porte, en boule et j’ai attendu. Nous étions au printemps et, malgré mon imperméable, j’avais froid. Il s’est passé de longues heures, pendant lesquels j’ai longuement réfléchi à mon parcours, où j’avoue avoir prié et pleuré. J’ai fini par m’endormir vers le matin et j’ai été réveillée quand la porte s’est ouverte. C’était Philippe qui s’apprêtait à sortir pour aller à son travail.
Je me suis levée, je n’ai rien dit, j’ai baissé les yeux et je me suis mise à genoux, en disant simplement « pardon »
• Qu’est-ce que tu fais là ? Vas-t’en ! Je t’ai dit que je ne voulais plus te voir, tu as compris ?
Son visage était emprunt de colère, son regard était dur. Il me prit assez brutalement par le bras, pour me chasser. Il me faisait mal, mais je ne disais rien.
J’ai alors voulu m’approcher pour me jeter dans ses bras, pour qu’il sente mon désir. Je voulais prendre ses lèvres. Il détourna la tête, pour éviter mon baiser, et me repoussa assez vivement.
• Ah non ! Pas ça !
C’est alors qu’est partie une première gifle, puis une seconde. Elles étaient violentes et exprimaient sa colère, lui qui n’avait jamais levé la main sur moi.
• Pardon, je n’aurais pas dû !
• Si, tu as bien fait. Je te le demande, donne-moi la correction que je mérite, pourvu que je retrouve une place auprès de toi.
Ce jour-là, Philippe aurait pu faire de moi ce qu’il voulait. Son regard exprimait sa colère, mais aussi son désir. Il me déshabillait du regard. Le connaissant bien, il ne m’avait pas échappé qu’il bandait. Quoiqu’il en dise, je ne lui étais pas indifférente, il avait toujours envie de moi. Je savais que le chemin serait encore long et que je devais être prudente dans mes initiatives. Je me taisais donc, baissant toujours les yeux en signe de soumission.
• Je sais ce que tu veux, que je te baise et tu espères que ça soldera les comptes. Ne te fais aucune illusion, je ne te toucherai pas, tu me dégoutes trop. Par contre, te donner une bonne correction, après tout pourquoi pas, tu ne l’as pas volée !
Il me prit par la main et me fit entrer sans ménagement dans l’appartement, me conduisant dans le salon. Il s’installa sur le canapé.
• Enlève ta jupe et viens. Couche-toi sur mes genoux !
Il descendit ma culotte.
Je sais ce qui m’attend et j’en ai envie, il sait bien que j’aime ça. Je suis excitée, ma chatte est trempée, mes tétons sont durs.
Philippe m’attrape par le bras et me couche sur ses genoux. Je sens contre moi sa formidable érection. Je résiste difficilement à la tentation, j’ai envie de toucher cette queue que j’adore, de la branler, de la prendre en bouche, je voudrais tant le pomper, qu’il se vide dans ma bouche, qu’il me baise. Je sais qu’en essayant de faire ça, je gâcherai tout, que je dois lui laisser entièrement l’initiative.
Il commence la fessée, d’abord doucement puis accélère le rythme et la force des claques.
Devant cette avalanche, je ne peux me contenir. Si je parviens à ne pas crier, je pleure à gros sanglots et en même temps mon excitation augmente.
J’aimerais tant me doigter et branler mon clito, alors que le bruit des claques résonne dans ma tête. Je devais me contenter de me frotter sur sa cuisse, alors qu’est si proche cette queue qui comblerait mon désir.
Je sens mon derrière brûler. Je halète alors que Philippe s’acharne. Sa main tombe inlassablement, parfois en alternant une fesse puis l’autre, parfois en séries rapides sur chacune de mes fesses sans négliger le pli fessier si sensible.
Il continue, plus lentement mais tout aussi fort. Entre chaque claque, il pose sa main sur mes fesses qui commencent à être chaudes. Il répartit bien ses claques sur toute la surface, descendant jusqu’au haut des cuisses. Au fur et à mesure que mon cul rougit, j’écarte les cuisses.
• Oh Philippe, oui, punis ta putain. Vas-y mon chéri, plus fort, je le mérite ! Encore !
Mes paroles eurent pour effet qu’il me fessa encore plus fort :
• Tu es un démon !
• Je sais, je suis une salope. Ta salope ! Punis-moi, mon chéri. Vas-y ! Oh je vais jouir !
