Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train
VOYAGE ET FANTASMES
J’ai toujours fantasmé sur ce passage d’Emmanuelle où celle-ci, dans le vol de nuit qui la conduit à Bangkok, se fait prendre par deux inconnus. Je n’ai, à ce jour, pas pu réaliser cela, mais j’ai un souvenir bien précis de ce que j’ai vécu il y a quelques années dans un train.

C’était à l’automne 2015. Philippe avait loué pour nous deux et pour une semaine une villa sur la Côte d’Azur.

Au dernier moment, il me fit savoir qu’il me rejoindrait, mais plus tard, retenu par des contraintes professionnelles de dernière minute. Moi qui m’étais fait une joie de ces précieux moments que nous allions passer ensemble et de la liberté que cela nous permettait, j’étais assez furieuse de ce contretemps. Il a donc fallu s’organiser.

Ma chère Agun s’était chargée de garder sa filleule Sofia, ma cadette. J’avais amené ma fille ainée chez sa marraine Christine et ma seconde fille, Leïla, chez son père Hassan, ce qui était le plus simple puisque Hassan vit dans la même région que Christine.

Philippe avait proposé que je prenne l’avion, mais j’avais refusé, pour des raisons de coût et parce que, sur ces petites lignes de province, il s’agit de petits avions, ce que je n’aime pas. La suite de mon périple consistait donc à rejoindre Nice par train, depuis la ville la plus proche de chez Christine, chez qui je m’étais arrêtée pour une nuit.

La SNCF a eu la bonne idée de supprimer les trains de nuit qui existaient il y a encore quelques années. Ce voyage de jour s’annonçait donc comme une épreuve : bien que se faisant par TGV (mais pour l’essentiel sur des voies ordinaires), il y en avait pour plus de 10h00, correspondance comprise. Je me demandais comment j’allais passer le temps.

Je voulais éviter les grandes salles et j’avais donc choisi un TGV qui offrait en 1ère classe des places dans une sorte de compartiment. Il n’y avait que 4 places à cet endroit et je serai donc tranquille, d’autant que nous étions hors saison et que cette ligne était peu fréquentée et l’était d’autant moins que le service se réduisait.

Cette période était encore relativement douce. J’avais pris un bagage léger et un imperméable. J’avais choisi de m’habiller confortablement : un chemisier clair, sous lequel je n’avais pas mis de soutien-gorge et une jupe assez longue et ample, qui allait jusqu’aux genoux. Bref, j’avais choisi, pensais-je, une tenue pratique et sage, je n’avais aucunement de « mauvaises intentions » et je ne portais pas de tenue sexy, sauf que, comme à mon habitude, je n’avais rien sous mon chemisier.

L’INCONNU
Au départ, j’étais même seule. A la gare suivante, un jeune homme est monté. J’ai tout de suite pensé qu’il devait être étudiant. Il était grand, avec un beau visage, une barbe de deux jours, des cheveux frisés. Il semblait musclé, athlétique même. J’ai tout de suite été frappée par ses yeux bleus et un regard intense. Nous avons échangé un regard et je me suis sentie troublée. Je me suis rendue compte que mon chemisier était mal boutonné et permettait de bien mater mon décolleté, sur lequel son regard s’était immédiatement porté. En rougissant, je me suis empressée de rectifier ma tenue.

En dehors de mes relations de couple avec Philippe et Agun, j’étais alors, depuis plusieurs semaines, dans l’une de ces périodes « de manque », qui sont la conséquence de notre « nouveau pacte candauliste », compte tenu des contraintes professionnelles de Philippe et surtout de nos contraintes familiales, puisqu’il était convenu entre nous que rien ne devait se passer à notre domicile ou dans notre agglomération. C’est pour cela que nous avions prévu ce séjour.

J’étais d’autant plus frustrée que Philippe retardait son arrivée, ce qui m’obligeait à ce périple et réduirait d’autant la période où nous pourrions donner libre cours à son candaulisme et moi à mon hypersexualité.

