Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (1 : la séducti
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 380 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (1 : la séducti
AVERTISSEMENT : POURQUOI DES TEXTES AUTOBIOGRAPHIQUES PLUS RARES ?
Depuis ma première publication sur HDS le 21 novembre 2016 (bientôt cinq ans !), sur un total de plus de 270 textes, 76 d’entre eux ont été consacrés à des récits autobiographiques, sous la rubrique « Philippe, le mari candauliste et Olga l’épouse hypersexuelle », et où est raconté en détail notre parcours si particulier.
Le dernier en date de ces textes a été publié le 19 juin 2021. Mes textes autobiographiques sont désormais rares, le précédent remontait au 11 novembre 2020. Certains m’ont d’ailleurs fait part de leur déception et je ne peux que constater que le nombre de lecteurs était plus élevé pour cette catégorie de publications, dont le contenu, souvent très « hard », est plus susceptible d’attirer le public qui vient sur HDS.
Il me semblait que je devais quelques explications à mes fidèles lecteurs et lectrices, dont certains nous suivent depuis l’époque où nous avions un blog érotique hébergé sur Erog.fr.
J’avancerai les explications suivantes :
1. J’ai d’abord eu envie de diversifier le type de textes que je publie et je ne le regrette pas, car je prends un réel plaisir aux recherches, aux lectures, à l’écriture des récits historiques, des textes mythologiques, aux fiches de lectures, ou encore des posts sur des poèmes érotiques ou des films. Je me suis lancée dans l’exercice de textes « écrits à quatre mains » et j’en remercie vivement ElodieParis et, plus récemment, Micky, qui m’ont permis de découvrir et d’apprécier ce bel exercice. Il y a quelques semaines, j’ai démarré un texte fictif, « Matrone et Domina », qui m’inspire particulièrement.
Je reconnais que cette variété dans les publications a pu dérouter certains lecteurs, mais je ne le regrette pas, en remerciant d’abord ceux qui continuent à me suivre et à m’accompagner, au travers de nombreux commentaires sur chaque publication.
2. Si je publie moins de récits autobiographiques, cela ne veut pas dire que j’ai tout dit et que j’ai épuisé le sujet. Il y a d’abord des sujets que je n’ai fait qu’aborder et que je ne peux développer, afin de respecter la charte de HDS. Ceux et celles avec qui j’ai eu des échanges directs par mail savent. Plus fondamentalement, ceux qui ont suivi mes récits savent qu’ils sont d’abord pour moi un moyen de mesurer le chemin parcouru et d’assumer mes dérapages passés. J’ai déjà dit beaucoup de choses dans le cadre de cet exercice de transparence, l’essentiel en tout cas, même si j’ai toujours l’envie de poursuivre cet exercice de catharsis.
3. J’ai consacré plusieurs textes à des périodes chaotiques de mon parcours. Les plus douloureux pour moi furent ceux où j’ai parlé de mon adultère avec N, entre l’été 2016 et le printemps 2017 et de ses conséquences. J’ai raconté comment, pour suivre mon amant, j’avais trahi Philippe et Agun, abandonné ma famille et combien il a été difficile de réparer ce que j’avais détruit. Cela a été possible grâce à l’amour infini d’Agun, puis celui de Philippe. Je suis résolue à ne plus retomber dans de tels travers, car je sais que cette fois je n’aurai sans doute pas d’autre chance. Je m’en remets donc entièrement aux initiatives de Philippe, sachant que son candaulisme l’incite fortement à trouver des partenaires. Ces moments privilégiés sont par définition rares, compte tenu des contraintes de la vie de famille, de la disponibilité de Philippe, mais aussi des conditions strictes que nous nous sommes imposées pour ne plus retomber dans les errements du passé. Il y a donc forcément moins de choses à raconter ici.
4. Il y a eu enfin, au cours des 18 derniers mois, la pandémie et en particulier les phases de confinement. J’ai d’ailleurs eu l’occasion de l’évoquer dans deux textes « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : confinée, déconfinée », parus les 10 et 28 juillet 2020.
C’est dans le contexte de décru de la 4ème vague de la COVID que se situe ce récit, de quelques jours où nous avons pu renouer avec candaulisme et hypersexualité.
***
Nous avons récemment passés, Philippe et moi, dans la deuxième quinzaine de septembre, un séjour idyllique dans un hôtel de luxe sur une île de la Mer Égée. Nous avons pu le faire à un moment inattendu, alors que la rentrée scolaire est effective depuis début septembre.