Jamais Philippe ne s’était comporté ainsi. Je découvrais un autre homme et il réagissait comme je le voulais, avec fermeté et virilité.
Après plusieurs séries, il s’arrête enfin, au moment même où je jouis, me laissant inerte sur ses genoux, avec les fesses en feu.
Il n’y avait pas été de main morte et je m’en souviendrai quelques jours.
J’aurais voulu que ces jeux, que nous avons toujours pratiqués, continuent, aillent plus loin. Je n’osais pas lui demander, mais j’aurais voulu la cravache car je n’étais pas apaisée. J’aurais surtout voulu qu’il me prenne, qu’il me baise.
Philippe ne répondit pas à mes attentes, voulant sans doute ne pas entrer davantage dans mon jeu et craignant de perdre le contrôle de la situation. Il m’a dit par la suite qu’il avait eu terriblement envie de moi et avait dû faire un immense effort pour ne pas me baiser.
• Ca suffit maintenant, tu as eu ce que tu voulais et ça m’a fait du bien aussi. Maintenant, remets ta culotte et ta jupe et tu dégages. Ne t’imagine pas que j’ai changé d’avis le moins du monde en ce qui te concerne. Mon avocat appellera le tien pour qu’on en finisse.
Malgré mon désir, mon instinct me disait de ne pas insister. Cette mémorable fessée était un premier pas, je le pressentais.
Je devais être patiente car je savais qu’il serait de nouveau tenté par tous les jeux qu’il pouvait pratiquer avec moi et ne retrouvait certainement pas auprès de sa maîtresse. Il me mit dehors sans ménagement, sans un mot ni un geste de tendresse, refusant à nouveau un baiser.
Je fis un compte-rendu complet à Agun, qui, en mettant du baume, fut impressionnée par l’état de mes fesses :
• Et ben dis-donc il n’y est pas allé de main morte !
• Il bandait et je sais qu’il me désire toujours. Rien que le fait qu’il ait posé les mains sur moi, même pour me donner la fessée de ma vie, j’ai adoré. Je ferai tout pour reprendre ma place à ses côtés. Aïe, vas-y doucement chérie avec la pommade, ça me brule.
• Mon pauvre amour, cette brute t’a mise dans un bel état !
• J’ai pris mon pied tu sais. Il faut arriver à le convaincre d’aller plus loin.
LA CLE DU CANDAULISME
Philippe est candauliste et ce fantasme il ne l’a réalisé qu’avec moi.
Ses autres compagnes avaient refusé de lui accorder le plaisir d’être le témoin de leur plaisir avec un autre homme. C’est même ce refus qui a provoqué, par deux fois, la rupture entre lui et Flavienne, laquelle pensait pourtant l’avoir reconquis à mes dépends, alors que j’étais la maitresse d’Hassan (voir en particulier « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple. » publié le 28 septembre 2017 et « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (34) : adultère… avec Philippe. », publié le 7 octobre 2017).
Or Agun avait réussi à savoir qu’il en était de même avec Théodora, la maîtresse de Philippe qui, malgré les demandes de celui-ci, refusait fermement de « faire ça ».
Agun et Philippe étaient, au fil des années, devenues très proches. Philippe avait fini par avouer combien ça lui manquait, à lui le candauliste, de voir sa femme lui offrir le spectacle de son plaisir avec d’autres hommes. Et il reconnut que seulement moi lui avait permis de réaliser, au-delà de toutes ses espérances, ce fantasme qui était si présent chez lui. Ce fût ma femme, ma compagne et mon mari, qui alors qu’il s’apprêtait à divorcer, qui furent complice d’une séance décisive qui a permis de recoller les morceaux.
• Philippe, pourquoi tu te prives d’une telle femme ? La seule qui t’a permis de satisfaire ton candaulisme.
• Parce qu’elle m’a trahi en tombant à nouveau amoureuse d’un autre. Parce qu’elle a abandonné ses enfants pour cet homme. Parce qu’elle a été jusqu’à lui offrir ce qui m’était réservé, sa dernière grossesse.
• On ne peut pas effacer le passé. Mais crois-moi, elle a compris la leçon et elle est prête désormais à s’en remettre complètement à toi. Il n’y aura plus d’écart. Je ne l’accepterai d’ailleurs pas moi non plus.
• J’avoue que ça me manque de la voir se faire baiser devant moi. Et je t’avoue que l’autre jour, quand je lui ai mis cette mémorable fessée, j’ai du faire un immense effort sur moi pour en rester là. Je crevais d’envie de la baiser.