A la manière dont cet inconnu m’a détaillée, en entrant dans le compartiment, j’ai senti par instinct que cet homme, malgré son jeune âge, devait être un séducteur, sûr de son effet sur la gente féminine. Je me sentais attirée par ce type. L’humidité que je ressentais dans ma culotte, mes tétons qui se durcissaient confirmaient que j’étais excitée, mais je me raisonnais, pensant à l’endroit où j’étais, me disant qu’une aventure avec un inconnu serait contraire aux règles que nous nous étions fixées, Philippe et moi. Sans compter qu’il devait y avoir au moins une quinzaine d’années de différence entre ce jeune homme et moi.

Mon inconnu m’a salué d’un « bonjour Madame », accompagné d’un magnifique sourire. J’ai naturellement répondu, le gratifiant à mon tour de mon plus beau sourire, avant de me replonger dans la lecture que j’avais commencée.

Il a refermé derrière lui la porte du compartiment, a mis son sac de voyage à l’endroit prévu à cet effet et s’est installé, choisissant un siège en face de moi, mais en décalage avec le mien. Lui et moi étions les seuls à avoir réservé dans ce compartiment.

Il m’a invité à laisser mes jambes sur le siège face à moi, comme je le faisais avant son arrivée. Pendant que je lisais, il a continué à m’observer. Manifestement je l’intéressais, mais il ne faisait rien d’incorrect. Son regard me troublait, je devais le reconnaitre. En fine observatrice, je n’avais pas manqué d’observer que je le troublais beaucoup aussi : j’avais constaté que son jeans serré était déformé par une belle érection, dont j’étais manifestement la cause.

C’est alors qu’il a pris une première initiative :
• Nous allons sans doute voyager ensemble un moment. Vous allez jusqu’où ? Je m’appelle Kévin, je suis étudiant à l’école des Beaux-Arts. Je vais jusque Nice pour des raisons familiales.

Il se trouvait donc que nous allions au même endroit et nous avions donc plus de neuf heures à passer ensemble. Je me présentais à mon tour et lui expliquais qu’en ce qui me concerne, c’était pour rejoindre un lieu de vacances et que mon mari, retardé, me rejoindrait plus tard.

• J’avais deviné à votre alliance que vous étiez mariée, Olga. Je peux vous appeler Olga, ça ne vous dérange pas ?

• Pas du tout Kévin.

• Je peux vous poser une question indiscrète, Olga ?

• Allez-y !

• Je vois que vous portez deux alliances, une à chaque main. C’est curieux.

• Vous êtes bien indiscret, jeune homme et je pourrais vous dire que ça ne vous regarde pas. Mais je vais vous répondre. Celle que je porte à la main gauche est celle de mon mariage avec mon époux, Philippe, avec qui je vis. Et l’autre, c’est celle qui symbolise ma relation, mon amour, avec ma compagne, Agun. Je vous choque ?

• Pas du tout, je trouve ça original et pour tout dire très fort. Votre mari sait, je suppose ?

• Il sait et il approuve. Je me partage entre les deux personnes que j’aime. A mon tour de vous poser des questions : vous êtes étudiant aux Beaux-Arts. Je vous voyais plutôt dans le sport, à cause de votre physique !

Kévin sourit, précisant qu’il faisait aussi du basket, à haut niveau. Je lui ai demandé s’il était en couple ou avait une petite amie.

En me souriant, il m’a répondu :
• Non, je préfère en avoir plusieurs, changer, ne pas m’attacher pour le moment. Je n’ai que 22 ans.

• Et vous avez beaucoup de succès, j’imagine ?

Il répondit, en me regardant d’une façon qui était une invitation :
• Ca va bien merci. Ma préférence va aux femmes d’expérience, plus âgées que moi. Y compris quand elles sont mariées !

Je lui ai avoué alors que j’avais (à ce moment-là) 3 enfants, sans évidemment entrer dans tous les détails sur les différentes paternités et j’ai ajouté :
• Vous voyez, je suis une mère de famille, une femme mure ! Vous me donnez quel âge ?

• Je dirai 30 ans tout au plus• Flatteur, j’en ai 38 !

• Vous faites bien plus jeune et si vous me permettez, Olga, vous êtes très séduisante.

• 16 ans de plus que vous, vous vous rendez compte.

• Ce n’est rien, en particulier avec une jolie femme.

Je sentais que les choses étaient en train de dériver.

