Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (épilogu
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (épilogu
Le récit d’aujourd’hui explique comment j’ai réussi mon retour auprès de Philippe. Il choquera peut-être certains lecteurs, mais je prends soin de raconter dans le détail, comme je l’ai fait dans les textes précédents (y compris et surtout quand mon comportement a été sans excuses) où j’ai parlé du cheminement de mon adultère avec N et de la reconstruction de mes couples, avec Agun, puis avec Philippe. Je renvoie aux cinq récits publiés le 27 octobre 2019, le 25 novembre 2019, le 7 janvier 2020, le 6 février 2020 et le 11 mars 2020.
Dans ce dernier texte (« Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (5 : la fessée) ») j’ai relaté la « correction » que m’avait infligée Philippe mais aussi comment Agun avait en quelque sorte joué du candaulisme de Philippe pour que celui-ci consente à passer l’éponge. Philippe est en effet profondément candauliste et les autres femmes qui furent ses compagnes, Flavienne, à deux reprises, Patricia et, à ce moment-là, Théodora, ne lui accordèrent pas, malgré leurs promesses, la réalisation de son fantasme. C’est seulement avec moi qu’il avait fini par y parvenir, après d’ailleurs une très longue résistance.
Agun avait compris que cela lui manquait et que je pouvais le lui redonner, ce qui satisferait, aux conditions de Philippe, son candaulisme et mon hypersexualité.
En apparence, on revenait à la situation antérieure, l’épouse hypersexuelle que je suis retrouvant sa place auprès de son mari candauliste Philippe et de ma compagne Agun.
En réalité, notre situation a été assez profondément changée par cet épisode malheureux, au cours duquel j’ai bien failli casser définitivement ce qui avait fait notre équilibre depuis tant d’années. Si Philippe veille à « mes besoins » tout en satisfaisant son candaulisme, il a désormais la maîtrise totale des choses, dans la cadre de notre « nouveau pacte candauliste » dont j’ai parlé dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : Pacte candauliste et amendements », paru le 20 juin 2019.
Je vais maintenant parler de cette soirée qui a été importante, parce qu’elle m’a permis de retrouver celui que j’ai failli perdre définitivement et avec qui je forme un couple si particulier.
Après sa dernière conversation avec Agun, Philippe me fit languir quelques jours qui me parurent une éternité. Avait-il changé d’avis et renoncé à nos jeux ? Je devais avouer que j’étais comme une lionne en cage, impatiente de vivre ce qu’il avait annoncé comme une épreuve de vérité. Je dois dire aussi que ce qui m’attendait me faisait envie car il y avait des semaines, depuis ma rupture avec N, que je n’avais connue d’étreintes viriles. Le plaisir que je connaissais dans les bras d’Agun ne comblait évidemment pas mon hypersexualité.
LA VOLONTE DE PHILIPPE
Malgré mon impatience, je devais ronger mon frein. Il était clair que, désormais, c’est Philippe et lui seul qui serait l’ordonnateur de mes plaisirs, selon ses envies candaulistes. Je devais m’en remettre à son bon vouloir.
Je vivais à ce moment-là chez Agun, mais celle-ci ne servit pas d’intermédiaire. Philippe appela et demanda à me parler :
• Bonjour chéri, je suis content que tu m’appelles.
• Il me faudra encore du temps avant d’accepter que tu m’appelles à nouveau « chéri ». Pour le moment, je veux seulement que tu fasses ce que je dis.
• Je ferai désormais toujours ce que tu veux.
• Je veux te mater pendant que tu taperas deux mecs. Tu vas aller chercher deux types et je vais les regarder te baiser. Ca me manque de voir comment deux mecs peuvent se taper une salope comme toi.
Ses mots étaient durs, blessants, jamais Philippe n’avait parlé de moi ainsi. Loin de me heurter, ses paroles m’excitaient.
• Je ne te décevrai pas.
• Tu vas les choisir beaux comme des dieux, très bien montés, très brutaux. Tu vas les faire juter comme des fous, sur ton corps, pendant que je regarderai.
• As-tu une préférence quant à leur genre?
• Je veux que tu me ramènes deux Blacks.
• Ca se passera où ?
• J’ai réservé une chambre d’hôtel, avec un grand lit à (une grande ville proche de notre domicile).
• C’est prévu pour quand ?
• Ce soir, je viens te chercher, prépare toi. Je veux que tu sois habillée comme une vraie petite putain que tu es.
Il ne tarda pas et je me présentais à lui. J’ai su tout de suite qu’il n’était pas déçu: j’avais choisi une jupe noire « ras la chatte », un petit t-shirt blanc très moulant, sans soutien-gorge, des chaussures à talon à aiguille. J’étais soigneusement maquillée.
Je m’approchais pour un baiser. Il tourna la tête, me répondant durement:
• Chaque chose en son temps.
SELECTION
Je lui demandais de se diriger vers un quartier chaud de cette ville où Philippe avait réservé la chambre d’hôtel. C’est un endroit où j’étais allée, bien des années auparavant, avec Rachid et je savais que j’y trouverai ce que nous cherchions.
C’était une boite où le videur me reconnut, malgré les années :
• Olga, ça faisait longtemps ! Tu n’as pas changé ma belle. Tu n’es plus la meuf de Rachid ?
J’étais gênée et ça pouvait déplaire à Philippe.
• Non, je suis avec mon mari, Philippe.
Ils nous laissèrent entrer.
• Je vois que tu es bien connue ici !
• J’y suis souvent venue avec Rachid, pour lever des mecs.
Cette boite était réputée pour être fréquentée essentiellement par des Blacks, Antillais et d’origine africaine.
J’attirais l'attention par ma tenue et mon attitude provocante. Philippe se faisait discret et observait, à légère distance.
Je balayais la salle du regard, recherchant les hommes qui n’étaient pas accompagnés. J’en remarquais deux, grands et musclés. Ils étaient habillés en noir et étaient installés au bar. Manifestement ils étaient en chasse. Je me suis approchée.
• Bonsoir Messieurs, je m’appelle Olga. Vous m’offrez un verre ?
• Avec plaisir, Olga. Nous sommes Martiniquais. Moi c’est Ludovic, je préfère qu’on m’appelle Ludo. Et lui c’est mon copain Matthias. On se tutoie, tu veux ? Barman, c’est notre tournée, sers-nous un punch avec du strong rhume !
Le premier verre en appela d’autres. L’alcool me fit perdre rapidement toute inhibition. Ces types me draguaient ouvertement, ils me faisaient rire, j’étais très à l’aise avec eux. Je m’appuyais sur leurs épaules et leurs bras, leurs mains me frôlaient de plus en plus. Dès ce moment-là, j’ai eu envie d’eux mais je n’oubliais pas que Philippe n’était pas loin, qu’il me mettait à l’épreuve.