Ces vacances ont été une énorme surprise pour moi. C’est au départ une idée de ma compagne Agun, qui souhaitait que Philippe et moi, nous puissions nous retrouver, mais aussi vivre pleinement mon hypersexualité et son candaulisme.
Pour elle, il fallait pour cela que nous puissions être sans les enfants. Elle a donc fait appel à à mon amie Christine, marraine de deux de mes filles, qui a appuyé avec enthousiasme cette proposition. Christine a fait en sorte de tout organiser avec Agun.
Christine avait prévu de venir chez nous et de se charger de mes deux filles aînées, collégiennes, Agun, de son côté, s’occupant des deux cadets, scolarisés en primaire.
Agun et Christine en ont ensuite parlé à Philippe, pour qu’il puisse poser ses congés et organiser le voyage. Les trois complices ont en particulier réservé une suite dans un luxurieux resort d’une île de la mer Égée, avec vue sur la mer et piscine privée. Au moment de la réservation, Philippe a insisté sur une demande particulière, un lit « King size ». Avec une idée évidente derrière la tête.
Quand j’ai enfin été mise dans la confidence, tout était organisé. Philippe m’a montré les billets d’avion, et m’a présenté l’hôtel qu’il avait réservé.
Ca m’a beaucoup touché. J’ai amoureusement embrassé Philippe, qui, en me couvrant de caresses, m’a dit :
• Tu sais, l’idée vient d’Agun. Avec Christine, elles ont tout organisé. Elles savent ce dont nous avons besoin.
• Et de quoi, avons-nous besoin, mon amour ?
• J’ai envie de toi mais aussi j’ai envie de te voir baiser par d’autres hommes. Ça me manque et je sais que ça te manque aussi
Inutile de dire que nous avons eu ce soir-là un long câlin. De même que mes retrouvailles de cette semaine-là avec Agun ont été particulièrement chaudes, manière d’exprimer mon amour et ma reconnaissance infinis envers ma compagne à qui je dois tant.
***
Notre séjour a été divisé en deux parties.
Les trois premiers jours, dans la capitale, ont été consacrés à des retrouvailles familiales. Ce fut l’occasion pour moi de retrouver ma mère et de poursuivre notre effort commun de catharsis sur les conflits de jadis entre nous deux, notre rivalité qui ont tant marqué mon adolescence.
Pour Philippe, ces jours ont été douloureux. Il a pu voir son fils, envers lequel il veut assurer tous ses devoirs. Son ancienne maîtresse, Théodora, a refait sa vie et, en recevant Philippe en présence de son nouveau mari, elle lui a fait durement comprendre qu’elle n’a toujours pas accepté la façon dont il avait accepté mon retour, après mon escapade avec N et surtout qu’il avait assumé une nouvelle fois une paternité à la place d’un autre.
Je m’en veux encore pour ce que j’ai fait alors et les dégâts dont je suis responsable. Je comprends le ressentiment de Théodora, qui aimait follement Philippe. Je ne lui en veux pas des mots durs qu’elle use quand elle parle de moi.
***
Philippe et moi étions bien décidés à profiter de la seconde partie de notre voyage, dix jours concoctés pour notre plaisir à l’un et à l’autre, pour donner libre cours à nos envies, dans le respect des règles que nous nous sommes fixées.
Philippe avait choisi la plus belle suite de l’hôtel, avec vue sur la mer et piscine privative. La chambre avait été soigneusement aménagée selon les consignes de mon mari. Il avait demandé un lit « super king size », soit 240x240. Et il y avait un fauteuil, son fauteuil de candauliste, positionné avec vue imprenable sur le lit. Le message était sans ambigüités !
• Il est immense ce lit, mon chéri !
• Je compte qu’il serve beaucoup, et pas seulement pour dormir !
• Toi, tu as des idées cochonnes derrière la tête, mon amour.
• Je veux te voir jouir, ma Basilissa, je veux rattraper le temps perdu.
C’est en faisant l’amour avec mon chéri que nous avons étrenné ce lit.
Comme nous étions arrivés assez tôt en matinée, et qu’avoir fait l’amour nous avait ouvert l’appétit, Philippe proposa que nous nous allions nous restaurer au buffet déployé autour de la grande piscine. Philippe ne voulait pas perdre de temps et voulait que la recherche de mes partenaires commence immédiatement.
• Je veux choisir ta tenue, ma princesse. Comme nous allons ensuite à la plage, je propose que tu mettes un bikini et une robe cache-maillot.
Malgré l’insistance de Philippe, j’ai imposé un bikini blanc, certes sexy, mais assez sage, qui me met cependant bien en valeur. Il n’était pas question pour moi d’en faire trop et de faire scandale.