• Alors, laisse-toi tenter. Organise les choses, tu verras comme elle te sera obéissante désormais. A partir du moment où, de temps en temps, tu lui offres ce plaisir dont elle a besoin, en ta présence et sous ton contrôle, tu répondras aux besoins de son hypersexualité et à tes envies de candaulisme.
• Tu es très particulière, Agun. Ca fait des semaines que tu te bats pour que je pardonne à Olga, alors que je me suis juré de ne pas passer l’éponge. C’est contre ton intérêt car, en cas de divorce, Olga n’avait plus d’autre choix que d’officialiser son couple avec toi. Pourquoi tu as fait ça ?
• Je te l’ai déjà dit : parce que j’aime Olga à la folie et que je veux son bonheur. Ce bonheur, j’en fais partie, mais il repose aussi sur sa famille, donc sur ses enfants et sur toi.
• Tu avais pourtant l’occasion de l’avoir pour toi toute seule. De l’épouser.
• Olga est notre femme, à toi et à moi. Autant je serais folle de l’imaginer dans les bras d’une autre femme, autant j’ai envie de la voir dans les tiens et soumise à ce que tu pourras organiser pour son plaisir et le tien.
• Je vais réfléchir à tout ça et je reviendrai vers toi pour te dire ce que j’ai prévu et qui me fera décider de reprendre ou non la vie commune avec Olga.
Agun était triomphante quand elle vint me rapporter cette conversation. Je mesurais d’où je revenais, je n’étais pas passée loin de la catastrophe qu’aurait représenté pour moi et notre famille une rupture définitive avec Philippe.
• J’attends ce qu’il va organiser. Je suis impatiente et excitée. Et je ne le décevrai pas. Sans toi, rien n’aurait été possible. Tu ne peux pas imaginer comme je t’aime, mon Agun.
Ce soir-là, Agun et moi, nous avons fait l’amour avec passion. Pour la première fois depuis des mois, j’étais pleinement heureuse, soulagée de savoir que j’allais retrouver Philippe et les enfants, même si rien n’était encore fait.
Le candaulisme, qui avait fragilisé notre couple et si souvent menacé sa pérennité, allait cette fois paradoxalement permettre de le reconstruire. J’attendais ce que Philippe avait préparé et j’entendais bien me montrer à la hauteur de ses envies.
(à suivre : retour au candaulisme)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Thallium, merci beaucoup. j'ai envie de répondre les deux et d'avouer que j'ai pris beaucoup de plaisir à cette "punition"
Olga,
Le début du chemin d'une rédemption que tu désirais depuis si longtemps. La question est qu'est ce qui a été le plus dur la douleur ou la frustration de ton désir en connaissant celui de Philippe.
Thallium
Le début du chemin d'une rédemption que tu désirais depuis si longtemps. La question est qu'est ce qui a été le plus dur la douleur ou la frustration de ton désir en connaissant celui de Philippe.
Thallium
Je venais juste de te recommander par mail de lire ce texte. je vois que tu m'as précédé, ma douce muse!
Ce serait bien la première fois que je serais la première à donner mon avis sur un texte de Olga comme m'y invite le site. Je soupçonne un bug, mais allons-y !
Adepte moi-même, je comprends toute l'ambiguïté des sentiments éprouvés en réclamant et recevant une fessée. Mais il s'agit en l'occurrence d'autre chose, me semble-t-il. Et le calcul qui motive cette demande pourrait passer pour pervers si l'amour dont il témoigne ne le justifiait pas. Or, c'est bien l'amour qui préside à ce récit. Polyamour, certes, dont les voies sont encore plus impénétrables (quoique, en la matière, la pénétration...) que celles bien connues. Il n'en reste pas moins un "fin amor" que n'aurait pas désavoué un mutin troubadour.
D.
Adepte moi-même, je comprends toute l'ambiguïté des sentiments éprouvés en réclamant et recevant une fessée. Mais il s'agit en l'occurrence d'autre chose, me semble-t-il. Et le calcul qui motive cette demande pourrait passer pour pervers si l'amour dont il témoigne ne le justifiait pas. Or, c'est bien l'amour qui préside à ce récit. Polyamour, certes, dont les voies sont encore plus impénétrables (quoique, en la matière, la pénétration...) que celles bien connues. Il n'en reste pas moins un "fin amor" que n'aurait pas désavoué un mutin troubadour.
D.