• Je suis accompagnée par mon mari, dis-je en baissant les yeux.
Ils dévisagèrent Philippe, en souriant.
• Ce « zoreille » sait pourquoi tu es venue ici ? Il est consentant ? demanda Ludo, qui faisait semblant de ne pas comprendre.
• C’est lui qui m’a demandé ça, dis-je en baissant les yeux. Ce n’est pas la première fois que nous le faisons. Ca vous choque ?
• J’avoue que je comprends pas bien qu’on puisse aimer voir sa femme avec d’autres. Mais après tout, si ça lui fait plaisir et qu’on en profite !
• Allons Ludo, on va s’occuper d’Olga puisque son mari nous le demande. Rendons-lui ce service !
Je voulais les chauffer un peu, faire durer le plaisir et voir la réaction de Philippe. C’est pourquoi je leur proposais :
• En attendant, si on dansait un peu ?
Pendant une demi-heure, nous étions sur la piste. Ludo et Matthias me collaient, leurs mains sur mon corps, mes hanches, puis mes fesses et mes seins. Philippe n’en perdait pas une miette. J’en profitais pour vérifier la virilité de mes futurs amants. Ils bandaient comme des taureaux, je ne serai pas déçue et Philippe non plus.
Ludo et Matthias s’enhardissaient de plus en plus, les baisers, d’abord dans le cou, étaient maintenant sur mes lèvres. Nous étions entourés et d’autres hommes encourageaient Ludo et Matthias, avec des commentaires peu amènes à mon égard. A tour de rôle, Ludo et Matthias me roulaient des pelles et leurs mains s’égaraient sous mon tee-shirt et sous ma jupe, annonçant sans ambigüité le programme et assez fort pour que ça se sache : « petite putain, on va te baiser ! ». Je répondais : « j’y compte bien ! »
Avant que les choses n’aillent plus loin, nous nous sommes décidés à sortir, les deux hommes ayant chacun une main sur mes fesses, suivis à courte distance de Philippe.
Le videur qui nous avait accueillis nous salua d’un « bonne baise ! »
TRAJET CHAUD
Manifestement les deux hommes étaient en rut et moi j’avais envie aussi. Nous étions prêts à faire ça dans la rue. Ils m’embrassaient à tour de rôle, leurs mains passant sous mon tee-shirt et ma culotte. De mon côté, la tête en arrière, je caressais leur formidable érection.
Philippe voulait que les choses se passent comme il l’avait prévu et rapprocha la voiture. Je montais à l’arrière, entre les deux hommes. Philippe et eux n’échangèrent pas un mot, pas même un bonsoir.
Philippe ajusta le rétroviseur pour ne rien perdre de ce qui se passait à l’arrière. Nous nous embrassions à tour de rôle. Mon t-shirt blanc fut remonté jusqu'aux épaules. Ludo léchait mes tétons avec délice. L'autre, Matthias, ouvrit la fermeture à glissière de la jupe et la fit glisser, comme ma culotte, vers le sol. J’étais maintenant, presque nue et ma chatte était trempée. Matthias glissa sa main vers la fente et écarta les lèvres du bout du doigt.
Je regardais ma chatte aspirer la main. Mon corps était brûlant, la tête renversée en arrière, je prenais un pied d'enfer.
Je n’oubliais pas Ludo. Je fis jaillir sa bite. Je resserrais ma main autour de la base de la hampe, je caressais la queue de Ludo, faisant coulisser ma main tout le long de la hampe noire, décalottant le gland à chaque mouvement. Ludo soupirait d'aise.
Matthias défaisait son pantalon et le fit glisser, avec son slip, sur une queue magnifique, longue et épaisse, au beau gland circoncis. J’agrippais la bite de mon autre main et je branlais les deux types qui en voulaient plus.
Philippe nous fit alors comprendre que, soucieux de ne rien manquer, il voulait que ça se passe dans la chambre d’hôtel qu’il avait réservée et pas dans la voiture.
Le reste du trajet nous parut bien long. Les deux hommes continuaient leurs caresses et leurs baisers, je veillais de mon côté à ne pas les faire jouir. Mes tétons étaient presque douloureux d’excitation, ma chatte était béante et trempée sous les assauts de leurs doigts. Je n’en pouvais plus, J’étais impatiente mais je comprenais que Philippe testait mon obéissance. Je ne pouvais aller plus loin que lorsqu’il l’aurait décidé.
Nous arrivions enfin à l’hôtel. Philippe laissa la voiture au parking souterrain. Nous avions réajusté tant bien que mal nos vêtements. Philippe alla chercher les clés à la réception et commanda du champagne. Mes deux futurs amants n’étaient guère discrets, posant chacun une main sur mes fesses.
Le réceptionniste ne dit rien mais était ébahi :
• Ne faites pas cette tête-là. Cette femme, je devrais dire cette catin, était mon épouse. J’ai eu envie de la voir à nouveau avec d’autres hommes.
PHILIPPE L’ORDONNATEUR
Quand la porte de l’ascenseur se referma, les attouchements reprirent de plus belle. Philippe s’adressa à moi, son ton était dur :
• Tu as envie, n’est-ce pas ?
• Oh oui !
• Dis-le, petite putain, ce dont tu as envie !
• J’ai envie qu’ils me baisent !
• Encore un peu de patience et tu seras à eux.
Une fois dans la chambre, Philippe leur fit signe de me déshabiller, ce qui fut rapide, vue ma tenue.
• Messieurs, avant de passer aux choses sérieuses, je vous dois quelques explications. J’aime regarder Olga se faire prendre par d'autres hommes, c'est mon fantasme. J’aime voir toute sa puissance sexuelle s'exprimer. Il faut que vous sachiez qu’elle m’avait quitté pour un autre et qu’elle est revenue.
• C’est spécial ton truc, mais on a eu de la chance que ce soit tombé sur nous.
• Tu veux qu’on lui fasse quoi ?
• Votre mission est simple : prendre votre pied. Baisez pleinement cette garce devant moi, sans retenue. Elle est à vous, je vous l’offre, ne la ménagez pas, je veux l’entendre crier de plaisir. Vous allez la démonter. La seule chose que je vous demande, c’est d’utiliser des préservatifs pour la pénétrer et jouir
• On est sain mais OK c’est plus prudent avec des inconnus.
• Elle préférerait être baisée sans capote et se faire remplir, je veux la priver de ça ce soir.
Les trois hommes parlaient de moi sans me demander mon avis. Je me sentais profondément humiliée mais je comprenais que c’était la façon de Philippe de me mettre à l’épreuve.
• Vous pouvez vous déshabiller à votre tour, je veux voir si elle a bien choisi. Je suppose qu’elle vous a bien chauffé à la boîte et pendant le trajet.