Philippe insista alors pour choisir la robe. Et je finis par céder devant son insistance, une robe cache-maillot en tricot, blanche, très simple, qui ne cachait pas grand-chose et, qui, assez courte, dévoilait mes cuisses. Grâce au choix du maillot, je n’étais pas indécente, mais j’étais plus que sexy, j’étais provocante. De guerre lasse, j’ai fini par céder. J’ai vu dans le regard de Philippe et à l’érection qui déformait son pantalon que c’est ce qu’il voulait.
Il obtint aussi que je porte des haut-talons pas très adaptés à une tenue de plage, mais Philippe insista également :
• Ce n’est pas très pratique pour marcher chéri !
• Ce que je veux, c’est que tu marches de telle sorte que ta cambrure mette en valeur ton joli cul
Pour parfaire cette présentation, j’y ajoutais le maquillage, le khôl mettant en valeur mes yeux noirs. Philippe obtint que je mette un trait de gloss rouge sur mes lèvres.
• Tu es parfaite, ma chérie. Je parie que, dès cette première apparition, nous aurons un amateur.
• Tu sais que tu te comportes comme un parfait souteneur, mon vicieux chéri !
• A la différence près que tu es gratuite. La seule chose que je demande est que tes amants te fassent jouir et que je sois le témoin de ton plaisir.
• Tu es le mari parfait pour une hypersexuelle comme moi
• Comme tu es l’épouse parfaite pour un candauliste comme moi !
***
Nous fîmes une arrivée remarquée au bord de la grande piscine où se trouvait le buffet du petit déjeuner. Philippe me laissa marcher devant lui. Il se passait ce qu’il avait prévu. Ces chaussures m’obligeaient à marcher lentement et faisaient que j’attirais les regards sur mes jambes et mon cul.
Je ne vais pas mentir. J’aime toujours séduire et plaire. Je suis fière de susciter le regard des hommes alors que je suis, à 44 ans, une femme mure. Mes quatre maternités n’ont pas atténué le regard et désir des hommes. Je sais aussi que Philippe est fier de son épouse, je sais ce qu’il veut, à savoir la même chose que moi. Je suis entrée en quelque sorte sur un terrain de chasse. Mon corps et mes sens ne me mentent pas. À mes tétons qui commencent à pointer, à durcir, à ma chatte qui devient humide, je mesure mon excitation. Philippe, comme moi, nous sommes conscients de ce dont j’ai envie, depuis des semaines, ou plutôt des mois : je veux être baisée et c’est pour cela que nous sommes là.
Je choisis soigneusement l’endroit où nous allons nous installer, essayant de repérer discrètement quelques mâles prometteurs. Je le répète, je ne suis pas la proie, mais la chasseresse, sous le contrôle de mon homme. Je sais que celui-ci est à l’affût et que son expérience, son instinct de candauliste ne le trompent jamais. Il sait immédiatement quand un autre homme est attiré par son épouse.
Et c’est ce qui se passe très rapidement. Philippe a remarqué le regard appuyé d’un homme en notre direction, ou plutôt sur moi. A voix basse, il m’alerte :
• Chérie, tu as remarqué le type à deux tables de nous ? Ce type musclé, avec des cheveux courts en brosse. Un quinquagénaire il me semble. Décidément, tu plais beaucoup aux hommes de ma génération !
• Oui, évidemment. Il me dévore des yeux. C’est que tu voulais, mon coquin ! Je continue ?
• On est là pour ça, non ?
Je regarde fixement le type et lui adresse un grand sourire, puis je lève mon pouce. Le message est assez clair. La balle est désormais dans le camp de cet homme.
Je n’ai pas longtemps à attendre. Quelques minutes plus tard, un serveur vient m’emmener un papier sous enveloppe, un mot très court, très direct, en Anglais, avec un numéro de mobile
• « My name is Alexis. You excite me a lot. Send me an SMS, now ! »
En voyant Philippe, il avait compris que nous étions étrangers et il avait opté pour un message en Anglais. J’ai ostensiblement tendu le papier à Philippe, pour montrer notre complicité. Philippe, à son tour, a levé le pouce en direction d’Alexis et m’a fait signe de poursuivre.
J’ai envoyé un SMS à Alexis, en Grec :
• Bonjour Alexis, je suis Olga et moi aussi tu m’intéresses beaucoup. Nous sommes Français, mais je suis Grecque d’origine.
• J’ai vu que tu as montré mon papier à ton mari. Il n’a rien dit ?