Voulant diminuer la tension et éviter ce que je sentais venir, j’orientais alors la conversation sur bien d’autres sujets : la politique, l’économie, la philosophie, mon parcours universitaire, le sien. Je lui avouais ma passion pour l’histoire, les arts, la peinture. Nous parlions aussi de la région où il étudiait et où nous avions vécu avec Philippe. Je lui proposais, puisque notre lieu de villégiature était proche de la ville où vivaient ses parents, de trouver un moment pour nous visiter, que je me ferai un plaisir de le présenter à Philippe, que celui-ci serait très heureux de faire sa connaissance.

Contrairement à ce que certains pourraient penser, je n’imaginais pas alors ce qui s’est passé ultérieurement, à savoir que Kévin nous rejoigne à la villa que nous avions louée, pour me faire l’amour en présence de mon mari candauliste. Je ne pensais pas à ces choses et je croyais avoir réussi à chasser de mon esprit toute tentation.

Nous avons parlé ainsi, faisant connaissance, près d’une heure.

J’étais séduite par la conversation et l’esprit de ce jeune homme, comme j’avais flashé sur son physique. De son côté, il savait ce qu’il voulait et prenait son temps. C’était manifestement un séducteur, qui ne perdait pas de vue son objectif. Il m’a dit par la suite que, dès qu’il m’avait vue, il avait eu envie de moi.

• Ca ne me regarde pas, Olga, mais votre mari n’a pas peur de vous laisser voyager ainsi, seule ? Il n’est pas jaloux des rencontres que vous pouvez faire ?

J’ai aussitôt regretté ma réponse, qui ne pouvait que l’encourager :
• Philippe, jaloux ? Pas du tout, je suis libre et je ne cache rien à mon mari !

Kévin a souri, sentant que son instinct ne l’avait pas trompé et que j’étais mure.

REVE ET MASTURBATION
L’arrivée du contrôleur m’a provisoirement sauvé. Mais Kévin a ajouté :
• Il sait qu’il n’y pas d’autres réservations dans ce compartiment. Nous sommes donc tranquilles !

• Si ça ne vous dérange pas, je voudrais dormir un peu. J’ai mal dormi la nuit dernière. Ce voyage, que je savais long. Et surtout, laisser les enfants même une semaine, même si je sais qu’ils sont entre de bonnes mains, ça me rend nerveuse.

Je me cale dans mon coin, cherchant la position la plus confortable pour dormir. Je prends mon imperméable pour me couvrir les jambes.

Dans ce genre d’endroits, j’ai toujours eu des problèmes pour trouver comment m’installer. J’essaie de me mettre droite contre le dossier, je tente de replier mes jambes sous moi, mais c’est la tête qui ne trouve pas le bon appui. Je me tourne et me retourne vainement.

Je commence à désespérer de trouver la bonne position quand Kévin se lève et vient s’installer à côté de moi :
• Vous n’arrivez pas à dormir, venez-vous appuyer sur mon épaule.

Avant que je n’ai le temps de répondre, le jeune homme relève l’accoudoir qui nous sépare, me prend par les épaules et m’attire contre lui.

Dégageant son bras gauche, il me repose au creux de son épaule.

Je pose ma tête, c’est très confortable. Je le remercie et me détend. J’allonge mes jambes sur la banquette face à moi, en me couvrant avec mon imperméable.

Kévin semble s’endormir avant moi. Je suis contre lui, on pourrait nous prendre pour un couple, alors qu’on ne se connaissait pas deux heures auparavant. Il n’est pas mon mari. Il n’est pas mon amant. Pas encore, en tout cas !

Mes vêtements me serrent un peu dans cette position presque couchée. Je commence à ouvrir un bouton de mon chemisier. Imperceptiblement, pour ne pas gêner mon voisin, je glisse une main vers ma hanche, cherche l’attache, défais le crochet et je fais glisser la fermeture.

Dans le mouvement, la main de Kévin se pose sur ma hanche. Je n’ose pas l’enlever, de peur de le réveiller. Ses doigts chauds sur ma peau me troublent. Ils ne bougent pas, j’apprécie ce contact.

Je m’endors moi aussi, je me sens si bien. Ma respiration se fait plus profonde, ma poitrine se soulève et gonfle à son rythme, une drôle de sensation envahit le haut de mes cuisses et le bas de mon ventre.

