Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2021 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage
AVERTISSEMENT
Ayant donné la priorité aux textes écrits en commun avec ElodieParis, qui ont représenté au total seize chapitres, je n’ai plus publié de textes autobiographiques depuis le 11 novembre 2020.
Ceux qui ont suivi mes récits savent qu’ils sont d’abord pour moi un moyen de mesurer le chemin parcouru et d’assumer mes dérapages passés. J’ai déjà dit beaucoup de choses dans cet exercice de transparence, mais pas tout et j’ai envie de poursuivre.
Les textes qui ont été pour moi les plus difficiles à écrire ont été évidemment ceux qui portaient sur ma période de soumission totale envers Rachid. Mais les plus douloureux furent ceux où j’ai raconté la période de mon adultère avec N, entre l’été 2016 et le printemps 2017. J’ai raconté comment, pour suivre mon amant, j’avais trahi Philippe et Agun, abandonné ma famille et comment il a été possible de réparer ce que j’avais détruit.
Ce que j’ai fait à ce moment-là n’est pas arrivé par hasard et sur un coup de folie. C’était certes le produit d’une hypersexualité qu’avait tant encouragé mon mari candauliste. Avant l’épisode de la rencontre avec N, cet inconnu à qui je m’étais offerte sur mon lieu de vacances, il y avait eu des dérapages annonciateurs. Ce texte est le récit d’un de ces dérapages, qui s’était produit en juin 2016 et qui était annonciateur de la suite.
Je ne publie pas ce texte à cause d’un quelconque masochisme, mais simplement pour aller au bout de mon besoin de solder une longue période où j’ai souvent mis en danger ma famille, mon couple et mes proches et moi-même. En le publiant aujourd’hui, je répète que je mesure ainsi le chemin parcouru, qui a permis de réguler et de maîtriser mon hypersexualité.
Il y avait eu d’autres dérapages où je m’étais laissée aller à baiser avec des inconnus sans protection allant jusqu’à les laissant jouir en moi.
Sur ce sujet, je renvoie en particulier aux textes suivants, qui se sont passés à l’automne 2015 :
• « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite. » (16 décembre 2018) où je parle de la soirée passée avec un inconnu, Claude, au cinéma, puis à l’hôtel et ce hors de la présence de Philippe. Cela s’est passé à l’automne 2015.
• « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train » (4 mai 2019), où je me suis offerte à Kévin, un jeune étudiant. Cette fois, Philippe avait été informé en direct.
Après mon retour au domicile conjugal en 2017, Il y a eu un seul dérapage comparable en 2018 à domicile, mais cette fois dans un cadre candauliste, dont j’ai parlé dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : une soirée au restaurant » (publié le 23 février 2019). Nous avions alors fait venir à domicile Mathieu, le serveur d’un restaurant que j’avais rendu fou à cause de ma tenue et de mon comportement
Depuis le récit 54, je n’ai plus numéroté mes textes autobiographiques parce que leur publication, qui ne suit plus la chronologie, se fait en fonction de ma volonté, de mes besoins de « catharsis ». Ce n’est pas facile, mais dire ce qui s’est passé me fait beaucoup de bien. C’est aussi le cas pour ce texte, que je publie après en avoir parlé avec Philippe et Agun.
Ceci s’est donc passé en juin 2016, avant ma rencontre avec N sur notre lieu de vacances. Ce dérapage était plus grave que les précédents de l’automne 2015, car hors cadre candauliste et sans que Philippe ne soit au courant au moment des faits. Cela était annonciateur de ce qui allait se passer quelques semaines plus tard avec N.
MANQUE ET DISPUTE
A ce moment-là, il y avait près de trois mois que Philippe n’avait rien organisé pour moi dans un cadre candauliste, contrairement à nos accords.
J’étais de plus en plus frustrée et je ne pouvais être apaisée ni par mes étreintes saphiques avec Agun, ni par mes relations avec Philippe, ni par les plaisirs solitaires.
J’avais d’ailleurs constaté que la fréquence de mes masturbations, que j’ai toujours pratiquées assidument, ne cessait de s’accroître. Quand l’envie me prenait, il fallait que je me soulage, avec la difficulté que mes orgasmes sont difficilement silencieux et discrets. A la maison, pendant le temps scolaire, ça ne posait pas de problème et j’occupais une part de mon temps à me caresser, à me doigter, à partir de lectures érotiques ou en pensant à des mâles vigoureux qui m’enverraient en l’air. Je pensais aussi à ce que j’avais vécu et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à écrire les textes que j’ai ensuite publiés sur HDS.
C’était plus difficile de me soulager après le retour des filles de l’école. Je devais m’occuper d’elles et il ne fallait pas qu’elles me surprennent ou m’entendent.
Ce n’était pas simple non plus quand j’étais à l’extérieur et, en conséquence, je limitais mes sorties. Quand l’envie me prenait, il fallait que je trouve un endroit pour me masturber, dans ma voiture, une salle de cinéma, une cabine d’essayage ou encore des toilettes. Celles qui avaient dû patienter avant que je sorte devinaient ce que j’avais fait, du fait de mes gémissements, difficiles à contrôler. En règle générale, elles ne disaient rien, certaines me lançant un regard noir et réprobateur. Je me souviens cependant d’une dame qui devait avoir la cinquantaine et qui, elle, me traita de « poufiasse », de « perverse », de « dégénérée ». Mon sang n’avait fait qu’un tour et j’ai répondu avec insolence :
• Tu devrais essayer, tu verras, ça fait du bien !
Je me suis prise une gifle, finalement bien méritée. C’est cet incident qui m’a amené à parler à Philippe le soir même, une fois les filles couchées.
J’ai raconté à Philippe ce qui s’était passé dans la journée :
• Chéri, ça va va faire trois mois que tu n’as plus rien organisé. Je n’en peux plus, tu le sais. Je suis en manque, j’ai envie d’être baisée par un mâle. Tu sais bien que même si tu me donnes du plaisir et que je t’aime de toute mon âme, tu ne me suffis pas. Quant à Agun, c’est autre chose. C’est d’une queue dont j’ai besoin !
Philippe me regarda, surpris, car je n’emploie pas ces mots habituellement, sauf quand je suis « en situation »
• Chérie, patiente encore un peu, nous serons bientôt en vacances. J’ai parlé à ta mère au téléphone, elle est d’accord pour s’occuper des filles pendant notre séjour. J’ai choisi un superbe hôtel où nous serons libres de faire tout ce que nous voulons. Je te promets un séjour très chaud, mon Olga.
• Je te remercie, mon amour. Mais il y a encore six semaines avant ce moment. Je ne peux pas tenir jusque-là.
• Il le faudra bien. Je n’ai pas le temps d’organiser quelque chose d’ici notre départ en vacances. Le genre d’hommes que nous recherchons, les conditions que nous nous sommes imposées, tout ça fait que ce n’est pas si facile. Sans compter que j’ai toujours la crainte que tu t’affranchisses de nos règles, comme à l’automne dernier avec ce Claude ou encore quand tu as fait ce voyage en train et où tu t’es offerte à cet étudiant, comment s’appelait-il déjà ?