Les deux hommes s’exécutèrent. Leur érections étaient impressionnantes et me rappelaient mes amants les plus performants, Rachid, Ahmadou, Hassan et N. J’avais envie d’eux, mais j’attendais le signal de Philippe.
• Avec ce bel outil, il vont bien pouvoir s'occuper de toi.
• Tu aurais aimé en profiter aussi mon chéri, n’est-ce pas ?
Philippe n’apprécia pas cette allusion à sa bisexualité et me jeta un regard dur :
• On n’est pas là pour ça ce soir ! Messieurs, allez-y !
• Tu nous rassures, Métro ! On est intéressé que par elle. On va bien s’en occuper.
Philippe, reprenant nos habitudes, s’installa sur un fauteuil, descendit son pantalon et fit signe aux hommes qu’ils pouvaient disposer de moi.
FELLATION ET COIT
Matthias prit l’initiative :
• A genoux, salope ! Suce!
J’obéis et le pris en bouche. Ma main se referma sur la base de la pine et commença à le branler, avant de pratiquer une fellation de reine.
• Ouah, Ludo, quelle pipeuse ! Exceptionnelle !
Je me décidais à m’occuper de Ludo, que je branlais de ma main libre.
• A mon tour, dit Ludo. Je veux te baiser la bouche !
J’approchais mon visage de cette deuxième queue que je pris en bouche, avec l’envie de le faire jouir. Je le pompais de plus en plus vite, le branlant en même temps.
Alors que Ludo a sa grosse bite dans ma bouche, son compère, par derrière, branle activement ma chatte, afin de la préparer à la pénétration.
Ludo m’enfonce sans ménagement sa queue dans le gosier, en me maintenant la tête. Ce n’est plus une fellation, c’est un coït buccal. Matthias, comme pour en rajouter, m’administre de bonnes claques sur le cul. Prise en sandwich sous le feu de ces deux étalons fougueux, j’émets des grognements étouffés.
• Zoreille, file-moi une capote, je vais niquer ta pute !
Matthias, après avoir mis le préservatif que lui avait tendu Philippe, se fraya un passage vers ma chatte trempée et y apposa sa bite immense. Il poussa un peu, jusqu'à ce que la tête presse entre les lèvres, et l'introduit jusqu'à mi-gland, pendant que Ludo continue à baiser ma bouche.
L'interminable bite commence à pénétrer ma chatte, centimètre par centimètre.
De mes yeux coulent de grosses larmes qui ravagent mon maquillage, et de ma bouche s'échappe de la bave. Philippe n'en perd pas une miette et encourage mes amants.
Sous les coups de butoir, j’émets des sons étouffés. Quant à la queue qui se trouve dans ma bouche, elle ne me laisse aucun répit. Je me sens totalement prisonnière de ces deux hommes.
Je prends mon pied dans cette baise bestiale, en femme soumise, devant mon mari. Philippe le sait bien : en bon candauliste, il prend lui aussi son pied à voir sa femme se faire baiser ainsi.
Je sens la queue me ramoner, le ventre musclé du mec claquer contre mes fesses et frôler le trou du cul lors des poussées plus vigoureuses qui écartaient les globes. Matthias était comme un ours en rut, allant et venant entre mes jambes.
Ludo avait posé la main sur mes cheveux, d'un air protecteur et sentait venir le sperme du fond de ses couilles. Il n'annonça rien mais Philippe comprit au visage du type :
• Tu peux te vider dans sa bouche, vas-y !
• Je vais pas me gêner ! Avale, salope !
Ludo me maintenait la tête et je me suis pris plusieurs giclées. Je le pompais encore. Le type grognait et crispait sa main dans mes cheveux, les tirant et me faisant un peu mal.
Le foutre que je n’avais pas réussi à avaler coula sur mon menton et mes seins alors que je relevais la tête.
Lorsque la queue se dégage enfin de ma bouche, je me mis à crier à gorge déployée. Les coups de reins puissants de l'arrière me propulsent au septième ciel.
J’aurais tant aimé me faire remplir. A défaut, je demandais à Matthias de sortir de ma chatte, d’enlever son préservatif et de me souiller.
• Prends ça, petite putain !
Les jets de sperme blanc jaillirent de ce gland noir en rafales sur mon visage et mes cheveux. Je repris cette bite en bouche. J’en voulais encore et je mis à ranimer leur ardeur en les suçant à tour de rôle.
Les deux étalons étaient loin d'en avoir fini avec moi.
On marqua alors une pause autour d’une coupe de champagne, pendant que je continue à les stimuler avec ma bouche et mes mains.
SODOMIE ET DOUBLE PENETRATION
Matthias s’adresse à Philippe :
• On peut l’enculer ? J’ai envie de lui casser le cul
• Bien sûr !
• Quant à moi, elle va me sucer à nouveau. Jamais connu une pompeuse pareille
Pendant que Ludo, à l'avant, maintient fermement mon cul, Matthias, à l'arrière, m’enfile sans ménagement. J’ai beau être habituée à être aussi prise par la voie étroite, au départ c’est plutôt douloureux, avant que ne montent d’autres sensations. Reins cambrés, toujours maintenue solidement par Ludo qui me fourre sa queue dans la bouche, je m’étouffe, mes cris entravés par la bite. Philippe sait je suis ô combien bruyante dans l'orgasme, quand je peux crier librement.
• Matthias, on va changer. Moi aussi, je veux goûter à ce joli cul.
Toujours protégés, les deux hommes changent. Ludo m’enfile à son tour prestement. Je jouis sans retenue. Le relais des deux queues qui viennent tour à tour baiser mon cul, s'enchaîne dans un rythme soutenu. L'alternance fait que ces deux bites restent toujours vaillantes, pour mon plus grand bonheur. Ce duo alterné me défonce admirablement le cul. Je n’en peux déjà plus.
Sur un signe de Philippe, les deux hommes cessent leur manège et me positionnent pour une double pénétration. Matthias me hisse sur lui et s'allonge sous moi. Empalée sur lui par la chatte, je suis prise par Ludo par derrière. Ainsi, je sens en moi ces deux queues coulisser simultanément : l'une dans ma chatte, l'autre dans mon cul.
Ces deux queues impitoyables me font hurler de plaisir. Pour faire taire mes cris de plaisir, pour parfaire ce moment de bonheur, j’aurais envie de la bite de Philippe dans ma bouche. Il s’en garde bien. Installé sur son fauteuil, il est nu lui aussi et bande à mort, sans même se toucher.
• Ca te plait chéri ?
• Oui, beaucoup ! Allez-y les gars ! Qu’elle est belle quand elle jouit !
• Tu m’aimes ?
• Je pensais te détester. Mais je ne peux me passer de toi, chérie. Encore !