Je m’endors profondément et, comme cela m’arrive assez souvent, notamment quand je suis excitée, j’ai un rêve érotique. Philippe, comme Agun m’ont décrit ce qui se passe alors. Tout en rêvant, en dormant profondément, je me masturbe et c’est la jouissance qui va me réveiller. C’est ce qui m’arriva ce jour-là. Et c’est à Kevin que je pensais, au désir qu’il exprimait depuis qu’il était entré dans ce compartiment, de son érection qu’il ne cachait pas.

Ma jupe étant déjà ouverte, je l’ai laissée tomber et j’ai écarté ma culotte, pour pouvoir caresser mon bouton. J’étais réveillée et Kévin semblait dormir profondément. Au départ, je veillais à ne faire que de toutes petites vibrations. Puis doucement mon souffle se fit plus fort. Très doucement, j’ouvrais les cuisses. Cuisses grandes ouvertes, ma main caressant mon sexe à la recherche du plaisir.

J’avais ce mâle près de moi, sa chaleur, son souffle, son désir. J’avais envie, follement envie.

Ma respiration s’accélérait. J’ai renversé la tête en arrière, sentant l’orgasme venir. J’essayais de rester discrète.

C’est le moment qu’a choisi Kévin pour ouvrir grands les yeux, comme s’il se réveillait en sursaut.

• Tu es belle ! Continue !

C’est la première fois que Kévin me tutoyait. Il savait que je serai à lui, sans retenue. Il ne cachait pas une formidable érection.

Je matais avec envie la bosse qui déformait son pantalon et je décidais de lui offrir mon plaisir. Exhibitionniste, j’aime beaucoup qu’on me mate quand je me donne du plaisir. Et Kévin me regardait intensément, fasciné par mon impudeur.

Je resserrais les cuisses. Mon corps se tendit. Je retenais mon souffle, jusqu'à rester plusieurs secondes en apnée ! Je m'excitais comme une folle sur mon sexe. On entendait les petits clapotis caractéristiques d'une forte excitation. Puis j’ai joui sans retenue, le corps totalement tendu, tremblante, vibrante, dans un râle à la fois profond et aigu :
• Oui !!!!!!!!!!

• C’est magnifique ! Tu es encore plus belle quand tu jouis, Olga !

Ma tête retomba en arrière. J’avais eu une violente jouissance et j’attendais la suite.


Kévin, certain désormais de parvenir à ses fins, eut l’élégance de ne rien brusquer. Il avait toujours la main sur ma hanche. Je pose alors la main sur la sienne. Appuyant sur la main qui ne bouge toujours pas, mes doigts glissent entre les doigts de Kévin, qui lentement s’écartent et se referment. Nous nous tenons la main, comme un vrai couple. Je vais être à lui, je le sais et je le veux.

Comme j’aimerais que Philippe soit là, lui qui aime tant quand je me donne à un autre en sa présence.

Imperceptiblement, les doigts de Kévin se mettent à bouger, jouant avec mes doigts. Par des pressions légères, nous nous communiquons le désir qui nous tenaille l’un et l’autre. Un autre m’aurait sans doute déjà troussée. Ce jeune homme veut prendre tout son temps et j’aime ça.

Après quelques minutes, Kévin, lâchant ma main, repose la sienne sur mon ventre et avance sous mon imperméable, que j’avais gardé sur moi, quand je pensais me dissimuler. Je vibre sous la caresse. Les yeux fermés, je m’appuie contre Kévin et tourne la tête vers lui. Je sens son souffle contre ma joue, sa bouche est si près. Nous échangeons notre premier baiser, interminable, à en perdre le souffle.

Les doigts du jeune homme se plaquent maintenant contre mon ventre. La paume de sa main glisse et descend imperceptiblement, entre en contact avec l’élastique du slip. Se contractant, ses doigts s’appliquent plus contre la peau, s’insinuent sous la fine lingerie et bientôt effleure ma toison, encore humide du plaisir que je viens de me donner.

LE CONSENTEMENT DE PHILIPPE
Kévin, me prenant de son bras libre par la taille, me redresse contre lui. Il a ainsi plus d’aisance dans son mouvement et sa main gauche peut continuer à glisser vers l’avant.