• Je ne fais rien sans mon mari Philippe. Non seulement il sait tout, mais il est d’accord et il m’encourage. Philippe est candauliste
• Je n’avais jamais rencontré de couple candauliste, mais je sais ce que c’est. Après tout, s’il aime ça, pourquoi pas ?
• Discutons-en de vive voix, si tu veux bien, plutôt que par SMS. Viens nous rejoindre à notre table.
Alexis n’a pas hésité un instant. Avant de nous rejoindre, il a appelé le serveur :
• Páo na synechíso to brunch mou sto trapézi tou zevgarioú ton Gállon (« je vais poursuivre mon brunch à la table du couple français »)
Il s’est installé à côté de moi, tendant la main à Philippe :
• Bonjour Monsieur. Je parle Français. C’est vrai ce que m’a dit votre épouse ?
Sans même attendre la réponse, Alexis marquait son territoire. Il m’a tendu la main pour que je me lève, et m’a déposé un baiser sur les lèvres, lui que nous ne connaissions pas quelques instants auparavant.
Il a ajouté, en Grec: « Tu es superbe! Je vais te baiser et tu jouiras beaucoup »
• Parle en Français, s’il te plait, que Philippe comprenne tout.
• Pas de soucis, chérie, j’avais compris et ça me semble être un excellent programme, répondant ainsi à la question que lui avait posée Alexis.
Nous avons pris le temps de faire connaissance, mais ni moi, ni Alexis, ne restions inactifs, ne cachant pas nos envies et notre impatience. La main d’Alexis était ostensiblement posée sur ma cuisse. Quant à moi, ma main s’était aventurée à se poser sur son pantalon et m’avait fait mesurer son désir pour moi, mais aussi qu’il était bien pourvu, comme je le désirais.
Philippe résuma notre parcours de notre couple composé d’un candauliste et d’une hypersexuelle, expliquant la difficulté de réaliser nos envies en cours d’année, du fait des contraintes familiales et de la prudence indispensable pour préserver notre réputation. Il ajouta que la récente pandémie avait rendu la situation encore plus difficile. Bref ce séjour était l’occasion de nous lâcher.
Alexis expliqua qu’il était venu à ce luxueux hôtel pour participer à un colloque. Il serait bientôt rejoint par des collègues. Il ajouta « de bons vivants comme moi et qu’il ne manquerait pas de leur parler de nous. Puis en me regardant avec désir, il ajouta :
• Vous pouvez compter sur moi, mes amis. J’ai très envie d’Olga et pourquoi pas tout de suite ?
• C’est une excellente idée ! Nous avons réservé la plus belle suite de l’hôtel et je propose, dès que nous avons fini ce petit déjeuner, de nous y rendre. Notre séjour passera vite et nous comptons en profiter au maximum, répondit Philippe.
Tout se passait entre Philippe et mon futur amant, mais ça me plait que Philippe soit l’ordonnateur de mon plaisir.
Avant que nous ne passions aux choses concrètes, Philippe entendait mettre un certain nombre de choses au clair :
• Alexis, pour qu’il n’y ait pas d’ambigüités, qu’on soit clair : ce que nous cherchons est purement sexuel. Il n’est pas question d’une liaison, d’un adultère
• C’est d’autant plus évident que je suis marié. Ma femme et moi nous sommes un couple très libre, ajouta-t-il.
• Dernières choses : les rapports doivent être protégés et je suis toujours présent.
• J’avais bien compris.
Alexis ayant également confirmé avoir, comme nous, terminé son parcours vaccinal, nous avons rapidement terminé notre brunch car nous avions faim d’autre chose.
Nous avons gagné notre suite, Alexis m'enlaçant, Philippe nous suivant à petite distance.
Le message était clair vis-à-vis du personnel et des autres clients. Cela suscitait des regards envieux de certains hommes, qui auraient aimé être à la place d’Alexis, et des commentaires sévères de la part d’autres femmes. J’ai entendu les termes « putain » et « cocu ». Mais peut nous importait : le sujet ici n’était pas notre réputation nous étions venus pour trouver des partenaires, alors autant que ça se sache.
J’ai donné un long baiser amoureux à Philippe, ajoutant « merci, mon amour ». Puis je me suis retournée vers Alexis, qui m’a prise dans ses bras, pour lui aussi me rouler une pelle et me caresser, me faisant sentir, par sa formidable érection, son impatience et tout le désir qu’il avait pour moi.
Philippe ouvrit la porte de la suite, ajoutant :
• Voici le royaume du plaisir de ma chérie ! A toi de jouer, Alexis, fais-jouir ma belle !
Alexis allait être le premier de mes partenaires dans un séjour qui allait remplir toutes ses promesses.