• Kévin. Tu as bien aimé pourtant quand il est venu à la villa et qu’il m’a baisé devant toi
• J’ai adoré, tu le sais ! Ce qui m’a gêné avec Claude et avec Kévin est que tu t’es faite baiser sans préservatif et qu’ils se sont vidés en toi. Avec des inconnus ! Encore heureux que tu prends la pilule depuis la naissance de Sofia.
• Tu sais très bien que c’est ainsi que je prends le plus mon pied car j’aime être remplie. Il me semble qu’il fût un temps, celui de Rachid, où tu aimais ça. Tu oublies que c’est à cause de toi, Philippe, que je suis ainsi. C’est toi qui a relancé mon hypersexualité, c’est toi qui m’a fait croiser la route de Rachid ! J’étais même devenue la « femelle » de ce type, qui a tout fait avec moi, même me faire un enfant. Et ce n’est pas grâce à toi que nous sommes libérés de ce prédateur !
• Oui je sais, c’est grâce à Hassan ! J’espère que tu ne le regrettes pas non plus, celui-là !
• Tu es injuste car c’est toi et toi seul que j’aime et que j’ai choisi au bout du compte. Je ne regrette ni Rachid, ni Hassan, ni ce que nous avons fait. Tu m’as poussé à assumer mon hypersexualité et tu avais sans doute raison, même si nous avons été loin, très loin, trop loin. Mais maintenant, tu me laisses dans cet état. Ne vois-tu pas que je n’en peux plus, que je crève d’envie ? Mais pourquoi ne tiens-tu pas tes engagements, ne fais-tu pas ce que tu as promis ? Tu n’es plus candauliste, Philippe ?
• Je le suis toujours et j’ai toujours autant de bonheur à être le complice et l’ordonnateur de tes plaisirs. J’essaie seulement de le faire dans le cadre que nous nous sommes fixé.
• J’ai donné mon accord sur ça, car je sais bien que la période Rachid a failli nous détruire. Des garde-fous sont nécessaires, mais ces règles sont très difficiles à appliquer. Par exemple, celle qui exige de ne pas revoir deux fois le même amant, alors que Claude ou Kévin m’avaient apporté tout ce dont j’ai besoin et qu’ils voulaient me revoir.
• Justement, j’ai peur que tu ne tombes amoureuse d’un autre.
• C’est bien ce que je pensais. Tu ne me fais pas confiance et en plus tu ne fais pas ce qu’il faut ! Tu mettais plus de zèle à retrouver cette petite putain d’Ambre ! Je me demande d’ailleurs si tu ne la revoies pas en cachette.
Philippe a blêmi à ce moment là. Je l’avais vexé. Je savais qu’en évoquant sa liaison avec Ambre, je touchais un point sensible.
• Encore cette histoire, Olga ! C’est insupportable, tu vas me la reprocher encore longtemps ? J’ai rompu avec elle, ça fera bientôt deux ans, avec brutalité et devant toi. Cette petite ne méritait pas d’ailleurs d’être traitée ainsi ! Nous lui avons fait beaucoup de mal.
• Au fond c’est elle qui te faudrait, ou Flavienne. Moi je suis trop exigeante sans doute ! Je sais ce qu’il me reste à faire.
Nos disputes ont toujours été rares, mais nous savions l’un et l’autre que nous n’étions pas sur la même longueur d’ondes. Cette nuit-là, je suis allée dormir dans la chambre d’ami.
De fait, j’ai peu dormi, car j’étais très en colère. Je me suis souvenue de toutes ces années, de ma volonté, après notre rencontre, de rompre avec mon hypersexualité, de construire, avec Philippe, un couple classique, en devenant une honorable mère de famille. Or mon mari m’avait harcelé, pendant des années, pour que j’assume pleinement mon hypersexualité, allant jusqu’à organiser un adultère le soir de notre (premier) mariage et finir par faire appel à un véritable prédateur, Rachid, pour me faire retomber dans mon hypersexualité, sans imaginer sans doute jusqu’où cela nous mènerait. Et maintenant, il n’assumait plus, c’est du moins ainsi que je le ressentais. Je sais aujourd’hui que j’étais injuste, mais à ce moment précis ma frustration et mon manque étaient les plus forts.
J’étais donc bien décidée à me passer de l’autorisation de Philippe et à agir, dès le lendemain. Je me suis gardée d’en parler à Agun qui aurait sans doute su trouver les mots pour me calmer et que je redevienne raisonnable. Je savais ce dont j’avais besoin et j’étais bien décidée à agir en conséquence.
PREPARATIFS
Le lendemain matin, nos relations étaient toujours aussi fraiches avec Philippe. Il avait manifestement lui aussi passé une mauvaise nuit et n’avait pas eu droit à sa traditionnelle fellation du matin. Nous n’avons pas échangé un mot. Nous avons préparé les filles, que Philippe déposait à l’école pour les deux aînées et à la crèche pour la dernière. Je n’ai pas eu droit à mon baiser habituel avant qu’il ne s’en aille. Il m’a seulement informé qu’il rentrerait plus tard ce soir-là, du fait de ses obligations professionnelles. Cela ne pouvait que conforter mes intentions.
J’ai appelé Agun :
• Ma chérie, comme tu es disponible, tu veux bien récupérer Lucie et Leila à l’école, Sofia à la crèche, puis rester avec elles jusqu’au retour de Philippe ?
• Je le ferai. Mais pourquoi t’absentes-tu ? Tu ne veux pas qu’on se voit ? Qu’on en parle ? Ne fais pas de folies, mon Olga !
• Je sais ce que je fais. Je t’expliquerai et je serai ce soir à la maison. Demain, comme prévu, nous serons ensemble. Ne t’inquiète pas. Je t’aime !
Agun était inquiète, mais n’a pas osé insister. Une fois que nous avions raccroché, je me suis préparée.
Quelle tenue choisir pour ce qui était de ma part une sorte de chasse ?
J’ai alors choisi une tenue similaire à celle que je portais, près de neuf ans auparavant, lorsque j’avais rencontré Rachid (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga » 1er janvier 2017) : une jupe courte, un mini string blanc, des bas noirs. J’ai choisi un chemisier décolleté, pas de soutien-gorge. En 2007, je ne m’étais pas rendue compte qu’un tel chemisier était assez translucide et laissait voir mes seins sous le tissu. Cette fois, je le savais et je le portais en connaissance de cause.
Prenant soin de mon corps et de ma ligne, je pouvais, neuf ans après et malgré trois grossesses, porter la même tenue. La différence était que cette fois je n’ignorais pas l’effet que cela devait produire sur des hommes. Je voulais vérifier si mon pouvoir de séduction était toujours le même. Volontairement, je n’ai pas pris avec moi de préservatifs. Je recherchais délibérément une aventure, un adultère et j’étais décidée à m’offrir entièrement, sans protection, en sachant que je prenais, à la demande de Philippe qui ne voulait pas alors d’un autre enfant, une pilule contraceptive.
Après m’être soigneusement maquillée et avoir choisi un parfum discret, je me suis rendue en début d’après-midi dans une galerie commerciale, à la périphérie de la ville.