De son majeur, il entre bientôt en contact avec mon clitoris. Mon sexe est en feu, les lèvres gonflées, je dégouline de cyprine. Alors que deux doigts écartent mes lèvres, le majeur se plaque dans la fente humide, et pénètre délicatement dans ma chatte.

Je ne peux retenir un long soupir.

La main droite de Kévin, qui me maintenait la taille, au lieu de descendre vers mon sexe, remonte, s’insinue dans mon chemisier, glisse sur les côtes et ses doigts remontent et bientôt entrent en contact avec ma poitrine. Sa main est sur mon sein gauche. De deux doigts, il pince le téton, doucement d’abord, puis plus fermement, le faisant rouler entre son pouce et son majeur. Il le tire délicatement jusqu’à tirer de moi des gémissements de désir. Je me mords les lèvres pour étouffer l’expression de mon excitation.

Je veux la même chose que lui, mais je ne veux pas que ce soit un adultère.

Je prends mon téléphone. Kévin me regarde. Il est étonné, mais continue ses caresses. Je compose le numéro de Philippe:
• Continue, c’est si bon. N’arrête surtout pas, s’il te plait et écoute !

Pendant que Kévin continue à branler mon clito, à me doigter et à caresser mes seins de son autre main, Philippe décroche. Celui-ci comprend immédiatement à ma voix qu’il se passe quelque chose.

• Chéri, je suis dans un compartiment, avec un jeune homme, un étidiant nommé Kévin. Il est en train de me doigter, de me branler, de caresser mes seins. Il va me baiser, chéri et j’en crève d’envie. Mais si tu me dis d’arrêter, je t’obéirai !

• Non chérie, même si je préférerais être là et mater ce qu’il en train de te faire. Continuez ! Laisse ton mobile ouvert, avec le haut-parleur, que j’en profite.

• C’est déjà fait pour le haut-parleur. Je voulais que Kévin entende que j’avais ton feu vert. Ca t’excite toujours autant, mon chéri, d’imaginer ce que ce beau mâle va me faire. Je t’aime, mon mari candauliste !

• Je suis seul à mon bureau et je bande déjà rien qu’en y pensant ! Kévin, tu as carte blanche. Vas-y, fais la bien jouir !

• Vous pouvez compter sur moi, Monsieur !

Je me cambre maintenant, pour mieux sentir contre mes fesses le membre de Kévin. Je le sens, volumineux et épais. Je glisse une main derrière moi, franchis la ceinture du slip et bientôt prend en mains un membre raide et doux.

Son pénis est chaud et lisse, ma main a du mal à en faire le tour. Le serrant entre mes doigts fins, je le caresse doucement et longuement.

• Oh Philippe, mon chéri, sa bite est magnifique ! Je vais le sucer et il va me baiser !

Kévin, pendant ce temps, a complétement ouvert mon chemisier, libérant mes deux seins. Il les caresse avec passion, allant de l’un à l’autre, les malaxant à leur faire mal, jouant avec leurs pointes érigées vers le ciel.

Ce voyage, qui s’annonçait interminable, a pris une toute autre tournure. Je veux à mon tour m’occuper de mon amant.

FELLATION ET COITS
Lentement, j’oblige Kévin à me lâcher. Je descends de la banquette et me retourne. Je tire sur la ceinture du pantalon de Kévin, je dégage enfin son sexe, et l’approche de ma bouche.

Le premier contact est soyeux, chaud et doux. Je pose mes lèvres sur le gland, je sors délicatement la langue et doucement le lèche. Ma langue accroche le méat et le titille, puis, ouvrant plus grand la bouche, je fais franchir le seuil de mes lèvres au gland congestionné. Je fais glisser le membre le long de ma langue, de plus en plus profond dans ma bouche. Je serre les lèvres autour de la hampe pour mieux lui faire sentir mon envie de lui. Je le prends au plus profond de ma bouche, soupesant et malaxant ses testicules de mes doigts nerveux, commençant à lui administrer une fellation magistrale.

Kévin s’est mis à gémir, ce qui a redoublé mon excitation. Ma langue déguste chaque centimètre de sa queue. Je me suis attardée aux endroits les plus sensibles de son engin, écoutant avec satisfaction les soupirs rauques qui sortaient du fond de sa gorge. Par moments, je presse d’une main ses couilles en le regardant dans les yeux. Son sexe est dur, gorgé de sang, prêt à éclater.