(à suivre) : « moments candaulistes (2 : la suite des plaisirs)
Depuis ma première publication sur HDS le 21 novembre 2016 (bientôt cinq ans !), sur un total de plus de 270 textes, 76 d’entre eux ont été consacrés à des récits autobiographiques, sous la rubrique « Philippe, le mari candauliste et Olga l’épouse hypersexuelle », et où est raconté en détail notre parcours si particulier.
Le dernier en date de ces textes a été publié le 19 juin 2021. Mes textes autobiographiques sont désormais rares, le précédent remontait au 11 novembre 2020. Certains m’ont d’ailleurs fait part de leur déception et je ne peux que constater que le nombre de lecteurs était plus élevé pour cette catégorie de publications, dont le contenu, souvent très « hard », est plus susceptible d’attirer le public qui vient sur HDS.
Il me semblait que je devais quelques explications à mes fidèles lecteurs et lectrices, dont certains nous suivent depuis l’époque où nous avions un blog érotique hébergé sur Erog.fr.
J’avancerai les explications suivantes :
1. J’ai d’abord eu envie de diversifier le type de textes que je publie et je ne le regrette pas, car je prends un réel plaisir aux recherches, aux lectures, à l’écriture des récits historiques, des textes mythologiques, aux fiches de lectures, ou encore des posts sur des poèmes érotiques ou des films. Je me suis lancée dans l’exercice de textes « écrits à quatre mains » et j’en remercie vivement ElodieParis et, plus récemment, Micky, qui m’ont permis de découvrir et d’apprécier ce bel exercice. Il y a quelques semaines, j’ai démarré un texte fictif, « Matrone et Domina », qui m’inspire particulièrement.
Je reconnais que cette variété dans les publications a pu dérouter certains lecteurs, mais je ne le regrette pas, en remerciant d’abord ceux qui continuent à me suivre et à m’accompagner, au travers de nombreux commentaires sur chaque publication.
2. Si je publie moins de récits autobiographiques, cela ne veut pas dire que j’ai tout dit et que j’ai épuisé le sujet. Il y a d’abord des sujets que je n’ai fait qu’aborder et que je ne peux développer, afin de respecter la charte de HDS. Ceux et celles avec qui j’ai eu des échanges directs par mail savent. Plus fondamentalement, ceux qui ont suivi mes récits savent qu’ils sont d’abord pour moi un moyen de mesurer le chemin parcouru et d’assumer mes dérapages passés. J’ai déjà dit beaucoup de choses dans le cadre de cet exercice de transparence, l’essentiel en tout cas, même si j’ai toujours l’envie de poursuivre cet exercice de catharsis.
3. J’ai consacré plusieurs textes à des périodes chaotiques de mon parcours. Les plus douloureux pour moi furent ceux où j’ai parlé de mon adultère avec N, entre l’été 2016 et le printemps 2017 et de ses conséquences. J’ai raconté comment, pour suivre mon amant, j’avais trahi Philippe et Agun, abandonné ma famille et combien il a été difficile de réparer ce que j’avais détruit. Cela a été possible grâce à l’amour infini d’Agun, puis celui de Philippe. Je suis résolue à ne plus retomber dans de tels travers, car je sais que cette fois je n’aurai sans doute pas d’autre chance. Je m’en remets donc entièrement aux initiatives de Philippe, sachant que son candaulisme l’incite fortement à trouver des partenaires. Ces moments privilégiés sont par définition rares, compte tenu des contraintes de la vie de famille, de la disponibilité de Philippe, mais aussi des conditions strictes que nous nous sommes imposées pour ne plus retomber dans les errements du passé. Il y a donc forcément moins de choses à raconter ici.
4. Il y a eu enfin, au cours des 18 derniers mois, la pandémie et en particulier les phases de confinement. J’ai d’ailleurs eu l’occasion de l’évoquer dans deux textes « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : confinée, déconfinée », parus les 10 et 28 juillet 2020.
C’est dans le contexte de décru de la 4ème vague de la COVID que se situe ce récit, de quelques jours où nous avons pu renouer avec candaulisme et hypersexualité.
***
Nous avons récemment passés, Philippe et moi, dans la deuxième quinzaine de septembre, un séjour idyllique dans un hôtel de luxe sur une île de la Mer Égée. Nous avons pu le faire à un moment inattendu, alors que la rentrée scolaire est effective depuis début septembre.
Ces vacances ont été une énorme surprise pour moi. C’est au départ une idée de ma compagne Agun, qui souhaitait que Philippe et moi, nous puissions nous retrouver, mais aussi vivre pleinement mon hypersexualité et son candaulisme.