Ses paroles me soulagent et me donnent autant de plaisir que les queues qui me pilonnent.
Les deux hommes choisissent une nouvelle pose. Je me retrouve sur le dos, jambes en l'air. On peut voir mes deux orifices béants, baisés par ces deux incroyables bites.
Pour cette nouvelle pose, Matthias se glisse sous moi pour me sodomiser alors que Ludo me prend par la chatte. Souples et agiles, ils me prennent en cadence. Mon visage est déformé par le plaisir, des tremblements agitent mon corps, je crie mon plaisir et enchaine les orgasmes, alors qu’ils poursuivent le double coït.
Il est temps pour les deux hommes de jouir à leur tour. Comprenant qu’ils ont l’accord de Philippe, ils ne veulent pas se vider dans leur capote. Ils sortent en même temps de mes trous béants et enlèvent leur préservatif.
• Mets-toi à genoux !
Je suce, l'une après l'autre, ces deux bites. Je me mets à branler les deux queues avec chacune de mes mains. Je sais qu’ils ne pourront résister longtemps à ma langue et à mes mains. Matthias soupire. Je le branle avec application tout en le titillant. Matthias est secoué de spasmes. Il gicle en hurlant, sur mon visage et dans ma bouche.
Je m’occupe alors de Ludo. Je le branle d’une main légère et rapide. Il éjacule en arrosant copieusement de son sperme, mon visage, mes seins, mes cheveux.
REPRISE DE NOTRE RITE
Il me reste une chose à faire, qui m’a tant manqué. Je me lève et me dirige vers Philippe, me mettant à genoux devant lui.
Je comprends tout de suite qu’il va se laisser faire, marquant ainsi que je retrouve ma place à ses côtés. C’est pour moi, comme pour lui, une délivrance.
Philippe s’abandonne à moi. Les deux hommes observent en silence, stupéfaits. Je commence par lécher avec délicatesse son gland. Philippe gémit, caresse mes cheveux avec tendresse.
Doucement, je le pompe avec amour. Il est au paradis. Revit-il les scènes que je viens de lui offrir ? Il semble enfin oublier les mois de cauchemar que nous avons connus du fait de ma trahison. Je ne veux plus qu’une chose, qu’il soit heureux.
Je voudrais que cette fellation dure une éternité mais je sais qu’il ne va pas pouvoir tenir, qu’il va bientôt exploser dans la bouche de sa tendre épouse.
• Oh Olga, je t’aime, je vais venir, mon amour. Ouiiiiiiiiii
Philippe éjacule dans un spasme. Il hurle, m’envoyant une quantité incroyable de sperme dans la gorge, que j’avale soigneusement. Nous renouons avec notre vieux rite et c’est pour moi la confirmation et de son pardon et de son amour.
Matthias et Ludo comprirent qu’ils devaient s’éclipser.
• Vous êtes un couple très particulier. Vous avez certainement plein de choses à vous dire. Merci pour la soirée !
• Bonne continuation les amoureux !
EPILOGUEIl n’est pas besoin de dire que Philippe et moi avons fait ensuite l’amour toute la nuit, un peu comme si c’était notre première fois. Comme cela s’était passé quand il m’avait reconquise sur Hassan, je retrouvais un autre Philippe. J’étais conquise par sa volonté et sa virilité. Et même s’il ne pouvait rivaliser en taille ou en endurance avec les hommes à qui je venais de m’offrir, je connus dans ses bras ce soir-là un immense plaisir, celui que se donnent deux êtres qui se retrouvent et qui s’aiment.
Au petit matin, j’envoyais enfin un message à Agun, inquiète, qui voulait savoir comment ça s’était passé. Je me contentais de lui dire que ça avait été merveilleux, que j’étais amoureuse et j’ajoutais à son intention « merci, car sans toi, rien n’était possible ».
Ce n’est qu’ensuite, avec Philippe, que nous avons beaucoup parlé.
Il avait voulu cette séance pas uniquement dans le cadre de son candaulisme. Il voulait vérifier que désormais j’accepterais ses règles.
Ce n'est pas par candaulisme qu'il avait décidé que je retrouve ma place auprès de lui, c'est parce qu'il avait compris qu'il m'aimait toujours, parce que les enfants avaient besoin de moi, qu'il avait décidé de tourner la page. Ce soir-là, il avait d'abord voulu me tester.
Il avait compris que quoi qu’il en dise, il ne pouvait se passer de moi. Il acceptait donc mon retour à la maison, en oubliant ce qui s’était passé.
Je n’ai rien caché à Philippe et pris sur moi toute la responsabilité. Philippe atténua les choses en reconnaissant aussi sa part pour avoir encouragé mon hypersexualité, ouvrant ainsi la boite de pandore. Je lui ai promis que désormais rien ne se ferait en dehors de son consentement et dans le cadre de règles que nous allions fixer ensemble et dont j’ai présenté la dernière version dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : Pacte candauliste et amendements », texte paru le 20 juin 2019.
Les choses n’ont pas toujours été faciles mais nous avons toujours respecté jusqu’à présent le cadre que nous nous sommes fixé. Je n’ai plus fait aucun écart et je sais bien quelles seraient les conséquences. Je n’aurais pas de nouvelle chance, ni avec Philippe, ni avec Agun
Il a fallu se faire accepter des enfants, ce qui ne fut pas simple avec l’ainée, qui m’en voulait beaucoup. La famille s’est élargie avec un quatrième enfant, pour lequel Philippe est un vrai père. Philippe a su aussi, à force de patience, convaincre Hassan de revenir aux arrangements antérieurs concernant ma seconde fille.
J’ai du, pendant des mois, accepté la liaison de Philippe avec Théodora, ce qui ne fut pas simple pour moi. Je n’ai pas poussé à leur rupture et je ne pouvais le lui demander. C’est elle qui accepta mal mon retour et ma présence au domicile conjugal et qui finit par rompre.
J’ai trouvé mon équilibre entre Philippe et Agun, auprès des deux personnes que j’aime. Sans doute cela a été facilité par le fait que mon hypersexualité est désormais davantage maîtrisée, Philippe prenant soin d’organiser de temps, des moments où son candaulisme et mon hypersexualité peuvent s’exprimer.
Cette soirée candauliste a été particulière, puisqu’elle était voulue par Philippe comme un test de mon comportement. Le candaulisme, qui, à plusieurs reprises, avait failli détruire définitivement notre couple, a permis paradoxalement de le reconstruire.
Je mesure la chance que j’ai eue car mon comportement a bien failli détruire mon couples, je devrais dire mes couples et notre famille. C’est pourquoi je ne plaide plus aujourd’hui pour la liberté sexuelle absolue dans un couple marié et, pour l’avoir pratiqué, je mets en garde contre les conséquences de l’adultère qui, non seulement repose sur le mensonge, mais qui est destructeur.