• Oh que c’est bon, jamais je n’ai connu une telle pipeuse. Je n’en peux plus. Si tu continues, je vais exploser dans la bouche. Je ne veux pas, en tout cas pas tout de suite. Je veux te prendre, te baiser. Tu veux, Olga, tu as envie ?


Je me redresse et me serre dans ses bras. Je lui donne mes lèvres, notre baiser est torride.

• Oh oui, j’en ai envie. Je fantasme sur ta bite depuis que j’ai remarqué que je te faisais bander à mort. On va d’abord faire ça aux toilettes.

• Pourquoi ? Ce n’est pas très glamour, et surtout pas très pratique !

• Ca fait partie des endroits où j’aime me faire baiser. J’y suis allée tout à l’heure, ne t’inquiète pas, c’est propre. Et si tu as assez de réserves, on continuera ici, le voyage est loin d’être terminé.

• Je n’avais jamais rencontré une femme comme toi !

Nous nous sommes rapidement rhabillés, du moins j’ai remis ma jupe, laissant ma culotte dans le compartiment et reboutonnant partiellement mon chemisier. J’ai pris Kévin par la main et nous nous sommes dirigés vers les toilettes, Kévin avait ostensiblement une main sur mes fesses. Bien que nous fussions impatients de baiser, nous nous sommes arrêtés deux fois dans le couloir, pour nous embrasser. Je sentais contre moi le désir de Kévin.

Après un rapide coup d’œil pour vérifier si personne ne nous voyait entrer à deux, nous nous sommes faufilés à l’intérieur. J’ai tout de suite dégrafé sa ceinture et ouvert sa braguette, libérant à nouveau sa queue tendue comme un arc.

Je voulais éprouver sa résistance et j’avais encore un peu envie de le sucer. J’ai happé le gland, puis je l’ai pompé en engloutissant sa bite sur toute la longueur. De mes deux mains, j’ai descendu le pantalon sur ses genoux, dégageant le passage pour caresser ses couilles et les lécher.

Kévin me suppliait, me tendant un préservatif :
• Olga, s’il te plait !

J’ai enfilé la capote sur sa queue, qui perlait de désir. J’ai descendu ma jupe, je me suis retournée, penchée au-dessus du lavabo.

Il s’est positionné derrière moi pour pénétrer ma chatte que je sentais incroyablement ouverte, gonflée et mouillée.

Pris d’un désir violent de me posséder, Kévin a pénétré ma chatte, luisante de mouille. Toute sa grosse tige a disparu en moi. Malgré l’étroitesse de l’endroit, ses mouvements étaient amples et voluptueux. Je ne pouvais m’empêcher de couiner de plaisir tant son membre me rendait folle.

J’avais pris mon mobile avec moi, je savais que Philippe était toujours en ligne et devait apprécier ce qu’il entendait.

• Ca te plait, Philippe ? Il me baise bien, tu sais !

Philippe ne disait plus rien. Je savais qu’il n’en perdait pas une miette et qu’il devait se caresser, en imaginant la scène qui était en train de se dérouler.

Kévin s’est accroché à mes hanches comme pour mieux s’enfoncer. Son mouvement s’est fait plus rapide, plus fort, et je me suis mise alors à jouir bruyamment.

Nous nous nous sommes ensuite rhabillés, avec au départ l’intention de rester tranquilles, afin de de ne pas prendre le risque d’être surpris. Mais ces bonnes résolutions n’ont pas tenues bien longtemps : nous avons remis le couvert, dans le compartiment, nous contentant de tirer les rideaux qui donnaient sur le couloir.

REMETTRE LE COUVERT
Je me suis mise assise sur les genoux de Kévin. Il plonge ses deux mains sous la ceinture de la jupe et dans le même mouvement sous l’élastique du slip et les fait glisser à la hauteur de mes genoux.

Je sens le membre de Kévin contre mon ventre dénudé. S’appuyant sur mes mains, je remonte encore un peu, sentant le sexe gonflé s’insinuer contre mes lèvres.

Les mains toujours sur mes fesses, Kévin me guide jusqu’à ce que son sexe soit juste en place.