Pour elle, il fallait pour cela que nous puissions être sans les enfants. Elle a donc fait appel à à mon amie Christine, marraine de deux de mes filles, qui a appuyé avec enthousiasme cette proposition. Christine a fait en sorte de tout organiser avec Agun.
Christine avait prévu de venir chez nous et de se charger de mes deux filles aînées, collégiennes, Agun, de son côté, s’occupant des deux cadets, scolarisés en primaire.
Agun et Christine en ont ensuite parlé à Philippe, pour qu’il puisse poser ses congés et organiser le voyage. Les trois complices ont en particulier réservé une suite dans un luxurieux resort d’une île de la mer Égée, avec vue sur la mer et piscine privée. Au moment de la réservation, Philippe a insisté sur une demande particulière, un lit « King size ». Avec une idée évidente derrière la tête.
Quand j’ai enfin été mise dans la confidence, tout était organisé. Philippe m’a montré les billets d’avion, et m’a présenté l’hôtel qu’il avait réservé.
Ca m’a beaucoup touché. J’ai amoureusement embrassé Philippe, qui, en me couvrant de caresses, m’a dit :
• Tu sais, l’idée vient d’Agun. Avec Christine, elles ont tout organisé. Elles savent ce dont nous avons besoin.
• Et de quoi, avons-nous besoin, mon amour ?
• J’ai envie de toi mais aussi j’ai envie de te voir baiser par d’autres hommes. Ça me manque et je sais que ça te manque aussi
Inutile de dire que nous avons eu ce soir-là un long câlin. De même que mes retrouvailles de cette semaine-là avec Agun ont été particulièrement chaudes, manière d’exprimer mon amour et ma reconnaissance infinis envers ma compagne à qui je dois tant.
***
Notre séjour a été divisé en deux parties.
Les trois premiers jours, dans la capitale, ont été consacrés à des retrouvailles familiales. Ce fut l’occasion pour moi de retrouver ma mère et de poursuivre notre effort commun de catharsis sur les conflits de jadis entre nous deux, notre rivalité qui ont tant marqué mon adolescence.
Pour Philippe, ces jours ont été douloureux. Il a pu voir son fils, envers lequel il veut assurer tous ses devoirs. Son ancienne maîtresse, Théodora, a refait sa vie et, en recevant Philippe en présence de son nouveau mari, elle lui a fait durement comprendre qu’elle n’a toujours pas accepté la façon dont il avait accepté mon retour, après mon escapade avec N et surtout qu’il avait assumé une nouvelle fois une paternité à la place d’un autre.
Je m’en veux encore pour ce que j’ai fait alors et les dégâts dont je suis responsable. Je comprends le ressentiment de Théodora, qui aimait follement Philippe. Je ne lui en veux pas des mots durs qu’elle use quand elle parle de moi.
***
Philippe et moi étions bien décidés à profiter de la seconde partie de notre voyage, dix jours concoctés pour notre plaisir à l’un et à l’autre, pour donner libre cours à nos envies, dans le respect des règles que nous nous sommes fixées.
Philippe avait choisi la plus belle suite de l’hôtel, avec vue sur la mer et piscine privative. La chambre avait été soigneusement aménagée selon les consignes de mon mari. Il avait demandé un lit « super king size », soit 240x240. Et il y avait un fauteuil, son fauteuil de candauliste, positionné avec vue imprenable sur le lit. Le message était sans ambigüités !
• Il est immense ce lit, mon chéri !
• Je compte qu’il serve beaucoup, et pas seulement pour dormir !
• Toi, tu as des idées cochonnes derrière la tête, mon amour.
• Je veux te voir jouir, ma Basilissa, je veux rattraper le temps perdu.
C’est en faisant l’amour avec mon chéri que nous avons étrenné ce lit.
Comme nous étions arrivés assez tôt en matinée, et qu’avoir fait l’amour nous avait ouvert l’appétit, Philippe proposa que nous nous allions nous restaurer au buffet déployé autour de la grande piscine. Philippe ne voulait pas perdre de temps et voulait que la recherche de mes partenaires commence immédiatement.
• Je veux choisir ta tenue, ma princesse. Comme nous allons ensuite à la plage, je propose que tu mettes un bikini et une robe cache-maillot.
Malgré l’insistance de Philippe, j’ai imposé un bikini blanc, certes sexy, mais assez sage, qui me met cependant bien en valeur. Il n’était pas question pour moi d’en faire trop et de faire scandale.