LA CHASSE ET LA PROIE
Je faisais semblant de m’intéresser aux vitrines, de faire des essais, mais je n’étais pas venue pour faire du shopping. Je marchais lentement, d’autant plus que j’avais choisi de porter des chaussures avec talon-aiguille, ce qui ne pouvait qu’attirer l’attention sur mon cul mis en valeur dans cette jupe serrée.
Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps.
Je venais de passer, dans cette galerie, devant un bar où se tenaient deux jeunes hommes, d’une vingtaine d’années. Je passais à leur hauteur et, alors que je leur adressais mon plus beau sourire, j’ai entendu :
• Antonio, t’as vu cette meuf ?
• Ouais, Daniel. Wouah, quel cul elle a ! Dis-donc, cette jupe, ras-les-fesses !
• Je l’ai bien maté, quand elle est passée lentement. Je te dis qu’elle n’a pas de soutif !
• Si tu veux mon avis, elle est là parce qu’elle a le feu au cul
• T’as raison, laisse-moi faire, je vais lui parler !
Celui qui s’appelait Daniel s’est levé et s’est approché de moi :
• Bonjour Mademoiselle. Je m’appelle Daniel et mon copain c’est Antonio.
• Bonjour, je m’appelle Olga. Vous êtes flatteur. Je ne suis plus une demoiselle, je suis mariée et mère de famille.
• Il a de la chance, votre mari. Vous êtes superbe.
Daniel me dévisageait et son regard se perdait dans mon décolleté. Il ne m’avait pas échappé que son jeans serré était déformé par une érection prometteuse. J’avais trouvé ce que je cherchais. Je lui ai souri, ce qu’il a pris pour une confirmation qu’il ne s’était pas trompé sur mon compte. Il est alors passé au tutoiement.
• Avec mon copain, on s’est dit que tu prendrais bien un café avec nous. Nous sommes étudiants mais nous sommes libres cette après-midi.
Je pouvais encore arrêter l’engrenage et prendre la poudre d’escampette. Au lieu de ça, j’ai senti le désir de ce type et je me suis dit : « tant pis pour toi, Philippe, tu n’as pas fait ce que tu avais promis de faire. Alors, je trouve moi-même. »
J’ai suivi Daniel et je me suis assise entre lui et son compère.
Nous avons commencé par les présentations. J’appris qu’ils étaient tous les deux étudiants, âgés de 21 ans, en villégiature cette après-midi là. Ils ne cachèrent pas qu’ils s‘étaient posté à cet endroit stratégique pour « lever des filles »
• Mais on ne pensait pas rencontrer une jolie femme comme toi!
Daniel et son copain avaient compris que je n’étais pas là par hasard. Ils firent des gros yeux quand je leur dis que j’avais 39 ans. Ils auraient pu être mes fils. Ca tombait bien. Depuis l’époque de Rachid et mes séances hebdomadaires à la cité, j’aimais particulièrement rencontrer des amants bien plus jeunes que moi.
• Tu es là pour faire du shopping, faire chauffer la carte bancaire pendant que ton mari est au boulot ?
• Oui, pour ça et d’autres choses, si l’occasion se présente !
• Ca semble clair ! nous sommes à ta disposition, ma belle !
A ce moment là, comprenant ce que je recherchais, ils ne gênèrent plus. Pratiquement en même temps, les deux jeunes hommes mirent la main sur ma cuisse. Je sentais monter en moi mon excitation. Mes tétons se dressaient et je savais que ma chatte devenait de plus humide. Des semaines de privation allaient prendre fin. J’avais une envie folle de baiser avec ces deux types.
Antonio mit alors la main sur ma tête et m’attira vers lui pour prendre mes lèvres. Je répondais avec passion à son invitation, accordant ensuite la même chose à Daniel. Je faisais cela dans cette galerie commerciale, sans me soucier d’être éventuellement reconnue, même si, sortant peu, le risque était très limité.
• Je vois que tu n’as pas froid aux yeux pour une femme mariée ! On ne peut pas faire davantage ici sinon on risque l’attentat à la pudeur.
• On va chez toi ? Nous on a chacun une petite chambre chez l’habitant, ce n’est pas possible.
• Chez moi non plus, car mes enfants vont rentrer de l’école et de la crèche.
• J’ai une idée : dans la forêt à proximité, il y a un endroit discret, une clairière. On prend ta voiture et on y va !
Je n’ai pas discuté, je les ai suivis. Ils me prirent par la main et nous rejoignirent ma voiture, notre progression étant ralentie par les baisers fougueux que nous échangions.
EN FORET
Daniel prit le volant et je me suis installée à l’arrière avec Antonio.
Après 10 minutes de route, l’excitation me torturait. Antonio caressait ma cuisse avec tendresse et envie, je sentis sa main remonter le long de ma cuisse, passant à l’intérieur de ma jupe.
J’étais impatiente. Daniel mit un bon moment à trouver un coin tranquille, le long d’un petit chemin à peine carrossable en lisière de forêt. D’un côté une forêt dense, de l’autre un chemin, des champs à perte de vue et personne à l’horizon. La voiture stationnée au bord du chemin, à deux mètres environ de la végétation, nous servait à être hors de vue.
Daniel n’avait pas perdu de vue nos ébats à l’arrière, il attendait son tour.
J’étais excitée, j’enlevais donc mes vêtements, j’étais nue au milieu de la forêt, Daniel s’approcha et m’embrassa fougueusement, il massait mes fesses. Je m’agenouillais devant lui, et déboutonnais son jeans puis lui enlevais son caleçon pour libérer son gros pénis bien dur. Je le pris tout de suite en bouche et le suça passionnément. Je léchais son gland et prenais ses bourses dans ma bouche. Daniel baisait ma bouche en s’agrippant à mes cheveux, j’étais prise de hauts de cœur tant son gland car il faisait une gorge profonde,
• T’aime sucer ma queue hein, salope !
• Oh que oui je l’aime ta grosse bite.
Antonio n’entendait pas rester spectateur. Il m’allongea sur l’herbe qui caressait mon dos et ma peau, c’était divin. Antonio se mit sur moi pour m’embrasser et me caresser. Le jeune mâle descendit lécher et mordiller ma poitrine, il en était complètement accro. Il commença à s’occuper de mon sexe, il me léchait passionnément, pénétrant en moi avec sa langue. Il prenait ma vulve dans sa bouche pour aspirer toujours plus de cyprine. L’orgasme ne tarda pas à venir et je jouis dans sa bouche,
• OUI ! putain Antonio, c’est bon !
Il remonta sur moi pour m’embrasser à nouveau, l’odeur de ma chatte se dégageait de sa bouche. J’en voulais plus, j’étais venue pour me faire prendre.
Daniel l’avait compris.
• J’ai envie de te baiser !
• Alors vas-y défonce moi, baise moi !
• T’as pas de capote ?
• Non et je veux être prise sans et que vous vidiez en moi. Je suis clean. Et vous ?
• Evidemment, ma belle !
Il me tourna pour me mettre sur le ventre, ma poitrine était écrasée contre la terre, j’écartais les cuisses et mis mon postérieur en valeur,
• Allez vas y, pénètre moi.