Le plaisir sans freins et l’hypersexualité ont dirigé mes choix.
Je sais aujourd’hui que les sentiments et la famille doivent être préservés et constituer la priorité.
Dans ce dernier texte (« Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (5 : la fessée) ») j’ai relaté la « correction » que m’avait infligée Philippe mais aussi comment Agun avait en quelque sorte joué du candaulisme de Philippe pour que celui-ci consente à passer l’éponge. Philippe est en effet profondément candauliste et les autres femmes qui furent ses compagnes, Flavienne, à deux reprises, Patricia et, à ce moment-là, Théodora, ne lui accordèrent pas, malgré leurs promesses, la réalisation de son fantasme. C’est seulement avec moi qu’il avait fini par y parvenir, après d’ailleurs une très longue résistance.
Agun avait compris que cela lui manquait et que je pouvais le lui redonner, ce qui satisferait, aux conditions de Philippe, son candaulisme et mon hypersexualité.
En apparence, on revenait à la situation antérieure, l’épouse hypersexuelle que je suis retrouvant sa place auprès de son mari candauliste Philippe et de ma compagne Agun.
En réalité, notre situation a été assez profondément changée par cet épisode malheureux, au cours duquel j’ai bien failli casser définitivement ce qui avait fait notre équilibre depuis tant d’années. Si Philippe veille à « mes besoins » tout en satisfaisant son candaulisme, il a désormais la maîtrise totale des choses, dans la cadre de notre « nouveau pacte candauliste » dont j’ai parlé dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : Pacte candauliste et amendements », paru le 20 juin 2019.
Je vais maintenant parler de cette soirée qui a été importante, parce qu’elle m’a permis de retrouver celui que j’ai failli perdre définitivement et avec qui je forme un couple si particulier.
Après sa dernière conversation avec Agun, Philippe me fit languir quelques jours qui me parurent une éternité. Avait-il changé d’avis et renoncé à nos jeux ? Je devais avouer que j’étais comme une lionne en cage, impatiente de vivre ce qu’il avait annoncé comme une épreuve de vérité. Je dois dire aussi que ce qui m’attendait me faisait envie car il y avait des semaines, depuis ma rupture avec N, que je n’avais connue d’étreintes viriles. Le plaisir que je connaissais dans les bras d’Agun ne comblait évidemment pas mon hypersexualité.
LA VOLONTE DE PHILIPPE
Malgré mon impatience, je devais ronger mon frein. Il était clair que, désormais, c’est Philippe et lui seul qui serait l’ordonnateur de mes plaisirs, selon ses envies candaulistes. Je devais m’en remettre à son bon vouloir.
Je vivais à ce moment-là chez Agun, mais celle-ci ne servit pas d’intermédiaire. Philippe appela et demanda à me parler :
• Bonjour chéri, je suis content que tu m’appelles.
• Il me faudra encore du temps avant d’accepter que tu m’appelles à nouveau « chéri ». Pour le moment, je veux seulement que tu fasses ce que je dis.
• Je ferai désormais toujours ce que tu veux.
• Je veux te mater pendant que tu taperas deux mecs. Tu vas aller chercher deux types et je vais les regarder te baiser. Ca me manque de voir comment deux mecs peuvent se taper une salope comme toi.
Ses mots étaient durs, blessants, jamais Philippe n’avait parlé de moi ainsi. Loin de me heurter, ses paroles m’excitaient.
• Je ne te décevrai pas.
• Tu vas les choisir beaux comme des dieux, très bien montés, très brutaux. Tu vas les faire juter comme des fous, sur ton corps, pendant que je regarderai.
• As-tu une préférence quant à leur genre?
• Je veux que tu me ramènes deux Blacks.
• Ca se passera où ?
• J’ai réservé une chambre d’hôtel, avec un grand lit à (une grande ville proche de notre domicile).
• C’est prévu pour quand ?
• Ce soir, je viens te chercher, prépare toi. Je veux que tu sois habillée comme une vraie petite putain que tu es.
Il ne tarda pas et je me présentais à lui. J’ai su tout de suite qu’il n’était pas déçu: j’avais choisi une jupe noire « ras la chatte », un petit t-shirt blanc très moulant, sans soutien-gorge, des chaussures à talon à aiguille. J’étais soigneusement maquillée.
Je m’approchais pour un baiser. Il tourna la tête, me répondant durement:
• Chaque chose en son temps.
SELECTION
Je lui demandais de se diriger vers un quartier chaud de cette ville où Philippe avait réservé la chambre d’hôtel. C’est un endroit où j’étais allée, bien des années auparavant, avec Rachid et je savais que j’y trouverai ce que nous cherchions.
C’était une boite où le videur me reconnut, malgré les années :
• Olga, ça faisait longtemps ! Tu n’as pas changé ma belle. Tu n’es plus la meuf de Rachid ?
J’étais gênée et ça pouvait déplaire à Philippe.
• Non, je suis avec mon mari, Philippe.
Ils nous laissèrent entrer.
• Je vois que tu es bien connue ici !
• J’y suis souvent venue avec Rachid, pour lever des mecs.
Cette boite était réputée pour être fréquentée essentiellement par des Blacks, Antillais et d’origine africaine.
J’attirais l'attention par ma tenue et mon attitude provocante. Philippe se faisait discret et observait, à légère distance.
Je balayais la salle du regard, recherchant les hommes qui n’étaient pas accompagnés. J’en remarquais deux, grands et musclés. Ils étaient habillés en noir et étaient installés au bar. Manifestement ils étaient en chasse. Je me suis approchée.
• Bonsoir Messieurs, je m’appelle Olga. Vous m’offrez un verre ?
• Avec plaisir, Olga. Nous sommes Martiniquais. Moi c’est Ludovic, je préfère qu’on m’appelle Ludo. Et lui c’est mon copain Matthias. On se tutoie, tu veux ? Barman, c’est notre tournée, sers-nous un punch avec du strong rhume !
Le premier verre en appela d’autres. L’alcool me fit perdre rapidement toute inhibition. Ces types me draguaient ouvertement, ils me faisaient rire, j’étais très à l’aise avec eux. Je m’appuyais sur leurs épaules et leurs bras, leurs mains me frôlaient de plus en plus. Dès ce moment-là, j’ai eu envie d’eux mais je n’oubliais pas que Philippe n’était pas loin, qu’il me mettait à l’épreuve.
• Je suis accompagnée par mon mari, dis-je en baissant les yeux.
Ils dévisagèrent Philippe, en souriant.
• Ce « zoreille » sait pourquoi tu es venue ici ? Il est consentant ? demanda Ludo, qui faisait semblant de ne pas comprendre.