• Je n’ai pas d’autre préservatif, tu sais !

• Tant pis, viens, je ne suis pas en période dangereuse, je te fais confiance et j’en ai trop envie. Et d’ailleurs c’est comme ça que je préfère !

Cette fois, le mobile n’est pas ouvert. Certes, Philippe sait que je suis avec ce jeune homme et que le voyage n’est pas fini. Il m’a donné son accord et il me connait. Il sait que je ne me contenterais pas d’un seul et bref rapport. Je vais me donner à nouveau et, cette fois, totalement.

D’un mouvement du bassin, Kévin fait franchir doucement à son gland le seuil de mon sexe, m’oblige à glisser le long de son membre aux veines congestionnées et, les mâchoires serrées, me pénètre lentement, fermement, profondément.

Je me mords les lèvres au sang, pour ne pas crier, je passe mes bras autour du cou de mon amant et plaque mes seins contre son torse, lui offrant mes lèvres.

Le risque que nous soyons surpris accroît encore mon excitation. Mon bassin ondule de plus en plus fort, je veux sentir ce sexe en moi encore plus profondément, j’aime ces mains qui s’agrippent à mes fesses, ces doigts qui glissent.

Nous ne sommes plus vraiment conscients de ce qui nous entoure, de là où nous sommes, tout à la folie de notre coït.

Me saisissant par les hanches, Kévin m’oblige à m’empaler encore plus vite, encore plus fort, encore plus profondément sur son sexe. Je secoue la tête dans tous les sens. Je gémis, je pleure, je jouis, enchainant les orgasmes. Je ne sens plus ni mon corps ni mes muscles. Des semaines que j’attendais ça !

Kévin s’allonge contre mon dos pour me prendre par derrière. Il saisit mes deux seins, s’agrippe à eux, les pétrit, ses doigts s’enfoncent dans la chair tendre et ferme. Il a le nez au milieu de ma chevelure, il s’enivre de mon parfum.

Il découvre la douceur et la délicatesse de la peau du cou qu’il lape, lèche, suce et couvre de baisers.

Kévin me baise et, en même temps, me fait l’amour, avec une incroyable tendresse, un mélange de brutalité du coït et de douceur des baisers et des caresses. Je n’en peux plus, je me donne totalement.

Je lâche une longue plainte, un long gémissement.

• J’aime te sentir dans mon ventre, fais-moi jouir comme jamais, lâches-toi en moi, je veux que tu exploses en moi. Prends-moi !

L’excitation de Kévin est à son comble, il ne peut plus se maîtriser. Agrippé à mon corps, dans un dernier effort, dans une dernière tension de tous ses muscles, il explose en moi dans un rugissement terrible, et lâche de longues saccades dans mon ventre.

Je regarde avec tendresse Kévin et je pose mes lèvres sur la bouche du jeune homme. Le baiser est tendre, presque amoureux.

Je reste nue, sous l’imperméable que je porte, au cas où un indésirable viendrait à nous déranger.

Kévin n’en n’avait pas fini. L’un et l’autre avions encore envie. Je lève et me dirige vers mon amant, qui ouvre l’imperméable et commence par embrasser mes seins. Il prend possession d’un téton, puis de l’autre, le suce goulûment, agaçant les pointes de sa langue.

Kévin, les yeux brillants et la vigueur retrouvée, saisit ma tête et me prodigue un baiser de feu. Je plonge ma langue dans sa bouche et goûte la salive du jeune homme. Déséquilibré, celui-ci tombe à la renverse sur la banquette et m’entraine.

Constatant que sa vigueur est de retour, il m’attrape sous les cuisses, me soulève. M’obligeant à écarter les jambes, il me dépose délicatement sur son sexe tendu. La bouche toujours soudée à celle de mon amant, je passe les bras autour de son cou. Le gland écarte de nouveau les lèvres chaudes et humides et me pénètre.

Kévin me soulève et m’abaisse de plus en plus fort, augmentant progressivement le rythme.

Je me concentre sur la bouche de mon amant et sur son sexe. Je serre le plus possible les muscles de mon vagin pour ne rien perdre du plaisir de ce membre qui me possède encore, qui gonfle encore, qui frappe au fond de mon ventre, qui vient encore plus vite, plus gros et qui enfin explose et inonde mes entrailles de son sperme chaud.