Il frottait son gland le long de ma vulve trempée ce qui me rendit folle de sexe, je sentais son gland qui commençait à forcer l’entrer de ma chatte. Il entrait tout doucement en moi, centimètre par centimètre, écartant les parois de mon vagin. Je sentais son gland s’écraser contre le fond de ma chatte mais il continuait de pousser. Il s’appuyait contre moi, je sentais son torse contre mon dos. Il me mettait des coups de rein, tantôt doucement, tantôt énergiquement. J’étais une chienne qui se faisait baiser en pleine nature par un beau mâle, quel pied ! Je ne pouvais m’empêcher d’exprimer mon plaisir. Ca m’avait tant manqué !
• Oui vas-y baise moi, baise moi j’aime ça ! Ouiiiii
Daniel mordillait mes oreilles et ma nuque, son dard labourait mes entrailles. Le poids de Daniel m’immobilisait fermement contre le sol, il me dominait. La pression de son sexe en moi combiné au sentiment de soumission déclencha un second orgasme. Mon vagin se contracta au tour du membre érigé de Daniel. Mes cris de plaisir étaient atténués par la main de Daniel sur ma bouche. Daniel reprit ses vas et viens en moi toujours aussi fermement, il avait chaud je pouvais sentir sa sueur coulée sur mon dos, il fut pris de spasmes,
• Olga, je vais jouir, oh…hum...
• Jouis en moi ! Je t’ai dit, je veux sentir ta semence couler en moi.
Je sentis son pénis se contracter et expulser son sperme par grosse giclée dans mon vagin, son liquide coulait en moi, c’était bon.
Je me sentais soumise et offerte. C’était au tour d’Antonio. Je tendais de plus en plus mon cul, m’offrant pour une nouvelle saillie.
Mais Antonio voulait autre chose. Il m’écarta avec brusquerie les fesses de sa main droite. Ma respiration s'accélérait. Alors que je m’attendais à ce qu’il m’enfourne, contre toute attente, il me mit brutalement un doigt dans la chatte. Son majeur s'enfonça dans mon vagin brûlant et inondé par le sperme de son copain.
Je me mis à haleter et le suppliais de continuer.
• Fourre-moi tes doigts, salaud. Vas-y !
Je lançais des grossièretés et des jurons, je savais que mes propos l’excitaient au plus haut point. Il poussait son majeur profondément. Ma chatte était tellement humide et dilatée, sa main pouvait y entrer toute entière s’il forçait encore un peu.
Antonio imprimait alors des petits coups en forçant son poing contre ma chatte. Puis il enfila d’un coup trois doigts et, en recroquevillant sa main quatre doigts entrèrent en forçant encore plus fort. Seul son pouce était libre et il en profita pour titiller ma rondelle. Je gémissais et criais de plus en plus. Je me cambrais brusquement et poussais un cri au moment d’avoir un nouvel orgasme.
N’en pouvant plus, Antonio attrapa son sexe dur et me le fourra d’un coup dans la chatte. Après ce qu’il m’avait fait, son engin, de belle taille, rentra d’un coup, sans résistance, dans ce vagin humide, chaud et dilaté.
Antonio m’agrippait à pleines mains par les hanches en me fourrageant violemment avec de plus en plus d’intensité.
A peine m’avait-il pénétrée que j’ai joui de nouveau longuement en faisant des soubresauts. A son tour, Antonio se libérait en moi.
Daniel avait repris de la vigueur et exprima clairement son désir :
• Suce-moi !
Daniel empoignait ma tête par les cheveux, ce qui m’excita de plus belle. Je le suçais si goulument qu’il explosa soudain.
Nous avons poursuivi une bonne partie de l’après-midi.
Je suçais Antonio pendant que Daniel me pénétrait avec violence. Je multipliais les orgasmes. Daniel embrassait mes seins pendant que je lui embrassais le dard.
C’est dans cette mêlée et cette position que j’ai joui un nombre considérable de fois sous les coups de boutoir dans le cul et la bouche de mes deux jeunes amants.
RETOUR A LA MAISON ET CONSEQUENCES
Je suis rentrée tard ce jour-là, les filles étaient déjà couchées, Agun était rentrée chez elle.
Philippe m’avait attendu. Il était en colère, son visage était fermé. Il savait, ou du moins avait deviné ce qui s’était passé. Il m’a dit par la suite qu’il s’en était voulu de ne pas avoir compris la veille que j’étais à un point où je ne pouvais plus attendre. Mais sur le moment, nous n’en n’avons pas parlé.
J’ai voulu tout lui raconter, comme je l’avais toujours fait, à l’exception, à l’automne 2014, de mon adultère avec Denis, la vraie raison qui m’avait poussé à démissionner de mon travail (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau. « 29 novembre 2018)
Il m’a arrêté, me faisant comprendre qu’il ne voulait pas que j’approche, contrairement à nos habitudes, où il demandait que je raconte et où ça se terminait en général au lit, Philippe allant à la découverte des traces de mes ébats.
• Pas ce soir, s’il te plait. Vas prendre une douche, tu sens la putain.
Je suis devenue pâle, car jamais, au grand jamais, Philippe ne m’avait parlé comme ça. J’étais coupable d’un grave dérapage et je ne voulais pas en rajouter même si j’avais envie de lui dire qu’il m’avait poussé dans cette voie, que c’est en désespoir de cause que je m’étais laissée aller à ça et, que, dans des circonstances similaires, il n’avait rien trouvé à redire, au contraire !
Mais, moi non plus, je n’avais pas voulu à ce moment-là d’une explication qui aurait peut-être éviter un autre dérapage, encore plus grave, mon adultère avec N.
Les semaines qui suivirent furent celles d’un apparent retour à la normale, Philippe semblant avoir oublié « l’incident ».
Ce n’est que bien plus tard, après le terrible épisode N, que nous sommes revenus en détails sur ce qui s’était passé ce jour-là. Pour en arriver à ceux conclusions :
• Des excuses réciproques, les miennes car j’avais volontairement dérapé. Et celles de Philippe, pour n’avoir pas su percevoir mon état de manque et aussi pour la façon dont il m’avait « accueillie » à mon retour.
• Une ferme résolution du « plus jamais ça », ce qui suppose de ma part de m’en remettre aux initiatives de Philippe et, pour celui-ci de veiller à une périodicité « raisonnable », répondant aux exigences de mon hypersexualité.
Ayant donné la priorité aux textes écrits en commun avec ElodieParis, qui ont représenté au total seize chapitres, je n’ai plus publié de textes autobiographiques depuis le 11 novembre 2020.
Ceux qui ont suivi mes récits savent qu’ils sont d’abord pour moi un moyen de mesurer le chemin parcouru et d’assumer mes dérapages passés. J’ai déjà dit beaucoup de choses dans cet exercice de transparence, mais pas tout et j’ai envie de poursuivre.
Les textes qui ont été pour moi les plus difficiles à écrire ont été évidemment ceux qui portaient sur ma période de soumission totale envers Rachid. Mais les plus douloureux furent ceux où j’ai raconté la période de mon adultère avec N, entre l’été 2016 et le printemps 2017. J’ai raconté comment, pour suivre mon amant, j’avais trahi Philippe et Agun, abandonné ma famille et comment il a été possible de réparer ce que j’avais détruit.