Philippe insista alors pour choisir la robe. Et je finis par céder devant son insistance, une robe cache-maillot en tricot, blanche, très simple, qui ne cachait pas grand-chose et, qui, assez courte, dévoilait mes cuisses. Grâce au choix du maillot, je n’étais pas indécente, mais j’étais plus que sexy, j’étais provocante. De guerre lasse, j’ai fini par céder. J’ai vu dans le regard de Philippe et à l’érection qui déformait son pantalon que c’est ce qu’il voulait.
Il obtint aussi que je porte des haut-talons pas très adaptés à une tenue de plage, mais Philippe insista également :
• Ce n’est pas très pratique pour marcher chéri !
• Ce que je veux, c’est que tu marches de telle sorte que ta cambrure mette en valeur ton joli cul
Pour parfaire cette présentation, j’y ajoutais le maquillage, le khôl mettant en valeur mes yeux noirs. Philippe obtint que je mette un trait de gloss rouge sur mes lèvres.
• Tu es parfaite, ma chérie. Je parie que, dès cette première apparition, nous aurons un amateur.
• Tu sais que tu te comportes comme un parfait souteneur, mon vicieux chéri !
• A la différence près que tu es gratuite. La seule chose que je demande est que tes amants te fassent jouir et que je sois le témoin de ton plaisir.
• Tu es le mari parfait pour une hypersexuelle comme moi
• Comme tu es l’épouse parfaite pour un candauliste comme moi !
***
Nous fîmes une arrivée remarquée au bord de la grande piscine où se trouvait le buffet du petit déjeuner. Philippe me laissa marcher devant lui. Il se passait ce qu’il avait prévu. Ces chaussures m’obligeaient à marcher lentement et faisaient que j’attirais les regards sur mes jambes et mon cul.
Je ne vais pas mentir. J’aime toujours séduire et plaire. Je suis fière de susciter le regard des hommes alors que je suis, à 44 ans, une femme mure. Mes quatre maternités n’ont pas atténué le regard et désir des hommes. Je sais aussi que Philippe est fier de son épouse, je sais ce qu’il veut, à savoir la même chose que moi. Je suis entrée en quelque sorte sur un terrain de chasse. Mon corps et mes sens ne me mentent pas. À mes tétons qui commencent à pointer, à durcir, à ma chatte qui devient humide, je mesure mon excitation. Philippe, comme moi, nous sommes conscients de ce dont j’ai envie, depuis des semaines, ou plutôt des mois : je veux être baisée et c’est pour cela que nous sommes là.
Je choisis soigneusement l’endroit où nous allons nous installer, essayant de repérer discrètement quelques mâles prometteurs. Je le répète, je ne suis pas la proie, mais la chasseresse, sous le contrôle de mon homme. Je sais que celui-ci est à l’affût et que son expérience, son instinct de candauliste ne le trompent jamais. Il sait immédiatement quand un autre homme est attiré par son épouse.
Et c’est ce qui se passe très rapidement. Philippe a remarqué le regard appuyé d’un homme en notre direction, ou plutôt sur moi. A voix basse, il m’alerte :
• Chérie, tu as remarqué le type à deux tables de nous ? Ce type musclé, avec des cheveux courts en brosse. Un quinquagénaire il me semble. Décidément, tu plais beaucoup aux hommes de ma génération !
• Oui, évidemment. Il me dévore des yeux. C’est que tu voulais, mon coquin ! Je continue ?
• On est là pour ça, non ?
Je regarde fixement le type et lui adresse un grand sourire, puis je lève mon pouce. Le message est assez clair. La balle est désormais dans le camp de cet homme.
Je n’ai pas longtemps à attendre. Quelques minutes plus tard, un serveur vient m’emmener un papier sous enveloppe, un mot très court, très direct, en Anglais, avec un numéro de mobile
• « My name is Alexis. You excite me a lot. Send me an SMS, now ! »
En voyant Philippe, il avait compris que nous étions étrangers et il avait opté pour un message en Anglais. J’ai ostensiblement tendu le papier à Philippe, pour montrer notre complicité. Philippe, à son tour, a levé le pouce en direction d’Alexis et m’a fait signe de poursuivre.
J’ai envoyé un SMS à Alexis, en Grec :
• Bonjour Alexis, je suis Olga et moi aussi tu m’intéresses beaucoup. Nous sommes Français, mais je suis Grecque d’origine.
• J’ai vu que tu as montré mon papier à ton mari. Il n’a rien dit ?
• Je ne fais rien sans mon mari Philippe. Non seulement il sait tout, mais il est d’accord et il m’encourage. Philippe est candauliste
• Je n’avais jamais rencontré de couple candauliste, mais je sais ce que c’est. Après tout, s’il aime ça, pourquoi pas ?