• C’est lui qui m’a demandé ça, dis-je en baissant les yeux. Ce n’est pas la première fois que nous le faisons. Ca vous choque ?
• J’avoue que je comprends pas bien qu’on puisse aimer voir sa femme avec d’autres. Mais après tout, si ça lui fait plaisir et qu’on en profite !
• Allons Ludo, on va s’occuper d’Olga puisque son mari nous le demande. Rendons-lui ce service !
Je voulais les chauffer un peu, faire durer le plaisir et voir la réaction de Philippe. C’est pourquoi je leur proposais :
• En attendant, si on dansait un peu ?
Pendant une demi-heure, nous étions sur la piste. Ludo et Matthias me collaient, leurs mains sur mon corps, mes hanches, puis mes fesses et mes seins. Philippe n’en perdait pas une miette. J’en profitais pour vérifier la virilité de mes futurs amants. Ils bandaient comme des taureaux, je ne serai pas déçue et Philippe non plus.
Ludo et Matthias s’enhardissaient de plus en plus, les baisers, d’abord dans le cou, étaient maintenant sur mes lèvres. Nous étions entourés et d’autres hommes encourageaient Ludo et Matthias, avec des commentaires peu amènes à mon égard. A tour de rôle, Ludo et Matthias me roulaient des pelles et leurs mains s’égaraient sous mon tee-shirt et sous ma jupe, annonçant sans ambigüité le programme et assez fort pour que ça se sache : « petite putain, on va te baiser ! ». Je répondais : « j’y compte bien ! »
Avant que les choses n’aillent plus loin, nous nous sommes décidés à sortir, les deux hommes ayant chacun une main sur mes fesses, suivis à courte distance de Philippe.
Le videur qui nous avait accueillis nous salua d’un « bonne baise ! »
TRAJET CHAUD
Manifestement les deux hommes étaient en rut et moi j’avais envie aussi. Nous étions prêts à faire ça dans la rue. Ils m’embrassaient à tour de rôle, leurs mains passant sous mon tee-shirt et ma culotte. De mon côté, la tête en arrière, je caressais leur formidable érection.
Philippe voulait que les choses se passent comme il l’avait prévu et rapprocha la voiture. Je montais à l’arrière, entre les deux hommes. Philippe et eux n’échangèrent pas un mot, pas même un bonsoir.
Philippe ajusta le rétroviseur pour ne rien perdre de ce qui se passait à l’arrière. Nous nous embrassions à tour de rôle. Mon t-shirt blanc fut remonté jusqu'aux épaules. Ludo léchait mes tétons avec délice. L'autre, Matthias, ouvrit la fermeture à glissière de la jupe et la fit glisser, comme ma culotte, vers le sol. J’étais maintenant, presque nue et ma chatte était trempée. Matthias glissa sa main vers la fente et écarta les lèvres du bout du doigt.
Je regardais ma chatte aspirer la main. Mon corps était brûlant, la tête renversée en arrière, je prenais un pied d'enfer.
Je n’oubliais pas Ludo. Je fis jaillir sa bite. Je resserrais ma main autour de la base de la hampe, je caressais la queue de Ludo, faisant coulisser ma main tout le long de la hampe noire, décalottant le gland à chaque mouvement. Ludo soupirait d'aise.
Matthias défaisait son pantalon et le fit glisser, avec son slip, sur une queue magnifique, longue et épaisse, au beau gland circoncis. J’agrippais la bite de mon autre main et je branlais les deux types qui en voulaient plus.
Philippe nous fit alors comprendre que, soucieux de ne rien manquer, il voulait que ça se passe dans la chambre d’hôtel qu’il avait réservée et pas dans la voiture.
Le reste du trajet nous parut bien long. Les deux hommes continuaient leurs caresses et leurs baisers, je veillais de mon côté à ne pas les faire jouir. Mes tétons étaient presque douloureux d’excitation, ma chatte était béante et trempée sous les assauts de leurs doigts. Je n’en pouvais plus, J’étais impatiente mais je comprenais que Philippe testait mon obéissance. Je ne pouvais aller plus loin que lorsqu’il l’aurait décidé.
Nous arrivions enfin à l’hôtel. Philippe laissa la voiture au parking souterrain. Nous avions réajusté tant bien que mal nos vêtements. Philippe alla chercher les clés à la réception et commanda du champagne. Mes deux futurs amants n’étaient guère discrets, posant chacun une main sur mes fesses.
Le réceptionniste ne dit rien mais était ébahi :
• Ne faites pas cette tête-là. Cette femme, je devrais dire cette catin, était mon épouse. J’ai eu envie de la voir à nouveau avec d’autres hommes.
PHILIPPE L’ORDONNATEUR
Quand la porte de l’ascenseur se referma, les attouchements reprirent de plus belle. Philippe s’adressa à moi, son ton était dur :
• Tu as envie, n’est-ce pas ?
• Oh oui !
• Dis-le, petite putain, ce dont tu as envie !
• J’ai envie qu’ils me baisent !
• Encore un peu de patience et tu seras à eux.
Une fois dans la chambre, Philippe leur fit signe de me déshabiller, ce qui fut rapide, vue ma tenue.
• Messieurs, avant de passer aux choses sérieuses, je vous dois quelques explications. J’aime regarder Olga se faire prendre par d'autres hommes, c'est mon fantasme. J’aime voir toute sa puissance sexuelle s'exprimer. Il faut que vous sachiez qu’elle m’avait quitté pour un autre et qu’elle est revenue.
• C’est spécial ton truc, mais on a eu de la chance que ce soit tombé sur nous.
• Tu veux qu’on lui fasse quoi ?
• Votre mission est simple : prendre votre pied. Baisez pleinement cette garce devant moi, sans retenue. Elle est à vous, je vous l’offre, ne la ménagez pas, je veux l’entendre crier de plaisir. Vous allez la démonter. La seule chose que je vous demande, c’est d’utiliser des préservatifs pour la pénétrer et jouir
• On est sain mais OK c’est plus prudent avec des inconnus.
• Elle préférerait être baisée sans capote et se faire remplir, je veux la priver de ça ce soir.
Les trois hommes parlaient de moi sans me demander mon avis. Je me sentais profondément humiliée mais je comprenais que c’était la façon de Philippe de me mettre à l’épreuve.
• Vous pouvez vous déshabiller à votre tour, je veux voir si elle a bien choisi. Je suppose qu’elle vous a bien chauffé à la boîte et pendant le trajet.
Les deux hommes s’exécutèrent. Leur érections étaient impressionnantes et me rappelaient mes amants les plus performants, Rachid, Ahmadou, Hassan et N. J’avais envie d’eux, mais j’attendais le signal de Philippe.