Ce que j’ai fait à ce moment-là n’est pas arrivé par hasard et sur un coup de folie. C’était certes le produit d’une hypersexualité qu’avait tant encouragé mon mari candauliste. Avant l’épisode de la rencontre avec N, cet inconnu à qui je m’étais offerte sur mon lieu de vacances, il y avait eu des dérapages annonciateurs. Ce texte est le récit d’un de ces dérapages, qui s’était produit en juin 2016 et qui était annonciateur de la suite.
Je ne publie pas ce texte à cause d’un quelconque masochisme, mais simplement pour aller au bout de mon besoin de solder une longue période où j’ai souvent mis en danger ma famille, mon couple et mes proches et moi-même. En le publiant aujourd’hui, je répète que je mesure ainsi le chemin parcouru, qui a permis de réguler et de maîtriser mon hypersexualité.
Il y avait eu d’autres dérapages où je m’étais laissée aller à baiser avec des inconnus sans protection allant jusqu’à les laissant jouir en moi.
Sur ce sujet, je renvoie en particulier aux textes suivants, qui se sont passés à l’automne 2015 :
• « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite. » (16 décembre 2018) où je parle de la soirée passée avec un inconnu, Claude, au cinéma, puis à l’hôtel et ce hors de la présence de Philippe. Cela s’est passé à l’automne 2015.
• « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train » (4 mai 2019), où je me suis offerte à Kévin, un jeune étudiant. Cette fois, Philippe avait été informé en direct.
Après mon retour au domicile conjugal en 2017, Il y a eu un seul dérapage comparable en 2018 à domicile, mais cette fois dans un cadre candauliste, dont j’ai parlé dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : une soirée au restaurant » (publié le 23 février 2019). Nous avions alors fait venir à domicile Mathieu, le serveur d’un restaurant que j’avais rendu fou à cause de ma tenue et de mon comportement
Depuis le récit 54, je n’ai plus numéroté mes textes autobiographiques parce que leur publication, qui ne suit plus la chronologie, se fait en fonction de ma volonté, de mes besoins de « catharsis ». Ce n’est pas facile, mais dire ce qui s’est passé me fait beaucoup de bien. C’est aussi le cas pour ce texte, que je publie après en avoir parlé avec Philippe et Agun.
Ceci s’est donc passé en juin 2016, avant ma rencontre avec N sur notre lieu de vacances. Ce dérapage était plus grave que les précédents de l’automne 2015, car hors cadre candauliste et sans que Philippe ne soit au courant au moment des faits. Cela était annonciateur de ce qui allait se passer quelques semaines plus tard avec N.
MANQUE ET DISPUTE
A ce moment-là, il y avait près de trois mois que Philippe n’avait rien organisé pour moi dans un cadre candauliste, contrairement à nos accords.
J’étais de plus en plus frustrée et je ne pouvais être apaisée ni par mes étreintes saphiques avec Agun, ni par mes relations avec Philippe, ni par les plaisirs solitaires.
J’avais d’ailleurs constaté que la fréquence de mes masturbations, que j’ai toujours pratiquées assidument, ne cessait de s’accroître. Quand l’envie me prenait, il fallait que je me soulage, avec la difficulté que mes orgasmes sont difficilement silencieux et discrets. A la maison, pendant le temps scolaire, ça ne posait pas de problème et j’occupais une part de mon temps à me caresser, à me doigter, à partir de lectures érotiques ou en pensant à des mâles vigoureux qui m’enverraient en l’air. Je pensais aussi à ce que j’avais vécu et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à écrire les textes que j’ai ensuite publiés sur HDS.
C’était plus difficile de me soulager après le retour des filles de l’école. Je devais m’occuper d’elles et il ne fallait pas qu’elles me surprennent ou m’entendent.
Ce n’était pas simple non plus quand j’étais à l’extérieur et, en conséquence, je limitais mes sorties. Quand l’envie me prenait, il fallait que je trouve un endroit pour me masturber, dans ma voiture, une salle de cinéma, une cabine d’essayage ou encore des toilettes. Celles qui avaient dû patienter avant que je sorte devinaient ce que j’avais fait, du fait de mes gémissements, difficiles à contrôler. En règle générale, elles ne disaient rien, certaines me lançant un regard noir et réprobateur. Je me souviens cependant d’une dame qui devait avoir la cinquantaine et qui, elle, me traita de « poufiasse », de « perverse », de « dégénérée ». Mon sang n’avait fait qu’un tour et j’ai répondu avec insolence :
• Tu devrais essayer, tu verras, ça fait du bien !
Je me suis prise une gifle, finalement bien méritée. C’est cet incident qui m’a amené à parler à Philippe le soir même, une fois les filles couchées.
J’ai raconté à Philippe ce qui s’était passé dans la journée :
• Chéri, ça va va faire trois mois que tu n’as plus rien organisé. Je n’en peux plus, tu le sais. Je suis en manque, j’ai envie d’être baisée par un mâle. Tu sais bien que même si tu me donnes du plaisir et que je t’aime de toute mon âme, tu ne me suffis pas. Quant à Agun, c’est autre chose. C’est d’une queue dont j’ai besoin !
Philippe me regarda, surpris, car je n’emploie pas ces mots habituellement, sauf quand je suis « en situation »
• Chérie, patiente encore un peu, nous serons bientôt en vacances. J’ai parlé à ta mère au téléphone, elle est d’accord pour s’occuper des filles pendant notre séjour. J’ai choisi un superbe hôtel où nous serons libres de faire tout ce que nous voulons. Je te promets un séjour très chaud, mon Olga.
• Je te remercie, mon amour. Mais il y a encore six semaines avant ce moment. Je ne peux pas tenir jusque-là.
• Il le faudra bien. Je n’ai pas le temps d’organiser quelque chose d’ici notre départ en vacances. Le genre d’hommes que nous recherchons, les conditions que nous nous sommes imposées, tout ça fait que ce n’est pas si facile. Sans compter que j’ai toujours la crainte que tu t’affranchisses de nos règles, comme à l’automne dernier avec ce Claude ou encore quand tu as fait ce voyage en train et où tu t’es offerte à cet étudiant, comment s’appelait-il déjà ?
• Kévin. Tu as bien aimé pourtant quand il est venu à la villa et qu’il m’a baisé devant toi
• J’ai adoré, tu le sais ! Ce qui m’a gêné avec Claude et avec Kévin est que tu t’es faite baiser sans préservatif et qu’ils se sont vidés en toi. Avec des inconnus ! Encore heureux que tu prends la pilule depuis la naissance de Sofia.
• Tu sais très bien que c’est ainsi que je prends le plus mon pied car j’aime être remplie. Il me semble qu’il fût un temps, celui de Rachid, où tu aimais ça. Tu oublies que c’est à cause de toi, Philippe, que je suis ainsi. C’est toi qui a relancé mon hypersexualité, c’est toi qui m’a fait croiser la route de Rachid ! J’étais même devenue la « femelle » de ce type, qui a tout fait avec moi, même me faire un enfant. Et ce n’est pas grâce à toi que nous sommes libérés de ce prédateur !
• Oui je sais, c’est grâce à Hassan ! J’espère que tu ne le regrettes pas non plus, celui-là !