C’est à ce moment-là que retentit le message du contrôleur annonçant notre prochaine arrivée à destination. Cela nous laisse à peine le temps de nous rhabiller, de ranger nos affaires.

Sur le quai, nous avons échangé encore un long baiser amoureux, Kévin me dit qu’il n’en revient pas d’avoir rencontré une telle femme.

Je demande à Kévin son numéro de mobile, lui promettant de le contacter pour qu’il vienne sur notre lieu de location et ceci afin de me prendre devant Philippe.

• Décidément, ton mari est d’un genre très spécial !

• Il est candauliste, ça veut dire qu’il aime voir son épouse se faire baiser en sa présence. Quant à moi, je suis hypersexuelle. Notre « combinaison » est spéciale, mais sache que je l’aime et pas seulement pour la liberté qu’il me donne. C’est un homme formidable.

De ce qui c’était passé dans ce train, je n’ai rien caché à Philippe, je lui ai tout raconté, dans le moindre détail. Et c’est Philippe qui a contacté Kévin pour le faire venir à notre location, pour une nuit torride, en sa présence.

UNE AVENTURE SANS LENDEMAINS
Même si Kévin s’était révélé être un amant exceptionnel, à la fois viril et tendre, j’ai réussi, à ce moment-là, à bien séparer les choses. Kévin aurait voulu une liaison suivie et plus sans aucun doute.

J’avoue avoir été tentée, mais je ne voulais pas que les choses puissent dériver, comme cela s’est passé plus tard avec N.

Nous n’avons donc plus eu, par la suite, d’autres contacts. Kévin restera dans ma mémoire comme le formidable amant d’un inoubliable voyage.

On me reprochera sans doute le fait qu’une fois encore, dans le feu de l’action, je me suis laissée aller à accepter un rapport non protégé et que je me suis offerte totalement, puisque Kévin s’est vidé en moi. C’est évidemment le contraire de toute prudence, eu égard aux MST et évidemment au VIH. J’en suis bien consciente et je recommande vivement de ne pas suivre ce mauvais exemple, sachant que mon comportement me vaudra certainement de vives critiques en irresponsabilité.

Ce n’était pas la première fois et c’est un dérapage de ma part qui a été fréquent à cette période.

On pourra me rappeler aussi que cela était contraire à tous les engagements pris envers Philippe dans le cadre de notre « nouveau pacte candauliste » et notamment de son principe n°5 qui dispose que je dois faire usage du préservatif et qui ajoutait : « C’est avec l’accord de celui-ci qu’Olga pourra permettre à son amant de jouir en elle ».

J’ai bien expliqué, dans différentes récits, et notamment » Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau », combien j’avais mal vécu l’adultère prolongé et caché de Philippe avec Ambre, cette jeune femme rencontrée dans un camping lors de nos vacances 2014 (voir récits 45 et 46).

Vous me demanderez quel est le rapport entre ma conduite et le mensonge de Philippe ? Tout simplement que furieuse, j’avais décidé de ne plus lui demander systématiquement son avis quand une belle occasion de plaisir se présentait. Ceux et celles qui me suivent fidèlement savent que j’ai toujours préféré baiser sans capote et que mon plaisir est le plus fort quand mon amant se vide longuement en moi.

Certains s’étonneront de ma jalousie, la jugeant mal placée de la part d’une femme à qui son mari candauliste accorde les plus grandes libertés. Je suis ainsi, foncièrement possessive envers ceux et celles que j’aime. J’ai toujours considéré que Philippe est à moi et rien qu’à moi, ne supportant pas qu’une autre prétende l’approcher et, pitre, tenter de me le prendre.

La liaison prolongée et dissimulée de Philippe avec Ambre, même si je l’avais contraint à y mettre fin brutalement après l’avoir découverte, avait ouvert une période de turbulences dans notre couple, qui atteindra son paroxysme lors de ma liaison avec N.

Dans ce cas précis avec Kévin, j’avais dit toute la vérité à Philippe, qui s’est contenté de me dire qu’il aurait aimé être présent et qui a pris l’initiative de faire venir Kévin à notre location, pour une soirée candauliste qui reste dans nos mémoires. J’en reparlerai.

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