• Avec ce bel outil, il vont bien pouvoir s'occuper de toi.
• Tu aurais aimé en profiter aussi mon chéri, n’est-ce pas ?
Philippe n’apprécia pas cette allusion à sa bisexualité et me jeta un regard dur :
• On n’est pas là pour ça ce soir ! Messieurs, allez-y !
• Tu nous rassures, Métro ! On est intéressé que par elle. On va bien s’en occuper.
Philippe, reprenant nos habitudes, s’installa sur un fauteuil, descendit son pantalon et fit signe aux hommes qu’ils pouvaient disposer de moi.
FELLATION ET COIT
Matthias prit l’initiative :
• A genoux, salope ! Suce!
J’obéis et le pris en bouche. Ma main se referma sur la base de la pine et commença à le branler, avant de pratiquer une fellation de reine.
• Ouah, Ludo, quelle pipeuse ! Exceptionnelle !
Je me décidais à m’occuper de Ludo, que je branlais de ma main libre.
• A mon tour, dit Ludo. Je veux te baiser la bouche !
J’approchais mon visage de cette deuxième queue que je pris en bouche, avec l’envie de le faire jouir. Je le pompais de plus en plus vite, le branlant en même temps.
Alors que Ludo a sa grosse bite dans ma bouche, son compère, par derrière, branle activement ma chatte, afin de la préparer à la pénétration.
Ludo m’enfonce sans ménagement sa queue dans le gosier, en me maintenant la tête. Ce n’est plus une fellation, c’est un coït buccal. Matthias, comme pour en rajouter, m’administre de bonnes claques sur le cul. Prise en sandwich sous le feu de ces deux étalons fougueux, j’émets des grognements étouffés.
• Zoreille, file-moi une capote, je vais niquer ta pute !
Matthias, après avoir mis le préservatif que lui avait tendu Philippe, se fraya un passage vers ma chatte trempée et y apposa sa bite immense. Il poussa un peu, jusqu'à ce que la tête presse entre les lèvres, et l'introduit jusqu'à mi-gland, pendant que Ludo continue à baiser ma bouche.
L'interminable bite commence à pénétrer ma chatte, centimètre par centimètre.
De mes yeux coulent de grosses larmes qui ravagent mon maquillage, et de ma bouche s'échappe de la bave. Philippe n'en perd pas une miette et encourage mes amants.
Sous les coups de butoir, j’émets des sons étouffés. Quant à la queue qui se trouve dans ma bouche, elle ne me laisse aucun répit. Je me sens totalement prisonnière de ces deux hommes.
Je prends mon pied dans cette baise bestiale, en femme soumise, devant mon mari. Philippe le sait bien : en bon candauliste, il prend lui aussi son pied à voir sa femme se faire baiser ainsi.
Je sens la queue me ramoner, le ventre musclé du mec claquer contre mes fesses et frôler le trou du cul lors des poussées plus vigoureuses qui écartaient les globes. Matthias était comme un ours en rut, allant et venant entre mes jambes.
Ludo avait posé la main sur mes cheveux, d'un air protecteur et sentait venir le sperme du fond de ses couilles. Il n'annonça rien mais Philippe comprit au visage du type :
• Tu peux te vider dans sa bouche, vas-y !
• Je vais pas me gêner ! Avale, salope !
Ludo me maintenait la tête et je me suis pris plusieurs giclées. Je le pompais encore. Le type grognait et crispait sa main dans mes cheveux, les tirant et me faisant un peu mal.
Le foutre que je n’avais pas réussi à avaler coula sur mon menton et mes seins alors que je relevais la tête.
Lorsque la queue se dégage enfin de ma bouche, je me mis à crier à gorge déployée. Les coups de reins puissants de l'arrière me propulsent au septième ciel.
J’aurais tant aimé me faire remplir. A défaut, je demandais à Matthias de sortir de ma chatte, d’enlever son préservatif et de me souiller.
• Prends ça, petite putain !
Les jets de sperme blanc jaillirent de ce gland noir en rafales sur mon visage et mes cheveux. Je repris cette bite en bouche. J’en voulais encore et je mis à ranimer leur ardeur en les suçant à tour de rôle.
Les deux étalons étaient loin d'en avoir fini avec moi.
On marqua alors une pause autour d’une coupe de champagne, pendant que je continue à les stimuler avec ma bouche et mes mains.
SODOMIE ET DOUBLE PENETRATION
Matthias s’adresse à Philippe :
• On peut l’enculer ? J’ai envie de lui casser le cul
• Bien sûr !
• Quant à moi, elle va me sucer à nouveau. Jamais connu une pompeuse pareille
Pendant que Ludo, à l'avant, maintient fermement mon cul, Matthias, à l'arrière, m’enfile sans ménagement. J’ai beau être habituée à être aussi prise par la voie étroite, au départ c’est plutôt douloureux, avant que ne montent d’autres sensations. Reins cambrés, toujours maintenue solidement par Ludo qui me fourre sa queue dans la bouche, je m’étouffe, mes cris entravés par la bite. Philippe sait je suis ô combien bruyante dans l'orgasme, quand je peux crier librement.
• Matthias, on va changer. Moi aussi, je veux goûter à ce joli cul.
Toujours protégés, les deux hommes changent. Ludo m’enfile à son tour prestement. Je jouis sans retenue. Le relais des deux queues qui viennent tour à tour baiser mon cul, s'enchaîne dans un rythme soutenu. L'alternance fait que ces deux bites restent toujours vaillantes, pour mon plus grand bonheur. Ce duo alterné me défonce admirablement le cul. Je n’en peux déjà plus.
Sur un signe de Philippe, les deux hommes cessent leur manège et me positionnent pour une double pénétration. Matthias me hisse sur lui et s'allonge sous moi. Empalée sur lui par la chatte, je suis prise par Ludo par derrière. Ainsi, je sens en moi ces deux queues coulisser simultanément : l'une dans ma chatte, l'autre dans mon cul.
Ces deux queues impitoyables me font hurler de plaisir. Pour faire taire mes cris de plaisir, pour parfaire ce moment de bonheur, j’aurais envie de la bite de Philippe dans ma bouche. Il s’en garde bien. Installé sur son fauteuil, il est nu lui aussi et bande à mort, sans même se toucher.
• Ca te plait chéri ?
• Oui, beaucoup ! Allez-y les gars ! Qu’elle est belle quand elle jouit !
• Tu m’aimes ?
• Je pensais te détester. Mais je ne peux me passer de toi, chérie. Encore !
Ses paroles me soulagent et me donnent autant de plaisir que les queues qui me pilonnent.
Les deux hommes choisissent une nouvelle pose. Je me retrouve sur le dos, jambes en l'air. On peut voir mes deux orifices béants, baisés par ces deux incroyables bites.