• Tu es injuste car c’est toi et toi seul que j’aime et que j’ai choisi au bout du compte. Je ne regrette ni Rachid, ni Hassan, ni ce que nous avons fait. Tu m’as poussé à assumer mon hypersexualité et tu avais sans doute raison, même si nous avons été loin, très loin, trop loin. Mais maintenant, tu me laisses dans cet état. Ne vois-tu pas que je n’en peux plus, que je crève d’envie ? Mais pourquoi ne tiens-tu pas tes engagements, ne fais-tu pas ce que tu as promis ? Tu n’es plus candauliste, Philippe ?
• Je le suis toujours et j’ai toujours autant de bonheur à être le complice et l’ordonnateur de tes plaisirs. J’essaie seulement de le faire dans le cadre que nous nous sommes fixé.
• J’ai donné mon accord sur ça, car je sais bien que la période Rachid a failli nous détruire. Des garde-fous sont nécessaires, mais ces règles sont très difficiles à appliquer. Par exemple, celle qui exige de ne pas revoir deux fois le même amant, alors que Claude ou Kévin m’avaient apporté tout ce dont j’ai besoin et qu’ils voulaient me revoir.
• Justement, j’ai peur que tu ne tombes amoureuse d’un autre.
• C’est bien ce que je pensais. Tu ne me fais pas confiance et en plus tu ne fais pas ce qu’il faut ! Tu mettais plus de zèle à retrouver cette petite putain d’Ambre ! Je me demande d’ailleurs si tu ne la revoies pas en cachette.
Philippe a blêmi à ce moment là. Je l’avais vexé. Je savais qu’en évoquant sa liaison avec Ambre, je touchais un point sensible.
• Encore cette histoire, Olga ! C’est insupportable, tu vas me la reprocher encore longtemps ? J’ai rompu avec elle, ça fera bientôt deux ans, avec brutalité et devant toi. Cette petite ne méritait pas d’ailleurs d’être traitée ainsi ! Nous lui avons fait beaucoup de mal.
• Au fond c’est elle qui te faudrait, ou Flavienne. Moi je suis trop exigeante sans doute ! Je sais ce qu’il me reste à faire.
Nos disputes ont toujours été rares, mais nous savions l’un et l’autre que nous n’étions pas sur la même longueur d’ondes. Cette nuit-là, je suis allée dormir dans la chambre d’ami.
De fait, j’ai peu dormi, car j’étais très en colère. Je me suis souvenue de toutes ces années, de ma volonté, après notre rencontre, de rompre avec mon hypersexualité, de construire, avec Philippe, un couple classique, en devenant une honorable mère de famille. Or mon mari m’avait harcelé, pendant des années, pour que j’assume pleinement mon hypersexualité, allant jusqu’à organiser un adultère le soir de notre (premier) mariage et finir par faire appel à un véritable prédateur, Rachid, pour me faire retomber dans mon hypersexualité, sans imaginer sans doute jusqu’où cela nous mènerait. Et maintenant, il n’assumait plus, c’est du moins ainsi que je le ressentais. Je sais aujourd’hui que j’étais injuste, mais à ce moment précis ma frustration et mon manque étaient les plus forts.
J’étais donc bien décidée à me passer de l’autorisation de Philippe et à agir, dès le lendemain. Je me suis gardée d’en parler à Agun qui aurait sans doute su trouver les mots pour me calmer et que je redevienne raisonnable. Je savais ce dont j’avais besoin et j’étais bien décidée à agir en conséquence.
PREPARATIFS
Le lendemain matin, nos relations étaient toujours aussi fraiches avec Philippe. Il avait manifestement lui aussi passé une mauvaise nuit et n’avait pas eu droit à sa traditionnelle fellation du matin. Nous n’avons pas échangé un mot. Nous avons préparé les filles, que Philippe déposait à l’école pour les deux aînées et à la crèche pour la dernière. Je n’ai pas eu droit à mon baiser habituel avant qu’il ne s’en aille. Il m’a seulement informé qu’il rentrerait plus tard ce soir-là, du fait de ses obligations professionnelles. Cela ne pouvait que conforter mes intentions.
J’ai appelé Agun :
• Ma chérie, comme tu es disponible, tu veux bien récupérer Lucie et Leila à l’école, Sofia à la crèche, puis rester avec elles jusqu’au retour de Philippe ?
• Je le ferai. Mais pourquoi t’absentes-tu ? Tu ne veux pas qu’on se voit ? Qu’on en parle ? Ne fais pas de folies, mon Olga !
• Je sais ce que je fais. Je t’expliquerai et je serai ce soir à la maison. Demain, comme prévu, nous serons ensemble. Ne t’inquiète pas. Je t’aime !
Agun était inquiète, mais n’a pas osé insister. Une fois que nous avions raccroché, je me suis préparée.
Quelle tenue choisir pour ce qui était de ma part une sorte de chasse ?
J’ai alors choisi une tenue similaire à celle que je portais, près de neuf ans auparavant, lorsque j’avais rencontré Rachid (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga » 1er janvier 2017) : une jupe courte, un mini string blanc, des bas noirs. J’ai choisi un chemisier décolleté, pas de soutien-gorge. En 2007, je ne m’étais pas rendue compte qu’un tel chemisier était assez translucide et laissait voir mes seins sous le tissu. Cette fois, je le savais et je le portais en connaissance de cause.
Prenant soin de mon corps et de ma ligne, je pouvais, neuf ans après et malgré trois grossesses, porter la même tenue. La différence était que cette fois je n’ignorais pas l’effet que cela devait produire sur des hommes. Je voulais vérifier si mon pouvoir de séduction était toujours le même. Volontairement, je n’ai pas pris avec moi de préservatifs. Je recherchais délibérément une aventure, un adultère et j’étais décidée à m’offrir entièrement, sans protection, en sachant que je prenais, à la demande de Philippe qui ne voulait pas alors d’un autre enfant, une pilule contraceptive.
Après m’être soigneusement maquillée et avoir choisi un parfum discret, je me suis rendue en début d’après-midi dans une galerie commerciale, à la périphérie de la ville.
LA CHASSE ET LA PROIE
Je faisais semblant de m’intéresser aux vitrines, de faire des essais, mais je n’étais pas venue pour faire du shopping. Je marchais lentement, d’autant plus que j’avais choisi de porter des chaussures avec talon-aiguille, ce qui ne pouvait qu’attirer l’attention sur mon cul mis en valeur dans cette jupe serrée.
Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps.
Je venais de passer, dans cette galerie, devant un bar où se tenaient deux jeunes hommes, d’une vingtaine d’années. Je passais à leur hauteur et, alors que je leur adressais mon plus beau sourire, j’ai entendu :
• Antonio, t’as vu cette meuf ?
• Ouais, Daniel. Wouah, quel cul elle a ! Dis-donc, cette jupe, ras-les-fesses !
• Je l’ai bien maté, quand elle est passée lentement. Je te dis qu’elle n’a pas de soutif !
• Si tu veux mon avis, elle est là parce qu’elle a le feu au cul
• T’as raison, laisse-moi faire, je vais lui parler !