• Discutons-en de vive voix, si tu veux bien, plutôt que par SMS. Viens nous rejoindre à notre table.
Alexis n’a pas hésité un instant. Avant de nous rejoindre, il a appelé le serveur :
• Páo na synechíso to brunch mou sto trapézi tou zevgarioú ton Gállon (« je vais poursuivre mon brunch à la table du couple français »)
Il s’est installé à côté de moi, tendant la main à Philippe :
• Bonjour Monsieur. Je parle Français. C’est vrai ce que m’a dit votre épouse ?
Sans même attendre la réponse, Alexis marquait son territoire. Il m’a tendu la main pour que je me lève, et m’a déposé un baiser sur les lèvres, lui que nous ne connaissions pas quelques instants auparavant.
Il a ajouté, en Grec: « Tu es superbe! Je vais te baiser et tu jouiras beaucoup »
• Parle en Français, s’il te plait, que Philippe comprenne tout.
• Pas de soucis, chérie, j’avais compris et ça me semble être un excellent programme, répondant ainsi à la question que lui avait posée Alexis.
Nous avons pris le temps de faire connaissance, mais ni moi, ni Alexis, ne restions inactifs, ne cachant pas nos envies et notre impatience. La main d’Alexis était ostensiblement posée sur ma cuisse. Quant à moi, ma main s’était aventurée à se poser sur son pantalon et m’avait fait mesurer son désir pour moi, mais aussi qu’il était bien pourvu, comme je le désirais.
Philippe résuma notre parcours de notre couple composé d’un candauliste et d’une hypersexuelle, expliquant la difficulté de réaliser nos envies en cours d’année, du fait des contraintes familiales et de la prudence indispensable pour préserver notre réputation. Il ajouta que la récente pandémie avait rendu la situation encore plus difficile. Bref ce séjour était l’occasion de nous lâcher.
Alexis expliqua qu’il était venu à ce luxueux hôtel pour participer à un colloque. Il serait bientôt rejoint par des collègues. Il ajouta « de bons vivants comme moi et qu’il ne manquerait pas de leur parler de nous. Puis en me regardant avec désir, il ajouta :
• Vous pouvez compter sur moi, mes amis. J’ai très envie d’Olga et pourquoi pas tout de suite ?
• C’est une excellente idée ! Nous avons réservé la plus belle suite de l’hôtel et je propose, dès que nous avons fini ce petit déjeuner, de nous y rendre. Notre séjour passera vite et nous comptons en profiter au maximum, répondit Philippe.
Tout se passait entre Philippe et mon futur amant, mais ça me plait que Philippe soit l’ordonnateur de mon plaisir.
Avant que nous ne passions aux choses concrètes, Philippe entendait mettre un certain nombre de choses au clair :
• Alexis, pour qu’il n’y ait pas d’ambigüités, qu’on soit clair : ce que nous cherchons est purement sexuel. Il n’est pas question d’une liaison, d’un adultère
• C’est d’autant plus évident que je suis marié. Ma femme et moi nous sommes un couple très libre, ajouta-t-il.
• Dernières choses : les rapports doivent être protégés et je suis toujours présent.
• J’avais bien compris.
Alexis ayant également confirmé avoir, comme nous, terminé son parcours vaccinal, nous avons rapidement terminé notre brunch car nous avions faim d’autre chose.
Nous avons gagné notre suite, Alexis m'enlaçant, Philippe nous suivant à petite distance.
Le message était clair vis-à-vis du personnel et des autres clients. Cela suscitait des regards envieux de certains hommes, qui auraient aimé être à la place d’Alexis, et des commentaires sévères de la part d’autres femmes. J’ai entendu les termes « putain » et « cocu ». Mais peut nous importait : le sujet ici n’était pas notre réputation nous étions venus pour trouver des partenaires, alors autant que ça se sache.
J’ai donné un long baiser amoureux à Philippe, ajoutant « merci, mon amour ». Puis je me suis retournée vers Alexis, qui m’a prise dans ses bras, pour lui aussi me rouler une pelle et me caresser, me faisant sentir, par sa formidable érection, son impatience et tout le désir qu’il avait pour moi.
Philippe ouvrit la porte de la suite, ajoutant :
• Voici le royaume du plaisir de ma chérie ! A toi de jouer, Alexis, fais-jouir ma belle !
Alexis allait être le premier de mes partenaires dans un séjour qui allait remplir toutes ses promesses.
(à suivre) : « moments candaulistes (2 : la suite des plaisirs)
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