Pour cette nouvelle pose, Matthias se glisse sous moi pour me sodomiser alors que Ludo me prend par la chatte. Souples et agiles, ils me prennent en cadence. Mon visage est déformé par le plaisir, des tremblements agitent mon corps, je crie mon plaisir et enchaine les orgasmes, alors qu’ils poursuivent le double coït.
Il est temps pour les deux hommes de jouir à leur tour. Comprenant qu’ils ont l’accord de Philippe, ils ne veulent pas se vider dans leur capote. Ils sortent en même temps de mes trous béants et enlèvent leur préservatif.
• Mets-toi à genoux !
Je suce, l'une après l'autre, ces deux bites. Je me mets à branler les deux queues avec chacune de mes mains. Je sais qu’ils ne pourront résister longtemps à ma langue et à mes mains. Matthias soupire. Je le branle avec application tout en le titillant. Matthias est secoué de spasmes. Il gicle en hurlant, sur mon visage et dans ma bouche.
Je m’occupe alors de Ludo. Je le branle d’une main légère et rapide. Il éjacule en arrosant copieusement de son sperme, mon visage, mes seins, mes cheveux.
REPRISE DE NOTRE RITE
Il me reste une chose à faire, qui m’a tant manqué. Je me lève et me dirige vers Philippe, me mettant à genoux devant lui.
Je comprends tout de suite qu’il va se laisser faire, marquant ainsi que je retrouve ma place à ses côtés. C’est pour moi, comme pour lui, une délivrance.
Philippe s’abandonne à moi. Les deux hommes observent en silence, stupéfaits. Je commence par lécher avec délicatesse son gland. Philippe gémit, caresse mes cheveux avec tendresse.
Doucement, je le pompe avec amour. Il est au paradis. Revit-il les scènes que je viens de lui offrir ? Il semble enfin oublier les mois de cauchemar que nous avons connus du fait de ma trahison. Je ne veux plus qu’une chose, qu’il soit heureux.
Je voudrais que cette fellation dure une éternité mais je sais qu’il ne va pas pouvoir tenir, qu’il va bientôt exploser dans la bouche de sa tendre épouse.
• Oh Olga, je t’aime, je vais venir, mon amour. Ouiiiiiiiiii
Philippe éjacule dans un spasme. Il hurle, m’envoyant une quantité incroyable de sperme dans la gorge, que j’avale soigneusement. Nous renouons avec notre vieux rite et c’est pour moi la confirmation et de son pardon et de son amour.
Matthias et Ludo comprirent qu’ils devaient s’éclipser.
• Vous êtes un couple très particulier. Vous avez certainement plein de choses à vous dire. Merci pour la soirée !
• Bonne continuation les amoureux !
EPILOGUEIl n’est pas besoin de dire que Philippe et moi avons fait ensuite l’amour toute la nuit, un peu comme si c’était notre première fois. Comme cela s’était passé quand il m’avait reconquise sur Hassan, je retrouvais un autre Philippe. J’étais conquise par sa volonté et sa virilité. Et même s’il ne pouvait rivaliser en taille ou en endurance avec les hommes à qui je venais de m’offrir, je connus dans ses bras ce soir-là un immense plaisir, celui que se donnent deux êtres qui se retrouvent et qui s’aiment.
Au petit matin, j’envoyais enfin un message à Agun, inquiète, qui voulait savoir comment ça s’était passé. Je me contentais de lui dire que ça avait été merveilleux, que j’étais amoureuse et j’ajoutais à son intention « merci, car sans toi, rien n’était possible ».
Ce n’est qu’ensuite, avec Philippe, que nous avons beaucoup parlé.
Il avait voulu cette séance pas uniquement dans le cadre de son candaulisme. Il voulait vérifier que désormais j’accepterais ses règles.
Ce n'est pas par candaulisme qu'il avait décidé que je retrouve ma place auprès de lui, c'est parce qu'il avait compris qu'il m'aimait toujours, parce que les enfants avaient besoin de moi, qu'il avait décidé de tourner la page. Ce soir-là, il avait d'abord voulu me tester.
Il avait compris que quoi qu’il en dise, il ne pouvait se passer de moi. Il acceptait donc mon retour à la maison, en oubliant ce qui s’était passé.
Je n’ai rien caché à Philippe et pris sur moi toute la responsabilité. Philippe atténua les choses en reconnaissant aussi sa part pour avoir encouragé mon hypersexualité, ouvrant ainsi la boite de pandore. Je lui ai promis que désormais rien ne se ferait en dehors de son consentement et dans le cadre de règles que nous allions fixer ensemble et dont j’ai présenté la dernière version dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : Pacte candauliste et amendements », texte paru le 20 juin 2019.
Les choses n’ont pas toujours été faciles mais nous avons toujours respecté jusqu’à présent le cadre que nous nous sommes fixé. Je n’ai plus fait aucun écart et je sais bien quelles seraient les conséquences. Je n’aurais pas de nouvelle chance, ni avec Philippe, ni avec Agun
Il a fallu se faire accepter des enfants, ce qui ne fut pas simple avec l’ainée, qui m’en voulait beaucoup. La famille s’est élargie avec un quatrième enfant, pour lequel Philippe est un vrai père. Philippe a su aussi, à force de patience, convaincre Hassan de revenir aux arrangements antérieurs concernant ma seconde fille.
J’ai du, pendant des mois, accepté la liaison de Philippe avec Théodora, ce qui ne fut pas simple pour moi. Je n’ai pas poussé à leur rupture et je ne pouvais le lui demander. C’est elle qui accepta mal mon retour et ma présence au domicile conjugal et qui finit par rompre.
J’ai trouvé mon équilibre entre Philippe et Agun, auprès des deux personnes que j’aime. Sans doute cela a été facilité par le fait que mon hypersexualité est désormais davantage maîtrisée, Philippe prenant soin d’organiser de temps, des moments où son candaulisme et mon hypersexualité peuvent s’exprimer.
Cette soirée candauliste a été particulière, puisqu’elle était voulue par Philippe comme un test de mon comportement. Le candaulisme, qui, à plusieurs reprises, avait failli détruire définitivement notre couple, a permis paradoxalement de le reconstruire.
Je mesure la chance que j’ai eue car mon comportement a bien failli détruire mon couples, je devrais dire mes couples et notre famille. C’est pourquoi je ne plaide plus aujourd’hui pour la liberté sexuelle absolue dans un couple marié et, pour l’avoir pratiqué, je mets en garde contre les conséquences de l’adultère qui, non seulement repose sur le mensonge, mais qui est destructeur.
Le plaisir sans freins et l’hypersexualité ont dirigé mes choix.
Je sais aujourd’hui que les sentiments et la famille doivent être préservés et constituer la priorité.
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