Celui qui s’appelait Daniel s’est levé et s’est approché de moi :
• Bonjour Mademoiselle. Je m’appelle Daniel et mon copain c’est Antonio.
• Bonjour, je m’appelle Olga. Vous êtes flatteur. Je ne suis plus une demoiselle, je suis mariée et mère de famille.
• Il a de la chance, votre mari. Vous êtes superbe.
Daniel me dévisageait et son regard se perdait dans mon décolleté. Il ne m’avait pas échappé que son jeans serré était déformé par une érection prometteuse. J’avais trouvé ce que je cherchais. Je lui ai souri, ce qu’il a pris pour une confirmation qu’il ne s’était pas trompé sur mon compte. Il est alors passé au tutoiement.
• Avec mon copain, on s’est dit que tu prendrais bien un café avec nous. Nous sommes étudiants mais nous sommes libres cette après-midi.
Je pouvais encore arrêter l’engrenage et prendre la poudre d’escampette. Au lieu de ça, j’ai senti le désir de ce type et je me suis dit : « tant pis pour toi, Philippe, tu n’as pas fait ce que tu avais promis de faire. Alors, je trouve moi-même. »
J’ai suivi Daniel et je me suis assise entre lui et son compère.
Nous avons commencé par les présentations. J’appris qu’ils étaient tous les deux étudiants, âgés de 21 ans, en villégiature cette après-midi là. Ils ne cachèrent pas qu’ils s‘étaient posté à cet endroit stratégique pour « lever des filles »
• Mais on ne pensait pas rencontrer une jolie femme comme toi!
Daniel et son copain avaient compris que je n’étais pas là par hasard. Ils firent des gros yeux quand je leur dis que j’avais 39 ans. Ils auraient pu être mes fils. Ca tombait bien. Depuis l’époque de Rachid et mes séances hebdomadaires à la cité, j’aimais particulièrement rencontrer des amants bien plus jeunes que moi.
• Tu es là pour faire du shopping, faire chauffer la carte bancaire pendant que ton mari est au boulot ?
• Oui, pour ça et d’autres choses, si l’occasion se présente !
• Ca semble clair ! nous sommes à ta disposition, ma belle !
A ce moment là, comprenant ce que je recherchais, ils ne gênèrent plus. Pratiquement en même temps, les deux jeunes hommes mirent la main sur ma cuisse. Je sentais monter en moi mon excitation. Mes tétons se dressaient et je savais que ma chatte devenait de plus humide. Des semaines de privation allaient prendre fin. J’avais une envie folle de baiser avec ces deux types.
Antonio mit alors la main sur ma tête et m’attira vers lui pour prendre mes lèvres. Je répondais avec passion à son invitation, accordant ensuite la même chose à Daniel. Je faisais cela dans cette galerie commerciale, sans me soucier d’être éventuellement reconnue, même si, sortant peu, le risque était très limité.
• Je vois que tu n’as pas froid aux yeux pour une femme mariée ! On ne peut pas faire davantage ici sinon on risque l’attentat à la pudeur.
• On va chez toi ? Nous on a chacun une petite chambre chez l’habitant, ce n’est pas possible.
• Chez moi non plus, car mes enfants vont rentrer de l’école et de la crèche.
• J’ai une idée : dans la forêt à proximité, il y a un endroit discret, une clairière. On prend ta voiture et on y va !
Je n’ai pas discuté, je les ai suivis. Ils me prirent par la main et nous rejoignirent ma voiture, notre progression étant ralentie par les baisers fougueux que nous échangions.
EN FORET
Daniel prit le volant et je me suis installée à l’arrière avec Antonio.
Après 10 minutes de route, l’excitation me torturait. Antonio caressait ma cuisse avec tendresse et envie, je sentis sa main remonter le long de ma cuisse, passant à l’intérieur de ma jupe.
J’étais impatiente. Daniel mit un bon moment à trouver un coin tranquille, le long d’un petit chemin à peine carrossable en lisière de forêt. D’un côté une forêt dense, de l’autre un chemin, des champs à perte de vue et personne à l’horizon. La voiture stationnée au bord du chemin, à deux mètres environ de la végétation, nous servait à être hors de vue.
Daniel n’avait pas perdu de vue nos ébats à l’arrière, il attendait son tour.
J’étais excitée, j’enlevais donc mes vêtements, j’étais nue au milieu de la forêt, Daniel s’approcha et m’embrassa fougueusement, il massait mes fesses. Je m’agenouillais devant lui, et déboutonnais son jeans puis lui enlevais son caleçon pour libérer son gros pénis bien dur. Je le pris tout de suite en bouche et le suça passionnément. Je léchais son gland et prenais ses bourses dans ma bouche. Daniel baisait ma bouche en s’agrippant à mes cheveux, j’étais prise de hauts de cœur tant son gland car il faisait une gorge profonde,
• T’aime sucer ma queue hein, salope !
• Oh que oui je l’aime ta grosse bite.
Antonio n’entendait pas rester spectateur. Il m’allongea sur l’herbe qui caressait mon dos et ma peau, c’était divin. Antonio se mit sur moi pour m’embrasser et me caresser. Le jeune mâle descendit lécher et mordiller ma poitrine, il en était complètement accro. Il commença à s’occuper de mon sexe, il me léchait passionnément, pénétrant en moi avec sa langue. Il prenait ma vulve dans sa bouche pour aspirer toujours plus de cyprine. L’orgasme ne tarda pas à venir et je jouis dans sa bouche,
• OUI ! putain Antonio, c’est bon !
Il remonta sur moi pour m’embrasser à nouveau, l’odeur de ma chatte se dégageait de sa bouche. J’en voulais plus, j’étais venue pour me faire prendre.
Daniel l’avait compris.
• J’ai envie de te baiser !
• Alors vas-y défonce moi, baise moi !
• T’as pas de capote ?
• Non et je veux être prise sans et que vous vidiez en moi. Je suis clean. Et vous ?
• Evidemment, ma belle !
Il me tourna pour me mettre sur le ventre, ma poitrine était écrasée contre la terre, j’écartais les cuisses et mis mon postérieur en valeur,
• Allez vas y, pénètre moi.
Il frottait son gland le long de ma vulve trempée ce qui me rendit folle de sexe, je sentais son gland qui commençait à forcer l’entrer de ma chatte. Il entrait tout doucement en moi, centimètre par centimètre, écartant les parois de mon vagin. Je sentais son gland s’écraser contre le fond de ma chatte mais il continuait de pousser. Il s’appuyait contre moi, je sentais son torse contre mon dos. Il me mettait des coups de rein, tantôt doucement, tantôt énergiquement. J’étais une chienne qui se faisait baiser en pleine nature par un beau mâle, quel pied ! Je ne pouvais m’empêcher d’exprimer mon plaisir. Ca m’avait tant manqué !
• Oui vas-y baise moi, baise moi j’aime ça ! Ouiiiii
Daniel mordillait mes oreilles et ma nuque, son dard labourait mes entrailles. Le poids de Daniel m’immobilisait fermement contre le sol, il me dominait. La pression de son sexe en moi combiné au sentiment de soumission déclencha un second orgasme. Mon vagin se contracta au tour du membre érigé de Daniel. Mes cris de plaisir étaient atténués par la main de Daniel sur ma bouche. Daniel reprit ses vas et viens en moi toujours aussi fermement, il avait chaud je pouvais sentir sa sueur coulée sur mon dos, il fut pris de spasmes,
• Olga, je vais jouir, oh…hum...
• Jouis en moi ! Je t’ai dit, je veux sentir ta semence couler en moi.
Je sentis son pénis se contracter et expulser son sperme par grosse giclée dans mon vagin, son liquide coulait en moi, c’était bon.
Je me sentais soumise et offerte. C’était au tour d’Antonio. Je tendais de plus en plus mon cul, m’offrant pour une nouvelle saillie.
Mais Antonio voulait autre chose. Il m’écarta avec brusquerie les fesses de sa main droite. Ma respiration s'accélérait. Alors que je m’attendais à ce qu’il m’enfourne, contre toute attente, il me mit brutalement un doigt dans la chatte. Son majeur s'enfonça dans mon vagin brûlant et inondé par le sperme de son copain.
Je me mis à haleter et le suppliais de continuer.
• Fourre-moi tes doigts, salaud. Vas-y !
Je lançais des grossièretés et des jurons, je savais que mes propos l’excitaient au plus haut point. Il poussait son majeur profondément. Ma chatte était tellement humide et dilatée, sa main pouvait y entrer toute entière s’il forçait encore un peu.
Antonio imprimait alors des petits coups en forçant son poing contre ma chatte. Puis il enfila d’un coup trois doigts et, en recroquevillant sa main quatre doigts entrèrent en forçant encore plus fort. Seul son pouce était libre et il en profita pour titiller ma rondelle. Je gémissais et criais de plus en plus. Je me cambrais brusquement et poussais un cri au moment d’avoir un nouvel orgasme.
N’en pouvant plus, Antonio attrapa son sexe dur et me le fourra d’un coup dans la chatte. Après ce qu’il m’avait fait, son engin, de belle taille, rentra d’un coup, sans résistance, dans ce vagin humide, chaud et dilaté.
Antonio m’agrippait à pleines mains par les hanches en me fourrageant violemment avec de plus en plus d’intensité.
A peine m’avait-il pénétrée que j’ai joui de nouveau longuement en faisant des soubresauts. A son tour, Antonio se libérait en moi.
Daniel avait repris de la vigueur et exprima clairement son désir :
• Suce-moi !
Daniel empoignait ma tête par les cheveux, ce qui m’excita de plus belle. Je le suçais si goulument qu’il explosa soudain.
Nous avons poursuivi une bonne partie de l’après-midi.
Je suçais Antonio pendant que Daniel me pénétrait avec violence. Je multipliais les orgasmes. Daniel embrassait mes seins pendant que je lui embrassais le dard.
C’est dans cette mêlée et cette position que j’ai joui un nombre considérable de fois sous les coups de boutoir dans le cul et la bouche de mes deux jeunes amants.
RETOUR A LA MAISON ET CONSEQUENCES
Je suis rentrée tard ce jour-là, les filles étaient déjà couchées, Agun était rentrée chez elle.
Philippe m’avait attendu. Il était en colère, son visage était fermé. Il savait, ou du moins avait deviné ce qui s’était passé. Il m’a dit par la suite qu’il s’en était voulu de ne pas avoir compris la veille que j’étais à un point où je ne pouvais plus attendre. Mais sur le moment, nous n’en n’avons pas parlé.
J’ai voulu tout lui raconter, comme je l’avais toujours fait, à l’exception, à l’automne 2014, de mon adultère avec Denis, la vraie raison qui m’avait poussé à démissionner de mon travail (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau. « 29 novembre 2018)
Il m’a arrêté, me faisant comprendre qu’il ne voulait pas que j’approche, contrairement à nos habitudes, où il demandait que je raconte et où ça se terminait en général au lit, Philippe allant à la découverte des traces de mes ébats.
• Pas ce soir, s’il te plait. Vas prendre une douche, tu sens la putain.
Je suis devenue pâle, car jamais, au grand jamais, Philippe ne m’avait parlé comme ça. J’étais coupable d’un grave dérapage et je ne voulais pas en rajouter même si j’avais envie de lui dire qu’il m’avait poussé dans cette voie, que c’est en désespoir de cause que je m’étais laissée aller à ça et, que, dans des circonstances similaires, il n’avait rien trouvé à redire, au contraire !
Mais, moi non plus, je n’avais pas voulu à ce moment-là d’une explication qui aurait peut-être éviter un autre dérapage, encore plus grave, mon adultère avec N.
Les semaines qui suivirent furent celles d’un apparent retour à la normale, Philippe semblant avoir oublié « l’incident ».
Ce n’est que bien plus tard, après le terrible épisode N, que nous sommes revenus en détails sur ce qui s’était passé ce jour-là. Pour en arriver à ceux conclusions :
• Des excuses réciproques, les miennes car j’avais volontairement dérapé. Et celles de Philippe, pour n’avoir pas su percevoir mon état de manque et aussi pour la façon dont il m’avait « accueillie » à mon retour.
• Une ferme résolution du « plus jamais ça », ce qui suppose de ma part de m’en remettre aux initiatives de Philippe et, pour celui-ci de veiller à une périodicité « raisonnable », répondant aux exigences de mon hypersexualité.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci cher Arthur!
Quelle predatrice quand tu es en manque de bites!Ces 2 jeunes ont gagné au loto ce jour là !Selon moi le plus chaud c'est quand tu les embrasses à pleine bouche à la terrasse du café. Tu leur signifies que tu vas leur vider les couilles et que tu veux etre leur jouet! Recit encore une fois magnifique!
Haut les bites!
Arthur
Haut les bites!
Arthur
C'est l’objectif!
Et ça m’excite encore plus quand elles le disent haut et fort… pour se faire baiser encore plus fort
@ Zagalle, j'avais en effet bien compris :-)
Olga
J’adore les petites salopes de ton genre..
T’avais deviné j’imagine
J’adore les petites salopes de ton genre..
T’avais deviné j’imagine
@ Zagalle, c'est vrai!
Olga
Ça donne sacrément envie de se branler en imaginant cette scène de forêt…
Agenouillée, regard droit dans les yeux, bouche gourmande… dans cette situation, entendre un « taille moi la queue » doit avoir un effet excitant sur la petite salope que tu es dans ce contexte…
Ça donne sacrément envie de se branler en imaginant cette scène de forêt…
Agenouillée, regard droit dans les yeux, bouche gourmande… dans cette situation, entendre un « taille moi la queue » doit avoir un effet excitant sur la petite salope que tu es dans ce contexte…
@ Zagalle, ça dépend des circonstances. j'aime les deux
@olga
Celle-ci je l’aime bien…
Commencer l’histoire en talons aiguilles et finir pas se faire prendre par deux jeunes gars en forêt. Pas mal pas mal…
Tu préfères baiser habillée et chaussée ou nue ?
Celle-ci je l’aime bien…
Commencer l’histoire en talons aiguilles et finir pas se faire prendre par deux jeunes gars en forêt. Pas mal pas mal…
Tu préfères baiser habillée et chaussée ou nue ?